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30 octobre 2009

AUTANT EN EMPORTE LE VOILE

Document transmis par José Castano.

« Un état qui ne se donne pas les moyens de se conserver est voué à sa perte » (Malaparte)

         Et l’on reparle aujourd’hui d’un phénomène qui a prit son essor… en 1988 et qui, s’il a engendré quelques réactions virulentes, à l’époque, s’est banalisé au fil du temps pour apparaître désormais comme une situation naturelle dans la société française.

         En effet, il ne se passait un  jour où le port du « tchador » à l’école et les prises de position qu’il suscitait n’étaient alors rapportées par les médias. A l’époque, ce phénomène était essentiellement localisé dans la douce France alors, qu’aujourd’hui, il a submergé l’Europe…

         En ce temps là, hormis PRESENT, RIVAROL et quelques journaux nationalistes, nul ne s’était soucié du signe très fort que nous adressait, par-delà le simple voile porté par des gamines innocentes et manipulées, les intégristes musulmans. Et pourtant, l’avertissement lancé le 10 septembre 1986 dans le journal « Le Matin » par Hussein Moussavi, premier ministre de l’Iran et chef de la branche dure des Hezbollah avait été lourd de menace : « La France, c’est sûr, deviendra une République islamique ! » Qui s’en était alors soucié ? Au contraire, les gouvernements de gauche, puis de « cohabitation », puis de droite poursuivirent leur politique d’immigration négligeant le fait que ces « nouveaux arrivants » importaient également leur religion -seul élément identitaire, avec leur langue- qu’ils pouvaient conserver de leurs origines.

         Dès lors, pour favoriser leur intégration, on leur abandonna des espaces publics pour leurs prières, on leur construisit des mosquées, on accorda des créneaux horaires aux femmes dans les piscines, on octroya aux enfants des repas spécifiques dans les cantines (notamment, bannissement du porc). Dans le quartier « Monclar », à Avignon, des parents d’élèves Musulmans des Collèges Vernet et Giera ont exigé que soit servi à leurs enfants de la viande hallal. Enfin, les différents ministres de l’Intérieur, dont Nicolas Sarkozy, ont créé, puis développé, un « Conseil des Français musulmans » pour les encadrer, espérant les contrôler et promouvoir ce cercle carré qu’ils appellent un islam de France ou « islam des Lumières », oubliant que la seule « lumière » qu’ils reconnaissent est celle du Coran. Ainsi, loin de les intégrer, la reconnaissance de ces privilèges accordée à ces « nouveaux arrivants » et aux enfants issus de cette immigration, les renforce dans leur certitude de la légitimité de leurs convictions, exaltant leur identité communautaire, leur conférant un élan pour leur prosélytisme au nom d’Allah… Ainsi, pour ne pas avoir voulu résoudre en son temps un problème qui en était à ses balbutiements (en 2004 fut cependant décrété l’interdiction du port des signes religieux ostensibles dans les établissements scolaires), pour avoir fait preuve d’une excessive tolérance et d’un laxisme fautif, pour avoir fermé les yeux sur sa cause historique, 21 ans après, le conflit entre la religion et la laïcité, entre la croix et le croissant ressurgit, plus incisif, plus menaçant, plus méprisant à l’égard de nos institutions… car il ne s’agit plus de tchador, ce voile islamique qui dissimule les cheveux et une partie du visage… mais de la burqa et du niqab, ces longs voiles noirs qui ne laissent apparaître que les yeux ; des tenues adoptées par des musulmanes et de plus en plus de converties françaises à la recherche du « Paradis éternel ».

         Face à la « levée de boucliers » qu’entraîne cette nouvelle situation et aux prises de position de bon nombre d’élus –notamment de maires- 58 députés, soit 10% des élus de l’Assemblée Nationale, ont réclamé, à l’initiative du député Maire communiste (ça ne s’invente pas) de Vénissieux, André Gérin, la création d’une commission d’enquête sur le port de la burqa et du niqab. Cette commission aurait vocation de mesurer l’ampleur du phénomène avant de proposer éventuellement l’adoption d’une mesure d’interdiction. Or, s’ils ont réclamé cette commission d’enquête, c’est qu’ils sont conscients de la gravité de la situation qu’ils déplorent aujourd’hui… fruit d’une politique de ville ouverte face à un islam conquérant et qu’ils s’en sentent responsables. Les incendiaires de la classe politique veulent maintenant devenir pompiers, comme si un décret pouvait enrayer l’islamisation de notre société après tant d’années de laxisme, voire d’encouragements ! (1) - Aujourd’hui, seconde religion dans notre pays, l’Islam poursuit inexorablement sa marche conquérante…

         Selon André Gérin, « La burqa est la pointe de l’iceberg. Dans certains quartiers, toutes les relations entre hommes et femmes sont sous surveillance. L’islamisme nous menace réellement », explique l’élu, comme pour justifier le séisme qu’il a provoqué en réclamant cette commission d’enquête parlementaire. Un pavé… un testament aussi. Après vingt-cinq ans de règne communiste sur la ville de Vénissieux, le maire a décidé de passer la main avant la fin de son mandat et, le 27 juin 2009, le poste de premier magistrat de la ville est revenu à sa collègue communiste, Michèle PICARD. Avant de partir, il a voulu alerter la République sur « l’intégrisme qui gangrène sa ville, et bien d’autres régions de France ». (2)

… car, à « Vénissieux la rebelle », symbole des « villes chaudes de banlieues », « le pays de la burqa ! » comme l’appellent les Musulmans, où plus de la moitié de la population est d’origine étrangère, principalement maghrébine selon André Gérin, l’islam est la première religion. Et, de jour en jour, la pression religieuse s’accroît, prenant dans ses filets des enfants toujours plus jeunes qui, en maternelle, selon Patricia Truong, de l’école Charles-Perrault, refusent de manger des carottes car elles n’ont pas été égorgées !

         Si certaines femmes souffrent de ce voile qui les ensevelit de la tête au pied, « la majorité a volontairement adopté cette tenue », tranche Bernard Godard, spécialiste de l'islam. « Beaucoup ont la nationalité française. Et l'on compte pas mal de converties dans leurs rangs », ajoute cet ancien du Bureau des cultes au ministère de l'Intérieur. « Elles deviennent salafistes comme on entre dans une secte », poursuit-il.

Les salafistes, tenant d'un islam radical, restent minoritaires en France. Ils seraient entre 30 000 et 50 000. Mais ils progressent régulièrement, dopés par leur opposition à l'Occident. Un fondamentalisme qui, comme le tabligh, attire justement des jeunes en mal d'absolu, dont des femmes. Partout en France, le nombre de femmes « ninja » suit une courbe ascendante, selon l’imam de Guyancourt (Yvelynes), Abdelali Mamoun. Des communautés prospèrent en région parisienne. « Il faut apporter une réponse religieuse à ces dérives, prévient-il. Même si ces salafistes ne sont pas djihadistes, ils haïssent l’Occident, ils crachent sur les koufars, « les infidèles », mais profitent de tous les avantages sociaux de la France en refusant de s’installer sur une terre musulmane comme le veut pourtant leur doctrine. Leur duplicité nuit aux Français de confession musulmane. » Et cet avis est partagé par de nombreux Musulmans de France qui n’hésitent pas à s’élever contre ces « Belphégor » d’un nouveau genre qui ne respectent pas l’Islam modéré.

Sur ce point, Mohamed Tantawi, recteur de l’Université Egyptienne d’Al-Azhar, l’institution religieuse la plus prestigieuse du monde sunnite (le Vatican pour l’Islam sunnite), vient de condamner et d’interdire le niqab dans son établissement et de déclarer : « Le niqab n’est qu’une tradition, il n’a pas de lien avec la religion ni de près ni de loin ». Par ailleurs, le Ministre de l’Enseignement supérieur égyptien, Hani Helal, a décidé d’interdire l’accès des cités universitaires aux étudiants portant ce voile intégral. Quant à Wafa SULTAN, cette courageuse femme arabe qui n’a de cesse de combattre l’Islam radical et de dénoncer son hypocrisie et son obscurantisme (sic), elle a déclaré lors d’un débat télévisé : : "Ce à quoi nous assistons aujourd'hui, ce n'est pas un choc des civilisations, mais une opposition entre des mentalités du Moyen Age et des mentalités du XXIe siècle ; entre la civilisation et l'arriération, entre la barbarie et la rationalité, entre la démocratie et la dictature, entre la liberté et la répression ; c'est un choc entre les droits de l'homme d'une part, et la violation de ces droits de l'autre. C'est un choc entre ceux qui traitent les femmes comme des bêtes et ceux qui les traitent comme des êtres humains..."

Alors ? Est-il trop tard pour intervenir ? "C'est trop tard, répond Dalil Boubakeur, l’ancien Président du Conseil Français du culte musulman de France pour qui le port du voile intégral est lié à l’influence des imans salafistes, parce qu'on a laissé beaucoup filer le problème du fondamentalisme" a-t-il déclaré, le 28 octobre, lors de son audition par la mission parlementaire présidée par le député André GERIN… et d’ajouter devant les membres éberlués de cette mission : "Il y a longtemps qu'on aurait dû être sensible à cette montée du fondamentalisme !" 

En résumé, cette affaire de la burqa et du niqab aujourd’hui, comme celle, hier, du tchador en milieu scolaire met en lumière les contradictions entre les sectaires de la laïcité et les idéologues des droits de l’homme. La fermeté s’impose. Seule l’inflexibilité de nos hommes politiques, fermement dressée sur le front mouvant des provocations et des menaces, pourrait les réduire et, probablement, en venir à bout. La France étant une terre de tradition chrétienne, l’on ne saurait y mettre sur le même plan les signes d’attachement à cette tradition et de telles manifestations de prosélytisme conquérant.

Nos aïeux ont construit ce pays sur des principes chrétiens et cela devrait être enseigné dans les écoles car Dieu fait partie de notre culture. Alors, si désormais ces valeurs millénaires offusquent les intégristes islamistes, si elles doivent irriter leur susceptibilité, si les converties françaises revendiquent leur légitimité d’apostasier leur foi chrétienne et s’adonnent à la provocation en s’accoutrant de la sorte, si notre drapeau, notre hymne national doivent entraîner leurs injures et leurs sifflets, alors qu’ils partent !

S’ils ne sont pas heureux chez nous, qu’ils cherchent une terre d’accueil islamique où ils pourront vivre à leur convenance et professer librement leur religion… mais tant qu’ils vivront en France, qu’ils la respectent !

(1) Le 18 décembre 2008, Nicolas Sarkozy déclarait à l’Ecole Polytechnique : « L’universalité de la France est basée sur le métissage » 

(2) Le Figaro – 1 Juillet 2009

                                                                                                                                                                         José CASTANO

                                                                                                                                            e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Le grand drame de l’homme d’Occident, c'est qu'entre lui et son devenir historique, ne s'interpose plus ni les forces de la nature ni celle de l'amitié. Ses racines coupées, ses bras desséchés, il se confond déjà avec les potences qui lui sont promises. »   Albert Camus 

Rappel : Pour vous désabonner :  Tapez « NON »  

Retour à tous les articles de JOSEPH CASTANO 

-Ma Bibliographie – (Cliquez sur ce lien) 

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24 octobre 2009

CIMETIERES EN ALGERIE

- COMMUNIQUES DU CSCO –

- DIVISION DE LA COMMUNAUTE PN -

- BÔNE –

- DJIDJELLI -


Février 2013

La France veut protéger ses cimetières chrétiens en Algérie

Un communiqué du Ministère des Affaires étrangères français appelle au regroupement des cimetières chrétiens, où se trouvent des tombes de défunts français.

Le Quai d’Orsay a décidé de prendre des initiatives pour améliorer l’entretien des cimetières chrétiens en Algérie, laissés à l’abandon, et parfois profanés. Dans un communiqué de presse, le ministère des affaires étrangères français indique que la France a choisi de regrouper plusieurs cimetières pour mutualiser les efforts visant à protéger ces lieux de sépulture. « Pour les cimetières les plus dégradés et souvent isolés, le choix du regroupement, solution plus durable assurant le respect dû aux défunts, a été retenu par les pouvoirs publics », précise le communiqué.

En effet depuis plusieurs années, de nombreux cimetières chrétiens en Algérie font souvent l’objet de dégradations de la part de vandales. En 2011, dans la région de Béjaia, 150 tombes avaient été dégradées en août 2011. Encore l’an dernier, sept tombes du cimetière chrétien de Rouïba avaient été profanées par des jeunes âgés de 19 et 26 ans.

Cimetière

 

« À ce jour, 120 cimetières ont été regroupés dans les circonscriptions consulaires d’Alger, Annaba et Oran, en plein accord avec les autorités algériennes. Une seconde phase portant sur le regroupement de 137 cimetières impliquera la poursuite d’un effort budgétaire important qui nécessitera de mobiliser collectivités territoriales, associations et particuliers », indique le Quai d’Orsay, dans son communiqué.


 

Plan du cimetière de Tamashouet 2011.
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L’état des cimetières en Algérie en 2009.

Retour "Tous les articles"

 

23 octobre 2009

AVIS DE DECES

JOSEPH HATTAB PACHA

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      C’est avec une grande tristesse que je viens d'apprendre que Joseph Hattab Pacha vient de décéder,  le mardi 20 Octobre 2009. Encore une grande figure de l'Algérie française, qui disparaît.

Communiqué de Véritas:
         Joseph HATTAB-PACHA était le dernier descendant du Dey Hussein, Ardent patriote il a été gravement blessé en service commandé pour la France. Il à été Maire de la Casbah d'Alger, Conseiller Général et Dernier Président du Conseil Municipal d'Alger il s'est élevé avec force contre la trahison gaulliste, ce qui lui a valu tortures et emprisonnement.
         Président du Comité VERITAS  depuis quinze ans, il a fait résonner la vérité historique devant tous les politiques et toutes les Autorités de l'Etat sans jamais être poursuivi, ni même démenti.
 
         Sa dépouille mortelle sera exposée au Funérarium Municipal 380 A rue Saint Pierre à Marseille où ses compatriotes et amis pourront lui rendre un hommage à partir de vendredi 23 octobre. Les obsèques se dérouleront le samedi 24 octobre
à 14 heures 30, à l’Abbaye Saint-Victor quartier d'Endoume, dans le 7 ième, à proximité du Bd de la Corderie pour lui rendre l’hommage qui lui est du. 

Abbaye Saint-Victor – 3, rue de l’Abbaye – 13007 Marseille – 04 96 11 22 60

Le bureau de l’ADIMAD au complet avec gerbe et drapeaux sera là pour se recueillir devant cette grande figure de l’Algérie française.
 
Venez nombreux rendre hommage au plus courageux et au plus incorruptible des Français d'Algérie. Que Dieu reçoive en son Paradis Joseph Hattab Pacha qui était un homme d'Honneur.

2 photos de la manifestation de Valence du 14 mars 2009 avec Joseph Hattab Pacha et Thierry Rolando, côte à côte.

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*

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J'ACCUSE 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir, volontairement et sciemment, violé la Constitution Française dont il était le garant. 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir abusé la nation française en transformant une victoire en défaite et en lui présentant les revendications d'une minorité de terroristes comme l'expression d'un peuple.

J'accuse Charles De Gaulle, Président de la République Française et Chef suprême de son Armée, d'être resté passif devant l'assassinat de milliers et de milliers de citoyens français de toutes confessions.

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir donné l'ordre d'abandonner, après les avoir désarmés, les Harkis à la vindicte des égorgeurs du F.L.N. qui ont commis un génocide de plus de CENT CINQUANTE MILLE de ces soldats français. 

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir donné ordre aux officiers français, témoins de meurtres en séries, (innommables boucheries comme celle d'Oran le 5 juillet 1962 qui a fait plus de TROIS MILLE morts français) de n'intervenir pour personne, même en danger de mort.

J'accuse Charles De Gaulle d'avoir porté atteinte à l'intégrité du territoire national en bradant les départements français d'Algérie à un mouvement terroriste vaincu sur le terrain et en lui abandonnant, non seulement une population qui souhaitait rester française, mais aussi des soldats français métropolitains tombés entre ses mains barbares.

J'accuse Charles De Gaulle du chaos de l'Algérie et du déclin de la France.


J'accuse également comme étant ses acolytes tous ceux qui se sont égarés avec lui dans cette impasse mortelle où souffrent et meurent, tous les jours, des hommes.

Vous, Messieurs les porteurs de valises des partis socialiste et communiste, vous qui avez aidé l'ennemi de la France à s'armer pour combattre et tuer nos jeunes soldats français, je vous accuse d'être de vulgaires collaborateurs passibles de la peine de mort.

Et vous, Monsieur le Président de la République, Messieurs les membres du Gouvernement, Messieurs les Députés, Messieurs les Sénateurs, Messieurs les membres du Conseil Constitutionnel, par votre silence, vous devenez également, face à l'Histoire, ses complices.

Quant à vous, Messieurs les journalistes, vous méritez, aussi, d'être au banc des accusés puisque vous ne respectez même pas les deux principes fondamentaux de votre charge : le respect de la démocratie et l'expression de la vérité !

En effet, Messieurs les journalistes, la France a remporté une victoire militaire écrasante sur le F.L.N. et vous l'avez tu, vous le taisez encore.
Des milliers de jeunes soldats français, des appelés de vingt ans, ont donné leur vie pour que vive l'Algérie Française et vous l'avez tu, vous le taisez encore.

Des hommes, des femmes, de jeunes enfants, des vieillards, ont été ignoblement sacrifiés, pendant des jours, des mois, des années, par des terroristes relevant d'une barbarie tellement bestiale qu'aucun mot ne saurait la décrire et vous l'avez tu, vous le taisez encore.

Messieurs les journalistes, tous les martyrs que je viens d'évoquer ont le droit d'être vengés, tout comme ceux de la Shoa, hier, et de la Palestine, aujourd'hui.. Il est temps de cesser de vous prêter à la dénaturation. Il est temps d'exprimer la vérité historique.

Charles De Gaulle mérite, même à titre posthume, d'être poursuivi devant le Tribunal de l'Histoire et condamné comme l'ont été les artisans et les complices de l'holocauste juif, comme l'est, aujourd'hui, Slobodan Milosevic devant le Tribunal Pénal International.

C'est à vous tous, Messieurs, que je lance aujourd'hui un pathétique appel. Ouvrez les yeux ! Sortez de votre égarement ! Ayez le courage de reconnaître la vérité et de stigmatiser les vrais responsables de la décadence de la France et du tohu-bohu de l'Algérie.

C'est à ce prix, et à ce prix seulement, que notre hymne national aura, à nouveau, un sens et que le drapeau tricolore pourra, désormais, flotter sans tache sur un pays en paix avec lui même.  

Joseph HATTAB-PACHA

Retour "IN MEMORIAM"

23 octobre 2009

PELERINAGE NIMES OCTOBRE 2009

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Quelques photos de ce 18 octobre 2009 qui fut une belle journée avec le mistral.

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Retour à tous les pèlerinages de Santa-Cruz à Nîmes.

16 octobre 2009

UN PEUPLE ASSASSINE

         Ma mémoire aujourd'hui doit faire de gros efforts pour éclaircir la vase des ragots et des chimères qui s'épaissit avec le temps et finit par semer le doute. On éructe sur notre passé avec la technique de l'amalgame, on parle à notre place et on raconte notre histoire avec une méthode qui a toujours fait ses preuves: la calomnie. Pourtant, celle que j'ai vécue à Bab el Oued avant 1962 me semble tellement proche et semblable à celle partagée avec tous mes voisins qui étaient nés et vivaient dans le quartier depuis des lustres que je me dis:" On est nombreux à connaître l'exactitude sur cette vie humble que nous avons affrontée côte à côte; alors que le temps nous est compté, le moment n'est-il pas venu de témoigner ? Ce sont nos descendants qui en auront grand besoin un jour."
         A Bab el Oued, l'arc en ciel qui a toujours fasciné le regard des enfants, n'avait pas beaucoup de chance d'apparaître dans le ciel de Sidi Benour ou les contreforts de la Bouzaréah; en revanche, tous les jours, il illuminait nos rues avec la beauté de ses différentes couleurs: italienne, kabyle, française, espagnole, mozabite, maltaise et arabe. Il suffisait d'entendre dans les classes chaque matin l'appel du nom des élèves pour se rendre compte que l'harmonie des différences se mettait en forme sur les bancs de l'école et que le destin commun à tous ne ressemblait en rien à celui des pays d'ailleurs; ici l'addition des pluralités cimentait de belles amitiés. Notre regretté Mohamed NEMMAS écrivait le 21 septembre 2005 sur ce site:" Nous sommes comme des Astérix quelques récalcitrants qui n'arrivent pas à en démordre de cette culture ( véritable patchwork d'italiens, espagnols, maltais, crétois) et la tchatche qui coule dans les veines des purs de BEO fait que nous sommes et seront toujours un "cru" très rare." Il voulait entendre par "cru très rare": un peuple unique en son genre.
         L'échelle des valeurs qui s'imposait à tous était le dénominateur commun de toutes les cultures; qu'elle soit d'origine ouvrière, d'influence religieuse ou d'inspiration coutumière, elle attribuait le rôle essentiel à la famille. Dans ce quartier de l'époque où les métiers manuels pénibles dominaient, on percevait une grande dignité dans l'accomplissement du travail, dans le nom de famille qui se portait avec orgueil, et dans cette affirmation:" Grâce à Dieu, à la maison on ne manque de rien." Impossible de transgresser les références à l'honneur, à l'honnêteté, à la fidélité, à la politesse, au travail bien fait, au respect des anciens et de la hiérarchie, à la solidarité et à l'amitié sans que l'on se fasse traité de "falso", "d'artaille", de"falampo", ou de " ch'mata ben ch'mata". Je revois le visage des personnes qui animaient les scènes de mon quotidien,des petites gens, rien que des petites gens j'entends leur voix et j'ai l'impression qu'elles me réclament une juste étincelle de fierté en rappelant l'oeuvre modeste accomplie au cours de leur laborieuse destinée. Le film tourne en boucle avec le son d'un tango de Carlos Gardel qui déverse sa mélancolie et rappelle la rencontre des amoureux de la danse sur la piste de Matarèse à côté des bains Padovani. Combien de nos pères ont revêtu le costume cintré du dimanche avec chemise en popeline à col cassé et noeud papillon, tandis que nos mères encore jeunes filles, sortaient dans le plus bel apparat, gantées et chapeautées dans une robe longue fabriquée par leur mère, avec un col de guipure arborant une broche en or ou un camélia. C'était, avec le cinéma, et les spectacles de revues parisiennes présentaient sur la scène du Majestic, la distraction préférée du dimanche en matinée. Ils adoraient glisser leurs pas sur le parquet enfariné bercé par un air cajoleur de rumba. La fête s'installait au rythme d'un banjo effréné qui accompagnait la danse à la mode: le charleston. Puis s'enchaînait la série de valses musettes enlacés dans l'harmonie d'un accordéon qui les soûlait de virevoltes infinies autour de la piste. Et, lorsque la marche cadencée d'un paso-doble euphorisait la salle toute enti8re, c'était, avant tout, parce qu'elle leur rappelait l'Espagne de leur origine. Ils reprenaient leur souffle sur la terrasse qui surplombait la plage déserte, grillaient une dernière cigarette, le temps semblait suspendu pour l'éternité, un dernier fox-trot endiablé sonnait l'heure de la rentrée, il fallait déjà penser au travail du lendemain qui les attendait sur les chantiers dès l'aube, et renouer avec la brûlure des crevasses qui ensanglantaient leurs mains. Mais en attendant, ces jeunes filles et ces jeunes garçons transportaient d'enthousiasme se quittaient au crépuscule de la nuit qui se posait sur Bab el Oued, heureux d'avoir assouvi leur passion pour la danse à Padovani où, durant quelques heures, ils avaient mis entre parenthèses la dureté de leur quotidien. Ils se promettaient de se retrouver le dimanche suivant.
         Tous nous avons eu une enfance entourée d'affection et choyée par des parents qui trimaient pour accorder un mieux à la condition ouvrière des années d'après guerre. Eux aussi n'avaient-ils pas été en leur temps de turbulents "dimoni" gâtés et aimés par nos grands-parents, des immigrés venus de la misère des quatre coins de notre "mare nostrum" pour espérer donner un avenir meilleur à leur famille ?
         Les jours de fête religieuse, à l'occasion de l'Aïd, de Kippour ou des Rameaux, une grande liesse s'emparait du quartier où toutes les attentions se portaient sur les enfants qui avaient le rôle principal. Ils étaient habillés sur leur "trente et un" et jouaient sans le savoir la plus belle parade de l'innocence qui aurait pu s'intitulait:" Amour et Fraternité ". Avec une mimique juvénile pleine de candeur, des rubans multicolores noués dans les cheveux des filles qui ressemblaient à des poupées de collection, elles parcouraient les rues du quartier en tenant la main de leur frère en veste et culotte courte avec mi-bas, le visage dégoulinant de brillantine et de gomina. Ainsi, les rues de Bab el Oued sentaient le jasmin, le "rêve d'or" ou l'eau de cologne de la parfumerie Zaoui. Etre juif, musulman ou chrétien, la joie venait de tous et tous s'appliquaient à la répandre. L'assiette de gâteaux traditionnels offerte à ses voisins symbolisait l'esprit de famille qui nous reliait les uns aux autres. Ces souvenirs encore vivaces en moi peuvent paraître puérils, il n'en demeure pas moins qu'ils m'ont guidé toute ma vie à rester un homme fier de ce passé que nous avons vécu ensemble. J'ai toujours porté respect et reconnaissance à tous ceux, sans distinction, qui ont engendré dans l'amour les générations qui se sont succédées avec le sentiment qu'ils avaient accompli du mieux qu'ils pouvaient leur dessein: bâtir une famille et donner à leurs enfants un avenir meilleur comme leurs grands-parents l'avaient fait en leur temps pour eux-mêmes. Dans toutes les époques, lorsqu'on voulait expliquer sociologiquement BAB EL OUED, la porte de l'oued M'kacel, on y précisait:" quartier populaire et ouvrier à l'ouest d'Alger où toutes les communautés vivent ensemble du manoeuvre au technicien, du fonctionnaire au petit commerçant". Pour tous ces manoeuvres, ces techniciens, ces fonctionnaires et ces petits commerçants, qui étaient nés dans le quartier et qui ne l'ont quitté que pour aller se reposer définitivement aux cimetières d'El Khettar et de Saint Eugène, j'éprouve une grande fierté de les remettre à l'honneur un demi siècle plus tard.
         Un peuple nouveau était né de ce magnifique arc en ciel, il était unique en son genre; il a été réduit au rang de souvenir qui inéluctablement disparaîtra avec la disparition des témoins que nous sommes.


André Trives de BEO 

RETOUR ANDRE TRIVES

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10 octobre 2009

GUERRE OU GUERRE CIVILE

Document transmis par J. F. Paya  

NATURE DE LA GUERRE D ALGERIE

RACINES DU TERRORISME ISLAMIQUE
         Toute la presse s'est interrogée sur les racines du terrorisme islamique dans le Figaro du 15 juillet certains vont les chercher dans la chute du mur de Berlin dans le Marianne n°430 on évoque plus opportunément des prémices Algériens avec le GIA des années 90.
         Allez ......encore un effort remontons plus avant, tout le monde oublie que le terrorisme pour la PREMIÈRE FOIS dans l'histoire fut "apparemment" vainqueur lors de la guerre d'Algérie, même s'il ne s'agissait surtout que d'une capitulation politique.
         A partir de ce fait, la Mythologie d'une victoire de l'action terroriste pris naissance dans le Monde Musulman, pour se perpétuer et se retourner aujourd'hui contre ses "sponsors" Russes, Américains, Anglais et même Espagnols (aide de tous au FLN).
         Mais personne à de rares exceptions ne s'est beaucoup préoccupé des victimes et des milliers de disparus européens et musulmans enlevés surtout après LA FIN DES HOSTILITES, exactions sanglantes que rien ne justifiait, alors qu'une amnistie réciproque (scrupuleusement respectée par la France) avait été entérinée par les accords d'Evian devenu de facto traité international (déposé à l'ONU).
         La duplicité fut patente, une des racines du mal aussi : REMEMBER

Auteur : JF Paya
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         Dans la tradition Française on ne commémore que la fin des guerres victorieuses et en même temps le souvenir des victimes surtout militaires ("morts pour la France") Le PCF à l'origine de la célébration du 19 Mars victoire de "la paix en Algérie" par associations interposées à voulu jouer sur ces sensibilités avec une antériorité à la loi (du 10 Juin 99) qui reconnaît la fin d'une guerre d'Algérie le 2 Juillet 62.
         En dépit de cette loi et du fait qu'il y ait 534 déclarés "Morts pour la France " du fait de la guerre d'Algérie jusqu'à décembre 1964 ! Des milliers de victimes civiles et ex supplétifs tués et disparus en dépit des accords violés du cessez le feu du 19 Mars; cette date rejetée par le président Mitterrand c'est ancrée dans la gauche parlementaire voir une partie de la droite alors que le PC est réduit à la portion congrue ! A part évidemment critiquer et combattre la célébration du 19 Mars faut il commémorer une "fin de guerre" pour l'Algérie ? S'incliner devant les victimes à des dates symboliques bien sur donner une signification tangible au mois de décembre ? Sur la base des derniers "Morts pour la France" de 1964 cités plus haut englobant les victimes civiles et harkies les précédent (récupération Loi sur le 5 Décembre).
         C'est la vie qui tranchera chacun agissant selon les circonstances et le terrain l'essentiel étant de contrer l'ignoble date de Mars 62!

Auteur : JF Paya
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POUR UN DEBAT HISTORIQUE SEREIN.
         Avant de commencer une étude autant que possible sereine et objective sur un aspect de la guerre d'Algérie, il conviendrait, avant d'employer des qualificatifs à base idéologique, de replacer toutes les diverses composantes de ce conflit dans leur contexte.
         L'OAS fut un des éléments inéluctables dirons certains, de ce conflit, vu les atermoiements et les roueries du pouvoir gaulliste Français mais aussi la crainte qui se révélera justifiée de se voir chassée de chez elle de la part de la minorité Européenne. Ici les sentiments rationnels n'ont plus de prises et l'action de l'OAS devient partie du contexte historique mais, pas plus que celle du FLN et de ses diverses composantes et oppositions musulmanes, pas plus aussi que celle des forces armées Françaises, car la guerre d'Algérie comme l'a démontré le professeur Pervillé fut une triple guerre civile : Franco-algérienne:/  Algéro-Algérienne/  Franco-française en une sorte de guerre de sécession à l'envers.
         On estime le nombre global des victimes entre 350.000 et 400.000 dont 105.000 après le ” cessez le feu ” du 19 Mars et l'indépendance (harkis et familles inclus) du fait du FLN et 2700 du fait de l'OAS soit entre 0,77% et 0,66% du nombre total des victimes. Certes toute victime est une victime de trop surtout lorsqu'elle survient après la fin du conflit.
         Rappelons que ce dernier prit fin officiellement pour la France le 2 Juillet 1962 à la suite d'un vote unanime du parlement de la loi du 10 Juin 1999 qui reconnu l'état de ”guerre” en Algérie et l'attribution de la carte du combattant jusqu'à la date précitée..
         L'OAS dernière venue dans le triptyque pour une analyse objective fut la résultante difficilement évitable du sentiment de trahison ressenti par les partisans de l'Algérie Française et d'abandon par la majorité des Français d'Algérie qui n'avaient aucune confiance quant aux ”garanties” proposées par le pouvoir Gaulliste et le FLN. La suite leur à donné tragiquement raison.
         Tenant compte de tous ces préalables, les qualificatifs péjoratifs en histoire deviennent des catégories idéologiques utilisées indifféremment suivant le camp dans lequel on se trouve. Mais sur le plan concret de la légalité, toutes les exactions de part et d'autre furent l'objet d'une amnistie réciproque incluse dans les ”accords d'Evian” jusqu'au 19 Mars 1962. Les actions suivantes furent ensuite amnistiées jusqu'au 2 Juillet 1962 par la France et les protagonistes même réhabilités par une loi votée en 1982 sous l'impulsion de François Mitterrand.
         Voilà tout simplement un rappel des faits utiles indispensables pour un débat historique serein .

Auteur : JF Paya le 20/12/09
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Réponse à Jean-Marie Bockel
                   En Mai 2009 le secrétaire d’état à la défense et aux anciens combattants Jean Marie Bockel avait fait une déclaration surprenante relative à la reconnaissance par la France de "la guerre d’Algérie" comme reconnaissance d’un Etat Algérien qui n’existait pas avant le 3 Juillet 62 ! " La Guerre d Algérie était selon lui une guerre entre 2 Nations et 2 Armées "
                   Il faudrait se demander qu’elle est cette notion de "guerre"qui admet que l’Armée d’un des deux belligérants se trouvait à l’abri de frontières voisines (Maroc Tunisie) pouvant intervenir alors que l’autre ne le pouvait pas ?  Y a t’il eu des situations similaires dans l’Histoire ? Hors cas de guerres civiles !
                   D autre part y a t’il eu en cas de guerre avec un Etat Etranger ? La tolérance de soutien ouvert à cet Etat comme ce fut le cas en France envers la rébellion Algérienne ?
En principe un "état de guerre" suppose des règles strictes et draconiennes avec la notion "d’intelligence avec l’ennemi" sévèrement réprimée !
         Dans ce cas le cessez le feu du 19 Mars 62 fut "un Armistice" avec similitudes de responsabilités  De Gaulle / Pétain sauf que ce dernier avait l’excuse de la défaite !

EN REALITE LA GUERRE DALGERIE FUT A MON AVIS MALGRE MA CARTE DU COMBATTANT UNE GUERRE CIVILE COMPLEXE A LA FOIS FRANCO/ALGERIENNE MAIS AUSSI ALGERO/ALGERIENNE ET DE PLUS FRANCO/ FRANCAISE. ON NE REFABRIQUE PAS L HISTOIRE A POSTERIORI MONSIEUR LE MINISTRE

PAR JEAN FRANCOIS PAYA   cercle Algerianiste du Poitou

RETOUR JEAN FRANCOIS PAYA ORAN 5 JUILLET 1962  

Retour vers nos lectures. 

10 octobre 2009

LA MEMOIRE QUI FLANCHE

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LA MEMOIRE QUI FLANCHE.

Les menteurs ne gagnent qu'une chose, c'est de ne pas être crus, même lorsqu'ils disent la vérité. " Esope

-                     C’est celle aussi de nos gouvernants bien sûr qui oublient ce que l’armée d’Afrique a apporté à la libération de la France sous tutelle Germanique.

-                     La propagande  «engagez-vous, rengagez-vous ».avec de belles affiches montrant un beau Sénégalais sous chéchia drapé d’un drapeau Français flottant aux quatre vents. Se doutait-il que quelques 20 ans plus tard, il serait abandonné sur le bord de la route et livré à lui-même ?

-                     Nous ne nous attarderons pas sur le « De Dunkerque à Tamanrasset » cela n’en vaut pas la peine et son auteur ne mérite vraiment pas que nous lui fassions l’honneur de mentionner son nom.

-                     Mr Douste- Blazy qui affirme à qui veut l’entendre « Qu’il n’y a jamais eu en France d’histoire officielle et qu’il n’y en aura jamais ! »……..Si nous comprenons bien au lieu de l’histoire de France, on nous a enseigné les contes de Perrault sur les bancs de la communale que ce soit en France ou là-bas. Heureusement une douzaine d’élus de valeur s’inscrivent en faux et condamnent l’abrogation de l’Article 4, comme il y a quelque temps à St Laurent du Var. Ils appellent cela « une dérobade piteuse » de la part de la France.

-                     En effet, la nouvelle histoire veut faire l’impasse sur le sort des Européens d’Algérie, et sur celui de nos valeureux supplétifs au service de la France, Harkis ou militaires,  au nombre de 250.000 dont seulement 90.000 rentrèrent en Métropole grâce à des chefs de valeur qui les avaient bien pendues. Les autres furent abandonnés avec leurs familles au couteau des égorgeurs benbellesques. Ces Harkis dont le Président de la République, (qui s’appelait De Gaulle…. je crois !!!) craignait que par leur nombre à leur arrivée en France, le pays ne perde son identité en recevant trop de musulmans. Chacun peut constater comme c’est réussi en 2009, n’est ce pas ?

-                     Messieurs les politiciens encore au pouvoir, vous pouvez être fiers de vous. (Fiers et inquiets aussi car ce n’est plus pour longtemps) et vos électeurs et nous, qui avons cru en vos mensonges, allons faire de telle sorte que cesse le laxisme judiciaire à propos du désordre organisé dans les banlieues, les voitures brûlées, les fillettes violées, les rackets dans les R.E.R, les express régionaux, la drogue et la peur qui s’installent dans les écoles (incroyable mais vrai) parmi les professeurs et les élèves devant  d’autres élèves vauriens (ivres de haine et dignes du karcher) impunis sous couvert de leur jeune âge. Nous aussi nous avons eu le même âge que ces salopards, mais nos pères savaient manier le berbajo (cravache pour les non initiés) et nous comprenions très vite ce qu’il fallait faire pour ne pas avoir à tremper son cul dans l’eau tiède pendant une ou deux semaines, pour atténuer la cuisson des berbajasos. (série de coups de cravache toujours pour les non initiés). Ah, si seulement cela pouvait donner des idées à notre police et à nos gendarmes.

-                     Pour ces abus de pouvoir et de confiance, soyez certains que vous allez payer au propre et au figuré et que nous réussirons en plus à vous faire rendre gorge de ce que sous couvert des accords d’Evian, les signataires malhonnêtes dont vous faites partie intégrante et que vous êtes,  nous avez volé.

" Il est encore plus facile de juger de l'esprit d'un homme par ses questions que par ses réponses. "
G. de Lévis

"LE HERISSON AMANT DE LA VERITE" 

RETOUR COUPS DE COEUR 

3 octobre 2009

LES RANGERS DE PYRENEES ORIENTALES

Par PIERRE SALAS

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                 plaque_st_georges_771_apelles_fenosa                   

SAINT GEORGES, PATRON DES RANGERS

Les belles actions cachées sont souvent les plus  Estimables

Blaise Pascal

         Nous avons parfois des raisons de nous plaindre des dévoiements d’une partie de notre jeunesse, mais quand on constate qu’il existe une catégorie de jeunes gens avec un cœur gros comme çà, il est aussi de notre devoir de les mettre en exergue 

         Il est indispensable de les découvrir, de savoir ce qu’ils recherchent et les aider à nous faire partager et connaître leur amour de la nature, de leur prochain et de tout ce qui fait leur (notre) art de vivre tout simplement.

         Il existe dans notre beau Roussillon et dans une quinzaine d’autres  départements bénis des dieux par leurs reliefs montagneux et boisés de notre France éternelle, de merveilleux jeunes encadrés par d’autres merveilleux « moins jeunes » dont la vocation première est de préserver les cadeaux naturels que la nature a mis à notre disposition depuis la création de l’univers et des êtres vivants qui le composent.

L’association Départementale des rangers et des cavaliers de la nature des Pyrénées Orientales, est une association régie par la Loi du 1° Juillet 1901.

Ils ont en commun ce qui unit les « Texas rangers » aux Etats-Unis et la Police Montée, dite « les Mounties » au  Canada.

Ils en sont leurs dignes et valeureux héritiers et  les ont pris pour modèles.

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Procession Pâques 2009

         Ces jeunes gens, filles ou garçons, sont souvent des adolescents, cavaliers ou pas, au début. Ils nécessitent d’ailleurs l’autorisation et l’accord de leurs parents pour pouvoir apporter leur foi, leur enthousiasme, la folie de leur jeunesse, leur sens de la responsabilité qui leur incombe de s’adonner à cette noble cause qu’est la protection de notre patrimoine national.

         Ils ont souvent l’énorme avantage de connaître les lieux où ils règnent en anges gardiens. Et s’ils sont novices, leurs anciens sont présents à leurs côtés pour leur transmettre leur « savoir-faire » et les guider.

Leurs missions ?

-                      Protection des animaux de toutes espèces,

-                      Des arbres et des végétaux,

-                      Missions de recherche et de sauvetage des personnes égarées ou animaux  et des biens, en danger, malades ou blessés, mais toujours  à la demande et en liaison avec les autorités de tutelle et les services de secours concernés.(Mairies, Préfectures, Police, Gendarmerie, Protection civile, sapeurs Pompiers et autres)

-                      Secourisme

-                      Croix rouge

-                      Toutes opérations relevant de catastrophes ou cataclysmes naturels (séismes, inondations, tempêtes, incendies de forêts…etc.)

Au départ, ils seront « Aspirant rangers », mais pendant leur initiation ils suivront le même entraînement et le même rythme que les Rangers confirmés.

Ensuite, un comité de sélection décidera et tranchera pour chaque candidat, la clôture de son apprentissage et son passage au grade de « Ranger Confirmé »

Leurs récompenses ? La chance inouïe de vivre en contact étroit avec la nature, loin de la puanteur des villes.

Cette vocation ne leur apportera ni gloire, ni fortune, c’est du pur bénévolat, mais ils devront être imprégnés de leur sens du devoir et jouir d’une moralité à toute épreuve et sans failles.

En outre, ils doivent observer avec attention les déprédations des sites naturels.

On les voit souvent anonymes et discrets, quand une autorité leur demande de couvrir une manifestation sportive, lors de festivals de musique, de manifestations culturelles.

Voilà nos anges gardiens que Dieu a mis à notre disposition sur terre pour nous venir en aide en cas de besoin et dans tous les  cas d’ailleurs.

Qu’il les bénisse par l’intermédiaire de leur Saint Patron Saint Georges et qu’il les couvre à leur tour de son aile protectrice.

La chose difficile, nous la faisons immédiatement; l’impossible prend un peu plus de temps. Armée de l’Air des Etats-Unis d’Amérique

Leurs coordonnées ?

Mairie de CERET- BP 303- 66400

Président des Rangers : 06.15.20.42.08

Courriel RESPONSABLE :   lolapascal@live.fr                                                   

Courriels Secrétariat : georgia.lejaille@laposte.net

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Rangers_2009

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RETOUR PIERRE SALAS.

2 octobre 2009

JOSE CASTANO

BIBLIOGRAPHIE

 


Nous vous signalons la réédition de « La Princesse berbère » qui sera disponible fin septembre.

« Jeanne d’Arc berbère »

            “Un des caractères particuliers de nos romans, écrivaient les Goncourt en janvier 1861, ce sera d’être les romans les plus historiques de ce temps-ci, les romans qui fourniront le plus de faits et de vérité vraies à l’histoire morale du siècle ».

Ils ont affirmé, à maintes reprises, que leur roman était une œuvre d’observation et que « l’idéal du roman, c’est de donner avec l’art la plus vive impression du vrai humain quel qu’il soit ».

         C’est cette conception du roman qui m’a incité en 1982 avec « Les larmes de la passion » puis, en 1990 avec « Afin que nul n’oublie » à écrire, sous cette forme, l’Histoire de l’Algérie française en incorporant aux faits et aux événements, rigoureusement réels, des personnages de fiction.

            En 1984, j’avais également fait paraître un roman historique « La Princesse berbère » (La Kahéna) qui contait à travers des faits réels la fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa avec grandeur, au VIIème siècle, à l’invasion arabe de l’Afrique du Nord. Cet ouvrage obtint le prix « Mare Nostrum » et connut un vif succès auprès de la communauté berbère de France et celle des Français originaires d’AFN, passionnés qu’ils sont par l’histoire de ce pays qu’ils ont aimé au-delà de la raison…

            Vite épuisé puis réédité à trois reprises, de nouvelles réalisations ne permirent pas de tirages supplémentaires… jusqu’en 2017.

            De nos jours, ce personnage hors du commun occulté par les livres d’histoire, vagabonde toujours dans les esprits rêveurs…

            Le sectarisme et l’exclusion à l’égard de la culture berbère dès l’indépendance des pays du Maghreb (les chaires universitaires ont disparu en 1956 à Rabat et en 1962 à Alger), la désinformation des livres scolaires, les atteintes perpétuelles au patrimoine et à la mémoire, la mise sous séquestre du potentiel culturel, artistique et intellectuel n’ont jamais permis aux Berbères de se réaliser… d’où certaines similitudes avec la diaspora des Français d’AFN toujours en quête de reconnaissance…

            Aujourd’hui, ils revendiquent leur appartenance à cette race fière, noble et libre « Imochagh » qui caractérisait leurs ancêtres et, en quête permanente de leurs racines, se penchent avec nostalgie sur leur histoire.

            Cet ouvrage consacré à la kahéna : « La Princesse berbère » est venu les réconforter. C’est un plaidoyer, une œuvre de mémoire qui répond à l’attente des uns et des autres... Et à travers ces lignes imprégnées de poésie, de couleur, de vérité et de vie, ensemble, ils s’imaginent participer à la fabuleuse aventure de cette reine qui marqua d’une empreinte indélébile la résistance berbère en AFN.

            Concernant la Kahéna, il ne s’agit pas là d’un personnage « virtuel » mais ayant bel et bien existé au VIIe siècle (époque de l’invasion arabe) et qu’Ibn-Khaldoun, grand historien arabe, a fait revivre dans ses prolégomènes : « Histoire des Berbères ».

LA  PRINCESSE  BERBERE

La Kaena

(La Kahéna) Roman historique -

        Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, conquis à la foi judéo-chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de la Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute.

La Kahéna

 

        Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons.

           L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… C’est à travers des faits réels rapportés par les éminents historiens que furent Ibn-Khaldoun, Gautier, Gsell, Marçais, que l’épopée de cette reine berbère est contée dans cet ouvrage selon la vision d’Ibn-Khaldoun : « Le but poursuivi est d’établir une règle sûre pour distinguer dans les récits la vérité de l’erreur… un instrument qui permette d’apprécier les faits avec exactitude ». Tel est, en effet, le but que je me suis proposé d’atteindre en respectant les faits, la chronologie des événements et jusqu’aux paysages de cette époque qui servent d’écrin à l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple. 

Aujourd’hui, l’épopée de la Kahéna est encore fréquemment le sujet des poèmes que psalmodient les rhapsodes indigènes dans les villages berbères. Une gloire, un vague nimbe, une auréole à peine esquissée flotte au-dessus de sa tête et les Aurésiens gardent au cœur son souvenir parce qu’elle est leur passé, parce qu’elle est et demeurera pour des siècles encore leur kahéna et qu’elle cesserait d’exister s’ils cessaient d’y penser et de l’aimer.

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 "TERREUR ISLAMISTE"

Terreur islamique -José Castano

Table des matières TERREUR ISLAMIQUE

            De nos jours, le monde arabe sous l’emprise des faux prophètes que sont les religieux, est obsédé par le souvenir des grandeurs, le tumulte des épopées oubliées, les magnificences des siècles révolus…

           À leurs fidèles, contemplatifs, crédules et soumis, ils annoncent l’arrivée du Mahdi, c’est-à-dire, de l’Envoyé, celui qui plierait les infidèles sous la loi du cimeterre, comme aux siècles de gloire… Ils font de cette effrayante prédiction leur principal thème de combat dénombrant au passage les fourmilières humaines d’Arabie, du Maghreb, d’Afrique et d’Asie. Ils expliquent que rien ne pourra plus résister à l’avalanche, que c’est le nombre –c’est-à-dire eux- qui fera désormais la loi, que l’histoire est en marche, que nul ne saura plus jamais l’arrêter, que les signes qui annoncent la victoire sont évidents et que la fin de l’Occident est déjà écrite quelque part sur les livres de l’Eternel. Le monde arabe est ainsi devenu une gigantesque bouilloire où surgissent de toutes parts les faux prophètes comme des silhouettes d’apocalypse. Ils ne poussent pas, ils ne poussent plus leurs « fidèles » à la bataille… ils les convient à la curée.

            Et voilà les « fous de Dieu » qui partent à l’assaut du monde libre avec au bout du voyage, la mort qu’ils recherchent, car il est écrit que « quiconque meurt au cours du djihad entrera au Paradis et deviendra un martyr » et que « les délices du Paradis consistent principalement dans les voluptés sensuelles ».

            Partout montent les clameurs de ces peuples qui rêvent de revivre, enfin, la prodigieuse épopée scandée par le choc des cimeterres et dont les fastes illuminent encore la nuit des temps… Partout ces cris qui menacent l’Occident, l’invectivent et le vouent à la mort. La vieille prédiction de Kipling devient une réalité redoutable : « Voici que montent les multitudes à l’assaut de la passe de Khyber »… Et c’est ainsi que le djihad s’impose naturellement à ces hommes comme une religion furieuse et dogmatique avec son appel aux sacrifices monstrueux, ses flots de sang, ses haines ininterrompues, avec aussi ses résignations, ses rêves et ses aspirations qui soulèvent les âmes.

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«Terreur Islamiste » (214 pages)

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« ET L’ALGERIE DEVINT FRANÇAISE… »

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(De l’expédition punitive de 1830 à l’avènement de l’Algérie française)

          Souvenez-vous de cette image qui illustrait nos livres d’histoire : Ventripotent, barbu, enturbanné et en colère ; le poignard au côté, l’éventail haut levé ; entouré de janissaires ; dans un décor oriental, un potentat courroucé invite à quitter ses salons un diplomate occidental inquiet, abasourdi, portant bicorne et grand uniforme…

Cette scène a longtemps résumé un grand chapitre d’histoire. Pour plusieurs générations de Français, le coup d’éventail du dey Hussein au consul général de France, Pierre Deval, a symbolisé la conquête de l’Algérie, .

Si l’on s’en tient aux souvenirs illustrés par cette image d’Epinal, on a tendance à simplifier le problème comme s’il ne s’était agi que d’aller venger, là-bas, un geste de mauvaise humeur. La vérité n’est pas si simple.

Ce n’est certes pas pour un coup d’éventail que la France va engager tant d’hommes et d’argent dans une expédition hasardeuse. Mais alors, pourquoi donc ?

Dans un premier temps, cette expédition décidée par Charles X, avait un but essentiel : mettre fin à la terreur barbaresque en Méditerranée : arraisonnement des navires de commerce, pillage de leur cargaison, mise aux fers et esclavage de leurs personnels… la plupart chrétiens.

La mission remplie, qu’allait on désormais bien pouvoir faire de ce pays libéré de la tutelle turque ?

Si la France abandonnait le terrain, tout donnait à penser que d’autres pays lui succéderaient pour des motifs plus ou moins avoués, politiques ou stratégiques… particulièrement l’Espagne et l’Angleterre. A quoi auraient donc servi tant d’efforts ? De sacrifices humains ? D’argent dépensé ?

Alors, la conquête du pays fut décidée et avec elle, l’envoi des premiers colons. Tous, ils étaient des déportés de la misère et de la politique, des réfractaires, des exilés, mais ils portaient en eux ce germe qui s’appelle l’audace et que leurs parents demeurés dans les vieux pays d’Europe allaient inexorablement laisser mourir comme des semailles gelées. Puis ce fut la création de l’Armée d’Afrique et celle de la Légion étrangère qui, des terres inhospitalières de Kabylie aux confins sahariens, de l’expédition du Mexique à celle du Tonkin, verront ces hommes, Français par le sang versé, faire le don de leur vie parce que, tout simplement, la France le leur avait demandé.

Cet ouvrage, destiné aux générations nouvelles, nous fait revivre, au rythme haletant et effréné des sacrifices, des actes de bravoure et des batailles héroïques, les plus belles aventures humaines de la conquête. A faire lire absolument à tous les partisans de la repentance

 

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« QUAND  L’AMOUR  RENAÎTRA »

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Deux destins parallèles constituent la trame de ce roman, véritable message d’espoir envers ceux qui ont connu le malheur et ne croient plus en l’avenir.

Elle, jeune, jolie, cultivée, douce, romantique, passionnée…

Lui, beau, intelligent, fourbe, calculateur, opportuniste, aventurier…

Rien ne dispose ces deux êtres aussi différents à s’aimer. Pourtant, au fil des jours, ils vont, secrètement, développer un amour que les liens familiaux et la morale réprouvent. Ils vont s’aimer sans pouvoir se l’avouer jusqu’au jour ou le drame éclate.

De cette tragédie naîtront de cruels souvenirs propres à mener vers le naufrage… Seule la force de la vie permettra un retour vers le rivage car l’espoir est toujours vainqueur. Ce sera le miracle de l’amour.

C’est –comme il en a coutume- dans un décor féerique agrémenté de descriptions somptueuses servant d’écrin à cette belle et tragique histoire d’amour, que l’auteur, avec la passion qu’on lui connaît, exprime cet hymne à la vie comme un défi perpétuel aux souffrances du monde..

 

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