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popodoran
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25 novembre 2010

HARO SUR LE BAUDET

A tous ceux qui crient HARO SUR LE BAUDET
Vous avez une drôle de façon de vous exprimer sur l'un de nos meilleurs défenseurs. Ce Défenseur, n'est qu'un homme, mais quel HOMME! Aussi, en tant que tel, il peut lui arriver parfois se tromper dans un choix. Que celui qui ne se trompe jamais lui jette la première pierre. Ce mec a connu injustement les geôles gaulliennes (pour nous tous) et depuis qu'il est rentré d'Algérie se dévoue sans compter pour notre cause.
La plainte contre l'Algérie? C'est LUI.
La plainte contre la France? C'est toujours LUI.
L'article 46 ? C'est encore LUI.
La protection de nos toits familiaux? Il répond "PRESENT" Sa seule présence, fait fuir les huissiers qui essaient de battre des records de vitesse.

Alors, foutez-lui, la paix et laissez-le travailler à sa façon, même si ce n'est pas la votre (heureusement pour notre communauté).
Ne jouez pas les "va-t-en guerre" par messages interposés, comme autrefois, là-bas, dans le petit Margaillon " Al patio de las angustias".

PIERRE SALAS Le 25 novembre 2010

salas-pierre@bbox.com 

RETOUR PIERRE SALAS. 

nb: depuis Pierre Salas et Gabriel Mène sont dcd tous les deux, puissent-il reposer en paix

 

 

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P
Dimanche 6 Février 2011<br /> www.laprovence.com<br /> <br /> L’ENTRETIEN avec Gabriel Mène<br /> "La défense des intérêts<br /> des rapatriés d’Algérie"<br /> <br /> L'Union syndicale de défense des<br /> intérêts des Français repliés d’Algérie) tenait<br /> hier une grande réunion au domaine de<br /> la Rose d’Argence, à Fourques. L’occasion<br /> de faire le point sur ses revendications, avec<br /> son président depuis 44 ans, Gabriel Mène.<br /> ❚ Quel est le rôle de votre syndicat ?<br /> "L’Usdifra compte 4000 adhérents dans toute<br /> la France. Ce syndicat national qui existe<br /> depuis 1965 a pour objectif de défendre les intérêts<br /> matériels des rapatriés qui ont intégré,<br /> après avoir fui l’Algérie, différents corps d’activités en métropole :<br /> l’agriculture, la pêche, le commerce, l’artisanat."<br /> ❚ Presque 50 ans plus tard, en quoi est-ce toujours d’actualité ?<br /> " La réinstallation de la communauté pied-noire a été fragilisée par ce<br /> qu’elle a vécu de l’autre côté de la Méditerranée. Et elle est de plus<br /> soumise à la crise économique qui vient empirer sa situation."<br /> ❚ Les indemnisations restent votre cheval de bataille.<br /> "Les indemnisations des familles que les deux États, algérien et français,<br /> liés par les accords d’Évian, avaient promis de régler, ne sont toujours<br /> pas effectives. Pour la France, selon l’Agence nationale de l’indemnisation<br /> des Français d’outre-mer (Anifom), 52% des dossiers<br /> sont réglés. Selon nous, 38 à 40%le sont. Quoi qu’il en soit, nous attendons<br /> toujours ces indemnisations : cela représente tout de même<br /> aujourd’hui 400000 dossiers en attente !"<br /> ❚ Vous comptez mettre les politiques face à leurs responsabilités?<br /> "Nous sommes à 15 mois de l’échéance présidentielle qui va être déterminante.<br /> Nous avons écrit à tous les partis politiques car cette population<br /> est toujours dans l’attente d’engagements précis. À ce jour, nous<br /> n’avons reçu aucune réponse. Il est faux de dire que nous n’avons<br /> aucun poids : l’électorat pied-noir se chiffre à 2 à 3 millions d’individus,<br /> entre les repliés d’Algérie et ceux du Maroc et de Tunisie, qui se sont<br /> eux-mêmes mariés avec des métropolitains. Nous voulons aujourd’hui<br /> des actes forts ! Les partis politiques doivent s’engager vis-à-vis de la<br /> communauté des rapatriés qui a déjà vécu 50 ans d’exode, 50 ans<br /> d’exil. Nos revendications doivent être réglées, une fois pour toutes."<br /> ❚ Vous y croyez ?<br /> "Je suis un syndicaliste, à la tête d’une organisation apolitique. J’espère<br /> toujours et je crois toujours aux gens qui nous dirigent. Mais s’il faut<br /> que les rapatriés se révoltent, ils se révolteront."<br /> ❚ Quelles actions pourriez-vous envisager ?<br /> "Je vais vous faire un scoop: nous sommes en train de mettre sur pied<br /> une opération : "le bateau de l’exil". Nous voulons montrer à la nation<br /> française la souffrance des rapatriés, en reconstituant exactement ce<br /> qu’a été notre exode, avec un bateau équipé de salles de conférences.<br /> Nous nous sommes donné un an pour mettre cette opération en pratique."<br /> <br /> Propos recueillis par Mathieu GIRANDOLA<br /> www.laprovence.com
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