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26 février 2011

A NOS JEUNES AMIS DE FRANCE

Retour sur l'histoire de France il y a 50 ans

         Jeunes amis de France, vous assistez, aujourd’hui, à des révoltes sanglantes dans le monde arabe. Et vous êtes indignés par les atrocités que ces chefs d’Etat, présidents ou rois, font subir à leurs peuples.

 

         Vous avez raison de vous émouvoir car nous sommes tous très attachés à la Défense des Droits de l’Homme.

 

Nous l’avons été, aussi, en notre temps, lorsque la « révolution algérienne » s’est manifestée par les actes terroristes du FLN. Quatre années de souffrances et de massacres que les gouvernements français de l’époque avaient peine à juguler…

Jusqu’à un certain 13 mai 1958.

 

         Lorsque, sa patience et son civisme, durement mis à l’épreuve depuis des années par la terreur, le peuple Français d’Algérie, musulmans et européens unis, descendit dans la rue pour demander le départ des gouvernants incapables de faire régner la paix dans le pays.

 

         Jusque là, vous en conviendrez, il n’y a aucune différence entre les manifestations de rues des tunisiens, des égyptiens,des algériens, des libyens ou des yéménites, aujourd’hui et les français d’hier, en Algérie française, qui réclamaient le changement dans la politique menée par leur président. Non… ne dites surtout pas : « oui, mais là-bas, c’était différent ».

Le peuple - n’importe quel peuple - ne se révolte que pour de bonnes raisons. Et, dans les pays arabes d’aujourd’hui, c’est la tyrannie, la dictature, dans lesquelles ils sont plongés, qui font descendre les peuples dans la rue. Ce qui  vous choque et vous inquiète, avec raison, c'est la réponse des autorités, par les répressions sanglantes dont ils sont les victimes pour oser se révolter contre « le Pouvoir de leurs chefs d’Etat ».

 

         Aujourd’hui, de tous les gouvernements occidentaux, partent des condamnations envers ces despotes qui osent faire tirer sur les peuples désarmés. Ils ont raison, bien sûr.

Mais, comme vous n’avez jamais vécu en Algérie Française, il nous faut vous expliquer que ces tyrans arabes ne font que reprendre, à la lettre, les mesures répressives employées, en son temps, par « notre » général De Gaulle, président de la République française, lorsqu’il faisait tirer, en 1960 - 1961 - 1962,  sur les civils Français qui manifestaient dans les rues d’Alger ou d’Oran, pareillement à ces populations en colère qui manifestent dans les rues de Tunis, du Caire, de Sanaa, de Manama  ou de Tripoli.

 

         Y aurait-il une différence entre les actes odieux et criminels d’un Kadhafi, d’un Ben Ali, d’un Bouteflika, d’un Moubarak et les actes odieux et criminels de De Gaulle ? Lorsqu’il a fait tirer au canon et par l’aviation, contre les populations de Bâb el Oued, qu’il a sciemment encerclées et affamées parce qu’il pensait que la résistance à sa politique indépendantiste partait de ce quartier d’Alger.

 

         Lorsqu’il a donné l’ordre à l’armée française - NOTRE armée - de tirer dans les rues de France, à Alger, sur des manifestants pacifiques et désarmés, hommes femmes et enfants, qui demandaient que l’Algérie restât à la France.

 

         Lorsque les combats de rues engageaient l’armée française, autorisée à ouvrir des feux nourris d’armes lourdes contre les contestataires de la politique algérienne du gouvernement que nous appelons les « résistants ».

 

         Lorsque les half-track de la gendarmerie française, sillonnaient les rues dans les villes du pays, pointant leurs canons sur les populations sans défense et que les gendarmes français enlevaient les retardataires qui se trouvaient, malheureusement, sur leur passage pour les remettre aux terroristes sanguinaires du Fln.

 

         Lorsque les tortures, aujourd’hui encore décriées par droit de l’hommistes et imputées à l’armée française, ont été pratiquées sur leurs frères français dont le seul crime était de vouloir résister à la politique du chef de l’Etat, De Gaulle.

 

         Et, de loin, l’acte le plus ignoble de ce tyran fou est d’avoir interdit, sous peine de graves sanctions, aux chefs militaires de rapatrier, en France, les Harkis -militaires français- que l’armée avait enrôlés pour combattre les terroristes pendant huit années.

 

         Ces mêmes harkis, qui, grâce à certains officiers supérieurs révoltés par cette mesure et contrevenant aux ordres de De Gaulle, avaient été embarqués dans un bateau vers la métropole, mère patrie, pays des Droits de l’Homme,  bateau qui fut interdit d’accostage dans les ports de France et renvoyé en Algérie où ils se firent tous massacrer, dès leur arrivée, par les indépendantistes assoiffés de vengeance.

 

         La même ignominie se répéta pour les quelque 3000 européens français qui, restés au pays comme le leur conseillait le président De Gaulle, furent massacrés, à Oran, par les algériens, sous les yeux de l’Armée française qui avait reçu l’ordre de l’Etat de ne pas intervenir pour les protéger.

 

         Voyez-vous, dans ces actes terrifiants, l’ombre d’une démocratie ?

 

         A-t-on condamné ce tyran, ce despote, ce fou, pour crimes contre l’humanité ?

 

         A-t-on entendu ces gouvernants US ou Allemands ou Anglais ou d’autres, s’élever contre le despotisme, la tyrannie, les crimes, de ce général-président de la France qui faisait tuer ses propres citoyens français, son peuple au désespoir, parce qu’il osait s’élever contre la décision du Pouvoir, « son » Pouvoir ?

 

         Nous n’avons rien entendu. Pourtant, les faits narrés ci-dessus sont vérifiables dans tous les livres d’historiens écrits par d’honnêtes français, civils et militaires, traitant de cette période de l’Histoire de France, sous la Vème République de De Gaulle.

 

         Jeunes amis de France, si vous aviez vécu sous ce régime, diriez-vous que De Gaulle était un dictateur ? Certainement. Qu’il était à l’image d’un Bouteflika, d’un Kadhafi ou d’un Ben Ali, certainement.

 

         Parce qu’il a usé des mêmes moyens que ceux-là, sans, pourtant, jamais avoir été ni condamné ni même critiqué par l’opinion publique.

Au contraire, la presse qu’il contrôlait, qu’il censurait, la presse du Pouvoir, ne diffusait que les informations (la désinformation) qui allaient dans son sens, confortant sa politique et cachant généreusement les exactions de son président.

 

         Oui, Jeunes amis de France, le général De Gaulle était un dictateur.

 

         Pourrez-vous, maintenant, comprendre les actes de résistances qui se sont manifestés contre les répressions sanglantes dont nous avons été les victimes sous le régime gaulliste ?

 

         Comprendrez-vous que nous demandions, depuis cinquante ans, de l’Etat français, qu’il reconnaisse sa responsabilité dans tous les crimes commis sur la population française, par le président de la France, au nom de la France, de 1958 à 1962 en Algérie ?

 

         Admettrez-vous, qu’aujourd’hui,  nous nous gaussions d'un président de la République française, Nicolas Sarkozy, se réclamant du gaullisme, prêt à envoyer son armée avec celles des américains et des anglais, investir la Libye pour protéger le peuple opprimé par le dictateur Kadhafi ?

 

         Certes, au nom du Droit à la Liberté des peuples à décider d’eux-mêmes, ces populations n’ont pas à subir les crimes dont elles sont les victimes.

 

         Mais, si la France daignait balayer devant sa porte, avant que de se mêler des affaires des pays voisins opprimés, elle gagnerait en crédibilité et certainement à la sérénité et à l'apaisement de tous les Français.

 

Louis Des Issambres

 

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25 février 2011

APPEL DU COLLECTIF DES ASSOCIATIONS DE FRANCAIS D'ALGERIE

RASSEMBLEMENT LE 19 MARS 2011 A 11 HEURES

PLACE SAINT-ETIENNE A TOULOUSE (31)

DEVANT LA PREFECTURE

 

         A l'approche de 2012, les annonces concernant l'histoire et le drame des Français d'Algérie ne cessent d'inquiéter, ou d'indigner, nombre d'entre nous.

 

         L'Etat a décidé d'honorer, cette année, Frantz Fanon, soutien actif du FLN dès 1954, celui-là même dont Jean-Paul Sartre préfacera l'ouvrage « Les Damnés de la terre » en ces termes : « En ce premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c'est faire d'une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre. »

 

         Rendre un hommage public à un tel personnage, c'est légitimer officiellement son action au sein du FLN et s'acheminer donc vers la repentance.

Nous ne saurions accepter que notre mémoire soit ainsi bafouée.

 

         Par ailleurs, le site internet du Ministère de la culture vient de mettre en ligne son calendrier des commémorations officielles pour 2012. Dans les dates retenues, nous constatons que la mention « Fin de la Guerre d'Algérie » apparaît accolée au 19 mars 1962.

Nous ne saurions accepter ce premier pas vers l'officialisation d'une date qui, loin de marquer la fin d'un conflit, a au contraire sonné le glas de nos vies en Algérie, au sens figuré mais aussi au sens propre, pour des milliers d'entre nous, des dizaines de milliers de Harkis, des centaines de soldats du contingent.

Nous ne saurions accepter cette chape de plomb supplémentaire sur les tragédies du 26 mars à Alger ou du 5 juillet à Oran, entre autres.

 

         Au vu de ces éléments, les associations de Français d'Algérie ont décidé de se réunir afin d'envisager une riposte.

 

         Jamais en effet ne fut fait un tel affront à notre tragédie, à nos morts.

 

         Nous sommes conscients que certains d'entre vous ont le désir de « tourner la page », surtout 49 ans après. Mais cette page d'Histoire s'écrit actuellement sans nous, sans prendre en considération nos drames. Est-ce cela que nous voulons léguer à nos enfants,  à nos petits-enfants ? Une vision tronquée, partisane et hémiplégique de notre vécu en Algérie ? Une officialisation de la date du 19 mars qui niera à jamais nos victimes, nos disparus ? Une repentance qui légitimera aux yeux de tous nos souffrances, nos blessures ? Nos enfants n'ont-ils donc pas le droit d'être fiers de nous, de nos parents ?

Nous ne saurions accepter de voir ainsi notre dignité traînée une fois de plus dans la boue.

 

         Nous vous appelons donc à nous rejoindre le 19 mars 2011, Place Saint-Etienne à Toulouse, pour un rassemblement devant la préfecture. Il s'agit de montrer par notre mobilisation, qui doit être la plus large possible, que nous n'acceptons pas que notre histoire soit travestie de la sorte. Nous remettrons au préfet un courrier à transmettre au Président de la République. Ce courrier n'aura de poids que si nous sommes très nombreux ce jour-là.

Dans un an il sera trop tard, c'est aujourd'hui que nous devons montrer que nous sommes toujours là et que nous n'entendons pas que l'on cache à nos enfants notre histoire, leur histoire, la vraie, afin qu'ils n'aient pas un jour à avoir honte de leurs parents.

Rejoignez-nous – en famille, avec vos amis, ce serait merveilleux – et arborez en ce jour de deuil un élément noir, brassard, cravate etc.

 

         Nous n'aurons plus beaucoup d'autres occasions de faire entendre notre voix. Nous avons été bâillonnés le 8 avril 1962, en n'étant pas consultés pour le référendum sur les accords d'Evian, il est temps de retrouver la parole, pour nous, pour l'image que nous lèguerons aux nôtres.

 

Amicale des Français d'Outre-Mer (L'Union)  M. Gabriel FUENTES

Amicale des Pieds-Noirs de Quint-Fonsegrives  M. Marcel LIZON

Amicale Nationale des Enfants de l'Algérois  Mme Annie PARENT

Amicale Nationale des Hauts Plateaux de Sétif  M. Nicolas VOGLIMACCI

Amitiés Oraniennes / L'Echo de l'Oranie  Mme Claude-Sandra RAYMOND

ANFANOMA  M. Yves SAINSOT

Association des familles de victimes du 26 mars et leurs Alliés  Mme FERRANDIS-DELVARRE

Cercle Algérianiste National  M. Thierry ROLANDO (avec la participation active du

Cercle Algérianiste de Toulouse - Mme Ghislaine DELMOND)

Collectif des Familles de Disparus (5 juillet Oran)  Mme Viviane EZAGOURI

Collectif NON au 19 mars 1962 PACA  M. Hervé CUESTA

 

Contact : Marcel LIZON  06 79 81 69 12

                Lionel VIVES-DIAZ  05 62 62 18 98

 

Pour les associations désireuses de signer la lettre à la Présidence de la République, envoi sur demande à  pncollectif@laposte.net

 

Merci aux responsables d'associations de bien vouloir diffuser cet appel auprès de leurs adhérents.

 

Retour FAITS DIVERS.

 

23 février 2011

LETTRE OUVERTE DE ANNE CAZAL A PASCAL MATRAJI

La plaque au cimetière du Père Lachaise : "En hommage aux victimes de l’O.A.S" suite:

          La lettre d'Anne Cazal, vice-présidente de VERITAS, est un magnifique et implacable plaidoyer en faveur de la résistance des militaires français fidèles à la parole donnée et aux Français d'Algérie, de toutes confessions, qui se sont opposés à la politique d'abandon de notre ancienne province.

LETTRE OUVERTE RECOMMANDÉE

Fronton, le 18 février 2011

ANNE CAZAL Déléguée générale. A MONSIEUR PASCAL MATRAJI / Chef du Bureau Histoire et Mémoire / Direction des affaires culturelles de Paris 16 rue des Blancs Manteaux 75004 PARIS

Monsieur,
         Vous avez eu, hier, un long entretien téléphonique avec Mme Eliane Sallaberry, chancelière de l’armée française, aujourd’hui en retraite, au sujet de la décision, prise à l’unanimité par le Conseil Municipal de Paris, d’ériger une plaque au cimetière du Père Lachaise : "En hommage aux victimes de l’O.A.S., en Algérie et en France, civils, militaires, magistrats, fonctionnaires, élus, défenseurs des institutions et des valeurs de la République".


         Vous avez demandé à Mme Sallaberry de vous écrire ses motifs de désapprobation devant une telle initiative. Madame Sallaberry est aveugle, elle est donc dans l’impossibilité de le faire, mais elle m’a prié de rédiger, en son nom, ce qu’elle aurait voulu écrire. Mission difficile parce que je suis aussi concernée, en tant qu’acteur et témoin des événements que je vais vous exposer ici, sous la foi du serment, et mon émotion va peut-être transparaître dans la relation que je vais vous en faire. Veuillez m’en excuser.


         Oui, Monsieur, l’O.A.S., dans ses quelques mois d’existence, a manié une arme à double tranchant, frappant avec l’un et se blessant à l’autre… Mais alors, pourquoi un Maréchal de France, des Généraux français parmi les plus prestigieux et les plus décorés, de nombreux compagnons de la Résistance, le chef du premier Conseil de la Résistance, les patriotes les plus ardents se trouvaient-ils à la tête de ce mouvement de résistance française dans cette Algérie composée, alors, de départements français, depuis bien plus longtemps que Nice ou la Savoie ?


         N’était-ce pas, justement parce que les institutions et les valeurs de la République étaient mises à mal par un Chef d’Etat se comportant en dictateur, utilisant contre ses compatriotes des polices parallèles tirées de la pègre, créant des tribunaux d’exception illégaux, agissant hors des lois morales, hors des lois constitutionnelles, et hors des lois humaines ?


         Ainsi, tout un peuple, qui pendant sept années avait connu les affres du terrorisme FLN, aveugle, barbare, sanguinaire, un peuple qui, toutes ethnies confondues, avait été décimé dans les plus abominables des tortures, émasculations, éventrations, énucléations, démembrements, et j’en passe, perpétrés sur des êtres sans défense, dans les campagnes, attentats à l’explosif dans les villes responsables d’innombrables morts, de mutilations à vie, ce peuple là serait moralement condamné à vie pour avoir usé du seul droit qui lui restait, un droit fondamental et inaliénable, celui de la résistance à l’oppression ?…


         Alors, à ses côtés, naquit l’O.A.S, cette résistance du parti de la France en Algérie, mais si des hommes d’honneur ont sacrifié leurs carrières, leurs familles, leur avenir pour en prendre la tête, ils n’étaient pas seuls. Oui, l’O.A.S. était soutenue par la grande majorité des Français d’Algérie de toutes confessions, lesquels se trouvaient en état de légitime défense !

         Ces gens, pour lesquels l’amour de la France, chevillé au corps, était plus fort que tout, des petits travailleurs de Bab-el-Oued qui avaient toujours voté rouge aux hommes de droite, aux royalistes, et même à ces musulmans fiers d’être français qui souhaitaient le demeurer et qui avaient fait face, avec nous, au terrorisme FLN (220.000 supplétifs au moment de l’abandon que la France a désarmés et remis aux mains des égorgeurs), ces gens là ne faisaient pas de politique, mais ils luttaient, acculés au mur, pour leur survie…


         D’ailleurs, Monsieur, je ne serais probablement pas en mesure de vous écrire cette lettre si l’O.A.S. n’avait pas protégé ma vie, comme celles de mes semblables, si, jusqu’au dernier moment, jusqu’à l’embarquement au port d’Alger, les hommes de l’O.A.S. n’avaient veillé, avec une constance et une vigilance au-delà des mots, à la sécurité de ces malheureux Français d’Algérie que l’hôte de l’Elysée avait espéré voir disparaître dans l’immense cataclysme de l’abandon.

         Car, après que les insurgés de l’O.A.S., ces hommes d’honneur, d’abnégation et de courage, aient été totalement décimés par l’alliance des forces françaises au terrorisme FLN, on a vu, alors, des hordes qui, dans les aéroports ou dans les ports, arrachaient à leurs familles, manu militari, des jeunes femmes et des jeunes filles françaises pour les prostituer dans leurs camps… On a vu foisonner les enlèvements, les milliers et les milliers de disparus, on a vu les massacres d’Oran le 5 juillet et les jours suivants qui ont fait, Madame Sallaberry a du vous le dire, elle qui était à cette époque au Bureau des exactions, près de 4.000 morts ou disparus français innocents…


         Alors oui, l’O.A.S. a combattu les valets d’un pouvoir arbitraire, oui, ce combat a causé la mort de laquais inconditionnels et autres thuriféraires d’un pouvoir dictatorial, oui, malheureusement, comme dans tous combats, il y a eu quelques erreurs, oui la petite Delphine Renard a été blessée par quelques éclats de verre à la suite de l’explosion d’un engin devant la porte de Malraux… Savez combien de jeunes enfants, de bébés à la mamelle, ont été cloués vivants sur des portes lors des massacres de familles entières dans le bled algérien ? C’était un usage courant chez les barbares du FLN…

         Mais ces hommes d’honneur qui se sont rebellés par fidélité à une parole, donnée au nom de la France puis trahie, ont payé d’un lourd tribut le devoir sacré qui les a fait agir, celui de protéger des populations victimes d’une politique insensée les mettant en danger de mort. D’une part, nombre d’entre eux ont été pourchassés et tués dans une proportion cinq fois plus élevée que les victimes qu’ils avaient pu faire, quatre d’entre eux ont été condamnés à mort par des tribunaux d’exception, qui devaient, après leurs exécutions, être déclarés illégaux, et, d’autre part, les survivants ont été humiliés, molestés, emprisonnés pendant de longues années…

         Ces hommes ont bénéficié en juin 1968 d’une amnistie générale. Depuis cette date, que dit la loi à leur sujet ? « L’amnistie est l’acte qui stipule que les fautes passées devront être oubliées et qui interdit à quiconque de les évoquer sous peine de sanctions ». De plus, en 1982, un homme de gauche, mais aussi homme qui avait une conscience, fait rare de nos jours, M. François Mitterrand, alors Chef de l’Etat, a fait restituer à tous les combattants de l’Algérie française leurs grades et leurs décorations… Double amnistie, totale réhabilitation…

         Voilà, à peu près, ce que vous aurait écrit Mme Eliane Sallaberry si cela lui avait été possible, nous voulions seulement vous faire observer que ces hommes illustres ont été les seuls à nous défendre alors que nous déplorions des milliers et des milliers de morts et de martyrs. Il est juste qu’aujourd’hui nous portions témoignage de leurs sacrifices et de leur héroïsme, ne serait-ce qu’au nom d’une réconciliation nationale que nous appelons de nos vœux tandis que certains, qui se reconnaîtront, œuvrent sans relâche, au nom d’on ne sait quelle rancœur ou idéologie, en faveur de la haine de l’autre...

         Vouloir ériger des stèles à la mémoire des victimes de l’O.A.S. et, dans le même temps vouloir détruire les stèles à la mémoire de ceux qui sont morts pour que vive l’Algérie française, est une offense à la raison qui prolifère, aujourd’hui, chez certains idéologues et politiciens, comme a proliféré, à la basse époque du Moyen-âge, la chasse aux sorcières…
Espérant avoir été comprises,

Nous vous prions de croire, Monsieur, à l’expression de nos sentiments déférents.

Anne CAZAL / Eliane Sallaberry

Retour FAITS DIVERS. 

Aspects véritables de la rébellion algérienne.

http://mauvaisegraine.rmc.fr/r5779/Terrorisme-FLN/2/

http://www.algerie-francaise.org/documents/plainte3.shtml

http://www.priceminister.com/offer/buy/47806594/Collectif-Aspects-Veritables-De-La-Rebellion-Algerienne-Livre.html

19 février 2011

ESCROQUERIES, ARROGANCE ET SARCASMES

De gardiens de chèvres

HERISSON__toile  3

         On ne peut pas tout savoir, l’important c’est de savoir chercher (d’après Samuel Johnson)

         Savez-vous que nous, Français, donnons plus de 400 euros par  foyer fiscal pour venir en aide à des pays soi-disant  sous-développés ?

         La Banque mondiale  a investi des millions de dollars au Congo, au Nigeria, en Angola, au Cameroun et dans d’autres pays d’Afrique.

         Pourquoi et surtout pour qui ?  Pour la corruption organisée bien sûr ! Pour leurs dirigeants, lesquels viennent se pavaner en limousine de classe, dans les palaces européens pour profiter des bienfaits de la finance mondiale, en fermant les yeux sur le pouvoir d’achat de leurs sujets qui vivent avec moins d’un euro par jour et souffrent de malnutrition.

         Ceux qui hurlent que ces pays sont sous classés, devraient savoir (mais ils le savent bien ces …humanistes) que ces pays-là absorbent la moitié de l’aide accordée par la banque Mondiale aux pays, soi- disant pauvres, mais pas pour les malheureux, mais pour leurs présidents.

         Pendant ce temps, nous Rapatriés de force et Créanciers d’État, malgré les soi-disant accords d’Evian, sous serrons les dents depuis bientôt un demi siecle et avons la sueur au front, à chaque fois que le facteur sonne à notre porte pour nous remettre des « recommandés » provenant d’officines peu « recommandables » nous réclamant des indus, la plupart du temps prescrits ou rachetés à vil prix à nos créanciers

         Etant moi- même victime de harcèlements abusifs, j’ai décidé de faire une petite enquête en  puisant largement dans les informations qui pullulent sur la toile et apprendre à me défendre contre les vilenies dont une majorité d’entre nous sommes victimes journellement et par contre coup, en faire profiter ceux qui hélas, sont dans mon cas.

         Ces organismes de recouvrement y vont au bluff et nous harcèlent téléphoniquement, et cela que nous soyons sur liste rouge ou blanche ou par écrits péremptoires et menaçants.

         Sachez que le recouvrement public, ne se fait qu’en fonction d'une décision  de justice.

        Seul ce cas de figure permet à un huissier  d'engager une exécution forcée.

         Mais nous aussi, avons maintenant la liste rouge de ces escrocs: en voici quelques uns figurant sur Google (Rubrique "escroqueries par organismes de recouvrement douteux"

         Vous serez surpris de retrouver les noms qui circulent, noms parmi les plus notoires. En voici quelques uns dans le désordre figurant sur le who's who: entre autres (Je cite les Hoist, Effico, Soreco, Paypal, CFR, Coriolis, NCO Europe, Credirec, Intrum Justicia ...Etc.

         Comment utilisent-ils leur abus de pouvoir et comment agissent ces  malfaiteurs ?


         Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées, à la demande d'un créancier, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, etc.


         Ce type d'intervention  ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur.


         Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui.

         Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.


         Commencez par vous assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le seul créancier la décision de justice ou un aménagement de remboursement de créance.  Les pratiques de ces officines consistent en harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes. Que faire alors ?  RIEN, seul un juge peut rendre une décision exécutoire.

         A la limite si la somme due  est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à la justice légale, pas à ces voyous.

         Mettez  fin au harcèlement en les menaçant de les mettre en demeure (par courrier avec AR)  créancier  et organe de recouvrement  d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :

                  - Abus de droit : article 1382 du code civil ;
                  - Atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison.

         Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :
                  - l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
                  - la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.

         Les sommes réclamées sont à régler au seul créancier, et pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.


         Depuis plus de trente ans, les huissiers sont sortis de leur mission publique et se sont massivement reconvertis dans la lucrative activité du recouvrement privé, laquelle leur rapporte maintenant plus de la moitié de leurs revenus.


         Cette pratique est sanctionnée par l'article 433-13 du code pénal, qui punit  d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
                  1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
                  2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
Cet article 433-13 du code pénal, permet au consommateur victime de ces moins que rien, de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.

         Si vous êtes harcelés plus d'une fois, essayez d'enregistrer leurs propos, demandez leur de vous écrire en joignant un document juridique émanant d'une juridiction et menacez les de déposer plainte contre eux et vous verrez leurs harcèlements cesser comme par enchantement.

         Abordons un autre sujet qui nous humilie et nous ridiculise à la face de l’Europe par le gardien de chèvres libyen Mouammar Kadhafi,  en visite officielle à Rome (la 4° en moins d’un an), sous le regard attendri et larmoyant de Berlusconi.

         Ne voilà-t-il qu’il se livre sur un ton doctoral et ironique à  un cours d’islam devant une assistance de call-girls recrutées par une agence spécialisée et rémunérées 80 euros +  une copie du coran.

         Il affirme en outre que cette religion devait devenir celle «de toute l'Europe». Trois d’entre ces filles se sont converties à l’islam, lors de cette cérémonie.

         Cette provocation de cette tête de nœud a quand même suscité quelque colère en Italie et « La Stampa » a assuré que les échanges commerciaux entre l’Italie et la Libye ne justifiaient pas des attitudes de clowns de bas étage.

         Berlusconi au cours de cette visite a offert à Kadhafi, le repas de fin de jeûne du ramadan, en présence de 800 invités.

         Pour mettre fin au contentieux colonial ils ont signé un traité qui prévoit notamment des investissements italiens de 5 milliards d'euros en compensation de la dite période dont la construction, pour environ 3 milliards d'euros, d'une autoroute littorale de 1 700 km en Libye.

         Messieurs les Kadhafi et autres leaders intégristes, vous avez du souci à vous faire et en attendant vous pouvez toujours aller téter vos chèvres et tondre vos moutons, avant que l’islam devienne notre religion en Europe ou dans le monde et quelque chose commence à sourdre dans les pays qui vous ont ouvert à tort leurs portes. Ils apprennent à les fermer et à vous renvoyer la racaille qui pourrit notre art de vivre et de penser.

         Nous portons dans notre cœur cinq grands ennemis de la paix : l’avarice, l’ambition, l’envie, la colère et l’orgueil. Si nous pouvions les bannir nous obtiendrions à coup  sur, une paix éternelle. (Pétrarque)

LE HERISSON  vous salue bien.

TOUJOURS A VOTRE SERVICE LE HERISSON

Retour coups de cœur.

19 février 2011

U.S.D.I.F.R.A. COMMUNIQUE

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Spoliés en 1962  Union Syndicale de Défense Toujours spoliés en 2010

des Intérêts des Français Repliés d'Algérie

Populations déplacées contre leur gré

Association loi 1901 – J.O. n° 6894 du 3 août 1965 – SIRET 424 348 514 00011

U.S.D.I.F.R.A.

Membre fondateur et animateur du C.N.S.R. (Conseil National Supérieur des Rapatriés)

Membre du Comité de Liaison des Associations Nationales de Rapatriés

*********************************

Le Président Les Renaudes 83210 SOLLIES-PONT Tél.: 04 94 33 68 38 Fax : 04 94 33 35 25 Port : 06.09.78.58.92 www.pied-noir.eu gabriel.mene@wanadoo.fr

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20 février 2011

Indemnisation, toit familiale, engagements non tenus...

L’USDIFRA MOBILISE !

Interpelle le Chef de l’Etat, le Premier et les députés de la majorité UMP ministre qui n’ont pas tenu leurs engagement

GRANDE REUNION A NIMES COURBESSAC

Le Samedi 26 février 2011 à 10 heures

Contact : Gabriel MENE – tel :04 94 33 68 38

VENEZ NOMBREUX !

Renseignements et Inscription : Site www.pied-noir.eu

RAPPEL

Solliès-Pont, le 4 mai 2010

Cher Président, Cher Compatriote, Cher Ami,

Je me permets de vous rappeler la réunion qui doit avoir lieu au sanctuaire de Santa Cruz, à Nîmes le samedi 26 février à 10H00 qui sera suivie d’un déjeuner sur place.

Cette réunion, vous vous en doutez sera extrêmement importante et de nombreuses associations m’ont déjà informé de leur présence.

La campagne électorale de 2012 est déjà lancée.

Quelques projets commencent à voir le jour pour la commémoration du cinquantenaire de notre exode.

Notre communauté doit apparaître unie et déterminée pour ces deux événements.

Je me permets de vous rappeler également qu’afin d’organiser au mieux la réunion, il serait souhaitable que vous informiez le bureau de l’USDIFRA de votre participation.

Je vous adresse, cher Président, cher Compatriote et cher Ami, l’expression de mes salutations les plus amicales.

Gabriel Mène

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11 novembre 2010

Solliès-Pont

COMMUNIQUE DE PRESSE

         L’année 2012 marquera l’anniversaire de l’exode des français d’Algérie. De mars 1962 à Août 1962 environ un million de personnes de tous âges et de toutes religions ont du quitter leur terre natale sans espoir de retour ainsi que leurs maisons, leurs meubles, leurs amis, leurs moyens d’existence et leur travail, leurs souvenirs et leurs cimetières et parfois jusqu’aux membres de leurs familles.

         Ce départ d’Algérie s’est fait dans des conditions d’insécurité maximum et l’arrivée en France métropolitaine de ces ressortissants français n’a été ni prévu ni facilité. Plusieurs mois après, ceux qu’on a commencé alors à appeler « rapatriés » vivaient encore dans des logis de fortune, sans aide, sans argent, sans travail et dans des logements insalubres ou sous la tente.

         L’USDIFRA a décidé de commémorer ce terrible exode en louant un bateau similaire à ceux utilisés à l’époque qui refera symboliquement le voyage entre l’Afrique du Nord et le Languedoc et la Provence.

         Les participants à ce voyage symbolique pourront assister sur le bateau à des conférences sur certains aspects historiques et culturels de l’Algérie du temps de la France et à l’arrivée de ce bateau sur le sol métropolitain, des scènes seront jouées pour remémorer ce débarquement de misère et de tragédie.

         Les représentants de la presse nationale et internationale seront invités à faire partie de ce voyage commémoratif.

         L’USDIFRA entend que cet événement s’inscrive dans le cadre de l’Union des associations et amicales représentant dans sa diversité le monde rapatrié, ceci suite à l’appel de Nîmes du 24 avril 2010 ; elle propose à toutes les associations sans exclusive d’y participer.

         L’USDIFRA a été créée en  août 1965  quand de nombreux rapatriés d’Algérie ont connu de grosses difficultés morales et matérielles de réinstallation après leur exode forcé.

Depuis sa création, elle s’est fixée  pour mission de défendre essentiellement leurs intérêts matériels, ce qui a permis d’atténuer certaines difficultés matérielles et morales de réinstallation qu’ils rencontraient. Cette action concernant la réinstallation est toujours en cours aujourd’hui.

         L’USDIFRA a aussi été à l’origine de l’action judiciaire collective devant la commission internationale des Droits de l’Homme de l’ONU.

         « les rapatriés se préparent à se souvenir des conditions de leur exode par la reconstitution en 2012 d’un voyage en bateau entre l’Afrique du nord et la Provence et le Languedoc similaire à ce qu’il a pu être en 1962 »

         Pour toute information : Contacter : 04.94.33.68.38

Gabriel Mène

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29 octobre 2010

Chers amis Le numéro 44 de votre bulletin Parlons Vrai est sur le site www.pied-noir.eu  Amitiés

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19 octobre 2010

Solliès-Pont

COMMUNIQUE DE PRESSE



                   L’USDIFRA vient d’être informée de l’organisation du colloque « vers la paix des mémoires » avec le soutien annoncé de la Maison des Agriculteurs Français d’Algérie.

                   Les organisateurs de ce colloque estiment qu’avec la proximité du cinquantième anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie est venu le temps de travailler à la Paix des mémoires et de bâtir avec l’Algérie un dialogue libéré de polémiques et de surenchères.

                   L’USDIFRA estime nécessaire de rappeler que la communauté des Français d’Algérie a souffert et continue de souffrir de dommages moraux et matériels considérables dont sont responsables les deux états et qui n’ont été à ce jour ni reconnus ni indemnisés.
Le temps passé depuis l’exode des Français d’Algérie, loin d’avoir guéri les blessures, n’a fait qu’exacerber le sentiment d’injustice ressenti par notre communauté qui est toujours dans l’attente des mesures réparatrices.

                   La position de l’USDIFRA est que tout apaisement des mémoires ne pourra être fondé que sur la reconnaissance du passé dans son intégralité et la réparation des dommages et en aucun cas sur l’oubli.

                   Nul ne peut souhaiter la paix des mémoires et une réconciliation avec l’Algérie plus que les Français repliés d’Algérie et leurs familles, qui ont, tout comme l’ont fait leurs parents, aimé ce pays avec passion.
Lorsque la paix des mémoires sera envisageable, les Français repliés ou rapatriés d’Afrique du Nord seront, tout naturellement, un trait d’union dans la relation entre les pays des deux rives de la méditerranée.

                   Le 24 avril 2010 , une trentaine d’associations et d’amicales de Français repliés ou rapatriés d’Afrique du Nord ainsi que l’USDIFRA a lancé l’appel de Nîmes, appel à toutes les associations, syndicats, regroupements, mouvements, cercles et amicales de rapatriés et repliés en vue de mettre en commun leurs actions à l’avenir afin de renforcer la défense des intérêts moraux et matériels des Français d’Afrique du Nord ainsi que le souvenir de l’œuvre accomplie par cette communauté en Afrique du Nord. Le 6 novembre, doit avoir lieu une réunion de l’Union mettant en place les structures de cette Union. Sur l’ordre du jour figurera tout naturellement le thème de la paix des mémoires.

                   L’USDIFRA a été créée en août 1965 quand de nombreux rapatriés d’Algérie ont connu de grosses difficultés morales et matérielles de réinstallation après leur exode forcé.
                   Depuis sa création, elle s’est fixée pour mission de défendre essentiellement leurs intérêts matériels, ce qui a permis d’atténuer certaines difficultés matérielles et morales de réinstallation qu’ils rencontraient. Cette action concernant la réinstallation est toujours en cours aujourd’hui.

                   L’USDIFRA a aussi été à l’origine de l’action judiciaire collective devant la commission internationale des Droits de l’Homme de l’ONU.

Contact : 0494 336 838 Gabriel Mène

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30 août 2010

Solliès-Pont

COMMUNIQUE DE PRESSE

Une rapatriée d’Algérie, spoliée de tous ses biens en 1962 pour raison d’état sans être justement indemnisée est menacée de voir sa maison vendue aux enchères au Tribunal de Grande Instance de Toulon le 9 septembre à 15H00 heures.

Alors qu’elle devrait bénéficier de la protection de son toit familial, comme s’y était engagé le gouvernement en 2007, cette rapatriée, âgée de 93 ans, cardiaque risque de voir les efforts de toute une vie réduits en fumée.

« Ceci montre les insuffisances des textes existants, maintes et maintes fois montrées du doigt, déclare M. Gabriel Mène, Président de l’USDIFRA, il est symptomatique que cela se passe à Toulon, ville de M. Hubert FALCO, Secrétaire d’état en charge des rapatriés. Comment ne pas voir là l’insupportable indifférence des pouvoirs publics à l’égard de la communauté des rapatriés qu’ils soient d’Algérie, de Tunisie ou du Maroc. Ceci montre enfin l’échec de la MIR (Mission Interministérielle aux rapatriés) dont le rôle est justement d’éviter ces drames. L’USDIFRA, comme elle l’a fait dans le passé, se battra jusqu’à la dernière seconde pour éviter à cette rapatriée âgée et cardiaque un dénouement tragique. Nous nous trouvons aussi dans l’obligation de dénoncer les insuffisances des politiques suivies à l’égard de notre communauté et demandons que l’on cesse de considérer la communauté des français repliés d’Algérie ou rapatriés du Maroc et de Tunisie comme du bétail électoral que l’on abreuve de promesses avant les élections, pour les abandonner à leur sort tragique immédiatement après. »

L’USDIFRA a été créée en  août 1965  quand de nombreux rapatriés d’Algérie ont connu de grosses difficultés morales et matérielles de réinstallation après leur exode forcé.

Depuis sa création, elle s’est fixée  pour mission de défendre essentiellement leurs intérêts matériels, ce qui a permis d’atténuer certaines difficultés matérielles et morales de réinstallation qu’ils rencontraient. Cette action concernant la réinstallation est toujours en cours aujourd’hui.

L’USDIFRA a aussi été à l’origine de l’action judiciaire collective devant la commission internationale des Droits de l’Homme de l’ONU.

Contact : 04 94 33 68 38

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15 janvier 2010

Solliès-Pont

Chers compatriotes et amis,

         En ce début d'année 2010 je voudrais tout d'abord vous adresser mes meilleurs voeux mais aussi tenter, une fois encore, et sans aucun intérêt personnel, de mettre en place une Union pour agir de façon ordonnée à l'approche d'un rendez-vous électoral important.

         Notre temps est aujourd'hui compté et nous ne pouvons plus continuer à entretenir, entre frères d'un même pays qui nous a vu naître, cette malédiction que nous traînons depuis 48 ans, à savoir « LA DIVISION ».

         Certes il y a eu beaucoup de tensions et de querelles entre nous et si nous avions eu la sagesse, à chaque fois de nous expliquer, nous nous serions rendu compte que rien ne motivait de tels comportements. Nous avons aussi dû faire face à des intérêts partisans et politiques, à des ambitions, des désirs de mieux faire, c'est-à-dire à tous les ingrédients à même de nous conduire à nous affronter verbalement avec agressivité et intolérance.

Durant toutes ces années nombre d'entre nous ont rejoint leurs ancêtres. D'autres, atteints dans leur chair, se sont découragés et ont envisagé de tout abandonner.

         Et pendant tout ce temps nos compatriotes ont attendu un sursaut de conscience de la part de leurs représentants espérant toujours voir se réaliser cette union tant désirée.

         Sommes-nous capables de faire taire, en ce début d'année 2010, tout ce qui nous a jusqu'à présent divisé et de privilégier tout ce qui peut nous rapprocher ?

         Les souffrances endurées consécutives à notre déracinement, notre identité, notre histoire, nos intérêts matériels et moraux, c’est tout cela entre autres qui doit nous unir, tout en préservant la personnalité de chacun, dans le respect de son combat, hors de tout clivage politique qui ne peut qu'aggraver notre division.

         Il faut tout simplement constituer une force cohérente et puissante. D'autres communautés l'ont fait et ont démontré qu'elles obtenaient des résultats.

Serions-nous les seuls à ne pas réussir ce que d'autres ont réussi ? Pour moi notre devise doit être simple : « tous ensemble nous somme un ». C’est de notre Unité que naîtra notre victoire.

         Nous devons montrer que le problème rapatrié n'est toujours pas réglé près de 48 ans après, que ce soit sur le plan matériel ou moral.

         Nous devons réagir de façon concertée plutôt que de partir individuellement, dans le plus grand désordre, comme nous l'avons fait jusqu'à présent.

         Je pense que cela est encore possible à réaliser, non pas en créant une énième organisation, association ou fédération, mais en nous unissant TOUS, en constituant une force qui, à l’avenir, pourra, seule, intéresser nos jeunes générations. Elles pourront alors être fières du parcours unitaire de leurs parents et grands-parents.

Cela devra se faire dans le plus grand respect de la spécificité de chacun. Mais il faudra également que chacun soutienne les revendications de l'autre.

Notre parole aura également plus de poids devant les pouvoirs publics. Je pense que c'est à ce prix que nous pourrons nous faire respecter et retrouver notre dignité perdue suite aux nombreuses injustices subies.

         Comme toujours, il y aura des défaitistes et des enthousiastes, mais je vous demande à tous de tenter, une fois encore, ce que nous n'avons jamais réussi à faire, jusqu’à ce jour.

         Si cette union pouvait se réaliser il faudrait la consolider en la poursuivant dans la commémoration,, en 2012 du cinquantenaire de notre exode en nous mettant d'accord sur une manifestation unique dans une ville à définir ou sur plusieurs manifestations chacune avec ses particularités, dans des villes différentes.

         À noter également qu'en 2012 se dérouleront les élections présidentielles.

         Je vous demande d'y réfléchir et de me donner votre avis. Nous pourrions ensuite convenir de deux ou trois rendez-vous pour élaborer un plan de travail pouvant aboutir à une réunion où la fraternité l’emportera sur tout le reste.

         Merci de m'avoir lu. Merci de me donner vos avis. Merci de tenter, une fois encore et tous ensembles, de réaliser ce travail de construction d'une union Pied-noire.

         En vous renouvelant mes meilleurs voeux à l'occasion de cette nouvelle année qui, je l’espère, sera celle de la concrétisation de cette union sacrée, je vous prie de bien vouloir agréer, chers compatriotes et amis, l'expression de mes salutations les plus amicales.

Gabriel Mène

Le Président Les Renaudes  83210 SOLLIES-PONT

Tél.: 04 94 33 68 38 Fax : 04 94 33 35 25 Port : 06.09.78.58.92

gabriel.mene@wanadoo.fr

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18 février 2011

IN MEMORIAM

17 février 2011

FRENCH LATINO

Gavino Jean-Paul et Michelle

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         Pour écouter, vibrer, danser au travers de musiques où le rythme est roi et dot les mélodies vous restent dans la tête bien après la fin du tour de chant, c'est cela l'expérience "French Latino"

Un père et sa fille

         Complices et complémentaires, Jean Paul Gavino et sa fille Michelle accompagnés des musiciens du groupe nous font partager une intimité artistique à la fois sensible et très riche. Les sentiments sont omniprésents et aide à sublimer les bonheurs ou les douleurs vécus pour apporter au public une émotion musicale qu'il n'a certainement plus connu depuis longtemps. "French Latino" une expérience immersive. Pour partager encore plus le spectacle avec son public, "French Latino" propose des représentations sous forme de dîners ou déjeuners-spectacles où il vous est possible de vibrer au son du groupe en partageant une généreuse "Paella" accompagnée de "Sangria" ou pour les moins gourmands autour d'une coupe de "Champagne".

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Infos/Réservations sur : www.frenchlatino.com

Contact téléphonique: 04 72 53 89 89

Contact mail: contact@frenchlatino.com

Retour nos artistes

15 février 2011

COUP D'OEIL SUR L'ACTUALITE

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Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme 

"Tout individu (...même un petit mammifère) a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps ; vous pouvez même tromper quelques personnes tout le temps ; mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.
Abraham LINCOLN 

          

Source:Wikipédia

Rappel: Le 6 Mai 2007, le résultat des présidentielles donnait ce qui suit:

* M.  Nicolas  SARKOZY: 18 983 138 voix soit 53.06%

* Mme  Ségolène  ROYAL: 16 790 440 voix soit 46.94%

Donc une différence de 2 192 598 voix soit 6.12%

         Ayons le courage de nous avouer que par l'apport de nos voix qui représente à peu de chose prés cette différence, nous avons pesé inconsciemment sur ce résultat par notre vote massif, séduits que nous avions été par les promesses mirifiques et fallacieuses diaboliquement préméditées du lauréat. Mais chats échaudés craignant l'eau froide, on ne nous y reprendra plus. Juré et promis à l'orientale avec l'index posé verticalement sur nos lèvres et après un  baiser sur ce doigt, envoyé vers son cœur. Revenons à l'actualité de ces jours derniers riches en évènements. Que ne voyons-nous pas et entendons sur nos chaînes nationales, sur nos journaux, dans la rue et sur le web?

         Le 10.02.11 écoulé, à l'initiative de TF1 et à  une heure de grande écoute, nous avons eu droit aux explications dodelinantes de notre Président du moment (vous savez, celui que nous avons aidé sur la foi de ses promesses aguichantes à l'adresse de notre communauté, à arriver à la fonction qu'est la sienne)  s’efforçant  de répondre à un panel de Français triés sur le volet et représentatifs, soi-disant,   des inquiétudes des Français

         Mais à ce volet, il manquait une lamelle et quelle lamelle : notre communauté. Au gré des tendances politiques idéologiquement gaulliennes, lesquelles s'inspirant de leur maître à penser qui d'outre tombe, les dirigent encore, nous gouvernent depuis 49 ans et pour eux nous ne sommes que quantité négligeable. Quelle grossière erreur  politico-stratégique,  ils commettent. Cette quantité négligeable se rappellera à leur bon souvenir lors des prochains scrutins qui se profilent  à l'horizon des mois qui viennent et plus particulièrement en 2012.

         Ce gouvernement avant de vouloir donner des leçons de démocratie à la planète entière, devrait porter un regard périphérique sur  son entourage immédiat et se pencher d'avantage sur les différentes catégories nationales qui le constituent et dont nous en sommes l'une des composantes (et non des moindres).

         Hé oui ! Nous faisons partie de celles qui portent depuis toujours et encore  un amour inconsidéré à leur pays, la France, avec  notre passion du bleu, du blanc, du rouge, du noir de nos pieds et de notre Marseillaise.

         Cette catégorie, malgré cet ostracisme visible à son égard, se caractérise par son courage, ses claouis bien pendus, sa volonté, son sens de l'honneur et sa détermination à aller le plus loin possible pour que raison lui soit rendue. Et cela, voyez-vous, ce n'est pas de la tchatche (comme pensent avec condescendance quelques-uns des « pisse-vinaigre » qui nous entourent.

 

     Il est vrai qu'à notre époque ces sentiments (aux yeux de ces bobos) sont considérés comme ringards,  désuets et ou dépassés. Mais à ceux-là, nous leur disons haut et fort et à la Française, le fameux mot de cinq lettres de Cambronne.

         Alors comme ce gouvernement a beaucoup à apprendre sur nous et ne fait rien pour cela, dés le lendemain de ces scrutins, nous lui ferons un « Présentez armes sans fusil » à la manière traditionnelle qu'est la notre (et que tous les pieds-noirs connaissent) laquelle consiste à claquer notre bras gauche sur l'angle intérieur formé par notre  bras droit replié avec le poing fermé dans leur direction.

         Nous en aurions pourtant des revendications justifiées et des vérités dérangeantes à mettre sur le tapis. Mais autant prêcher dans le désert. Mais le moment venu, ces loups vicieux, pas faméliques car bien nourris, et bien nantis dans des paradis fiscaux, auront beau revêtir la houppelande du berger pour mieux nous leurrer, ils ne tromperont jamais plus personne et surtout plus nous..

         Nous espérons que dans la confidence des isoloirs et des urnes, nous Français de là-bas et d'ici, donnerons la réponse qui convient à ces gens de peu pour leurs attitudes mensongères  et leur manquement à la parole donnée la main sur le cœur. " Aller au bout de soi-même, c'est toujours ce que j'ai voulu " (disait Nicolas Sarkozy, dans son livre "Témoignage"). Il est vrai que du haut de ses 1,70m  il lui faudrait un escabeau pour arriver à aller au bout de soi-même.

          Une fois de plus et pour conclure, réalisons que nous Rapatriés d'Algérie, ne sommes ni de prés ni de loin,des Français comme certains autres (heureusement) et comme nous l'aurions souhaité et que nous ne pouvons compter que sur NOUS.

         De ce qui précède, sachez que je m’efforce simplement de coller au plus possible à l'actualité. Ne nous attardons pas d'avantage sur des sujets qui dérangent et essuyons plutôt nos pieds « noirs » sur la carpette et occupons-nous d'autres problèmes qui ont toute leur place dans cette modeste rubrique.

         Le Parisien nous informe qu'à Audincourt (petite ville du Doubs)nous assistons à des bastons géantes entre bandes rivales, qui s'affrontent, en de véritables scènes de combat de rue, avec les pillages et incendies qui en découlent.

          Que des rixes entre bandes ont eu lieu devant un lycée de Thiais et que des coups de feu ont été tirés lors d'un affrontement entre elles, sans doute pour des rivalités de territoire.

         Mais, nom de Dieu, une solution s'impose à l'évidence: Faites donner la Légion étrangère d'Aubagne, et vous verrez les résultats. Je parle de ce que je sais pour avoir vu à l’œuvre, ces « durs de durs » lors de manifestations anti- France à l'époque du 19 Mars 1962, en Algérie.

         Mais aussi que fait ce gouvernement face au manque d’effectif criant  dans ce noble et grand métier de la magistrature (huissiers, greffiers, juges d'application des peines et autres fonctions rattachées) qui mérite notre plus profond respect ?

         Commencez par leur donner les moyens de prononcer des sentences qui ne troublent que  les mauvaises consciences, les MRAP, SOS racisme et autres organisations affiliées.

         Pour conclure et sans vouloir passer du coq à l’âne, il me vient en tête une chanson de 1955 de Pierre Dudan (Mélancolie), lequel était comme nous un rapatrié ….de Russie, et ce magnifique poème.

          En voici pour vous un extrait et ce sera ma conclusion pour cette fois:

Mélancolie un jour s'achève
Mélancolie on n'y peut rien
Chaque jour dans la fumée et dans l'alcool, on noie ses rêves
Seul jusqu'au matin
Et chaque nuit, ça recommence
Pour torturer le cœur trop lourd
Le cafard dans la fumée et dans l'alcool, mène la danse
Jusqu'au jour
Demain, y aura de l'amour et de la lumière
Peut-être bien, ça m'est égal
Barman, jusqu'au matin, remplis mon verre
Je veux rêver que j'ai moins mal
Mélancolie... tu nous enchaînes
Plus fortement qu'un grand amour
Un beau soir dans la fumée et dans l'alcool, on noie ses peines
Pour toujours.


Hier n'est plus, demain n'est pas encore. Nous n'avons qu'aujourd'hui. Commençons. (Mère Theresa) 

Piednoirement mais Tricolorement votre !

LE HERISSON  vous salue bien.

TOUJOURS A VOTRE SERVICE LE HERISSON

Retour coups de cœur.

14 février 2011

LA VERITE HISTORIQUE SUR LE 19 MARS 1962

         Il serait important de relayer ce document  transmis par LE RNFAA à tous ceux qui ne connaissent pas notre Histoire et surtout à tous ceux qui, à l'appel de la FNACA, célèbrent le 19 mars, jour de défaite pour la France mais victoire du FLN en Algérie.

         Michel Henri DELENCLOS, en chercheur en histoire averti et honnête, rétablit la Vérité Historique sur le 19 mars 1962, aujourd’hui encore, tenue secrète par les gouvernants politiques qui se sont succédés depuis cette date.

         C’est, au terme de longues recherches dans les archives de cette époque, que Michel Henri DELENCLOS relate, dans ce document historique, les évènements qui se sont déroulés à partir du 19 mars 1962, dans l’Algérie Française et du refus catégorique de l’Algérie algérienne de coopérer dans la recherche des disparus Français.

         Devant la volonté affichée des Pouvoirs publics à taire la vérité sur les enlèvements des militaires et des civils qui se sont produits avant et après ce 19 mars 1962, Michel Henri DELENCLOS, rappelle la longue liste des militaires disparus dans ces départements de France, entre 1954 et jusqu’ après l’indépendance de l’Algérie, dont on n’a toujours pas de nouvelles.

         A l’heure où l’Etat Français envisage de célébrer le cinquantième anniversaire des accords d’Evian et, où la Fnaca affiche son désir de renouer le dialogue avec les anciens combattants algériens, anciens fellagas ennemis de l’armée française, il est d’une importance capitale de rétablir la Vérité occultée par cette seule fédération d’anciens combattants qui appelle, comme chaque année, ses adhérents à se rassembler devant les Monuments aux Morts, pour glorifier ce jour qu’elle considère comme "la fin de la guerre d’Algérie".

 

 

FRANCOIS MITTERRAND ET LA DATE DU 19 MARS 1962.

19 MARS 2016 - ROGER HOLEINDRE A FRANCOIS HOLLANDE Lettre ouverte

19 MARS 2016 PREMIERE COMMEMORATION D'UN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE

Michel Delenclos

LES BOBARDS DE SANG ET DE LARMES

Un document historique que doivent connaître tous les élus du peuple français qui se commettent, par leur présence, lors des manifestations de la Fnaca.

UN CLIC POUR LIRE LE DOCUMENT DE 80 PAGES

José Castano

19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU OU LA VICTOIRE DU FLN. 

 19 MARS… LA COMMÉMORATION DE LA HONTE 

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     NOTRE COMBAT POUR LA VERITE ET CONTRE LA FALSIFICATION DE NOTRE HISTOIRE  du CLAN-R

LETTRE OUVERTE DU RNFAA AUX ADHERENTS DE LA FNACA COMMEMORANT LE 19 Mars 1962

"Jean-Paul RUIZ"  19 MARS 1962 : DATE MAUDITE

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5 février 2011

BOU-TLELIS

Bou-Tellis du nom du marabout  "le père au sac" laissa son nom dans la région et l'orthographe du vocable devint : Bou-Tlélis.

        Autour du marabout de Bou-Tlélis, le sol était couvert de palmiers nains, une nappe d'eau entretenait le sous-sol en état permanent de fraîcheur offrait la possibilité d'installation d'un village. L'autorité militaire hésita sur le choix de son emplacement. La salubrité était compromise par les fièvres paludéennes et la dysenterie à cause du voisinage du lac salé de la Grande Sekba d'Oran et des marais entourant les sources de Brédéa.

        Un camp, protégé par une redoute et commandé par un lieutenant, est installé en ce dernier point, en 1840, comme gîte d'étape de la route d'Oran à Tlemcen, puis déplacé vers l'ouest pour fuir les marais.

        Le 1er septembre 1847, un décret royal fait de Bou-Tlélis un centre de population annexe militaire de Misserghin, le décret de 1848 en fait une colonie agricole et le décret du 5 avril 1855 un Centre de colonisation.

Situation

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Bou_tl_lis_l__glise

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Les descendants des premiers colons Alsaciens de Bou-Tlélis

La_Poste

Le_caf_

L_hotel_des_voyageur

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