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22 août 2011

ET ILS PARTIRENT VERS LA TERRE PROMISE

« Quel enthousiasme enfin, mêlé de fierté, devant un bilan de réussites brillantes dans tous les domaines, culturel, scientifique, journalistique, politique, économique ! ... Comment ne pas voir dans ces réussites une manifestation des traits propres aux hommes et aux femmes originaires de ces pays: une joie de vivre associée à une grande chaleur humaine, une résistance devant l'épreuve et une remarquable capacité à rebondir, une générosité naturelle, une grande ouverture aux autres cultures ? Comment ne pas y voir aussi une preuve de la qualité de l'enseignement qui a été dispensé par la France dans ces pays avant leur indépendance, l'enseignement de la République ? »

(Préface du Professeur Claude Cohen-Tanoudji, Prix Nobel de Physique pour l’ouvrage de René Mayer : « Français d’Afrique du Nord, ce qu’ils sont devenus »)

« L’exploration scientifique de l’Algérie, sera l’un des titres de gloire de la France au XIXe et au XXe siècle »(Renan)


            Lorsque, en 1830, la France aborda les côtes algériennes, les autochtones en étaient à s’ignorer ou à se combattre entre eux et représentaient alors ce qu’on a appelé : « une poussière de tribus ».

L’Algérie n’était à cette époque pas un territoire indépendant mais une possession turque ; l’occupation par la France n’eut donc pour résultat que de substituer à une occupation étrangère celle d’un autre pays.

Cette Algérie-là ne constituait pas un Etat, encore moins une nation. Elle fit toujours  partie d’un empire dont elle était une province ; comme elle allait devenir colonie française, elle fut province de l’empire musulman, de l’empire byzantin, de l’empire romain… Elle n’avait pas de frontières. Elle constituait une mosaïque de tribus qu’aucun lien, sauf le religieux, n’unissait entre elles, encore que d’une façon très fragmentaire.

En 1848, après les sanglantes journées de juin, le gouvernement français choisit de faire de l’Algérie un lieu de déportations et c’est pour éviter une nouvelle révolution que, le 19 septembre 1848, l’assemblée nationale vota 50 millions pour la création en Algérie de 42 « colonies de peuplement » ou « centres agricoles » pour établir 13500 « colons » français dans le but « d’occuper » ces Parisiens jeûneurs malgré eux et qu’on devinait prêts à se faire turbulents.

Les premiers déportés furent les « communalistes » qui devaient être rejoints en 1852 par ceux qui avaient osé répondre « NON » au plébiscite. Que savaient les uns et les autres de l’Afrique ? Pas grand-chose… si ce n’était que le pays était chaud, où les soldats enjuponnés de rouge qu’on appelait zouaves se battaient six jours sur sept contre les « Mahoms » dont le péché mignon était de couper la  tête aux chrétiens et que certains civils, dont on avait dit qu’ils étaient allés chercher fortune par là-bas, n’étaient plus reparu.

Ils retrouvèrent sur place ceux qui, depuis une dizaine d’années déjà, pataugeaient dans les boues des marécages infectés de miasmes, rongés par le paludisme et la malaria, la cervelle à moitié cuite sous l’aveuglant et lourd glissement du sirocco et qui étaient partis vers l’Afrique, comme on se met en marche vers la terre promise…            

On avait promis à ces malheureux des merveilles… ils découvrirent un désert, une lande hérissée de broussailles au bord d’un marais pestilentiel où pullulaient les moustiques. Mais ils ne pouvaient pas repartir ! Ils étaient pris au piège de leur propre rêve, prisonniers de l’Afrique… et déjà promis à la malédiction qui allait s’abattre sur elle…

Après un si vif et bref rêve, voici déjà la résistance des hommes et des choses, l’adversité, les premiers revers, les épreuves et l’infortune. Pourtant cette poignée d’immigrants s’entêta contre moustiques, paludisme, dysenterie, typhus, choléra, misère, canicule, froid et faim. Elle s’organisa et pendant des jours, des mois, des années, mena un combat de titan contre le défrichage et les maladies.

Dans un pays où certaines régions de colonisation étaient en majeure partie des marécages, le paludisme faisait des ravages effrayants. En 1841, dans son étude « Solution de la question d’Algérie », le général Duvivier écrivait : « Les plaines telles celles de la Mitidja, de Bône et tant d’autres ne sont que des foyers de maladies et morts. Les assainir, on n’y parviendra jamais… Les plaines pour les Européens, sont et seront toujours longtemps de vastes tombeaux. Qu’on abandonne ces fétides fosses ! »

Fosses fétides ! Vastes tombeaux ! Quel programme engageant ! Et le général Berthezène d’affirmer, menaçant : «La Mitidja n’est qu’un immense cloaque. Elle sera le tombeau de tous ceux qui oseront l’exploiter ! ». 

Tous payèrent de leur santé sinon de leur vie une implantation prématurée dans des secteurs du pays insalubres et pestilentiels dont cette description de Boufarik en 1842 résumait les inconvénients : « Boufarik était la localité la plus mortelle d’Algérie. Les visages des rares habitants échappés à la fièvre pernicieuse étaient verts et bouffis. Bien que la paroisse eût changé de prêtre trois fois en un an, l’église était fermée ; le juge de paix était mort ; tout le personnel de l’administration civile et militaire avait dû être renouvelé et le chef du district resté seul debout, avait été investi de toutes les fonctions par le décès ou la maladie de tous ses titulaires. »

Pourtant, quelques années plus tard, à force de courage, de patience, de persévérance, d’abnégation, mais aussi de privations, de souffrance, de misère et de centaines de morts usés à la tâche, Boufarik « ce marais pestilentiel », devint la perle de la Mitidja et la plus riche contrée agricole de l’Algérie : «  la première victoire de la quinine », « la plus belle réalisation du génie colonisateur de la France », « l’émeraude pêchée dans la vase », écrira le colonel Trumelet.

Typhus, choléra frappèrent inexorablement. Bugeaud, rentré en France, mourra du choléra en 1849. Dans les Centres de colonisation, où l’hygiène était rudimentaire, ce mal surtout faisait des ravages terribles. Des villages entiers furent décimés.

Forts de leur idéal, mais dénués de l’expérience qui nous arme, ces hommes s’immolèrent, imprudents héroïques, en se  riant des maux les plus cruels et de leurs implacables ennemis. De l’anarchiste au militaire, du paysan au marin, de l’ouvrier au fonctionnaire, tous s’étonnaient et s’émerveillaient d’un monde encore plein de secrets et de prodiges : ils en aimaient jusqu’à l’amertume, jusqu’à la souffrance infinie, jusqu’aux dernières cruautés. C’est que réussir à survivre, c’est choisir de souffrir !…

Chacun était désormais lié au sol, au ciel, aux périls de toujours et devait se défendre, à la fois, contre les éléments et les bandes armées qui parcouraient le pays. Elles le ravageaient au jour le jour, sans plan arrêté. L’insécurité régnait partout. Les cavaliers en burnous, les yatagans, les Hadjouths et les pillards se chargeaient de trancher les gorges et d’enlever les femmes pendant que les hommes tentaient de maîtriser les meules de fourrage en flammes, produit de leur labeur de forçat.

Des fermes qui, pierre à pierre, s’étaient exhaussées au-dessus des pestilences et avaient réussi à étendre autour d’elles un peu de fécondité, commencèrent à chanceler sous l’assaut. Le souci de la survie quotidienne l’emportait parfois sur tout autre projet et mettait un frein brutal à l’imagination de l’avenir.

En 1840, déjà, las de voir des pères égorgés, des mères violées puis éventrées et des enfants écrasés contre les murs, un chant de guerre monta du fond de la plaine. Quelques colons commencèrent à résister aux assauts des cavaliers hurlants, se faisant tuer sur place, refusant d’exécuter l’ordre officiel d’abandonner leurs cultures. Oh ! Cruel et perpétuel renouvellement de l’Histoire !...

Dans les cimetières, les rangées s’ajoutaient aux rangées où s’affirmait ainsi le commencement d’un peuple. L’Afrique devenait une « terre à sépultures »…

Rien de ce qu’ils avaient rêvé ne s’était  accompli comme ils l’avaient espéré. Tout s’était passé autrement, avec plus de dureté et de cruauté, mais à force d’énergie à travers les échecs, les souffrances, les malheurs, à force de volonté, de patience et de génie, ils avaient donné un sens à ce que le destin et l’Histoire leur avaient confié.

Alors arrivèrent pour essayer de vivre à côté de ces Français têtus, des frères latins, tout aussi miséreux : Espagnols, Italiens, Maltais, Génois, Siciliens… Un point commun les unissait : l’extrême misère ! L’Algérie –leur avait-on déclaré- c’était l’eldorado ! Et puis, ce pays était plus proche de l’Europe que la Californie…

Comme il y eut un rêve américain après la seconde guerre mondiale, il y eut à partir de 1840, un rêve algérien…

« Français de France », les fils de cette France qui les avait exilés protestèrent de l’intrusion de ces nouveaux défricheurs :

« Ne sommes-nous pas capables d’arriver nous-mêmes à nos fins ? Ne l’avons-nous pas suffisamment prouvé ? »

La mère-patrie leur répondit doucement :

« Ces étrangers sont là pour vous aider dans votre tâche. Ils auront des terres qui auraient fini par vous tuer. Ils réussiront à n’y pas mourir, habitués qu’ils sont déjà à la grande misère, à l’extrême fatigue. Ne les renvoyez pas ! Accueillez-les au contraire en associés ».

Tous, étaient des déportés de la politique et de la misère, des réfractaires, des exilés, mais ils portaient en eux ce germe qui s’appelle l’audace et que leurs parents demeurés dans les vieux pays d’Europe allaient inexorablement laisser mourir comme des semailles gelées.

Ensemble ils édifièrent cette Afrique latine qui, en bonne justice, se fondit, s’harmonisa en une seconde France. C’est ainsi que la grande famille européenne se forma et à côté d’elle, la famille musulmane commença à concevoir que ces roumis n’étaient –tout compte fait- ni des adversaires, ni des parasites, et que par conséquent nul besoin était de leur couper la tête, d’autant qu’ils étaient habités d’un formidable appétit d’exister et qu’ils semblaient avoir soif de souffrir encore. Elle se risqua, se rapprocha, écouta, puis accepta l’invitation à l’initiation. Les étrangers poussaient la charrue un peu plus loin que les Français. Les Arabes consentaient à venir à la rescousse de l’effort des uns et des autres. L’Afrique du Nord toute entière devenait un musée ethnographique où allaient commencer à se désintégrer dans le silence baignant des paysages vitrifiés, les débris de toutes les races du monde méditerranéen donnant naissance à une nouvelle race : Les Pieds-Noirs.

            Ces Européens d’Algérie –surtout ceux des classes populaires- même s’ils étaient citoyens français, étaient différents des métropolitains. Leur français, émaillé de tournures espagnoles ou italiennes, parfois arabes, avaient donné naissance à un langage nouveau : le patahouet ou sabir ; l’accent avec lequel ils le prononçaient, leurs mœurs, leur mentalité n’étaient pas ceux de la Métropole. Ils étaient Français, certes ; ils le revendiquaient… mais différents, voilà tout. En réalité ils se nommaient eux-mêmes « franco-algérien ».

La foi, l’amour, la bonne volonté, la ténacité, les sacrifices, la confiance, les chagrins n’avaient pas manqué. Et tout cela, avec les morts et avec les vivants, avec ceux qui creusaient, ceux qui labouraient, ceux qui conseillaient, tout cela, ensemble, avait contribué à écrire l’histoire de l’Afrique du Nord.

Ils fondèrent une colonie à l’image de la France, offrirent aux indigènes les premiers enseignements de notre culture, débrouillèrent à notre intention l’écheveau des connaissances locales indispensables. Puis, satisfaits de leur effort, ils demandèrent à cette terre qu’ils avaient prise de les accueillir dans son sein pour l’éternité et ils s’éteignirent, loin des doux réconforts de la mère patrie.

La France, du reste, n’avait pas attendu leur décès pour les rayer du nombre de ses enfants ; dès leur départ, souvent définitif, elle avait considéré comme perdus ceux qui allaient porter au loin son renom et son drapeau. Elle avait revu sans gratitude ceux d’entre eux qui revenaient consacrer leur vieillesse, alors que d’autres ne purent même pas atteindre le port et succombèrent en mer.

C’est ainsi que naquit, grandit puis se dissipa dans des vapeurs de sang, de larmes et de passions, un miroir épique vers quoi des millions d’hommes et de femmes ont marché en portant les douleurs et les enchantements de l’amour. Si les pierres de gloire ne gardent pas leurs noms, si leur sacrifice est demeuré anonyme, nous n’en devons que davantage apporter l’hommage de notre piété reconnaissante à ces rudes artisans de la plus splendide entreprise française qui ait jamais été tentée.

En deux siècles, sous deux Empires et quatre Républiques, ces hommes allaient servir dans les Armées françaises. Officiers ou simples soldats, la plupart du temps, volontaires, ils allaient être de tous les combats mais aussi de toutes les tâches quotidiennes même les plus modestes. Pour les morts et pour les blessures du corps et de l’âme, la France leur décerna des croix… puis elle les combattit, les chassa de cette terre ingrate qu’ils avaient arrosée de leur sueur et de leur sang et les effaça de sa mémoire.

En politique, c’est peut-être la foi qui sauve, mais ce sont les œuvres qui comptent. C’est par ses œuvres que l’Algérie, fille de la force française, a montré au monde qu’elle n’a pas démérité des magnifiques énergies qui se sont, aux temps héroïques, inclinées sur son berceau. Ce rêve de misère ensoleillé dura 132 ans et il durerait encore si les forces du mal n’avaient pas en ce monde souvent l’avantage sur les apôtres du bien.

                                              

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr

Retour Joseph Castano.

 

Cet article a fait l’objet d’un ouvrage intitulé« Et l’Algérie devint française… ». Cliquez sur :- Ma Biographie –

 

- Dans une lettre prémonitoire adressée en 1912 au duc de Fitz-James, le Père de Foucauld s’exprimait de la sorte :

« Ma pensée est que si petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial de l’Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie » … « Si nous n’avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu’ils deviennent Français est qu’ils deviennent chrétiens ».

 

- « L’œuvre de la France ici est admirable. Si elle était restée vingt ans de plus elle aurait fait de l’Algérie l’équivalent d’un pays européen »(Ministre syrien en visite à Alger. Propos rapporté par Ferhat Abbas)

 

- « Le colonialisme français a occupé l´Algérie et l’a annexée à la France, mais il n´a pas nui à la population locale »(cheikh Youssouf Al-Qaradhawi, le 17 décembre 2010, sur la chaîne égyptienne Al-Hayat 2 TV)

 

… et cet aveu tardif d’un chef historique du FLN

 

            Un homme qui reconnaît le rôle positif de la colonisation, c’est HOCINE AIT AHMED, l’un des chefs historiques du F.L.N algérien, actuellement réfugié en Suisse. Il déclare dans le numéro de juin 2005 de la revue Ensemble, organede l’Association Culturelle d’Education Populaire que, « Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ». Il ajoute :

« N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme –je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français- l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne. Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ».« Du temps de la France, l’Algérie c’était le paradis ! »

 

- A l’inverse, un homme politique français, François Hollande, présidentiable, ancien premier secrétaire du PS, a déclaré le 8 décembre 2010 lors de sa visite en Algérie devant ses hôtes du FLN, qui n’en demandaient pas tant :« La colonisation est une erreur tragique »… « Le fait colonial doit être condamné sans réserve. »

 

- François HOLLANDE à propos du passé colonial en Algérie : « La France doit formuler des excuses » - Cliquer sur :http://www.lexpressiondz.com/actualite/137107-la-france-doit-formuler-des-excuses.html

 

… Et d’aucuns voudraient que la France fasse acte de repentance ? Se repentir de quoi ? Ah, Monsieur Hollande, que vous êtes ridicule ! Que vous êtes stupide !

 

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Pour illustrer ce texte, les photos de cette vidéo en forme de témoignage, sont édifiantes et se passent de commentaires... ORAN, si belle autrefois, qu’es-tu devenue ? Vidéo réalisée par « popodoran » Cliquez : ORAN POURQUOI CA(chant de jean-pax Meffret)

 

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"L’islam, c’est le progrès, la science, la finesse, la modernité" (Nicolas SARKOZY, le 17 juillet 2008 lors de la pose de la première pierre des nouvelles salles des arts de l’islam au Louvre)

 

Copé en Algérie : le double discours sur l’immigration continue

 

-          Cliquez sur : http://fr.novopress.info/92156/cope-en-algerie-le-double-discours-sur-limmigration-continue/

 

ALGER (NOVOpress) - Lors de son voyage du 10 juillet en Algérie, Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, a montré une nouvelle fois le double discours de la classe politique vis-à-vis de l’immigration : ferme en apparence mais très mou dans les faits. Dans un entretien au magazine “Tout sur l’Algérie”(http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/entretien-avec-jean-francois-cope-secretaire-general-de-l-ump_16456.html), Copé a tenu à rassurer la population algérienne : “La France délivre près de 140 000 visas par an, pour environ 200.000 demandes.” Des chiffres qui sont appelés à évoluer puisque “le taux de refus diminue, la France délivrant de “plus en plus de visas de circulation” ! En outre, les candidats algériens à l’immigration en France peuvent être rassurés, l’Algérie continuera à bénéficier “d’un régime favorable pour les visas de longue durée et pour le séjour, conformément aux accords de 1968″. Un accord déjà très souple mais que Jean-François Copé et les instances dirigeantes de l’UMP sont “prêts à améliorer”.
En tout cas, cette visite du secrétaire général de l’UMP a été interprété selon le journal “Le Temps d’Algérie” (http://www.letempsdz.com/content/view/59902/1/) comme « intimement lié avec les présidentielles de 2012 en France ».Paris souhaiterait donc s’assurer du soutien d’Alger pour la réélection de Nicolas Sarkozy à la tête de l’Elysée. En effet, lors d’une conférence sur le thème des “valeurs de la République française dans la mondialisation”, à l’Ecole nationale supérieure des Sciences politiques d’Alger, Copé a appelé les expatriés et les Algériens qui le peuvent à voter pour Sarkozy.

Vers plus de diversité à l’UMP : Une phrase que peu d’observateurs ont relevé mais qui en dit long sur la volonté au sein du parti de la majorité d’utiliser la discrimination positive en faveur de la “diversité” (ce qui est fatalement une discrimination négative pour les autres).
Pour Jean-François Copé, l’UMP “est ouverte” aux Français issus de l’immigration “comme à tous les Français, sans exception”mais “en revanche, il est clair que quand un Français issu de l’immigration s’impose naturellement comme un leader, nous allons tout faire pour l’aider !”

                                                                                                                                                                                          

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- Elle aussi, est une terroriste! Et pourtant, elle a les honneurs !

Le Maire de Marseille, JC Gaudin, a reçu en grande pompe la poseuse de bombe du Milk Bar à ALGER,  Zohra Driff. Pour lire la suite,    cliquez ici

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5ème Salon du « savoir-faire Pied-Noir »

Port Barcares – 26,27,28 Août 2011

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Mas de l’Ille – Bd des Rois de Majorque (Sortie 12 de la voie rapide) –

 66420 - PORT BARCARES - Entrée gratuite pour tous

Renseignements au 04.94.33.68.38 ou 04.68.86.13.62 ou 06.82.22.75.65 ou 06.09.78.58.92

 gabriel.mene@wanadoo.fr

 

Une magnifique  initiative pour  un  peuple aussi  productif  que  celui des Français d’ALGERIE et surtout, pour  que  sa  mémoire  demeure.

(Cliquez) : http://www.pied-noir.eu/images/stories/pdf/ProgrammeSFPN2011.pdf

 

Avec la participation exceptionnelle de Marine LE PEN, Présidente du Front National et Louis ALIOT, vice-président

Avec la participation exceptionnelle de Marine LE PEN, Présidente du Front National et Louis ALIOT, vice-président

 

Programme pour la journée du Samedi 27 août 2011

 

- 10h15 – Dépôt de gerbe à la stèle aux rapatriés du Front de Mer de Port Barcarès et bénédiction des trois cultes. Lâcher de colombes et sonnerie aux morts en présence de Marine Le Pen et Louis Aliot.

- 11h30 – Au retour de la stèle, Marine Le Pen et Louis Aliot visiteront les stands. Présentation des exposants et discussion libre avec le public.

- 13h – Déjeuner en commun (couscous royal) – Réservation obligatoire – Tel : 06.82.22.75.65

- Entre 14h et 15h (dès la fin du repas), interventions de Louis Aliot et Marine Le Pen sur des sujets spécifiques à la communauté des Français d’Algérie.

- Discussion libre avec le public

- 20h30 – Paella avec pour convives Marine Le Pen et Louis Aliot.

- A l’issue du dîner, spectacle digne des meilleures revues parisiennes avec la Compagnie Amor, Amor, dirigée par une petite fille de pieds-noirs. Inscriptions au 06.82.22.75.65

 

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- Nouvel appel urgent pour

« La Longue Marche des Harkis et des Pieds-Noirs »à partir du 22 août - Pour lire la suitecliquez ici

… et ici :LA LONGUE MARCHE DES HARKIS ET DES PIEDS NOIRS

 

… et ici :UN AUTOCAR NICE-BOLLENE POUR SOUTENIR LA MARCHE DES HARKIS

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« LA VALISE OU LE CERCUEIL » 

- Bande annonce : http://www.youtube.com/watch?v=oMZZSyoPob4  

- Ce film sera projeté le 2 Septembre 2011, 16h, Palais de la mer – 34350 VALRAS PLAGE,  - Contact : Charles Morera – 06.28.20.27.93 –  e-mail :Charley_morera@yahoo.fr

Pour les autres lieux de projection, cliquez sur :http://reportage34.skyrock.com/- e-mail : reportage34@yahoo.fr

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- Alors que les médias n’ont eu de cesse de rappeler durant 18 mois l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien fut créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 31 août 2011, 18062 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation. Ne les oublions pas

Par ailleurs, 74 soldats français sont morts en Afghanistan (la liste s’allonge régulièrement) ; 500 autres, affreusement mutilés, amputés, handicapés à vie, souffrent quotidiennement dans leur chair et dans leur âme, cela dans l’indifférence des médias… L’Elysée, qui a fait part de « la très grande tristesse du président de la République », a « exprimé, à nouveau, la détermination de la France à continuer d’œuvrer au sein de la Force internationale d’assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays »… Puis, à l’annonce du 74ème décès : « Cette disparition n’entame pas la résolution de la France ». Monsieur le Président, combien faudra-il encore de « disparitions » pour entamer votre résolution ? Au nom de quel droit, de quelle morale, de quelle éthique avez-vous sacrifié ces garçons ? Combien d’autres comptez-vous encore immoler sur l’autel de vos chimères et de vos ambitions car « rétablir la paix et la stabilité » dans cette partie féodale du monde dominée par les « seigneurs de la guerre » et les extrémistes religieux, relève d’une utopie surréaliste… Combien de cœurs de mères comptez-vous encore briser ?  Que n’envoyez-vous dans cette région tribale et en première ligne vos trois garçons pour « l’exemple » ? Que n’aillent combattre, sur place, pour autre « exemple » et par solidarité, les parlementaires qui soutiennent votre politique comme le fit, le député Jean-Marie Le Pen, en 1956, quand il rejoignit au plus fort de « la bataille d’Alger » le prestigieux 1er Régiment Etranger de Parachutistes ! Que ne rapatriez-vous nos soldats avec la mission essentielle d’éradiquer la racaille de nos cités, celle que vous n’avez su, en dépit de vos promesses, « kärchériser » ? C’est dans nos banlieues désormais que nous avons besoin d’eux !... Cependant, en vous alignant sur la politique américaine, vous avez décidé de « Retirer d'ici la fin de l'été 2012 un premier contingent. (...) Le processus de transition des responsabilités de sécurité au profit des autorités afghanes se poursuivra jusqu'en 2014 ». En clair, sur un contingent de 4000 soldats français, un millier rentrera en France d’ici la fin de l’été 2012… et le reste en 2014. D’ici là, bon nombre de nos garçons tomberont encore sous les coups des Talibans : Combien ? Et la question qui se posera alors avec plus d’acuité sera : Pourquoi et pour qui seront-ils morts ?... Car, contrairement à vos allégations, ils seront morts pour RIEN !

Par ailleurs, pour la seule année 2010, le coût de l’intervention française en Afghanistan s’est élevé à 470 millions d’euros. Ne pourrions-nous pas utiliser cet argent à des fins plus utiles ?

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Pour revoir:

 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles -

 

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Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –

 

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"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

 

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Commentaires
L
Vous etes complètement à coté de la plaque, Monsieur HOLLADE, ce n'est pas à la France de s'excuser de ce que vous appelez "la colonisation" et qu'un chef FLN appelle "une grosse connerie d'état d'avoir laissé partir les pieds-noirs qui vous causent des cauchemards maintenant. Ce sont vos géniteurs qui devraient s'excuser vis-à_vis des Français de coeur de vous avoir mis au monde, vous et vos complices socialistes. Mais croyez_nous vous allez attraper bientot la cagueta murciana. Parole de vrai Français.<br /> Le herisson
Répondre
L
Je vous ai souvent dit que nous avions une chance inouie de posseder en la personne de MONSIEUR <br /> <br /> José Castano, un historien de classe de la lignée des Alain Decaux. Je persiste et signe.Et c'est vrai que lorsque l'on atteint une telle notoriété on suscite des critiques à son égard, mais Dieu sait ce que vaut cet homme et moi je me targue d'être l'un de ses amis et si Dieu me prête vie je le resterai jusqu'à mon dernier souffle et même de là-haut si notre eternel veut bien de moi, je m'attacherai à proteger ces amis-là que j'aime comme s'ils étaient de mon propre sang. Ces derniers se reconnaîtront d'eux-mêmes à travers nos échanges de propos éxempts de toute flatterie, de passage de pommade ou tout autre procédé assimilé. Mais quand votre coeur vous dicte une conduite ou une attitude, écoutez-le et laissez les flagorneries pour les enfoirés dont nous sommes entourés et qui se réjouissent un peu trop tôt d'un reve qui restera inaccéssible pour eux, car la vérité prends toujours le pas sur le mensonge et les bassesses.<br /> MEKTOUB et INCH ALLAH (ce ne sont pas des particularités exclusives du Coran)Ils font partie du domaine publique maintenant.<br /> LE HERISSON
Répondre
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