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22 décembre 2011

BLASON, TIMBRES DE L'ALGERIE FRANCAISE

Mai 2015

Article transmis par un oranais de la 5° génération. Robert.L

Ci-joint les Armoiries officielles avec la signification des différents emblèmes utilisés pour sa réalisation, mais je pense que vous en avez saisi tout le sens.Je vous joins également un projet de drapeau qui, s' il se réalise, nous représentera au cours de nos différentes manifestations, avec ou sans l' inscription de sigle des différentes associations Pieds-Noires, là encore il n' y a pas de copyright il est à la disposition de tous.

D' autres part je vous informe que le Centre de Documentation Historique de l' Algérie, Tunisie, Maroc, a crée un Groupe d' Actions Mémorielles (GAM) composé de compatriotes bénévoles ( dont je fais partie pour le 06 ) qui procède actuellement à une collecte de témoignages audiovisuels sur l' arrivée de nos ancêtres en Afrique Française du Nord, notre vie là-bas,notre « débarquement » en métropole, notre vie nouvelle ici.

Ces témoignages, filmés après acceptation, constitueront une banque d' archives audiovisuelles pérennes déposées au siège du C.D.H.A.maison du Mal Juin, 29 ave de Tubingën 13090 Aix en Pvce.tel.:04/42/52/89, où se constitue actuellement le Conservatoire National de la Mémoire des Français d' A.F.N.

Ces archives seront consultables librement, notamment par les étudiants, les historiens, les écrivains etc...

Conscient de l' intérêt que ces témoignages représentent pour les générations futures, les futurs témoins peuvent nous contacter au siège du C.D.H.A.( coordonnées ci-dessus ) soit, pour ce qui concerne le Département des Alpes-Maritimes :

Par courrier C.D.H.A./G.A.M.

Maison des Associatons des Rapatriés

16 rue Bavastro

06300

Par téléphone: 04/97/13/52/31

Par courriel : maisonassociations@rapatriés.fr

1 B

BLASON DEFINITIF.

Blason en 2013

Communiqué CDBAF

001 Drapeau P

 

 ÉPINGLETTE (PIN'S) DU BLASON DE L'ALGÉRIE FRANCAISE

 

 


 

Historique décembre 2011

Le CDBAF (16 Rue des noyers 31520 Ramonville Saint-Agne) propose trois options d'acquisition de timbres postaux et d'autocollants.

 Timbres A-F

 

Blason

          Issu d’une large consultation de nos compatriotes étalée sur un an ‘‘Le blason de l’Algérie française’’ » a vu le jour en mai 2011. Depuis, et notamment lors de sa diffusion qui a connu un large succès, un certain nombre d’utilisations possibles se sont fait jour. L’une d’elle a tout particulièrement retenu notre attention.

          En vue de la commémoration du cinquantième anniversaire de la funeste année 1962, il nous a semblé intéressant de faire imprimer deux timbres postaux, ainsi que des planches de petits autocollants portant les mêmes visuels : Trois options d’acquisition vous sont offertes :

- soit un ensemble de 6 timbres et 20 autocollants assortis pour une somme de 10€

- soit un ensemble de 6 timbres pour la somme de 7€

 

- soit un ensemble de 40 autocollants assortis contre la somme de 5€

 

Vous pouvez adresser votre commande à :

CDBAF, 16 rue des noyers, 31520 Ramonville Saint-Agne.

 

          Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire sur cette démarche à laquelle vous aurez à cœur de vous associer et de la faire connaître autour de vous. Toujours à votre écoute et bien cordialement vôtres.

Pierre Anglade, Théo Bruand, Maurice Calmein, Jacques Decroux.  cdbafs@gmail.com 

Timbre 20g

 

TIMBRES POSTAUX

 

 Autocollant

 

AUTOCOLLANTS 

 

 


C.D.B.A.F. Le 13 Mai 2011

 

Cher compatriote,

 

En juin 2010 se constituait le Comité du blason de l’Algérie française créé spécialement à cette intention et qui sera dissout prochainement, avec pour projet l’élaboration d’un tel emblème pour notre province française d’Algérie et sa mise à disposition de tous les Pieds Noirs et de leurs associations.

                      Blason                                                                                                                              

La procédure choisie a été volontairement participative car il n’était pas question pour notre petit comité de décider seul des choix à effectuer.

Un concours d’idées a donc été ouvert au plus grand nombre et annoncé dans divers journaux et sites associatifs.

Vous avez bien voulu participer à ce concours et nous vous en remercions vivement.

 

Une soixantaine de propositions de dessins ou de listes de symboles à faire figurer dans le blason nous sont ainsi parvenues de tous les coins de France.

Permettez-nous d’exprimer le plaisir et l’émotion que nous avons ressentis à prendre connaissance de toutes ces propositions dans lesquelles les auteurs ont mis tout leur cœur et leur talent. Chacun d’eux se retrouvera un peu dans le choix définitif puisque celui-ci est le fruit d’un travail collectif et d’une synthèse.

En effet, un premier tri a consisté à retenir quatre blasons présentant les symboles et couleurs le plus souvent proposés par les participants.

 

Dans un second temps, pour assurer une cohérence d’ensemble, nous avons décidé de retenir l’une des propositions qui consistait à conserver dans le « chef » du blason (c’est à dire au dessus du blason proprement dit), le seul emblème officiel de l’Algérie française ayant jamais existé, à savoir le pavillon maritime (1) blanc chargé de deux bandes horizontales coupées rouge et bleu, agrémenté par nous de trois fleurs de lys rappelant l’expédition d’Alger décidée par Charles X pour mettre fin à la piraterie barbaresque en Méditerranée. Ces lys, proposés par beaucoup de participants au concours, se retrouvent également dans de nombreux blasons des anciennes provinces du royaume de France ainsi que dans ceux de plusieurs villes d’Algérie.

 

Les quatre blasons « finalistes », surmontés du « chef » commun, ont ensuite été soumis au vote de tous les participants.

 

Nous sommes heureux de pouvoir vous présenter aujourd’hui le blason définitif qui a été choisi dans le cadre de ce concours et nous présentons nos plus vives félicitations à tous ceux qui ont contribué à son élaboration.

Afin que chacun puisse maintenant connaître et faire connaître ce blason, nous vous en adressons ci-joint un modèle.

 

 

(1) cf. Bernard Dubreuil, Administrateur de l’inscription maritime, in Hesperis Tamuda, 1960, p. 543 à 549.

 

  

Tout en respectant les règles héraldiques, cet emblème représente avant tout la synthèse de 132 ans de présence constructive de La France et des populations européennes en Algérie.

Le blason définitivement retenu, et dont vous trouverez une illustration ci-dessous, est composé des éléments suivants :

 

Le chef, partie haute, est constitué par le seul emblème officiel de l’Algérie française ayant jamais existé, à savoir le pavillon maritime blanc chargé de deux bandes horizontales coupées rouge et bleu, agrémentées de trois fleurs de lys rappelant l’expédition d’Alger décidée en 1830 par Charles X pour mettre fin à la piraterie barbaresque en Méditerranée.

 

Les quatre quarts du blason comportent chacun un symbole fort:

Le soleil ardent et généreux ;

Le symbole le plus fort : le bateau d’aller et de « retour » portant deux pieds noirs sur sa voile ;

La croix , le croissant et l'étoile de David, symboles des trois religions qui se côtoyaient en Algérie ; Enfin, les symboles du développement et de la prospérité du pays : la vigne, l'olivier et le blé.

 

La description héraldique du blason (ou blasonnement) :

 

Ecartelé. Au 1, de gueules à un soleil; au 2, d’azur un vaisseau d’argent pavillonné de France, gonflé d’une voile chargée de deux pieds de sable, navigant sur une onde du champs; au 3, une barre d’argent chargée d’un croissant montant de sinople, d’une croix latine de gueules et d’un didelta d’azur; au 4, de gueules une grappe de raisin d’or, accompagnée à dextre d’un épi de blé au naturel, posé en bande, et à senestre d’un rameau d’olivier au naturel, fruité de sable, posé en barre, les tiges croisées en champagne. Le chef cousu d’argent chargé de deux fasces coupées de gueules et d’azur, et de trois fleurs de lis brochant sur le tout.

  

Le blason a été déposé au ministère de l’intérieur, aux côtés de ceux de toutes les autres provinces françaises. Selon le souhait du comité, il appartient désormais à tous les Français d’Algérie et à leurs associations, chacun étant libre de l’utiliser à sa guise.

Pour tout renseignement complémentaire, s’adresser à : CDBAF, 16 rue des noyers, 31520 Ramonville-Saint-Agne, courriel : cdbafs@gmail.com

 

 

 

Il est d’ores et déjà possible de se procurer des autocollants représentant ce blason (format 10 x 8 cm) auprès de l’association Sos Outre-Mer, 13 Fbg Sébastopol, 31290 Villefranche de Lauragais. Courriel :  sos.outre-mer@orange.fr, Tel : 05 61 81 01 18.

 

Des autocollants du blason ont été imprimés pour le compte de l’association humanitaire Sos outre-mer qui aide depuis 21 ans un orphelinat chrétien au Liban.

Les autocollants du blason peuvent donc être commandés à : Sos outre-mer, 13 Fbg Sébastopol, 31290 Villefranche de Lauragais en joignant un chèque à l'ordre de Sos Outre-mer (1 autocollant: 2=€, 10=15€, 50= 50€, port compris dans tous les cas).

 

Utilisation du blason :

 

Ce blason a été déposé au ministère de l’intérieur afin qu’il rejoigne la collection de ceux de toutes les autres provinces françaises.

La propriété du blason appartient désormais à tous les Pieds Noirs et à leurs associations.

Chacun pourra l’utiliser librement et le reproduire sur tout type de support, autant que de besoin.

 

Quelques exemples possibles d’utilisation :

 

- Ce blason pourra servir de logotype pour les manifestations qui seront organisées en 2012 à l’occasion du 50ème anniversaire de l’exode de 1962. Ces manifestations seront souvent inter-associatives et le blason pourra constituer un emblème fédérateur.

 

- Les associations qui le souhaitent pourront reprendre ce blason dans leur identité visuelle, comme logo si elles n’en possèdent pas déjà un, par exemple en l’accolant au nom de l’association sur le papier à entête, les cartes de membres ou le bulletin d’information.

 

- Des reproductions privées ou commerciales sont également possibles, et absolument libres,  sur tout support : drapeaux, fanions, autocollants, porte-clefs, assiettes, etc.

 

Nous exprimons nos sincères remerciements à toutes les personnes qui ont accepté de participer à ce concours et nos félicitations pour la qualité de leurs contributions.

 

 Il ne nous reste plus maintenant qu’à souhaiter une très longue et intense vie à notre blason, mais cela dépend désormais de chacun de vous !

 

Bien cordialement,

 

Pierre ANGLADE, Théophile BRUAND d’UZELLE, Hervé CADOT, Maurice CALMEIN, Hervé CORTES, Robert DAVEZAC, Jacques DECROUX, Alain GIBERGUES, Camille PARA.

 

Comité du blason de l’Algérie française 16 rue des noyers – 31520 Ramonville Saint Agne Mél : cdbafs@gmail.com

 

Merci à Louis Baylé, Bertrand Bouret, Christian Duran, Jean Gassier, Robert Lidon et Dominique Piquet  pour le concours qu’ils ont bien voulu nous apporter aux plans informatique, photographique, financier, graphique et héraldique.

 

Les propositions reçues lors du concours :

 

 

 

Propositions_re_ues

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22 décembre 2011

M'DAME JOSETTE BOUSSOMMIER

Josette_Boussommier

 

21 DECEMBRE 2011

 HOMMAGE A JOSETTE BOUSSOMMIER.
 
Décembre 2010, Josette Boussommier s'en allait.

Vers un monde que l'on dit meilleur, elle s'envolait.

Elle était notre phare, nous servait de référence.

Quel grand vide ... en tirant sa révérence ... 

Son charme rayonnant et son charisme fascinant.

Faisaient d'elle un personnage très attachant.

Ses avis et conseils étaient très judicieux.

Frappés aux coins du bon sens mais jamais sentencieux. 

C'était une battante bien résolue et lucide,

Ses assertions étaient réfléchies et limpides.

Elle rayonnait sur la toile par son érudition,

Sa clairvoyance, son mordant, sa motivation.

Par un travail méthodique et méticuleux,

Elle avait créé un blog riche et ambitieux,

Conçu pour lutter contre la désinformation

Et les infâmes mensonges qui sont une négation

De l'œuvre colossale accomplie par nos aïeux

Qui avaient fait un pays prospère et merveilleux. 

Bien que fort occupée, Josette était serviable,

Toujours disposée à aider, très affable,

Les nombreux internautes qui la sollicitaient.

Elle possédait toujours la formule qu'il fallait. 

Enseignante hors-pair, elle sera toujours vénérée

Par ses anciens élèves de Carteaux-Gambetta.

Ils sont tellement fiers de leur instit préférée

Qui leur rappelle les années heureuses de là-bas.  

Aux cérémonies mémorielles, toujours présente,

C'était notre sentinelle, stoïque et vaillante.

Nous avons perdu une amie très précieuse,

Mais dans nos cœurs, elle règnera toujours radieuse.

Jean-Paul Ruiz pour La Familia Oranaise le 21 décembre 2011


DSC05590

Plaque déposée au sanctuaire de ND de Santa-Cruz à Nîmes en juin 2011


21 décembre 2010

         Je viens d'apprendre la terrible nouvelle du décès de notre doyenne Josette Boussommier, enseignante à Oran - Gambetta, notre maîtresse que l’on appelait, encore aujourd’hui, M’dame,et je suis submergé par une très grande tristesse. La communauté pieds-noirs vient de perdre un être exceptionnel et irremplaçable. Ses qualités humaines, bonté, générosité, altruisme, érudition ... faisaient d'elle quelqu'un de très attachant pour qui on ne pouvait avoir que de l'admiration et du respect.

Voila une grande Dame qui nous quitte ! 

- Grande par sa gentillesse ! 

- Grande par ses connaissances ! 

- Grande par l'affection que nous lui portions toutes et tous ! 

- Grande par son engagement pour notre communauté !


         En dépit de sa grande fatigue, elle avait à cœur de poursuivre son travail de recherche et de documentation afin que notre communauté dispose des informations utiles et nécessaires pour la défense de notre passé d'outre-mer et pour nous mettre en garde sur les dangers qui pèsent sur notre avenir. Elle aura accompli un travail colossal et d'une grande richesse, qui ne sera pas vain car il sera d'une très grande utilité pour la poursuite de notre combat pour la vérité.


         C'est toute la communauté Pieds-Noirs dans son ensemble qui perd l'un  de ses  plus fidèles défenseurs. Un exemple de courage et d'abnégation  pour tous. Une volonté extraordinaire. C'est une grosse perte pour nous. 

         Nous ne verrons plus, lors des manifestations pour la bonne cause à Paris, cette dame de classe si digne que tout le monde respectait et admirait ! Nous nous consolerons en pensant qu'elle a gagné le repos éternel pour un monde meilleur ! 

         Josette notre doyenne n'est plus... Puisse son âme  être accueillie dans la plus grande lumière...

Merci M'dame, nul ne pourra vous remplacer. Vous allez nous manquer à tous.... 

Monsieur et Madame Michel BOUSSOMMIER, 

son fils et sa belle-fille; 

Monsieur Michel BOUSSOMMIER, 

Mademoiselle Alexandra BOUSSOMMIER, 

ses petits-enfants ; 

Monsieur Jean BOUSSOMMIER, 

Madame Valérie MENZER, 

Monsieur Jean-Luc SPORTOUCH, 

ses neveux et nièce, et toute la famille, 

ont la douleur de vous faire part du décès de: 

Madame Josette BOUSSOMMIER 

née GUIJARRO 

survenu le 21 décembre 2010, à l'âge de 87 ans. 

La fermeture du cercueil aura lieu le Mardi 28 décembre 2010 à 11 heures 30 

au funérarium de Villepinte 

83 boulevard Robert Ballanger – 93420 VILLEPINTE 

Vous pourrez vous recueillir au crématorium du Père Lachaise 

71, Rue des Rondeaux – 75020 PARIS 

le même jour à partir de 14 heures 45 

avant la mise à la flamme qui aura lieu à 15 heures 15. 

Prière de faire livrer les fleurs au crématorium 

Les cendres seront dispersées à 17 heures 15 

au jardin du souvenir. 

Vous pouvez adresser vos témoignages d’amitié et de sympathie à 

Monsieur Michel BOUSSOMMIER 

65, Impasse des Roseaux – 01210 VERSONNEX

A M'DAME JOSETTE BOUSSOMMIER

Madame Josette Boussommier vient de nous quitter.

Elle était notre doyenne, une femme de qualité.

Elle était notre phare, nous servait de référence.

Quel grand vide elle laisse en tirant sa révérence ...

Ses avis et conseils étaient pertinents,

Cette femme remarquable avait du tempérament.

C'était une battante bien résolue mais lucide,

Ses assertions étaient réfléchies et limpides.

Elle rayonnait sur la toile par son érudition,

Sa clairvoyance, son aura, sa motivation.

Aux cérémonies mémorielles, toujours présente,

C'était notre sentinelle, stoïque et vaillante.

Nous venons de perdre une amie très précieuse,

Mais dans nos cœurs elle règnera toujours radieuse. 

Jean-Paul RUIZ

 


ADIEU M’DAME (Henri Martin) 

Le 23 juillet 1923 naissait à Oran, Josette Boussommier fille de Monsieur et Madame Guijaro, Oranais bien connus (le papa fut un grand sportif). Elle nous a quittés le 2l décembre 2010. Elle avait 87 ans. Elle épousa Henri Boussommier en 1944, lui-même Oranais depuis plusieurs générations la famille Boussommier s'était, en effet, installée à Saint-Cloud dès la création du village et un des aïeux de la famille fut maire de la commune. De leur union naîtra un fils, Michel aujourd'hui marié et père de deux enfants. 

Ayant embrassé la carrière d'institutrice au début des années 40 après avoir fréquenté dès sa scolarisation l'école des Sœurs trinitaires d'Oran, son premier poste l'amena dans un quartier populaire du centre de la ville d'Oran, l'école du faubourg Gambetta. Elle poursuivra ensuite son parcours faubourg Carteaux, jusqu'à I ‘indépendance, en 1962. Ar; début, elle dispensait son savoir dans l’ancienne école de ‘‘Monteseco’’, et à partir de 1954, dans la nouvelle école du même quartier, inaugurée sous le nom d'école Paul Bert. Elle acheva sa carrière d'institutrice exceptionnelle dans cet établissement primaire, en juin 1962, pour ce qui concerne l'Algérie. 

Rapatriée en France, elle continua la deuxième partie de sa carrière à Villepinte, puis à Sevran, où elle passa les deux dernières années précédant sa retraite et ou elle demeurait toujours avec son époux, décédé quelques temps avant elle. C'est dans ces mêmes années qu'elle retrouva la plupart de ses élèves de Carteaux, ceux de France mais aussi, par le miracle d'Internet, ceux installés à l'étranger. 

Dès 2003, elle créa un forum, les ‘‘Anciens du FCO de Carteaux et Gambetta’’. Ses écoliers d'antan ainsi que ses amis en furent ravis et dès lors, commença l'aventure des échanges épistolaires. S’y ajoutèrent en prime, des retrouvailles comme celles du Pradet, lors du rassemblement des anciens du FCO et de leurs amis, association présidée par Ernest Tomas et soutenue par Antoine Beltran, tous deux anciens élèves de M'dame, ainsi que nous avions l'habitude de la surnommer. 

Les amis de la Marine nous rejoignirent heureux de communiquer avec elle, et son Blog mené de main de maître, avait un très grand succès. Durant quelques années, lors des retrouvailles de l'Ascension, à Nîmes, tous les anciens élèves et les amis de M’dame l'entouraient et l'accompagnaient comme pour l'encercler et ne plus la laisser s'échapper, la garder pour eux tous seuls, même si les amis de la Marine auraient aimé en faire autant, car eux aussi correspondaient avec elle, sur d'autres forums auxquels elle participait avec bonheur. Ceci dit, ses ‘‘petits de Carteaux’’ avaient sa préférence, quoi de plus normal! Ils le lui rendaient bien et garderont toujours le souvenir de son rayonnement extraordinaire et de son in altérable dynamisme. 

Bien entendu, nous adressons nos sincères condoléances à son fils Michel ainsi qu’à son neveu Jean Boussommier qui se faisait un plaisir de l'accompagner dans tous ses déplacements. 

Les anciens élèves de Carteaux-Gambetta et du FCO voulaient lui rendre hommage, comme le fait ici Henri Martin. 

Retour "IN MEMORIAM"

 

 

 

 

18 décembre 2011

CANASTEL

canastel1

         L’origine du nom de Canastel  près d’Oran, vient de sa proximité avec le  village de Kristel duquel il n’est éloigné que d’une dizaine de kilomètres. Avec le temps est parvenu jusqu’à nous les deux noms: le vrai et sa déformation. Le même nom a été aussi donné à une pointe de terre, nommée  Ahmeur Dekenah (pente rouge) ou Cabo Rojo (cap Rouge ou cap Roux), d’autres disaient Cabo rousso.  Si bien que l’on trouve dans le prolongement en venant d’Oran, la pointe de Canastel, Kristel, la pointe de l’aiguille, le Cap Ferrat, le cap-Carbon puis près du fort de la pointe, le village d’Arzew qui ferme la boucle à l’Est de cette presqu’île, annonçant les fameuses plages de Damesme, Saint Leu et  Port aux Poules. Canastel, un nom évocateur qui sentait bon le jasmin et les effluves iodés de l’air marin vit le jour sur un bras de terre qu’enserre la mer où des constructions à l’architecture chatoyante furent édifiées par des colons français, espagnols, et italiens qui voulaient se ménager un lieu de repos loin d’Oran, de son tumulte et son vacarme.

        Un groupe d’entrepreneurs décida un jour de bâtir un lotissement au bord des falaises de Canastel, situé, on le sait, sur la côte, à l’est d’Oran, à côté du fort du même nom. Les terrains à concéder se trouvaient sur un plateau dominant des falaises à pic à une altitude de 200 mètres. Il a été créé au cours de l’année 1930, écrit Eugène Cruck en 1939, par trois de nos concitoyens, MM Rico, Dordé et Soler qui n’hésitèrent pas à immobiliser une petite fortune, là où il n’y avait qu’un plateau couvert de broussailles, et de genêts odorants. 

        Avec une superficie de trente hectares, les bâtisseurs n’ont pas hésité à prévoir un tiers de la surface  soit dix hectares de voies de communication. Les boulevards avaient une largeur prévue de seize mètres et les rues une largeur de douze mètres et devaient être entièrement empierrée. L’alimentation en eau avait été prévue au début des travaux. Ce précieux liquide, choisi parmi les sources les plus saines et les plus appréciées de la région avait été amené sous pression depuis la ferme Chambaret située à trois kilomètre de là.

        Les communications avec Oran étaient assurées par une route goudronnée de 6 kilomètres. Le climat de Canastel méritait une mention particulière: sec l’hiver, frais l’été, il devait son caractère favorable à l’altitude des falaises qui en bannissait toute humidité. Le brouillard, aussi bien que le siroco, y était inconnu. 

        A Canastel, les bouquets de pins parasols existant rajoutés aux nouvelles plantations, assuraient un paradis de fraîcheur pendant les températures caniculaires de l’été. Très rapidement apparaissent dans ce lieu huppé, pour les riches et les nantis, de luxueuses constructions comme Le “Grand hôtel” de 30 chambres dont une façade s’élève à pic à 200 mètres au-dessus de la mer, inauguré en 1925. Il possédait une vaste terrasse d’où l’on pouvait admirer la baie d’Oran.  La magnifique vue que l’on avait du haut de son promontoire, et sa proximité de la ville faisait que ce lieu de rêve était très fréquenté par la haute société oranaise, et les notables de passage. La station « Climatérique» recevait les «Hiverneurs» de France et de l’Est algérien.   A côté du Casino des Falaises se trouvaient le tennis, les restaurants “la Guinguette”, “Bagatelle” et quelques villas. Le Casino était un endroit réputé......pouvaient-on lire sur  les guides  Thiolet de 1937. 

        Un excellent restaurant, de style mauresque, était devenu le rendez-vous des promeneurs et des gourmets. A ce restaurant fut adjoint un hôtel moderne de la Société Rico-Dorde-Soler avec tout le confort contemporain, téléphone et installations dernier cri. La proximité de la montagne des Lions et des escarpements de Kristel permettait l'organisation d’excursions aussi intéressantes que faciles et  sans danger. 

        Les falaises proches étaient d’un excellent attrait pour la communauté Oranaise avide de calme et de tranquillité. Un chemin sécurisé assurait l’accès aux plus petites calanques. Les entrepreneurs de ce lotissement avaient mis à la disposition du public un beau tennis au sol en ciment élastique, des portiques de gymnastique, des balançoires et tous les agrès indispensable à la jeunesse Oranaise. Un garage pouvant contenir cinquante voitures avait été construit et un distributeur automatique d’essence avait été installé sur la place. L’approvisionnement en produits frais était assuré, notamment en pain à raison de deux fournées quotidiennes.    Les nouvelles constructions y étaient d’autant plus aisées que la pierre et le sable se trouvaient en abondance sur place, l’usine d’Arcole, toute proche, fournissant la chaux et le ciment.

        En 1942, avec le débarquement des armées alliées à Oran, les Américains subjugués par la beauté du site s’y installèrent. Ces derniers, arrivés par voie maritime, débarquèrent au lieu-dit La Farge sur lequel ils construisirent une usine qui allait fournir du ciment à tous les chantiers de la région durant de longues années. 

        Canastel était très prisé par les adeptes de la chasse et de la pêche. Le gibier constitué de sangliers, de lièvres et de bécasses faisait affluer les amateurs de chasse. On raconte que les parties organisées duraient parfois plus d’une semaine et pouvaient mobiliser tous les habitants de la localité. 

        Le panorama, qu’on découvrait du bord de la falaise, était splendide et les couchers de soleil y revêtaient un caractère d’une beauté inoubliable. Les pêcheurs à la ligne des quartiers de Gambetta, de Saint -Eugène et des quartiers populaires préféraient les rochers à demi immergés qui longeaient la côte oranaise au pied des falaises de Canastel et plus près de la Cueva del Agua (la cova lagua), pour la variété de leurs poissons. Encore que, la déverse des égouts de la ville attirait une variété particulière de poissons; les mulets. Les plus débrouillards pêchaient au loin en barques «faites-maison» : les Botes à ventre arrondi ou les Pasteras à fond plat.

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Canastel vue sur la mer

 

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Papier à entête du comité

 

Comité d'Erection du Sanctuaire de Canastel

 

Oratoire Sainte-Thérèse

 

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Canastel Danièle Lopez

1962 Doc Danièle Lopez

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0Côte de Canastel depuis la piscine en 2005

 

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Retour Villes et Villages d'Oranie.

16 décembre 2011

DIEU REGARDE LA TERRE ET PLEURE

        En Mars ou Avril 2005, j'avais écrit  pour moi cette lettre comme une sorte de remerciement intime à Dieu, pour m'avoir aidé à m'en sortir dans des moments pénibles que j'avais traversé pour cause de grave maladie, et où, suivant pronostic médical, mes jours étaient comptés.

        En 2008, j'ai écrit mon livre « Il était une fois notre là-bas » ou  « le beau ciel à jamais perdu » et j'ai pensé que cette lettre avait sa place dans ce livre, me disant « in peto » que Dieu méritait que cette confession que j'avais faite pour lui, je la  rende publique à un moment où les gens commençaient à se prosterner devant des idoles malfaisantes( l'argent , luxure, égoïsme, attitudes sexuelles contre nature que même les animaux réprouvent, serments ou promesses passés au poste « pertes et profits, surtout profits ». J'en ai donc fait l'épilogue de ce bouquin.

Dieu regarde la terre et pleure

        La photo ci-dessus, Dieu regarde la terre et pleure que j'avais placé en tête de mon épilogue, a du plaire à l'auteur du PPS reçu le 24 Novembre écoulé, Puisqu'il nous conseille fort joliment de cliquer sur la larme qui coule sur sa joue gauche et les commentaires qui s'affichent sont très beaux et prennent aux tripes et cette photo méritait bien cet hommage supplémentaire, d'où qu'il vienne. 

        Ma confession citée plus haut, Je l'avais faite pour rétablir les évènements en leur contexte. C’est très difficile de parler de Dieu, d’Allah ou de Yahweh (Nom hébreux du dieu unique) malgré ce qui a été dit , écrit sur lui et sur son existence selon les croyants, toutes religions confondues. 

        Pourquoi ? Parce chacun est persuadé de le connaître suivant la conception qu’il se fait de son image et c’est faux !  Nous le connaissons mal et même si nous le connaissions un tant soi peut, savons- nous ce qu’il ressent quand il regarde vers nous et qu’il constate ce que  nous faisons de notre existence et du peu de cas que nous faisons d’une vie humaine, d’une vie qu’il a voulu pour nous et envoyé sur terre sous forme d’un ange, par l’intermédiaire de nos géniteurs. 

        Non, personne ne le sait et beaucoup d'entre nous s'en moquent puisque pour faire taire certains de ces bébés qui pleurent toujours pour une excellente raison, on les insère dans une machine à laver qui les tue et les fait taire à jamais. Ah ! Docteur Guillotin, que n'êtes plus parmi nous. 

       Dans notre « Pater » de chaque soir, nous ânonnons : « Pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons..... » Mais tuer un enfant sans défense, nous ne pouvons pas pardonner et vous -même, avec la dévotion et le profond respect que nous vous portons, vous refusez à le faire et c'est normal. J'en suis chrétiennement convaincu. 

        On a écrit de belles choses sur Dieu avec pour racine et dénominateur commun la  Bible ou le Coran. Mais que de sang et de misères n’a-t-on pas répandu en son nom et soi-disant sous son couvert suivant l’interprétation que l’on faisait de son message. 

        On a écrit aussi des inepties, des blasphèmes et des négations sur sa réalité. Mais les fidèles que nous sommes savons «  séparer le bon grain de l’ivraie » 

        De cette  incompréhension sont issues les croisades, les guerres de religion, les différentes croyances qui nous entourent et la naissance de l’extrémisme, de l'intégrisme  et du fanatisme  aveugle. 

        La Bible  et les 10 commandements confiés à Moïse à notre intention, sont là, depuis des lustres. Œcuméniques, ils  nous guident  et illuminent notre parcours sur terre, que chacun suit selon sa foi. 

         Dieu est amour car il possède toutes les qualités qui nous font défaut, il est la perfection. Cet être de lumière est invisible, pourtant il est là pour tous, quelle que soit la manière de l’honorer et le vénérer, pourvu que chacun en son âme et conscience soit en paix avec lui-même.

        A partir de ce dogme, Dieu est la vie en trois personnes. C’est le grand mystère de la Sainte Trinité. 

        Quand viendra l’heure de la rencontrer, cela ne se fera que si nous l’avons honoré sur  terre où, à chaque instant, il se manifeste de façon diaphane et invisible pour nous protéger  et nous guider vers le bien.( même et y compris les athées). 

        Visitez n'importe quelle partie du monde aujourd'hui. Parlez aux gens quelle que soit leur religion. Ils savent qu'il n'y a jamais eu un homme comme Jésus de Nazareth. Il est la personnalité sur laquelle nous nous appuyons pour compter le temps qui passe depuis plus  de 2.000 ans. Quelle meilleure preuve unanime de la reconnaissance de Dieu. 

        Mon modeste exemple n’est qu’une preuve de plus de son existence. Au crépuscule de ma vie, j’ai été frappé par le mal du siècle, je veux parler du cancer du poumon. 

        Les analyses, les scanners et la radiologie étaient unanimes  dans leurs diagnostics  Il était des plus graves qui soient.  Rares sont ceux qui en réchappaient. 

       J’ai prié dans ma tête, beaucoup prié jusqu’à sentir presque sa présence à mes côtés. Je lui ai demandé de me permettre de mener à son terme, une mission sur laquelle je travaille depuis 20 ans. 

Après de longs mois de séances pénibles de chimio thérapie, mes médecins m’ont jugé apte à subir une opération chirurgicale qui consistait en l’ablation d’une partie du poumon. 

        Après l’opération, quelques heures plus tard, je me suis réveillé en prières  en salle de réanimation et j’ai su dès cet instant que seul Dieu, avait pu guider le scalpel du chirurgien,  grâce auquel il  m’avait permis de continuer  à vivre.

        J'ai compris ce jour-là, que j’avais une dette envers lui et que je devais m'investir dans l'aide à mes semblables. J'ignorais encore comment et  j'ai cherché et  j'ai trouvé. 

        Je crois que Dieu m'a conseillé, vu mon caractère et certaines dispositions que j'ai  toujours eu, surtout dans notre « Là-bas » de m'occuper de ceux qui avaient besoin de lui.

        A partir de là, et en 2005, j'ai  regardé autour de moi, et j'ai découvert une organisation apolitique (ce que je voulais pour rester mon libre arbitre). J'y ai adhéré et ai constaté par la suite que mon choix était le bon, tant la conviction et la  solidarité de ses membres est visible et tangible. Leurs  actions et leur aide sont appréciées par notre communauté entière et détestés par les officines de recouvrement qui se gavent sur notre dos. 

        Nous sommes des déracinés exilés malgré eux, tels des troupeaux qu'on emmène aux alpages  pour y passer l’été. Mais les nôtres auront duré ½ siècle et nous sommes toujours traités comme ces animaux qui attendent passivement  leur dernier voyage vers les abattoirs. 

        La seule chose que nous ayons en commun avec ces bestiaux, c'est cette  mise aux alpages. Quant aux abattoirs, c'est un autre problème et c'est probablement ces gens-là qui iront avant nous.

        Quelle erreur d'appréciation et quel manque de vision de ces instances politiques,  héritières des idées d'un bourreau digne du procès de Nuremberg et qui  nous gouvernent encore mais plus pour longtemps.

        Jusqu'à ce jour.  Les repliés que nous sommes, avons été victimes expiatoires d'une décolonisation sauvage par la volonté de bêtes malfaisantes mais investies à l'époque d'un pouvoir qui les aveuglait. A l'exception de Monsieur François Mitterrand, en 1997, personne ne s'était penché  sur notre sort. N'oublions pas.

Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles. (Charles Péguy)

Pierre Salas.

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16 décembre 2011

ISLAM ET IMMIGRATION

 « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs ; des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcheriez-vous de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-deux-Mosquées » (Charles de Gaulle, 5 mars 1959 – Propos rapportés par Alain Peyrefitte)

 

            Contrairement aux affirmations fantaisistes de de Gaulle évoquant le nombre croissant d’Algériens qui viendraient s’installer en Métropole si l’Algérie demeurait française transformant ainsi Colombey-Les-Deux-Eglises en « Colombey les deux mosquées », c’est, précisément, l’indépendance de l’Algérie qui a entraîné la situation actuelle de l’immigration des Nord-Africains en France…

            Si l’enfantement de la nouvelle République algérienne entraîna l’hystérie collective, amalgame de réjouissances, de meurtres et de pillages tels le génocide dont furent victimes les Musulmans fidèles à la France et les assassinats d’Européens du 5 juillet 1962 à Oran, les Algériens ivres d’indépendance allaient, très vite, danser une tout autre danse en tournant en rond devant un buffet vide… C’est ainsi qu’après la mise à sac du pays en 1962, après la frénésie sanguinaire et destructrice des premiers mois de l’indépendance, après l’incurie des chefs du FLN désormais aux commandes de l’Etat, après les premières années de chaos forcené, il ne restait plus rien de l’équipement technique du pays. Les immeubles tombaient en ruine, l’agriculture était moribonde, les rouages précieux mis en place par la France rouillaient au soleil de midi et les ingénieurs venus de l’Est dès la proclamation de l’indépendance levaient les bras au ciel en contemplant d’un œil désespéré l’ampleur des dégâts. C’est alors que craignant la colère du peuple que l’on avait savamment gavé durant huit ans de promesses démagogiques et fallacieuses, le gouvernement algérien, incapable de fournir du travail à sa population, exigea « la libre circulation des personnes » avec la France et « leur libre résidence de Dunkerque à Marseille » en menaçant de Gaulle d’une rupture qui eût contrarié sa « grande politique » arabe. Aussitôt, sur l’injonction formelle du « Guide », satisfaction sera donnée aux nouveaux maîtres de l’Algérie et la décision d’ouvrir, pratiquement sans contrôle, nos frontières à l’immigration algérienne fut appliquée.

            Dans son ouvrage « Les immigrés maghrébins entre le passé et l’avenir », M. Mohamed Harbi, l’un des dirigeants du FLN de cette époque en apporte la confirmation : « Une discussion collective sur l’émigration a eu lieu dans le cadre de la commission de préparation du congrès du FLN. Je dois dire que nombre de dirigeants avaient sur cette question une « attitude de type magique ». Faute de solution crédible à proposer, ils avaient tendance à considérer que l’exportation de main-d’œuvre était une sorte de dédommagement pour les préjudices causés à l’Algérie par la colonisation, un droit qui les confortait dans leur nationalisme et en même temps leur « permettait d’échapper au spectre de la question sociale ».

Il ajoute plus loin : « les préoccupations de la gauche du FLN ont été prises en compte dans les programmes du FLN d’avril 1964. La charte d’Alger stipulait donc : « Les causes de l’émigration sont étroitement liées au niveau de développement du pays. (Elle) peut être atténuée ou freinée mais « ne cessera qu’avec la disparition de ses causes principales ».

            Les inquiétudes que les plus avisés avaient alors émises sur ce rapport quand on connaissait, déjà à cette époque, les problèmes d’ordre économique et social que rencontrait l’Algérie, ne furent pas prises en compte et pourtant, il était illusoire de croire que le gouvernement algérien encouragerait ses ressortissants à « demeurer au pays ». A cet effet, il est bon de citer un extrait du rapport rédigé en 1966 par l’Amicale des Algériens en France (qui, ne l’oublions pas, incarnait le FLN durant le conflit), concernant l’émigration : « L’émigration, cette solution imposée par la pression démographique est, à notre sens, la solution complémentaire au développement agricole et industriel. Car l’émigration a toujours des conséquences démographiques, même lorsqu’elle consiste en une migration temporaire de travailleurs ; elle sépare alors les couples mariés, retarde le mariage des célibataires et réduit la natalité. La dimension finale moyenne d’une famille algérienne est de 7 à 8 enfants nés vivants ; celle d’un émigré marié, périodiquement séparé de son épouse pour des durées plus ou moins longues, est 2 à 3 fois plus petite (2 à 4 enfants) ».

            Ainsi, lorsqu’en 1966 un accord officiel autorisait l’entrée de 8 000 travailleurs algériens entre le 1er janvier et le 1er septembre, ce furent en réalité, d’après les statistiques officielles, 15 732 « travailleurs », plus 23 228 « touristes », plus 25 000 « parents », soit au total plus de 60 000 immigrés réels (pour 8 000 autorisés) qui vinrent s’installer en France en huit mois… et il ne s’agissait là que d’Algériens !... Cette situation était d’autant plus grave que, grâce à l’immigration clandestine, le nombre des Algériens résidant en France s’élevait déjà à un million en 1968. Bien que nombre de journaux –dits « nationalistes »- poussèrent un cri d’alarme, ils ne furent pas entendus et l’hebdomadaire « Minute », dans son édition du 7 novembre 1968, résuma alors avec lucidité et clairvoyance -et de façon prémonitoire- l’état des lieux : « De véritables villes arabes surgiront peu à peu dans nos grandes cités comme Harlem à New-York. Or, ces villes arabes deviendront les fiefs d’une communauté étrangère inaccessible car… l’indépendance algérienne a sonné le glas de toute assimilation d’ensemble de la communauté nord africaine de France. A quelques heureuses exceptions près, les arabes forment sur notre sol un monde clos et non perméable… « L’inadaptation, la misère, la réaction instinctive d’autodéfense de la population française ne feront qu’exacerber le particularisme de la minorité algérienne de France et transformer ses médinas en places fortes révolutionnaires… »

« Le Back Power menace aujourd’hui l’existence même de l’Amérique. Nous risquons de voir dans vingt ans quatre millions d’Algériens revendiquer chez nous le pouvoir arabe ».

Cela fut écrit il y a 43 ans ; qui eut la bienveillance de l’entendre ? Aujourd’hui la prophétie se réalise rendant vivants ces vers de Théophile de Viau dans « Elégie » :

            « Dans ce climat barbare où le destin me range,

              Me rendant mon pays comme un pays étrange. »

            De nos jours, compte tenu des milliers de naturalisations effectuées depuis 1962, du nombre important de Maghrébins séjournant en France et de l’importance des clandestins, nul n’est en mesure de chiffrer avec exactitude leur nombre. Néanmoins, selon Yves-Marie Laulun, directeur de l’Institut de géopolitique des populations (Monde et Vie du 16 juillet 2011), la population immigrée née sur le sol français (donc « française de papier ») représente 7 à 8 millions de personnes, soit plus du dixième de la population française. Ces personnes sont originaires, pour l’essentiel, de l’Afrique noire, du Maghreb et un peu de Turquie et représentent politiquement un vivier électoral très intéressant, ce qui explique l’attitude du parti socialiste, par exemple, qui souhaiterait capter ces suffrages pour s’emparer du pouvoir (dixit, Y- Laulun)… d’où la proposition de loi en faveur du vote des étrangers lors des élections municipales, déposée et votée par la Gauche, le 8 décembre 2011, dans un Sénat désormais à sa solde…

          Le vote musulman aura également un impact majeur sur les prochaines élections présidentielles et législatives. Plus de 10% de l’électorat français est en effet musulman. Et c’est la part la plus jeune de la population, représentant presque un quart des moins de 20 ans. Leur impact politique ira croissant. Dans certaines villes, la moitié de la population est musulmane et il va devenir impossible pour la droite de gagner ces circonscriptions, à moins que les français de souche votent unanimement à droite… plus spécialement pour le FN. Beaucoup de Français semblent, enfin, réaliser que ces élections sont l’une des dernières chances pour eux de préserver quelque chose de l’ancienne France. Et les statistiques les plus optimistes s’accordent à dire qu’en 2030, sur une population française de 68 millions, il y aura 20 millions d’Afro-maghrébins, soit 30% de la population française… ce qui laisse augurer un changement radical dans la gestion de bon nombre de collectivités locales et territoriales…

En janvier 2011, les chiffres de la natalité française furent annoncés avec faste : L’INSEE venait de publier un claironnant bilan démographique que nos journalistes, tout sourire, répercutaient : La France comptait désormais plus de 65 millions d’habitants. Soit 10 de plus que lors de l’élection de François Mitterrand en 1981. Quel exploit ! Cette augmentation du nombre d’habitants s’expliquerait, selon l’INSEE, par l’allongement de la durée de vie en hausse depuis 2000, mais aussi (et surtout) par un taux de fécondité de 2,01% qui ferait de la femme française la championne d’Europe. Et il ne s’est trouvé aucun journaliste, aucun politique, aucun adepte des « droits de l’homme » pour s’interroger sur ce bilan flatteur…

En réalité, sur 830 000 naissances recensées en France en 2006, 165 000 venaient de cette population issue de l’immigration. Le taux de fécondité de la population française « de souche » est de 1,6%, celui des Maghrébines en France est de 2,7% et celui des Noires d’origine africaine, 4,2% (source, idem que précédente). Donc, sur 65 millions d’habitants en France, il y a combien de Français réels ? Qui pourrait le dire avec courage et lucidité ?

Concernant l’immigration en général, selon Eric Besson, l’opportuniste transfuge du PS (alors Ministre de l’immigration du premier gouvernement Sarkozyste), pour la seule année 2009, 6 000 personnes ont été régularisées ; 29 288 étrangers en situation irrégulière ont été expulsés, tandis que 173 991 titres de séjour ont été délivrés et 108 275 étrangers ont acquis la nationalité française (en 2008, ils avaient été, déjà, 107 000), ce qui place la France en tête des pays européens  pour l'acquisition de la nationalité. Sur les huit premiers mois de l’année 2010, comme l'attestent les chiffres officiels des services de l'immigration, non seulement l'immigration n'est pas stoppée, ni même ralentie mais la situation continue à s'aggraver : 122 246 autorisations de long séjour ont été accordées, soit 9 % de plus que sur la même période de 2009, année déjà catastrophique et 6 597 statuts de réfugié ont été accordés pour ce laps de temps, contre 6 786 personnes pour toute l'année 2009. Selon l’OFPRA, Il a été déposé en 2010, 52 762 demandes d'asile, faisant de la France la première destination européenne.

Il y a également toujours plus de Français de papier puisque, durant cette période, ce sont 67 300 personnes qui ont été naturalisées françaises par décret. Par ailleurs, le délai moyen pour une naturalisation est passé de douze à cinq mois. Il y a eu enfin 19 042 renvois d'étrangers en situation irrégulière au cours des huit premiers mois, contre 19 456 pour la même période de 2009, donc quasi pas d'augmentation. Mais il y a plus grave ! En septembre 2010, selon « Valeurs actuelles » du 9 décembre 2010, Eric Besson a reconnu que « 75% des reconduites à la frontière n’ont pas été exécutées »… ce qui rendrait, dès lors, peu crédible le chiffre des expulsions annoncées… Pour conclure : En janvier 2011, il a été délivré 23 504 titres de séjour (+ 42,1% en un an). Le nombre de demandeurs d’asile a également grimpé de 17,4% (à 3 899) et celui des naturalisations de 19,4% (à 13 337).

Dans une étude parue dans le National Zeitung du 11/08/2006, Herbert Vonach, Professeur d’université autrichien écrivait : « Ce n’est pas parce que l’on décidera de naturaliser tous les étrangers que les problèmes y afférents disparaîtront »… « Quand j’ai mené cette étude, je me suis d’abord posé la question de savoir si mon petit-fils appartiendrait dans son propre pays à une majorité ou à une minorité. Je n’ose penser à cette dernière éventualité ».

Et quand on pense que le Ministre Besson, lors de sa visite dans la Cité des 4000 à la Courneuve (là même où un certain Ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Président de la République, avait promis de nettoyer ces zones de non droit au « kärcher »… mais qui a, en réalité, seulement « kärchérisé » les forces de l’ordre en supprimant 9 500 postes de gendarmes et de policiers) avait déclaré sans le moindre scrupule : « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion ; c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »… comment voulez-vous que ce « conglomérat de peuples », encouragé comme il l’est, accepte la moindre assimilation ? Car, l’assimilation c’est devenir comme autrui, chez autrui alors que l’insertion, c’est vivre comme chez soi, chez autrui. La plupart de ces immigrés, essentiellement africains et maghrébins, veulent bien bénéficier des lois sociales françaises, mais ils en refusent les devoirs. La majorité d’entre eux, ne veut pas adopter notre langue -hormis celle de la « zone »- (Pour éviter les mots un peu élégants, on ramasse ceux du ruisseau, disait Maurice Druon), notre culture, notre genre de vie, en un mot s’intégrer dans notre société… c'est-à-dire s’adapter ou se conformer aux modes d’existence du pays d’accueil. Par conséquent, ils veulent vivre selon leurs traditions et la loi coranique intégriste, en formant des îlots étrangers aux abords des villes. « Quand un peuple n’ose plus défendre sa langue, il est mûr pour l’esclavage », soutenait Rémy de Gourmont.

            Parmi les communautés étrangères établies sur le sol national, la communauté islamique est la plus marginalisée. En effet, tout les distingue des autres immigrés, leur culture, leur religion, leur histoire et leur aspect physique. L’immigré européen devra apprendre la langue française –ce sera sa seule difficulté- car les fondements intellectuels et moraux de son univers et de celui où il va vivre ne connaissent que des différences de degré. L’immigré musulman, au contraire, connaîtra une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens.

            En 1969 – déjà !- dans son n° 704 du 8 mars, le journal « Entreprise » alertait l’opinion publique : « On ne peut pas ne pas se poser la question de leur assimilation. Le langage, les mœurs, l’apparence physique, les habitudes familiales, sociales, religieuses creusent dans leur cas un fossé, sans comparaison avec les barrières relativement faibles qu’on dû franchir les immigrants européens ». A priori, ce cri d’alarme n’a pas été entendu…

      Concernant les « Français » d’origine algérienne, cette attitude peut se comprendre aisément dans la mesure où ces « Français de papier » restent sentimentalement algériens, s’estimant les héritiers des vainqueurs de la guerre d’indépendance. Et il en est de même pour leurs coreligionnaires tunisiens et marocains. A cet effet, il n’est qu’à se remémorer les incidents survenus au Stade de France lors des rencontres de football opposant la France à l’Algérie et à la Tunisie pour en être convaincu… « La France est devenue la colonie de ses colonies ! » a déclaré sur ce point Vladimir Poutine.

« Les français qui n'ont pas voulu de l'Algérie Française auront un jour la France algérienne » a écrit dans son livre « D'une Résistance à l'autre », Georges Bidault, l’ancien chef du Conseil National de la Résistance. Il reprenait là, en quelque sorte, cette déclaration du redoutable chef terroriste du FLN qu’était Larbi ben M’Hidi, lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».

Nos hommes politiques devraient méditer sur cette déclaration prémonitoire...

Le 17 mars 2011, le Ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, déclarait sur « Europe 1 » : « Les Français, à force d'immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux, ou bien ils ont le sentiment de voir des pratiques qui s'imposent à eux et qui ne correspondent pas aux règles de notre vie sociale. » Ainsi, tandis qu’à gauche on se réjouit de cet apport d’électeurs potentiels ; à droite, on se contente d’en établir l’amer constat sans pour autant apporter de solutions…

Et le plus grave reste à venir dans la mesure où nos élites « bien pensantes » -entre autres celles du Haut Conseil à l’Intégration- ne cessent de nous rabâcher, dans un grand concerto libéral, que la France va devoir impérativement accueillir dans les prochaines décennies plusieurs millions (sic) de nouveaux immigrés pour à la fois assurer son renouvellement démographique, pérenniser son système de retraites et relancer son développement économique, ce qui rend actuelle cette déclaration de Malika Sorel, écrivain, journaliste d’origine algérienne, parue dans le magazine « Le spectacle du Monde – Octobre 2000 » : « La France s’autodétruit sans rendre service aux immigrés ». Mortifiant sujet de réflexion…  

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano.

 

« Je n’ai pas une goutte de sang français mais la France coule dans mes veines…» [Romain Gary (Roman Kacew de son vrai nom)]

« J’ai eu une discussion de fond avec Nicolas Sarkozy à l’Elysée à la fin de l’année dernière ; il m’a dit : «Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable. » Déclaration de Philippe de Villiers, 4 juin 2009. 

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8 Décembre 2011 

Mesdames, Messieurs, chers amis,

C’est aujourd’hui que le Sénat examine une proposition de loi socialiste visant à accorder le droit de vote aux étrangers aux élections locales.

Inutile de vous dire que je suis résolument contre le droit de vote aux étrangers. 

Le droit de vote est un attribut de la citoyenneté, et la citoyenneté est indissolublement liée à la nationalité. 

C’est notre règle républicaine depuis toujours, c’est notre tradition nationale, et il n’est pas question d’en changer. Il n’est pas question non plus de retirer aux Français le dernier privilège qui leur reste : le droit de voter pour choisir leurs représentants.

Seuls les Français doivent pouvoir voter et choisir leurs représentants en France !

Ce principe n’est pas négociable, et s’il ne doit y en avoir qu’une pour le défendre, ce sera moi !

J’alerte ainsi sur cette proposition de loi socialiste, que je considère antirépublicaine et dangereuse pour notre démocratie.

Car ne soyons pas dupes, si le PS soutient le droit de vote aux étrangers, c’est bien évidemment pour des raisons électoralistes.

Le but est de récupérer de nouvelles clientèles électorales, quitte à fouler au pied tous les principes qui font la France.

Marine LE PEN, Présidente du Front National

- Cliquez sur : Il s’en est fallu de peu, 173 voix pour, 166 voix contre. Mais, au final, la proposition de loi sur le vote des étrangers aux municipales a été adoptée par le Sénat.

- Cliquez sur : L’immigration pour le PS : s’assurer des millions d’électeurs potentiels en plus 

- Les sondages disent ce qui les arrange. Cliquez sur : http://www.petitsechodoran.com/cap-sur-2012/sondages-toujours,a2985229.html

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Scandale sur les retraites : Les étrangers touchent une retraite en France sans avoir jamais cotisés !

Cliquez sur : http://www.europe-israel.org/2011/02/scandale-sur-les-retraites-les-etrangers-touchent-une-retraite-en-france-sans-avoir-jamais-cotises/#ixzz1fSNLp3wK

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- Alors que les médias n’ont eu de cesse de rappeler durant 18 mois l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien fut créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 31 decembre 2011, 18184 jours que des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation.  Ne les oublions pas

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Pour revoir: 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles - 

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