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26 janvier 2012

ISLAM ET INSÉCURITÉ

« Le droit du sol c'est cette aberration qui équivaut à prétendre qu’un cheval né dans une étable serait une vache... » (Alain Sanders, journal « PRESENT »)

 

« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » (Albert Einstein)

 

          Parmi toutes les décisions gouvernementales qui ne cessent d’affaiblir notre pays, il en est une qui mérite l’oscar de l’incompétence et de la sottise… Le 29 avril 1976, l’un de nos illustres Présidents, Giscard d’Estaing, flanqué de son inénarrable Premier Ministre, son « ennemi intime » Jacques Chirac, s’étaient érigés en « sauveur de la France » en imposant par décret l’une de leurs idées géniales qui firent leur notoriété : Le « regroupement familial des immigrés », prélude à « l’invasion » qui allait, très vite, permettre de dépasser le seuil de 7% de la population –préjudiciable, selon Giscard- à l’Unité nationale. Le fait de permettre aux immigrés non-européens installés en France de faire venir leurs familles transformait une immigration de travail en immigration de peuplement, ouvrant ainsi grandes les portes à cette invasion qui allait très vite devenir une catastrophe pour la France.

          Ainsi, pour avoir voulu faire de ce regroupement un moyen d’intégration basé sur la conviction irénique que des communautés raciales diverses pouvaient cohabiter harmonieusement sur un même territoire, on en a favorisé une cohabitation d’origines diverses, de mœurs différents, de cultures, de croyances qui ont immanquablement entraîné des frictions, des conflits, et il faut bien le dire, un sentiment de frustration de la part des populations autochtones. Ce multiculturalisme s’est traduit par un échec retentissant, tant en France que dans le reste de l’Europe, échec reconnu par ailleurs, tant par le Premier Ministre britannique David Cameron, que par la chancelière allemande Angela Merckel.

 A cela s’est ajouté un afflux de naturalisations qui ont permis à bon nombre de ces « Français de papier » –considérant la France comme une vache à lait- de bénéficier amplement de notre Sécurité Sociale, des Allocations familiales, des Allocations logement et naturellement des indemnités de chômage. Ces naturalisations anarchiques ont également eu pour conséquence de contourner l’opposition des Français au droit de vote des immigrés et d’altérer, ainsi, la sincérité des scrutins au détriment des mouvements nationaux. Et le pire reste à venir quand on pense qu’Eric Besson s’est prononcé, le 10 janvier 2010, dans le cadre du débat sur l’identité nationale, en faveur de l’octroi du droit de vote aux étrangers « dans les dix ans à venir »…

          Par ailleurs, usant et abusant des largesses de l’Administration française, les familles polygames –sous couvert de coutumes ineptes- se multiplient et aggravent les déficits. Il y en aurait plus de trente mille actuellement en France… « Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’était déjà exclamé en son temps le duc de Saint-Simon.

          Aujourd’hui, le « regroupement familial » a contribué à travestir bon nombre de villes françaises ou tout au moins de quartiers, en colonies africaines et maghrébines : Montreuil est, désormais, la deuxième ville du Mali au bord de la Seine ; Vénissieux le deuxième centre du Maghreb… Et aussi : rue Très Cloître et le quartier de la Villeneuve à Grenoble ; le quartier des « explorateurs » du Val-Fourré situé à Mantes-la-Jolie ; le XIe arrondissement, l’ilôt de Châlon, Barbès et Clichy à Paris ; la cité des 4000 à La Courneuve ; celle des Merisiers à Tremblay et celle de la cité de Sevran (Seine-Saint-Denis) ; la cité des Bosquets à Montfermeil et celle des Moulins à Nice ; le quartier des Tarterêts à Corbeil-Essonnes ; Les Mureaux (Yvelines) ;  les Minguettes à Lyon-Vénissieux ; la cité des Bleuets, celle du Clos de la Rose, La Cayolle et Bassins à Marseille… en attendant la célèbre Cannebière qui se « maghrébise » inexorablement… sont les plus célèbres, mais non les seuls ; elles prolifèrent désormais… Ce sont de véritables enclaves, des ghettos d’immigration, où non seulement les Français n’ont plus le droit de pénétrer, mais où les autorités étatiques : police, pompiers, médecins, services publics ne peuvent exercer normalement leur mission et où les bus sont régulièrement caillassés… quand ils ne sont pas incendiés. « En France, la frontière passe désormais au milieu de certaines banlieues ! » écrivait Salomé Zourabichvili, femme politique et diplomate ayant la double nationalité française et géorgienne. De cela, tout le monde est convaincu. Tout le monde… sauf Martine Aubry qui, le 16 juin 2011, au JT de 20h sur TF1, répondait sans vergogne à Laurence Ferrari « qu’il n’existait pas, en France, de zones de non-droit ». Pour une candidate présidentiable briguant à cette époque la magistrature suprême, il y avait vraiment de quoi s’inquiéter quant au devenir de la France…

          Ce ne sont désormais plus des manifestations revendicatrices qui ont lieu… mais de véritables scènes de guérilla urbaine, préludes à une inévitable guerre civile que les plus avertis prophétisent déjà et qui se généralisent dans toute la France, sous l’œil désabusé des forces de l’ordre… dont l’action est le plus souvent neutralisée par celle de la magistrature qui devrait s’inspirer de cet avertissement de Léon Trotski : « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais ».

          Ainsi, régulièrement, des jeunes gens cagoulés se livrent au pillage, aux incendies et aux destructions et quand, enfin, l’ordre est donné aux forces de l’ordre d’intervenir après moult saccages, elles sont accueillies avec des jets de pierre, des barres de fer, des battes de base-ball, des cocktails Molotov et, désormais, avec des armes à feu à balles réelles, ce qui constitue un degré supplémentaire dans la transgression sociale et pénale. Voilà où nous a conduit l’immigration-invasion dont sont responsables nos politiques de tous bords ainsi que toutes ces associations adeptes de la tartufferie des droits de l’homme et de l’antiracisme. Et si le citoyen français, las de ces insubordinations, de ces dégradations et de ces violences quotidiennes, dénonce et clame son aversion envers les auteurs et les complices de tant de méfaits, il est aussitôt traité de raciste et de fasciste. C’est ainsi que quand un Sénégalais tue un Mauritanien ; quand un Algérien tue un Ivoirien ou vice-versa, les médias  parlent de « luttes interethniques » ; quand un Européen tue un Maghrébin, les médias nous parlent de « crime raciste » mais quand un Maghrébin tue un Européen, les médias ne nous en parlent pas ou le font en taisant l’origine ethnique du meurtrier. « En France on punit ceux qui sonnent le tocsin et on laisse en liberté ceux qui allument l’incendie » aimait à dire ce grand Français qu’était le Bachaga Boualam…

          Par opposition, le nombre des immigrés asiatiques est assez important en France, notamment à Paris… mais on ne les entend pas. Ils travaillent, ne représentent aucune charge pour la société et appliquent les règles élémentaires de la bienséance, de l’honorabilité et de la respectabilité.

          Le couloir de l’insécurité, aujourd’hui, du Havre à Marseille, en passant par Paris et Lyon est aussi celui de l’immigration ; les statistiques pénales et pénitentiaires montrent d’ailleurs, de manière incontestable, l’existence d’une très forte sur-délinquance maghrébine et africaine, qui joue un rôle moteur dans le développement de l’insécurité. Car lorsqu’ils apparaissent, le vandalisme et la délinquance créent les conditions de leur propre développement par la contagion de l’exemple.

          Dans un dossier spécial consacré à la délinquance étrangère, le journal Marianne, que l’on ne peut soupçonner de complaisance envers le FN, indique dans son édition du 9 janvier 2012, que d’après les statistiques officielles, les étrangers sont sur-représentés dans la délinquance. C’est ainsi qu’en 2010, 12,64% des condamnés pour crimes (punissables de plus de 10 ans de prison) étaient des étrangers, cette proportion étant de 12,58% pour les délits. Pour indication, en 2008, on comptait 5,8% d’étrangers dans la population active totale. 

          Désormais, dans bon nombre de cités, forts de leur impunité et de la terreur qu’ils font régner, les caïds font la loi considérant appartenir à un autre territoire que celui de la République : Le leur !  C’est ainsi que selon le journal « Le Monde » du 6 mai 2010, le crime et la délinquance ont coûté 115 milliards d’euros de juillet 2008 à juin 2009, soit 5,6% du PIB de la France, autant que l’éducation nationale ou le système hospitalier et que, selon « Le Cri du Contribuable » du 1 juin 2010, le coût annuel pour les finances publiques de la politique migratoire (immigration/émigration) de l’Etat est de 38,3 milliards d’euros, dont 30,4 milliards pour la seule immigration. Que de réalisations pourrions-nous accomplir avec cet argent !... Que d’avancées dans les domaines de la science et de la médecine pourrions-nous obtenir !... Que de misère pourrions-nous soulager !... «Les personnes issues de l’immigration renvoient une image épouvantable au reste de la population. Les Français ont une mémoire. Ils ont accueilli de nombreux flux migratoires. Ils n’ont jamais assisté à un tel déchaînement de violence, une telle haine…» a déclaré à ce sujet Malika Sorel, écrivain-journaliste d’origine algérienne.

      Et l’ultime Crédo du général Marcel Bigeard  nous incite à la réflexion quand il déclare en guise d’adieu : « Adieu ma France... Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée... Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ? »

Oui, mon général, qui sauvera la France ?

José CASTANO (petit fils d’immigrés espagnols)

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano. 

"A force de tout voir on finit par tout supporter...
 A force de tout supporter on finit par tout tolérer...
A force de tout tolérer on finit par tout accepter...
A force de tout accepter on finit par tout approuver"(Saint Augustin)

 

Et ces vers prémonitoires qui datent du XVIème siècle…

« France de ton malheur tu es cause en partie,
Je t'en ai, par mes vers, mille fois avertie.
Tu es marâtre aux tiens, et mère aux étrangers
Qui se moquent de toi quand tu es en danger,
Car la plus grande part des étrangers obtiennent
Les biens, qui à tes fils, justement appartiennent »
(Pierre de Ronsard - 1524 -1585)

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"L’islam n’est plus à considérer comme une simple religion mais comme un fait politique majeur de notre temps (…) C’est un phénomène absolument socio-politique, c’est une idéologie de lutte, c’est une idéologie d’agression."  (Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris)

Voir la vidéo sur BFM TV / RMC au cas où certains seraient sceptiques :

http://www.defrancisation.com/dalil-boubakeur-islam-est-une-ideologie-agression/ 

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- A Paris, scène de la vie quotidienne… (Vidéo tournée sur la ligne 1 du métro : Château de Vincennes / La défense) – Cliquez sur :

    http://www.nationspresse.info/?p=124099 

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INSECURITÉ : La France devient un pays qui abrite toute la « racaille » du monde ! La racaille fait la loi dans nos rues, les pouvoirs publics sont dépassés car police et justice ont baissé les bras ! Cliquez sur : Lire la suite 

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Cliquez sur : Délinquance étrangère : les chiffres qui dérangent tout le monde                                  

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Et quatre de plus !... 82 soldats français morts depuis 2001

 

Après les deux légionnaires tués, le 29 décembre 2011, par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, quatre autres soldats français ont été tués, vendredi 20 janvier 2012, par un homme relevant de cette même armée afghane dans l'est de l'Afghanistan. Selon la sécurité afghane, 17 soldats français ont par ailleurs été blessés. Quatre-vingt-deux soldats français sont morts en Afghanistan depuis le début du déploiement de la force internationale sous l'égide de l'ONU, fin 2001. Désormais l’ennemi n’est plus seulement le taliban… mais « l’allié » afghan, celui que l’on est censé aider.

Monsieur le Président, où conduira votre orgueilleuse intransigeance ? Combien  de nos garçons devront encore se faire tuer avant que vous décidiez, enfin, de les rapatrier ? Que retiendra l’Histoire, dans ce domaine, de votre quinquennat ?

http://www.defense.gouv.fr/terre/bloc-a-la-une/afghanistan-4-militaires-francais-tues-par-un-soldat-afghan

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Conférence sur : « LA KAHENA »

(La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN)

 

          « Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…

          Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »

          C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.

 

- Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sabl.over-blog.com

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Pour revoir: 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles - 

Ses ouvrages, cliquez sur : -Ma Bibliographie – 

Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –  

Sa biographie, cliquer sur : - Ma Biographie – 

Son blog, cliquer sur : - Mon Combat - 

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Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme : "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

 

 

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26 janvier 2012

AUTOUR DU DRAME ALGERIEN

De I.N.A. à voir en plein écran.

Retour à toutes les vidéos.

24 janvier 2012

LE DRAPEAU FRANCAIS EN BERNE

7 HERISSON étoile

La raison d'état est une raison mystérieuse inventée par la politique pour autoriser ce qui se fait sans raisons. Saint Evremond

La France est en état de péché mortel. Elle connaîtra un jour le châtiment. Maréchal Juin 

LETTRE OUVERTE A NOS POLITICARDS 

        Décidément, pas moyen d'hiverner en paix pour le modeste mammifère que je suis et reste. Il est vrai que mon menu quotidien fait de vers rampants, de serpents ou de vipères, me fait être très vigilant et rester à l’affût de cette prostituée d'actualité.

        Les médias de ce jour 20.01.12,  nous informent sur la montée constante d'un bien triste et sinistre record, celui de nos malheureux enfants assassinés à ce jour en Afghanistan. Un peu comme si les susvisés de la présente eussent souhaité un second Dien-Bien-Phu, ou qui sait, peut-être  pour rester dans la lignée des traîtres, un nouveau 19 Mars 1962, comme le souhaiteraient certains ( pas tous heureusement) anciens combattants, n'ayant du combattant qu'une piètre image, heureusement non partagée par ceux qui méritent cet héroïque qualificatif. 

        La mort aujourd'hui de 4 de nos enfants porte à 82 le nombre de soldats français assassinés en Afghanistan depuis 2001  par des fanatiques fous d’Allah. (La décision a été prise en 2001, sous le gouvernement de Lionel Jospin, après un débat au Parlement)

        En outre, le malheureux Gilles Jacquier, grand reporter de la chaîne de télévision France 2, a été tué lui aussi mercredi lors d'un reportage à Homs dans le centre de la Syrie.  

Son « de profundis » a été : je cite : «  Il avait choisi ce métier » Ben, voyons !

        La responsabilité de nos gouvernants sous couvert de l'Otan, est tangible, visible et palpable. En matière de connerie internationale, là nous pouvons revendiquer  les 3A.  

        Gérard Longuet affirme qu'ils n'étaient pas armés et reconnaît donc qu'ils ont été mal proprement assassinés. Il se rend sur place tandis que Nicolas Sarkozy évoque un retrait accéléré de l'armée française. Mais de quoi nous mêlons-nous ? Nos oignons, c'était l'Algérie Française et vous voudriez jouer les fiers à bras avec ces enturbannés qui ne pensent qu'à asservir le monde avec leurs putains de pétrodollars. Comment expliquer cette situation désastreuse que nous vivons dans un pays où nous n'en avons rien à faire et dont nous n' en avons rien à foutre ?. Balayons le seuil de nos portes d'abord, non ? La France en a bien besoin.

        Nous ne sommes informés que de ce que l'on veut bien nous dévoiler. Selon des sources journalistiques, l'attentat a été menée à l'intérieur même de la base militaire de Gwam, contrôlée par l'armée française, là   où il n'y a que du menu fretin afghan et des formateurs français. 

        Ces derniers se détendaient par le biais d'une séance de footing, au moment où un forcené venu de ce fretin pas si menu que çà, a tiré sur nos p'tits gars désarmés . D'où quatre victimes et une quinzaine de blessés dont huit grièvement .

        Les victimes appartiennent au régiment de génie de Saint-Christol (Vaucluse) de la Légion étrangère et au 93e régiment d'infanterie de montagne de Varces (Isère).

        C'est la deuxième fois que des militaires français sont la cible de ces forcenés. Le 29 décembre dernier, deux légionnaires avaient déjà été tués par un homme de l'armée nationale afghane. Mais de nombreux autres soldats de la coalition internationale ont été visés par ce mode opératoire, en pleine extension depuis un peu de plus deux ans. Et sans un repli immédiat et souhaité de toutes leurs forces par les parents ou alliés de ces jeunes, lesquels faute d'un travail en France, prennent ce qu'ils peuvent en jouant leurs existences à la roulette de la vie, nous aurons d'autres assassinats délibérés à déplorer, remplacés par des minutes de recueillement au garde-à-vous avec des mines de circonstances, devant les cercueils de nos chers disparus et des remises de médailles ne valant absolument pas une vie volée au détriment de ces malheureux, de leurs veuves et de leurs orphelins.

        Je vais plagier Corneille dans « Horace » : Que vouliez-vous que ces gosses fissent contre un pays entier diabolisé qui n'a eu besoin de personne ( sauf de la complicité de la C.I.A) pour se défaire de la tutelle soviétique ? La réponse adéquate de nos dirigeants eût été illico presto: « Qu'ils mourussent ou qu'un juste désespoir, alors les secourut »

        En remontant l'histoire, notre histoire d'Algérie ex Française, jusqu'au 19 Juin 1962, après la citation du Maréchal Juin évoquée en en tête de ce modeste récit, un autre des officiers révoltés et écœurés Le capitaine Michel Alibert (pardon de vous citer, mon Capitaine ) employant une métaphore, avait osé déclaré après cette date maudite qui fait bander les soi-disant anciens combattants, le 19 Juin 1962 (je cite) :Je ne m'attendais pas à être condamné à mort  » Personnellement, j'étais profondément blessé. J'envisageais même de démissionner. Moi, simple soldat pour qui l'Algérie française avait été jusqu'alors quelque chose de très vague, et qui était loyal, j'attendais de De Gaulle qu'il nous dise quelque chose comme :« Messieurs, l'intérêt national a changé. Ce que j'ai cru possible il y a trois ans, je m'aperçois que ça ne l'est plus. Nous allons rentrer en France. Ceux qui laissent tout ici seront dédommagés. Ils retrouveront en France tout ce qu'ils ont perdu. Et nous ramènerons avec nous tous ceux qui ont cru en nous, quelle que soit leur religion, chrétiens, juifs, musulmans. » Si j'avais entendu ce discours, je ne serais jamais passé de l'autre côté. Je ne pardonne pas à de Gaulle sa duplicité, ce mensonge délibéré.

        Ce De Gaulle, cet ignoble menteur est toujours adulé par ses partisans ou leurs descendance, mauvais sang ne saurait mentir.

        Mais seul Dieu sait séparer le bon grain de l'ivraie. Alors attendons son jugement lequel sera définitif envers tous ceux qui se cachent derrière lui pour justifier leur attitude.

        Ca fait beaucoup marrer les gens de voir qu'on peut se moquer de la politique, alors que dans l'ensemble, c'est surtout la politique qui se moque de nous.
COLUCHE

A la prochaine, Amis très Chers. 

Postscriptum : Un ami qui m'est cher vient de m'adresser ce document INA que je vous prie de regarder jusqu'au bout si vous avez le cœur bien en place. Ceux qui ignorent pourquoi l’Algérie Française, avant de baisser les bras, a pris exemple sur notre mère patrie quand elle s'est révolté par le biais et à travers les FFI face aux hordes germaniques, comprendront pourquoi et comment la politique Gaullienne s'est confrontée à l'O.A.S.

Voici les liens pour voir ces données de l'INA sur le drame Algérien : Vidéo chez popodoran

          Document INA, l'Algérie en 1956. Très beau document un peu d'histoire, pour le souvenir de certains qui parlent de repentance. Attention certaines images sont insoutenables !!!!!

        Très certainement des souvenirs pour certains. J’ai pris beaucoup d’intérêt à visionner ce film.

        L’Algérie en 1956.  C'est un petit film réalisé par un reporter Français métropolitain de la RTF donc par l'Etat.  Ce court reportage sur l'état de l'Algérie en 1956 est " remarquable "pour les raisons suivantes :   Il n'a pas été réalisé a posteriori par des Français des Départements Français d'Algérie. De ce fait il ne peut être suspecté de manipulations, de mensonges et de manque d'objectivité.

         Le ton du commentaire est neutre est très naturel. - Ce reportage a été tourné comme l'on dit maintenant en temps " réel ", les images (dont certaines sont à la limite du supportable par la barbarie des atrocités du FLN ) sont authentiques.

         Il décrit rapidement mais parfaitement l’œuvre réalisée par la France au travers des citoyens de ces départements, de 1830 à 1956.  A l'heure où la " mode " est à la repentance ce document mérite d'être visionné. Jugez par vous-mêmes. La qualité de l'image est excellente malgré le temps passé.

BON COURAGE. Et un belle papatte d'honneur du Hérisson pour ceux qui trouveraient ma littérature trop hard.

LE HÉRISSON VOUS  SALUE BIEN            ET TOUJOURS A VOTRE SERVICE.

A tchao et à la prochaine si Dieu le veut.

01

Retour coups de cœur.

22 janvier 2012

LES DISPARUS

20 janvier 2012

MONA ORANAISE

Monas de Françoise

Notre petite histoire du gâteau de Pâques "LA MONA"

     Ce gâteau de Pâques qui réveille tant de bons souvenirs parmi les Oraniens, a toujours été désigné, chez nous en milieu hispanophone par le mot Mona. L’appellation Mouna n’étant qu’un accommodement à la française.

     Dans les faubourgs populaires de Sidi-Bel-Abbès et des autres villes d’Oranie, l’authenticité du mot Mona était jalousement préservée de génération en génération.

     Le peuple Oranien avait certes des racines métropolitaines, régions d’Alsace Lorraine, Languedoc, Alpes de Provence, Sud-Ouest,  Corse, Paris, des racines italiennes, napolitaines essentiellement, mais aussi des racines espagnoles, régions des Iles Baléares, de Valence, d’Alicante, de Murcie et d’Almeria. La colonie ibérique constituait, à elle seule, plus de la moitié de la population européenne.

     Pour en revenir à notre gâteau, on nous propose dans les grandes surfaces, à l’approche de Pâques, des mounas, bien sûr, étiquetées de la façon suivante : « Pâtisserie méditerranéenne ». Pour les besoins commerciaux, l’amnésie est ici totale. De la Mona espagnole, honorée en Oranie, nous passons allègrement à la mouna de tout un bassin méditerranéen.

Alors ! Quelles sont les origines de ce gâteau ?

     Si on raisonne à partir du mot mouna, on se perd en conjectures. On affirme alors, sans rire, que les Oranais allant fêter le lundi de Pâques sur les pentes boisées du fort Lamoune, baptisèrent ce gâteau ‘mouna’ par analogie avec le lieu habituel de leurs réjouissances. Or les adeptes de ce pique-nique étaient à 90% des hispanophones ou descendants d’hispanophones. Ils savaient  très bien, eux, qu’à l’heure du dessert, ils mangeaient la mona de leurs parents ou grands-parents. Ce serait les traiter avec beaucoup de légèreté que de leur faire injustement endosser la paternité du mot mouna.

     Que dire alors de l’immense majorité des gens de Sidi-Bel-Abbès, Tlemcen, Ain-Temouchent, Saint-Denis du Sig, Perrégaux, Mostaganem, Mascara, Saïda, Tiaret, etc. qui de père en fils ont pétri et dégusté des monas et qui n’ont jamais entendu parler du Fort Lamoune Oranais.

     Une autre explication, aussi fantaisiste que la précédente, établissait une relation entre le nom du gâteau, Mona, et des morceaux de brioches que les prisonniers du Fort balançaient aux singes du haut de leurs fenêtres. Certes, si l’on  appelle, en espagnol, Mona, la guenon à queue courte, le mot a ici une étymologie totalement différente.

     Même remarque pour ceux qui pensent que ‘mico’ signifie une petite Mona, gâteau.

     La confusion vient de ce petit travers de plaisantins qui illustrait souvent notre discours, un peu à l’instar des Andalous. Nous aimions beaucoup faire usage de jeux de mots, de mots équivoques, de traits d’esprit. Ce que les Espagnols appellent « un chiste» ou  bien « una broma»

     Ainsi lorsqu’un enfant peu sage demandait à sa maman qu’elle lui fît des monas, celle-ci, agacée, lui répondait souvent : « Oui ! C’est ça, je vais te faire des monas  et des micos ». Les « micos »désignant une autre variété de singes, à queue longue celle-là. Il s’agissait bien sûr d’un jeu de mots. La maman, peu encline à lui être agréable, ne pensait ici qu’aux deux variétés de singes.

     Pour ceux qui faisaient la fine bouche ou qui n’appréciaient pas assez cette pâtisserie, il était de bon ton de leur dire : « Si tu n’aimes pas les monas, eh bien, mange des micos ». Encore une plaisanterie où l’on propose à l’interlocuteur de croquer une seconde variété de singe, en feignant de comprendre qu’il n’aimait pas la première. On joue ici sur le double sens du mot mona.

     Pour conclure, j’ajouterai qu’il était courant de dire chez nous d’une personne laide, qu’elle ressemblait à un « mico ». Nous ne faisions alors nullement allusion à une petite brioche. C’était bien à un singe que nous pensions.

     Ainsi donc, notre mona et son caractère sacré, symbole pour nous de Résurrection, aura reçu, d’une part, un baptême païen sur les flancs d’une colline oranaise et se sera vu, d’autre part, malicieusement rattachée au monde des singes. Chacun appréciera à sa façon le sérieux  de la chose.

     En fait, dans les quartiers populaires, très hispanophones,  des villes d’Oranie, ce gâteau de Pâques, « religieusement » préparé durant la semaine sainte, était appelé mona, avec l’accent tonique sur le ‘o’ de la première syllabe.

     Ce sont en effet les Espagnols des provinces de Valence et d’Alicante qui ramenèrent chez nous, dans leur panier en osier [cabassette], à partir de 1850 environ, cette pâtisserie, adoptée ensuite par toute la communauté ibérique.

     Le dictionnaire de la « la Real Academia »de langue espagnole définit ainsi le mot Mona (je traduis) : gâteau brioché souvent orné d’un œuf, cuit au four, que l’on mange à Pâques le jour de la résurrection. Le dictionnaire étymologique précise que Mona, gâteau, vient de l’arabe littéraire « mu’na » signifiant «  provisions-vivres ».

     Les gens des provinces d’Alicante et de Valence avaient coutume, le lundi de Pâques, d’aller manger sur l’herbe à la campagne. Ils préparaient, au feu de bois, un riz au poulet et au lapin, les fruits de mer n’étaient pas à la portée de toutes les bourses, ou bien des gazpachos manchegos, galettes émiettées mijotant dans un jus de viandes très  variées, du gibier si possible, préalablement rissolées avec tomate, ail et oignon.

 A l’heure du dessert, ils faisaient alors honneur à la Mona.

     Blasco Ibañez, célèbre écrivain et enfant du Levant espagnol, a admirablement bien immortalisé ces sites charmants de la Huerta, plaine fertile, valencienne. Les champs d’orangers, la Albufera, véritable Camargue, et les bois en bordure de mer, se prêtaient à merveille à cette célébration.

     Cette coutume fut ensuite perpétuée, par l’immigration espagnole, dans tous les coins d’Oranie où  le lundi de Pâques fut communément appelé  « el día de la mona », le jour de la Mona.

     Le mot mouna est apparu dans les récits des premiers chroniqueurs métropolitains, venus chez nous pour rendre compte, aux gens de l’hexagone, de ce qui se passait dans la colonie. Peu hispanophones sans doute ou pas assez curieux, ils débaptisèrent par erreur notre Mona. Elle perdit son accent tonique, très espagnol, sur le ‘o’, on rajouta un ‘u’ et la prononciation se fit plus française par déplacement de l’accent sur le ‘a’ final (mouná).Si les hispanophones restèrent fidèles, jusqu’en 1962, à leur Mona, les autres communautés, surtout dans l’Algérois et le Constantinois adoptèrent la mouna.

     À propos, avez-vous remarqué que nos « mantecaos » ou « mantecados », ces genres de sablés saupoudrés de cannelle, formés à partir du mot « manteca », graisse de porc, apparaissent dans les grandes surfaces sous le nom de « montecaos » ? Pour quelle raison la lettre « o » s’est-elle substituée à la lettre « a » ? Serait-ce les prémices d’une explication rocambolesque à venir ? Eux aussi nous venaient de la péninsule voisine. C’est en réalité, la graisse de porc mise à part, un très ancien legs arabe.

     Alors ! Me direz-vous, mona ou mouna ? Pour moi le choix est fait, je m’en tiens à l’authenticité. Tant que Dieu me prête vie, je continuerai de déguster les monas que ma femme me prépare chaque année au temps pascal et, ce faisant, à la manière de Proust savourant sa madeleine, je verrai défiler dans ma mémoire ces merveilleux souvenirs de notre Oranie.

     Je sais que dans l’hexagone, on trouve tout de même quelques boulangers pâtissiers qui en font de délicieuses. La plupart d’ailleurs sont de chez nous ou apparentés à notre grande famille. Chacun choisira l’appellation qui lui plaira, bien sûr.

     Ce qui est par contre difficile à admettre, c’est cette amnésie au moment d’établir  la vérité des choses. Un peu comme si, voulant gommer des racines culturelles déplaisantes, on remettait les pendules à zéro. Tout devant s’expliquer chez nous, comme dans une germination spontanée, à partir de 1830. Or nos  grands-parents n’étaient pas tombés du ciel. Ils étaient arrivés  de la péninsule voisine, avec une langue, une culture, des coutumes. Ce serait leur faire honneur que de ne jamais l’oublier.

     Si on veut d’ailleurs analyser ou comprendre la personnalité, les us et coutumes du peuple d’Oranie, il faut prendre aussi en considération l’apport de la communauté d’origine hispanique. La fantaisie et la dérision ne sont sûrement pas les moyens les plus appropriés pour le faire. Je crois que chez nous les gens ne se prenaient pas très au sérieux et aimaient bien rire de leurs travers mais ils savaient mieux que personne qu’ « oublier ses racines c’était perdre son âme ».

 Rodriguez Manuel (de Sidi-Bel-Abbès)

 


POUR REALISER LA BRIOCHE 

Ingrédients :

          500g de farine, 10cl d'huile, 1/2 cube de levure de boulanger, 100g de sucre en poudre, 3 œufs, 1 sachet de sucre vanillé, 1 zeste de citron râpé, 1 verre de jus d’orange, 2 cuillères à soupe de fleur d’oranger, 1 cuillère à soupe de rhum brun, un peu de lait tiède.
Décoration : 2 jaunes d'œuf, 1 pincée de sel, 4 sucres en pierre à concasser grossièrement au pilon. 

1° étape

          Délayez la levure de boulanger dans un demi-verre de lait tiède. Laissez reposer à température jusqu'à ce que le mélange commence à mousser. Mélangez dans un saladier (ou au mixer si vous avez une fonction "pâte") la farine, le sucre en poudre dilué avec le jus d’orange et le sucre vanillé, le sel, le zeste de citron. Ajoutez les œufs un à un, l'huile, le rhum, le lait mélangé à la levure. Pétrissezla pâte (idéalement environ 1/4 d'heure). Il faut que la pâte se détache seule des mains.
          Laissez reposer 2 heures à température, dans un saladier recouvert d'une serviette. La pâte doit doubler de volume. Le repos de la pâte doit se faire impérativement à l'abri des courants d'air et dans une température ambiante tiède. 

2° étape

          Séparez la pâte en deux et pétrissez à nouveau la pâte pendant 2 à 3 minutes. Déposez les deux boules sur du papier sulfurisé beurré et laissez monter encore 1h 1/2.
Préchauffez le four à 130° pendant 15 mn. Pendant ce temps, humidifiez la lame d'un couteau et faites deux incisions en forme de croix sur le dessus, battez les deux jaunes d'œuf avec un peu d'eau et badigeonnez-en les monas. Déposez sur le dessus des brioches le sucre concassé.
          Enfournez env. 45 mn. Surtout n'ouvrez pas la porte de votre four pendant le premier quart d'heure mais surveillez la cuisson et augmentez éventuellement vers la fin de façon à ce que les monas brunissent. Une astuce pour voir si les Monas sont cuites piquez les avec la lame d’un couteau , elle doit en ressortir sèche. 

Cette délicieuse brioche se consomme donc traditionnellement à Pâques chez les pieds-noirs. On y rajoute parfois un œuf dur en décoration à son sommet.

 

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VALENCIENS EN ALGERIE 121

VALENCIENS EN ALGERIE 122

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19 janvier 2012

QUELQUES RECETTES OUBLIÉES

Mantécaos

500 g de farine
250 g de sucre en poudre
25cl d'huile d'arachide ou de tournesol
cannelle en poudre

1 citron râpé

1 paquet de sucre vanillé    

Ne préchauffez pas votre four avant d'enfourner.
Mélangez et tamiser la farine et le sucre en poudre.
Râpez le zeste de citron et incorporez-le.
Ajoutez l'huile et travaillez l'appareil à la main.
La texture de la pâte obtenue est sablonneuse.
Formez entre les paumes de vos mains de petites boulettes de pâte de 2-3 cm de diamètre maximum. Disposez-les sur une plaque recouverte de papier sulfurisé ou juste farinée. Appuyez légèrement sur la base pour leur donner un socle stable.
Allumez le four à 180°C, thermostat 5, Enfournez et laissez cuire dix à 15 mn selon la taille des mantecados. Sortez-les du four et saupoudrez chaque biscuit d'une pincée de cannelle.
Les mantécaos se mangent à peine tièdes pour les impatients ou froids. Ils se conservent longtemps dans une boîte en fer.


Mona

1 kg de farine

1 cube de levure de boulanger
4 œufs
1/4 d'huile
300 g de sucre
2 orange
Rhum

Le levain

Bien mélanger 200 g de farine (prise sur le kg) et la levure de boulanger (coupée en morceaux) dans de l'eau tiède. On obtient une pâte collante qu'il faut laisser monter durant 1 heure et demie.

Le mélange

Mélanger le sucre, les râpures de l'orange et son jus, 1/4 d'huile

La pâte

Dans un grand récipient (qui contiendra tout), mettre la farine restante (800 g) dans laquelle on fait un trou. On y place le mélange que l'on recouvre du levain et on pétrit, on pétrit et on pétrit jusqu'à obtenir une pâte qui ne colle ni aux mains ni au récipient. Si la pâte est trop molle, ajouter un peu farine en pétrissant.
Ensuite on enveloppe le récipient dans un linge propre. Le tout, recouvert d'une couverture, se place dans un endroit chaud durant touteune nuit

Les boules

Le lendemain, faire des boules avec la pâte qui a doublé de volume (avec 1 kg de farine, on fait 4 boules). Poser les boules sur du papier d'aluminium beurré ou du papier cuisson sulfurisé et laisser reposer 3 heures.

La cuisson

Badigeonner chaque boule avec du jaune d'œuf (1 seul suffit) et recouvrir de sucre concassé. Faire 2 fentes en croix sur le sommet ;
Faire chauffer le four à 190 °C. Mettre 2 boules sur la plaque du four placée au milieu du four Attendre 25 minutes. A vous de juger si elles sont assez dorées et roussies. (planter un couteau pour juger).


Rollicos au vin blanc

500 g de farine

1/4 d'huile = 1 verre

1/4 de vin blanc

1 citron

1 verre de sucre

1 paquet de sucre vanillée

Mélanger le tout pour faire une boule de pâte.

Roulez la pâte sur le plan de travail pour obtenir des boudins. Joignez les extrémités de chacun des boudins pour former une couronne. Trempez chaque rollico dans le sucre vanillé, puis alignez-les sur la plaque du four. Attention, les rollicos vont s'étaler un peu pendant la cuisson, il faut donc éloigner les rollicos les uns des autres pour qu'ils ne risquent pas de se coller entre eux.
Faites cuire 20mn th. 5/6. Les gâteaux doivent rester blancs et ne pas brunir.


Riz au lait - Arroz con leche de Wahrân


150 gr de riz rond

1 litre de lait

1 bâton de cannelle

1 gousse de vanille

125 gr de sucre

1 grande lanière de zeste d'orange

           Faites bouillir une grande quantité d'eau. Plongez-y le riz pendant 2 min, puis rincez-le à l'eau froide et égouttez-le.

           Dans une grande casserole, versez une cuillère à soupe d'eau pour éviter que la préparation accroche.

           Ajoutez le lait, la gousse de vanille fendue, la lanière de zeste d'orange et portez le mélange à ébullition.

           Versez le riz et laissez cuire environ 15 min en remuant de temps en temps, délicatement. Incorporez le sucre et laissez mijoter encore 5 min.

           Retirez la gousse et versez ce riz dans des ramequins individuels ou dans un plat de service et saupoudrez de cannelle.


Churros

25 cl d’eau

250 g de farine

1 pincée de sel

50 g de sucre

Sucre en poudre

Huile

Portez l’eau salée à ébullition.

Mettez la farine dans un saladier.

Creusez un puits au centre, versez l’eau bouillante.

Remuez avec une cuillère en bois. La pâte doit rester fine et homogène.

Laissez reposer la pâte et mettez-la au réfrigérateur pendant 1 heure.

Mettez la pâte très froide dans une poche à douille cannelée de 1 cm de diamètre.

Faites chauffer l’huile dans une friteuse.

Formez des bandes de pâte de 10 cm de long à l’aide de votre poche à douille.

Plongez les churros ainsi formés dans l’huile.

Laissez dorer 1 minute de chaque côté en retournant les churros.

Laissez égoutter sur un papier absorbant.

Saupoudrez de sucre au moment de servir.

Servez chaud


Brioche

Ingrédients
350g de farine
175g de beurre
50 g de sucre
4 oeufs entiers
1 cube de levure de boulanger à dissoudre dans 2 c.à s. d'eau froide
1 c.à c. de sel

Faire fondre le beurre et le laisser refroidir.
Dans un récipient mélanger le sucre, les 4 oeufs, le sel et la levure.
Y ajouter le beurre une fois refroidit ainsi que la farine. Le mélange doit se
décoller des parois de votre récipient.( pour une meilleure homogénéité de la pâte, vous pouvez utiliser le robot électrique).
Couvrir le récipient et laisser la pâte se reposer une nuit à température ambiante ( pas trop chaud).
Le lendemain, beurré et fariné un moule à brioche.
Avec la pâte, faire un rectangle, le rouler et le découper en portions en torsadant la pâte.
Mettre ces portions côte à côte dans le moule.
Laisser lever 3 h toujours à température ambiante.
Enfourner à four froid, cuire 20 à 30 minutes (seulement) TH 5


Madeleines de sportouch à Wahrân

Ingrédients

210g de farine

170g de sucre

170g de beurre

3 Oeufs entiers

1 cuillère soupe de miel

1 sachet de sucre vanillé

1 sachet de levure chimique

Mélanger oeufs + sucre + sucre vanillé + miel

Ajouter la farine + levure chimique

Laisser reposer au frais 1 heure, puis ajouter le beurre fondu

Beurrez et farinez les moules à madeleines

Remplir les moules avec la pâte

Cuire 10 minutes à 200°C


Couronne des Rois (1)

Ingrédients pour 2 couronnes
1 kg de farine,
300 g de sucre,
6 œufs, 200 g de beurre ramolli,
250 grammes de fruits confits
1 zeste d'orange râpée,
40 g de levure de boulanger,
1 jaune d'œuf
1 fève sèche naturelle ou un petit sujet en porcelaine
Une cuillère de confiture

Levain : délayer la levure de boulanger avec 3 cuillères. à soupe d'eau légèrement tiède. Bien mélanger.
Dans une jatte, incorporer ce levain à 125 g de farine en pétrissant lentement. Couvrir et laisser reposer à proximité d'une source de chaleur sans courant d’air. Laisser le levain pousser jusqu’à deux fois son volume.
Hacher 200 g de fruits confits.
Dans une jatte blanchir les œufs et le sucre parfumé avec les zestes d'orange.
Ajouter le beurre ramolli et coupé en morceaux. Verser ensuite, tout doucement la farine restant et remuer. Ajouter le levain et les fruits confits. Pétrir le tout à la main pendant une dizaine de minutes, la patte ne doit pas coller aux doigts.
Mettre la pâte dans une terrine farinée et la recouvrir d'une serviette. Laisser reposer 3 h environ dans un endroit tiède.
Façonner la pâte en couronne bien ronde et régulière. Y glisser la fève. Installer la couronne sur une tôle à pâtisserie et laisser reposer encore1 heure dans un endroit tiède.

Préchauffer le four à thermostat 6 (180°C). Dorer le dessus de la couronne au jaune d'œuf délayé dans un peu d'eau. Cuire 40 à 45 minutes au four.
Délayer la confiture dans un peu d’eau tiède et enduire la couronne cuite de ce sirop avec un pinceau de cuisine, disposer sur le dessus les fruits confits découpés.


 

Couronne des Rois (2)

Pour 4 personnes (à commencer la veille) : Faire ramollir 200 g de beurre à température ambiante. Délayer 10 g de levure de boulanger dans 2 c. à soupe de lait tiède. Mettre 250 g de farine sur le plan de travail, ajouter 6 g de sel et 30 g de sucre, mélanger. Creuser un trou au centre du mélange et verser la levure. Mélanger. Ajouter 3 oeufs un par un en mélangeant à la cuillère en bois. Travailler la pâte. Dans un récipient mélangez petit à petit le beurre ramolli et la pâte. Couvrir d’un torchon et laisser la pâte dans un endroit tiède une demi-heure afin qu'elle lève. Dégonfler la pâte, la retravailler, ajouter 80 de fruits confits angélique, cédrat…) coupés en très petits morceaux, former une boule. Couvrir d’un torchon et faire encore gonfler jusqu’à ce qu’elle double de volume. Mettre la pâte au réfrigérateur toute une nuit.
Le lendemain, bien travailler la pâte afin de l’aérer au maximum. Fariner, ajouter la fève (en Provence, on ajoute également un santon en porcelaine), mélanger, former une boule. Etaler du papier spécial cuisson sur la plaque du four, y déposer la boule, creuser un trou au milieu avec les mains et étirer la pâte pour former une couronne. Laisser lever une bonne demi-heure encore. Badigeonner avec 1 cuillerée à soupe d'eau de fleurs d'oranger sucrée. On peut disposer dessus des quartiers ou des lamelles de mandarines confites et saupoudrer de sucre cristallisé.


Enfourner à 200°. Faire cuire 20 minutes.


Oreillettes

500 g de farine
4 oeufs
1/2 verre de sucre en poudre
1/2 verre de fleur d'oranger
1/2 verre d'huile d'olive
1/2 paquet de levure
sel, huile de tournesol

Dans un saladier, faites un puits avec la farine.
Versez tous les ingrédients et mélangez jusqu'à obtention d'une belle pâte souple. Faites reposer cette pâte durant deux heures en recouvrant le saladier d'un torchon. Puis étalez en une couche fine.

Découpez des rectangles et faites une fente au milieu. Faites chauffer l'huile de tournesol dans une poêle et faites frire chaque morceau de pâte quelques secondes, le temps qu'elles dorent.

Servez-les tièdes ou froides en les saupoudrant de sucre glace


Polvorones

Recette pour 1kg de petits biscuits - Préparation : 45mn - Cuisson : 20 mn.

500g de farine
250g de sucre glace
20cl d'huile d'arachide ou de tournesol
Quelques pincées de cannelle
Sucre glace pour le décor

Dans une poêle large, disposez la farine. Faîtes-la chauffer sur un feu doux jusqu'à ce que la farine commence à dorer.
Hors du feu, ajoutez le sucre, l'huile et la cannelle.
Formez une pâte en mélangeant à la main et étalez-la de l'épaisseur d'un doigt. Coupez les polvorones à l'emporte pièce et disposez-les sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.
Enfournez et laissez cuire à 150°C pendant 20mn jusqu'à ce que les biscuits arborent une couleur dorée. Couvrez-les de sucre glace et conservez-les dans une boîte métallique


Mantécaos de Mireille

Ingrédients

1 Kg de farine sans levure

500g de sucre en poudre

1/2 litre d’huile d’arachide

1 zeste de citron

2 paquets de sucre vanillé

Cannelle

Préparation (assez délicate)

Mélanger la farine, l'huile, le sucre.

Travailler le tout avec les doigts afin d'obtenir une pâte granuleuse (fait penser à de la semoule).

Former des boules de la grosseur d'une noix.

Disposer les boules sur la plaque du four huilée.

Préchauffer le four et faire cuire pendant une vingtaine de minutes à four chaud.

Surveiller la cuisson : les gâteaux deviennent légèrement dorés et se fendillent sur le dessus.

Quand ils sont froids les saupoudrer de cannelle et les enlever de la plaque avec précaution (friables).

NB : ces gâteaux se conservent jusqu'à six mois dans une boite hermétique


Les « Doigts de dames » de Mireille

Variante des Roïcos

Ingrédients

1 Kg de farine

6 œufs

1 verre et demi de sucre en poudre

1 verre et demi d’huile d’arachide (1/4 de litre environ)

2 paquets de sucre vanillé

2 paquets de levure

Préparation

Mélanger la farine et la levure. Faire un puit et ajouter les œufs, le sucre, le sucre vanillé et l’huile.

Pétrir le tout pour obtenir une boule de pâte.

Prendre de petites boulettes de pâte de la valeur d’une noix et la rouler de façon à obtenir une petite saucisse de la grosseur d’un index.

Les plonger dans un bain d’huile chaude.

Les retirer quand ils ont une jolie couleur dorée.

Les égoutter sur papier absorbant puis les saupoudrer de sucre glace


Les« Roïcos » de Mireille

Ingrédients

Pour 1 Kg de farine

6 œufs

1 verre et demi de sucre en poudre

1 verre et demi d’huile d’arachide (1/4 de litre environ)

2 paquets de sucre vanillé

2 paquets de levure

Préparation

Mélanger la farine et la levure. Faire un puit et ajouter les œufs, le sucre, le sucre vanillé et l’huile.

Pétrir le tout pour obtenir une boule de pâte.

Prendre de petites boulettes de pâte de la valeur d’une noix et la rouler de façon à obtenir une petite saucisse de la grosseur d’un index. La fermer en formant un anneau.

Mettre à four moyen sur plaque huilée


Taillos ou beignets ou chichis

100 g de farine
15 cuillerées à soupe d'eau
1 cuillerée à soupe d'huile
1 cuillerée à soupe de sucre
1 pincée de sel
huile pour friture
sucre + vanille

Dans une casserole, mettez l'eau, le sel, le sucre et l'huile.
Portez à ébullition.
Versez d'un coup la farine et tournez avec une spatule pendant 30 s.
Laissez reposer 10 mn, à couvert.
Mettez cette pâte, qui ressemble à la pâte à choux, dans une poche à douille ronde.
Chauffez l'huile dans une poêle, déposez à l'aide de la poche, des petits beignets de la longueur d'un éclair.
Cuisez 2 mn de chaque côté.
Égouttez.
Roulez-les dans le sucre vanillé.
Servez-les très chauds


Les oranges amères de Séville

2 kilos d'oranges amères, pour obtenir environ 1 kilo d'écorces

600 g de sucre

75 cl d'eau

1 bâton de cannelle

Préparation

Cueillir de belles oranges amères et retirer toute l'écorce d'orange à l'aide d'une râpe.

Couper les oranges en deux, extraire leur jus et retirer les pépins.

Recouvrir d'eau ce qui reste des oranges. On changera l'eau tous les jours jusqu'à ce que les oranges percent leur amertume. On pourra alors les égoutteret les faire cuire dans du sirop de sucre avec un bâton de cannelle jusqu'à ce qu'elle soient tendres.

Si l'eau arrête de bouillir trop vite, couvrir de temps en temps et poursuivre la cuisson jusqu'à ce que les écorces se ramollissent. Une fois cuites, les écorces peuvent être découpées en tranches. Mettre au réfrigérateur ou stériliser


Pan de higo - Pain de figue

Ingrédients (pour un mini pan de higo)
- 200 grammes de figues sèches
- 100 grammes d'amandes
- 5 belles pincées de graines d'anis vert
- 2 pincée de 4 épices
- 2 pincées de cannelle
- 10 ml d'eau et une cuillère à soupe de miel

Préparation
Faire pocher les figues dans l'eau et le miel, les équeuter et les mixer avec l'eau et 2 pincées d'anis pour obtenir une pâte épaisse et un peu collante. Mélanger les autres épices et les amandes, étaler sur 2 cm d'épaisseur pour une grosse quantité (j'ai étalé sur 1 cm) et laisser sécher. Servir entier ou couper en gros morceaux.

C'est une pâtisserie typique de la ville de Saint-Jacques-de-Compostelle, quoiqu'elle soit fabriquée dans de nombreuses villes de Galice


 

Gâteau Saint-Jacques

Pour la base : 1 œuf

125 g de sucre farine (environ deux verres)

cannelle une c. à s. d'eau

Pour la garniture : 4 œufs

250 g de sucre

250 g d'amandes pilées Zeste de citron Cannelle Sucre glace
Pour préparer la pâte du fond, battez l'œuf avec la cuillerée d'eau, le sucre et un peu de cannelle. Ajoutez peu à peu la farine jusqu'à obtenir une pâte pouvant être travaillée à la main. Abaissez la pâte et disposez-la dans un moule préalablement beurré et fariné. Pour la garniture, fouettez les œufs avec le sucre et le zeste de citron. Lorsque le mélange commence à monter, ajoutez les amandes pilées et la cannelle. Remplissez le moule de cette garniture et mettez dans le four préchauffé à 180ºC de 25 à 30 minutes. Pour la touche finale, découpez une croix de Saint-Jacques dans du bristol, placez-la au centre du gâteau et saupoudrez-le de sucre glace. Retirez ensuite la croix en bristol pour obtenir le dessin de la croix sur le gâteau.

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18 janvier 2012

GALETTE DES ROIS AUX PRALINES de Monica

de "Bab-El Oued"

couronne des rois de BEO

Ingrédients :

         500gr de farine, 5 œufs, 150gr de sucre fin, 300gr de beurre, 20gr de levure de boulanger (moitié d'un cube) 2 zestes de citron et orange hachés fin,2 sachets de sucre vanillé, amandes et noisettes concassées et grillées (moi je mets au pif donc beaucoup) la moitié d'un verre pour la pâte et pour la garniture une autre moitié de verre.

1° étape
          Battre œuf, sucre, zestes, sucre vanillé, si vous possédez un robot c'est mieux, ajoutez ensuite la levure délayée dans un peu d'eau tiède, le beurre bien mou, mais pas fondu, les amandes et noisettes, et finir par la farine

2° étape
          Alors là il faut bien pétrir sans arrêter, au robot, bien 5mn, laisser poser 2heures couvert d'un linge dans un endroit chaud. Recommencer, prendre la pâte plein les mains et la taper de toutes vos forces sur la table, sans la ménager, bien la battre (comme les femmes quand elles battent leur tapis) elle deviendra toute légère, et douce,  Ensuite laisser poser une bonne heure. Si vous faites votre pâte l'après-midi, il est préférable de mettre la pâte de votre couronne dans un linge  toute la nuit dans le frigo, elle sera plus légère.

3° étape
          Partager en deux ou trois morceaux, suivant la grosseur désirée de la couronne.
Former votre couronne, laisser poser 10 a 15 mn avant de cuire, badigeonner à l’œuf, garnir avec le reste des amandes et noisettes, laisser cuire 20 mn à feu moyen. A la sortie du four saupoudrer de sucre glace.

Les noisettes et amandes doivent être grillées et ensuite caramélisées. 

Monica de BEO.

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18 janvier 2012

FOLKLORE OUBLIÉ !!

17 janvier 2012

PUBLICATIONS POPODORAN SUR CALAMEO

17 janvier 2012

AVIATION EN ALGERIE FRANCAISE

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