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27 mars 2012

A MUGUETTE

L’Algérie il y a cinquante ans … (1962-2012)

            L’Algérie coule dans mes veines...Cinquante années se sont écoulées et je me sens toujours lié à ce pays magnifique par un océan de passion et un amour sans limite Je suis comme le fils qui a quitté sa mère, qui attend avec impatience  et détermination l’heure de revenir vers elle pour l’étreindre, lui dire je t’aime et lui demander pardon. Pardon de l’avoir laissée, de l’avoir abandonnée, d’avoir tenté de l’oublier. Comment t’oublier ma belle, ma délicieuse Algérie !... Ce désir et cet amour pour toi ont résisté au temps, et d’ innombrables  souvenirs   enchantent mes jours et mes nuits faisant de chacune  d’elles un havre de bonheur  .Me viennent alors à l’esprit, dans un fracas étourdissant, les cris d’enfants , les voles d’hirondelles dans un ciel  d’azur , les maisons aux  murs blancs inondés de soleil  où  s’appuient avec nonchalance jasmins et bougainvilliers aux fleurs resplendissantes , les routes bordées  d’aloès ,de figuiers de barbarie  ,les champs immenses d’ oliviers d’ orangers et citronniers croulants sous le poids des fruits, les vignobles à perte de vue ,les chemins tortueux  souvent secrets  qui mènent à des plages au sable brûlant et à une  mer bleue , si bleue , si rafraîchissante. Je sens sur mon visage, la caresse du vent frais venant du large ou celui chaud et desséchant venant de l’arrière pays. Oh ! Mystérieuses et divines oasis posées comme des émeraudes au milieu du désert, vous avez su avec subtilité  me charmer et m’offrir dans un décor des mille et une nuits, l’ombre, l’eau et le repos. Dans ce décor de dunes de sable caressées par le vent ou de rocailles grillées par le soleil  J’ai vu, la nuit, un ciel constellé d’étoiles scintillantes pareilles à de petits diamants, qui me paraissaient  à portée de mains. Spectacle époustouflant, féérique dans ce paysage désertique à la fois cruel et accueillant. Je voudrais encore parcourir les rues d’Alger et celles d’Hussein-dey où je suis né à la recherche de ce passé qui me tient en éveil, toujours prêt à surgir pour me précipiter dans le monde merveilleux  et insouciant de  ma  jeunesse. Je pense aussi à ceux qui sont restés là-bas et qui dorment pour l’éternité sur cette terre d’Algérie qu’ils aimaient tant.  Je n’oublie pas Notre Dame Afrique tant de fois implorée, cette vue superbe sur l’immensité de la mer bleue et calme bordée par cette magnifique côte Algéroise composée de plages et de petits ports aux noms évocateurs, si pittoresques et tendrement inoubliables. Mon âme vagabonde, je ferme les yeux. Une musique  envoûtante  résonne soudain à mes oreilles. Je pars alors dans une danse endiablée  parmi les foulards et rubans aux couleurs chatoyantes qui s’agitent et claquent dans le vent, martelée par le son puissant du tambour et celui de la flute plus doux et plus fragile.1

            Déraciné je suis, déraciné je resterai. Je continuerai  de chercher encore et encore comme je l’ai fait durant ce demi-siècle le terrain favorable et la terre fertile qui me permettront de reprendre des forces, de me redresser, de revenir à la vie. Je pourrai me reposer enfin, assis au pied de l’oranger aux fruits d’or et aux feuilles de vermeil et contempler dans un ciel d’azur un soleil éclatant. Eclaboussé de lumière , j’offrirai  mon corps aux morsures de ses rayons  , me laisserai envahir par une douce quiétude et le regarderai  décliner doucement pour disparaître derrière les collines qui surplombent la vallée des mille merveilles où flottent des  parfums de fleurs d’oranger, d’encens, de jasmin, de cumin et de cannelle ; où coule un miel léger et parfumé qui laisse sur les lèvres la caresse d’un pétale de rose et sur la langue le goût puissant du bonheur . Bonheur d’avoir vu le jour sur cette terre, d’y avoir été heureux et de ne jamais avoir pu l’oublier. Privé de soleil, le flanc de la colline se teintera de gris tandis que la crête s’ornera d’un ourlet d’or et d’argent fragile comme une dentelle qui s’évanouira un peu plus tard dans l’obscurité de la nuit;

2

            Algérie mon amour, Algérie ma passion , je suis parti les yeux remplis de larmes et la gorge serrée ne te quittant jamais des yeux, toi grande et majestueuse auréolée de lumière et de soleil,  moi si petit, si malheureux , précipité sur ce bateau  qui m’emporte  inexorablement  vers une autre vie, un autre destin..Bateau de l’exode, bateau de l’errance, aux flancs gonflés par les larmes et  la détresse d’un peuple abandonné, perdu , banni de sa terre, précipité soudainement dans une aventure hasardeuse, à la recherche d’une terre d’asile. A partir de cet instant j’ai compris que rien ne serait comme avant et qu’entre toi et moi une séparation douloureuse était entrain de naître. Une plaie profonde  allait s’ouvrir en moi et ne jamais se refermer. Je laissais sur ce sol Algérien  meurtri par des années de guerre, mes souvenirs d’enfant, mes espoirs et mes projets  inachevés.   Comment surmonter  un tel  chagrin. Perdu dans mes pensées, je t’ai regardé disparaître, engloutie par la mer, et j’ai senti sur mon cœur se refermer la  lourde porte d’un tombeau sur lequel je laisserai couler mes larmes. J’y dépose aussi une rose, celle qui ne se fanera jamais, celle de l’espérance et du renouveau, et que je reviendrai chercher un jour..    Je pars pays bienaimé mais la moitié de moi-même reste là. Je vais vivre ailleurs mais je sais que tu seras toujours derrière moi et qu’il me suffira de regarder par-dessus mon épaule pour t’apercevoir éternellement  dans la lumière et le soleil.

3

            Algérie, Algérie, prononcer ton nom met un sourire sur mes lèvres et fait disparaître le voile de tristesse qui couvre mon visage. Mon cœur bat plus vite, je me sens revivre. Algérie, Algérie, parlez de toi ne m’apporte ni argent, ni gloire  mais la force de continuer à vivre loin de toi et oublier les tourments qui s’incrustent en moi, me donnant par moment une impérieuse envie de hurler. Tu es mon trésor, celui que l’on garde secrètement dans un tiroir et que l’on admire avec envie et concupiscence à l’abri du regard des autres. Toutes ces années d’exile ont jeté de la neige dans mes cheveux et fripé mon visage mais, mes yeux reverront toujours avec émerveillement toutes les beautés que tu m’as offertes sur cette terre où Les jours et les nuits demeurent inoubliables, De la côte Méditerranéen jusqu’aux confins du Sahara, des paysages fabuleux gorgés de soleil, de parfums poivrés  et enivrants s’offrent à mon regard qui se délecte de ce tableau  sublime, presque irréel.

4

            J’aurais aimé tourner la page et passer à autre chose mais je n’ai jamais pu. Ton souvenir reste ancré au plus profond de mon cœur, tout comme ces racines  pareilles à des chaines  qui nous lient l’un à l’autre et qui ne pourront jamais se briser.

5

            Ma valise est restée dans l’entrée de ma maison .Elle est pleine de  bonheur mais aussi de grands moments de solitude. Elle renferme mon livre de souvenirs que j’ai ouvert avec une profonde émotion tant de fois depuis mon départ .Je vais faire le voyage à l’envers car une  rose m’attend depuis longtemps sur une pierre, il faut que j’aille absolument la chercher.

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            Illustré par mon amie NANOU, Je dédie ce texte à ma sœur Muguette qui nous a quittés récemment. « Puissent le vent et les courants marins ramener tes cendres vers les rivages de cette terre d’Algérie que tu aimais tant ... »

Serge MOLINES Mars 2012

Retour coups de cœur.

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25 mars 2012

VIVIANE EZAGOURI

25 mars 2012

LE SCANDALE DES DISPARUS D'ALGERIE

            Des archives révèlent le sort atroce réservé aux Européens d’Algérie après le cessez-le-feu du 19 mars 1962. Je demeure engagé dans notre entreprise commune visant à traduire dans un traité d’amitié notre partenariat d’exception. Il y va de l’avenir de notre pays et de nos deux peuples.
            Ces lignes ont été adressées par Jacques Chirac, début janvier, à Abdelaziz Bouteflika. Plus que jamais, le chef de l’État souhaite la signature d’un traité d’amitié entre les deux pays. À quel prix ? Le président algérien n’a cessé, l’an dernier, d’appeler la France à faire repentance : « L’occupation (française) a adopté la voie de l’extermination et du génocide qui s’est inlassablement répété durant son règne funeste », accusait-il le 8 mai 2005 à Sétif…
            Or, dans le même temps, la France lève le voile sur des archives effrayantes : elles concernent les enlèvements d’Européens et les sévices infligés aux harkis après le cessez-le-feu du 19 mars 1962. Il s’agit de documents du 2e Bureau conservés au Service historique de l’armée de terre : procès-verbaux de gendarmerie, dépêches et analyses du 2e Bureau, listes, photographies…
            Sous la pression des familles de victimes et de la Mission interministérielle aux rapatriés, le Quai d’Orsay a autorisé en juillet 2004 l’accès aux dossiers des Européens disparus en 1962 : 2 281 dossiers contenant les correspondances des ambassades et des consulats de France en Algérie, ainsi que des fiches individuelles d’enquête établies par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Ce qu’y découvrent les familles des disparus confine à l’horreur. « Probablement égorgé, cadavre jeté dans le four d’un bain maure (témoin européen anonyme). » Viviane Ezagouri-Pinto a lu ces mots le 24 août 2004, quarante-deux ans après la disparition de son père dans les émeutes du 5 juillet 1962 à Oran. « Pendant un an, j’ai perdu le sommeil, je ne pouvais plus m’approcher d’une source de chaleur sans pleurer », raconte cette Oranaise de 60 ans, anéantie par la brutalité de la nouvelle. Sans un mot de condoléances, le ministère des Affaires étrangères lui a envoyé le rapport établi le 21 août 1963 par la Croix-Rouge suisse, indiquant les circonstances terribles de la mort de Joseph Pinto. « Nous voulons savoir pourquoi la France a caché pendant quarante-deux ans qu’elle savait ce qu’étaient devenus ces gens », dit Jocelyne Quesada, vice-présidente de l’association des Oraniens.
            Joseph Pinto était représentant de commerce. Il a disparu le 5 juillet 1962, date choisie par le FLN pour fêter l’indépendance nouvellement acquise. La veille, les voitures de l’armée ont sillonné les rues d’Oran pour inciter les pieds-noirs, apeurés, à sortir de chez eux : « L’armée française garantit la sécurité des Européens. Vous ne courez aucun danger ! » Vers dix heures, Joseph Pinto décide d’aller “sentir l’atmosphère”. Le rapport de la Croix-Rouge précise : « L’enlèvement a eu lieu à 15 h 30, rue Léon-Djéan, à hauteur du n° 18… » Sa fille sort elle aussi rejoindre son fiancé. Tous deux sont arrêtés, mais rapidement libérés par un commandant de l’Armée de libération nationale qui la connaissait de vue.
            Vers onze heures et demie, après un tir de rafale, civils et militaires musulmans de l’ALN entament une chasse à l’Européen. « On rafale, on égorge, on entasse les otages dans des camions qui les emmènent en direction de l’aéroport ou derrière le commissariat central. C’est la boucherie », raconte Geneviève de Ternant dans l’Agonie d’Oran.
            Le général Katz, alors commandant du secteur autonome d’Oran, accuse l’OAS d’être à l’origine du coup de feu initial. Le journal de marche du 4e zouave parle d’une rafale tirée par « un individu musulman (vêtu d’une robe verte) ».

            Le 6 août 1962, les Pinto, en Algérie depuis cent dix ans, partent définitivement sur le bateau des rescapés du 5 juillet, l’Exodus. Jean de Broglie, secrétaire d’État aux Affaires étrangères, leur envoie un courrier le 19 septembre 1963. Il parle de « forte présomption de décès », expliquant sans plus de précisions qu’« il n’y a malheureusement plus d’espoir de retrouver en vie Joseph Pinto ».
            Une lettre type envoyée à un très grand nombre de familles. En 1967, les Pinto reçoivent un certificat de décès, délivré automatiquement au bout de cinq ans. À chaque fois, il leur est répété que le gouvernement met tout en œuvre pour le retrouver…
          Plus de nouvelles jusqu’en 2004. Informée de l’ouverture des archives, Viviane remplit un formulaire sur le site Internet du ministère des Affaires étrangères. Un mois plus tard, elle lit la formule habituelle, « Ci-joint copie des documents conservés à Paris » avant de découvrir la terrible vérité : « Probablement égorgé ». « Je connais enfin le sort de mon père, mais à quel prix ! », déplore Viviane. Elle repense aux journées passées à chercher son père, dans les bureaux, les hôpitaux, les morgues, à la mairie, sans pouvoir accéder au stade où étaient parqués des centaines de prisonniers. Elle se souvient des photos des massacres prises par les gendarmes, sur l’une desquelles elle avait reconnu une marchande de loterie. « Les photos des cadavres existent, nous demandons à les consulter : nous avons le droit de savoir où ont été enterrés les corps de nos proches. »
            Depuis août 1963, l’Algérie et la France étaient en possession des résultats de l’enquête concernant les disparus européens, résultats que les deux pays ont décidé de ne pas rendre publics. « Ils ont voulu étouffer l’affaire ! », clament les associations de rapatriés. Pour elles, le gouvernement de l’époque a empêché les militaires présents à Oran d’intervenir pour arrêter le massacre, se rendant complice des assassins. « L’armée est intervenue sur-le-champ », rétorque le général Katz.
            Une affirmation en contradiction avec le journal de marche et d’opérations (JMO) manuscrit de l’armée française, sur lequel figure, après la fusillade, cette indication : « Les troupes restent consignées. » Il y a eu cependant quelques actions individuelles, notamment celles des 2e et 4e zouaves ou du 8e Rima, qui ont permis de sauver un grand nombre de civils européens. « Il ne s’agit pas d’une intervention générale de l’armée française (…), mais de la décision de se soustraire partiellement à la rigueur des directives de l’état-major français, devant l’ampleur et la gravité inattendues des troubles », explique l’historien Jean Monneret dans la Phase finale de la guerre d’Algérie.

            Abdelaziz Bouteflika veut que la France fasse repentance et la France veut son traité d’amitié. Le 17 octobre 2001, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a déposé sur le boulevard Saint-Michel une plaque « à la mémoire des nombreux Algériens tués lors de la sanglante répression de la manifestation pacifique du 17 octobre 1962 ».
Le gouvernement a demandé pardon pour les événements du 8 mai 1945 à Sétif. Oublier les victimes de la fusillade de la rue d’Isly à Alger le 26 mars 1962 ou les massacres du 5 juillet serait une injustice.

L’administration a fait preuve d’une froideur choquante.

            Le 22 septembre 1995, Jacques Chirac avait reconnu la responsabilité du gouvernement de l’époque, affirmant : « La France, en quittant le sol algérien, n’a pas su sauver ses enfants… Il faut réparer aujourd’hui les erreurs qui ont été commises. » Dix ans après, Bernard Coll, secrétaire général de l’association Jeune pied-noir, demande « la reconnaissance officielle de la responsabilité de l’État, à travers l’abandon et l’absence de protection, la non-évacuation ou non-récupération des Français d’Algérie de toutes origines, harkis, pieds-noirs et amis, dans les massacres et disparitions » postérieurs au 19 mars.
            L’administration française, en envoyant d’une manière aussi brutale le rapport de la Croix-Rouge, a fait preuve d’une froideur choquante. « Ils ne se sont pas rendu compte combien ça pouvait faire mal », explique Viviane.
            Depuis, les choses ont évolué, et le ministère a changé d’attitude : les formulations se sont affinées. Au rapport envoyé à M. Fulgencio, dont la mère et le frère ont disparu, a été joint ce message de condoléances : « Dans cette douloureuse circonstance, soyez assurés que les plus hautes instances de la République sont sensibles à votre peine. »
Avant d’envoyer le rapport, le Quai d’Orsay propose désormais un psychologue et vérifie que les familles sont soutenues et préparées au choc. La campagne réduisant la présence française en Algérie à cent trente ans de violences et de morts est loin d’être terminée.
            Mais l’ouverture de ces nouveaux fonds d’archives laisse espérer une approche des faits plus objective et surtout plus historique, fondée sur des preuves tangibles.
Agnès Lacombe  LECRI.NET

            Si les archives ne s’ouvrent pas, c’est peut-être parce qu’on apprendra les vrais ressorts de la non-intervention de la France, et qu’on n’en a pas envie.» Les archives militaires peuvent rester closes cent ans. «On ne pourrait pas porter un avis définitif avant 2060 ? C’est complètement absurde, juge Jordi. Ces familles qui ont perdu un proche ont besoin de savoir.» Ce printemps, Viviane a beaucoup apprécié Algérie, histoires à ne pas dire, le documentaire de Jean-Pierre Lledo qui revient sur cette période. Le cinéma, comme exutoire ? Viviane, qui fut sténodactylo et aide-comptable, a deux fils, de 42 et 37 ans, et un petit-fils de 20 ans qui est dans le cinéma. «Il m’a dit : “Je te ferai un film, Mamie.”»

VIVIANE EZAGOURI en 4 dates

5 juillet 1962 Elle a 17 ans, son père disparaît à Oran (Algérie).

Août 1962 Part pour la France.

2004 Reçoit un avis de la Croix-Rouge.

2007 Ecrit à Nicolas Sarkozy. Toujours pas de nouvelles.

Retour Viviane Ezagouri


 

22 mars 2012

LA BETE EST MORTE

Document transmis par José Castano

"Nous, les Patriotes Français de souche nord-africaine, aimons trop la France pour permettre à quiconque de l'insulter ou de cracher sur son drapeau pour lequel nous avons versé tant de sang, donné notre jeunesse et la vie de beaucoup des nôtres. Alors la France qui a accueilli des étrangers de toutes origines et nationalités, doit être respectée chez elle, et ceux qui ne l'aiment pas doivent avoir la décence de ne pas manger son pain et de ne pas cracher dans la soupe qu'elle leur sert." Capitaine Rabah Kellif, Officier Français qui s’opposa aux ordres du sinistre general Katz, à Oran, en 1962 (1933 – 2003)

            Voilà, nous savons tout à présent et si un soulagement certain se lit sur le visage du plus grand nombre de Français, il en est cependant qui ne peuvent cacher leur déception. Rendez-vous compte ! L’ignoble assassin, tueur d’enfants et de soldats, ne provient pas des mouvances néo-nazis, ni celles de l’extrême droite… même pas du FN, non ! C’est un islamiste ! Et, chose aggravante, pour nos gouvernants qui demeurent silencieux sur ce point, ce Mohamed Merah, 23 ans, chantre d’Al-Qaïda, bénéficie de la double nationalité algérienne et française… ce qu’a toujours combattu, précisément, le FN. Quelle déception disais-je et quel désaveu pour la clique Mélanchoniste, communistes, syndicalistes, champions des « droits de l’homme », pyromanes de l’identité française, adeptes de la diversité ethnique… On imaginait déjà, de gigantesques rassemblements dans toute la France, un grand défilé républicain qui aurait submergé les Champs Elysées, des centaines de milliers de manifestants qui auraient dénoncé, à l’unisson, la montée du fascisme et du racisme. On y aurait vu tous les ténors de la politique de droite et de gauche, bras dessus, bras dessous –comme en 2002- dénoncer avec emphase le retour de la « bête immonde » et vouer le FN aux gémonies… Quelle occasion sublime d’abattre, là, Marine Le Pen, de voir son électorat lui tourner subitement le dos ! Les journalistes, comme pour l’affaire de Carpentras, en auraient fait leurs choux gras et la diabolisation aurait repris de plus belle… Malheureusement, pour ces champions de la morale, rien de tout cela ! Au contraire, les Français, amorphes jusque là, anesthésiés par tant de discours démagogiques, ont pris subitement conscience de la gravité de la situation. Le danger est là, réel, latent. Leurs enfants risquent, demain, au hasard d’une rue, d’être la cible des « fous de Dieu » car des Mohamed Merah –dont le cheminement criminel supplémentaire était programmé- il y en a des milliers qui attendent leur tour, formés dans les camps d’Al-Qaïda ou simplement conditionnés, fanatisés par les agents recruteurs, prêts à frapper, n’importe où, n’importe quand et sur n’importe qui.

            Cependant, il y a une morale navrante à tirer de ce drame épouvantable. Ce triste individu, connu des services de police pour sa dangerosité et sa radicalité, surveillé de surcroit par la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur), aurait dû être déchu de sa nationalité française et extradé vers son pays d’origine, l’Algérie, après ses 18 faits de violence précédents. On a négligé ce point crucial et nos gouvernants –comme leurs prédécesseurs- devraient faire profil bas et s’interroger sur leur laxisme, leur responsabilité –voire leur lâcheté- car si une décision élémentaire de justice avait été appliquée à l’endroit de ce monstre, trois enfants connaîtraient encore aujourd’hui l’amour de leurs parents et quatre de nos soldats continueraient avec fierté à servir leur pays, la France.

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano. 

 

- Samedi 24 Mars, « grand oral » des présidentiables à Nîmes, face à la communauté des Français d’AFN avec la présence de Jean-Marie LE PEN à 10h45

 

Programme de la réunion à l’intention des candidats à l’élection Présidentielle :

 

Cliquez sur : http://infodiv.canalblog.com/archives/2012/03/16/23777411.html

 

Renseignements et réservations au déjeuner : 04.94.33.68.38 - 06.09.78.58.92 – 06.82.22.75.65

Réservation hébergement sur place : 06.82.22.75.65 

 

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Sur la terre imprégnée du sang des légionnaires, le soleil ne se couche jamais

 

Dans le cadre du « cinquantenaire » de la fin de la guerre d’Algérie, hommage aux « Seigneurs de la guerre » des unités dissoutes : 1er Régiment Etranger de Parachutistes, 14ème et 18ème Régiment de Chasseurs Parachutistes, Commandos de l’Air et Groupement des Commandos Parachutistes. Conférences et interventions diverses assurées par Joseph CASTANO :

 

« LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

 

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie. 

 

1) Samedi 14 Avril, 10h, Hôtel restaurant « Le Campanile », 30 rue Ratacas – ZI de Plaisance – 11100 NARBONNE (Tel. 04.68.33.24.40). Un déjeuner suivra. Inscriptions au 04.68.32.70.07 (le matin) (Cercle algérianiste)

 

2) Mercredi 18 Avril, 18h, Maison pour tous Mélina Mercoury – 842, rue de la Vieille Poste, (Zone du Millénaire, face à IBM) - 34000 MONTPELLIER (Asso « Mémoire de 4) Samedi 28 avril, 16h, Centre culturel, Place du 1er Octobre 1974 (près de la Mairie) – 34280 LA GRANDE MOTTE (Mémoire de l’Armée d’Afrique et Amicale des PN de la GM)

 

3) Samedi 19 Mai, 16h, Espace Vauban, salle Vauban - 207, av gen de Gaulle (1ère impasse après la gendarmerie) – 34400 LUNEL (Mémoire de l’Armée d’Afrique et ANFANOMA)

 

4) Samedi 26 Mai, 16h, Salle polyvalente – Bd de la démocratie (près de la Police Municipale) – 34130 MAUGUIO (Mémoire de l’Armée d’Afrique)

 

            Toutes ces entrées sont gratuites - Renseignements au 04.67.17.15.58 et 06.84.66.80.07

            « De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

 

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait.

 

- Cliquer sur : LE BOUDIN puis sur le logo de la fenêtre qui s’affiche en bas à gauche.

 

Et aussi : 

 

5) Jeudi 12 Avril, 18h30 – Restaurant « LE FLAMAN AND CO » - 4, Centre commercial Les Boutiques du Couchant II - 34280 LA GRANDE MOTTE – Grand débat sur « le droit de vote des étrangers » avec l’association « Nous les Francs » et intervention sur le thème « L’Islam et la conquête de l’Occident » - Dîner obligatoire – Renseignements et inscriptions au 06.77.51.66.08 et 06.68.60.20.37

 

6) Lundi 14 Mai, 19h30, Hôtel Mercure - 34280 LA GRANDE MOTTE (Cercle Européen) – Thème : « Islam… Religion conquérante » - Dîner obligatoire – Inscriptions au 04.67.69.06.38 et 06.26.06.86.62

 

7) Samedi 2 Juin, 16h, Centre de vacances AZUREVA, 4, av de la Butte – 34300 CAP D’AGDE - Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode »  (Amicale des Anciens Koubéens) Tel. 05.67.00.32.78

 

8) Samedi 23 Juin, 15h, Auditorium hôtel Novotel ATRIA (à proximité des arènes) – 5, bd de Prague – 30000 NIMES – Thème : « Il y a 50 ans… L’Exode » - Conférence donnée dans le cadre du cinquantenaire organisé par la ville de Nîmes – Entrée gratuite – Renseignements : 04.66.27.76.80

 

 

 

Pour revoir: 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles - 

Ses ouvrages, cliquez sur : -Ma Bibliographie – 

Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –  

Sa biographie, cliquer sur : - Ma Biographie – 

Son blog, cliquer sur : - Mon Combat - 

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18 mars 2012

NON AUX COMMEMORATIONS DU 19 MARS 1962 - L'IMPOSTURE

ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES DU 26 MARS 1962

BP 20027 95321 ST LEU LA FORET CEDEX

Isly26mars@wanadoo.fr

NON AUX COMMEMORATIONS DU 19 MARS 1962

L'Association des Familles des Victimes  de la fusillade du 26 mars 1962  à Alger, juge insultante la prétention de la F.N.A.C.A. à vouloir imposer la commémoration officielle  d'un cessez-le feu qui marquerait, selon elle, la fin de la guerre d'Algérie.

Cette association veut oublier et, par-là, faire passer à la trappe de l’histoire les massacres tout au long des mois qui ont suivi : le drame de la rue d'Isly à Alger,  quelques jours seulement après le « cessez-le-feu », les enlèvements, disparitions, tortures et assassinats d'Européens, de  Harkis et de Musulmans pro-français, la tragédie d'Oran, le 5 juillet…

Ces Anciens combattants, heureusement minoritaires, oublient ce faisant leurs propres camarades, morts ou disparus après le 19 mars 1962. Ils méprisent aussi l'exode imposé à plus d’un million de français d’Algérie. 

Nous, Familles des Victimes du 26 mars 1962, sommes les premières hélas à pouvoir en témoigner… Non, le Feu n'a pas Cessé en Algérie, voici 50 ans!

Le prétendre est une imposture!

Nicole Ferrandis Présidente de l’association des familles des victimes du 26 mars 1962

Retour à la page de l'association

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15 mars 2012

RUE D'ISLY 26 MARS 1962

15 mars 2012

AIN TEMOUCHENT

 

Situation Aïn-Temouchent

 

Blason Ain Temouchent

 

Arreté de commune mixte

 

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Ain temouchent 37

 

Ain temouchent 01- Collection Monneret

 

Ain temouchent 02- Collection Monneret

 

Ain temouchent 03- Collection Monneret

 

Ain temouchent 04- Collection Monneret

 

Ain temouchent 05- Collection Monneret

 

Ain temouchent 06- Collection Monneret

 

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Ain temouchent 10

 

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Ain temouchent 35- Quartier Verdun

 

Aïn Témouchent 36- Place de Verdun

 

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Ain temouchent 38

 

Aïn témouchent 600

 

Aïn- témouchent 600

 

Aïn Temouchent place Gambetta

 

Aïn-Témouchent 500-t Maison du colon

 

Aïn-Témouchent 501- place Verdun

 

Aïn-Témouchent 502- Gare

 

Aïn-Témouchent 503- Gare

 

Aïn-Témouchent 504- Jardins

 

Aïn-Témouchent 505- Jardins

 

Aïn-Témouchent 506- Monument aux morts

 

Aïn-Témouchent 507- Monument aux morts

 

Aïn-Témouchent 508- Bd National

 

Aïn-Témouchent 509- Vue générale

 

Aïn-Témouchent 511- Mosquée

 

Ain_Temouchent_Eglise

 

Ain_Temouchent_Jardin

 

Ain_Temouchent_la_gare

 

AIn_Temouchent_Mairie

 

Ain_Temouchent_Moulin_Barret

 

Ain_Temouchent_place_Gambetta

 

Ain_Temouchent_poste

Retour Villes et Villages d'Oranie.

14 mars 2012

26 MARS 1962 – 26 MARS 2012

Pour le 50èm anniversaire du Massacre  des Algérois rue d'Isly le 26 mars 1962, à Alger.

Cérémonie de recueillement au Mémorial  National  de la guerre d'Algérie quai Branly Paris 7eme (Métro tour Eiffel)

Mémorial Quai Branly

En mémoire des membres de leur famille tombés voici cinquante ans, à Alger

Les membres du Conseil d’Administration de l’Association des Familles des Victimes du 26 mars 1962 vous convient à la cérémonie de recueillement qu'ils organisent comme chaque année au Mémorial National de la guerre d'Algérie Quai Branly, à Paris (7ème) (Métro tour Eiffel) le Lundi 26 mars 2012 à 14h30. Seront associées à cet hommage, les Disparus, le Harkis, les victimes de massacres notamment celles du 5 juillet 1962 à Oran.

La liste des disparus aura rejointe à cette date sur le Mémorial, celle de la rue d’Isly Les familles de :

Renée Ferrandis

(Annie, Monique et Nicole Ferrandis ses sœurs)

Fernand Gerby

(Marie Calire Mollard, Jean-Gerby ses enfants

(Pierre, Roland et Yvon Gerby, Babeth Vivenot, Gérard Chamel ses neveux)

Pauline Hugues née Berthon

(Edmée Le Liepvre née Berthon sa nièce)

Emile Loretti

(Robe, Cambell-hones et Doineau, ses petits enfants

Jeanine Mesquida

(Jakine, Françoise, Nicole Mesquida ses filles)

Domingo Puigserver

(Michel Puigserver son fils)

Georges van den Broeck

(Guy et Joël van den Broeck, ses fils)

Joachim Santacreu

(J. Santacreu, son fils)

Elie Zelphati

(Marie-Paule Zelphati, sa belle-sœur) 

Seront associés à cet hommage  les disparus, les Harkis,

les victimes d'attentats, d'exactions, dont les premiers noms de cette longue liste sont désormais inscrits sur le Monument,

 rejoignant  ainsi  nos Morts de la rue d'Isly

 

A 14H50,  heure précise de la fusillade, les drapeaux s'inclineront

et la sonnerie aux Morts retentira pour tous les nôtres qui y laissèrent leur vie ce jour-là.

 Civils et Militaires  tombés en Algérie

Merci  de venir nombreux à ce  Rendez-vous de la fidélité et de vous munir d’une fleur bleue, blanche ou rouge,

 Chacun la déposera devant la colonne centrale du monument où la liste de nos martyrs identifiés à ce jour, est désormais inscrite.

 

A 18H30

Comme  chaque année, une messe sera célébrée

en l'Eglise Saint-Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins (Métro Maubert-Mutualité)"

 

 

Nd d'Afrique église du Chardonnet

Notre Dame d’Afrique à St Nicolas du Chardonnet 

Vous espèrent nombreux pour ce rendez-vous de la fidélité Renseignements : TEL 01 61 35 12 74 à 18H30, Association des familles des victimes du 26 mars 1962 BP 20027 95321 ST LEU LA FORET CEDEX 

Retour aux commémorations du 26 mars.

13 mars 2012

AIN TEDELES

                   Créé par décret en 1848 Aïn-Tédélès reçoit d'abord des Parisiens, boutiquiers ruinés et ouvriers sans travail après la Révolution de 1848. Cent familles sont dirigés sur le centre et logent dans des baraques en planches construites par le Génie militaire. A proximité de la source qui tombe dans un ravin, les premiers colons construisent lavoir, abreuvoir, bassin d'arrosage et plantent les premiers eucalyptus et trembles, qui forment la pépinière.

                   Chaque concession initiale attribuée aux colons comprenait : une maison et 8 à 12 hectares à défricher. De 1848 à 1852, devant les difficultés de ce début d'installation, un tiers environ des colons parisiens abandonnent et repartent. Ils furent remplacés par de nouveaux arrivants venus de la Drôme, du haut Gard, de l’Aveyron, du Var et du Pas de Calais. Paysans, connaissant le travail de la terre, ils surent à force de travail, mettre en valeur cette terre ingrate.

En 1852, le régime militaire fait place à une administration civile. Les colons gagnent en liberté, mais perdent en sécurité : plusieurs crimes sont commis sur la route de Mostaganem à Aïn-Tédélès.

         En 1856, le village est érigé en commune. Dès 1875, une ligne de chemin de fer, passant par la commune relie Mostaganem à Relizane.
Aïn-Tédélès devient une station importante. Des routes sont ouvertes. Les champs sont défrichés et plantés de vigne ou oliviers. Les constructions se multiplient : mairie, église, marché, écoles, dispensaire, deux caves coopératives, deux huileries, viticoop de distillation, stade Henri-Flous, salle de fêtes, etc...

         En 1930 « Année du Centenaire », on compte 20 000 oliviers produisant 30 000 litres d'huile et conserves d'olives. On compte aussi 5 000 hectares de vigne produisant 200.000 hectolitres de vin. (Source : extrait partiel de PNHA n°142). Peu à peu, la vigne et les oliviers remplacèrent les maigres cultures de céréales et ces essais infructueux, le vin et l’huile d’olive vierge firent la réputation de la cité.

 carte_de_situation Aïn Tédélès

 

BLASON

Ecole des filles

 

Eglise

 

La Grande Rue

 

Mairie

 

Rue Principale

 

Ain tedeles 01

 

Ain tedeles 02

 

Aïn-Tédéles 01-1922

 

Aïn-Tédéles 02-1920

 

Aïn-tédeles 500- Place

 

Aïn-tédeles 501- École de garçons

 

Aïn-tédeles 502- École garçons

 

Aïn-tédeles 503- Rue principale

 

Aïn-tédeles 504- Assurances agricoles

 

Aïn-tédeles 505- Mairie

 

Aïn-tédeles 506- Église

 

Aïn-tédeles 507- Église

 

Aïn-tédeles 508- École de filles

 

Aïn-tédeles 510- Monument aux morts

 

Aïn-tédeles 511- Monument aux morts

 

Aïn-tédeles 512- Le jet d'eau

 

Aïn-tédeles 513- Le jet d'eau

 

Aïn-tédeles 514- Plaine du Cheliff

 Ain_tedeles_01

Ain_tedeles_02

 

A_n_T_d_les_01_1922

 

A_n_T_d_les_02_1920

 

Ecole_des_filles

 

Eglise

 

La_Grande_Rue

 

Mairie

 

Rue_Principale

QUELQUES IMAGES RECENTES TRANSMISENT PAR marlène Deguelle

 

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9 mars 2012

AVIS DE DECES

Photo L

Aujourd’hui, 9 mars 2012, je suis très triste de vous annoncer la mort d’un GRAND AMI des PN et Harkis : le Colonel Armand BENESIS DE ROTROU

C’est une énorme perte pour nous et le combat pour la recherche de la Vérité Historique.

Nous présentons nos plus sincères vœux de condoléances à son épouse et ses enfants.

 

Les obsèques auront lieu Vendredi 16 Mars à 9 H en l'église Notre Dame des pins à Cannes.( BL Alexandre III ) 

 

Retour "IN MEMORIAM"

http://armand-benesis-de-rotrou.blogspot.com/

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