BILLET D'HUMEUR N°20
Document transmis par
LE PHARE FOUILLEUR le jeudi 25 octobre 2012.
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789
19 mars 1962 :
l'examen et le vote du sénat, reportés au 20 novembre !
Cher(e)s ami(e)s,
Une copine d’Aïn-El-Turk (merci J !) vient de me transférer la nouvelle résumée ci-dessous par une dépêche de l’AFP que je vous fais suivre sans tarder :
Il est question d’un « appel à la sagesse » brièvement exprimé par M. Kader ARIF, Ministre délégué aux Anciens Combattants, à l’intention des Sénateurs. Bien lui en a pris….il a dû sentir arriver le coup de sirocco !
Trois constats s’imposent.
Le premier :
remercier tous les Elu(e)s, Président(e)s d’associations d’Anciens Combattants, de Pieds-Noirs et de Harkis, qui ont initié une démarche de petite, moyenne ou grande envergure, pour tenter de contrer cette mascarade de gauche, partisane et malsaine, provoquée à des fins électoralistes.
Le deuxième :
Défendre l’honneur des Pieds-Noirs, des Harkis et des militaires tombés pour la France en Algérie, par tous les moyens. Autrement dit…
POUR CE COMBAT, NE BAISSONS JAMAIS LES BRAS !
Le troisième :
continuer à se battre pour remporter définitivement cette bataille politique, car elle n’est pas encore gagnée ; nous avons jusqu’au 20 novembre 2012, pour déclencher une grande campagne de communication et renforcer nos actions, aux côtés des Président(e)s d’associations et des élu(e)s concerné(e)s. Rapprochez-vous d’eux par tous les moyens !
Le premier round vient d’être remporté pour non engagement de l’adversaire d’une certaine manière (absence de débat !), mais préparons bien le deuxième round….il sera décisif !
Mesdames et Messieurs de la gauche française….les Pieds-Noirs et les Harkis qui ont survécu sont toujours là et vous regardent droit dans les yeux, fiers de l’oeuvre française en Algérie.
Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.