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8 janvier 2013

SCOLARISATION EN ALGÉRIE FRANCAISE

En photos.

Les photos ne trichent pas; elles sont le vrai témoin de notre histoire et démontrent pour autant qu'il le faille de la possibilité aux élèves des trois communautés de s'instruire sur le même pied d'égalité. Les photos scolaires des années 50 sont nombreuses et attestent incontestablement des élèves présents. Beaucoup de ces photos dénoncent également la désinformation quant aux différentes communautés scolarisées dans les écoles de la République.

« C dans l’air » est l’une des émissions télévisées qui nous apporte des échanges assez objectifs qu’il est bon de signaler. Mohamed Sirfaoui y est souvent invité et présente la plus part du temps des analyses clairvoyantes mais ce soir-là , il nous a débité quelques absurdités dont il n’est pas coutumier.

Il semblerait que toutes les infrastructures construites par la France en Algérie ne l’étaient qu’au bénéfice des colonisateurs. Il me semblait pourtant, moi qui ai vécu là-bas et lui non, que les hôpitaux étaient bien plus remplis d’Arabes que d’Européens, que les aéroports, les ports, les chemins de fer, le TA et le C.F.R.A. étaient utilisés aussi bien par les Arabes que par les Européens, etc. etc. Or depuis 50 ans à qui servent ces infrastructures construites par la colonisation ?

Il semblerait que la mortalité n’était pas la même pour les deux communautés : or, elle était strictement la même dans les villes, quant au « bled », où vivait 80% des Arabes agriculteurs, elle ne pouvait qu’être différente comme c’était d’ailleurs le cas pour les agriculteurs métropolitains de cette époque. Je lui fais souvenir tout de même que la durée de vie était de 25 ans avant 1830 pour les moins de 2 millions d’Arabes et qu’elle était passée à 50 ans en 1954 pour les dix millions. Comme génocide on a surement mieux fait ailleurs!

Il ajoute, et là on ne peut que lui en vouloir tout particulièrement, que la France a ignoré la scolarisation des Arabes. Qui a appris à lire et à écrire le français à tous ces opposants à la colonisation comme les Messali Hadj, Ferhat Abbas, Boumendjel, Farés, et j’en passe et à tous les intellectuels algériens, sinon les instituteurs de la République dont plus d’une centaine a  été assassinée par le FLN justement pour qu’ils ne puissent instruire les enfants arabes.

Mohamed Sirfaoui sait parfaitement que dans le « bled » on n’envoyait pas les enfants à l’école, ou du moins c’était rarement le cas, on les y retirait quand ils atteignaient l’âge de travailler, c’est-à-dire 10 ans.

Quant aux filles il n’était pas nécessaire de les scolariser car elles n’avaient pas besoin d’apprendre.


 Lycée Ali Chekkal 1956-1957

1959-60-Lycée Ali Chekkal-1èreM3- Françoise N

 Sur cette photo de 1956-57 ce sont toutes mes copines : espagnoles catholiques, juives, musulmanes, les noms sont explicites avec les LOPEZ, MIRALLES, CIRERA, FUENTES, il y a des FOENKINOS, COHEN, des ROY et GARY (bien de "France"), et devant Aïcha KHALDOUN, Mebarka BENZERGA, MIMOUNI, MOHAMED KRACHI, Farida RAHAL, etc ... j'ai oublié quelques noms mais je dois tous pouvoir les retrouver avec les palmares.

De ces palmares dont j'avais ramené quelques exemplaires de fin d'année du Lycée Ali Chekkal on y redécouvre des notes dignes d'intérets. Claude en a aussi quelques uns du Lycée Lamoricière d'Oran. Je n'arrive pas à les retrouver mais en les feuilletant un jour, j'avais même trouvé, chose étonnante un certain Abdelhaziz BOUTEFLIKA ! Françoise Nal 2012


Mers-El-Kebir 1948-1949

cours élémentaire Raymond Quessada 1948

Année 1948/ 1949 à l'école de garçons de Mers-El-Kebir où il y avait un instituteur FSNA, Monsieur SAFER.


Sidi-Chami école maternelle 1951 (doc MC Caillat)

ECOLE MATERNELLE SIDI CHAMI 1951 Marie Claude


Tlemcen école de la Gare 1950

memoria2_025

Tlemcen école de la Gare. Classe dirigée par M Chiali le 1er décembre 1950. Mohamed Benmoussat 14 ans (4e à partir de la droite, 2e rangée) qui en 1962 à l’âge de 26 ans pris la tête de la marine nationale à Mers-El-Kébir jusqu'en 1978.


1960 - CP Oued Allala Classe de Garçons Mr BELKEDROUSSI

 tenes

 1er rang, debouts: 1 – SADOUN 2 – CHEDANI 9 – MEGRAOUI
2ème rang : 1 – BEDROUNI 2 – LARBI 3 - Ali MERINA 5 - ASNOUNI Allal 6 - BELKADA Abdelkader  8 – CHEDANI 10 - Djamel DERAMCHIA 11 - DERMECH
3ème rang : 1 - Hmida AMARA 2 – TOUIABIA 3 – SIAD 5 – ABDAT 7 – TURKI 8 - Kouider ALLOUACHE 9 - Tahar BELKADA 10 - Slimane ABDESSADOK
4ème rang, assis : 4 – KORICHI 5 – ARAÏBI 6 – MAHIEDDINE 7 – MOKADEM


LE GROUPE DES 6

Tous ont fréquentés les écoles de la République

6 "chefs du FLN". Photo prise juste avant le déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954. (Debout, de gauche à droite : Rabah Bitat, Mostefa Ben Boulaïd, Mourad Didouche et Mohamed Boudiaf. Assis : Krim Belkacem à gauche, et Larbi Ben M'Hidi à droite)

 

Le goupe des 6


Rabah Bitat:

Né le 19 décembre 1925 à Aïn El Kerma (à quelque 50 kilomètres de Constantine) dans une famille modeste, - son père était cantonnier communal -, il a, durant son jeune âge, d’abord fréquenté l’école primaire Jules Ferry de Constantine où il obtint un certificat de fin d’études, puis le collège qu’il a dû quitter prématurément en raison des faibles moyens financiers de sa famille et de la situation politique qui prévalait en Algérie. Il suivit des formations professionnelles et obtint deux diplômes.

Membre fondateur du FLN, plusieurs fois ministre, il devient président de la république par intérim durant 45 jours en 1978.

Il est mort le 10 avril 2000 chez l'ancien colonisateur à l'hôpital Broussais à Paris

Rabah Bitat


Mostefa Ben Boulaïd

(1917-1956) fut un commandant de la zone 1 dans les Aurès, un militant nationaliste algérien ainsi qu'un des chefs historiques du (FLN) surnommé le « Père de la Révolution algérienne.

Sa famille était sédentarisée de sorte que le jeune mostefa put faire des études primaires a l’école de Batna. Il en ressortit avec le certificat d’études primaire, ce qui était, à l’époque, un diplôme élevé pour un jeune Algérien, issu d’un milieu rural.Il fit son service militaire au 11ème Régiment des tirailleurs Algériens, sortant avec le grade de caporal.

 Mostefa Ben Boulaïd


Mourad Didouche

Surnommé Si Abdelkader, est né le 13 juillet 1927 à El Mouradia à Alger au sein d'une famille originaire du village d'Ibskriène de la commune des Aghribs en Kabylie. Il effectue ses études primaires ainsi que le cycle moyen à l'école d'El Mouradia, puis rejoint le lycée technique du Ruisseau à Alger.


Mohamed Boudiaf

Né en 1919 à M'Sila (Sud-Constantinois), il est employé des contributions. Adjudant dans l'armée française. membre du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), au poste de ministre d'État de 1958 à 1961 puis vice-président jusqu'en 1962.

Point n'est besoin de sortir des grandes écoles pour être ministre d'état et diriger un pays.

 Mohamed%20Boudiaf


Belkacem Krim

Fils d'un Caïd, Hocine Krim. Il fréquente l'école Sarrouy à Alger et y obtient son certificat d'études. Le 21 août 1942. Son père, inquiet de l'intérêt de son fils pour les idées nationalistes, hâte son passage sous les drapeaux en France le 1er juillet 1943. Le 26 novembre 1944, il est nommé caporal-chef au 1er régiment de tirailleurs algériens. Démobilisé le 4 octobre 1945, il revient vivre à Draâ El Mizan où il occupe le poste de secrétaire auxiliaire de la commune

Belkacem Krim

 


Larbi Ben M'hidi

Cadet d'une famille de trois filles et deux garçons, il naquit au village El Kouahi près de Aïn M'lila dans la Wilaya de Oum el Bouaghi dans les Aurès dans une famille chaouie rurale aisée. il débuta ses études à l'école primaire française de son village natal. À l’issue de la première année scolaire, il se rendit à Batna pour poursuivre ses études primaires où il obtint son certificat d’études primaires, puis entreprit des études secondaires à Biskra.

Larbi_Ben_M'Hidi_-_1957

 larbi-ben-mhidi3

Voir aussi la page de la RÉÉCRITURE DE L'HISTOIRE DE FRANCE EN 2018

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Commentaires
F
Bonjour, comment peut on retrouver les photos d'une enseignante française en 1961 et 1962 à Oran?
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S
Bonjour, en réponse à LACROIX Annick... J ai un article d octobre 1964,concernant la disparition de sa sœur, Jacqueline.. <br /> <br /> Me joindre à mon e-mail : danyalger@gmail.com<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement
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Z
Bonjour, <br /> <br /> Je suis à la recherche de photos des enseignantes du lycée Ali Chekal en 1959/1960. Maman (86 ans aujourd'hui) y enseignait les mathématiques et souhaiterait retrouver quelques archives. Elle se nomme Annie Girard. <br /> <br /> tel 06 69 15 08 43<br /> <br /> Merci pour votre aide!
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L
Un grand merci pour ce blug vraiment .J 'y reviendrai souvent !Bien meilleur que les livres d ' histoire...
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L
bonjour je cherche des photos de ma demi soeur JACQUELINE LACROIX ENSEIGNANTE EN 1964 partie pour la coopération et qui est morte en 1964 à TBLILLISSI ALGER(plusieurs institutrices sont décédées dans les mêmes conditions )
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R
Je suis à la recherche de mon école primaire publique entre 1940 et 1942<br /> <br /> Rue Ibn Khamis à Tlemcen (algérie) qui semble avoir disparu - Merci de me transmettre les contacts utile à retrouver tout enseignant ou dirigeant de cette école - Charbit : avocatsparisnanterre@gmail.com
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C
tjr. Personnellement c'est utile que chacun - indépendamment de son passé- puisse retrouver quelques pistes souvenirs, etc. dès l'instant où il s'agit d'une curiosité saine, personnelle (revoir des têtes des paysages, des objets, se remémorer des traces, éléments de souvenirs - bon ou mauvais là encore n'est pas le problème ni l but . <br /> <br /> alors SVP. si quelqu'un pourrait me dire où s'adresser pou retrouver des photos du village Canrobert (aujourd'hui Oum'El'Bouaghi) (et avec un peu de chance je tomberai sur des anciens du village)
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I
Ou sont ils passer les enseignants de El haouch ?
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I
je cherche des photos de l'école de El haouch pres de Biskra les années 50 et 60
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P
Bravo<br /> <br /> Je ne connaissais pas ce blog, je vais le mettre dans les favoris. J’ai fait mon service militaire en 1962 62.1/B français du continent, je n'étais pas ravi de devoir aller en Algérie, j’ai eu de la chance, j'ai été muté à Tours pour le retour de la 10 em région militaire dans cette ville et puis Paris.<br /> <br /> Les français étaient mal informés, que savaient-ils de l'Algérie, Il me semble qu'après-guerre on avait promis l’indépendance, mais quand Mitterrand a été ministre, il a soutenue l’Algérie Française, lui qui était de gauche. Je ne sais ce qui se serait passé si nous étions...enfin si vous étiez restés.<br /> <br /> C'était un mouvement mondial de décolonisation, me semble-t-il poussé en avant par les pays communistes. De plus tous les conflits depuis l’ont prouvé ou nous faisions une guerre totale ou rien, ce qui s'est passé, finalement, vous ne vous êtes peut-être pas rendu compte que la plupart de vos voisins musulmans vous détestaient?<br /> <br /> Mais au fond, la France n'a pas fait de travail historique, et les français ne savent rien, ce en quoi votre site est plus qu'utile.<br /> <br /> Et puis en 62, il y avait la passion, qui ne favorise pas la compréhension du problème. Je me souviens d'une tante bretonne qui avait épousé un médecin militaire demi vietnamien mais avec un physique à la Bao Daï, ils étaient pour la paix, il a tout fait pour ne pas aller en Indochine, mais il a fallu qu'il aille pour sa carrière à Cherchell, je l’avais vu quand il était rentré en perm en France, c'était un couple transformé, devenu Algérie française mais le couple avait en peu de temps acquis un mépris des arabes inouï, je dis un mépris. Alors que se serait-il passé si la France avait gagné une guerre qui aurait continué plus tard.<br /> <br /> En tous cas, nous, le peuple des deux côtés de la méditerranée, nous sommes les cocus de nos gouvernants. Je suis en retraite près d’Avignon, les arabes ont gagné, ils nous occupent et nous méprise et un jour ce sera la guerre civile, mais chez nous. Hollande et les autres s'en foutent, ils ne vivent pas avec le peuple, quand il est venu à Avignon, comme un voleur, il n'a rien vu, que des cadres socialos, et l'intérieur de sa voiture et de son hélico.<br /> <br /> Merci pour ce site.<br /> <br /> Posté de Richard
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J
Toutes ces émissions concernent l'Algérie ne sont jamais objectives.<br /> <br /> Pourquoi croyez vous que les Algériens recherchent les enseignants et leurs camarades de classe pour parler des bons souvenirs, si ils savent lire et écrire c'est qu'ils sont allés à l'école, ils reconnaissent le dévouement des enseignants. J'ai connu des médecins et des pharmaciens Algériens bien avant 1962 à Sidi Bel Abbes l'inspecteur primaire était Algérien Tous les politiques étaient pour l’Algérie Française. François Mitterrand PS qui était ministre de l’intérieur à l'époque avait fait inscrire sur le port d'Oran ICI LA FRANCE. Ils ont perdu la mémoire. Que pensez vous de Jean Pierre Elkabbach,? qui au retour du voyage de Hollande en Algérie l'interrogent sur Europe 1 lui qui né a Oran n'a pas posé une question sur les Harkis où les pieds noirs . La presse est muselet à la botte du pouvoir, il craint quoi Elkabbach? perdre son émission? mais il a l'age de la retraite il c'est sali déshonoré j'ai honte pour lui, il a posé les questions qui lui ont été donné , ils n'ont jamais assez d'argent, voulez vous que les autres journalistes fassent mieux, Je ne peux pas regarder l émissions d'Yves Calvi.Il va en couler de l'eau sous les ponts avant que quelqu'un prenne notre défense Je suis fière du travail accompli par mais ancêtres depuis 1845 pour l'un1878 pour les autres.nous avons tous des photos de classe avec des algériens mais pour l'histoire c'est mieux de dire qu'ils n'avaient pas le droit même de marcher sur les routes que les français avaient faites
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L
Bravo à "jack37" . L'émission "C dans l'air" est animée par un journaliste de gôche partial sur tous les thèmes abordés.à savoir de la bien pensance! Sifaoui est un leurre et un pleutre!
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J
Mr.Roca,<br /> <br /> J'adhère à votre analyse pour avoir vécu dès la petite enfance de l'école maternelle de la rue Aumerat à Belcourt-Alger en passant par le primaire rue Darwin,<br /> <br /> le secondaire au Collège Moderne du Champs de Manoeuvre et le CTA du Ruisseau avec nombre de camarades musulmans entre autres et celà est indéniable et la preuve en a été rapportée maintes fois.<br /> <br /> Où je ne peux vous suivre, c'est lorsque vous déclarez que l'émission " C Dans l'Air " est une émission " assez objective " et " qu'il est bon de signaler " ajoutez-vous. De deux choses l'une:<br /> <br /> ou vous n'avez pas été assez assidu à l'écoute de cette émission composée pour la majeure partie des mêmes intervenants allant toujours dans le même sens, le tout faisant partie d'une même idée de pensée ou alors cette idéologie dégagée vous convient parfaitement. Pour exemple, prenons cette émission en question où ce distingué Sifaoui qui s'était toujours masqué derrière une impartialité de façade, s'est tout à coup révélé tel qu'il a toujours été et qui n'a pû résister à l'évocation de cette émission consacrée au voyage de notre lavette en chef à Alger. Et que constatons-nous lors de cette émission : un invité Historien digne de ce nom (il y en a) qui remet les choses en place, mais qui se retrouve entre 3 autres interlocuteurs du camp d'en face (voyez l'équilibre) ceux-ci bénéficiant d'un bon coup de main de l'animateur patenté et comme à son habitude lui coupant la parole lui interdisant ainsi d'aller jusqu'au bout de " la vérité ". Moi, je n'appelle pas çà " une émission objective ".<br /> <br /> Quant au Sifaoui, je constate qu'il avait réussi à vous berner.<br /> <br /> J'en reste infiniment perplexe venant d'un compatriote.<br /> <br /> Bien à vous.<br /> <br /> Jacques
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K
ERREUR ..CEG DU PARC DE GALLAND
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K
RAVIE DE LIRE TOUTE CES VERITES...J'ETAIS MOI AUSSI SCOLARISEE AU CEG DU PARC MORIENT...2ème RANG ...4ème A DROITE...CATHERINE BISSERIER...IL Y A MEME BENICHOU EN BAS AVEC SA LONGUE TRESSE...1ère EN ANGLAIS LA FILLE...TRES DOUEE....QUE DE VERITES QUE L'ON CACHE...C'EST DANS LES JOURNAUX QU'IL FAUDRAIT FAIRE PARAITRE TOUT CELA ...JE SUIS EN TRAIN D'EDITER DES DOCUMENTS SUR PAPIER ?..ET JE VAIS LES ENVOYER A HOLLANDE ET SES MINISTRES...BELKACEM ENTRE AUTRE...LA FRANCE DE MAINTENANT VEUT OUBLIER QUE LE MAGREEB EXISTE GRACE A LA FRANCE QUI N'A JAMAIS EU L'INTENTION DE LA COLONISER...MAIS DE LA DEFENDRE DES PILLARDS....PAUVRE IGNORANT DE L'HISTOIRE...ET CA FAIT DE LA POLITIQUE...CATHERINE BISSERIER / MARSEILLE
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L
Pour ce qui est de la scolarisation, rien à ajouter à l'article si ce n'est que nous les jeunes (12 à 18 ans) nous nous entendions sans distinction de race ou de religion. Nous étions tous amis et allions chez les uns et les autres. Le seul problème pour les copains musulmans était le mois du ramadan car en centre d'aprentissage, ils n'étaient pas toujours en forme d'avoir vécu la nuit.
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L
J'ai déjà eu l'occasion de prendre Mohamed Sifaoui en flagrant déli de mensonge. Chaque fois que son pays l'Algérie est égratinié, ou qu'on lui démontre le coté positif de la colonisation, son vrai visage apparait. Cet homme est un fourbe qui surfe sur notre démocratie mais qui est prèt à nous poignarder dans le dos.
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