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27 juin 2014

Lieutenant Roger DEGUELDRE, martyr de l’Algérie française

Par José Castano

« Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » (Roger Degueldre)

            Né le 19 mai 1925 à Louvroil, dans le Nord, Roger Degueldre, dissimulant son jeune âge derrière un physique impressionnant, entre en Résistance dans le maquis FTP de Roger Pannequin, surnommé « Commandant Marc ». Avide de combattre au plus près l’envahisseur allemand, il s’engage dans la 10ème Division d’Infanterie Motorisée qui participe à la réduction de la poche de Colmar, en janvier 1945.

           La guerre terminée, c’est à titre étranger qu’il s’engage dans la Légion Étrangère. Il servira, en Indochine, au 1er Régiment Étranger de Cavalerie et fera très vite parler de lui… Le 21 janvier 1950, à Tra-Vinh, dans le delta du Mékong, au péril de sa vie, il sauve d’une mort certaine sous le feu ennemi, le Capitaine de Blignières… plus tard, colonel, commandant le 1er REC. Cette action héroïque lui vaut d’obtenir la Médaille Militaire.

           La guerre d’Indochine se terminant, déçu, frustré et amer par l’issue des combats, l’adjudant Degueldre -Croix de Guerre des Théâtres d'Opérations Extérieures avec sept citations, (une Palme, deux Étoiles de Vermeil, deux Étoiles d'Argent et deux Étoiles de Bronze)- volontaire pour les parachutistes, rejoint le 1er Bataillon Étranger de Parachutistes qui prendra l’appellation de 1er Régiment Étranger de Parachutistes, dès 1955, durant la guerre d’Algérie.

           Il participe avec son régiment, en 1956, à l’opération de Suez puis, dès son retour, à la Bataille d’Alger dans le but d’éradiquer les bandes terroristes qui sèment la mort et la désolation dans la ville.

           En janvier 1958, il gagne ses galons d’officier, au feu, à Guelma, et participe à la bataille des frontières dans l’Est-Constantinois. Son ardeur au combat, son exemplarité et le dynamisme qu’il insuffle à ses hommes lui valent d’être décoré de la Croix de la Valeur Militaire avec Palme. Le 26 septembre, il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.

           Le temps passant, les atermoiements, les palinodies, les revirements et les reniements de De Gaulle sur le maintien de l’Algérie française sèment le doute puis la colère et l’amertume auprès de bon nombre d’officiers… Degueldre en fait partie. Il assiste, impuissant et rageur à la destruction d’une armée victorieuse et à la livraison de l’Algérie au FLN, rendant vains les sacrifices consentis.

           Après la révolte des officiers du 1er REP, le 8 janvier 1961, il est muté disciplinairement au 4ème Régiment Étranger d’Infanterie mais il refuse de rejoindre son nouveau corps. Le 25 janvier 1961, il entre dans la clandestinité et effectue des missions secrètes pour le compte des services spéciaux commandés par le Colonel Jacquin.

           Le 21 avril 1961, il réintègre son unité lors du putsch des généraux. La révolte avortée, il retrouve la clandestinité et rejoint les rangs de l’Organisation Armée Secrète (OAS) où il est nommé par le Colonel Godard, chef du Bureau d’Action Opérationnel (BAO).

           Fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur ! », il retrouve, dans la résistance à l’abandon, une raison de poursuivre le combat et une justification au serment qu’il a prêté sur le cercueil de son chef, le Colonel Jeanpierre : « Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »

           Au sein de l’Organisation, il s’emploie à forger une arme redoutable et redoutée de tous, tant de l’Élysée, des barbouzes, que du FLN : Les Commandos Delta qui, ayant pour slogan : « L’OAS frappe où elle veut, quand elle veut ! », mènent un combat de tous les instants, rude, chaotique, désespéré, mortel, mais si efficace qu’il sème l’angoisse et la crainte dans les plus hautes sphères… et que la fatalité des circonstances précipitera vers un dénouement tragique.

           Le 7 avril 1962, Degueldre est arrêté à l’issue d’une réunion réunissant plusieurs responsables de l’Organisation. Reconnu, il est aussitôt transféré en métropole et écroué à la prison de la Santé.

           Le 28 juin s’ouvre son procès qui n’est autre qu’une parodie. A cet effet, une juridiction d’exception, la Cour Militaire de Justice, est créée afin qu’il ne puisse, contrairement au général Salan, obtenir les « circonstances atténuantes » et sauver sa tête. Le général Larminat doit la présider. Ancien de l'armée coloniale, il refuse de juger le condamné et déclare : « Je ne serai pas le Fouquier-Tinville de la Ve République. Je me tuerai ce soir » Dans la soirée, il met fin à ses jours. Qu'importe ! Il est remplacé par le général Gardet. La justice expéditive gaulliste ne va pas s'arrêter sur un cas de conscience… En un minimum de temps, après une absence d’instruction et de témoins à décharge, l’officier parachutiste est condamné à la peine de mort.

           Refusant dédaigneusement le recours en grâce présenté par la défense, c’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 d’Oran qui fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, (lequel aurait dû pourtant l’inciter à la clémence), que De Gaulle prend la décision de faire fusiller le Lieutenant Roger Degueldre.

           Le 6 juillet 1962, à 02h30, les deux défenseurs du condamné, Jean-Louis Tixier-Vignancour et Denise Macaigne arrivent à la prison de Fresnes en même temps que l'avocat général Gerthoffer qui a requis la peine capitale et l'aumônier de la prison. Avant de quitter sa cellule, il prononce, en guise d'adieu, ses dernières paroles : « Je suis fier de mourir pour tenir le serment qu'a fait tout officier ayant servi en Algérie. Dites aux Algériens que, si je ne suis pas de leur race, n'étant pas né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours. » Se tournant vers le procureur Gerthoffer, il déclare : « Je ne vous garde pas rancune, mais je vous plains. »

           Puis, c’est le départ vers le fort d’Ivry où doit avoir lieu l’exécution. Á 03h45, l’Officier se présente devant les douze soldats du peloton d’exécution, en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il a tout sacrifié et qu’il a choisi comme linceul. Autour de son cou, il a noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y a la photo d’un bébé, son fils qu’il n’a jamais vu. Il a conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé est venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écrie-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refuse qu’on lui bande les yeux et, au poteau crie : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.

           Les trois premiers officiers désignés pour commander le peloton d'exécution ayant refusé d’accomplir cette sinistre besogne, les Capitaines Jean de Balby de Vernon, Michel Cabanes et Michel Martet, du 501ème régiment de cavalerie de Rambouillet, sont sanctionnés, rayés des cadres et mis aux arrêts. Les officiers suivants qui ont refusé l'ordre, ont été également sanctionnés.

           Il est 03h56. Le sous-officier remplaçant, chef de peloton, abaisse le bras. Les soldats qui doivent exécuter le Lieutenant Degueldre, émus par son courage, hésitent à tirer. Douze coups retentissent cependant dans la nuit… mais une seule balle l’atteint : au ventre diront certains.

           L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipite, l’arme à la main, pour accomplir sa « mission » et se rend compte que le condamné est toujours en vie. Sa tâche ne consiste désormais plus à achever un quasi-mort, censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes... Il en a si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission tremble, et que le revolver se décharge dans le vide. Livide, désemparé, l’adjudant tire une deuxième fois et rate encore sa cible.

           Les défenseurs, voyant que Roger Degueldre souffre atrocement, réclament l’intervention d’un médecin. Celui-ci, arrivé sept minutes plus tard, atteste que le supplicié vit toujours. Il faut donc l’achever au plus vite. Et pendant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé continue de gémir…

           L’adjudant, toujours tremblant, pointe une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferme les yeux et appuie sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produit. L’arme s’est enrayée. Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur Gerthoffer ordonne qu’une nouvelle arme soit apportée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possède. Il faut courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre est toujours vivant et son calvaire interminable.

           À partir de ce moment-là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels ; il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les États-Majors, le FLN et l’Élysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

           Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu (peut-être) changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce au condamné… Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée…

           Enfin on remet un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, dans un état second… mais obéissant servilement au commandement de tuer, doit en finir puisque tels sont les ordres. Un nouveau coup de feu claque. Stupeur ! Celui-ci est tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradie le corps du supplicié. Il regarde vers le ciel et ouvre grands ses yeux. Peut-être perçoit-il à cet instant que son calvaire prend fin. Il est tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui semble entendre, là-haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».

Á 04h08, une nouvelle détonation retentit… et c’est la fin. La boucherie a duré 12 minutes… 12 atroces minutes..

           C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Étranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien.

           Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton. Décidément, le crime était profondément enraciné !…

           Le Lieutenant Roger Degueldre aura respecté jusqu’à la fin son serment « la mort plutôt que le déshonneur ! ». Après avoir été enterré au carré des suppliciés dans le cimetière de Thiais, il repose aujourd’hui au cimetière des Gonards, à Versailles.

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano.

           Le Lieutenant Degueldre s’était adressé à ses camarades officiers en ces termes :

« Faites bien attention. Vous affirmez que rien ne vous empêchera de garder l’Algérie à la France. J’ai prêté ce serment avec vous. Mais sachez bien qu’en ce qui me concerne, il sera respecté. J’irai jusqu’au bout ! »

- L’assassinat du Lieutenant Degueldre. Voix de Jean-Pax Meffret 

Ce jour là ... 6 juillet 1962

LD 1 LD 2

« … Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées

Par ses fusils levés à l’épaule des frères,

Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées

Le prix des reniements au plus juste salaire… »

Robert BRASILLACH

-o-o-o-o-o-o-o-

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Commentaires
É
Les français '' De France '' ont vu la guerre d'Algérie et les pieds-noirs avec dédain et mépris…… C'est leurs gosses qui vont en prendre pleins la tronche quand les musulmans se seront suffisamment multipliés, ( ils sont 35 millions actuellement ) Les français de demain vont connaitre ce qu'on subit subit les pieds-noirs, et ils ne pourront même pas compter sur la protection de la France….Comme jadis ceux qui étaient en Algérie. Tous pour la bêtise de leurs parents
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C
Le 5 Juillet prenons le temps de respecter 1 minute de silence, pour tous nos compagnons, ensevelis sur une terre que nous avons chérie et qui est devenue étrangère
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.
je viens à peine d’arrêter de pleurer <br /> <br /> J'avais 27 ans fin juin 1 962 et mon ALGÉRIE à MOSTAGANEM sera toujours dans mon cœur<br /> <br /> J'espère que tous ses suppliciés se sont retrouvés au PARADIS
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B
Hommage au Lieutenant Degueldre il était un modèle, c'est pour cela que le pouvoir Gaulliste à voulu sa mort. Maintenant en Macronie on ne risque pas que des officiers mettent leurs peaux aux bouts de leurs idées, nos cadres sont lisent, la guerre d’Algérie n'est pas fini. Regarder les banlieues qui dans moins de 10 ans elles auront leurs partitions des petits Califat ou régnera la Charia. Les Français votent mal !!! et bien on se fera virée une fois de plus, et il y aura toujours un général KATZ, pour nous laisser massacré.
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M
Deguerldre était d’abord un patriote Convaincu ,qui considérait l’Algérie comme sa patrie .<br /> <br /> DeGaulle le traitre à fait assassiner un homme d’honneur ,que son nom soit maudit à jamais .<br /> <br /> La France devenue pays poubelle de l’Afrique et du Maghreb est toujours gouvernée par des crapules et elle sera musulmane un jour proche et insidieusement aidés par les mêmes traîtres <br /> <br /> Ce sera la valise ou le cercueil ,les veaux Français n’auront que ce qu’ils méritent .<br /> <br /> <br /> <br /> Martel Charles
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S
Ce 6 juillet, nous aurons tous une pensée pour le lieutenant François Degueldre et pour tous ceux qui se sont battus pour l'Algérie Française. Et que le diable se charge du salopard qui a bradé l'Algérie je veux parler d'un général d'opérette De Gaulle.
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J
C'est un. Heros
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S
Triste souvenir, que ce 5 juillet 1962. Je suis Pied Noir et nous avons dû partir précipitamment grâce aux marins de Mers-El-Kébir qui nous ont sauvé la vie. Aussi je refuse de voir des Algériens venir, aujourd'hui, s'installer en France. Ils ont voulu l'indépendance, je respecte leur choix, mais moi je ne veux plus entendre parler de ces individus qui n'ont même pas été capables de maintenir ce pays comme nous l'avions laissé. Mr Bekaddour vous aviez 9 ans en 1962 et le régime de Bouteflika ne vous a rien appris sur l'Algérie, lorsque c'était un département français, car sachez le, l'Algérie n'était pas une colonie, et cette terre, à l'origine, appartenait aux Turcs, De Gaulle vous en a fait cadeau, vous n'avez pas gagné cette guerre, vous n'avez commis que des massacres d'innocents pendant 6 ans.
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G
le félon qui a offert le plus grand et le plus beau département Française vaste de plus 1.500.000 kM2 Sera bientôt suivi par ses affidés qui assurent tranquillement le transfert de souveraineté de notre patrie a des pays étrangers
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S
Je faisais partie du Groupement de Commandos Parachutistes de Réserve Generale commandé par le Commandant Robin je me trouvais en permission pendant le push Avril 1961
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P
Quand je pense à lui je sanglote.encore.....<br /> <br /> J'ai honte, car moi, j'en suis revenu vivant....
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B
Je suis Algérien, vivant en Algérie, Internet nous a mis à livre ouvert, chacun de vous peut lire les Algériens et vice versa. J'avais un an en Algérie lorsque le tronçon final de la guerre d'Algérie commençait car elle perdurait depuis 1830, je suis né en 1953, c'est un âge où tout être fait face à Là-bas, (L'Au-delà !), et considère la main de pierre de la destinée. L'émir Abdelkader disait de la destinée qu'elle était une main aux doigts de fer... "L'Algérie française" est morte, et nul ne peut ressusciter les morts, elle illustra un fiasco de CIVILISATION, si vous parvenez à lire l'histoire comme une succession de chapitres orchestrés par notre commun créateur, vous verrez Son Dessein à l'oeuvre, c'était Mektoub et vers un but ! Le jugement Lui appartient, j'ai vécu en France et côtoyé bon nombre de Pieds Noirs, jamais l'un d'eux ne m'a offensé, seul me dérangeaient les affiches du Front National, j'ai fini par quitter la France, et sans regrets ! Le paradis, c'est Là-bas, l'après mort ! L'indépendance des Algériens n'a pas fait le bonheur de chaque Algérien, il y a des heureux et des malheureux, idem en France, idem partout... Je vous propose de remonter à la case départ, de lire un livre : "Abdelkader : Lettre aux Français". Cette histoire là aurait pu être autre, mais... La Fatalité ! En arabe : El Kadar. Dans ma culture locale, cet adage : Lorsque la fatalité prend le dessus, les yeux se ferment. (Nous appartenons tous à Dieu L'Indivis, et à Lui nous ferons retour). Il y a La Promesse d'Un Jugement dit Dernier !
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P
Roger Degueldre , Bastien -Thiry ,assassiner par un fou de degaule ,traitre a la nation , combattant de la derniere heure c'est lui qui aurais dû etre passer ,par les armes , avoir eu du sang sur les mains , honte a toi !!!!
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R
Honneurs à cet officier assassiné pour avoir été fidèle à son serment<br /> <br /> Honte à ce général felon et ses complices assassins d un héros.je n oublierai jamais.
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C
l'oubli est le vrai linceul des morts.La mort est la raison finale de tout. On est<br /> <br /> <br /> <br /> encore plus grand mort que vivant.
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R
c'est le "general" de gaulle qui a laissé tuer des harkis et des ressortissants Français 'Pieds Noirs) en, les abandonnants a leurs tristes sorts c'est ce général félon qui aurait du être exécuté , tous les laches qui ont trahis la France peuvent aujourd'hui constater l'étât de la France et des envahisseurs intégristes qui veulent convertirs les Français a leurs idéologies moyennageuse où la femme est une sous espèce d'ailleurs comme les immams
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F
On ne peut pas parler d'exécution mais d'un assassinat , quelle honte pour la France
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T
J'avais 8 ans quand mon père Jean pol Henri Perrin officier de la légion d'honneur assis à côté du poste radio me dit silence...sur Europe 1 on redifusait les coups de feu du peloton et des coups de grâce...jamais de ma Vie je n'avais vu le visage de mon père aussi grave. Plus tard j'ai compris...Mon père ancien de 39 45 Indochine et Algérie m'avait fait sentir la gravité du moment. Oui enfant j'ai compris que De Gaulle avait fait exécuter un soldat français d'une manière horrible oui depuis j'ai toujours garde dans ma mémoire et mon coeur Roger Degueldre. Que Dieu le garde.
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R
de gaulle honte à cet homme qui a trompé des millions de pieds noirs il n'aura jamais la paix meme dans la tombe'heros de pacotille"
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P
Dans sa biographie ,il n'est nulle part question de l'attentat.J'étais persuadé que le Lieutenant DEGUELDRE avait été convaincu de tentative de meurtre sur la personne du général De Gaulle ?<br /> <br /> Par ailleurs, j'ai lu quelque part que le père du lieutenant ,était lui même militaire et avait été un collègue de De Gaulle (St Cyr ?)<br /> <br /> Phil
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F
Cet assassinat n c'est la honte de la France , notre ami de Gueldre n'a pas trahi ,i lest parti avec honneur , il a tenu sa parole contrairement au grand Charles , qui nous a trahi en ne tenant pas ses promesses , honte à lui, et un profond respect pour Roger b.
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G
vous faites honneur a notre histoire a notre France, vous les héros de notre Algérie Française
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C
Moi, l´ancien légionnaire devenu officier de l´armée royale de Suède, j´ais vécu cette période historique d´Algérie au 5eme REI , Comme jeune étudiant inscrit pendant mon attente d´être réformé pour ma blessure, cette cassure brutale morale et physique que représente la mort des héros cités au combat, tués, exécutés après un jugement sommaire, une décision politique sans appel. Comment peut-on fusiller un soldat aussi exemplaire, courageux sans mettre en avant cette circonstance atténuante primaire qu´est la bravoure au service de sa patrie la France. Le 1er REP a disparut dans un trou noir mais son exemple, la bravoure exceptionelle de ces officiers, sous- officiers et légionnaires est un pan du drapeau Français qui reste une légende dans la mémoire collective de tous soldat. Tamas Weber
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F
Absolument ,d'accord , je ne faisait que citer le titre qui d'actualité aujourd'hui, la France nous a trahi par le grand Charles qui nous avait promis ; l(Algérie est et restera française , et aussi ; une seule France , de Dunkerque à Tamanraset, .<br /> <br /> C'est pour celà que nous avons continué le combat pour une Algérie Fraçaise.
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F
A quoi cela a-t-il servi , on s'est battu pour rien , nous avons été trahis par la grande zora , un certain général ? et aujourd'hui les Français n'ont toujours rien compris .les musulmans nous envahissent avec le soutien des gouvernements successifs ,honte à eux qui nous trahissent dans le seul but d'obtenir un maximum de voix au élection.<br /> <br /> Comme l'a dit le général Bigeard : Adieu ma France .
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M
le Maréchal JUIN en Juillet 1962 disait<br /> <br /> La France est en état de péchés mortels ,elle connaitra un jour le Chatiment<br /> <br /> DIEU veuille que cela ne se produise.
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J
HONNEUR au lieutenant DEGUELDRE . Ca !! c'etait un Homme,un vrais,un pur , pas comme ceux d'aujourd'ui qui laissent la FRANCE se pourrir . bravo au General de Gaulle d'avoir éte un faux cul !!
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F
He oui ke Lieutenant DEGUELDRE n" a pas été fusillé ,il a été lâchement assassiné avec l'accord d'un général déserteur en 1940 ,et qui abandonné notre chère Algérie Française que nous avons défendu jusqu'au bout au sein de l'O.A.S.tout ce combat pour rien. Repose en paix mon cher Lieutenant.
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A
Qui était cette pourriture qui a fait assassiner ce HERO ?<br /> <br /> Un vague general qui a deserte devant l'ennemi pour fuir en Angleterre<br /> <br /> et qui a été ,lui aussi, condamne a mort mais helas pas execute (pour le malheur de la FRANCE).
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G
Le lieutenant Roger Degueldre était de la trempe des seigneurs, quand on voit l' état de la France d' aujourd'hui, on le comprends aisément ! C' est une race qui a disparu pour laisser place à la traitrise, la veulerie et à la couardise !! A l' époque où j' étais pour mon job sur la région parisienne, je me rendais régulièrement sur sa tombe !!!<br /> <br /> RIP mon lieutenant ! <br /> <br /> <br /> <br /> PS: N' étaient ce pas des gardes mobiles qui constituaient le peloton d' exécution ??
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G
J'ignorais le destin de DEGUELDRE, dans le détail,mais je suis plein d'admiration pour son courage, sa détermination et ses idées au service de la France qui l'a trahi d'une manière aussi ignoble.
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M
R.I.P. à vous monsieur
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