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8 octobre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 113

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 27 septembre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Robert MENARD, Maire DVD de BEZIERS : un discours exemplaire au personnel municipal !

         Il vient de se passer un véritable séisme en terme de communication entre Robert MENARD, le nouveau Maire de Béziers (34) et le personnel municipal.

         Vainqueur des dernières élections municipales le 30 mars 2014, contre Elie ABOUD, candidat de l’UMPS (Rappel : la gauche, partisane du front dit républicain, en réalité front anti-FN, a voté pour lui donc j’écris bien et à juste titre « candidat de l’UMPS » !), Robert MENARD fut soutenu entre autres par le FN, le MPF (ce qu’il en reste) et DLR (voir mon Phare n° 80 du 31 mars).

         Ce remarquable discours Robert MENARD l’a tenu à l’occasion de la réunion d’information du personnel municipal, organisée le jeudi 25 septembre 2014, à la salle Zinga Zanga de Béziers.

         Le texte de ce discours est un peu long certes mais il vaut la peine d’être connu ; il est reproduit en intégralité ci-dessous :

" Monsieur le directeur général,
Mesdames et messieurs les responsables de pôles, de directions et de services,
Mesdames et messieurs les agents,

A vous tous, fonctionnaires de la ville de Béziers,

            Il y aura six mois bientôt une nouvelle équipe municipale arrivait à la tête de notre ville. Six mois peuvent sembler un temps court, mais il s'agit d'un délai suffisant pour que tout le monde comprenne qu'un nouvel état d'esprit est arrivé en mairie. Je ne dis pas un programme. Les différences de programme sont la nature même de la démocratie et je ne vous aurais pas réunis pour en discuter. Ce dont je veux vous parler, c'est de la manière dont on fait les choses et pourquoi on les fait.
            Depuis le 4 avril dernier, nous sommes au service du peuple Biterrois et seulement à son service. Ce ne sont pas que des mots. Ce sont déjà des faits. Ce que je vous demande au quotidien, je ne vous le demande pas pour moi, pour un parti, mais pour notre ville, pour ses habitants. Je le demande en toute confiance, avec respect. Je n'obéis à aucun préjugé contre les fonctionnaires, je ne nourris aucune rancune envers tel ou tel. De prime abord, ma confiance est entière, sans réserve, seuls des comportements peuvent m'amener à renoncer à cette confiance.
            Je sais que nombre d'entre vous ont entendu ce message et que des efforts ont déjà été entrepris. Cependant, il est possible que tout le monde ici n'ait pas encore compris la portée de la révolution des mentalités que j'attends, il est possible que certains imaginent que pourraient perdurer des habitudes, des facilités, contraires à l'intérêt général, mais si commodes pour la tranquillité personnelle. Je suis venu dire à ceux-ci que non. Ce temps-là est terminé ! Nous avons amorcé une rupture. Nous la mènerons jusqu'au bout. Elle sera totale.
            Six mois, c'est aussi un délai suffisant pour faire connaissance. Je ne serai donc pas hypocrite. Je ne dirai pas aujourd'hui que tous les agents de la Ville sont exemplaires, compétents, dévoués. Je vais vous dire une évidence, mais une évidence qui exige qu'en soient tirées des conclusions et donc des conséquences. A Béziers, comme ailleurs, il y a de très bons agents, de bons agents, des agents corrects, des agents passables qui peuvent s'améliorer ; il y a aussi de mauvais agents qui sont une plaie pour la ville, qui sont précisément le type de personnes à cause desquelles les fonctionnaires sont, si souvent, trop souvent, moqués et méprisés. Ces quelques agents font du tort à tous les autres et aux Biterrois.
            Je vous dirai plus loin comment je compte faire la distinction entre les uns et les autres, entre la qualité et la médiocrité, mais je vous dis tout de suite que les agents qui ne donneront pas satisfaction à l'avenir n'en seront certainement pas récompensés. Finis les passe-droits et le clientélisme ! J'y veillerai personnellement. Et, bien naturellement, tous les cadres seront responsables devant moi de cette vigilance que l'éthique et l'intérêt collectif exigent.
            Car, ici, désormais, la règle du jeu a changé. Le mot d'ordre est simple : tout, tout pour Béziers !
            Notre ville va mal. Notre pays aussi. Mais dans la descente aux enfers, nous avons plusieurs longueurs d'avance. Chômage, pauvreté, fuite des classes moyennes... Je vous épargne un tableau que vous connaissez tous. De même, vous savez que notre commune n'a plus les mêmes moyens que naguère. A force d'avoir emprunté, il faut maintenant rembourser. Plus de 110 millions de dette. Dans le même temps, l'Etat ruiné nous reverse de moins en moins.
            Et, pourtant, dès notre arrivée, nous avons baissé les impôts et pas de rien : 4 % ! Autant de recettes en moins à court terme. Mais un message clair pour l'avenir : faire revenir des familles, des entreprises, des gens qui travaillent, des gens qui peuvent participer à la richesse de leur ville, de notre ville.

Voilà les conditions dans lesquelles nous sommes placés, ensemble, pour les six années qui viennent. Voilà le cadre financier que le passé nous impose. Voilà le réel.
            Dans ce contexte, la commune, c'est vrai, ne peut pas tout assumer. Mais sur les domaines qui sont de sa responsabilité, comme sur ceux où elle supplée les carences de l’État, elle peut combattre, elle doit combattre.
            Faire la guerre à la saleté, faire la guerre à la laideur, faire la guerre à la petite délinquance et aux incivilités, faire la guerre aux gaspillages. Se battre pour ramener de la beauté, se battre pour la grandeur, se battre pour une résurrection de ce que fut Béziers et de ce qu'elle doit devenir. Tout cela, c'est notre mission, c'est, chacun à votre poste, votre mission. Ici, chacun tient entre ses mains une parcelle de ce que doit être Béziers. Assumer
nos responsabilités, tel doit être le sens de notre combat pour notre ville.
            Fonctionnaires de Béziers, vous n'êtes pas une addition d'individualités, répartis dans des services, pour une tâche isolée. Vous appartenez à un corps au service de la Cité. Rien d'autre ne compte. Votre travail sera mesuré à cette aune. Dans le terme de « service public », le mot le plus important est aussi le plus beau : « service » ! Servir, à son poste, et, dans le cas de Béziers, servir à une œuvre de redressement. Vous devez être fiers de travailler au service des Biterrois et pour les Biterrois.
            Il y a sept ans, la Chambre régionale des comptes avait relevé de nombreuses anomalies, voire illégalités, relatives à la gestion des ressources humaines. Six mois m’ont suffi pour constater qu' hélas, trop peu - et parfois même rien ! - avait été fait pour mettre fin aux abus, aux incohérences, aux infractions à la loi.
            Voici quelques semaines, j'ai reçu un nouveau rapport de la Chambre régionale des comptes qui couvre cette fois les années 2009-2013. Ce rapport n'est pas définitif, il peut encore changer à quelques endroits. A ce titre, il est confidentiel, je n'ai pas le droit d'en faire état ici. Pour autant, je n'ai nul besoin de citer ce rapport, de m'appuyer sur ses analyses, pour vous dire ce que, déjà, je sais et ce que, sans attendre, je veux.
            J'ai demandé à M. le Directeur général un nouvel organigramme des services. A la tête de cette organisation concentrée, un état-major réduit. Objectif : être plus réactif, plus efficace. Dans ce contexte, les titres de directeurs de pôles seront supprimés. Cet organigramme sera dévoilé en octobre.
            Les charges de personnel n'ont cessé de croître depuis six ans alors même que de nombreux agents de la ville ont été transférés à la communauté d'agglomération. Qu'est-ce qui justifie cette hausse ? Plus de travail ? Un meilleur service ? Certainement pas. Je n'accuse pas les agents. J'accuse ceux qui, à leur poste, n'ont pas mis en place les changements indispensables.
            Beaucoup de mesures que nous allons prendre sont d'abord et avant tout dictées par la loi. En effet, il se trouve que celle-ci n'est pas toujours appliquée à la mairie de Béziers. Un exemple : la durée légale du temps de travail annuel est de 1 607 heures en France. A la mairie de Béziers, cette durée est seulement de 1 544 heures. Soient 63 heures de moins ! Je le redis : c'est parfaitement illégal.
            Dans une telle situation, la concertation, la négociation, n'ont pas leur place. La loi doit s'appliquer. Elle s'appliquera dès 2015
            Bien naturellement, les partenaires sociaux seront associés à la mise en place de cette remise en ordre au cours d'un CTP du mois d'octobre.
            Dans ce contexte, vous comprendrez que les heures supplémentaires comme les heures complémentaires doivent et vont devenir des exceptions. Elles ont coûté à Béziers l'an dernier 2 200 000 euros ! Déjà depuis six mois, une baisse drastique de ces heures a été obtenue. Il faut faire davantage et le faire vite. Là aussi, ma consigne est claire et nette.
            Autre enjeu : l’absentéisme. Hors congés évidemment, hors maladies réelles et courantes, l'absentéisme représente l'équivalent annuel de plus de 210 temps pleins ! C'est inadmissible.
            Nous mènerons contre ces abus un combat sans faiblesse, notamment contre les certificats de complaisance délivrés par quelques médecins hélas trop connus. Tellement connus que je n'hésiterai pas à demander des explications à l'Ordre des Médecins si ces abus persistent.           La prime dite, sans doute par humour, de « présentéisme » sera supprimée. On ne reçoit pas une prime pour le simple fait d'être présent. Hors droit statutaire, une prime se mérite. C'est dans ce but que j'ai demandé à M. le directeur général des services la mise en place d'une modulation du régime indemnitaire. Ainsi, nous instaurerons la juste récompense des efforts, des dévouements, des résultats. Ainsi, nous créerons la plus belle des primes : celle du mérite.
            Vous le savez déjà, je vous en réaffirme ici le principe : les recrutements seront extrêmement rares et obéiront à un besoin absolu, comme dans le cas de la police municipale. Les départs à la retraite ne seront pas remplacés.
            Dans ces conditions, il est indispensable que la polyvalence devienne un principe et que la spécialisation soit une exception. A cette fin, nul ne s'étonnera que chaque fois que nécessaire, il soit puisé dans un service pour en renforcer un autre, que ce soit ponctuellement ou sur la durée. Cela vaut pour tous les métiers. Cette règle de polyvalence sera intégrée aux fiches de poste et passera en CTP.
            Les avancées de grade et d'échelon à durée minimum ne seront plus automatiques, plus systématiques. Je le redis, un seul critère : le mérite ! Il sera du devoir des cadres de prendre leurs responsabilités et de noter leurs agents en fonction de leur engagement au service de la communauté de travail que nous formons. Les notations de complaisance ne seront plus acceptées. Le mérite n'est pas un gros mot. Il n'est pas le contraire de l'égalité, il en est même le seul garant. L'égalité des droits n'est pas l'égalité de salaire ou de carrière. L'égalité, c'est disposer des mêmes chances au départ. Le mérite, c'est la reconnaissance de ce que l'on fait, de ce que l'on est. Cette règle s'appliquera, bien entendu, aussi aux chefs de service.
            Enfin, il m'a semblé indispensable de nous doter d'un instrument de mesure de l'efficacité municipale. La situation exige que je vous demande beaucoup. Il me faut donc une connaissance objective des efforts fournis dans le cadre de notre stratégie. A cette fin, monsieur le directeur général est en train de constituer un bureau d'audit interne. Des indicateurs par direction seront élaborés. Un contrat d'objectif sera signé - oui, signé - par tous les directeurs. Notre but n'est pas de surveiller les agents, mais de veiller à la valeur du travail collectif fourni dans le cadre d'un budget compris et partagé par tous, chacun à son poste.
            Au passage, je vous informe que pour une meilleure efficacité le service des ressources humaines sera mutualisé entre la ville et le CCAS.
            Les Biterrois attendent beaucoup. Mais pas seulement de nous, les élus. Ils attendent beaucoup de la commune, c'est-à-dire de vous, les agents. Ils savent que nul ne peut changer cette ville sans vous, sans votre concours, sans votre adhésion, non à un projet politique, mais à une aventure humaine. Le travail n'est pas qu'une façon d'obtenir de l'argent pour pouvoir consommer. C'est aussi la plus grande partie de notre vie. Il peut nous accabler, comme il peut aussi nous combler et, parfois, nous rendre fiers.
            Je sais que les décisions que je viens d'annoncer ne peuvent que résonner sévèrement dans les esprits. Je ne le fais pas par plaisir. J'aimerais qu'il puisse en être autrement. Mais Béziers n'a plus les moyens de payer le prix de la démagogie et du laxisme.
            Ni vous ni moi ne sommes responsables de cette situation. Il est humain que certains aient pu espérer que celle-ci perdure. Mais, au-delà même de la loi qui doit s'appliquer, le réel s'impose. L'état de notre ville ne permet plus qu'il en aille autrement. Les Biterrois ne le comprendraient pas. Dans une ville avec autant de chômeurs, autant de pauvres, je ne dirai jamais que les fonctionnaires sont des privilégiés, je ne vous opposerai pas aux victimes de la crise. Mais j'affirme que nous avons le devoir collectif de justifier, vous votre poste, nous le mandat délivré il y a six mois par le peuple Biterrois.
            J'ai conscience que ce que nous allons faire est une sorte de révolution. Une révolution municipale, une révolution biterroise. Mais aussi une révolution de l'esprit. Cette révolution est en marche et, je vous le dis, rien ne l'arrêtera. Cependant, elle ne peut être féconde que si l'immense majorité d'entre vous la comprend, la porte et la développe dans toutes ses implications quotidiennes. Il n'y a pas de tâches obscures ou dégradantes. Bien balayer nos rues a autant mon respect et d'importance que rédiger un bon rapport. Aussi, pour mener à bien cette révolution, nous vous donnerons, dans la mesure de l'extrême possible, tous les moyens matériels nécessaires.
            Il est exceptionnel qu'un maire réunisse l'ensemble des fonctionnaires pour leur tenir un discours franc, viril, un discours de vérité. Voyez votre présence ici comme une preuve de confiance.
            Je vous dis les choses comme elles sont, comme elles devraient être et comment elles seront. Je ne vous prends pas pour des instruments sans âmes, pour des outils, mais, au contraire, je m'adresse à des femmes et à des hommes. Je m'adresse à votre intelligence et à votre conscience.
            Vous n'êtes pas seulement des fonctionnaires. Vous êtes aussi pour la majorité d'entre vous des Biterrois, pour presque tous les autres des habitants du Biterrois. Et vous êtes tous des Français.
            La révolution que je vous annonce ne se fera pas contre vous. Elle se fera pour vous, pour vos familles, pour l'avenir de cette ville. L'état de Béziers, mais aussi l'état du pays, ne nous laisse pas le choix : allons-nous continuer à agoniser ou bien nous relever pour retrouver un destin ?
            J'ai la certitude absolue qu'il n'y a pas d'autre cap que le nôtre. C'est une grande aventure à laquelle je vous convie. Nous pouvons faire de notre mairie et de notre ville des exemples. C'est donc dans ce but que tous, élus et agents, nous devons être exemplaires. Dans l'honneur et le travail, nous ferons cette révolution.
 Vive Béziers !".
           Je vous le disais : ce discours est vraiment remarquable et comme il correspond bien à l’attente de renouveau des électeurs français ! Je doispréciser que les passages en gras sont de mon fait.

         En plus de la qualité de la forme, et de la pertinence du fond, il est bon de rappeler que Robert MENARD a déjà pris d’autres décisions courageuses, non évoquées dans ce discours, pour dynamiser Béziers, entre autres :

- pour réduire les frais de fonctionnement de la Mairie :

. Ne plus avoir de voiture avec chauffeur en tant que Maire mais utiliser le véhicule qui serait disponible sur le parking de la Mairie, au moment voulu,

. Passer la flotte automobile de la Mairie de 41 véhicules à 14 (bonjour l’Elysée… est-ce que vous m’entendez ?!),

- pour le bien de tous et éviter des comportements anarchiques :

. Nettoyer et faire en sorte que le « plateau des poètes » ne soit pas occupé par des revendeurs de drogue et leurs clients,

. Interdire à tout mineur de moins de 13 ans de circuler en ville sans être accompagné, au-delà de 23h00,

. Interdire les paraboles et le linge à sécher sur les balcons, le jour, dans le quartier historique de la ville pour le rendre attrayant aux touristes.

         A tous les biterrois désireux de soutenir les efforts de Robert MENARD, j’indique les coordonnées de l’association qui aide la municipalité : « CHOISIR BEZIERS » - 20 rue des Docteurs Bourguet - 34500 – BEZIERS Courriel : contact@choisir-beziers.fr.

Preuve est donnée, s’il le fallait, que l’on peut être un élu de droite, DVD en l’occurrence (rappel : soutenu par le FN), ne pas être membre de l’UMPS, et…vouloir administrer correctement !

Une telle volonté de bien faire, de la part de Robert MENARD, doit être saluée et répétée à qui veut l’entendre !

Quant à ceux qui me disent qu’il a été ceci et qu’il a dit cela, je réponds : aujourd’hui il avance, dit ce qu’il pense nécessaire et fait ce qu’il dit. Mérite ! Dois-je souligner le mépris avec lequel le journal « Midi-Libre » se fait l’écho des décisions prises par Robert MENARD ?

C’est fait. J’y tiens car tant qu’un tel journal sera aussi partial et soumis à la pensée unique de l’actuelle gauche mondialiste il ne sera ni digne ni crédible.

         Je m’empresse d’ajouter que si les Maires des 6.455 communes de France agissaient de la même manière, l’efficacité des Mairies n’en serait que plus forte, des nécessaires -et urgentes- économies de fonctionnement seraient réalisées, et les citoyens seraient plus confiants et plus respectueux du travail des « fonctionnaires de l’Etat ».

Il m’arrive de rêver : j’attends qu’un(e) Président(e) de la République tienne un discours similaire….pour redresser la France ! 

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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Commentaires
M
Bonjour "Maïa",<br /> <br /> Merci de votre réaction. Ces valeurs sont comme le climat : lorsqu'elles caractérisent une époque, elles donnent un sens noble à l'existence et il fait beau, lorsqu'elles qu'elles sont oubliées, voire ridiculisées, elles transforment une époque en anarchie et il fait mauvais. Pensons très fort qu'après la pluie vient le beau temps, car rien n'est figé. C'est dans les urnes qu'il faudra régler le problème, sans état d'âme !<br /> <br /> Bien cordialement.<br /> <br /> Michel
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M
Un discours qui galvanise ! Ces valeurs : mérite, fierté, travail, nous ont fortifiés au cours de notre vie mais sont quasiment devenues obsolètes aujourd'hui dans la déliquescence des mœurs... Merci de nous l'avoir transmis !
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