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21 décembre 2014

JOYEUX NOËL

Un petit conte d'Oran.

Il est 19 heures 30 ce 24 décembre, le TABARYS est noir de monde, le ton monte 
avec les tournées d'anisette.

Il faut jouer des coudes pour arriver jusqu'au fond de la brasserie ou 
trônent trois flippers tout neufs et le juke-box qui alterne Marino Marini,
les Platters, Paul Anka et Bill Halley.

Georges et Robert hurlent à pleins poumons « hey mambo, mambo roooock !!!! »

Georges arbore autour du cou un foulard en velours rouge, prise de guerre d'un 
fauteuil  du cinéma Colisée, ou tout a volé en éclats lors de la diffusion 
du film ; « Graine de violence ».

Je suis arc bouté sur le flipper comme le jockey de ma boite d'allumettes.

-         Qu'est-ce tu bois ? Me lance Marco

-         Une BAO brune avec de la fraise et prends-moi un paquet de 
blondes, des Atlas.

-         Et toi Robert

-         Un coca Rhum

-         Purée t'attaques fort, tu ne te réserves pas pour la Noché Buéna

-         Non la Noché Buéna c'est en famille, bien sage, les pelotas avec 
le pin pignon, la poule au pot avec les pois chiches, le turon du dur et du 
mou, les chocolats, les dates fourrées et après la messe de Minuit au Saint 
esprit.

-         Tu vas peut être rencontrer Monique à l'église

-         Déjà me de lio que Roger y tourne autour et en rentrant de l'église 
par la rue de la Bastille nous achèterons des taillos pour le petit dej.

-         Et les cadeaux ??

-         Les cadeaux !!! Avec le bulletin catastrophique que j'ai ramené du 
Lycée!

-         Ce soir à la messe prie saint Antoine de Padoue il va peut être t'amener 
« souvenirs souvenirs »

-         le dernier disque de Johny. ?

-         Ben oui

-        
Corre que te dan morcillas !! Et arrêtes de secouer la babasse j'ai
 
presque les points pour le super bonus !

-         TILT !!!!!

De rage je donne un grand coup de poing sur la vitre qui explose dans un 
énorme fracas qui me réveille.

Il fait froid, gris mais ce soir toute la famille sera là, mais Oran c'est seulement dans mes rêves. .

Le foie gras a remplacé les pelotas, .mais quel beau songe, j'en ai la chair de poule et les larmes aux yeux.

Joyeux Noël

René Mancho

 Les petits cotons

ORAN Le christ rédempteur

Le 24 décembre 1961

            C’était notre dernier Noël en Oran Française, mais nous ne le savions pas. Oran la travailleuse étincelait de toutes ses vitrines illuminées, la foule déambulait rue Général Leclerc, que tout le monde nommait toujours Rue d’Arzew, le magasin ne désemplissait pas. Je dirigeais alors une boutique pour Homme appelée Adam. Mon premier vendeur, Monsieur Candel s’affairait tout en surveillant les trois vendeuses, s’assurait qu’elles étaient attentives aux desiderata des clients et surtout des clientes venues choisir le cadeau destiné au mari, au père, au fils, au frères. Cravates et chemises, gilets et pyjamas, s’accumulaient sur les comptoirs. La retoucheuse, Madame Salcédo, perchée dans la mezzanine, faisait ronfler sa machine à coudre car il importait que les retouches soient terminées pour les clients impatients d’étrenner le costume neuf pour le réveillon. Tandis que le tailleur vérifier le tombé d’une veste ou d’un pantalon dans les cabines d’essayage.

           Habituellement je ne m’occupais que de la comptabilité, des stocks et des commandes, mais, les veilles de fêtes, tout le monde mettait la main à la pâte. Je suis devenue experte en paquet cadeau ! Notre papier gris-bleu et le bolduc bleu-roi étaient notre marque bien reconnaissable.

            Pour cette nuit sacrée, le couvre-feu avait été reporté à minuit et la messe avancée à 22 heures. Oran la joyeuse en proie depuis des mois aux perquisitions, aux arrestations arbitraires, aux attentas et aux nuits bleues respirait comme elle ne l’avait pas fait depuis que la bestialité du gauleiter Katz  s’était jointe à celle du FLN.

            Les oranais, enclins à faire la fête,  à glaner le moindre prétexte à rire, s’en donnaient à cœur joie.

Oh ! Personne n’oubliait la guerre et les deuils, personne n’oubliait les amis chassés du bled et réfugiés dans ville protégée par les commandos OAS. Les réseaux Bonaparte et Rinbold ainsi que les hommes des collines veillaient car tous craignaient  que les hordes fanatiques ne tentent une attaque en force. Ce ne fut pas le cas.

            Chacun voulait espérer que la France resterait en Algérie, que « quelque chose allait se produire », que « ce n’était pas possible »... On se le redisait pour se donner courage, pour parer nos illusions des étoiles de la nativité.

            Le croyions-nous vraiment ? Pensions-nous vraiment à un sursaut d’honneur de l’armée ? A un revirement de la métropole ? Je pense que nous ne raisonnions plus, seul un instinct de survie nous animait et cet optimisme que l’on peut qualifier de stupide mais qui fut notre sauvegarde des mois durant.

            A 22 heures, les cloches de toutes les églises de la ville sonnèrent à la volée, de longues minutes. Nous reconnaissions celles de Saint-Esprit, celles de la cathédrale. Ce fut comme un grand souffle de bonheur.

            Hélas ! Lorsque les cloches se sont tues, du village nègre et de la ville nouvelle, montèrent les you-you des femmes arabes. Non, les you-you de joie des mariages et des naissances, mais les lugubres you-you prémisses des massacres.

            Nous allions les entendre les six derniers mois de l’Algérie Française, jusqu’au jour sanglant  du 5 juillet 1962.

            Alors nous avons compris qu’en dépit des lumières, des magasins pleins de marchandises, d’un port où les bateaux déchargeaient des richesses dont peu ou prou tout le monde profitait, en dépit des hommes et des femmes travailleurs, l’imbécillité du fanatisme porteur de misère aurait le dessus et que la belle histoire d’une terre où cohabitaient les 3 religions finissait dans le sang...

Geneviève de Ternant.

Retour Poèmes.

 

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21 décembre 2014

LA TORTURE ... PITOYABLE CECITE OU CRIMINELLE LÂCHETE ?

« Tous ceux qui luttent aujourd’hui contre l’intégrisme seront demain les artisans de la démocratie, parce que celle-ci est la seule véritable alternative au programme islamiste » (Alexandre Adler)

Dans un rapport du Sénat américain publié le 9 décembre 2014, il est mentionné que « les techniques renforcées d'interrogatoire de la CIA contre des détenus après le 11 Septembre 2000 « n'ont pas été efficaces » et ont été plus brutales que ce que l'agence d'espionnage avait reconnu jusqu'à présent ». Et pour donner plus de crédit à son exposé,  le rapport décrit sans la moindre vergogne la façon dont les détenus étaient traités : « jetés contre les murs, dénudés, placés dans des bains glacés, empêchés de dormir pendant des périodes allant jusqu'à 180 heures ».

            Pour justifier de telles pratiques, le directeur de la CIA, John Brennan, a indiqué que la torture utilisée par l’agence avait permis de « sauver des milliers de vies en déjouant des attentats », ajoutant qu’Oussama Ben Laden, le chef de file d’Al Qaïda, n’aurait jamais été tué sans les informations obtenues dans le cadre du programme d’interrogatoire mis en cause.

            Ce rapport du Sénat américain, véritable opération politicienne hypocrite et démagogique, remet en mémoire d’autres rapports, d’autres enquêtes, d’autres cris d’orfraie, d’autres condamnations émanant de la « bien pensante » et du « politiquement correct »… tout ce que le conflit algérien avait engendré de critiques acerbes, de condamnations et de jugements sommaires…

            Cette guerre révolutionnaire entreprise par les « fous d’Allah », les Américains ne l’ont pas voulue… comme les Français n’avaient pas voulu, non plus, celle qui allait causer,  huit années durant, la mort de milliers d’innocents et se concrétiser par l’exode et l’exil de tout un peuple.

            Cette guerre auquel le monde occidental est aujourd’hui confronté est, comme « l’autre », aussi sale que bestiale, plus cruelle et plus écœurante que les précédentes car l’ennemi n’est pas franc et ne s’embarrasse pas de préjugés… Il est partout à la fois et on ne le voit nulle part. Ce n’est pas un adversaire loyal, ne s’attaquant qu’aux militaires ou à leur matériel ; tout au contraire, ces terroristes sont des criminels de droit commun, des gangsters de l’espèce la plus ignoble, et leur gang a ses ramifications secrètes dans chaque pays, dans toutes les classes de la société. Il faut donc agir impitoyablement à leur endroit et, pour cela, utiliser des moyens appropriés, fussent-ils, eux aussi, révolutionnaires.

            C’est grâce au silence et au secret dont ils s’entourent que ces tueurs peuvent opérer et porter les coups les plus dévastateurs. Le secret rompu permettrait de les interpeller et mettre la main sur les bombes, les armes de toute sorte, interdirait toute velléité d’attentat. C’est donc au secret qu’il faut s’attaquer si l’on veut éviter un bain de sang…

Mais comment s’y prendre ?

Imaginons être en face d’un homme pris alors qu’il vient de déposer une bombe qui, seul, sait en quel lieu, à quelle heure elle explosera, tuant et mutilant à jamais des dizaines et des dizaines d’innocents, et si cet homme, s’enfermant dans son secret ne veut rien dire quand on l’interroge humainement, réglementairement, alors, que faut-il faire ? Et il faut faire vite car le temps presse ! Quelque part dans la ville, le tic-tac s’égrène lentement et c’est pour de nombreuses vies humaines, une question de vie ou de mort. A tout prix il faut désarmer ce bandit, le faire parler quelle qu’en soit le moyen afin qu’il livre son secret… et de toutes les méthodes, seule la torture paraît-être la plus efficace et, surtout, la plus rapide. C’est çà ou se contenter de relever des innocents déchiquetés par la bombe qui va exploser dans un instant et de les conduire à la morgue.

            En Algérie, l’armée française dut, pour faire face au danger sans cesse croissant du terrorisme et afin de le mieux combattre, utiliser les mêmes arguments que l’ennemi : La torture.

            Par celle-ci, cependant –et par elle seule- elle arriva à prévenir le harcèlement imminent d’un poste, l’embuscade tendue à une patrouille, l’explosion d’une bombe dans un stade, un café ou un cinéma, l’attaque d’une ferme, l’enlèvement ou l’assassinat d’une personne.

            On a fait à ce sujet, au lendemain de la « bataille d’Alger », le procès de la torture. Si ses plus violents proscripteurs n’avaient pas été animés, souvent, plus par des arrière-pensées politiques que par des sentiments humanitaires, leurs appels auraient eu une autre résonance. Mais combien songeaient à condamner en même temps, et peut-être d’abord, la cause : Le terrorisme ignoble et aveugle ?               

            Durant ce conflit, les « moralistes à la conscience pure » n’ont eu de cesse de vilipender les parachutistes français pour leurs « opérations de police musclées » lors de cette bataille en leur opposant la « charité chrétienne ».

            Mais où est la « charité chrétienne » dans ces visions apocalyptiques : Visages lacérés où les yeux manquaient, nez et ces lèvres tranchés, gorges béantes, corps mutilés, alignements de femmes et d’enfants éventrés, la tête fracassée, le sexe tailladé dont les tueurs du FLN se repaissaient avec un plaisir sadique ?

            La révolution, la lutte pour l’indépendance de son pays justifient-elles de telles abominations ?

            Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Hier, le FLN ; aujourd’hui, l’Etat Islamique et ses séides… Dans les deux cas, nous avons été -et sommes, de nouveau- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau ou vitriolés, les fillettes violées ou déchiquetées par les bombes, les femmes lapidées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises en Algérie ne révoltent pas les consciences contres les criminels mais contre ceux qui les pourchassent et tentent de les neutraliser…

            La conscience se corrompt dans ces contradictions parce que pardonnant là (l’assassin) et condamnant ici (le soldat), elle cesse d’être conscience pour se faire complice. La supercherie naît de ce qu’elle continue à se parer des attributs de la conscience et exige d’être reconnue comme telle. La complicité dissimulée sous le vocabulaire de la conscience, c’est la subversion. Les mots deviennent fausse monnaie.

José CASTANO Courriel : joseph.castano0508@orange.fr       -Mon blog-

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Colloque de Condom (Gers)  « Mettre sa vie au bout de ses idées »

Quand les « antifascistes » vilipendent l’œuvre de mémoire… cliquez :

-          http://magoturf.over-blog.com/2014/12/condom-les-antifascistes-anonymes-s-insurgent.html

-         Colloque de Condom : Le Cercle Algérianiste continuera à dire sa vérité

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Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « leurs » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence, organisée par le Cercle algérianiste de SETE, sera donnée par José CASTANO, Samedi 24 janvier à 10h30, salle de la Pierrerie, Rue des moulins à vent – 34200 SETE

Contact : Jean-Pierre CACACE - Tel. 06.12.69.89.07 ou 04.67.18.78.89

Courriel :  jpierre.cacace@gmail.com

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19 décembre 2014

SITES INTERNET PN

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26 MARS 1962 ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES (N.   Ferrandis 2013)
26 MARS 1962 ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES (N.   Ferrandis)
26 MARS 1962 ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES et   ALLIES (N. Ferrandis)
26 MARS 1962 SIMONE GAUTHIER
5 JUILLET 1962 A ORAN -    GENEVIEVE DE TERNANT - HERVE CUESTA
5 JUILLET 1962 A ORAN - JEAN   FRANCOIS PAYA
8 MAI 1945 ROGER BEMMEBAREK
AAALGERIANIE
ADIMAD - Association pour la défense des intérêts moraux et matériels   des anciens détenus
AFFICHES ALGERIE 1830-1962
ALGER HOPITAL DE MUSTAPHA - Professeurs en Médecine   1961-1962 - Dr. G. PELISSIER
AMICALE ALYSGO - les Anciens de   Stéphane Gsell et de Lamoricière
AMICALE DES ANCIENS COMBATTANTS D'ALGERIE
AMICALE DES ANCIENS ELEVES DES ECOLES D'AGRICULTURE   D'ALGERIE
AMICALE PIEDS-NOIRS 47
ARAPREM - Association de Rapatriés d' Algérie pour la   Réconciliation des Mémoires
ARCHIVES   NATIONALES D'OUTRE-MER
ASSOCIATION - COLLECTIF SAUVEGARDE CIMETIERES ORANIE
ASSOCIATION  DES   VICTIMES DU 26 mars 1962
ASSOCIATION ANFANOMA
ASSOCIATION DES AMIS DE RAOUL SALAN
ASSOCIATION ETUDE COLONIALE REVUE EN LIGNE
ASSOCIATION JUDB (JOYEUSE UNION   DON BOSCO) TOULON - Antoine ORSERO
ASSOCIATION VERITAS
AU JOUR LE JOUR - LA GUERRE
AU JOUR LE JOUR - LA GUERRE
AVIATION EN ALGERIE PIERRE JARRIGUE
BIBLIOTHEQUE L'HISTOIRE DE L'ALGERIE
BIBLIOTHEQUE LIBRAIRIE PIED-NOIR
C.D.H.A.   AIX EN PROVENCE
CERCLE ALGÉRIANISTE DRÔME ARDECHE
CERCLE ALGÉRIANISTE GRENOBLE
CERCLE ALGÉRIANISTE LYON
CERCLE ALGÉRIANISTE MARSEILLE
CERCLE ALGÉRIANISTE MONTPELLIER
CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL
CERCLE ALGÉRIANISTE NICE
CERCLE ALGÉRIANISTE TOULON
CERCLE JEAN BASTIEN-THIRY
CHANSON GUY NARBONI
CHANSONS BLOG MUSICAL ANTOINE TCHOUMINO
CHANSONS JEAN-PAUL GAVINO
CHANSONS LES AIGLES NOIRS - ORAN BELLE ET REBELLE
CHANSONS MICK-MACCOTTA
CHANSONS   SITE OFFICIEL JEAN-PAX MEFRET
COMITE VERITAS
ECRIVAIN AUTEUR JOCELYNE MAS
ECRIVAIN PN MAÏA ALONSO
ENCYCLOPEDIE D'AFN 1830-1962
ENCYCLOPEDIE DE L'AFN - DOCUMENTATION PN
EXPRESSIONS NOS MOTS POUR LE DIRE
GENEALOGIE ANDALOUSIE DE NOS ANCETRES
GENERALISTE AÏN SENNOUR
GENERALISTE AÏN SEYNOUR (HENRI VINCENT)
GENERALISTE AIN-FRANIN - MON ENFANCE A AÏN FRANIN  JOCELYNE 1941/1962
GENERALISTE AIN-FRANIN ET KRISTEL- LES VACANCES HEUREUSES MONIQUE V.B.
GENERALISTE AÏN-KIAL - (LINE GUYON   - CATHERINE LANGE)
GENERALISTE ALGER
GENERALISTE ALGER - ALGERAZUR
GENERALISTE ALGER - ALGEROISEMENT......VOTRE
GENERALISTE ALGER - LES ENFANTS DU SOLEIL (BERNARD   KEYSER)
GENERALISTE ALGER - LES PLAGES   D'ALGER JUIFS D'ALGERIE - 2000 ANS D'HISTOIRE
GENERALISTE ALGER - MAISON-CARREE - SYLVIA IVARS
GENERALISTE ALGER BABALOUETTE
GENERALISTE ALGER BEO PIERRETTE LILI CAMPS
GENERALISTE ALGER CITE PICARDIE
GENERALISTE ALGER D'ANTAN 1932   (VINACCIO)
GENERALISTE ALGER DE L'AMIRAUTE A TIPASA
GENERALISTE ALGER ÉCOLES ET LYCEES
GENERALISTE ALGER LE CAP MATIFOU
GENERALISTE ALGER LE CLOS SALEMBIER
GENERALISTE ALGER LE COIN DU   BROCANTEUR 676 photos
GENERALISTE   ALGER LES QUARTIERS
GENERALISTE ALGER LES TOURNANTS   ROVIGO (HC)
GENERALISTE ALGER NE A BAB EL OUED
GENERALISTE ALGER PLAN - OUED   MERDA
GENERALISTE ALGER PLAN - ROGER   VELLA
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GENERALISTE   ALGER SALMIGONDIS A LA VENIS
GENERALISTE ALGERIE CHRONOLOGIE   DANS LA GUERRE
GENERALISTE ALGERIE MA MÉMOIRE (JEAN-YVES THORRIGNAC)
GENERALISTE ALGERIE MES RACINES
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GENERALISTE MEMOIRES D'ALGERIE-MEMOIRES D'EXILES  (EVELINE CADUC)
GENERALISTE Menerville /  Jean Louis Reimonen
GENERALISTE MERS EL KEBIR - 1940
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GENERALISTE MILITANT - PETIT CLAMART
GENERALISTE MILITANT - PIEDS-NOIRS AUJOURD'HUI
GENERALISTE MILITANT - POPODORAN
GENERALISTE MILITANT Vérités    sur  l'Algérie......d'avant 1962
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GENERALISTE ORAN - ECHO D'ORAN BNF   GALLICA
GENERALISTE ORAN - RENE MANCHO - RUE DES ARRIERES BOUTIQUES
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GENERALISTE ORAN BOULANGER -   MAGNAN - MANCIPP
GENERALISTE ORAN CORNICHE ORANAISE   TARAMBANA
GENERALISTE ORAN DELMONTE ROGER ORTEGA
GENERALISTE ORAN EDGARD ATHIAS OU LE CHANT DU MENESTREL
GENERALISTE ORAN HENRIQUE PALLES  "LA MARINE"
GENERALISTE ORAN JC PILLON
GENERALISTE ORAN L'ESTAFETTE D'ORAN ET DES ORANIENS   JEAN-MARC BONNET
GENERALISTE ORAN ORANOSTALGERIE   Lucette Valentin
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HARKIS - KADER HAMICHE - FILS DE HARKI FIER DE L'ETRE
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L'ALGERIANISTE - LA REVUE DE 1977 à 2006
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L'ECHO DE L'ORANIE - REVUE BIMESTRIELLE DES   "AMITIES ORANIENNES"
LEGION ETRANGERE - FSALE
LEGION ETRANGERE - LE FANION VERT ET ROUGE J-YVES   MORVAN
LES CAHIERS DU CENTENAIRE DE L'ALGERIE - A.GARCIA
LISTE DES PERSONNES DISPARUES PRESUMEES DECEDEES   CIVILES ET MILITAIRES
MÉMOIRE   ET TRADITIONS DES JUIFS D'ALGÉRIE - Morial
METRO -  Appelé du Contingent /   JC Doussin
METRO -    Appelé du Contingent le 1er RCP en Algérie Jean-Luc HEMAR
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METRO - BOUSFER ANCIENS DE LA BA   180 (YVES RICAUD ET CHARLES HENRY BRUNO)
METRO - COMMANDO MARINE-COMMANDO   JAUBERT
PERSONNALITES PIED-NOIRE
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TRANSITION DANS LA FORCE LOCALE DE   L'ORDRE ALGERIENNE Marie-Noël Priou

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7 décembre 2014

FRANÇOIS, TU MENS

Tu mens, tu mens, tu mens ...

Depuis ton avènement

Tu bafoues tes engagements,

Tu oublies tes serments,

Tu entasses tes reniements.

Arrête tes boniments.

Tu accrois l'endettement

Et persistes dans l'entêtement.

Sans aucun tempérament,

Tu gouvernes mollement.

Tu manques d'arguments

Dans tes raisonnements,

Aussi dans tes jugements.

Tes taxes, c'est le saignement,

Ta Justice, c'est infamant.

L'Armée, ses régiments

Dans le plus grand dénuement,

Un état très alarmant.

Tu maltraites l'Enseignement,

Les jeunes et leurs tourments.

Tu nous mènes fatalement

Droit vers l'effondrement,

La ruine, dit autrement.

Ton règne, c'est l'écœurement,

Et je sens l'embrasement

Du peuple, tout bonnement.

Jean-Paul Ruiz
Retour Poèmes.

7 décembre 2014

ANNE CAZAL A ROBERT MENARD MAIRE DE BEZIERS

Lettre ouverte

ANNE CAZAL
JOURNALISTE-ECRIVAIN
BOITE POSTALE 28 – 31620 FRONTON
e-mail : anne.cazal@orange.fr

 


Monsieur Robert Ménard
Maire de BEZIERS

Monsieur le Maire,
 

Le 5 décembre 2014, vous avez annoncé votre intention de débaptiser la rue du 19 mars 1962 à Béziers pour la renommer : rue du Commandant Hélie Denoix de Saint Marc.

Le parcours de cet homme exceptionnel, qui me fit pendant de longues années la faveur de son amitié, justifie votre choix. Lors de son procès, il a magnifiquement démontré sa conception de l’honneur qu’il a su garder intact, alors que tant d’autres l’ont galvaudé, en affirmant à la barre : « On peut demander beaucoup à un soldat, en particulier de mourir, c’est son métier. On ne peut pas lui demander de tricher, de se dédire, de se contredire, de mentir, de se renier, de se parjurer ».

Que représente cette date du 19 mars 1962 sinon le reniement et le parjure ?

Ce n’est pas « le jour où les petits sont rentrés à la maison », comme m’a répondu, avec une légèreté déplorable, le Sénateur Alain Néri, initiateur de l’officialisation de cette date maudite, alors que je l’interpellais lors d’un congrès de Harkis, mais bien une capitulation impardonnable devant un ennemi terroriste vaincu sur le terrain, laquelle marquait le début des massacres de Français d’Algérie de toutes ethnies, et principalement ceux qu’on appelle les Harkis, tous abandonnés par un Chef d’Etat qui s’était renié et parjuré.

Soyez béni, Monsieur le Maire, pour cette saine décision car la date indécente du 19 mars, cette date sanglante, que depuis des décennies, on affiche sans pudeur et sans honte sur les murs de nos villes et villages, ne marque pas seulement l’extermination barbare de centaines de milliers de Français innocents, dont, au moins 150.000 soldats français d’origine musulmane, mais, de plus, celle de quelques centaines de jeunes appelés métropolitains, soi-disant prisonniers du FLN, qui n’ont jamais été rendus à la France et que nul n’a plus jamais revus.

Elle marque aussi le jour où toutes les valeurs de la Vème République Française ont été violées avec la complicité de ses plus hautes instances, puisque même le Conseil Constitutionnel, obéissant à un Chef d’Etat qui n’était, en réalité, qu’un dictateur criminel, a fermé les yeux sur le viol indéniable de la Constitution Française !

Donner un tel exemple à un peuple abusé, c’est le meilleur service que vous pouvez rendre à notre patrie, la France !
Le jour où cette plaque tombera, sur la ville de Béziers se lèvera une nouvelle aurore, celle de l’intégrité retrouvée !
Veuillez croire, Monsieur le Maire, à l’expression de ma gratitude et à mon soutien sans faille.

Anne CAZAL

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2 décembre 2014

MURIEL ET YVES CARCHON

Les deux ouvrages de Muriel et Yves CARCHON

Couv Les Volontaires de la Nouvelle-France

 

Jaquette1MDE

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2 décembre 2014

LES MOISSONS DE L’EXIL

Ouvrage récompensé par le Prix du Roman Mazamet 2015.

Muriel et Yves CARCHON ont le plaisir de vous présenter leur dernier roman.

Jaquette MDE

Dernière de couverture

Après Les Volontaires de la Nouvelle France paru en 2013, le  nouveau roman restitue l'installation des premiers colons dans l'Oranie entre 1848 et 1889.

Chronique de l’Algérie naissante, fresque romanesque palpitante de vie qui entraîne le lecteur dans le sillage de personnages inoubliables, porteurs des germes de l’Algérie en devenir.

L'histoire : En 1849, Anna, orpheline de cinq ans, se voit confiée à Baptiste et Justine, colons débarqués en Algérie. Se liant d’amitié avec d’autres arrivants, ils forment un groupe surnommé la tribu. Tout est à faire sur cette nouvelle terre ! Ils vont bâtir Aïmïa, village de l’Oranie. Pendant quatre décennies, ils surmonteront mille épreuves et apprendront à aimer ce pays en partageant ce coin de terre avec les autochtones. Sous un soleil ardent, leurs destinées se mêlent, portées par le courage de Baptiste, la passion de Justine, la solidarité de Jules, l’amour fou de Moktar, le rêve d’un nouveau monde pour Philibert et pour Anna celui d’un paradis : L’Orangeraie. Bientôt, l’insurrection kabyle sonne le glas de l’époque des pionniers.

Après l'arrivée des pionniers, voici venu le temps des héritiers ! Sauront-ils relever ce défi et accomplir les rêves de leurs aînés ?

Depuis leur création, les Editions Aloès boycottent Amazon. Nos livres seront donc toujours indisponibles sur ce site.

A commander directement à :

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JaquetteMDE

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