Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
popodoran
popodoran
Newsletter
31 mai 2016

ROGER HOLEINDRE

Publicité
Publicité
30 mai 2016

BULLETIN D'HUMEUR N°202

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 30 mai 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Centenaire de la bataille de VERDUN : un jogging organisé sur les tombes des « poilus » !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Les islamo-gauchistes qui nous gouvernent, à cause d’une grossière erreur des votants à l’élection présidentielle de 2012,  auront tout osé pour accentuer la destruction des valeurs de notre Nation sacrifiée sur l’autel de la mondialisation et la nouvelle philosophie du bien vivre ensemble.

         Après des initiatives politiques grotesques ou des comportements totalement inadmissibles, à savoir :

- la théorie du genre officiellement imposée dans les programmes des petites classes de l’Ecole de la République,

- la loi autorisant le mariage pour tous, qui a fort réjoui les carpes et les lapins enfin unis,

- la « jurisprudence Cahuzac » qui a officialisé le mensonge sans vergogne à un micro de l’Assemblée Nationale,

- la suppression des peines plancher, instaurée par une indépendantiste guyanaise nommée à la tête du Ministère de l’Injustice,

- la tentative d’interdiction des crèches dans les mairies,

- la vague du jihadisme français sur le sol de France (rien que ça !),

- le refus de déchoir de sa nationalité française tout français jihadiste,

- le récent déferlement d’une immigration massive excessive qui met en danger l’identité française et européenne,

- l’invitation faite au rappeur « Black M » de venir à Verdun pour animer un concert à l’occasion de la commémoration du centenaire

(invitation heureusement annulée au dernier moment),

- voici venu….LE TEMPS DU JOGGING SUR LES TOMBES DES POILUS !

4

Photo : auteur non identifié.

         Il n’aura échappé à personne l’indignité d’une telle initiative et l’offense faite à la mémoire de ces soldats français et allemands.

Oui mais voilà, il fallait donner un côté culturel moderne et de préférence déjanté, à l’image de l’époque matérialiste et sans âme que l’on nous impose chaque jour un peu plus. Alors le Nain-de-l’Elysée et la Chancelière-mal-fringuée, toujours prêts à se faire remarquer ont demandé au cinéaste allemand Volker Schlöndorff, de concevoir une scénographie quelque peu avant-gardiste. C’était hier.

Jugez vous-mêmes : évoquant les combattants de la guerre de 1914-1918, 3.400 jeunes originaires de France et d'Allemagne, vêtus de tee-shirts colorés, ont déferlé au milieu des tombes du cimetière de Douaumont, au rythme des « Tambours du Bronx ». Ils se sont ensuite effondrés au pied de l'ossuaire, fauchés par la figure de la mort, représentée par un homme juché sur des échasses.

         Le Nain-de-l’Elysée et la Chancelière-mal-fringuée, peuvent être fiers : en acceptant d’assister à un tel "spectacle" ils ont offensé la mémoire de 130.000 soldats français et allemands, dont les ossements sont regroupés à Douaumont, nécropole nationale.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

14 mai 2016

ROGER HOLEINDRE SE SOUVIENT

TRANSMETTRE LE PATRIMOINE PAR LE CHANT

NOUVEAU CD :     INDOCHINE, ALGERIE...

CD ROGER HOLEINDRE

CD VERSO RHIA

            Lorsque « Servir Dieu, l’Église et la Patrie » des scouts se conjugue avec le « Qui ose gagne » des paras et du bon sang corse, cela peut produire un mélange explosif : un engagement total, c’est-à-dire de toute une vie, droite, riche d’aventures audacieuses, une vie de combattant. Les douze poèmes de Roger, ici rassemblés, ont été écrits au Vietnam, en Algérie et en prison, dans les années cinquante et soixante. Ils racontent ces engagements et des cicatrices encore douloureuses pour ceux qui sont revenus de ces guerres. Roger les déclame lui-même, avec sa voix passionnée et chaleureuse qui a enflammé tant d’auditoires depuis plus d’un demi-siècle. Et ces textes de feu sont illustrés par des chants des bérets rouges, verts ou bleu marine des troupes de Marine ou des scouts, interprétés fort à propos par le Choeur Montjoie. Près d’une heure avec le sergent Antoine, tombé à Dien Bien Phu, avec Tong et Dinh, de Phủ Lý, avec le sergent-chef Brahim de la harka de Lanoix, assassiné par les rebelles du FLN. Près d’une heure avec Roger Holeindre et le Choeur Montjoie Saint Denis..

notre CD Indochine Algérie Roger Holeindre se souvient

Retour tous les articles

7 mai 2016

6 Mai 2016 - 71ème anniversaire du massacre de Sétif du 8 MAI 1945

PAR MANUEL GOMEZ

2

Avant que toute la presse , de tous pays, bien intentionnée  ne déverse sur nous ses mensonges habituels.....faisons connaître notre part de vérité sur ce 8 mai 1945. Un grand merci à Manu Gomez.

Le 71ème anniversaire du massacre de Sétif 8 mai 1945

Le 8 mai 1945, l’Algérie entière fêtait la fin des hostilités et la victoire des Alliés.

Les partis nationalistes algériens appellent à manifester ce même jour. Cette manifestation politique est autorisée par les autorités françaises à la condition qu’il n’y ait ni armes ni drapeau algérien.

La manifestation se dirige vers le centre-ville de Sétif mais un meneur, le chef scout musulman Aïssa Cheraga, déploie le drapeau algérien en passant devant le « Café de France », avenue Clemenceau. Le commissaire Olivéri tente de le lui enlever. Un jeune scout, Bouzid Saâl, le récupère. Un coup de feu part et il est abattu par un policier.

Aussitôt c’est la ruée vers le centre-ville où les émeutiers, hurlant des slogans meurtriers, «Tuez les chrétiens, tuez les juifs, tuez tous les non croyants».

Les Arabes massacrent tous les «Blancs» qu’ils trouvent sur leur chemin. Le maire de Sétif, Maître Edouard Delucca, est tué alors qu'il tentait de calmer les émeutiers, Alfred Denier, secrétaire du Parti Communiste, est égorgé et ses deux mains tranchées à la hache. On dénombre, ce jour-là, 28 morts européens et 48 blessés et chez les musulmans 30 morts et 60 blessés.

Le soir même le calme est rétabli à Sétif, mais de nouvelles émeutes se développent dans différentes villes et villages de petite Kabylie : Guelma, Kherrata, etc. les fermes européennes sont attaquées, brûlées, des actes de barbarie se multiplient, des femmes sont violées. Le bilan : 102 morts européens et plus de 110 blessés.

Le général De Gaulle, chef du gouvernement provisoire de l’Etat français, ordonne à l’armée d’intervenir par la force. C’est donc 2000 soldats, composés par la Légion Etrangère, les Tabors Marocains et les Tirailleurs Sénégalais, sous le commandement du général Duval, qui sont chargés de réprimer ces émeutes car les effectifs stationnés sur place, en Algérie, sont alors insignifiants puisque 20 classes, soit 168.000 Français sont encore mobilisés en métropole, soit 15,6% sur une population de 1.076.000.

Presqu’un mois de folie meurtrière puisque la répression prend fin le 22 mai.

Les chiffres les plus fantaisistes ont été avancés par différentes sources. Le général De Gaulle confie au général Paul Tubert le soin de comptabiliser les victimes, côté musulman. Son estimation : 1020 à 1340 morts est sujette à caution.

Moins cependant que ce chiffre de 45.000 proposé par les Etats-Unis, qui avait tout un intérêt géopolitique à déstabiliser le gouvernement français. Chiffre repris par la suite par les dirigeants du FLN et par tous les gouvernements de l’Algérie qui se sont succèdés depuis l’indépendance. **M. Belaid Abdessalam, ancien Premier ministre, a affirmé dans un important hebdo algérien que ce chiffre de 45.000 avait été retenu par ces gouvernements algériens à des fins uniquement de propagande.

2500 morts fut le chiffre calculé d’après la consultation des listes du ravitaillement et des listes électorales de 1945 et 1946.

Le Centre de recherche historique et de documentation sur l’Algérie a établi un chiffre plus précis, en date du 9 avril 2005, grâce à ses chercheurs Rachid Messli et Abbas Aroua, de 8000 victimes environ.

Le 19 mai 1945, le quotidien communiste « L’Humanité » titrait : « Il faut châtier impitoyablement et rapidement les organisateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigés l’émeute »

Le Parti Communiste qui participait alors au gouvernement de la France dirigé par De Gaulle, avait lancé un appel à la répression, comme en témoigne un tract distribué le 12 mai en Algérie dans lequel il demandait de «passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l'émeute. Il ne s'agit pas de vengeance, ni de représailles. Il s'agit de mesures de justice. Il s'agit de mesures de sécurité pour le pays»

(Dix années plus tard, dès 1954, ce même Parti Communiste « Français » et ses réseaux parisiens, financeront et armeront le FLN dans sa lutte contre l’armée française et seront responsables de milliers de morts, nos enfants et vos enfants, Français de métropole.)

Il y aura, parmi les musulmans, 4500 arrestations et 99 condamnations à mort, dont 22 seront exécutées.

QUE LES ARCHIVES S’OUVRENT ENFIN SUR CES EVENEMENTS DU 8 MAI 1945 A SETIF (ALGERIE) !

Le 8 mai 2015, le Président de la République, François Hollande, a tenu à nous informer, lors de son allocution télévisée, qu’il demanderait l’ouverture prochaine des archives publiques. Promesse déja faite lors de son élection en 2012 et qu’il ne tiendra pas jusqu’en 2017, et même lors d’un futur quinquennat, si par malheur il était réélu.

Pourquoi ? Parce que l’ouverture de ces archives publiques révèleraient certaines vérités qu’il est préférable d’occulter actuellement car elles ne vont ni dans le sens de l’histoire ni dans le sens de certains historiens et encore moins de la propagande algérienne, bien au contraire.

Ainsi en ce qui concerne notamment les évènements qui se sont déroulés les jours précédents et suivants le 8 mai 1945, dont il vient d’être question, et pour lesquels les Algériens réclament une repentance de la France. Mais ils ne sont pas les seuls car le "collectif pour la reconnaissance des massacres du 8 mai 1945 en Algérie" demande outre la reconnaissance, l’ouverture de toutes les archives et l’inscription dans la mémoire nationale de ces évènements par le biais de gestes forts des plus hautes autorités de l’Etat et la diffusion des documentaires relatifs à ces évènements dans l’Education Nationale comme dans les médias publics français.

Puisque c’est le souhait des Algériens, de ce collectif et du Président de la République, voici un bref résumé de ce que révèleront ces archives concernant notamment les évènements du 8 mai 1945 relaté par des historiens à la demande du CFHM (Commission Française d’Histoire Militaire). (Source : Le Figaro – mai 2015) Ont participé à cette recherche officielle les historiens reconnus suivants : Mohammed Harbi, Annie Rey-Goldzeiguer, Roger Benmebarek, Charles-André Julien, Charles-Robert Ageron, Jean Monneret, Gilbert Meynier, Guy Pervillé, Jean-Pierre Peyroulou, Roger Vétillard, Bernard Lugan.

**Je me permets d’apporter de l’eau au moulin de nos historiens : des propos qui m’ont été relatés en personne par Ferhat Abbas et qui confirment la véracité de ce qu’ils affirment.

*Le 14 mars 44, Ferhat Abbas a constitué les « Amis du Manifeste de la Liberté » (A.M.L.) qui comptait jusqu’à cinq cent mille adhérents. Il s’agissait pour lui d’internationaliser le problème algérien. 150.000 musulmans, sur une population estimée à environ 7 millions, avaient été mobilisés dans l’armée française. Ferhat Abbas demande que ces musulmans obtiennent les mêmes droits et les mêmes libertés essentielles dont jouissent les autres habitants de l’Algérie.

Le 7 mars 1944, le Comité Français de Libération Nationale « accorde la nationalité française, sans modification de statut religieux, à tous les musulmans qui ont obtenu une décoration militaire et sont diplômés du certificat d’études au minimum. »

*62.000 combattants bénéficieront de cette nationalité.

Le 28 avril 45, Abbas réclame l’autonomie de l’Algérie, sous une forme fédérative, et prépare activement le soulèvement de Sétif.

Alors que je faisais partie de la rédaction du quotidien « Alger Républicain », j’ai eu souvent l’occasion dans les années qui ont suivi, de m’entretenir avec lui car il faisait tirer son journal «Egalité» sur les presses de ce même quotidien et il m’a relaté sa rencontre, quelques jours avant ce 8 mai 1945, avec Chekib Arslan.

Qui était Chekib Arslan ? Un accord avait été passé en Syrie entre les services secrets anglais et un agitateur professionnel islamiste, Chekib Arslan, qui réclamait la guerre sainte contre la France.

Les Britanniques exigeaient le soutien des Arabes dans la lutte qui les opposait aux Israéliens et, en échange, ils soutiendraient tous les efforts des islamistes partout où ils combattraient les Français (1). Fort de cette assurance formelle, Chekib Arslan se rend dans le Constantinois où Il rencontre Ferhat Abbas et les responsables des partis nationalistes algériens qui appellaient à manifester ce 8 mai, et qui seront manipulés à leur insu par cet agent payé pour développer un mouvement insurrectionnel en Algérie.

Arslan s’y emploie activement et prépare ce soulèvement sanglant. Cette manifestation politique fut autorisée par les autorités françaises à la condition qu’il n’y ait ni armes ni drapeau algérien. Pourquoi cette dernière condition ? Quelques jours avant, le 1er mai, ce drapeau algérien avait été brandi pour la première fois par des membres du PPA et les autorités françaises souhaitaient que cela ne se reproduise pas.

Les revendications politiques sont de deux ordres totalement opposés :

1/ Pour le clandestin Parti Populaire Algérien de Messali Hadj, éloigné dans un premier temps vers El Goléa puis Brazzaville puis incarcéré, il s’agissait de retrouver sa position de leader du nationalisme algérien, qui lui était contestée par Ferhat Abbas, et de promouvoir l’indépendance de l’Algérie.

2/ Pour Ferhat Abbas et son parti « Les Amis du manifeste de la liberté » il s’agissait de la reconnaissance égalitaire de tous les habitants de l’Algérie et l’accession à la citoyenneté française.

(On a pu constater dans les années qui ont suivi 1945, et surtout entre 1954 et 1962, la guerre sanglante que se sont livrés aussi bien en Algérie qu’en métropole les partisans du PPA et du FLN dont le bilan fut de plusieurs milliers de morts.)

Donc parmi les manifestants (environ cinq mille) nous retrouvons ces deux courants contraires et souvent opposés.

Le complot est ainsi élaboré en secret dans les jours qui ont précédé la «manifestation pacifique». Le clash sera provoqué par quelques terroristes infiltrés parmi les manifestants.

Le sous-préfet Achiary, selon les ordres reçus directement du général De Gaulle, chef du gouvernement provisoire de l’État français, fait intervenir les forces de police et le cortège se disloque, laissant sur les pavés un mort et six blessés. Il fait arrêter 2500 manifestants qui seront jugés sommairement par des tribunaux d’exceptions similaires à ceux qui fonctionnent en France métropolitaine. Plusieurs dizaines seront condamnées à mort.

Il ne fallait pas que cela se reproduise à Sétif.

Contrairement à ce qui est généralement affirmé, l'émeute de Sétif n'a pas été la conséquence directe de la colère des manifestants provoquée par la mort du jeune scout, Saâl Bouzid, qui avait brandi un drapeau de l’Algérie indépendante.

Cet "accident" n'aura été que le déclencheur de l'émeute car, deux heures avant même que ne débute cette manifestation, le régisseur du marché, Gaston Gourlier, avait été assassiné.

Cette manifestation, autorisée par les autorités préfectorales, fut en réalité le début d’une insurrection armée. Son véritable objectif était bien au contraire de lancer un projet d'insurrection nationaliste dans le but d'installer dans une «zone libérée» un gouvernement provisoire algérien présidé par Messali Hadj principal dirigeant du Parti du Peuple Algérien. Ce gouvernement devait siéger à la ferme Maïza près de Sétif mais l'évasion ratée de Messali, qui était en résidence surveillée à Reibell, et son transfert à Brazzaville ont déjoué ces plans.

La preuve en est apportée car, au même moment et dans plusieurs endroits sans aucun lien évident avec la manifestation de Sétif, d'autres soulèvements se déroulèrent dans une vingtaine de localités de la région (Périgotville, Chevreul, Kerrata, Lafayette, Sillègue, El Ourici, etc.) et plus de 60 Européens sont tués.

A Guelma, la manifestation est interdite mais elle débute vers 18 heures et se heurte immédiatement aux forces de police. Plusieurs manifestants, 2 policiers et 1 gendarme sont blessés. Le lendemain, dans une dizaine de villages de la région, les Européens sont agressés. Il y aura 12 morts et 2 blessés.

Les effectifs de la police nationale à Sétif n’étaient que de 40 hommes. Dans les villages les gendarmeries n’étaient représentées que par 3 ou 4 hommes. C’était le cas à Kheratta, Chevreul et Lafayette. Le sous-préfet met en place des milices civiles, car l'armée peut difficilement participer au maintien de l'ordre.

Ce sont les agissements de cette milice dans les jours qui suivent qui sont présentés depuis 71 ans par la propagande du FLN comme les principaux responsables de la répression des journées qui ont suivi le 8 mai 1945. Or ces milices n'ont été organisées que dans 5 localités. Guelma, Constantine, Bône, Djidjelli et El Milia et elles ne sont pratiquement jamais intervenues sur le terrain.

Des renforts arrivent du Maroc, de Tunisie et d'Alger : 10.000 hommes sont déployés dans le Constantinois mais seulement 3700 dans la subdivision de Sétif, la plus vaste (sa surface est l'équivalent de 2 départements métropolitains), le plus montagneuse et la plus touchée.

La répression conduite par l’armée et qui n’a débuté que le 9 mai, n’a concerné que les communes où des Européens avaient été tués et blessés.

Ce qui s'est passé en Algérie en mai 1945 est donc bien connu des historiens et très éloigné de l'histoire officielle algérienne complaisamment relayée par la classe politico-médiatique qui pourtant déclare qu'il faut laisser les historiens travailler sur les épisodes de la présence française en Algérie mais qui ne se soucie guère de connaître les résultats de leurs travaux.

La population indigène a été victime d’un guet-apens ce 8 mai 1945.

Les dirigeants espèraient un soulèvement populaire qui ferait tache d’huile mais finalement ce fut une insurrection ratée aux conséquences dramatiques que l’on connaît.

Dans son « testament politique », écrit en 1945 mais resté inédit jusqu’en 1994, Ferhat Abbas, l’initiateur de cette manifestation, n’hésite pas à condamner : « Les organisateurs d’émeutes, ceux qui ont poussé à la violence des paysans désarmés et ceux qui, tels des chiens sauvages, se sont jetés sur Alfred Denier, auquel un salaud a sectionné les mains à coups de hache. »

***Une relation détaillée des événements algériens du 8 mai 1945 a été adressée par le professeur Guy Pervillé à des personnalités de l'Elysée et du ministère de la Défense.

(1)Les services secrets de sa très gracieuse majesté britannique poursuivirent leur soutien logistique aux Arabes, dès avant 1954, dans leurs locaux du consulat d'Angleterre à Alger. Ils fournirent renseignements militaires, faux papiers et "couvertures" diverses. Après 1958 ils pourront opérer en "presque" toute impunité puisque la D.S.T. française reçut l'ordre de ne pas "bouger". Tel était le désir du général De Gaulle, puisque cela concordait avec sa volonté de lâcher l'Algérie.

L'Aurore.overblog.fr

8 MAI 1945 : LE SOULÈVEMENT DE SÉTIF

     Le soulèvement des nationalistes musulmans

     Est une insurrection préparée de longue date,

     Pas du tout une émeute déclenchée à la hâte,

     Ce qui explique l'importance des attroupements.

 

     À Sétif, de nombreux musulmans manifestent.

     C'est une foule hostile, haineuse et furieuse,

     Brandissant bannières et pancartes séditieuses,

     Avec des intentions meurtrières manifestes.

 

     Des commandos de tueurs très organisés

     Et bien armés attendent le mot d'ordre des meneurs

     Pour tuer les roumis et semer la terreur.

     Ils sont bien endoctrinés et fanatisés.

 

     Le commissaire central somme les manifestants

     De faire disâraître les pancartes subversives.

     Les émeutiers lui répondent par des invectives.

     Sue leur refus, la tension monte dès cet instant.

 

     Des coups de feu éclatent, le signal est donné.

     Le cortège se disperse,les forcenés se ruent

     Sur les Européens qu'ils rencontrent dans les rues.

     Les you you des mouquères font frissonner.

 

     À coup de pistolet, de couteau, voire de hâche,

     Les insurgés trucident les roumis lâchement.

     Hommes, femmes, enfants, viellards liquidés bestialement.

     Ils n'ont aucune pitié ces sauvages de bravaches.

 

     Preuve que l'insurrection est bien coordonnée,

     Simultanément, d'autres émeutes se produisent

     De Sétif vers le nord, pendant la journée.

     Plusieurs villages sont attaqués par surprise.

 

     Au total, on dénombre plus d'une centaine de morts

     Et autant de blessés, innocentes victimes.

     Avec une barbarie incroyable, tous ces crimes

     Sont commis en mutilant sauvagement les corps.

 

     Dans chaque village, le massacre commence aux cris

     De la guerre sainte "Djihad!" : ils vont se défouler.

     Femmes éventrées, les seins affreusement meurtris,

     Hommes le crâne fracassé, ensuite émasculés.

 

     C'est la fin de la guerre, beaucoup d'hommes sont absents,

     Sous les drapeaux en Allemagne, d'autres en France.

     Les sauvages en profitent pour faire couler le sang,

     Violer les femmes, piller, saccager à outrance.

 

     De Gaulle est président du Gouvernement provispoire.

     Il se veut le principal artisan de la victoire.

     Avec ses ministres communistes, il va exercer

     Une répression rapide, brutale, sans tergiverser.

 

     Certes la répression fait de nombreuses victimes,

     Mais en vérité dix fois moins que l'énormité

     Avancée par ceux qui contestent le légitime

     Écrasement des auteurs des pires pires atrocités.

 

     Les Algériens se servent de ces terribles événements

     Pour faire une propagande éhontée contre la France.

     Afin d'amener celle-ci à une repentance,

     Ils travestissent les faits et mentent outrageusement.

 

     Ils gonflent démesurément le nombre de morts

     En avançant des chiffres que d'honnêtes historiens

     Qualifient d'extravagants mais les Algériens

     Bafouent le bons sens et n'admettent pas qu'ils ont tort.

 

     Ce qui est abject, c'est que les politiciens,

     Qu'ils soient de droite ou de gauche, déshonorent la France.

     En accréditant leurs dires, ils font allégeance

     Au FLN qui use du mensonge stalinien.

Jean-Paul Ruiz le 8/05/2016

Retour au 8 mai 1945 la réalité

6 mai 2016

NÎMES ASCENSION 2016

54ème anniversaire

            C’est en 1849 à Oran que tout a commencé. Une terrible épidémie de choléra frappe la cité et rien ne parait pouvoir enrayer le fléau dont le nombre de victimes dépasse rapidement le millier. C’est alors que les Oranais demandent à la Vierge Marie au cours d’une procession solennelle d’intercéder auprès de son Fils pour arrêter la terrible épidémie. La réponse survient le lendemain sous la forme d’une pluie bienfaisante qui en rafraîchissant l’atmosphère, enlève à la bactérie les conditions propices à sa multiplication. Peu après, en remerciement la population érige sur la colline de Santa Cruz dominant la ville, un sanctuaire dédié à Notre Dame du Salut.

            Environ un siècle plus tard, les Oranais attachés à leur Protectrice, vont se battre pour la ramener avec eux à Nîmes et trois ans plus tard la statue traversera la Méditerranée pour rejoindre provisoirement l’église de Courbessac en attendant l’édification d’un nouveau sanctuaire.

8

Santa Cruz- Pèlerinage Nîmes La Provence 2016 JB

Télécharger l'article de José Bueno sur La Provence en PDF

video.cfrt.tv

            Ce jeudi 5 mai, d'anciens Oranais se sont réunis au sanctuaire du Mas de Mingue. La ferveur fut à nouveau d'actualité au sanctuaire de Notre-Dame-de-Santa-Cruz, ce jeudi avec 140 000 pieds-noirs chrétiens, d'anciens habitants de la région d'Oran (Algérie), ont afflués au Mas de Mingue, quartier qui les a accueillis nombreux au début des années soixante, à Courbessac, pour participer au pèlerinage.

            De nombreuses messes ont été célébrées ce jeudi de l'Ascension, à 9 heures par le prêtre nîmois Espin, à 10 heures par un prêtre lyonnais, à 11 heures par l'évêque de Nîmes Mgr Wattebled. Puis, la statue de Notre Dame de Santa-Cruz, décorée par Sylviane Carillio, fut portée lors d'une procession partie à 14 h 30 du Mas de Mingue pour s'achever au sanctuaire de Courbessac, là où une messe fut donnée par l'évêque d'Oran, Mgr Vesco. Ce dernier profita de sa venue pour évoquer la restauration du sanctuaire de Notre-Dame-de-Santa-Cruz à Oran prévue pour 2017.

            Enfin, le public put se rendre au centre Jean-Paulhan du Mas de Mingue qui rassemblait une quarantaine d'exposants.

Quelques photos de MTC

1

2

3

4

6

nd sc

 

5

7

 

Rendez vous à Nîmes

D'autres photos de l'AOBR de ce 5 mai 2016

Retour à tous les pélerinages.

Publicité
Publicité
5 mai 2016

COMMUNIQUE HARKIS D'AVIGNON MAI 2016

Harkis-2 2016

AVIGNON (84) : LES HARKIS MANIFESTENT DEVANT LA PRÉFECTURE

28 Boulevard Limbert, 84000 Avignon

            Les rapatriés harkis manifesteront le samedi 28 MAI à 14H devant la préfecture d'Avignon, « La responsabilité de la France dans le drame des harkis est actée ».
            C’est « pour l’honneur de nos parents, pour notre reconnaissance et pour une loi de réparation sans cesse promise et jamais votée » Kamel Ben Moussa, Said Hamkache,Hocine Louanchi, militants de la cause harkie, appellent à la manifestation.
            Le Collectif National Harkis Rapatriés Français d’Algérie et leurs Amis demande à François Hollande, le Président de la République, de tenir sa promesse électorale :
            « Si le Peuple Français m’accorde sa confiance, je m’engage à reconnaître publiquement les responsabilités des gouvernements français dans l’abandon des Harkis, le massacre de ceux restés en Algérie et les conditions d’accueil des familles transférées de nuit dans des Camps en France » (François Hollande le 5 avril 2012).

            « Devant le mutisme du chef de l’état qui refuse de tenir son engagement », les responsables des associations, les harkis et leurs amis organiseront donc ce nouveau rassemblement pacifique, en Mai prochain à Avignon

Hocine Louanchi porte parole du Collectif National Harkis

Retour "Harkis"

Publicité
Publicité
Publicité