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28 septembre 2016

COMMUNIQUE A.N.F.A.N.O.M.A. SEPTEMBRE 2016

Dans le concert de communiqués suite à la "Reconnaissance officielle de la responsabilité de la République dans l'abandon et le massacre des Harkis" celui de l'ANFANOMA ose pointer le véritable coupable. Bravo Yves !

L.V.D.

14448916_1300521169978757_5012808824182366210_nRefus de s'attaquer à un mythe ! Aucun politique n'osera !

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27 septembre 2016

LES HARKIS, CES OUBLIÉS DE L’HISTOIRE

« Les harkis, ce magma dont il faut se débarrasser sans attendre » - De Gaulle, lors du Conseil des Ministres du 4 Mai 1962 – (rapporté par Alain Peyrefitte)

harkis10

            Héros pour les uns, traîtres pour les autres, l’histoire des harkis est mal connue des Français. Dans le langage courant, on désigne aujourd’hui sous le nom de harkis toutes les catégories de supplétifs de la guerre d’Algérie : harkis, moghaznis, Groupes Mobiles de Sécurité, Groupes d’autodéfense, unités territoriales et auxiliaires de la gendarmerie, à l’exclusion des appelés et des militaires sous contrat.

            C’est en janvier 1955 que, pour les besoins de guerre d’Algérie, virent le jour les premières unités musulmanes.

            A partir de 1957, las de la tyrannie du FLN qui multiplie les sévices à l’encontre des populations autochtones du bled : enlèvements, rançons, égorgements, razzias sur les douars, sévices multiples et raffinés, les habitants vont se soulever et rejoindre en masse l’armée française.

            En décembre 1958, à l’initiative du général Challe, le nombre des harkis passera de 28 000 à 60 000. Ils formeront d’efficaces groupes de combat œuvrant au plus près des soldats d’élite, paras, légionnaires et commandos.

            En 1959, 6 000 d’entre eux seront affectés dans les Commandos de Chasse créés dans chaque Secteur pour éliminer les rebelles qui ont échappé aux opérations du Plan Challe. Par ailleurs, 2000 douars représentant 55 000 hommes armés, seront placés en autodéfense, soit un total de 223 000 soldats autochtones qui combattront sous l’uniforme français avec une efficacité et une ardeur reconnues de tous…

            Fin 1958, la guerre est pratiquement terminée sur le terrain. Le FLN, exsangue, ne se maintient plus que par ses attentats sournois et barbares. R. MADAOUI, alors officier de l’Armée de Libération Nationale (ALN), rejoindra, comme sous-lieutenant, une unité régulière de l’armée française dans l’Ouarsenis puis, plus tard, les rangs de l’OAS. Il écrira : « L’espoir est si grand que la Wilaya IV (la sienne) pavoise aux couleurs de la France, que les rebelles cessent les attentats et déposent leurs armes devant les mairies ». Ainsi, les fellaghas, eux-mêmes, sûrs de leur impuissance, brandissent des drapeaux français dans leurs repaires…

            L’ex-officier de l’ALN, Ali BOUZIANE, qui rejoindra les harkis du fameux « Commando Georges », unité créée par le Colonel BIGEARD, écrira sur ce point : « La population, qui était notre raison de combattre et notre soutien, nous abandonne. J’ai confiance en De Gaulle, et mes frères dans le maquis aussi. Nous avons été trompés, et l’Algérie heureuse, nous la ferons avec lui ».

            De Gaulle, désormais installé à l’Élysée, reçoit le Bachaga BOUALAM qui lui dit : « Mon général, donnez-moi 500 000 harkis, et vous pouvez renvoyer tous les appelés chez eux ; je vous garde l’Algérie à la France. » De Gaulle ne répondra mot et, contre toute attente, se prononcera pour l’intégration, solution utopique à laquelle ni les Musulmans, ni les Européens, ni les militaires, ne croient.

            Le 19 janvier 1960, recevant exceptionnellement les élus d’Algérie, de Gaulle les sidéra en déclarant avec une certaine hauteur : « L’intégration est une connerie, d’ailleurs, l’armée ne fait que des conneries ! » Et, toisant insolemment le député musulman M’hamed Laradji, il ajouta avec un mépris glacial : « Les Musulmans ne seront jamais des Français ! ».

            Laradji qui eut dix membres de sa famille assassinés par le FLN soutint le cynisme de de Gaulle en insistant sur le fait que la politique menée par le Chef de l’État allait faire souffrir les Algériens pro-français… ce à quoi, la « grandeur gaullienne » répondit sèchement : « Eh bien, vous souffrirez ! ».

            Le 10 juin 1960, le colonel de l’ALN, SI SALAH, chef de la wilaya IV (Algérois),  décide de faire un putsch contre le GPRA et, reçu avec ses adjoints, les commandants Si Mohamed et Lakhdar à l’Élysée par De Gaulle, ils lui annoncent la reddition dans un premier temps des trois quarts des combattants de l’ALN. Mais De Gaulle, ne voulant déjà plus entendre parler de l’Algérie française, leur opposera une fin de non-recevoir et ses services, par la voix d’Edmond Michelet, informeront le Ministre des Affaires extérieures du GPRA, Krim Belkacem, de cette proposition de reddition. Commencera alors une purge sanglante au sein de leurs partisans qui ne connaîtront aucune clémence de la part des « frères » installés en Tunisie. Le secret de cette entrevue avec le Maître de l’Élysée devant être rigoureusement gardé, tout sera mis en œuvre pour éliminer définitivement les derniers témoins et Si Salah et Si Mohamed seront tués par les troupes françaises dans des conditions plus que curieuses…

            Dès lors, cette affaire qui se présentait comme une immense occasion pour apporter une paix française à la guerre d’Algérie, se terminera dans le sang et demeurera la grande énigme de ce conflit.

            Après l’échec du putsch d’avril 1961, les harkis, soucieux, désemparés et amers, répèteront inlassablement à leurs chefs : « Il fallait déclarer la mobilisation générale en Algérie, faire une levée en masse de harkis, renvoyer tous les appelés chez eux, et on avait le monde entier avec nous. »

            Mai 1961, nouvelle décision désastreuse du général président qui atterrera les Musulmans fidèles à la France : La trêve unilatérale accompagnée de la libération de 6000 fellaghas. Dès lors, l’ALN exsangue, forte de ces renforts successifs, va se reconstituer et reprendre de plus belle ses actions meurtrières sans réelle opposition des troupes françaises, privées par ailleurs d’une partie de leurs unités d’élite dissoutes au lendemain de l’échec du putsch. À partir de ce moment, les supplétifs comprendront que, pour eux, c’est la fin… et les premières désertions verront le jour.

            Cependant, avec une inconscience révoltante, les déclarations officielles continuaient de pleuvoir. Dans une homélie fracassante, le général Gambiez s’écriait à l’adresse des harkis : «Vous avez mené le bon combat. Soyez sans crainte, la France ne vous abandonnera pas ! » Et dans une déclaration aux cadres, Pierre Messmer, le ministre des armées, affirmait avec solennité : « Pour rassurer ceux qui combattent et se sont engagés à nos côtés, nous devons leur répéter la volonté de la France de n’abandonner aucun de ses enfants. »… Cela s’adressait aux Musulmans servant sous l’uniforme français.

            Pourtant le dégagement militaire avait commencé depuis le mois de juin 1961 par le rapatriement de deux premières divisions et l’évacuation de 1000 postes de protection de la population du bled. Mais afin de rassurer les consciences, on continuait d’assurer avec une apparente conviction qu’en aucun cas la population civile n’aurait à souffrir de ces mesures ou à voir sa sécurité diminuer…

            Quel leurre !... Pauvres Musulmans ! Vous avez accepté de servir dans les groupes d’autodéfense ou les unités combattantes, vous êtes devenus des harkis, c’est-à-dire, soldats de la France : vous serez égorgés, tués à la hache, ébouillantés, coupés en morceaux ; vous aurez les yeux crevés, les mains coupées, vous serez traînés dans les rues sous les huées d’une foule déchaînée et vous périrez après d’horribles tortures !

            Ah ! Quelle déchéance et quelle souffrance de mourir ainsi en sachant combien cette France qu’ils avaient tant aimée était veule, combien elle était lâche devant la fourberie, la trahison et le despotisme…

            Ce fut l’un des grands mensonges de ce drame algérien qui en avait vu tant, mais d’autant plus odieux qu’il couvrait l’abandon et la mort d’innombrables Musulmans livrés à la vengeance du FLN.

            Mais qui aurait pu penser, en Métropole, que depuis sept ans des soldats Musulmans pourchassaient sans répit les fellaghas, que depuis sept ans ils mouraient pour la France et l’Algérie française… et que depuis des mois on cherchait à faire oublier –comme jadis en Indochine- leur existence ?

            Mais comment cacher qu’en nombre croissant, ces Musulmans fidèles rejoignaient les combattants de la cause française… c'est-à-dire, l’OAS ?

            Si les sphères dirigeantes ne savaient plus comment cacher cette nouvelle situation, le GPRA n’ignorait pas qu’il ne pourrait leur imposer son autorité que si auparavant, l’armée française les avait désarmés.

            Du coup, l’Élysée prit peur. Il fallait à tout prix désarmer ces hommes trop zélés qui s’imaginaient encore pouvoir rester français…

            Et ce fut, alors, l’ignoble campagne de désarmement, la conclusion du pacte tacite entre le Pouvoir et le FLN…

            Après avoir évacué les postes militaires du bled et les avoir remis, intacts, aux ennemis d’hier, la troupe reçut l’ordre de désarmer les autodéfenses. Pour ces pauvres gens qui avaient eu confiance en la parole de la France et en ses officiers, la restitution des armes signifiait la mort à plus ou moins brève échéance…

            Sans doute, que les militaires avaient reçu des ordres stricts. Sans doute, ils se devaient d’obéir à ces ordres. Mais le serment de jadis de conserver l’Algérie à la France et de protéger cette population n’avait-il pas été également prononcé ?

            Le vieil honneur qui vous lie à une parole est-il une chaîne dont il est loisible de couper les anneaux ? La vie est bien longue à celui que trouble le remords…

            Dès lors, désarmés, livrés sans défense à la vindicte du vainqueur, le génocide des harkis commençait…

            Et dans toute l’Algérie on fusilla après avoir torturé, on mura dans des bâtisses de pierres, on enterra vivants, on brûla sur des bûchers, on flagella, on égorgea, on roua de coups des victimes enfermées dans des sacs, membres liés.

            Dans le Nord-Constantinois, des femmes tuèrent même des captifs à coups de dents !…

            Dans le bled où le drapeau vert et blanc remplaçait désormais le tricolore, les Musulmans qui avaient toujours été fidèles à la France s’accrochaient désespérément aux camions militaires français et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Ce sont des images que seuls ceux qui ont une conscience ne pourront de sitôt oublier…

            Et l’horreur de la situation devint telle que le Lieutenant de Vaisseau Cucherat rejoignit les rangs de l’OAS et résuma dans un cri d’indignation à l’adresse des officiers français toute cette tragédie :

            « Il n’y a pas en ce monde d’expiation qui puisse ressusciter les harkis ébouillantés, effacer les mutilations des suppliciés… réparer le suicide des pères désespérés, ou guérir les vieillards conduits à la folie par votre traîtrise et votre lâcheté. Il n’y a pas de drogue qui puisse endormir en vous cette honte et ce remords qui vous empêcheront de plus regarder jamais dans les yeux, à supposer qu’ils vivent encore, le chef de votre ancienne harka, ou le maire de votre regroupement, et tous ceux qui avaient cru en votre parole, s’étaient engagés derrière vous et à qui vous avez menti… »

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

            NB : Alors que les « gogos de service » commémorent toujours « l’appel du 18 juin », et le « 19 mars 1962 » (date du cessez-le feu en Algérie), il est bon de rappeler les ordres criminels donnés par de Gaulle lors des séances du Comité des Affaires Algériennes, qu'il présida de 1959 à 1962. Ceux-ci furent rapportés par son conseiller, Raymond Aron, dans ses mémoires « 50 ans de réflexion politique » (p.388 – Julliard) : « les harkis, pour la plupart, furent livrés à la vengeance des vainqueurs sur l'ordre peut-être du général de Gaulle lui-même, qui par le verbe, transfigura la défaite et camoufla les horreurs... ». Cette action criminelle fut dénoncée au Parlement dès mai 1962 par le Bachaga Saïd BOUALEM, Vice-président de l'Assemblée Nationale, et par le Professeur Maurice Allais, Prix Nobel d'Économie, dans son ouvrage « L'Algérie d'Évian » (L'Esprit Nouveau - mai 1962). Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a reconnu ce massacre en déclarant sur Radio-Beur FM, en octobre 1999, parlant de la répression contre le GIA : « Nous ne faisons pas les mêmes erreurs qu’en 1962 où, pour un harki, on a éliminé des familles et parfois des villages entiers ». (« La Croix » du 17 juin 2000).

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26 septembre 2016

RESPONSABILITE DE LA FRANCE dans le drame des Harkis - COMMUNIQUE DU CERCLE ALGERIANISTE

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Une reconnaissance par François Hollande sur fond de duplicité !

Logo Cercles algérianistes

Cercle algérianiste national

Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire

des Français d'Algérie.

Communiqué de presse du 25 septembre 2016

            Le président de la république, François Hollande, vient de reconnaître « la responsabilité des gouvernements français dans l’abandon des harkis, les massacres de ceux restés en Algérie et les conditions d’accueil inhumaines de ceux rapatriés en métropole ».

            Cinquante-quatre ans après le drame indicible vécu par des milliers de nos compatriotes harkis, qui avaient fait le choix de la France et qui ont délibérément été abandonnés par l’État français aux mains du FLN, cette reconnaissance bien tardive survient enfin.

            Le Cercle algérianiste qui a eu comme président d’honneur le bachaga Saïd Boualam, l'une des personnalités les plus emblématiques de la communauté harkie, s'il approuve cette déclaration, entend cependant dénoncer la duplicité du chef de l’État.

            Comment croire en effet François Hollande alors que celui-ci a été il y a quelques mois à peine à l’origine de l’officialisation de la sinistre date du 19 mars 1962 comme date de la fin de la guerre d’Algérie, symbole même de la négation du drame des harkis et des pieds-noirs ?

            Comment croire dans la sincérité de ces propos alors que le gouvernement français s’est toujours refusé de froisser l’Algérie en exigeant qu’elle accomplisse aussi son chemin de vérité et reconnaisse la responsabilité du FLN dans les crimes commis à l’encontre des harkis et des pieds-noirs ?

            Comment croire en cette soudaine conversion du chef de l’État alors que nombre d’amis du pouvoir ne cessent de célébrer et de commémorer la seule mémoire des terroristes du FLN ?

            François Hollande, pour des raisons purement tacticiennes et politiciennes, accomplit aujourd'hui le geste qu’il aurait pu faire depuis longtemps à l’égard des harkis.

            Il ne saurait faire oublier toutefois le profond mépris que lui-même et son gouvernement ont toujours manifesté depuis 2012 à l’égard des français d’Algérie, harkis et pieds-noirs confondus.

Thierry ROLANDO Président national du Cercle algérianiste

Télécharger le communiqué au format PDF

Association culturelle des Français d'Afrique du Nord 1, rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél. 04 68 53 94 23

Courriel : contact@cerclealgerianiste.fr  site du cercle :  www.cerclealgerianiste.fr

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24 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N°216

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Dimanche 9 octobre 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Montpellier, la manifestation « Sauvons notre pays » interdite par la République des Préfets !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Tout au long de son quinquennat dévoyé l’actuel Nain-de-l’Elysée aura tout organisé, avec ses ministres incapables de redresser la France et ses préfets à la botte, pour bâillonner le peuple opposé à ses diktats en le privant du droit de manifester.

         Dernier exemple en date : la manifestation organisée à Montpellier par Richard ROUDIER (Ligue du Midi), en relation étroite avec Pierre CASSEN (Riposte Laïque) et Christine TASIN (Riposte Républicaine), dans le contexte de la quinzaine « Sauvons notre pays » conçu par eux et d’autres.

1

Affiche de la manifestation. Photo MS.

         Sauver notre pays de quoi ? De l’immigration envahissante, dangereuse pour notre équilibre économique (déficit permanent du budget de l’Etat), notre stabilité sociale (augmentation du chômage), et notre sécurité dont les failles tragiques ont provoqué 230 morts en France, en quelques semaines. Bernard CAZENEUVE…. démission !

         Par ailleurs il faut garder à l’esprit que cette immigration est devenue une véritable invasion que Renaud CAMUS qualifie avec une grande lucidité de « grand remplacement ». Il a raison ! Elle est d’autant plus intolérable qu’elle est imposée manu militari aux Français par l’actuel gouvernement d’islamo-collabos déguisés en humanistes à la botte des technocrates de l’Union Européenne.

 2

Renaud Camus accepte de poser à mes côtés. Un beau souvenir ! Photo MS.

         Revenons à la manifestation de Montpellier. La demande d’autorisation de manifester fut déposée 10 jours avant le samedi 8 octobre. Le déroulement de cette manifestation des opposants à l’immigration prévoyait un rassemblement dès 15h00, au parc municipal du Peyrou, suivi d’une marche en ville pour se rendre à la Préfecture, dans l’ordre habituellement respecté par la Ligue du Midi.

Richard ROUDIER reçut un accord verbal d’autorisation le 7 octobre.

         Mais, contre toute attente, Monsieur Pierre POUESSEL, Préfet de l’Hérault, la refusa le 8 octobre, peu avant le regroupement final du fait que la Police a constaté qu’une contre-manifestation s’était formée, sans autorisation préfectorale, elle, côté ville, vers le haut de la rue de laLoge. Elle fut contenue par un barrage de Police, une centaine de mètres avant d’arriver à l’arc de triomphe. 

         Ainsi va notre belle « démocratie à la française » : les manifestants en règle ont l’interdiction de manifester et les anarcho-communistes du NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) et du PC (Parti Communiste, et oui les staliniens ont eu des enfants), manifestent en toute liberté dans le centre de Montpellier, grâce.… au silence bienveillant du Préfet de l’Hérault !

         Pour mémoire, le jour de sa prise de fonction, il déclara : « je souhaite être un homme de dialogue et de concertation (…) ». Ceténarque, ancien conseiller de Pierre JOXE, ancien directeur de l’administration à la DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure) et Préfet de l’Hérault depuis  janvier 2016 fut très clair.

         En ce 8 octobre il a tellement voulu « dialoguer » que l’ordre a été donné aux CRS présents devant le parc du Peyrou de…. cadenasser les grilles de l’entrée. Vous avez bien lu !!!

POUR LE PREFET DE L’HERAULT, DIALOGUE ET CONCERTATION RIMENT AVEC…. PARCAGE DES PATRIOTES !

         Cherchez l’erreur ! Ce cadenas anti-démocratique était idéal : il empêchait les personnes de rentrer (excellent moyen pour réduire le nombre des participants) et de sortir (déni total du droit de circuler).

         Stéphane GOEPFERT, Conseiller Municipal d’opposition de Juvignac, put sortir du parc mais ne put y entrer de nouveau. Preuve qu’il existe une « logique CRS » de la circulation des personnes !

Voir la vidéo de Lengadoc Info :

Cela n’empêcha pas les personnalités de discourir :

- Richard ROUDIER, Président de la Ligue du Midi,

- Jean-Luc BOUCHEREAU, délégué régional du SIEL (Souveraineté, Indépendance et Libertés, parti présidé par Karim OUCHIKH),

- Alain BARNIER, venu de l’Ardèche (Viviers Bleu Marine),

- Françoise VALLERGUE, qui lut un message du mouvement PEGIDA,

- Laurent PERRIE (Perrié), identitaire catalan de Perpignan,

- Olivier ROUDIER, porte-parole de la LDM (Ligue du Midi), puis vint la prise de parole que j’attendais, celle d’un érudit,

- Renaud CAMUS, écrivain, romancier, essayiste notoire, philosophe, fondateur en 2002 du parti de l’In-nocence qu’il préside, adhérent du SIEL et membre du RBM (Rassemblement Bleu Marine).

         On entendit les clameurs habituelles : « on est chez nous », « Etat collabo », « Migrants hors de France » !

         Richard ROUDIER, employa des termes percutants au sujet de l’immigration-invasion qu’il qualifie, avec justesse, de « coup d’état migratoire » ou pire encore de « traite des migrants ». Très lucide !

         Petite surprise agréable : présence des chanteuses du groupe « Les Brigandes », jeunes et talentueuses, anti-mondialistes, pertinentes comme leurs titres de chansons : « Etat de droit », « Jakadi des millions », « Le retour des héros », « Le grand remplacement », ou encore « Quand je pense à Hollande » !

         Ce dernier titre mérite un coup de chapeau, car il en dit long sur l’actuel Locataire-de-l’Elysée qui gère sa retraite mais pas la France :

« Quand je pense à Hollande, le pire je l’appréhende, je me sens défaillir, j’ai envie de vomir, tant la honte est immense, le mal fait à la France (…) ». Texte fort et courageux…. bravo mesdames pour votre engagement anti-mondialiste et votre sympathique présence !

         Ecoutez leurs chansons sur le site : lecomitedesalutpublic.com, ou mieux encore achetez leurs CDs en direct en ouvrant le lien

https://lecomitedesalutpublic.com/boutique/.

3

Discours final. Richard et les orateurs. A gauche les Brigandes. Photo MS.

         Les critiques contre l’immigration, furent sur toutes les lèvres avec plus ou moins de véhémence. Il est vrai que la décision de l’actuel Nain-de-l’Elysée de « fermer la jungle de Calais », promesse électorale manifeste, était dans tous les esprits.

         Ces 15.000 sans-papiers (12.000 pour le pouvoir), des hommes à 90 % et en pleine force de l’âge, purs clandestins que l’on a laissé parcourir des centaines de kilomètres depuis les côtes italiennes (adieu Schengen je t’aimais bien), représentent un coût (personnel affecté à leur surveillance) et un risque considérables pour la France.

         Le projet gouvernemental lié au démantèlement de « la jungle de Calais » prévoit d’affecter 100 migrants par commune, dans 150 communes de France ! Celles-ci ont été sélectionnées sans concertation et mises dans l’obligation de créer un centre d’accueil et d’organiser une assistance sociale complexe et très coûteuse.

         Au regard des restrictions des budgets communaux, des chômeurs au sein de certaines localités, et du problème grandissant de l’insécurité récemment constaté en milieu rural, on comprend aisément les nombreuses réactions de rejet de la plupart des maires et des habitants, outrés d’un tel abus de pouvoir !

         J’ai apprécié la notion de « remplacisme » évoquée avec talent par Renaud CAMUS. Les islamo-collabos au pouvoir (plus pourlongtemps) veulent nous remplacer, c’est un comportement d’une indicible lâcheté, et un outrage terrible fait au peuple de France. Pas seulement à cause des migrants d’aujourd’hui mais depuis des dizaines d’années à cause d’une immigration qui porte en elle les germes du Jihad (mort aux mécréants). Les « migrants » continuent  d’arriver par centaines au sud de l’Italie…. chaque jour !

         Pour 5 % de demandeurs du droit d’asile ils doivent être 95 % de vrais sans papiers, clandestins de fait, qui n’ont pas vocation à être tolérés en France ou en Europe. Ne parlons pas des « jihadistes français (sic) » infiltrés parmi eux…. une double peine pour la France !

         La quinzaine « Sauvons notre pays » s’est terminée par la manifestation de Montpellier, après d’autres initiatives dans plusieurs villes de France (sauf à Bordeaux où réside Ali JUPPE, imam en attente d’élection peu souhaitable au niveau national).   

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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23 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N° 227

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Mardi 3 janvier 2017.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

LE « PHARE » NE CLIGNOTERA PLUS !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         C’est avec un réel pincement au cœur que je vous annonce l’extinction du « Phare fouilleur » !

         Voilà cinq années que je me suis investi dans la recherche et la tentative de compréhension d’une certaine pensée politique française.

         Quelques constats majeurs me choquent terriblement :

les Français, pour la plupart, sont des êtres peu patriotes et plutôt insensibles à la protection de leur Nation mise en danger par une gauche favorable aux étrangers et une droite émasculée,

les responsables politiques de notre époque, pour la plupart, sont des arrivistes, des magouilleurs, des profiteurs et des menteurs,

les prêtres copinent effrontément avec les imams salafistes,

- ni les Français ni les responsables politiques ni les prêtres, en grande majorité, n’osent affronter le défi du siècle : l’islamisation galopante qui met notre Nation et le monde en très grand péril !

Alors, comme la France fera son lit... Elle se couchera !

       Faut-il tout expliquer ? Je ne le crois plus : on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.

Une certitude : j’ai eu grand plaisir à rédiger mes articles, les diffuser et échanger avec beaucoup d’entre vous.

       A vous qui avez accepté de me lire, aux sites qui m’ont fait l’honneur de faire paraître certains de mes articles, à tous pour votre amicale considération et vos appréciables encouragements….MERCI ! Qu’il me soit permis d’aller « cultiver les fleurs de mon jardin ».

       Heureuse année 2017dans la paix du cœur et la joie de voir sur le départ un ersatz de Président, particulièrement incompétent.

Et comme l’a écrit Roger HOLEINDRE, grand patriote : que Dieu protège la France !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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23 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N° 225

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 2 décembre 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Normal 1er jette l’éponge… seule décision efficace depuis son élection !

Normal 1er jette l’éponge… seule décision efficace depuis son élection !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Comme pour beaucoup d’entre vous Normal 1er n’a jamais été « mon Président » mais j’ai dû faire avec puisque les barricades d’Alger ne sont plus à la mode, hélas !

         Oui, hélas, car je pense que si nous avions un peu plus pratiqué cet art de la construction spontanée beaucoup de responsables politiques auraient vite cessé de nous prendre pour des imbéciles.

         Après les drames engendrés par le terrorisme islamique les responsables politiques ont vu le peuple de France allumer des bougies et se mettre autour en pleurant…. au lieu de prendre d’assaut l’Assemblée Nationale !

         Ils ont alors compris qu’ils pourraient continuer à prendre les Français pour des crétins car non invités dans les loges maçonniques où se préparent les lois (dans l’ignorance générale du fait) de notre régime déguisé en République.

         Après le rejet de Nicolas-du-Fouquet’s, voici la chute -attendue- de Normal 1er, élu malgré lui pour occuper un fauteuil de Président alors qu’il n’aurait jamais dû quitter son tabouret à la tête de la région de Corrèze en perpétuel déficit sous sa présidence.

         Je me demande souvent, avec une émotion certaine, comment notre peuple, supposé mâture, a élu un tel incapable en 2012 !

Peuple aveugle ? Elu très malin ? Les deux bien- sûr.

         Normal 1er a donc fini par avouer piteusement qu’il jetait l’éponge.... pour ne pas nuire au rassemblement de la Gauche ! Sortons nos mouchoirs à l’écoute de ce parfait aveu d’un cinglant échec politique, doublé d’un retentissant échec personnel.

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François Hollande annonçant, jeudi 1er décembre, sa non candidature.

On se souviendra que le quinquennat de ce Président aura été comme la déclaration de sa non candidature à la prochaine élection présidentielle…. minable jusqu’au bout !

         L’incapacité totale du personnage à exercer sa fonction restera marquante, au moins pour les raisons suivantes :

- le matraquage fiscal a été le résultat d’un intolérable abus de pouvoir, un peuple n’élit pas un Président pour se faire tondre,

- le fiasco de l’écotaxe qui a soulevé la vague de protestation légitime des « bonnets rouges », poussés à l’affrontement,

- le lâche abandon programmé des agriculteurs ne pouvant plus vivre de leur travail alors qu’ils nourrissent les Français,

- les rues livrées aux casseurs gauchistes, en présence d’une Police muselée et rendue inefficace par l’interdiction officielle de réagir,

- le scandale de la loi sur le mariage homosexuel qui a mis en miettes les valeurs familiales, salissant un peu plus la loi naturelle pour un enfant d’avoir un père et une mère, au nom d’une jouissance sexuelle dévoyée,

- l’immigration clandestine légalisée et imposée aux Français sans consultation nationale (de quel droit ???), avec un coût extrême pour le budget de l’Etat et des risques sociaux aggravés par ces étrangers,  musulmans

pour la plupart, si mal disposés envers leur pays d’accueil une fois installés en France aux frais des contribuables,

- les tragédies occasionnées par les attentats islamistes en France, qui n’auraient jamais dû prendre cette ampleur si les terroristes potentiels « fichés S » avaient été arrêtés et traités comme il se doit, par un Joe ARPAIO français (« Joe » est le Sheriff du comté de Maricopa en Arizona, réélu année après année pour ses méthodes dissuasives à l’égard de tous les délinquants emprisonnés),

- l’absence de courage politique au regard de la déchéance de nationalité qui aurait dû être appliquée à grande échelle, à tout « Francisé » parti faire le Jihad dans la zone lybio-syrienne et revenu en France pour déstabiliser notre Nation au nom de l’Islam, et attaquer notre population avec des armes ! C’est incroyable. 

- l’impossibilité de réduire le chômage durablement, malgré un engagement solennel pris devant la Nation (un mensonge de plus),

- l’absence de crédibilité d’un chef de l’Etat ne représentant que lui-même (7 % de popularité après 4 ans et demi de présidence !),

- l’incapacité de rassembler les Français, état de fait insupportable car un chef de l’Etat se doit d’être au service du peuple et non au service de son image de marque, surtout en cette période de perte d’identité provoquée par la dégradation accélérée de nos valeurs,

- enfin, le rejet de ses théories mondialistes par les Français qui ouvrent enfin les yeux sur les dégradations multiples et réellement dangereuses de ce concept gauchiste qui consiste à tout permettre et tout autoriser sous prétexte d’une « vie sans frontières ».

         Ces dysfonctionnements particulièrement dommageables ont provoqué le recul de la France sur l’échiquier mondial et le malheur des Français, tondus comme des moutons par la gôche-caviar !

         Ce Président inconsistant aura divisé notre peuple, en dressant même certains Français contre d’autres en légiférant contre l’intérêt de tous, au nom d’un progressisme ringard, contraire aux traditions politiques

dae la gauche française.

         Bref, pour faire court :

Normal 1er est le plus mauvais Président de la Ve République !

         Les attitudes particulièrement ridicules de ce personnage sans envergure, sont une preuve supplémentaire d’un mauvais goût et d’une absurdité sans limites :

- dos tourné à Nicolas-du-Fouquet’s après la poignée de main sur le perron de l’Élysée, 

- costume mal taillé et cravate de travers,

- poignée de chemise blanche dépassant d’une seule manche,

- prises de parole minées par les silences et la recherche des mots,

- démarche hésitante sur les tapis rouges des cérémonies,

- réaction saugrenue pendant la déplorable « affaire Léonarda »,

- discours sous la pluie avec le visage ruisselant et les lunettes embuées,

- air ahuri sous un casque, après une certaine virée en scooter (…),

- vocabulaire insolant pour évoquer les « sans-dents » (les petites gens), du jamais entendu de la bouche d’un Président,

- un livre de confidences à ne pas dire, laissant apparaître un problème narcissique très préoccupant au regard de son devoir de réserve,

- une annonce de non candidature à la prochaine élection présidentielle avec un regard vide et des mots creux, en guise d’aveu de ses multiples échecs personnels et politiques.

         En souvenir des victimes innocentes assassinées par des « djihadistes français fichés S » laissés en libre circulation dans nos rues, et des commerçants, artisans, agriculteurs, dirigeants de PME, qui ont été ruinés et poussés au suicide à cause du matraquage fiscal imposé par la Gauche au pouvoir, pendant le quinquennat vide de sens de François HOLLANDE, je n’hésite pas une seconde à diffuser cette photo.

10

François HOLLANDE aura abaissé la fonction présidentielle et la Gauche aura abaissé la France comme jamais depuis des décennies.

Il faut les balayer à l’occasion du grand nettoyage des écuries d’Augias…. en 2017, et pour très longtemps !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

20 septembre 2016

POINT DE VUE SUR L'OUVRAGE DE PERVILLE "ORAN 5 JUILLET 62"

Courrier qui réhabilite le livre de Pervillé non mentionné ni dans la presse gauchiste et encore moins dans la presse Algérienne.

Leçon d'Histoire pour un massacre de Guy Pervillé.

Message au Groupe de recherches sur Oran 5 Juillet 62

Chers amis je pense que vous avez été pour certains très injustes avec les conclusions de l'auteur.

            C'est vrai il dit «le harcèlement des quartiers musulmans d’Oran par l’OAS durant la période allant de la mi-février au 28 juin 1962 paraît bien être, sinon la cause directe, au moins la cause profonde du massacre du 5 juillet». Évidemment cette phrase sortie de son contexte qui rejoint les conclusions du Général Katz peut prêter à confusion mais remarquez que l'auteur dit «parait» et qu'il a aussi écrit «une autre hypothèse est à prendre en considération est celle d’un lien entre le massacre d’Oran et la stratégie tortueuse du colonel Boumédiène, chef d’état-major général de l’ALN qui s’était allié à Ben Bella dans la lutte contre le GPRA signataire des accords d’Évian, et qui aurait provoqué ce massacre en tant que prétexte pour s’emparer d’Oran en y rétablissant l’ordre.

            Mais elle ne peut pas être retenue sans preuves car la seule archive connue que vous avez donné est l'ordre du jour de l'ALN d'Oujda daté du 5 juillet qui accable le GPRA qui se propose de « protéger la minorité européenne » comme si on savait au matin du 5 juillet qu'elle allait être agressée, aussi il paraît important de disséquer ce document snobé par certains et qui est évident pour JF Paya (présent sur le terrain au service de la marine nationale) qui l'a fourni. Le temps passant il nous parait important de lui demander son avis. (R=réponse).

Provenance de ce document?

R: l’original est remis par le colonel (r) S*** alors capitaine au 2em bureau d'Oran adjoint du chef de ce service (Réf EM 2emB N:1266 /B2/GAOR/Sec)

Nb: ce document classifié SECRET CONFIDENTIEL n'a jamais été retrouvé ni produit dans leurs ouvrages par aucun des auteurs qui ont eu accès aux archives: dans l’ordre J Monneret, Jean-Jacques Jordi et Guillaume Zeller ?

Raisons présumées et commentaires ?

: D’après certains informateurs (secrétaires ALN d'Oujda) diffusé sous forme de document confidentiel de 3 pages expliquant aux cadres de l'ALN pourquoi l'État-Major (Boumédiène) dissous et démis par le GPRA d'Alger s'opposait à ce dernier (Étant entre autre « incapable de maintenir l'ordre ») alors qu'ils allaient entrer en Algérie en rupture avec les directives du GPRA.

Nb : Ce document fut diffusé par erreur en tract par un chef local de l'unité ALN dans la zone de Bou-Sfer, Ain-el-Turc et Mers-el-Kébir le 22 Juillet et capté par nos services classifié SECRET CONFIDENTIEL mention «Ne pas s'immiscer» et non exploité pour une enquête INTERDITE sur les événements du 5 Juillet. (Aucune archive d'enquête immédiate n’existe?)

AUTRES CONSIDÉRATIONS ENREGISTRÉES

            Aucune recherche sur la prise de pouvoir et le "maintien de l'ordre" par l'ALN extérieure (non prévue par les accords d'Évian). Après la provocation qui suscita les massacres et les enlèvements, seuls certains journalistes "de terrain", dont celui de «La Dépêche de Saint-Étienne» du 10 juillet 1962, impliquent certains civils musulmans armés provocateurs (cité par Guy Pervillé). Il était pourtant facile de savoir à qui profitait le crime et de développer une recherche selon Paya (les services Français avaient de nombreux informateurs musulmans).

            Le communiqué du 5 juillet 1962 de l'état-major de l'ALN extérieur est diffusé intégralement dans le troisième volume de L'agonie d'Oran (édition Gandini de Nice) avec de curieuses conclusions du 2e Bureau disant « affaire d'ordre intérieure et problème interne purement algérien ne pas s'immiscer».

            G Pervillé et J Monneret interprétant ce document au 1er degré en concluent qu'il ne donne pas de directives pour un massacre à Oran au contraire évidemment!

            Les seuls dossiers mentionnés du 2e Bureau du livre de J Monneret cité par Guy Pervillé n’analysent pas les causes ni les responsabilités mais sont relatifs à un recensement non exhaustif (manque les tués sur place, les disparus et  certains «vus enlevés» et signalés à différentes unités mais dans le désordre d’une population affolée qui quittait le territoire.

            453 signalements ramenés à 365 après soustraction de gens retrouvés en faisant abstraction de très nombreuses personnes isolées surtout de sexe masculin dont les familles sont déjà parties et qui de ce fait n’ont pas pu être signalées sur place ou plus tard en France. Elles n’ont pu être ciblées pour le 5 juillet (déclarations d’absence sur les lieux de résidence familiale). On est à plus de 700 victimes minimum aujourd’hui. (Total des enlevés. Des disparus et des tués).

            JF Paya arrive à 1000 signalement avec une estimation des "non déclarés".

            Pour conclure il faut remarquer que Guy Pervillé ne met plus dans sa conclusion un passage qui vous avait choqué «Il n’y a pas eu de responsabilité directe du gouvernement français dans ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 à Oran, même si l’on peut lui reprocher à bon droit son inconscience. Interview de Roger Vétillard qui cite par ailleurs un autre point positif «Les témoignages donnent l’impression très nette que le massacre des Européens avait été PRÉMÉDITÉ par au moins une partie des chefs du FLN d’Oran et que la plus grande partie de leurs troupes a participé à la chasse aux Européens». Et il ajoute dans sa conclusion «De ce fait, nous devons aussi constater que le massacre du 5 juillet 1962 à Oran a été probablement l’événement le plus sanglant de toute la guerre d’Algérie, et que l’escamotage complet de sa mémoire par les gouvernements français qui se sont succédé pendant près d’un demi-siècle représente l’exemple le plus parfait de censure mémorielle en France, très loin devant le 17 octobre 1961 (répression de la manif FLN à Paris en temps de guerre) qui est aujourd’hui infiniment plus connu (ou tout au moins plus souvent mentionné) Alors non satisfaisant?

R: "Assurément et nous aurions aimé que cet éminent historien nous confirme au-delà des causes présumées de ce drame le fait «qu'il s'agit d'un cas quasi unique dans l'histoire où une armée invaincue et présente sur les lieux laisse massacrer ses ressortissants sans pratiquement intervenir et ce en temps de paix» C'est là selon nous une des causes principale de l'occultation de ce massacre du moins en France.

            Mais il est très important de ne pas négliger Guy Pervillé qui précise en préambule de ses conclusions «Nous pouvons penser que désormais la plus grande partie des progrès nouveaux que nous pouvons encore espérer viendra de la révélation de sources algériennes (orales ou écrites) pour le moment secrètes et c'est pourquoi pour les conclusions, je prends le risque de les présenter ici comme étant considérées "approximatives et provisoires".

            Dont acte il faudrait en tenir compte au crédit de l'historien qui a présenté honnêtement toutes les thèses en présence.

Bien  cordialement

Ginés Delga membre du groupe de recherches contributeur "Histoire de l'Algérie".

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18 septembre 2016

HOMMAGE 2016 AU BACHAGA BOUALAM

Entête MRAF ADIMAD

GIENS 25 Septembre 2016 – 17 heures

Chers Camarades

Hyères, le 10 Septembre 2016

Comme tous les ans l’Adimad.MRAF va rendre hommage au Bachaga BOUALAM, et à travers lui, aux dizaines de milliers de Harkis laissés à la vindicte de sordides assassins par un Gouvernement félon.

Nous ne les oublions pas, eux qui furent Français non par le sang reçu mais par le sang versé.

image 1

Cette cérémonie se déroulera à Giens dans cet endroit de havre et de paix dédié au Bachaga BOUALAM, le dimanche 25 Septembre 2016 à 17 heures.

Faites-en part à vos amis et venez nombreux pour partager avec nous cet instant d’émotion et de recueillement.

Et, coutume oblige ; après cette cérémonie nous nous rendrons chez Marie-Laure et Jean-François COLLIN pour poursuivre l’évocation de nos souvenirs autour d’une table dressée de collations et amuse-bouche. L’occasion pour certains de revoir Jean-François qui a tant œuvré pour l’ADIMAD.

Je vous adresse à toutes et tous mes sentiments les plus Nationalistes.

Régis Guillem Président

Si certains souhaitent déposer une gerbe qui sera la bienvenue, je vous remercie de m’en aviser dans le seul souci d’organisation .

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17 septembre 2016

EL ANCOR

14 septembre 2016

BULLETIN D'HUMEUR N° 218

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 14 octobre 2016.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

 

Primaire de la droite molle et du centre : 1er tour, 7 candidats au trône de calife !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Voilà longtemps qu’ils piaffaient dans leur écurie respective, anticipant les senteurs des foins nouveaux de l’alternance et rêvant de contempler à nouveau les dorures des bureaux somptueux desquels ils furent lamentablement chassés en 2012 par les socialistes pourtant incompétents.

         Premier tour, hier, 13 octobre. Tous bien mis de leur personne, un air sérieux mais pas trop, un sourire crispé pour certains, une allure décontractée pour d’autres, un regard déjà dans les urnes, des intonations de voix très BCBG et une gestuelle mesurée sauf pour le calife déchu, toujours très excité !

         Avec un titre de chanson pour chacun, je n’évoquerai pas leurs programmes mais plutôt leurs expressions comportementales révélatrices et certaines omissions (volontaires). Point commun : les sept étaient sur le registre on a changé, maintenant on sait faire !

Nicolas SARKOZY, alias Nicolas-du-Fouquet’s, intervint sur l’air de j’aurais voulu être un artiste. Toujours aussi sûr de lui, il avait réponse à tout -comme d’habitude- et savait ce qu’il fallait faire pour….sauver la France ! Il parla pour faire oublier qu’il fut éjecté de la présidence de la République en 2012, avec une voix cachant mal l’excès d’autorité qu’on lui connaît, le regard dur, les sourcils froncés à en avoir des crampes, quelques tics habituels et une gestuelle toujours spectaculaire.

Oubliés le dépassement des comptes de sa campagne présidentielle, son pote feu Mouammar KHADAFI, le Karcher introuvable, la promesse de vérifier automatiquement les papiers de tout véhicule occupé par des petites frappes, la réduction des fonctionnaires de Police, l’immigration absolument pas maîtrisée, son arrogance néfaste à l’image de marque de son camp.

Oublié le discours de Constantine prononcé le 5 décembre 2007, à l’Université de Mentouri, à l’occasion duquel il déclara avec emphase : « Le système colonial était injuste par nature et il ne pouvait être vécu autrement que comme une entreprise d’asservissement de d’exploitation ». Circulez, il n’y a rien à voir.

Je laisse les Pieds-Noirs et les Harkis apprécier ce léchage des babouches d’Abdelaziz BOUTEFLIKA !

Oubliée la reconnaissance de l’abandon des Harkis par la France, évoquée quelques jours avant la fin de son quinquennat. Mais…. le Nicolas-nouveau -comme le Beaujolais- était arrivé !

Alain JUPPE, m’a rappelé le titre non, rien de rien, non je ne regrette rien! Ancien Premier Ministre de Jacques CHIRAC (de mai 1997 à décembre 2004), il était selon ce dernier « le meilleur d’entre nous ». Il fut plusieurs fois ministre. Toujours aussi figé avec un sourire calculé, Il afficha une décontraction de circonstance, avec même un air de joueur de golf satisfait (syndrome OBAMA).

Avec un aplomb à couper le souffle il évoqua l’absence de prise d’intérêt dans l’occupation d’appartements pour son fils et pour lui-même, dans des conditions financières anormalement privilégiées ce qui constitue une évidente forme de prise d’intérêt.

La rosette au revers de sa veste pour bien rappeler qu’il a été un homme digne malgré son implication dans le financement occulte d’emplois au sein du RPR (Rassemblement Pour la République), financés par la mairie de Paris, à l’époque où il était secrétaire général du RPR et Adjoint aux Finances à la mairie de Paris !

Rappel : cette lamentable affaire se termina par un arrêt de la Cour d’appel de Versailles, le 1er décembre 2004, statuant d’une peine réduite à 14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité !!!

Question : comment ose-t-il être candidat à l’élection présidentielle ? S’il gagne le 2e tour des présidentielles la France sera dirigée par un repris de Justice ! Une nouvelle élite en somme. Avec une diction de professeur, il n’oublia pas d’affirmer que malgré son âge (71 ans), il était rejoint par les jeunes (bien sûr, pardi). Pas un mot sur la remise de la Légion d’honneur à son copain Tareq OUBROU, imam de la mosquée de Bordeaux et membre de l’U.O.I.F. (Union des Organisations Islamiques de France). Anecdotique !

On se souvient que lors d’un entretien télévisé avec le philosophe Michel ONFRAY, il lui promit de lire le Coran, qu’il n’avait jamais lu car « c’est illisible » déclara-t-il (si vous croisez Tarek, pas un mot) !

François FILLON, qui veut « tout casser pour reconstruire » m’a fait penser au titre si j’avais un marteau. Affable, posé, rassurant dans ses propositions, catholique avéré, raisonnablement libéral, son programme est fiable.

Certes, sous Nicolas-du-Fouquet’s il a avoué, en tant que Premier Ministre, avoir gouverné « un pays en faillite », mais il n’était que l’exécutant nécessairement aux ordres du Président en place. On s’en  souvient d’autant plus qu’après la faillite avancée survenue sous le règne de Nicolas, la France est carrément menacée de dépôt de bilan après un quinquennat socialiste littéralement destructeur.

Beaucoup de propositions sérieuses, réfléchies, crédibles, dont un gouvernement composé de 15 ministres. Si j’avais été un adhérent LR, c’est pour lui que j’aurais voté.

Bruno LEMAIRE, sans cravate (!), m’a fait penser au refrain ce soir nous allons danser sans chemise et sans pantalon. Il commença très bien son intervention en affirmant quelque chose comme « il y a sur ce plateau (les représentants de) tout ce qu’il ne   faut pas faire »…. voilà du panache ou je ne m’y connais pas !

Mais son timbre de voix monocorde le priva de toute envolée pertinente, hélas pour ceux qui espéraient qu’une nouvelle tête émergerait du groupe des éléphants du parti LR (Les Républicains). Sincère et même sympathique mais doit mieux faire. Cela dit je le verrais bien ministre de François FILLON.

Jean-François COPE, décomplexé, nous a chanté allo maman bobo. Après s’être tiré une balle dans le pied avec l’affaire Bygmalion dont il ne savait rien (encore une victime du syndrome CAHUZAC), « on lui a fait du mal » mais il s’est refait une santé. Vertement remis en place par Nicolas-du-Fouquet’s il ne se sentit pas très bien pendant de lourdes secondes.

On retiendra qu’il souhaite une « droite décomplexée », intention louable mais tardive : on va choisir l’original…. incarné par Marine !

Nathalie KOCIUSKO-MORIZET, attendrissante par son sourire angélique et ses doigts de pianiste, me fit penser au titre pauvre petite fille riche. Trop tendre (?), un sourire à faire pâlir une marque de dentifrice, elle tenta de se faire une place au milieu des 6 machos en recherche d’emploi mais ne la trouva pas vraiment.

Jean-Frédéric POISSON, ne me fit penser à aucun refrain! Représentant du Parti Chrétien Démocrate, inconnu pour une grande majorité de Français, il essaya de formuler ses intentions mais ne se montra pas assez convaincant. C’est bien dommage car, sans l’avoir dit à cette occasion, il n’exclut pas de voter Marine LE PEN au 2e tour. Respect !

En fin de débat, un rapide sondage (organisme ?) effectué sur un échantillon d’environ 900 téléspectateurs, donna les résultats suivants :

                       Le meilleur                             Le plus convaincant

                   JUPPE        34 %                            JUPPE        32 %

                   SARKOZY   32 %                            SARKOZY   27 %

                   LEMAIRE    15 %                            FILLON       17 %

                   FILLON       13 %                            LEMAIRE    14 %

L’échantillon des sondés semble réduit mais il permet de constater qu’à la suite de ce premier tour, deux candidats font la course en tête : Alain et Nicolas-du-Fouquet’s.

Vrai dilemme : si Alain arrive en tête de cette primaire de la droite molle et du centre, il n’aura aucune peine à bénéficier des votes de gauche et tout particulièrement ceux du PS. Ainsi le front Herpès (LR+PS) se reformerait beaucoup plus facilement car ce célèbre repris de Justice est un pur « gaulliste de gauche ». Il faut qu’il soit battu.

Par ailleurs si les adhérents LR veulent changer leurs dirigeants, il faut battre Alain et Nicolas-du-Fouquet’s. Votez François FILLON !

Alors Marine LE PEN garderait toutes ses chances pour gagner au 2e tour de l’élection présidentielle !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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