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22 décembre 2016

COMMUNIQUÉ DES "COMITÉS JEANNE"

Sachant que le meeting du 21 janvier sera occulté par nos médias il faut savoir que les « Comités Jeanne » proposent

Un banquet patriotique

Salle des Expositions (Salle Bleue) - Rue De L'abbé Brocardi – 34250 PALAVAS LES FLOTS

(Face aux arènes – parkings)

Jeanne 2017

 De nombreuses personnalités sont annoncées…

            Adresser réservation et règlement à : Comité Jeanne – Stephane GOEPFERT – 42, rue de la Méditerranée - 34070 MONTPELLIER –

Tel. 06.74.88.96.10 ou 06.81.80.21.01 - Courriel : comitejeanne34@gmail

            Réservation et règlement peuvent également s’effectuer en cliquant dans la fenêtre « RESERVER » de ce lien : http://jeanneausecours.com/reservations.html (Règlement par Paypal). La réservation se fera automatiquement.

1)    Concernant les personnes résidant dans les départements 06 – 83 – 13, des cars seront affrétés. Prendre contact avec Didier MONIN, tel. 06.82.57.49.50 - Email : topsecretariat@bbox.fr

2)    Cliquez sur : Voir tous les hôtels de Palavas-les-Flots 

A Revoir : LE "DÉTAIL", LA TOURMENTE ET LA DISGRÂCE

 Retour "Tous les Communiqués"

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18 décembre 2016

LES TÉMOINS DE L’HONNEUR

Par José Castano

« La France n’est plus que silence. Elle est perdue quelque part dans la nuit, tous feux éteints, comme un navire. Sa conscience et sa vie spirituelle se sont ramassées dans son  épaisseur » (Antoine de Saint-Exupéry)

            Suite à un article rédigé en 2010 sur les massacres du 5 juillet 1962 survenus à ORAN, j’ai reçu récemment le témoignage d’un algérien (âgé de 9 ans à cette époque) qui éprouvait le besoin -54 ans après cette tragédie- de l’évoquer afin de l’exorciser. Ce témoignage a entraîné aussitôt celui d’un militaire du contingent qui, en 1964 (2 ans après la fin de la guerre) a été confronté –au contact de deux jeunes femmes européennes- au douloureux problème des « disparus » de 1962.

            Et quand on pense que bon nombre de nos concitoyens nous ont traités de « menteurs » quand nous tentions d’en parler !... Quelle tristesse !... et quelle honte pour ces « moralistes  à la conscience pure ! »

            Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ».

           Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est  parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît généralement qu’à celui qui le craint.

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr


De : Akmar Z [mailto:akmarz@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 15 décembre 2016 23:22
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : Bonsoir

Monsieur Joseph, votre présentation des faits dramatiques de cette journée est terrible..Oui je devais avoir 9 ans (je suis né en 1953)  Assis sur le trottoir, j'ai vu défiler des voitures à vive allure avec des européens qui hurlaient dedans..je comprenais qu'on les emmenait vers le petit lac pour les égorger..Mais l'image qui est gravée en moi et restera gravée jusqu'à la fin de mes jours est l'image de la peugeot 403 qui s'est arrêtée devant l'épicerie de M;Romboni..3 hommes en sont sortis et se sont engouffrés dans cette épicerie.....ils ont traîné M.Romboni dehors ...l'un des 3 hommes brandissait une oreille sanglante ;;;il venait de l'arracher  avec une lame. sous les you you des femmes

Je ne pourrai JAMAIS oublié cette scène et chaque fois que j'y pense je ne peux retenir mes larmes Pourtant je n'avais que 9 ans,;j en ai 63 aujourd'hui. Je n'ai pas assisté aux événements que vous relatez mais je les imagine

Cordialement


 

De : Akmar Z [mailto:akmarz@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 15 décembre 2016 23:26
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : re

J'ai oublié de vous dire que je ne suis pas pied-noir ..je suis marocain natif d'oran quartier Victor Hugo. Nous sommes rentrés au maroc directement après l'indépendance (1963) pour habiter Oujda


 

De : Jacques AYGALENQ [mailto:egalun@orange.fr]
Envoyé : dimanche 18 décembre 2016 13:25
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : re

            En 1964 j'ai passé plus de 3 mois embarqué sur un patrouilleur côtier à Mers el Kébir, base navale d'Oran. Dans un esprit de réconciliation on nous proposait sous forme de volontariat des petits voyages « découvertes » dans l'intérieur des terres. C'est ainsi que j'ai connu par exemple le merveilleux site de Tipasa cher á Albert Camus... Or un jour, lors d'un dernier arrêt dans un élevage d'huîtres sur la côte, lors du commentaire du conférencier, 2 femmes jeunes européennes, ont discrètement demandé à un marin du groupe si on pouvait les embarquer avec nous. Elles étaient accompagnées d'un groupe de 3 ou 4 hommes algériens qui,  nous l'avons espéré n'ont pas remarqué leur manège.

Le lieutenant nous accompagnant nous a vite fait remonter dans le car, les engagés de longue date qui faisaient partie de notre groupe commençant á s'agiter… 

Nous étions encore à une heure de route de la base, en tenue de sortie, sans armes, nous ne pouvions rien faire, rien !

Je reverrai toujours le regard de l'une d'elles qui nous suivait des yeux alors que nous repartions avec nos beaux uniformes BBR…

Cette histoire que j'écris, je ne peux la dire sans m'arrêter dans un sanglot !

Jacques Aygalenq matelot 05638322


Et pour ceux qui auraient quelques problèmes de mémoire concernant la tragédie des disparus d'Algérie, je leur conseille vivement de relire l'article rédigé le 14 janvier 2009 - LES DISPARUS D'ALGERIE –

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«  TERREUR ISLAMISTE »

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Conférence sur « L’ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par l’Association Culturelle des Français d’Algérie de MARSEILLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Vendredi 27Janvier 2017, à 11h,  au  Yachting Club de la Pointe Rouge - Port de la Pointe Rouge – 13000 MARSEILLE - Entrée gratuite – Parking -

Un repas (sur place) suivra la conférence

Renseignement et inscription : Andre MOLINES – Tel. 06 22 73 04 05 - 04 86 77 35 14

Courriel : daniellemolines@laposte.net

(Inscription repas, impérativement 3 jours avant)

Venir au YCPR : En métro / bus :

Prendre la ligne 2 du métro jusqu'à la station « Métro rond point du Prado »

Puis prendre le bus N°19 jusqu'à l'arrêt « Pointe Rouge »

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Mon blog cliquer sur : - Mon blog – 

Mes ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

Ma biographie, cliquer sur :- Ma Biographie – 

 

 

9 décembre 2016

ÉCOLE CATHOLIQUE ROYALE MILITAIRE DE SORÈZE

ET L’ALGÉRIE FRANÇAISE. (Part 1)

DE L’ALGÉRIE FRANÇAISE A L’ÉCOLE CATHOLIQUE ROYALE ET MILITAIRE DE SORÈZE JUSQU’AU MÉMORIAL DE ND D’AFRIQUE DE THÉOULE/MER

Cour des Rouge de l’Abbaye-école de Sorèze érigée au pied de la Montagne Noire près de la rivière du Sor © Donatien Rousseau

Cour des Rouge de l’Abbaye-école de Sorèze -Montagne Noire près de la rivière du Sor (© Donatien Rousseau)

 

            L'École de Sorèze fut l'École de Louis Auguste Victor de Ghaisne de Bourmont de 1787 à 1790. Nommé par le Roi de France, général en chef du corps expéditionnaire contre la régence d'Alger et dont il avait conçu et préparé le projet, il débarque sur le sol algérien le 14 juin 1830, accompagné de ses quatre fils. L'armée aborde à Sidi-Ferruch, livre les 19 et 24 juin les deux batailles de Staoueli, et fait capituler Alger le 5 juillet. Il doit à ces évènements de n'être pas impliqué dans le procès des ministres après la Révolution de Juillet. Pour ce fait d'armes, Charles X envoie à Bourmont le bâton de maréchal de France, mais cette distinction ne le console pas de la perte de son deuxième fils, Amédée, lors de la 2e bataille près de Sidi Khalef.

            Avant que l'avenir de la Régence ne soit fixé, Bourmont va de l'avant, pousse jusqu'à Blida, fait occuper Bône et Oran dans la première quinzaine d'août. Le 11 août, le nouveau ministre de la guerre, le général Gérard lui communique officiellement la nouvelle de la Révolution de juillet.

            Le maréchal de Bourmont, ayant refusé de le reconnaître et de prêter serment au nouveau roi Louis-Philippe, fut considéré comme démissionnaire et remplacé le 3 septembre, par le général Clauzel. Là aussi, sa fidélité à Charles X et aux « Bourbons » l'oblige à l'exil. Il montre toujours, à bientôt 60 ans, son attachement à une cause qu'il croit juste.

            Le 3 septembre, le commandant Duperré lui ayant refusé un bâtiment français, Bourmont affrète à ses frais le brick autrichien l’Amatissimo et s'y embarque avec ses fils et « son seul trésor » : le cœur d'Amédée, mort au champ d'honneur. Puis, il fait voile en direction de l'Angleterre, afin de se joindre à l'exil de Charles X, qui l'accueil avec effusion.

            En 1832, il se retire en Italie et conspire avec la duchesse de Berry, belle-fille de l'ancien roi, en tentant de ranimer la guerre de Vendée afin d'établir sur le trône de France Henri V, duc de Bordeaux, fils de cette dernière.

            En 1985, alors que j'étais le secrétaire général de la Fédération pour l'Unité des Réfugiés et des Rapatriés (F.U.R.R.), association nationale fondée par Jo Ortiz, le Prince Alphonse II, Jo Ortiz et Alexandre de Marenches me demandèrent d'accepter cette charge d'Intendant Général.

            Curieusement, Jo et le Comte de Marenches, ancien patron du S.D.E.C.E. et conseiller de Saddam Hussein, sont morts la même année en 1995. Le Prince Alphonse II et André Charles Blanc sont décédés dans des circonstances mystérieuses qu'il conviendrait d'éclaircir s'il existe, un jour, une volonté politique pour ce faire.

            L'École de Sorèze était jumelée au 8ème RPIMA de Castres et au 4ème Étranger de Castelnaudary. Je fus le Président du Cercle Alphonse II créé à Sorèze, 13 Rue du Maquis dans une maison qui était une ancienne boulangerie appartenant à la famille Teste. Des souvenirs capétiens abrités dans une boulangerie, ce n'était pas commun surtout en mémoire du boulanger, de la boulangère et du petit mitron.

            Nous avons lutté contre la fermeture de l'École, de cette École qui appartenait au patrimoine national, fondée par la volonté de Pépin le Bref et construite par les moines bénédictins de l'Abbaye de Saint Maur à partir de l'An 800.

            J'avais cofondé en 1973, avec Maurice Calmein et quelques autres camarades, le Cercle Algérianiste. Un Cercle Algérianiste local fut fondé à Sorèze dont Jo Ortiz et Charles André Blanc furent membres d'honneur. L'École étant le ferment la Guerre de Vendée et l'une des places fortes de la Résistance à l'abandon de l'Algérie, nous avions pensé ériger, là, un  monument à la gloire de Notre Dame d'Afrique. Bon nombre d'officiers du Maréchal de Bourmont étaient sortis des rangs de cette École pour prendre, plus tard, des responsabilités au titre de la conquête de l'Algérie.

            Mais bien des sous-officiers et officiers, qui furent les acteurs de la révolte militaire de 1961 à 1962, avaient fréquenté Sorèze d'une manière ou d'une autre. Si je fus l'Intendant Général de l'École, au même moment fut nommé, comme aumônier de l'École, l'Abbé Denis Le Pivain, sur l'intervention du directeur pédagogique de l'époque, mon ami Jacques Fabre de Massaguel, fervent partisan de l'Algérie française, ancien combattant d'Algérie.

            Les noms des capitaines Le Pivain et Villard, tous deux assassinés en Algérie, dans les conditions que vous connaissez, devenaient un symbole supplémentaire. Mais la fermeture de l'École qui s'annonçait, sonna le glas de cette initiative.

            Nous avons résisté jusqu'au bout. Les élèves de l'École qui étaient en uniformes et en armes provoquèrent même un putsch à l'intérieur de l'École en 1992, rejoignant leurs ainés dans une dernière manifestation de courage patriotique.

            Si nous devons garder en mémoire les noms de Jo et de Charles André, nous devons y associer ceux du Prince Alphonse II et d'Alexandre de Marenches (Porthos) qui nous aidèrent, à l'époque, à porter le projet mais il y en eu d'autres.

            La famille du Prince Alphonse II honorait l'École chaque année, car chaque année, depuis Louis XVI, un membre de cette famille au moins était élève de l'École. En 1987, dans le cadre des manifestations en faveur du Millénaire Capétien, le Prince vint à Sorèze. Il accepta que sa garde d'honneur fût composée uniquement par des anciens commandos de l'Air qui avaient effectué leur temps militaire en Algérie. Ils étaient commandés par le Lieutenant Delhomme. Lorsque le Prince sortit de l'Église, nous étions quatre à l'entourer en uniforme : le lieutenant Delhomme, le porte-drapeau de l'association, Vincent Baillaud et moi-même.

            Le Comte Alexandre de Marenches, ancien patron du S.D.E.C.E. visitait l'École depuis 1966, date à laquelle son fils secret, Henri Anselme, fut accepté comme élève, jusqu'en 1969. L'Association des Anciens Membres des Services Secrets de la Défense Nationale à laquelle j'appartiens continua à visiter l'École jusqu'à sa fermeture. André Charles Blanc avait confié son fils, Emmanuel, à l'École.

            Nous avons essayé de sauver ce qui pouvait l'être, luttant contre la volonté destructrice de l'État à l'époque et de certains administrateurs qui désiraient réaliser une excellente opération financière en transformant la vieille maison de tradition en un complexe moderne d'hostellerie et de restauration.

            De 1985 à 1993 aux côtés d’André Charles Blanc (qui fut administrateur de cette École) et en tant que dernier Intendant Général de L'École Catholique Royale et Militaire de Sorèze (12 siècles d'existence), je fus aux côtés de Jo Ortiz (en tant que Secrétaire National de la F.U.R.R.).

            Les plans du mémorial étaient prêts, les travaux commencèrent à Théoule... Charles André Blanc et moi, nous faisions des aller et retour sur Paris et sur Toulon pour secouer les initiatives nationales. Sorèze ferma lorsque les travaux commencèrent à Théoule.

            Une page se tournait, une autre s'ouvrait. L'histoire secrète de cette stèle reste à écrire. Ce secret et cette détermination sont de la volonté exclusive de Jo Orthiz.

Ce combat nous a usés, Charles André Blanc aujourd’hui disparu qui fut l’un des derniers membres du Conseil d’ Administration de ce vénérable établissement et moi-même.

            L'Histoire est plus compliquée qu'elle ne paraît.

            Les raccourcis sont tellement plus faciles...     (A suivre)

Jacques Villard. (Dernier Intendant Général de l'École Catholique Royale et Militaire de Sorèze)

 

Les grandes dates de l'Abbaye et de l'Ecole

 

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7 décembre 2016

LES TROIS ASSOCIATIONS PATRIOTIQUES

présidées par des soldats de grande valeur

REJOIGNEZ-LES !

1

« La puissance militaire remporte des victoires ; la force morale remporte les guerres » (Général US Georges MARSHALL)

 


1) Volontaires Pour la France

2

Président : Général Antoine MARTINEZ

Les Volontaires Pour la France ne sont pas des professionnels mais des françaises et des français conscients des dangers qui menacent notre pays.

La lettre des Volontaires


2) Cercle de Citoyens-Patriotes

Président : Général Christian PIQUEMAL

« Nous sommes ce que vous fûtes, nous serons ce que vous êtes »

AGO 2016 LES VIDEOS

Contacts


3) Cercle national des Combattants

Président : Roger HOLEINDRE

« Fiers, aujourd’hui, de servir encore une fois la France »

38, rue des Entrepreneurs – 75015 PARIS – Tel : 01.40.59.07.66

cerclenationalcombattants@orange.fr


Conférence sur « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

            Organisée par l’Association Culturelle des Français d’Algérie de MARSEILLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Vendredi 27 Janvier 2017, à 11h,  au  Yachting Club de la Pointe Rouge - Port de la Pointe Rouge – 13000 MARSEILLE - Entrée gratuite – Parking -

Un repas (sur place) suivra la conférence

Renseignement et inscription : Andre MOLINES – Tel. 06 22 73 04 05 - 04 86 77 35 14

Courriel : daniellemolines@laposte.net

(Inscription repas, impérativement 3 jours avant)

Venir au YCPR : En métro / bus : Prendre la ligne 2 du métro jusqu'à la station « Métro rond point du Prado » Puis prendre le bus N°19 jusqu'à l'arrêt « Pointe Rouge »


voir «  TERREUR ISLAMISTE »

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6 décembre 2016

5 DECEMBRE 2016

 

Défilé des 1000 drapeaux à Paris pour les 100.000 morts en AFN.

Voir le blog

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Par Georges Viéville

MARSEILLE

Monument aux morts d’Orient – Corniche Kennedy- 5 décembre 2016. Hommage National aux Morts pour la France en A.F.N.

Quelques photos de nos amis de :

Maison des Rapatriés - Association des Oraniens des B.d.R. – Association des Algérois de Provence – Cercle Algérianiste de Marseille - ANFANOMA.

En présence des Autorités civiles avec Guy Tessier, Valérie Boyer et représentante du Préfet et divers.

Marseille 01

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Marseille 121

Marseille 128

Marseille 130

Marseille 142

Marseille 146

Marseille 150

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