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29 mars 2019

L’ISLAMISATION DE L’ÉGLISE 2

Par José Castano

Seconde partie : La démission de l’Église face à l’islam

« Quand l’Eglise de France s’abandonne à l’islam ! Quand des paroissiens allant à la messe acceptent que leurs curés, leurs évêques s’oublient aux dépens de leur propre croyance, il est temps de se poser des questions sur l’état de la France catholique »(Gérard Brazon)

            Tout au long de ces cinquante dernières années, force est de constater que nos gouvernants successifs –encouragés par les médias, la haute finance… et une grande partie du clergé- ont livré notre pays à ce qu’il convient d’appeler : une  invasion migratoire… Tant d’années durant lesquelles l’Église s’est littéralement effacée devant une religion comme l’islam, lui permettant de devenir la première de France en nombre de pratiquants assidus.

           Nos chers prélats n’ont eu pour seul objectif, pour seul désir et pour unique ambition, que d’appeler « au dialogue et à l’amour » à « la fraternité entre les peuples »… pour qu’in fine l’un des leurs se fasse égorger dans sa propre église par un individu, peu sensible tout compte fait, à la religion de « paix et d’amour »…

           Cette conduite pour la moins inadéquate du clergé français révèle une certaine analogie avec celle qui avait cours lors de la guerre d’Algérie et qui précipita la mort de l’Algérie française. (Voir la première partie)

           Comme nous l’avons vu, l’aide de l’Eglise ne s’arrêta pas à sa seule clémence envers les assassins du FLN. Sa participation active, en bien des cas, fut de notoriété publique… Aujourd’hui, « bis repetita »… « L’Histoire, comme une idiote, mécaniquement se  répète », disait Paul Morand… Rien n’est plus vrai !

           C’est ainsi qu’en exemple de soumission à l’islam prônée par les nouveaux « pères de l’Eglise », retenons celle de Monseigneur Michel Dubost, évêque d’Evry-Corbeil-Essonnes, qui a invité les musulmans à faire la prière aux musulmans dans son église et a permis au Muezzin de lancer l’appel à la prière islamiste au cœur même de cette église.

           Tout aussi affligeante, cette conduite –pour le moins scandaleuse- de l’archevêque de Lyon, le cardinal Philippe Barbarin, prince de l’Église et primat des Gaules, qui, à l’occasion d’une conférence prononcée dans la cathédrale de  Versailles le 4 janvier 2011, s’est vanté d’avoir appris par cœur la chahâda pour la réciter au chevet des musulmans mourants.

           La chahâda n’est pas une phrase banale. Elle est le premier des cinq piliers de l’islam. C’est la profession de foi qui permet de reconnaître un musulman : « Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète».

           Soucieux de faire bon usage de ses accointances privilégiées avec l’islam, dans un communiqué en date du 10 juillet 2016,lecardinal Barbarin annonce, par ailleurs, apporter son soutien au projet d’un Institut de Civilisation Musulmane dans la Métropole lyonnaise permettant de « découvrir les apports de la culture musulmane (sic) »

           « Déchristianisez la France, vous aurez l’Islam ! » avait prophétisé en son temps Chateaubriand… Nous y venons à grands pas !…

           « Déchristianisez la France ! »… L’Eglise qui souffre d’un manque cruel de prêtres, aggravé par un renouvellement plus que parcimonieux, n’encourage guère les vocations… Les chiffres publiés par la Conférence des Evêques de France (CEF) sont consternants et témoignent des ravages du Concile Vatican II qui a causé la déchristianisation de nos sociétés : le nombre de prêtres catholiques en France a  presque été divisé par deux en vingt ans, passant de 29.000 prêtres diocésains et religieux en 1995, à environ 15.000 en 2015.

           En 2016, selon les chiffres publiés par la CEF, 79 nouveaux prêtres  diocésains et 18 religieux ont été ordonnés, soit moins de cent ordinations pour toute la France.

           En 2017, l’Eglise Catholique a ordonné 117 prêtres (84 prêtres diocésains et 33 venant de communautés religieuses..

           En 2018, selon un décompte de La Croix, ils n’étaient plus que 114.

La tendance générale est une baisse des vocations françaises de 1 à 2 par an.

           « On manque de vocations… Quand on ordonne 100 prêtres par an et qu’il en meurt 800 par an pour le territoire français, c’est évident ». Ces mots de Mgr Bernard Podvin, ex porte-parole de la Conférence des évêques de France, expriment l’effondrement des vocations sacerdotales au sein de l’Eglise conciliaire.

           Les appels –pour le moins naïfs- de cette église à « l’accueil des migrants », la « fraternité », le « vivre ensemble », ainsi que ses logorrhées troublantes du « pas d’amalgame » exaspèrent les fidèles qui désertent désormais  les offices religieux… A cela s’ajoutent, sans réciprocité, les actions généreuses à l’égard de l’islam comme la livraison, entre autres de biens immobiliers…

           Et pendant que les églises restent vides (colonisées de temps en temps par des grévistes de la faim, des réfugiés, des demandeurs d’asile qui iront plus tard grossir les régiments des fidèles dans les mosquées), ces mêmes mosquées ne  désemplissent pas et débordent, à tel point que les fidèles occupent également les rues…

           Il est grand temps que nos hommes politiques et les autorités catholiques mettent un terme à un angélisme mortifère qui encourage l’extension de l’islam dans notre pays !... Il est grand temps de voir apparaître dans nos églises et nos évêchés un clergé qui, comme autrefois à Lépante, forme une armée priant aux côtés de  l’armée combattante avec la volonté commune d’empêcher l’invasion.

           « La prétention qu’a le terrorisme d’agir au nom des pauvres est une flagrante imposture ! » s’était écrié Jean-Paul II à propos de l’exploitation de cette « misère » dont se repaissent tant les islamistes que la bien-pensance française

           On peut imaginer que les pontifes sacerdotaux, moralistes par excellence, n’ont guère apprécié cette annonce pleine de bon sens qui va à l’encontre de celle du Pape François quand celui-ci exprime effrontément son mépris pour la culture qui fait les peuples en évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture : « les racines de l’Europe sont si nombreuses qu’elles ne sont pas chrétiennes ». En clair : « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants ».

           Ce pape argentin ignore que c’est depuis le second siècle que notre pays est évangélisé et que la Gaule est officiellement chrétienne depuis le 13 juin 313, date de l’édit de tolérance de Milan (ou édit de Constantin) par lequel l’empereur Constantin légalise le christianisme. Par ailleurs, ses lacunes au sujet de la christianisation de l’Europe s’avèrent évidentes dans la mesure où il ignore totalement que le peuple chrétien européen est né lors du pacte de Reims dans la nuit de Noël 496 lors de la conversion de Clovis, roi des Francs, au christianisme.

           De ce Palais d’où il ne peut percevoir la misère humaine, notamment celle des chrétiens d’Orient, le pape François a une vision très personnelle de la réalité… Il feint d’ignorer que les terroristes qui ensanglantent actuellement le monde sont  musulmans et qu’ils tuent au nom de l’islam…

           Les assassinats à grande échelle sous les formes les plus diverses et variées : du coup de hache au camion tueur lancé sur la foule, en passant par le couteau, la kalachnikov et la bombe, ensanglantent l’Europe, mais n’ont pas pour lui  la même  résonance que « la misère des réfugiés »…

           « La cause du terrorisme est dans l’islamisme et la cause de l’islamisme dans l’islam ». Le président musulman de l’Égypte, le maréchal Sissi, le dit et le journaliste et analyste musulman Mohamed Sifaoui, le répète. La négation de cette vérité est une injure faite aux chrétiens du monde entier !

           Le 29 juillet 2016, de Cracovie où il présidait les JMJ, le pape François a déclaré que « le monde était en guerre, mais que ce n’était pas une guerre de religion (sic) »…

           Ceux qui massacrent et égorgent des prêtres en hurlant « Allah Akbar », comme il y a un siècle leurs pareils exterminaient les Arméniens et autres chrétiens -et comme il en a été si souvent dans l’histoire de l’islam- ceux-là sont des fanatiques de l’idéologie religieuse mahométane et, à l’égal de leurs aïeux, n’ont de cesse de prôner « la guerre sainte »… mais, pour le pape, « ce n’est pas une guerre de religion ». Pourtant, il ne saurait ignorer (lui qui a une prédilection particulière pour l’islam) certains préceptes du Coran quand celui-ci ordonne : « Si vous rencontrez des infidèles, combattez-les jusqu’à ce que vous en ayez fait un grand carnage ; chargez de chaînes les captifs » (XLVII, V4)… et encore : « Les chrétiens, les juifs et les idolâtres seront jetés dans les brasiers de l’enfer. Ils y demeureront éternellement. Ils sont les plus pervers des hommes » (XVIII, V5).

           Concernant la provocation à la discrimination et à la haine des non-musulmans : « Les infidèles ne sont que souillure » (S.9v28)… « Les juifs et les chrétiens, qu'Allah les maudissent » (S.9v30)

            Le pape François est-il naïf au point d’ignorer ce genre de versets ? Est-ce qu'un texte, sous prétexte qu'il sert de référence religieuse, a le droit de véhiculer les idées les plus abjectes et les plus contraires à la foi chrétienne et à la démocratie ? En vérité, le Pape et ses proches collaborateurs savent parfaitement tout cela mais rien ne les fera changer d’avis ni de trajectoire : l’Église catholique a lié son sort à l’islam et, subrepticement, sombre dans la déchéance…

           Après avoir lavé les pieds de musulmans –ce qui prouve, à l’évidence, que le pape ignore tout de la symbolique de son geste qui sera vu par l’islam, comme un geste de soumission et non un geste d’humilité- ; après en avoir ramené douze de  Syrie au détriment de familles chrétiennes persécutées et complètement ignorées, quand donc ce pape « libéral » et pro-immigrationniste demandera-t-il aux chrétiens de se convertir à l’islam ?

           « Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme mondialiste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multiculturel sans barrières et sans frontières. »

           Et, pour parfaire cette analyse, rappelons ce quedéclarait, le 24 février 2018, à « Réinformation.tv », cet admirable prêtre combattant qu’est l’Abbé Guy Pagès : « En renonçant à se présenter comme la seule vraie religion, la religion catholique rend inaudible son propre message et se fait la servante de l’islam » 

           Dans ses « Pensées », en guise d’oraison, le grand chrétien qu’était Blaise Pascal de dénoncer (déjà) le silence de l’Église catholique en ces termes : « Le silence est la plus grande persécution. Jamais les saints ne se sont tus »… d’où ce cri de colère de l’abbé Bouchacourt, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, qui n’hésite pas à dénoncer l’angélisme mortifère des autorités politiques et religieuses : « Combien faudra-t-il de nouvelles victimes pour que la chrétienté sorte enfin de sa torpeur ? » (… et réagisse ?)

           Alors, si l’Occident chrétien décidait d’éradiquer à jamais ce poison islamiste, puissions-nous dire, à l’instar de Chateaubriand : « Il a fallu que le Christianisme vînt chasser ce peuple de fauves, de satyres et de nymphes, pour rendre aux grottes leur silence et aux bois leur rêverie ».

José CASTANO

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Voir la 1ère partie de cet article : Le rôle de l’Église dans la guerre d’Algérie

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Cliquez sur : L’Église et la violence en l’islam : le déni du pape François

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et sur Quand la soumission à l'islam ne dit pas son nom... Islam & Vérité

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Revoir   Mon blog      /      Ma biographie

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22 mars 2019

MARGUERITE LOMBARD

Notre ami le Docteur Jacques LARMANDE, nous fait part du décès survenu à Nice, de sa tante Marguerite LOMBARD, héroïne du combat pour l'Algérie Française.

Marguerite Lombard

A l'âge de 41 ans, Professeur de Grec, elle fût interrogée par les barbouzes de la Caserne des Tagarins à Alger...

Arrêtée par le Colonel DEBROSSE, après avoir affirmé qu'elle ne répondrait pas, quelqu'en soient les moyens, elle a échappé aux tortures de cette "Mission C", contrairement à Madame Geneviève SALASC, Sauveur COSTAGIOLA, Jacques ZAJEC, et tant d'autres...

Condamnée à 3 ans de réclusion, elle a purgé ses 3 ans (plein) à la Petite Roquette, puis à Fresnes... A cette époque les "remise de peine" et soutiens psychologiques n'étaient pas encore à la mode...

Ses obsèques seront célébrées à Nice, en l'Église Saint-Pierre-d'Arène  à Nice (06000) à 09 H.30, le samedi 23 mars 2019,

Son corps reposera à l'Athanée Saint Augustin de Nice à partir de mardi matin 19 mars...

Elle était Membre d'Honneur du Cercle algérianiste de Nice, et Vice-Présidente de l'ADIMAD pendant 15 ans...

Marguerite LOMBARD, était un exemple! Elle était toujours volontaire pour les déplacements du CNN19M1962, et pour la recherche de la Vérité Historique...

Ne l'oublions pas!


Du Cercle algérianiste national groupe

Madame Marguerite LOMBARD née TOUSSAINT, professeur de grec, 41 ans en 1962,  nous a quitté à 99 ans, elle fut Résistante de l' OAS pour que l' Algérie reste française.

Marguerite Lombard jeune

Honneur à tous les résistants de l' OAS. Ni oubli, ni pardon.

Chère Marguerite, votre modestie allait de paire avec vos convictions jamais reniées, vous avez accompli votre devoir avec un grand courage, vous avez été condamnée à l' âge de 41 ans à trois ans de détention dans les prisons gaulardes de la Petite Roquette et de Fresnes, après votre libération vous avez oeuvré dans les rangs de l'ADIMAD pendant 15 ANS.

Dans le livre écrit par Vincent Quivy, "LES SOLDATS PERDUS" Des anciens de l' OAS racontent, Marguerite LOMBARD née TOUSSAINT s'exprime : "Le temps n'a rien éffacé pour moi, la page n'est pas tournée. Il y a certaines choses qu'on ne peut pas oublier." "Tous ont gardé vis à vis de cet engagement un attachement profond. S'il n'a souvent duré que quelques mois, il a été total, et de ce fait, a bouleversé les existences. Le goût amère de l'échec, l'incompréhension, les longues années de prison, d'exil ou de clandestinité, ont contribué à cristalliser les sentiment et les idéaux."

REPOSEZ EN PAIX MARGUERITE, nous ne vous oublierons pas.

Retour "IN MEMORIAM"

22 mars 2019

HOMMAGE AU GÉNÉRAL SALAN

         Je vous prie de bien vouloir prendre connaissance de l'invitation relative à la cérémonie en hommage au général Raoul SALAN qui se déroulera, mardi 26 mars, à 33660 Saint-Seurin sur l'Isle.

         Contact : mairie@stseurinsurlisle.com  

Mairie de Saint-Seurin sur l'Isle - Espace Charles De Gaulle - BP 26 - 33660 Saint-Seurin sur l'Isle - Tél 05 57 56 01 01 - Fax 05 57 56 01 09

         En vous remerciant

         Amitiés patriotiques

         José CASTANO

Hommage au général Raoul SALAN

 

Hommage au général Raoul SALAN repas

Réservation avant le 20 mars

Dominique PERRICHON – 66, route de Bordeaux – 33660 ST SEURIN SUR L’ISLE – Tel. 06.83.69.77.12

Retour à toutes les commémorations.

7 mars 2019

56ième ANNIVERSAIRE DE L'EXÉCUTION DE JEAN BASTIEN-THIRY

Chers amis,
   Veuillez trouver ci-joint l'invitation aux manifestations organisées par le Cercle JBT pour le 56 ème anniversaire de l'exécution de Jean Bastien-Thiry

   Merci de bien vouloir diffuser.    Avec toute notre reconnaissance pour votre fidélité au souvenir de Jean Bastien-Thiry,

           Hélène Bastien-Thiry

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 Retour "C.N.R."

 

1 mars 2019

QUE JUSTICE SOIT RENDUE

Par José Castano

« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » (Léon Trotski – « Leur morale et la nôtre »)

            Il n’est pas un jour où médias et politiques ne cessent de s’interroger sur la conduite à tenir au regard des criminels français de l’Etat islamique détenus en Syrie. Les uns voudraient qu’ils soient jugés sur place  tandis que les autres prêchent pour un retour en France dans le but de les juger, les emprisonner… puis de les relâcher un jour ou l’autre…

           Il y a aussi les femmes, sortes de Belphégor remisé au goût islamiste, empêtrées dans leur marmaille bâtarde qui, sans le moindre remords pour leur sinistre participation à ce génocide, tentent d’émouvoir –leur bébé dans les bras- les « bons samaritains », éternels idiots utiles des « droits de l’homme »…

           Dans un « manifeste des intellectuels français pour la résistance à l’abandon de l’Algérie française » (soutenu par le Maréchal Alphonse Juin) on pouvait lire dans le Figaro du 7 octobre 1960 : « C'est une des formes les plus lâches de la trahison que d'empoisonner, jour après jour, la conscience de la France ». Rien n’a changé depuis…

           Comment gérer cette épineuse question ? Près de 2000 Français radicalisés ont combattu en Syrie et en Irak sous le drapeau de Daech depuis 2014. 450 seraient morts et 300 seraient déjà revenus en France. Et les autres ? Que fait-on d’eux ?... Les emprisonner ? Où les mettrions-nous dès lors que nos prisons sont surpeuplées ?... Les juger sur le lieu de leurs forfaits ? Il faudrait pour cela que Syriens et Irakiens en acceptent  l’augure… sachant que s’ils les condamnaient à mort, la France s’opposerait à leur exécution. Sur ce point, le 27 février 2019, sur BFMTV, la Garde des Sceaux Nicole Belloubet, a rappelé la position française : « Il y a une limite. Notre pays n’accepte pas la peine de mort. Si tel est le cas, nous interviendrions pour demander que cette peine ne soit pas exécutée. C’est une condition sine qua non ». Le problème reste donc entier dans la mesure où, ni la Syrie, ni l’Irak, ni les Kurdes ne sont en mesure de gérer indéfiniment ces prisonniers qui, par la force des choses, recouvreront très vite leur liberté…

            Alors, si la décision de trancher entre ces options s’avère difficile pour nos gouvernants, il existe une troisième voie qui résoudrait leur problématique : l’exécution, sur place, de ces djihadistes !

            Durant quatre années, nos forces spéciales se sont –dans le cadre de la coalition et au péril de leur vie- évertuées à traquer les criminels, les localiser et les éliminer. Ce n’est un secret pour personne. Dès lors, s’il était permis de les tuer durant ce conflit, pourquoi leur accorder la vie aujourd’hui et leur permettre de reprendre, bientôt, leur terrifiant djihad ?

           Il y a maintes façons d’exécuter un prisonnier… la plupart du temps dans la discrétion la plus absolue. Les militaires de toute nationalité connaissent parfaitement cette notion. Donnons à nos soldats la possibilité d’éradiquer définitivement ces prédateurs, ennemis de toute civilisation !... Seulement, voilà ! Comme l’a souligné notre ministre : « Notre pays n’accepte pas la peine de mort »… Alors, que faire ?

           Lors de son entretien sur BFMTV, Nicole Belloubet a indiqué son intention d’assurer aux djihadistes français « un minimum de droit à un procès équitable. Nous veillons à ce que les droits de la défense soient assurés »… et de rappeler que « les Français concernés bénéficient de la protection consulaire ». Dans ce cas, comment venir à bout de ces monstres qui se renouvellent perpétuellement en puisant leur force dans notre faiblesse ? Comment peut-on appeler autrement cette pourriture humaine qui exhibe la tête de sa victime en guise de trophée ? Que viendrait-il faire dans une prison française 5 étoiles si ce n’est attendre patiemment de recouvrer la liberté pour donner libre cours à ses pulsions barbares ? A-t-il accordé, lui, « un minimum de droit » à ses victimes ?

 José CASTANO

1 Ce monstre mérite-t-il de vivre ? Quels furent « les droits » de ses victimes ?

2 Chrétiens Coptes Décapités 15-02-15

« Une injustice commise quelque part est une menace pour la justice dans le monde entier » (Martin Luther King)

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