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13 novembre 2020

PIRE QUE BENJAMIN STORA

ET EN PRIME SUBVENTIONNEE PAR LE MINISTRE DES ARMEES !

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Avons-nous touché le fond ? Je crains hélas que non !

          Qui ne connait déjà les reptations d’un Benjamin STORA, afin de complaire au mieux aux thèses ultranationalistes du FLN, de plus en plus renié et maudit par les Algériens !

         Au moins, STORA n’en arrive-t-il pas à gommer certaines réalités inhérentes à l’écriture de l’histoire de l’Algérie, telles que l’importance du peuplement dit européen, où l’existence d’imposantes franges de populations réfractaires au discours nationaliste et plus particulièrement à la vulgate arabo-islamique.

         Rien de tel avec une certaine ou incertaine Cyrielle Le MOIGNE-TOLBA dont le seul titre de gloire jusqu’alors consiste à se proclamer, «rédactrice en chef adjointe», d’un magazine intitulé : « Ca m’intéresse. HISTOIRE ».

3

         De la page 28 à la page 45 du numéro 63 de cette revue - novembre-décembre 2020 (sans compter la page de garde et l’introduction éditoriale) est étalée impudiquement une rhétorique haineuse où toute considération dissonante est rigoureusement bannie.

         J’ai cherché en vain les termes « harki » et « pied-noir ». C’est dire ! Et pourtant pour tout esprit critique, au terme même d’un véritable bourrage de crâne, certaines interrogations ne peuvent que poindre !

Exemples :

-       Page 44 et 45, la France (quelle horrible marâtre !) est censée cacher « ses métis des colonies ». Pourtant l’un d’entre eux, Gabriel DARBOUSSIER, est si peu caché qu’il est devenu député du GABON (page 33) ! Œuvrant pour l’abolition du travail forcé et artisan de l’émancipation – sans pour autant que cela débouche sur l’indépendance – il eut une action majeure dans l’histoire de l’Afrique française, co-fondant en 1946 le Rassemblement démocratique africain –, la souveraineté française ne signifiait nullement infériorisation des personnes de couleur, sinon comment expliquer la photographie au premier plan (page 38) de Félix EBOUE, gouverneur général de l’Afrique Equatoriale Française (A.E.F.) !

-       Page 31, les chantres plus ou moins lyriques de la décolonisation sont bien obligés d’admettre que des « autochtones » tels SINGHOR, HOUPHOUET BOIGNY, M’BA rêvent d’égalité plutôt que d’indépendance ! Au passage est gommée l’existence de plusieurs personnalités de premier plan, (telles le centre-africain Barthélémy BOGANDA, assimilationniste ou le bâtonnier Ali CHEKKAL, qui plaida la cause de l’Algérie française à la tribune des Nations-Unies, avant de tomber sous les coups de feu d’un terroriste tueur du FLN au stade de Colombe, sous les yeux même du président René COTY).

-       Page 42, est très brièvement relevé le fait qu’à Mostaganem, le 6 juin 1958, DE GAULLE termine son discours en s’exclamant : « Vive l’Algérie française ». Cela fut d’autant plus remarquable que ce jour-là, la foule était à forte dominante musulmane. En devisant, 60 années après, dans le hall de la gare de Colmar, avec un Algérien originaire justement de Mostaganem, je me rendis compte que cet épisode avait profondément marqué l’inconscient collectif de la contrée en question !

Mais de tout cela, la TOLBA et ses acolytes n’ont cure.

         Ce qui leur importe avant tout, après une curieuse introduction du sujet par une bien franglaise exclamation « USUAL SUSPECTS », façon de bien marquer son profond mépris envers notre pays, c’est de taper constamment sur la France en suintant de toute la haine qui l’habite.

         Elle devrait faire l’objet, pour le moins, d’un rappel à la loi, mesure judiciaire que j’exige toujours à l’encontre de Camomille JORDANA et Fatima ZIZANIE, susceptibles, si elles ne change pas de comportement, d’être l’objet d’une déchéance de nationalité.

         Le plus consternant dans cette affaire, est que ladite TOLBA (1) fasse implicitement l’objet de l’approbation de Florence PARLY - ministresse des armées  -, une pub pour le musée de l’armée sis aux INVALIDES (2) s’étalant pages 3 et 4 de la couverture !

         Il me serait fastidieux de répliquer à toutes les insanités qui s’étalent au fil des pages incriminées, au nom d’une drôle de liberté d’expression à sens inique, plus encore qu’à sens unique !

         Pour l’honneur du pays, il faut une protestation énergique, en particulier contre l’assertion, par exemple page 43, qu’il y avait 50 % de mortalité infantile dans les camps de regroupement – c’est-à-dire qu’un enfant de moins d’un an sur deux y meurt - ! C’était donc une armée française de divisions SS, façon TOTENKOPF (l’inspecteur Stéphan DERRICK en moins). Dans ces conditions, qu’attend-t-on pour exiger de la France qu’elle indemnise l’Algérie sur la base du terrible préjudice que celle-ci a subi du fait du crime, assurément contre l’humanité, infligé par l’armée française.

Au surplus, tous les stéréotypes accablant notre pays sont consciencieusement assénés :

-       Bilan des crimes de l’OAS à la une de l’Humanité du 8 mai 1962 (rien bien sûr sur la rue d’Isly à Alger le 28 mars 1962, rien sur Oran le 5 juillet 1962, rien évidemment sur le génocide des harkis) ;

-       En 1956 déjà dans une tribune du Monde, Henri MARROU, professeur à la Sorbonne, qualifie sans équivoque le comportement de l’armée française à l’aune de celui de la Gestapo. MARROU mais assurément pas très MARRANT ! (3)

         Le musée de l’armée française aux Invalides sera-t-il rebaptisé musée de la GESTAPO ?

Autres suggestions :

         Panthéonisons Gisèle ALIMY, propagandiste de l’avortement et avocate hystérique des pires hyènes du FLN.

         N’oublions surtout pas d’ajouter au lot, René VAUTIER (4) dont notre Cyrielle TOLBA ose faire le plus grand cas, camarade indéfectible du plus lourdingue des négateurs de la SHOAH (5).

         Il ne reste plus qu’à ajouter à ce tableau d’honneur ou d’horreur Mohammedi SAID, ancien SS, plus tard ministre des Moudjahidines de la République Algérienne Démocratique et Populaire, quel magnifique  parcours !

Jean-Michel WEISSGERBER,

Défenseur historique de la communauté harkis depuis un demi-siècle. Soutien indéfectible des rattachistes Algériens et Anjouanais

Colmar le 9 novembre 2020

Renvois :

(1) j’ai connu, il y a un peu plus d’un quart de siècle deux frères TOLBA, fils de harkis, qui, brimés en Algérie du fait de l’attitude de leur père, œuvraient pour rejoindre leur mère patrie, la France ! J’ose espérer que la Cyrielle n’a rien à voir avec la communauté que je m’honore de défendre.

(2) Les Invalides seraient-ils désormais dirigés par un général à la tête de bois !

(3) Ou MARAN, René MARAN prix Goncourt en 1921, antillais administrateur de la France d’Outre-Mer, tout aussi noir que ses administrés ou que Félix EBOUE.

(4) J’ai assisté au procès intenté par les Pieds-Nickelés de la décolonisation, René VAUTIER, Olivier LECOUR-GRANDMAISON et Mehdi LALAOUI, à la vaillante et ardente patriote Claudine DUPONT-TINGAUD devant la 17e Chambre correctionnelle, ceci il y a une dizaine d’années. Je me flatte d’avoir assisté à la déconfiture de ces drôles de zèbres.

(5) Au moins RASSINIER et FAURISSON ont-ils fait l’objet de considérations de la part de VIDAL-NAQUET et WELLERS qui, sans être véritablement amènes, s’avéraient plus flatteuses que toutes celles émises à l’encontre du très pesant RAJA GARAUDY successivement protestant, communiste, athée, catholique et en fin de compte islamiste. Il n’a obtenu des éloges évidemment dithyrambiques que dans certains pays arabes ! L’on devinera aisément pourquoi ! GARAUDY et VAUTIER se soutenaient avant tout parce qu’ils se valaient et étaient de la même étoffe dogmatique et stalinienne. Et c’est ce même VAUTIER que la TOLBA ose proposer comme une lumière du combat dit anticolonialiste, éclairant la souffrante humanité, victime du joug de l’armée française.

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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12 novembre 2020

REFUS DE TOUTE REPENTANCE POUR 17 ASSOCIATIONS

POUR LE FUTUR 60ièm ANNIVERSAIRE DE L'INDÉPENDANCE DE L'ALGÉRIE
COLLECTIF DES FRANÇAIS RAPATRIÉS D’ALGÉRIE ET LEURS AMIS
CONTRE LA REPENTANCE

Paris, le 10 novembre 2020

        Cher(es) ami (es)

L’heure est grave !

       Le soixantième anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie aura lieu en 2022 et la préparation des cérémonies officielles entre les deux pays ont commencé.

       L’année 2022 sera également l’année de l’élection présidentielle dans notre pays et les différents candidats auront à cœur d’attirer vers eux le plus grand nombre de voix, quitte à utiliser la démagogie du « politiquement correct » envers certains électeurs.

       Il est à craindre que pour ces raisons de diplomatie franco-algérienne, de politique intérieure et d’idéologie, les déclarations et discours officiels qui seront prononcés à cette occasion ne tiennent pas compte de la réalité des 132 ans de la présence française sur le sol algérien et aillent inexorablement dans le sens d’une repentance larvée insupportable.

       Nous ne devons pas l’accepter et agir afin que la réalité de notre histoire soit reconnue, en particulier par Monsieur le Président de la République Macron. Nous le devons en mémoire de toutes celles et ceux qui reposent en cette terre d’Algérie qui était nôtre ainsi qu’à nos enfants et petits-enfants pour qu’ils soient fiers de notre œuvre en Algérie.

       Pour ce faire nous vous demandons de signer individuellement le courrier joint à cette lettre et de l’envoyer en pli simple non affranchi à l’adresse indiquée ci-dessous, tout en vous recommandant également de le diffuser le plus possible autour de vous, parents, amis et sympathisants.

LETTRE DES FRANCAIS RAPATRIES D'ALGERIE_Page_1

LETTRE DES FRANCAIS RAPATRIES D'ALGERIE_Page_2

LETTRE DES FRANCAIS RAPATRIES D'ALGERIE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

              Par cette action nous pouvons changer le cours des choses ! Comptant sur votre mobilisation dans cette action commune, nous vous assurons cher(es) ami(es) de tout notre dévouement.

Le courrier joint est à adresser après signature pour un effet de masse, entre le 15 et 20 novembre 2020

COURRIER JOINT

À adresser sous pli non affranchi à l’adresse suivante : Monsieur le Président de la République

Palais de l’Elysée

55 rue du Faubourg Saint-Honoré

75008 Paris

Le Président de la MAFA La Présidente du GRFDA

Jean Félix VALLAT Colette GRATTIER DUCOS ADER

Retour à tous les communiqués

8 novembre 2020

REPONSE A L'ÉTUDIANT EN HISTOIRE * ORAN 1962 *

En cette période de confinement je me trouve interpellé par un correspondant chercheur étudiant en Histoire sur une position que j'aurai exprimée à propos des massacres du 5 juillet 62 à Oran et de citer Extrait de l'excellent ouvrage" Oran, 5 juillet 1962 – Leçon d'histoire sur un massacre ", de Guy Pervillé, publié aux éditions Vendémiaire, 2014. "<<<<La thèse de Jean-François Paya est encore plus hasardeuse quand il persiste à supposer que l’attitude passive des forces françaises le 5 juillet à Oran s’expliquerait par ce qu’il appelle un « deal » entre le gouvernement français et Ben Bella ou Boumediene, le premier laissant les seconds rétablir l’ordre à Oran en échange d’une reconnaissance des accords d’Évian. Cette hypothèse audacieuse a été clairement démentie par les documents du Comité des affaires algériennes publiés par le général Faivre*** en 2000.(voir leur diffusion  postérieure au 5 juillet 62) *  Hommage à Maurice Faivre qui vient de disparaitre *

Soucieux de répondre à la question et encore lucide à 87 ans je précise que je n'ai jamais voulu exprimer cela ainsi ;Sur un “DEAL” ALN extérieur / Pouvoir Gaulliste mais nous avions précisé “de Facto
> Difficile de prouver le “deal” mais tout se passe comme si ! les effets justifiant la cause ! c'est ce qui compte en histoire il n'y aura jamais d'archives pas de contrat signé bien sur !

Oran 5 juillet 1962
(L'ordre de consigner les troupes arrive la veille alors que Katz avait prévu dans une directive no 99 du 20 Juin l'intervention possible des troupes "en cas de légitime défense de nos ressortissants"après l'indépendance (document cité) ce qui paraissait élémentaire pour une armée sur place* Non vaincue !

Pour la vérité j'ai toujours souligné l'étrange concomitance entre cette consignation et la sorte d'émeute provoquée à Oran contre les européens (voir provocationci dessous *** alors que nos services biens au courant de la situation)le documents du Comité des affaires algériennes tenu justement A/M ce 5 juillet cité par G Pervillé ne fut diffusé P/O qu'une semaine après ! stipulant "une stricte neutralité entre les factions Algériennes "(où"est le démenti"?) d'autre part une non intervention en faveur de qu'elle faction ? (simplement protection de nos ressortissants )mais plutot fait le jeu à priori de l'ALN d Oujda lui laissant le beau role de"rétablir l'ordre en laissant débuter les massacres ; mais La hantise de l’EM d’Oujda était que se crée à Oran de facto avec Mers el Kébir une enclave Européenne et la volonté de chasser le maximum d’Européens avait été affirmé au congrès de Tripoli après les accords d’Evian sous la pression de l’ALN extérieure (avant la destitution de l’EMG et de Boumediene par le GPRA ).qui devait étre dispersée dans les willayas d'origines !(intervention non prévue par acc* Evian)


Donc besoin de l 'accord des putchistes ALN d 'Oujda opposés a certaines clauses d’ Evian ; mais présumés "plus à l'ouest" moins influencés par les soviétiques ;selon certains de nos services abusés ; pour garder les bases militaires et d 'essais: aucune raisons spécifiques pour Oran, si non des généralités valables pour toute l 'Algérie pour un massacre "spontané"(alors que le film de JP Lledo et autres études dont celles docteur Vétillard nous apprennent qu'aucun ne le fut ! tous prémédités et provoqués (y compris pour une répréssion unificatrice souhaitée !)

***Provocation Enregistrements de Monseigneur Pierre BOZ (ci joint) en poste à Oran où en 1962 il sera l'assistant de Monseigneur Lacaste évêque d'Oran dirigeant du secours catholique. il participe à des négociations avec un représentant officieux des autorités Française M Soyer, afin de faciliter le départ des commandos de l'OAS-Oran dont une partie quitteront Oran, à bord du bateau le «Ville d'Alger» à destination de Marseille, déguisés en brancardier de la Croix-Rouge.(négociations en rapport de force suite à l'incendie intentionnel des cuves mazout du port. Le 05.07.1962 le RP BOZ est présent à Oran, il vivra les massacres des Français d'Algérie et des Musulmans par le «FLN» dans cette ville

Enregistrement monseigneur Boz du 05 07 2006

MERCI POUR CES ENREGISTREMENTS TRÈS PRÉCIEUX (du 2006/7/05) dommage pas obtenus plus tôt mais pas utilisés pour le film de GM Benhamou ils démontrent une fois de plus qu'il y a bien eu le 5 juillet un coup monté (rumeur propagée FLN “retour commandos OAS”) provocation pour exciter la foule musulmane avec les tirs du FLN dont nous avons parlé et confirmation des massacres et désordre pour faire intervenir l'ALN extérieure ralentie par manque de logistique !

Bien d'autres témoignages existent (voir in fine°)

Aujourd’hui dans nos messages précédents nous avons ce même débat avec des références rétroactives et le fait qu'on prenne  les circonstances pour les causes et le “gel” des troupes françaises pour une "pseudo neutralité" alors comme nous l'avons démontré ce fait avantage le clan « ALN OUJDA » du moins de facto.

Plusieurs auteurs dont Jean François Paya cité sont partisans et démontrent que les désordres et le massacre d'Oran furent provoqués intentionnellement par la fraction dissidente (par rapport au GPRA) du FLN/ ALN venant du Maroc pour jouer “les pompiers pyromanes” pour saboter la manifestation populaire commanditée par les partisans du GPRA :pour ne citer que les suivants l'historien de "l'histoire du FLN" Gilbert Meynier non démenti par son coauteur Mohammed Harbi, les divers journalistes d'investigation à Oran dont le précurseur Etienne Mallarde, GM Benhamou, Le père Delaparre témoins à Oran, Guy Pujante (sur la "préméditation") Geneviève de Ternant "agonie d'Oran" ) Le sociologue historien Bruno Etienne:,(qui cite le groupe ALN venant du Maroc du village de “Dar El Kebdani ”où était hébergé A Bouteflika !et surtout l'historien J jacques JORDI ("Un silence d'État") qui a eu accès par dérogation à des Archives Capitales (encore protégées à 60 ans !)

Sans parler des recherches du cinéaste oranais JP Lledo: et des évocations prudentes d'autres historiens qui attendent toujours des preuves flagrantes ? le problème évident est que il s'en tiennent à une manifestation de foule avec massacres spontanés on estompe les responsabilités et la notion de crime génocidaire, certains même cherchant les responsabilités du côté des victimes.!!

Le communiqué de l'état-major général de l'ALN diffusé au matin du 5 Juillet aux cadres ne fait aucune référence à cette journée comme historique. Sur 3 pages, il explique pourquoi le GPRA qui l'a dissous "a failli à sa mission en bafouant la légalité sur tous les plans" après une référence appuyée aux accords d'Évian! Il cite la date du 1er Juillet "où le peuple s'est prononcé" comme historique proclamant que le GPRA "est incapable de maintenir l'ordre".
Il se propose de le faire en allant "protéger la minorité Européenne" alors qu'on ne sait pas encore ce qui se passe à Oran! Ce qui démontre avec d'autres éléments relevés à posteriori s'il en était besoin le "coup monté" de toutes pièces

VOILA POUR NOTRE REPONSE INTANGIBLE ***

  • FIN DU SYSTEME BOUTEFLIKA en ALGERIE AVEC TEXTE INTEGRAL du communiqué originel de la prise de pouvoir par l'ALN extérieure d'Oujda du 5 Juillet 1962 à ORAN
  • 1er texte du nouveau pouvoir (secrétariat ALN A *Bouteflika)

BIEN CORDIALEMENT JF PAYA en service à la base Marine  de Mel Kébir jusqu'à fin 64 *

http://popodoran.canalblog.com/archives/2019/04/05/37237244-p50-0.html#comments

Plus de détails et d'informations

LA LIBRAIRIE PIED NOIR

Cliquez sur ce lien pour consulter une enquête poussée sur le sujet:

http://fr.calameo.com/read/0002846255ab594028a60

 Nos livres sur le Massacre du 5 juillet à Oran :

 “Oran 1961-1962, journal d'un prêtre en Algérie” du Père Michel de Laparre de Saint Sernin

“Oran, 5 juillet 1962. Leçon d'histoire sur un massacre” de Guy Pervillé

“Oran, 5 juillet 1962. Un massacre oublié” de Guillaume Zeller

“La tragédie dissimulée. Oran, le 5 juillet 1962” de Jean Monneret (Voir son remarquable relevé des archives Militaires)

“Le MOI du Général” de Jean-Pierre Brun

“Lettre à un père disparu” de Maurice Calmein ***  Rajouter "l Agonie d'Oran" 3 volumes précurseurs dés 1990 articles de Claude Martin;(Echo de l'Oranie) Geneviéve de Ternant et Jean-François Paya (présent en Oranie ce 5 juillet 62)sans oublier en 2011 l'Etude remarquable de JJ JORDI "UN SILENCE D'ETAT avec accès à des Archives inédites***

Retour ORAN LE 5 JUILLET 62 - CONCLUSIONS DU GROUPE DE RECHERCHES

Retour listes de tous les dossiers 5 juillet 1962

5 novembre 2020

MAURICE FAIVRE

Un grand monsieur vient de nous quitter, le général Maurice Faivre.

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Né le 19 mars 1926 à Morteau dans le Doubs, il était général et politologue français. Docteur en science politique, il est surtout connu pour ses ouvrages publiés sur la guerre d'Algérie

Entré très jeune dans la Résistance aux côtés de son père, soldat en Algérie où, avec son escadron, il aidera avec dévouement les populations de toutes confessions.

Rentré en métropole en 1963, il deviendra un ardent défenseur de la cause des Harkis, permettant notamment, en ignorant les consignes du ministre de l'Intérieur, le rapatriement des familles de nombre d'entre eux.

Il restera inlassablement aux côtés de tous les Français d'Algérie.

Un homme d'honneur... il était d'ailleurs Commandeur de la Légion d'honneur (2016)

Mais aussi

Croix de la Valeur militaire (1957)

Ordre national du Mérite

Vice-Président de la Commission française d'histoire militaire (1999), élu par 106 historiens civils et militaires

Membre de l'Académie des sciences d'outre-mer (2002)

Reposez en paix Monsieur.


 

DECES du Général Maurice FAIVRE

Une très triste nouvelle Le général Maurice Faivre n'est plus. Sa vie peut se résumer en trois mots : Français, Soldat, Chrétien.

Français il aimait sa Patrie de tout cœur. Encore adolescent, il fut aux côtés de son père dans la Résistance.

Soldat, il combattit pour la liberté en Algérie contre le terrorisme islamiste et ensuite face au totalitarisme soviétique au sein de nos Services de Renseignements.

Il s'efforça aussi de sauver ses harkis et de faciliter leur venue en France. Il fut indéfectiblement fidèle à l'honneur militaire qui commande de ne pas abandonner ses compagnons d'armes à l'ennemi.

Chrétien, il puisait en sa foi catholique l'énergie et la mesure indispensables à l'action. Ainsi fut-il dans son secteur en Algérie de ceux qui s’interdisaient la torture, comme d'ailleurs 90% des cadres de notre Armée. Il montra ainsi que, d'une situation complexe, on peut toujours tenter de sortir par le haut. Sans donner de leçons, sans condamner quiconque, sans tapage ou mises en cause spectaculaires, quotidiennement et fermement, il donna l'exemple. Un grand Monsieur nous a quittés ; il nous manquera beaucoup.

  Jean Monneret. Historien du GRFDA.

« Adieu Général,

C’est avec beaucoup d’émotion et une profonde  tristesse que. nous venons d’apprendre votre départ. Votre charisme, votre rigueur nous ont marqués.

Vous avez été à nos côtés depuis 2002 date à laquelle le GRFDA a pris  forme , nous accompagnant tout au long de ces années, véritable engagement que fut le votre, faisant connaître, éclater au grand jour la réalité de ce que fût la guerre d’Algérie pendant près de 8 années, réalité très souvent étouffée, tronquée, déformée, dénonçant un silence coupable particulièrement l’horreur des derniers mois marqués par les enlèvements dont furent victimes civils et militaires.

Ce combat permanent vous l’avez  mené dans des écrits, au cours de prises de paroles, de témoignages, participant activement à l’ouverture des archives relatives aux enlèvements survenus les derniers mois du dit : cessez le feu, ouverture tant attendue par les familles touchées par ces drames !

Merci Général Vous êtes toujours là, à nos côtés, vous avez droit à notre infinie reconnaissance comme à notre grande indéfectible et respectueuse affection.

Avec nos pensées respectueuses nous adressons à sa famille nos condoléances les plus sincères.

Geneviève Leblanc Astier et Colette Ducos Ader – familles de disparus.

NDLR : Je m’associe totalement aux écrits précités. Le Général FAIVRE, avec qui j’étais en contact, m’apportait souvent des précisions liées à son vécu en Algérie. C’est un grand Monsieur que j’ai beaucoup apprécié.

Jean-Claude ROSSO

 Retour "IN MEMORIAM"

1 novembre 2020

ENSEIGNANTS ASSASSINÉS PAR LE FLN / COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE

Le 1er novembre, celui de la "Toussaint rouge" de 1954.
Au Caire, la station de radio d'Etat "La voix des Arabes" annoncera que "la lutte pour la liberté, l'arabisme et l'islam a commencé". Au moins le message est clair, le soulèvement est essentiellement ethnique et religieux. Et cela porte un nom, le djihad. Révélateur, les rebelles s'appellent eux-mêmes, et sont toujours appelés en Algérie, des moudjahidine, des combattants de la guerre sainte. Mot d'ailleurs formé sur djihad.
Pourtant, lorsqu'après 8 ans de massacres non-stop, les Français d'Algérie s'exileront en métropole, l'opinion, majoritairement, les considèrera comme les principaux responsables...
Mais la roue tourne, pas assez vite encore... tous les yeux ne sont pas encore ouverts... LVD

"Évidemment les Français ont été choqués à juste raison. Je ne sais pas si c’est par ce que cet homme était professeur ou si c’est par ce qu’il a été décapité, mais cet attentat a eu bien plus de médiatisation que cet homme égorgé cet été à Romans devant son fils de 12 ans, comme s’il y avait des degrés dans l’horreur, ou comme si la vie de ce professeur, aussi sympa soit-il, avait plus de valeur que celle des deux jeunes filles égorgées sur la place face à la gare Saint-Charles à Marseille, ou celle du curé de Saint-Étienne-du-Rouvray ou de celle d’Hervé Cornara à Saint- Quentin-Fallavier, pour ne citer qu’eux. Ce professeur a donc eu  droit à un hommage national tel qu’en a décidé notre président de la République. Alors, que les choses soient bien claires, je ne suis pas en train de me plaindre, et loin s’en faut que cet homme ne méritait pas cet hommage. Je dis simplement que ceux que j’ai cités et ceux que je ne pouvais pas citer tant la liste est, hélas, bien  trop longue MÉRITAIENT TOUT AUTANT LE MÊME HOMMAGE et il ne faut surtout pas les oublier !" Patrick Jardin

Instituteurs et instructeurs des départements d'Algérie "Assassinés pour la France : 1954 - 1962"

Paru sur la revue "Trait d'Union N° 48, décembre 2000 
 
1954  
* MONNEROT Guy, assassiné à Tifefel (Aurès) le 11 novembre

1956  
* DUPUY Paul, de Montpellier est porté disparu le 7 janvier en Kabylie
* NICOLAÎ Jean-François, assassiné le 11 avril à Vieux Mila
* Mme PICHELIN du collège de Blida assassinée à la Chiffa en mai
* NAUDONT Norbert, assassiné à Sidi Bel Abbés le 9 octobre
* PONCELET Pierre-André, professeur de musique, grièvement blessé à ALGER le 27 octobre
* PEREZ Vincent, assassiné à Alger (20 ans) en novembre
* CHAROLLES, instituteur à Messad (Djelfa) assassiné avec sa femme et leur bébé
* ADDED Jacques, un jeune normalien, tué à Constantine, le 15 décembre
* SIROUR, instituteur, est enlevé près de Colomb-Bechar le 30 juin

1957
* HADDID Jacky, 20 ans, assassiné à Constantine en 1957
* Mlle ALCARAZ Lydie, égorgée à Mazouna le 8 mai 1957

1958
* ARCAMONE Antoine assassiné le 8 février 1958 près de Guelma
* CURTIL Jean, un jeune instituteur de Constantine disparaît en allant visiter les ruines romaines à proximité de la ville le 1 mai
* Mlle SCHNEIDER Nelly, égorgée à Mazouna le 8 mai
* Mlle MORAND France, assassinée près de Boufarik le 16 octobre
* TOUX Pierre, directeur, assassiné à Bugeaud le 9 novembre
* BIRAC Bertrand, directeur, assassiné à Blida le 10 novembre
* BARBERIS Bernard, 20 ans, assassiné à Mechtras
* ADDED Jacques assassiné à Constantine (4ème année d'E.N.)  

1959
* Mlle VALLE Antoinette, institutrice à St Cyprien les Attafs assassinée en octobre
* BACRIE Robert, instituteur assassiné en 1959 sur la route d'Aïn-Mokra (Bône)
* Mme FLAMENT, institutrice enlevée à Mirabeau le 1er décembre
* FLAMENT André, assassiné à Bouberak le 1er décembre
* CECCALDI Antoine, assassiné à Blida le 2 décembre
* GAUTIER Francis, directeur, assassiné à Souma le 2 décembre
 
 
1960
* Mme SENU, directrice assassinée à Rochnia le 30 janvier
* DAMPROBE, professeur au C.C. de Mac Mahon, assassiné le 16 juin
* CHOUKROUN Akli, directeur, assassiné à Sidi-Aïch

1961
* PIACENTILE Georges, assassiné à Oran le 25 juin
* GROUART DE TOCQUEVILLE Arnaud, instituteur à Kenchela, assassiné le 14 juillet
* BON Pierre, instituteur à Aïn Dakar (Sétif) assassiné le 7 octobre
* BENECH jean, assassiné le 21 octobre à Oran
* LUCCHINI Antoine, assassiné rue Darwin à Alger le 17 novembre
* TOUX Pierre, directeur, assassiné à Bugeaud
* VAISSADE, instituteur, Cité Ameziane (Constantine) assassiné
* CANILLAC Gérard Danielle assassiné à Kherba près d’Affreville
* ALEMANY-FERNANDEZ Danielle assassiné à Kherba près d’Affreville

1962
* COURVOISIER, "disparu" à Tlemcen début d'année
* TOUBAL Mahieddine, assassiné à Maison Carrée début d'année
* PALISSIER Armand, instituteur (20 ans) école Gambetta, assassiné le 10/01/62 à Alger
* DIAFFER Mohamed, directeur, assassiné à Birmandréis le 26 janvier
* BEYTOUT Jean-Pierre, assassiné le 3 février à Kouba  
* VIALA Marius, assassiné à Affreville le 19 février
* SEMBACH Marc, instituteur à Constantine, assassiné le 28 février
* ROUSSEAU Jean-Claude, 19 ans, assassiné à Maison Carrée en février
* FALZON Bernard, instructeur assassiné le 11 mars à Aïn Kerma
* Mme Vve HUGUES René, tuée rue d'Isly à Alger le 26 mars
* LAMENDOUR Gilbert, tué rue d'Isly à Alger le 26 mars
* LURATI Henri, tué rue d’Isly à Alger, le 26 mars
* Mme MESQUIDA Alfred, tuée rue d'Isly Alger le 26 mars 1962
* FIORE Gérard, 18 ans, "disparu" à Jemmapes le 26 avril 1962
* BORDES Lucien, 22 ans, assassiné en mars 1962 à Alger
* EMOURGEON Jean-Pierre, directeur, assassiné à Constantine en mars
* LLINARES Noël, directeur, assassiné à Alger en mars
* GARCIA André, 23 ans, disparu, le 28 avril
* Mme PEREZ Claude, disparue à Inkerman le 4 mai
* RUBIO José, "enlevé" à l'Arba le 17 mai
* GRIMALT jean Claude, "enlevé" à Belcourt Alger, mai
* COURIOL Jean, "disparu" à Rocher Noir le 11 juin
* SINTES Roger, "disparu" à Alger le 23 juin
* Mlle KOHLER Eliane, disparue Clos Salembier Alger, juin
* CINESTE Daniel, "disparu" (!) à Aîn el Turck le 5 juillet , instructeur, 19 ans.
* GARCIA Marcel, "disparu" à Oran le 5 juillet 1962
* PARDO Raymond, "enlevé" à Oran le 5 juillet 1962
* RUBIO Antoine, assassiné à Ain Témouchent le 5 juillet
* ULPAT Marcel de Vialar, assassiné à Oran le 5 juillet
* LESCALIER Guy, "disparu" à Misserghin (Oran) le 6 juillet
* CHILLAUD Claude, "disparu" à Boufarik le 30 juillet
* WOLF Henri, directeur, assassiné à Oued-Fodda en juillet
* BONAMY Gérard, "disparu" à Birkadem le 2 août
* Mme ROBERT, institutrice assassinée à Montgolfier avec ses 2 enfants de 3 et 5 ans le 6 septembre
* PISSIS Henri, "disparu" à Hassi-Messaoud le 11 septembre
 
DATES inconnues ?
BOSSERT, directeur, assassiné à Abbo
PASQUALINI Marius, assassiné à Maison Carrée
JOUGOUGNOUX, égorgé près de Bougie

1956- CAMUS-fell-isl


 

Cercle algérianiste national
Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire
des Français d'Algérie

LE CERCLE ALGERIANISTE
SOLIDAIRE DU CORPS ENSEIGNANT

Nous, Présidents des Cercles algérianistes, réunis ce 18 octobre 2020 en Assemblée générale de notre Fédération, totalement solidaires du Professeur Samuel Paty et des siens, tenons à rappeler que l’abominable assassinat de cet enseignant provoqué par l’islamisme, reste inséparable de l’identique assassinat de l’instituteur Guy Monnerot, premier acte de la « guerre d’Algérie », dont les causes sont parfaitement identiques.

Nous ne saurions oublier également ces 82 instituteurs souvent institutrices, assassinés du 1er novembre 1954 au 5 juillet 1962 pour les mêmes raisons.

Ces mutilations sont exécutées à des finalités de terreur, en vue d’imposer par le sang, une idéologie à laquelle, comme sentinelle nous ne cessons de nous opposer depuis 66 ans et cela même si ce parallèle continue à déranger bon nombre de nos concitoyens et à ne toujours pas être entendu.

Télécharger le communiqué du 18 10_2020

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1 novembre 2020

PN NÉS EN ALGÉRIE AVANT 1962 - RENOUVELLEMNT DE CARTE D'IDENTITÉ OU DE PASSEPORT

Circulaire concernant les français nés avant 1962 en Algérie Française ayant pour objet d'éviter les tracasseries de l'administration tatillonne ou d'un fonctionnaire zélée, parfois haineux, afin de leur faciliter l'obtention d'un nouveau passeport ou le renouvellement d'une nouvelle carte d'identité.

Dans ce but une ciculaire du ministère de l'intérieur a été publié au J.O de la République le 23 mars 2005.

Circulaire 2005

Télécharger le document officiel (circulaire 2005) du ministère de l'ntérieur

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26 octobre 2020

MACRON DOIT SE SÉPARER DE STORA

COMME L'A FAIT MITTERRAND AVEC PISANI

StoraMacron

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Peut-on être à la fois un partisan fanatique de l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie (un kanakyste convaincu) et exercer une action importante dans l'élaboration de la politique du gouvernement français ?

Cela devrait être exclu et pourtant c'est le cas d'un certain Benjamin Stora, missionné officiellement par Macron, pour rédiger un rapport déterminant pour les relations franco-algériennes sur (je cite) le chemin parcouru en France sur la mémoire de la "colonisation et de la guerre d'Algérie".

Dans le droit fil de son engagement frénétique anti-colonial, Benjamin Stora a parfaitement le droit, à titre personnel, d'être un promoteur résolu d'une éventuelle future KANAKY, seule garante, selon lui, "d'un avenir de paix, de stabilité et de justice sociale".

Nous, républicains et patriotes, avons comme devoir de lui répliquer et de le combattre sans concession ! Libre à Stora de s'allier au binational Mehdi Lallaoui, au très sectaire crypto-communiste Alain Ruscio, ainsi qu'à l'inénarrable ami de Tariq Ramadan, Edwy Plenel, ceci à travers une tribune publiée il y a environ un an.

Là où il y a un véritable problème c'est lors qu'Emmanuel Macron, jusqu'à ce jour très proche de lui, observe cela sans réagir.

Rappelons que Macron, en tant que Chef de l'État, a exprimé (je cite encore) sa "profonde reconnaissance" pour la population calédonienne qui a manifesté majoritairement son attachement à la France, et ce, pour la deuxième fois en peu de temps.

Macron peut-il décemment continuer à soutenir l'intrusion dans le paysage politique officiel d'un personnage au patriotisme plus que douteux, dont le seul grand souci est, outre la condamnation perpétuelle du seul "colonialisme" français, de mettre fin avec ses acolytes (tel Plenel pour Mayotte) à toute souveraineté française outre-mer, particulièrement dans l'Océan Pacifique ?

En me tenant au seul domaine du problème calédonien, il est urgent que Benjamin Stora soit déchargé de toute fonction officielle et qu'il ne continue plus, du moins avec sa casquette d'expert dûment mandaté, à polluer le débat où barbotent suffisamment de chantres de la "décolonialité", de contempteurs de la "pensée blanche" et d'islamo-gauchistes de tout poil.

Car répétons-le, prétendre que seule l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie serait de nature à garantir un "avenir de paix, de stabilité et de justice sociale" c'est dénigrer et haïr la France, se moquer du monde et surtout encourager l'emploi de la violence par la fraction dure de la mouvance canaque indépendantiste, au cas justement où cette indépendance viendrait à tarder ou ne correspondrait pas à leurs vues.

 

                                            Jean-Michel WEISSGERBER, Colmar, le 24 octobre 2020.

NOTA BENE:

Avant même de revenir ultérieurement sur le problème calédonien de nature éminemment plus complexe que les deux farceurs Edwy Plenel et Benjamin Stora le laissent entendre, voici ci-joint deux piqûres de rappel relatives à la situation existante sur l'archipel voisin des Nouvelles-Hébrides-Vanuatu, proche d'une future probable (?) Kanaky.

Répression anti-française et anti-francophone.

Extrait d'une édition du quotidien algérien El Moujahid (novembre 1981) au sujet de la tentative de sécession pro-française de l'île principale Santo et concomitamment de l'assassinat, entre autres, de l'universitaire pro-français Alexis Yolou :

"Quatre cents citoyens français, considérés par les autorités comme directement liés aux événements, ont été expulsés. 2273 personnes ont été officiellement arrêtées après le complot avéré. La plupart ont été condamnées et le leader de la tentative de sécession M. Jimmy Stevens purge actuellement une peine de 15 ans et demi de prison".

(NDLR : le Vanuatu est moins peuplé que la N-C).

Condition de la femme mélanésienne (femme canaque et femme algérienne même combat ?)

Témoignage de la grande championne française de judo d'origine togolaise (Clarisse Agbegnenou), Libération du 14 janvier 2020, de retour du Vanuatu : "Au Vanuatu, un pays très pauvre (NDLR : comme le sera très probablement la N-C avec l'avènement de Kanaky), la place des femmes était compliquée. Quand un homme lève la main, elles s'arrêtent de parler".

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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26 octobre 2020

QUAND HAMED HAMOU DEFEND JEAN MESSIHA

SUR LE SITE ALGERIE PATRIOTIQUE

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Je suis très loin d'être un inconditionnel du site Algérie patriotique qui s'en est d'ailleurs pris à moi, une première fois allusivement lorsque j'ai "dézingué" le haineux et obsessionnel anti-harki Rachid Boudjedra et une seconde fois très nommément le 1er mai 2019, sous le titre quelque peu ridicule: "Un militant pro-harkis admet avoir voulu contacter de jeunes Algériens". Voyons, cher Salim Fethi, si j'en ai l'occasion, je contacterai également très volontiers de jeunes et belles Algériennes- et pas seulement Louisa Hanoune et Hassiba Boulmerka !

Revenons à nos moutons et sachons gré, pour une fois, à Algérie patriotique d'avoir publié le plaidoyer en faveur de Jean MESSIHA du dénommé Hamed Hamou , dans les 89 commentaires à une contribution de ce site, passablement nationaliste,où est pris à partie le cadre R.N, pourfendeur des islamistes plus ou moins radicaux.

Algérie patriotique titre:" Le raciste Jean Messiha récidive: "Tous les musulmans sont des terroristes"

Et voici ce que rétorque Hamed Hamou ( je reproduis in extenso le texte originel sans aucune correction): "Mr Jean Messiha a le droit de récidiver puisque les islamistes, eux, cela fait déjà trop longtemps qu'ils n'arrêtent pas de récidiver. Et qui mieux que M. Messiha ou un autre comme lui (issu d'une société à domination "musulmane") pour sonner l'alarme dans sa patrie d'adoption, la France. Il est d'origine égyptienne. Copte de surcroît, il a grandi en Egypte et a donc connu de très près la vermine islamiste et les frères musulmans en particulier. Il a vu comment ça commence et où ça finit. Il a vu de quoi sont capables ces islamistes et tout le mal dont ils sont comptables à chaque fois qu'on les laisse faire et on ne  réagit pas à temps. Il connait le mal que ces islamistes ont fait subir à sa patrie d'origine, L'Egypte, et à toute la société égyptienne ( et toutes les sociétés arabes où ils ont essaimé par la suite, dont la nôtre).Et donc, M. Messiha a vu et a vécu tout ça et a dû voire en particulier les violence et les stigmatisations qu'ils ont fait vivre et continuent à faire vivre à sa communauté, la minorité copte (bien qu’autochtone, faut-il le rappeler) dont il est issu......Des discriminations, des stigmatisations, des destructions de leurs lieux de culte....

Et ayant vu sombrer sous ses yeux sa patrie d'origine, l’Egypte, sans pouvoir rien faire, il ne veut pas que cela se reproduise encore une fois et arrive à sa nouvelle patrie d'adoption la France, surtout s'il se sent capable d'empêcher ça. Il est né Egyptien  sans l'avoir choisi, mais il a choisi volontairement la France qui est devenue sa patrie de choix et de coeur et, en bon patriote, son devoir est de la défendre tant qu'il se sent capable, et qu'il est encore temps (pas comme pour L'Egypte, le mal est fait et profond) et c'est tout à son honneur....C'est mon point de vue.»

Bravo Hamed Hamou, tu as vu très juste!

Je suppose que tu  habites l'Algérie et qu'ainsi tu te montres digne de tes ancêtres berbères, voire kabyles ! Tu mérites assurément une carte et un diplôme du Rassemblement national.

J'irais même plus loin quand je pense à tous ces faux insoumis (1) qui s'agitent en France. Je me demande s'il ne faudrait pas les déchoir de notre nationalité et les expulser dans un pays islamique. En compensation, je proposerai de t'accueillir, toi qui, tel ton frère d'esprit Messiha, saurais devenir , un environnement adéquat aidant (2), un excellent patriote, on ne peut plus gaulois!

Jean-Michel WEISSGERBER, Colmar, le 23 octobre 2020.

 

1) Dont la trop fameuse Clémentine Autain-  ou plutôt Autaine- comme on écrit désormais écrivain et écrivaine

2) Surtout pas la SEINE-SAINT-DENIS où pullulent les territoires perdus de la République

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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12 octobre 2020

TRAHISON

Communiqué transmis par José Castano

  Le billet d'humeur du général Dubois

Général Dubois

Malgré la volonté de notre garde des sceaux, on rechigne parfois à rapatrier des femmes qui ont accompagné des djihadistes en Syrie-Irak ; et, en même temps, on fait les unes des médias sur le « sauvetage » d’une Française elle aussi quasiment passée à l’ennemi.

Il y a des années que les rares nouvelles qui filtraient nous présentaient cette femme comme moribonde aux mains de tortionnaires. Et nous la voyons débarquer de l’avion dans une forme assez étonnante, voile sur la tête, précisant qu’elle ne s’appelle plus Sophie mais Mariam, remerciant ses « geôliers-combattants » pour leur courtoisie et appelant la bénédiction d’Allah sur le Mali. Elle n’a rien de plus pressé que d’annoncer son espoir de retour prochain dans ce pays où elle possède un appartement. Les Français ont dû être sidérés. Pour un peu on pourrait croire que nous l’avons enlevée de force. Tout ça pour ça ?

Mais il y a plus dégradant et révoltant que le rôle ubuesque, étalé au grand jour, que nous avons joué dans cette mascarade, conclue par le « traditionnel » accueil national au pied de la passerelle par notre président. Ce sont les termes du marché passé avec les « ravisseurs ». Outre une rançon d’argent dont le montant restera sans doute inconnu mais servira à acheter des armes et munitions qui seront utilisées contre nous, nous avons ordonné ou cautionné la libération de 100 ou 200 djihadistes qui ont déjà sans doute repris les armes contre nous. Demain, des soldats français seront tués par ces gens dont notre chef aura donc tenu la main.

C’est à hurler de colère, de dégoût, devant tant de sottise, de lâcheté et de naïveté.

Comment ne pas penser comme le Romain Marcus Flavinus, centurion à la 2ème cohorte de la légion Augusta.

« Si nous devions laisser en vain nos blanchis sur les pistes du désert, alors que l’on prenne garde à la colère des légions ».

 Général (S) Roland DUBOIS

LE GÉNÉRAL MARTINEZ CANDIDAT A LA PRÉSIDENTIELLE 2022 !

 Général Martinez

(Appel aux Français)

La France n’en peut plus de souffrir

Le peuple Français, éreinté par la crise sanitaire, voit resurgir partout, et pire que jamais, les violences et les crimes commis par une population qu’il n’a pas invitée, qui ne veut pas s’intégrer, mais qui exige des droits tout en méprisant ses devoirs.

Une population violente et revendicatrice, qui tue, parfois, comme on vient de le voir avec la gendarme Mélanie Lemée et le conducteur de bus Philippe Monguillot.

Le gadget de changement de gouvernement ne peut cacher l’inconscience et l’incompétence des dirigeants, et en premier lieu du chef de l’Etat plus préoccupé par sa réélection que par les intérêts de son peuple, face à la crise économique et sociale qui s’annonce après ces mois de confinement.

Immigration débridée, laxisme judiciaire, désaveu voire « lynchage » des forces de l’ordre, corruption, sont venus se greffer au mal français endémique :

Fiscalité confiscatrice (taux de prélèvements obligatoires le plus élevé d’Europe), inefficacité de l’Etat (le taux d’endettement, – 115% du PIB -, va s’envoler dans les 2 ans qui viennent pour un service public plus que dégradé), stratégies énergétiques aberrantes et coûteuses, pour satisfaire aux caprices de ceux qui prétendent « sauver la planète », etc…

Face à ce désastre, le peuple était en train de perdre tout espoir.

Le 2ème tour des élections municipales fut un désaveu cinglant des politiques, qui ne répondent pas aux inquiétudes et aux angoisses des Français résignés.

Et pourtant, il existe dans notre pays des personnalités de valeur, qui sont prêtes à assumer la charge du redressement de la France…

Le général Antoine Martinez vient de prendre une décision grave, sans doute la plus importante de sa carrière.

Comme tout officier supérieur, il sait où se trouve son devoir.

Il appartient maintenant aux patriotes, où qu’ils soient, d’où qu’ils viennent, de le rejoindre et de l’aider dans cette longue marche qui conduit aux élections présidentielles de 2022.

Une lumière d’espoir vient de s’allumer pour la France.

Nous avons 2 ans pour qu’elle éclaire de tous ses feux notre pays meurtri.

Appel aux Français!

Les grandes orientations” du Général MARTINEZ

Cliquez sur : https://youtu.be/dSOAkjesmtY

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VOLONTAIRES POUR LA FRANCE

BP 31038
81027 Albi

Courriel : contact@volontaires-france.com

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12 septembre 2020

T'ES UN PIED-NOIR MON FRÈRE

Mon frère
Si t'as pris la valise et parfois le cercueil
Et que tu marches droit malgré tous ces écueils,
Dans les plis du drapeau si t'as séché tes larmes
Et que vaincu mais fier t'as déposé les armes,
Si tu regardes devant sans oublier l'histoire
Et que de tes racines tu gardes la mémoire,
Si la vue d'une orange te transporte vers ailleurs
Où la vie était douce et pleine de chaleur,
Si tous ces morts pour rien hantent encore tes nuits
Et que parfois tu hurles pour pas qu'on les oublie,
Si tu penses à tes pères qui traçaient les sillons
Et arrosaient la graine de leur transpiration,
Si le soleil a fui mais qu'il est dans tes yeux
Et transforme ta voix en accent merveilleux,
Alors redresse toi tu peux en être fier
Maintenant j'en suis sûr, t'es un pied-noir mon frère
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