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16 septembre 2010

HUBERT ZAKINE

"Je suis un français d'Algérie, je suis un juif d'Algérie, je suis un pied noir d'Algérie."

Ma bibliographie

MARIE-TOI DANS TA RUE, MON FILS. 

SIEUR DURAND D’ALGER

DIASPORA ET JUDAÏSME

HORIZONS BLEUS – LE CABANON DES GENS HEUREUX

MA MERE JUIVE D’ALGERIE

31 RUE MARENGO

IL ETAIT UNE FOIS BAB EL-OUED

Les livres sont en vente en toutes librairies en rayon ou sur commande, sinon, à défaut, sur commande à l’éditeur

Retour nos lectures. 

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12 septembre 2010

ASSI-BOU-NIF

12 septembre 2010

ASSI BEN OKBA

            Aux 19 communes déja existantes, un décret, en date du 31 décembre 1856, en ajoute 28 dont : Fleurus et ses annexes : Assi-Ben-Okba, Assi-Ameur, et Assi-Bou-Nif.

            Quelle terre! Assi-Ben-Okba est en Oranie; le sol est presque aussi ingrat que dans la Mitidja: " Partout s'étend, envahissante, une garrigue de chênes verts, entremêlés de taches de maquis de thuyas et de brousses de palmiers nains... Le couvert végétal, difficile à traverser en dehors des pistes, cache un sol souvent maigre recouvrant le sous-sol calcaire désagrégé en pierraille ou en blocs qu'il faudra enlever pour cultiver. Il faudra aussi déchausser, à grands coups de pioche, les racines profondes et résistantes des palmiers nains..." 

            Malgré ces difficultés, ce labeur épuisant, les conditions d'hygiène très sommaires, ces colons sont parvenus à rendre fertile la terre concédée. Peut-on leur en vouloir d'avoir réussi au-delà de toute espérance ? "La colonisation est un rêve", (Bresson administrateur civil en 1835.)

            Assi-ben-Obka où les concessions promises sont, "couvertes de chênes verts et de thuyas, asile de bêtes sauvages qui dévoreront nos premières récoltes " (G. Roger). 

            A Assi-ben-Obka,d'octobre 1849 à février 1850, 9 colons abandonnent. En 1851, près de la moitié des colons sont morts ou partis. D'autres les remplacent. Ceux qui restent ne seront sauvés que par leur solidarité : ils se prêtent les bœufs pour former des attelages collectifs, organisent des tours de surveillance pour les troupeaux, regroupent les approvisionnements, se distribuent les jours de marché pour écouler les produits sur Oran. Grâce à cette entraide, ils font les premières vraies récoltes de blé et d'orge en 1852.

            En 1862, la surface cultivée a augmenté de 50 %. En 1878, le village comprend 72 maisons et 320 habitants.

            Mais cette réussite économique ne va pas sans sacrifices et, parfois, ces sacrifices touchent à l'essentiel. La première génération de colons, néglige les études. Il faut vivre, garder les troupeaux, aider les parents aux champs. Vous ne le comprenez pas aujourd'hui parce que vous êtes dans l'aisance, mais l'instruction est un luxe refusé aux pionniers et aux défricheurs." (G. Roger)

Assi ben obka situation

Une seule image: L'EGLISE

Assi_ben_okba

D'autres images ici.

Retour Villes et Villages d'Oranie. 

 

12 septembre 2010

COMMUNIQUE

11 septembre 2010

KATZ

CRIMINEL  DE  GUERRE 

« Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine) 

            En ce début d’année 1962, l’OAS était arrivée à l’apogée de sa puissance et le slogan « l’OAS frappe où elle veut, quant elle veut », n’avait jamais été aussi vrai. A Oran, elle était maîtresse de la ville. A sa tête figurait des noms prestigieux comblés de gloire et d’honneurs qui entretenaient un climat de confiance malgré le tragique de la situation…

            Le gouvernement gaulliste ne pouvant admettre pareille humiliation, avait nommé à la tête du secteur autonome d’Oran, afin de réduire cette « OAS narguante » -et pour le malheur des Oranais- le 19 février 1962, le général Joseph Katz en remplacement du général Fritsch qui refusait de pratiquer sur les membres de l’OAS cette besogne de basse police qu’était la torture. La mission de Katz : « Mettre au pas la ville sous contrôle de l’OAS ». Celle-ci était alors dirigée par les généraux Jouhaud et Gardy, le colonel Dufour, le commandant Camelin, le lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume, Charles Micheletti et Tassou Georgopoulos.

            En bon exécutant, Katz, s'apprêtait à écraser ceux qui refusaient d'obéir aux ordres de l'Elysée et ceux qui persistaient à crier « Algérie française ! », maxime désormais classée comme « cri séditieux », ajoutant aux vertus de l'obéissance passive, une haine que même le règlement de la gendarmerie ne prescrivait pas. Car Katz n'était pas un soldat comme les autres. C'était une sorte de prolétaire patrouillant avec délice dans la hiérarchie militaire, un ancien gardien de vaches bousculant les usages et les convenances. Carré d'épaules, rond de ventre, aussi peu distingué que son complice d’Alger, Debrosse, outre celle de leur cruauté, on leur prêtait une certaine ressemblance : même corpulence massive, même front de taureau, même manie de traiter tout le monde de « con » ou de  « bon à rien », même dénuement de préjugés.

            Katz était un militaire républicain que De Gaulle avait cueilli à Bordeaux pour l'envoyer mater la « racaille d'Oran ». Son sentiment à l'égard des Pieds Noirs était celui-ci : « Un ramassis de descendants de déportés de droit commun, de négriers qui veulent conserver leurs privilèges. ». Cet homme, arrêté en mai 1958 pour avoir soutenu Pflimin, c'est-à-dire la République pure et dure, avait obéi parce qu'en 1962, la République, c'était De Gaulle... et l'assurance d'une foudroyante promotion. Encore un spécialiste du « retour de veste ».

           Alors qu'à Alger, depuis la sanglante affaire des Barricades, on avait surnommé Debrosse : « Le sanguinaire », très vite, aux yeux des Oranais, Katz allait devenir « Le boucher ». Pour briser toute résistance, la première consigne qu'il donna à sa troupe essentiellement constituée de « gens sûrs », en l'occurrence les Gendarmes Mobiles, dits « les rouges » fut celle de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l'audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d'un bouclage. « Le feu - précisa-t-il - sera ouvert sans sommation sur les contrevenants à partir du 23 avril. De même, le feu sera ouvert, par tous les moyens y compris l'aviation, sur les éléments OAS circulant en ville. ». C'était ratifier une pratique que les « gendarmes rouges » utilisaient déjà depuis un mois...

           Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa sœur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée. « Il est beau qu’un soldat désobéisse à des ordres criminels » ; à l’évidence, ces soldats par trop zélés n’avaient pas lu Anatole France…

           Toutefois, tirer à vue sur tout ce qui bougeait ne semblait pas briser la résistance oranaise. Alors, « en désespoir de cause », Katz demanda à son officier de liaison Air, le colonel Grégoire, d'étudier les possibilités d'armement des bombardiers B.26 avec des roquettes et des bombes de 260 livres.

           Le général Hautière, commandant de l'aviation en Oranie, protesta avec vigueur bien que ses sentiments anti-O.A.S. ne fussent pas douteux. Bombarder une ville de quatre cent mille âmes avec un tel armement, cela relevait de la monstruosité, du machiavélisme le plus immoral, ou tout simplement... de la folie. Cependant Katz insista tant et si bien qu'à titre expérimental une mission fut toutefois déclenchée. Lorsque l'aviation se trouva au-dessus de l'agglomération, ordre lui fut donné de ne tirer qu'à la mitrailleuse et de larguer ses bombes au-delà de l’objectif, dans la mer. Le vacarme fut tel que le « brave général » en aurait, paraît-il, pâli !...

           Cette lutte « impitoyable et par tous les moyens », selon l'ordre donné par de Gaulle, faisait partie d'un plan mûrement concerté : IL FALLAIT ABATTRE L'ALGERIE FRANÇAISE ; il fallait aussi montrer aux masses musulmanes, longtemps hésitantes, qu'elles devaient maintenant et définitivement, opter pour le FLN dont la France était désormais l'alliée, luttant, avec ce mouvement terroriste, contre l'ennemi commun : LE FRANÇAIS D'ALGERIE ! Et cette alliance n’avait aucune limite, ne souffrait d’aucun scrupule dès lors qu’elle permettrait de venir à bout de l’OAS… Pour preuve : au mois de mai 1962, la gendarmerie « blanche » arrêta un assassin de la pire espèce, Slémani Slimane, qui reconnut avoir torturé et tué vingt-sept Européens. Il fut inculpé. Katz le fit libérer et rapportera que ce dernier « lui rendra de grands services dans les jours les plus agités ».

S'adressant à un membre de l'Exécutif Provisoire, Katz eut ces mots terribles :

« Donnez-moi un bataillon de l’A.L.N. et je réduirai l’O.A.S. à Oran ». Ces propos, monstrueux et inqualifiables de la part d'un officier français firent l'objet d'une question à l'assemblée Nationale (J.O. du 8 mai 1962 - page 977).

           Ce « bataillon de l’ALN », Katz allait néanmoins se le procurer –avec l’assentiment discret de l’Elysée- en procédant au recrutement de la plus immonde espèce d’assassins qui eut été donné de voir…

           Ce renfort était constitué par les « martiens », ces révolutionnaires du mois de mars, qui, le cessez-le-feu prononcé, venaient sans danger rejoindre les rebelles. Ils étaient les combattants de la dernière heure, impatients de fêter dans le sang leur baptême de « libérateurs » et de se parer d’états de service de pillages et de tueries à faire pâlir le plus chevronné des assassins. Leur unique but était de se faire prévaloir et  surtout de faire oublier qu’ils s’étaient abstenus de combattre durant sept années, attendant de connaître l’issue des armes pour se ranger du côté du vainqueur. De ce fait, ils étaient devenus les plus sanguinaires : exactions, tortures, viols, massacres d’Européens et de harkis se multipliaient, mais on n’en parlait pas. Leurs bandes anarchiques allaient être à l’origine du pogrom anti européen du 5 juillet…

            Au hasard des rafles qui avaient lieu, le jour dans les rues, la nuit dans les maisons, les Européens étaient entassés dans des camions de C.R.S. ou de Gardes mobiles et promenés, enchaînés, dans les quartiers arabes pour y exciter la foule et montrer comment la France traitait ses ennemis. Pareille épreuve fut même infligée à l'Inspecteur Général des Ponts et Chaussées, venu à Oran pour le fameux plan de Constantine !

            La fraternisation entre Gardes Mobiles et FLN était sans retenue : le soir, les premiers étaient généreusement pourvus en prostituées envoyées par les seconds. On ne peut, dès lors, s'étonner de l'attitude passive qui fut celle de Katz et de ses gendarmes lors de la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran… Sur ce point, rappelons cette anecdote impliquant un officier français d’origine algérienne, le lieutenant Rabah Kheliff qui commandait la 4e compagnie du 30e BCP (30e Bataillon de Chasseurs Portés). Le 5 juillet 1962, celui-ci, apprenant que des civils européens étaient regroupés en divers points de la ville d’Oran, dans l’attente d’être exécutés, il décida de passer outre les ordres de Katz de ne pas intervenir et de se porter à leur secours.  Il prévint par téléphone son colonel, qui répondit : « Faites selon votre conscience, quant à moi je ne vous ai rien dit »

            À la tête de la moitié de sa compagnie, le lieutenant Kheliff gagna un des points de regroupement, devant la préfecture. « Il y avait là une section de l’ALN, des camions de l’ALN et des colonnes de femmes, d’enfants et de vieillards dont je ne voyais pas le bout. Plusieurs centaines, en colonnes par trois ou quatre, qui attendaient là avant de se faire zigouiller  (sic)». Le lieutenant Kheliff exigea et obtint du préfet, Souiyah El Houari, leur libération. S’étant quelque peu éloigné de son détachement, il fut lui-même pris à partie et blessé par des civils algériens, puis dégagé par ses hommes, à qui il interdit d’ouvrir le feu. Après quoi, il établit des patrouilles sur les axes routiers menant à l’aérodrome et au port pour « arracher littéralement » des malheureux des mains de leurs agresseurs.

            A la suite de cet acte héroïque, il fut mis aux arrêts de rigueur, et convoqué par Katz qui lui adressa ces mots terribles : « Si vous n'étiez pas arabe, je vous casserais ! ».

            Katz échappera cependant à plusieurs attentats dont celui qui, le 14 juin 1962, coûtera la vie au général Ginestet, commandant alors le corps d’armée d’Oran, que les auteurs de l’attentat confondirent avec Katz (terrible méprise qu’ils paieront de leur vie). Dès le lendemain, le « boucher d’Oran » obtiendra ce commandement.

            La « victoire » acquise, l’indépendance accordée à ses alliés, KATZ quitta Oran pour la Métropole le 13 août 1962, après avoir fait l’objet, le 4 août, d’une citation à l’ordre de l’armée comportant l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec palme pour, entre autres, « avoir su rétablir et préserver avec force et dignité l’autorité légale et l’ordre public »... décoration qui lui sera remise par le Ministre des armées, Pierre Messmer. Une nouvelle étoile vint également rappeler ses « bons et loyaux services ». De Gaulle savait payer ses séides !…

            Nommé fin 63 à la tête de la 4ème Région Militaire (Bordeaux), il quitta le service armé début 1968 avec le grade de général d’armée (5 étoiles). En 1978, ayant gagné une retraite « bien méritée », il briguera un mandat parlementaire. Quel groupe pouvait lui accorder son investiture ? Le parti gaulliste, l'U.D.R, évidemment. Dans l'Allier où il se présenta, il subit un cuisant échec. Les Pieds Noirs installés dans le Bourbonnais se rappelèrent à son souvenir et eurent la gentillesse de lui offrir, à Gannat, un drapeau tricolore sur lequel était inscrit en lettres de sang :« A KATZ BOURREAU D’ORAN »

D'autres affronts lui seront octroyés et, entre autres, celui-ci : Katz assistait à une messe officielle à Saint Jean de Luz (64). A la sortie, une jeune fille, métropolitaine de surcroît, réussit à lui parler :

            « Général, je viens de communier et de prier pour vous ». Katz, interloqué, la remercia toutefois et lui demanda les raisons de sa touchante attention : « J'ai prié pour que le Seigneur vous pardonne tous vos méfaits... » Dès le lendemain, la Sécurité Militaire enquêtait pour identifier la jeune insolente...

            Une plainte pour « complicité de crime contre l’humanité  et obéissance à des ordres criminels » fut déposée le 16 octobre 1999 entre les mains du doyen des juges du Palais de Justice de Paris au nom de 47 familles des victimes du massacre du 5 juillet à Oran ainsi que du Comité VERITAS. Cette plainte fut déclarée irrecevable mais suivie d’une décision par le juge de non informer. Un appel de cette décision n’aura pas de suite en raison du décès du « Boucher d’Oran » intervenu le mardi 6 mars 2001 à Amélie-les-Bains (66). Rejeté par ses pairs, il finira ses jours, seul, et sa famille choisira de l’inhumer au cimetière de ROSAS, en Espagne.

 Rien d’humain ne battait sous son épaisse armure » (Lamartine)-

José CASTANO (joseph.castano0508@orange.fr 

« Pour la honte éternelle de la France, de Gaulle s’est comporté envers la population profrançaise d’Algérie –aussi bien d’origine européenne que d’origine musulmane- comme s’il s’agissait de criminels et il a autorisé d’incroyables atrocités perpétrés contre elle par la gendarmerie mobile, tandis que dans le même temps il ordonnait à l’armée de ne pas gêner les sévices, les enlèvements et les massacres du FLN. » (Thomas Molnas – Journal National Review (USA), septembre 1962)

LA PHOTO DE LA HONTE !

Gendarmes mobiles (« les rouges ») arborant le drapeau du FLN en signe de « victoire ». La honte ne se raconte pas, elle s’encaisse !

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-          « Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc)

- Preuve de la complicité gendarmes mobiles / FLN : http://www.algerie-francaise.org/katz/rastoll.shtml

- Katz : Une justice à deux poids et deux mesures – Cliquez sur : http://comite-veritas.com/newss/pop_news.asp?id=362

http://wikipedia.orange.fr/wiki/Massacre_du_5_juillet_1962

- Un grand soldat qui a refusé d’obéir aux ordres de De Gaulle et de Katz : le Capitaine Rabah Keliff– Cliquez sur : Rabah Kheliff 

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Un autre cas de cruauté du général KATZ - Cliquez sur : - MAI 1962 LA DERNIERE COMMUNION –

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- Lajos MARTON, à propos de l’attentat du Petit-Clamart. Cliquez sur : http://www.ina.fr/ardisson/tout-le-monde-en-parle/video/I09152596/lajos-marton-a-propos-de-l-attentat-du-petit-clamart.fr.html

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Pour revoir tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles -

Ses ouvrages, cliquez sur : -Ma Bibliographie –

Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –

Sa biographie, cliquer sur : - Ma Biographie -

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11 septembre 2010

COMMUNIQUE DE LA

COORDINATION NATIONALE DES RAPATRIES

REPLIES DE FRANCE

CHEMIN DU PAS DE LAS CARRETTES

66250 ST LAURENT DE LA SALANQUE

06.63.43.24.72    Fax : 04.68.28.62.81

E Mail : albertpelican@orange.fr

Chers Amis,

         Monsieur Mohamed BELLEBOU, Rapatrié et votre serviteur, Président de la C.N.R.R de FRANCE avons pris la décision de nous enchaîner au pied de la statue du Général de Gaulle érigée par Monsieur Georges FRECHE, Place des Grands Hommes à Montpellier à compter du 13 septembre 2010 à 11 heures et nous comptons sur une nombreuse participation de votre part, vous rapatriés. Qu’on se le dise par notre téléphone arabe (Internet, portables et bouches à oreilles).

         Ceci, afin de contester les mesurettes prises à notre encontre par les différents gouvernements qui se succèdent depuis 48 ans et sensibiliser l’actuel à la validité de nos droits, ainsi que l’impérieuse nécessité d’instaurer un moratoire total contre toutes poursuites qui nous sont préjudiciables. Cette mesure, s’impose plus que jamais au moment où nous devenons le terrain de chasse privilégié des officines de recouvrement.

         Nous sommes des créanciers privilégiés aux termes des accords d’Evian du 19 Mars 1962 et il serait temps de faire valoir nos droits par un moratoire total pour que cessent enfin les poursuites de toutes sortes à notre encontre.

Confraternellement votre.

Le Président - A. PELICAN-

Retour "Tous les Communiqués"

10 septembre 2010

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Route d'Oran

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Notre Dame de la mer

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Place d'Isly

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Ilot d'Arzew bati par la légion pour la légion.

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La promenade.

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Le kiosque.

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Le port.

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Le monument aux morts.

Retour Villes et Villages d'Oranie. 

10 septembre 2010

ARBAL

8 septembre 2010

ESCROQUERIE EN TOUT GENRES

ET ORGANISEES

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On ne peut pas tout savoir, l’important c’est de savoir chercher (d’après Samuel Johnson)

         Savez-vous que nous, Français, donnons plus de 400 euros par  foyer fiscal pour venir en aide à des pays soi-disant  sous-développés ? La Banque mondiale  a investi des millions de dollars au Congo, au Nigeria, en Angola, au Cameroun et dans d’autres pays d’Afrique. Pourquoi et surtout pour qui ?  Pour la corruption organisée bien sûr ! Pour leurs dirigeants, lesquels viennent se pavaner en limousine de classe, dans les palaces européens pour profiter des bienfaits de la finance mondiale, en fermant les yeux sur le pouvoir d’achat de leurs sujets qui vivent avec moins d’un euro par jour et souffrent de malnutrition.

         Ceux qui hurlent que ces pays sont sous classés, devraient savoir (mais ils le savent bien ces …humanistes) que ces pays-là absorbent la moitié de l’aide accordée par la banque Mondiale aux pays, soi- disant pauvres, mais pas pour les malheureux, mais pour leurs présidents.

         Pendant ce temps, nous Rapatriés de force et Créanciers d’Etat, malgré les soi-disant accords d’Evian, sous serrons les dents depuis bientôt un demi siècle et avons la sueur au front, à chaque fois que le facteur sonne à notre porte pour nous remettre des « recommandés » provenant d’officines peu « recommandables » nous réclamant des indus, la plupart du temps prescrits ou rachetés à vil prix à nos créanciers

         Etant moi- même victime de harcèlements abusifs, j’ai décidé de faire une petite enquête en  puisant largement dans les informations qui pullulent sur la toile et apprendre à me défendre contre les vilenies dont une majorité d’entre nous sommes victimes journellement et par contre coup, en faire profiter ceux qui hélas, sont dans mon cas.

         L'organisme dont nous sommes débiteurs, peut faire appel à une société qui lui rachète la créance, moyennant un rabais. Dans ce cas, c'est cette société de recouvrement qui gère le risque de défaut de paiement, et elle devient alors, le créancier. Cette technique, très développée dans d’autres pays, est en progression récente en France.

         Ces organismes de recouvrement y vont au bluff et nous harcèle téléphoniquement, et cela que nous soyons sur liste rouge ou blanche ou par écrits péremptoires et menaçant.

         Sachez que le recouvrement public, ne se fait qu’en fonction d'une décision  de justice. Seul ce cas de figure permet à un huissier d'engager une exécution forcée. Toute dette est prescrite au-delà d'un certain délai, et ne peut donc plus être réclamée : on dit qu'il y a alors forclusion.

        La prescription dans le cadre de relations entre un particulier et un commerçant est de deux ans (article 2272, 4° alinéa du code civil). Il arrive cependant que des gens-là procèdent à des appels, répétés et agressifs afin d'intimider le débiteur. (Même si vous êtes en liste rouge)

         Ces appels placent le créancier ou son mandataire hors-la-loi. L'article 222-16 du code pénal sanctionne en effet de tels appels malveillants. L'infraction est constituée dès le second appel, quelle que soit la durée ou l'heure des appels (même si les appels ont lieu à des dates différentes) ainsi que leur origine.

         De ce fait, nous aussi, avons maintenant la liste rouge de ces escrocs figurant sur Google. Vous seriez surpris de retrouver les noms qui circulent, noms parmi les plus notoires. En voici quelques uns dans le désordre figurant sur ce who’s who de l’escroquerie : entre autre (je cite) les Hoist, Effico, Soreco, Paypal, CFR, Coriolis, NCO Europe, Credirec... etc.

         Comment utilisent-ils leur abus de pouvoir et comment agissent ces  malfaiteurs ? Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées, à la demande d'un créancier, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, etc. Ce type d'intervention  ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur. Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui.

         Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.


         Commencez par vous assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le seul créancier la décision de justice ou un aménagement de remboursement de créance.  Les pratiques de ces officines consistent en harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes. Que faire alors ? RIEN, seul un juge, peut rendre une décision exécutoire.

         A la limite si la somme due est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à la justice légale, pas à ces affairistes.

         Mettez fin au harcèlement en les menaçant de les mettre en demeure (par courrier avec AR)  ces organe de recouvrement d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :

        - Abus de droit : article 1382 du code civil ;
        - Atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison. Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :

         - l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
         - la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.

         Les sommes réclamées sont à régler au seul créancier, et pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.


         Depuis plus de trente ans, les huissiers sont sortis de leur mission publique et se sont massivement reconvertis dans la lucrative activité du recouvrement privé, laquelle leur rapporte maintenant plus de la moitié de leurs revenus.


         Cette pratique est sanctionnée par l'article 433-13 du code pénal, qui punit d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
                   1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
                   2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
         Cet article 433-13 du code pénal, permet au consommateur victime de ces moins que rien, de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.

         Si vous êtes harcelés plus d’une fois, essayer d’enregistrer leurs propos, demandez-leur de vous écrire en joignant un document juridique émanant d’une juridiction et menecez-les de déposer plainte contre eux et vous verrez leurs harcèlements cesser comme par enchantement.

Dans la vie, il n’y a rien à craindre : il n’y a que des choses à comprendre (Marie Curie)

TOUJOURS A VOTRE SERVICE
LE HERISSON

Retour coups de cœur. 

28 août 2010

PAUVRE FRANCE

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QUO VADIS ?

Faire confiance aux hommes, c’est déjà se faire tuer un peu (CELINE)

         En Octobre 2007,  La 5° colonne évoquée par votre serviteur, prévoyait déjà  une situation qui pouvait faire tache d’huile dans les prochaines années dans notre pays. Ce soupçon portait sur l’intégrisme sous couvert de  l’Islam et de leurs partisans faux humanistes en mal de bulletins de vote.

         Pour mémoire, nous rappellerons que pendant la période préalable à l’occupation de la France par l’Allemagne, il y régnait un climat d’espionnite où chacun s’observait et considérait l’autre comme suspect. C’était ça les prémices annonciatrices en  partie de la 5° colonne.

         Ce qui n’est pas sans ressembler et avoir un rapport avec la situation actuelle dans notre France et que nous vivons en temps depuis trop longtemps. En effet depuis quelques années, la France s’entredéchire politiquement parlant. Car que ne voyons et ne lisons nous pas à propos de la sécurité et de l'immigration?

         A gauche, Mme Martine Brochin (ex Aubry), née Delors, se distingue et gigote nerveusement dés qu’un média se profile à l’horizon. Le PS passe à l’attaque. Les socialistes dans un communiqué intitulé « La dérive anti républicaine » mordent à belles dents sur les propositions gouvernementales quelles qu’elles soient, même les moins mauvaises et attaquent avec une rigueur sectaire (qui ne serait pas la même et la leur, si par malheur pour nous vrais Français, ils accédaient au pouvoir ce qu’à Dieu ne plaise.)

         A droite, Sarkozy débordant d’imagination, n’arrête pas d’avoir des idées… géniales, pour contrer la délinquance. Mais des idées simplement et loin de la réalité des faits et de leur mise en application.

         Nos policiers se font tirer comme des lapins sans qu’ils aient droit à riposte, tout en étant en état flagrant de légitime défense, sous peine de voir bondir sur eux une nuée de gredins, de faux humanistes, LICRA. MRAP et autres Dieudonné et gauchards de bas étage.

         Les médias se délectent de ces menaces de mort envers nos représentants de l’ordre, menaces émanant d’intégristes de banlieue (protégés au plus haut niveau par la gauche, (avec même des avocats Français pour lesquels l’argent n’a pas d’odeur), la seule riposte permise par leur hiérarchie étant leur demande de mutation pour soi disant se mettre, eux et leur famille, à l’abri.

         Pourtant la révolte intestine gronde dans le vaillant milieu de notre police, Nationale, de nos gendarmes et de nos CRS.

         Certains de leurs tireurs d’élite, ont même eu les assassins assaillants d’en face, bien centrés dans leur viseurs et obéissant (à contre cœur et contre leur volonté) aux ordres venus d’en haut, ont été obligés de faire feu à 20 centimètres de leurs objectifs. (Juste pour effrayer, tu parles d’un coup d’épée dans l’eau !).

         Pendant ce temps, ceux d’en face cartonnent, bazookent ou mitraillent à la kalachnikov (arme que n’importe qui peut se procurer à 200 € dans ces sinistres banlieues, zones de non droit et vecteur de violences) sur des cibles désignées d’avance et résignées malgré elles à mourir.

         Putain où sont donc passés nos valeureux « KEPIS BLANCS » des quartiers Viennot, Yusuf, Amilakvari de notre bien-aimée légion de Sidi-Bel-Abbès ?

         N’importe quel pays agressé de cette façon intestine se servirait de cette arme fatale dont la seule présence, découragerait les plus téméraires d’entre eux.

         Mais à cette époque de l’année, (Nous, Pieds-noirs en savons quelque chose puisqu’à la même époque en 1962 nous arrivions avec nos baluchons et nos mauvaises valises), les « congés payés » sont plus soucieux de se rôtir sur nos plages ou de créer des files d’attente de 600 Kms, sur leurs trajets de vacances que de s’attarder sur la survie de nos vaillants protecteurs.

         Même nos chaînes de télé se mettent au diapason des dits « congés payés » par des pubs lassantes et outrancières (telles : yaourts, pare-brises et autres produits d’entretien de  lave vaisselle ou  fosses septiques) , lesquelles par leur répétitivité frisent le conditionnement par lavage de cerveau et  deviennent plus dissuasives qu’ incitatives.

         Pour couronner tout ce merdier, les chaînes de TV ne diffusent que des « séries mille fois vues »  ou des films à la mord-moi  l’…..oeil.

         La rentrée pour ces gaillards sera rude et rude sera aussi leur confrontement à la réalité.

         Mais concluons sur une note plus optimiste, car les 20, 21 et 22 Août derniers se sont déroulées  les festivités du 4° salon du SAVOIR FAIRE PIED NOIR au Mas de l’Ille à Port Barcarès (Pyrénées Orientales) où des animations de classe internationale et d’excellents repas traditionnels ont été servis aux nombreux visiteurs et participants et où notre art de vivre et notre convivialité proverbiale ont été mises en exergue à la satisfaction générale.

A l'année prochaine, si Dieu veut.

Méfions nous des enchaînements de la sensibilité ! On commence par plaindre les assassins et on fini un peu tard, par s’apitoyer sur les victimes... (André Frossard)

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