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5 novembre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 120

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 1 novembre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

1er novembre 1954 : début du jihad algérien contre la France !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Dans l’histoire de l’œuvre civilisatrice de la France en Algérie (n’oublions pas qu’avant 1830 l’Algérie n’existait pas, ni en tantque pays et encore moins en terme de peuple), il est une date inoubliable qui a marqué le début des « évènements d’Algérie » (bien avant que soit utilisé l’appellation « guerre d’Algérie ») : le 1er novembre 1954, journée dramatique qualifiée de « Toussaint rouge » à cause des premiers morts civils assassinés par les djihadistes algériens (à l’époque ondisait terroristes ou rebelles)….au nom de l’Islam !

         Le drame se déroula en plein cœur du massif des Aurès, sur la RN 31 qui relie les villes de Biskra et Arris, dans les gorges sauvages de Tighanimine, vers 7h00 du matin.

         Un groupe de terroristes armés se réclamant de l’ALN (Armée de Libération Nationale) arrête un vieux bus qui roule à petite vitesse et transporte essentiellement des paysans. Les rebelles en font descendre trois voyageurs qui se distinguent des autres :

- Hadj SADOK, un musulman en tenue saillante, caïd du douar M’chounèche, ancien capitaine de l’armée française,

- Guy et Jeannine MONNEROT, deux européens de 23 et 21 ans, jeunes mariés et instituteurs installés depuis moins d’un mois à la mechta de Tifelfel (desservie par la RN 31) où leurs idées libérales les avaient fait aller pour « rendre service en instruisant les populations locales ».

         Le chef des rebelles aurait demandé à Hadj HADOK sur un ton menaçant : « de quel côté es-tu ? ». Il aurait répondu : « je ne discute pas avec des bandits (…), vous n’avez pas honte (…) ce sont des instituteurs français qui viennent pour nous aider ».

         C’est alors qu’une rafale d’arme automatique est tirée en direction des trois otages qui s’écroulent : Hadj HADOK est touché au ventre, Guy MONNEROT est atteint à la poitrine, Jeannine MONNEROT est blessée à la hanche, elle survivra.

Le cadavre de Hadj HADOK est déposé dans le bus, tandis que les corps des deux français sont laissés au bord de la route. Le 1er novembre 1954 fut le signal d’une vague d’attentats qui provoqua la mort de dix personnes, dont les deux précitées.

         Ces crimes ont bel et bien été commis au nom de l’Islam !

         Le 7 novembre 1954, en première page de l’Echo d’Alger, on peut lire la déclaration de François MITERRAND, alors Ministre de l’Intérieur de la IVe République : « L’Algérie c’est la France et la France ne reconnaîtra pas chez elle d’autre autorité que la sienne ».

         Dans la famille des menteurs professionnels, je demande FM… !

         Cette « Toussaint rouge » fut le début d’un drame terrible accentué par la lâcheté du traître de Colombey, responsable de l’abandon de l’Algérie (alors que l’armée française tenait bien le pays et que les rebelles commençaient à se rendre), l’exode inhumain des Pieds-Noirs (devenus des parias après avoir été les dignes soldats de l’armée d’Afrique avec leurs frères d’armes musulmans), et le terrible génocide de 100.000 (150.000 ?) Harkis massacrés avec une barbarie difficilement imaginable.

         L’indépendance de l’Algérie, votée après un référendum-plébiscite organisé par Charles-le-félon, fut effective le 5 juillet 1962.

         Les massacres ne s’arrêtèrent pas pour autant : le génocide des Harkis dura plusieurs mois après cette date, dans l’indifférence générale des autorités françaises et des nations….dites civilisées.

         Autant de taches ensanglantées qui laissent des traces indélébiles sur les mains de la France, que les décideurs de l’Education Nationale ont fait disparaître des livres d’histoire.

Pour ce sang répandu, honte à tous les gaullistes de la terre, d’hier et d’aujourd’hui, copains-coquins avec le FLN algérien !

         Certes les Pieds-Noirs, les militaires et les Harkis qui ont survécu à ces tueries se souviennent avec gravité de ces années de terreur.

         Et pourtant certains ont toujours autant de m…. dans les yeux et les oreilles : la municipalité socialiste de Bagnolet avec le soutien d’une grande partie de la « gauche unie » (Verts, Radicaux de gauche, parti de gauche, PC, entre autres), a organisé une fête (!) en ce soixantième anniversaire de la Toussaint rouge, avec une exposition intitulée (lisez attentivement) : Algérie, un peuple, ses résistants !

         Non, nous ne rêvons pas.

         Qu’en pense Maxence BUTTEY, jeune Conseiller Municipal FN de Noisy-le-Grand (93), récemment converti à l’Islam ?

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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4 novembre 2014

LA CHARIA - OU L'ESCLAVAGE DES TEMPS MODERNES

Article transmis par Joseph Castano

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville)

Dans nos sociétés occidentales, le citoyen lambda a du mal à comprendre l’interprétation de la parole de Dieu qui est donnée par l’Islam... Tout n’est que contradiction dans ses propos religieux. Ainsi, bien que Dieu soit loué en permanence –même quand il s’agit d’égorger aux cris d’« Allah Akbar ! »-, on ne peut être que choqué par les tolérances du Coran sur certains points et par son paradis voluptueux…

La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point ! » Or, il n’est pas bien loin le temps où, un père furieux et honteux de la naissance chez lui d’une fille, l’enterrait vivante ou qu’un mari tenait à l’attache un troupeau d’esclaves dont il usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale…

Par conséquent, rien ne révolte plus que cet état dépendant que l’Islam impose, notamment, à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées, ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race.

L’un des problèmes sur lequel la Tradition musulmane se heurte de plus en plus aux impératifs et aux valeurs du monde moderne est celui, précisément, de la condition de la femme, soumise à trois lois : la polygamie, le droit du jebr (mariage des mineurs sans les consulter) et la répudiation unilatérale.

Pour exemple, le Prophète Mahomet a épousé une petite fille âgée de six ans et le mariage a été consommé quand elle a eu neuf ans…

Sur la vie familiale –cellule de base de nos sociétés occidentales- les conceptions de l’Islam sont totalement étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Il y a quelques années de cela, à la suite des contestations qui avaient opposé, en France, des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leur enfant (c’est encore le cas aujourd’hui) –illustrant bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes- le cheikh Abbas Ben Cheikh El Hocine, à l’époque, recteur de la Mosquée de Paris, s’était permis de mettre en garde les femmes françaises qui épouseraient des Maghrébins. Il avait déclaré : « la future mère qui épouse un musulman doit savoir que les enfants issus de cette union seront musulmans. L’enfant est appelé à perpétuer le nom et l’identité religieuse de son père ».

Cette attitude s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. Dans le monde musulman, il n'y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia (loi islamique) est axée strictement sur la punition des femmes.

Alors que dans les sociétés occidentales la femme est considérée comme étant l’égale de l’homme, le Coran (4,34) affirme que « les hommes ont autorité sur les femmes », que les « femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et que « si les hommes craignent la désobéissance de leur(s) femme(s) ils peuvent les exhorter et même les frapper ».

Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C'est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, récemment, une jeune femme violée a écopé d’un an de prison ferme et cent coups de fouet pour « adultère »… tandis que ses cinq agresseurs n'ont pas été inquiétés le moins du monde…

Au Koweit, on vous dira que « acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l'adultère ». Mais cela est valable aussi au Qatar et dans toute la péninsule arabique. La femme n'étant qu'un objet, l'adultère n'y a pas le même sens qu’en Occident. Violer une femme, c’est également voler l'homme qui en est propriétaire. Dès lors, la femme devient adultère et doit être lapidée puisque par définition, c'est de sa faute. C’est l’Islam !...

C’est, pour les hommes, l'approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C'est la liberté d'abuser d’elles et de les utiliser comme il leur plaît, sans limites. Par ailleurs, l’excision fait toujours partie des traditions, perpétuée de génération en génération afin que le plaisir amoureux que pourrait prendre la femme à la relation sexuelle reste toujours inférieur à celui de l’homme…

En Algérie, selon le quotidien « El Chourouk », 4000 femmes sont répudiées chaque année par leurs maris parce qu’elles ont un cancer du sein. Selon Hamida Kateb, présidente de l’association d’aide aux personnes atteintes de cancer, les hommes qui choisissent d’abandonner leurs épouses dans ce contexte « refusent d’accepter les changements physiques qui surviennent chez leurs femmes. Ils considèrent que ces femmes ne sont plus en mesure d’accomplir le devoir conjugal ». En plus de la terrible détresse psychologique et de l’isolement qui en résulte, les femmes répudiées du jour eu lendemain se retrouvent, pour la plupart, sans couverture sociale après le divorce et sans soins, car trop onéreux.

Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Haram (qui signifie « l’éducation à l’occidentale est impure »)ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : Assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages et de jeunes femmes destinées à des « mariages-esclaves » ou à l’entretien des harems.

Cette secte djihadiste capture femmes, jeunes filles, enfants pour les donner en esclaves sexuelles à ses soldats, les plus belles étant vendues à de riches africains ou arabes. L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Haram relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, inhumainement traitée comme du bétail.

Un rapport de Human Rights Watch datant de fin 2013 fait notamment état d'enlèvements et de viols de femmes et de jeunes filles par le groupe islamiste et d'enrôlement de force de jeunes enfants.

On se souvient avec effroi de l’enlèvement de ces 276 jeunes filles, élèves d’un lycée de la ville de Chibok (Nigéria), enlevées le 14 avril 2014 dans leur établissement par des hommes armés et menaçants. Le chef de Boko Haram, le tristement célèbre, Abubaker Shekau, a aussitôt revendiqué les enlèvements, déclarant avoir enlevé les lycéennes parce que « l’éducation occidentale doit cesser » et que les filles « doivent quitter l’école et être mariées », menaçant, par ailleurs de vendre les jeunes filles sur le marché, « au nom d’Allah ».

Selon la Maison Blanche, « beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins », a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf, tandis que des informations circulaient sur le possible transfert des adolescentes au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.

L’enseignement étant désormais devenu impie, le 17 septembre 2014, deux djihadistes avec armes automatiques, grenades et ceintures d’explosifs ont pénétré à l’intérieur du « Federal College of Education » (Centre de formation des professeurs) de Kano et se sont livrés à un massacre, tuant 15 étudiants et en blessant une trentaine d’autres. Durant le seul mois de juillet, cinq attaques similaires, imputables à Boko Haram, ont eu lieu à Kano.

Confortée par l’incompétence et la veulerie de gouvernants corrompus, la démission et la déliquescence d’une armée nullement entretenue et non payée, cette secte s’enhardit à chacune de ses attaques, faisant régner sa loi et sa terreur en toute impunité. C’est ainsi que le 25 octobre 2014, 60 autres femmes et jeunes filles furent enlevées à Wagga et, le lendemain, une trentaine d’adolescents (garçons et filles) connurent le même sort dans un village de l’Etat de Borno, au nord-est du Nigéria… sans la moindre réaction des autorités.

…Et le calife autoproclamé, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’Etat Islamique (EI), en fait autant en Irak et en Syrie. Ce sont des arabes chrétiennes, mais aussi yazidis et des musulmanes chiites qui sont présentées dans des cages, comme des animaux et serviront d'esclaves sexuelles autant que domestiques. Mise à prix une centaine de dollars « pièce » !...

« La liste des crimes atroces commis par l'État Islamique à l'encontre des Yézidis en Irak ne cesse de s'allonger », a déclaréFred Abrahams,conseiller spécial à Human Rights Watch. « Nous avons recueilli des témoignages au sujet de conversions religieuses forcées et de mariages forcés, ainsi que d’agressions sexuelles et d’esclavagisme… et certaines victimes ne sont que des enfants. »

En août, les Nations unies ont notamment estimé que l’organisation terroriste avait réduit en esclavage sexuel environ 1 500 femmes et adolescentes dans le Nord de l’Irak et Amnesty International en a fait de même. On est bien loin –dans les faits- de l’illusion entretenue en Occident d’une religion musulmane « de paix et d’amour » tolérante envers les autres religions…

            Et ce qui nous révolte, nous, Français, c’est que face à ces abominations on n’entend nullement se dresser ni Caroline Fourest, ni Najat Belkacem, ni les Femen, ni Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller, Said Bouamama, de « Nique la France » qui n’ont de cesse de dénoncer « l’esclavagisme blanc » de jadis en occultant négligemment l’esclavagisme musulman. Il est vrai qu’en la matière, ils peuvent compter sur l’appui inconditionnel de Christiane Taubira, notre inénarrable ministre de « l’injustice », la passionaria indépendantiste guyanaise qui, dans L’Express du 4 Mai 2006 déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! »… en contradiction flagrante avec l’anthropologue Malek Chebel qui écrit à ce sujet : « Parce que je suis un intellectuel musulman, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »

José CASTANO Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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Vidéo à visionner impérativement - Cliquez sur : Le témoignage poignant d’une femme en terre d’islam ...

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L’Islam, religion de « paix et d’amour »… et la condition féminine

De jeunes filles musulmanes (encore enfants) enchaînées pour être livrées à leurs prédateurs sexuels

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014

Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM

Parking sur les quais

Cliquez : http://popodoran.canalblog.com/archives/2014/10/06/30720500.html

Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Courriel : belmonte-georges@wanadoo.fr

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERS, le 27 novembre à 16 heures.

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2 novembre 2014

CHANZY

            Dans le département d’Oran, le village est installé à 679 m d'altitude sur les ruines thermales d'un ancien camp romain. Chanzy dépend du canton de Boukanéfis et du chef-lieu d'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. En 1851, l'autorité militaire attribua des lots de fermes à quelques familles françaises, mais ce n'est qu'en 1854 que la création du centre de Sidi Ali Ben Youb fut définitivement décidée par l'attribution de 24 lots de culture de 25 ha environ, y compris les lots urbains et de jardin, plus 6 lots, qui furent réservés pour des besoins communaux. Le centre prend le nom de Chanzy en 1883.

            Située sur les bords de l'oued Mekerra, à la jonction des routes de Bossuet et de Bedeau. Dans ses quartiers aux rues parallèles, plantées d'arbres de diverses essences, on y respire la fraîcheur, grâce à de nombreux canaux. Au dire de certains géologues, l'emplacement actuel de Chanzy aurait été, aux temps préhistoriques, un vaste lac alimenté par les eaux de la rivière et de deux importantes sources artésiennes.

Situation Chanzy

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1 novembre 2014

Poème de Gérard

(né à Vitry-sur-Seine) à son frère aîné, Michel Delenclos (né à Paris 13ème) alors incarcéré à Fresnes et, aux jeunes Oranais détenus comme lui ou qui ont laissé leur vie, aux quatre coins de leur terre natale. (01 novembre 1962)

Oran vue generale depuis santa-cruz 1962 tagOran 1962

DEMAIN

Ô temps, que tu es puissant

Tu vis, tu passes,

Me laisse rien et tout efface

Feu, fer et sang.

 

Ô temps, n'oubliez jamais

Que nous vivons par toi

Que nous devons nous aimer

Aux noms des frères sur la croix.

 

Que celui qui souffre derrière les barreaux

Laisse passer le temps et tomber l'eau

Car l'espérance n'est pas morte

Et viendra un jour à ta porte.

 

Ô enfant, séparé de ta mère

Ô frère, loin de tes frères

Ô vous, mes copains

Je voudrai partager mon pain.

 

Comme le juste, au rang des assassins

Comme le soleil qui fait crever les raisins

Comme le vent souffle dans la rue

Nous partons, comme nous sommes venus.

 

Crois, car ton Dieu est amour,

Crois en ce qui est immortel

Le temps nous est court

Mais la vie est si belle.

 

Et toi frère

Devant ton sort

Tu es plus fort

Par ta seule prière

Car tu es un Homme.

Retour DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.

29 octobre 2014

1er NOVEMBRE 1954 LA TOUSSAINT ROUGE

            Au début des années cinquante, la France considère l’Algérie, département français depuis 1848, comme faisant partie intégrante de son territoire. Pourtant la population musulmane a de plus en plus de mal à supporter l’inégalité de la société algérienne, dans laquelle elle se retrouve sous-représentée politiquement et opprimés par un système économique qui ne profite qu’aux colons.

            Des nationalistes, regroupés dans le Front National de Libération (FNL), passent à l’offensive à l’automne 1954. Au cours de la « Toussaint Rouge », dans la nuit 31 octobre au 1er novembre, plusieurs attentats sont perpétrés dans une trentaine de points du pays. Ces attentats marquent le début de ce que les autorités françaises et les médias appellent alors les « évènements » d’Algérie. C’est en fait la guerre d’Algérie qui commence.

            La Toussaint rouge est le nom donné en France, en référence à la guerre d'Algérie, à la journée du 1er novembre 1954, durant laquelle le Front de libération nationale (FLN) manifeste pour la première fois son existence en commettant une série d'attentats en plusieurs endroits du territoire algérien. Cette journée est rétrospectivement considérée comme le début la guerre d'Algérie (1954-1962) et elle est devenue une fête nationale en Algérie .

            La formule se réfère à la Toussaint (littéralement : fête de tous les saints), dont la date est le 1er novembre, à laquelle une signification funèbre est souvent attribuée par confusion avec le Jour des morts (2 novembre).

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En définitive, les attentats de la «Toussaint rouge» ont très peu de retentissement dans l'opinion française et la presse métropolitaine en fait à peine écho. Ils n'en marquent pas moins le début de la guerre d'Algérie, huit années de tourments qui ont marqué durablement les esprits et les coeurs des deux côtés de la Méditerranée.

Monnerot

Ils ont tué Guy Monnerot et Hadj Saddok !

            Le 1er novembre 1954, vers 9 heures du matin, le car Citroën qui assure la liaison Biskra-Arris-Batna arrive à hauteur des gorges de Thigamène, dans la région de M’Chouchène (Aurès). A bord, des paysans, le caïd de M’Chouchène, Hadj Saddok dans son burnous rouge et un couple de tout jeunes mariés métropolitains, Guy et Jeanine Monnerot. Il a 23 ans. Elle en a 21. Ils rejoignent l’école primaire de Tiffenel (arrondissement de Batna), à 160 km au sud de Constantine, où ils ont été nommés.

Toussaint rouge

            La veille, le couple a séjourné à Arris, chez un autre couple d’instituteurs, les Cadène. A hauteur de la borne qui indique : « N 31. Arris : 18 km. Batna : 79 km », un barrage. Il est 10 heures. Des hommes armés se réclamant du FLN (créé le 23 octobre 1954) ordonnent à tous les passagers de descendre. « Je suis capitaine de l’armée française », leur dit Hadj Saddok. « Nous sommes instituteurs », disent les Monnerot. C’est, ainsi résumé, les raisons pour lesquelles ils vont mourir (1). Ils symbolisent l’Algérie française. Ils sont la France.

            Une première rafale. Hadj Saddok s’écroule. Une seconde rafale. Guy Monnerot est frappé à mort, Jeanine est touchée à la cuisse. Les terroristes commandent au car de repartir. Avec à bord le corps de Hadj Saddok. Les Monnerot gisent au bord du ravin. Avant de s’enfuir, un fellagha tente d’achever la jeune femme. La balle va se ficher à quelques centimètres de sa nuque.

            Jeanine Monnerot sera secourue vers midi. A Arris, un jeune infirmier para, qui a interrompu ses études pour servir en Algérie, lui donne les premiers soins avant de l’évacuer par hélicoptère vers Batna. Elle a 21 ans. Elle est veuve. Elle ne se remettra jamais de ce drame. Elle est morte, à l’âge de 61 ans, le 11 novembre 1994 – autre date anniversaire – à Ollioules dans le Var.

            Hadj Saddok était un héros. En 1945, sous-officier de l’armée française, il sert dans une unité de tirailleurs stationnée en Tunisie, à proximité des Aurès-Nemencha. Quand, le 8 mai 1945, éclate l’insurrection à Sétif et dans ses environs, Saddok, qui est un Chaouïa, persuade la population chaouïa de ne pas se commettre avec les émeutiers. Avec succès.

            Il ne fait donc aucun doute que c’est ès qualité, comme les deux instituteurs, qu’il a été visé. Les tueurs FLN avaient reçu l’ordre de Mostefa ben Boulaïd, représentant du CRUA (Comité révolutionnaire pour l’unité d’action, devenu FLN une semaine plus tôt) d’abattre cet homme qui, avant d’être abattu – on le sait par le témoignage de Jeanine Monnerot – avait fait un rempart de son corps aux deux jeunes gens (2).

            Il est sanguinairement révélateur que le gouvernement FLN d’après l’indépendance ait élevé une stèle à la gloire des tueurs et de leur chef, Chihani Bachir, sur les lieux mêmes du massacre. La stèle, non matérialisée, que nous avons, nous, dans le cœur, c’est la mémoire de Hadj Saddok tué d’une rafale de Sten. Tué parce que, comme une majorité de Français musulmans par la suite, il se serait dressé face aux mots d’ordre lancés – déjà – par les radios arabo-islamistes de l’époque : « Tuez-les tous ! Notre civilisation, c’est le Coran, pas celle de ces chiens de roumis ! »

            « Chiens de roumis »… C’est, à la nuance près : « Chiens de chrétiens », ce que disent les islamo-terroristes aujourd’hui. Les métropolitains, qui ont applaudi naguère au bradage de l’Algérie française, commencent à le vérifier in situ.

(1) Le même jour, un garde-champêtre kabyle, un fermier de Mostaganem, un lieutenant et un spahi musulman à Kenchela seront tués.

(2) « Laissez ces jeunes gens tranquilles, ils sont venus de France pour instruire nos gosses. »

ALAIN SANDERS

Article extrait de "Présent" n° 8219 du Mardi 28 octobre 2014

Mémoire ..................... ne nous abandonne pas (Régis guillem octobre 2014)

Lepopulaire-fr

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29 octobre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 118

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Jeudi 23 octobre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Le parlement canadien attaqué par un islamiste !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

 

         Manifestement le monde entier n’a pas compris qu’il est menacé par les ayatollahs d’une doctrine archaïque déguisée en religion : l’Islam !

         Ce nouveau péril augmente chaque jour en intensité, au fur et à mesure  que l’immigration en provenance des pays arabes progresse, particulièrement en France et en Europe mais aussi dans le monde.

         Les pays civilisés accueillent ces musulmans à bras ouverts, et aujourd’hui, non contents de nous envahir, ils tentent par des assassinats qui se multiplient de semer la terreur parmi les populations occidentales.

         Le nouveau choc s’est produit mercredi 22 octobre à Ottawa, au Canada. Le dénommé Michael ZEHAF-BIBEAU, né à Montréal en 1982 (32 ans), d’un père libyen, Boulgasem ZEHAF et d’une mère québécoise, Susan BIBEAU (encore une qui ne savait pas qui elle épousait…), a pris un fusil de chasse à double canon, s’est rendu au parlement canadien, a froidement abattu un militaire, le caporalNathan CIRILLO, en faction devant le monument aux morts, avant d’y pénétrer pour tuer des parlementaires.

         Sans doute voulait-il les convaincre qu’il pratiquait une religion de paix !

         Ce tireur fou d’Allah, finalement abattu par le sergent d’armes Kevin VICKERS, était connu des services de Police pour un problème de drogue au Québec, et un séjour en Libye pour combattre contre Mouhammar KHADAFI.

         L’individu faisait partie d’une liste récente de personnes risquant de partir guerroyer en Syrie. Ne pouvant y partir il a fait son jihad sur place !

         Retenons la lucide déclaration de Chris ALEXANDER, Ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration : « c’est une attaque contre notre système de gouvernement, nos valeurs, notre démocratie ».      A entendre et à répéter !

         Je ne terminerai pas ce Phare sans une pensée très émue pour un combattant de la Résistance Française en Algérie qui vient de nous quitter : Joseph (Jo) RIZZA, ancien membre des commandos Delta d’Alger, est décédé le 18 octobre 2014 à Nice, à l’âge de 87 ans. Adieu patriote !

         Lire la remarquable biographie rédigée par Michel DELENCLOS, Historien, sur le site « Le coin du popodoran », en cliquant sur le lien suivant :

http://popodoran.canalblog.com/archives/2014/10/21/30810676.html.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

28 octobre 2014

JEANNE D'ARC

Retour sur le parcours hors du commun de cette statue emblématique du centre-ville de Caen.

JA2 paya

photo "JF PAYA CAEN"

            Dorée, fière sur son cheval, l’étendard à la main, et surélevée sur son piédestal de granit, la statue de Jeanne d’Arc domine la place de la Résistance à Caen. Comme si cela avait toujours était le cas. Pourtant, un jour de mai 1931, elle illuminait déjà et pour la première fois une autre place, bien loin de Caen.

            Fondue par Joseph Ebstein, elle fut l’un des points d’orgue des commémorations du centenaire de l’occupation française en Algérie. Elle se figea alors sur le parvis de la cathédrale d’Oran. Elle eut même le privilège d’inspirer Albert Camus. Dans La Peste, le Prix Nobel de littérature 1957 écrit ainsi : “Rambert se rendit sous le porche de la cathédrale, cinq minutes avant huit heures. Le soleil, derrière les maisons de l’Est, réchauffait seulement le casque de la Jeanne d’Arc entièrement dorée qui garnit la place.”

            L’expérience algérienne de la statut s’arrêta en même temps que la présence française. Pendant l’exode, elle fut rapatriée dans l’Hexagone avant d’être offerte par l’Etat à la Ville de Caen. Le 10 mai 1964, le maire Jean-Marie Louvel l’inaugurait sur la place de la Résistance. Quatre ans plus tard, l’épée originale fut volée. Celle qui la remplaça le fut à nouveau en 2001.

Retour enquètes Jean-François Paya

27 octobre 2014

JOYEUSE UNION DON BOSCO NÎMES OCTOBRE 2014

OCTOBRE 1

C'était  le  dimanche  6 octobre que  se déroulait à Nimes le grand rassemblement  des Salésiens - Don Bosco des patronages d'Oran auxquels s'étaient joints nombre de leur amis, JUDB - AOBR - internautes de FAMILIA plus de 1000 personnes réunies dans l'enceinte  du sanctuaire de Santa-Cruz.

Suivant la tradition , quelques groupes arrivés la veille ont passé d'agréables moments dans leurs traditionnels hôtels, une mise en  conditions pour préparer les rencontres du lendemain .Parmi eux , l'AEEMO à Nimes  et les internautes de La Familia , à Marguerittes  sans oublier les regroupements familiaux de circonstance....je pense entre autre  aux RUIZ et compagnie....!!

Des échos reçus, ces festivités , toutes amicales se terminèrent fort tard.. 

Dimanche matin à partir de 7 heures  arrivée des " pèlerins" voitures et cars qui se succèdent...moins nombreux qu'à l'Ascension mais l'ensemble bien plus convivial....vu le nombre d'embrassades matinales...tous les présents ou presque se connaissent.

Après la fervente Messe  du matin, très suivie par nos amis c'est l'heure de la traditionnelle  course au tables et aux chaises ...... suivent les apéros.... et de la mise à disposition des cabacettes !

Chacun a trouvé une place.....le soleil brille.

Dand l'après-midi, nouvelle séquence religieuse avec le Salut au Saint Sacrement, précédé d'une procession avec prières et chants.....halte devant le monument consacré à Don Bosco.

C'est toujours avec ferveur que nous voyons s'élever  le Saint Sacrement qui brillait de milles feux sous un soleil éclatant....

Le Père Quilicci n'a pas manqué de souligner la gêne que le brouhaha du fond de la classe....apportait aux cérémonie.

La chorale présente nous offrit , pour terminer , un véritable  récital......tous nos chants traditionnels , connus et d'autres oubliés ont bercé cette fin de cérémonie , très réussie de l'avis de tous

Merci au Père Quilici, Henri Mongrenier (qui n'a que 90 ans, le journaliste de service de La Provence José Buéno  lui en ayant donné un peu plus....!!), Scotto, Ségura....et bien d'autres ....je ne peux tous les citer , mais n'oublions pas  également  tous les responsables et intervenants  du Sanctuaire!

José Bueno

 

OCTOBRE 1-1

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Retour à tous les pèlerinages.

24 octobre 2014

BARRAGE OUED SARNO

Le barrage du Sarno est construit entre 1947 et 1954 sur l'Oued du même. nom, affluant de la Mekerra au nord de Sidi-Bel-Abbès

A sa mise en eau en 1954 il disposait d’une capacité théorique de départ de l’ordre de 22 millions de m/cubes.

 

Retour à la liste de barrages

24 octobre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 117

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 17 octobre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

La chasse au « ZEMMOUR » est ouverte !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Sur l’invitation de Robert MENARD, nouveau Maire DVD de Béziers, qui ouvre un cycle de conférences intitulé « Béziers libère la parole » (très bonne initiative), le journaliste Eric ZEMMOUR est venu à Béziers, jeudi 16 octobre, où il a présenté (et dédicacé) son dernier ouvrage titré « Le suicide français » (Ed. Albin Michel), lors d’une conférence mémorable.

         Ecrire que ce journaliste, devenu essayiste politique, n’a pas froid aux yeux est un euphémisme : dans cette détestable époque dominée par la pensée unique entretenue par les apparatchiks de l’information officielle, ZEMMOUR est politiquement très incorrect donc….très intéressant !

         Il évoque des faits politiques et sociétaux de notre histoire contemporaine, avec une grande justesse et un brio certain. De ce fait, il dérange la caste bien-pensante des journaleux à la botte de la gauche qui reprennent en cœur le refrain de Guy BEART : le ZEMMOUR a dit la vérité il faudra l’exécuter !

         Et pour écouter ce « provocateur », ainsi qualifié la veille de sa conférence par le journal Midi-Libre (NB : n’hésitez pas à vous désabonner de ce torchon rouge, empruntez-le si vous tenez à le lire), 1.200 personnes sont venues l’écouter, dans une salle déjà pleine, deux heures avant qu’il parle.

         Certains thèmes contemporaine ont été évoqués avec plus ou moins de bonheur, mais avec une grande lucidité : PETAIN prisonnier du pouvoir nazi, l’ère gaulliste (hélas, ZEMMOUR est fasciné par la grande Zorah), puis 1968 avec sa révolution ratée mais qui a conquis les esprits (faibles) et sapé les bases de notre société entrée dans une sorte d’autodestruction (que la gauche a rendu massive), l’ère miterrandienne avec ses associations gauchistes à vocation anti-étatique (mais avec pignon sur rue), la dévalorisation de certains médias, l’Europe imposée aux Français alors qu’elle fut rejetée par référendum (magnifique respect de la démocratie), la perte évidente du sens de l’engagement et d’une forme d’héroïsme (grands-pères et pères ne sortez pas de vos tombes), la féminisation excessive des mœurs, la soumission à une forme dangereuse de pensée unique devenue pensée dominante, dont les effets déstabilisent chaque jour un peu plus notre société fragilisée au plus haut point de la cote d’alerte.  

         Un provocateur comme ça.…j’en redemande !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

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