Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

popodoran

popodoran
Newsletter
27 juin 2014

Lieutenant Roger DEGUELDRE, martyr de l’Algérie française

Par José Castano

« Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » (Roger Degueldre)

            Né le 19 mai 1925 à Louvroil, dans le Nord, Roger Degueldre, dissimulant son jeune âge derrière un physique impressionnant, entre en Résistance dans le maquis FTP de Roger Pannequin, surnommé « Commandant Marc ». Avide de combattre au plus près l’envahisseur allemand, il s’engage dans la 10ème Division d’Infanterie Motorisée qui participe à la réduction de la poche de Colmar, en janvier 1945.

           La guerre terminée, c’est à titre étranger qu’il s’engage dans la Légion Étrangère. Il servira, en Indochine, au 1er Régiment Étranger de Cavalerie et fera très vite parler de lui… Le 21 janvier 1950, à Tra-Vinh, dans le delta du Mékong, au péril de sa vie, il sauve d’une mort certaine sous le feu ennemi, le Capitaine de Blignières… plus tard, colonel, commandant le 1er REC. Cette action héroïque lui vaut d’obtenir la Médaille Militaire.

           La guerre d’Indochine se terminant, déçu, frustré et amer par l’issue des combats, l’adjudant Degueldre -Croix de Guerre des Théâtres d'Opérations Extérieures avec sept citations, (une Palme, deux Étoiles de Vermeil, deux Étoiles d'Argent et deux Étoiles de Bronze)- volontaire pour les parachutistes, rejoint le 1er Bataillon Étranger de Parachutistes qui prendra l’appellation de 1er Régiment Étranger de Parachutistes, dès 1955, durant la guerre d’Algérie.

           Il participe avec son régiment, en 1956, à l’opération de Suez puis, dès son retour, à la Bataille d’Alger dans le but d’éradiquer les bandes terroristes qui sèment la mort et la désolation dans la ville.

           En janvier 1958, il gagne ses galons d’officier, au feu, à Guelma, et participe à la bataille des frontières dans l’Est-Constantinois. Son ardeur au combat, son exemplarité et le dynamisme qu’il insuffle à ses hommes lui valent d’être décoré de la Croix de la Valeur Militaire avec Palme. Le 26 septembre, il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.

           Le temps passant, les atermoiements, les palinodies, les revirements et les reniements de De Gaulle sur le maintien de l’Algérie française sèment le doute puis la colère et l’amertume auprès de bon nombre d’officiers… Degueldre en fait partie. Il assiste, impuissant et rageur à la destruction d’une armée victorieuse et à la livraison de l’Algérie au FLN, rendant vains les sacrifices consentis.

           Après la révolte des officiers du 1er REP, le 8 janvier 1961, il est muté disciplinairement au 4ème Régiment Étranger d’Infanterie mais il refuse de rejoindre son nouveau corps. Le 25 janvier 1961, il entre dans la clandestinité et effectue des missions secrètes pour le compte des services spéciaux commandés par le Colonel Jacquin.

           Le 21 avril 1961, il réintègre son unité lors du putsch des généraux. La révolte avortée, il retrouve la clandestinité et rejoint les rangs de l’Organisation Armée Secrète (OAS) où il est nommé par le Colonel Godard, chef du Bureau d’Action Opérationnel (BAO).

           Fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur ! », il retrouve, dans la résistance à l’abandon, une raison de poursuivre le combat et une justification au serment qu’il a prêté sur le cercueil de son chef, le Colonel Jeanpierre : « Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »

           Au sein de l’Organisation, il s’emploie à forger une arme redoutable et redoutée de tous, tant de l’Élysée, des barbouzes, que du FLN : Les Commandos Delta qui, ayant pour slogan : « L’OAS frappe où elle veut, quand elle veut ! », mènent un combat de tous les instants, rude, chaotique, désespéré, mortel, mais si efficace qu’il sème l’angoisse et la crainte dans les plus hautes sphères… et que la fatalité des circonstances précipitera vers un dénouement tragique.

           Le 7 avril 1962, Degueldre est arrêté à l’issue d’une réunion réunissant plusieurs responsables de l’Organisation. Reconnu, il est aussitôt transféré en métropole et écroué à la prison de la Santé.

           Le 28 juin s’ouvre son procès qui n’est autre qu’une parodie. A cet effet, une juridiction d’exception, la Cour Militaire de Justice, est créée afin qu’il ne puisse, contrairement au général Salan, obtenir les « circonstances atténuantes » et sauver sa tête. Le général Larminat doit la présider. Ancien de l'armée coloniale, il refuse de juger le condamné et déclare : « Je ne serai pas le Fouquier-Tinville de la Ve République. Je me tuerai ce soir » Dans la soirée, il met fin à ses jours. Qu'importe ! Il est remplacé par le général Gardet. La justice expéditive gaulliste ne va pas s'arrêter sur un cas de conscience… En un minimum de temps, après une absence d’instruction et de témoins à décharge, l’officier parachutiste est condamné à la peine de mort.

           Refusant dédaigneusement le recours en grâce présenté par la défense, c’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 d’Oran qui fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, (lequel aurait dû pourtant l’inciter à la clémence), que De Gaulle prend la décision de faire fusiller le Lieutenant Roger Degueldre.

           Le 6 juillet 1962, à 02h30, les deux défenseurs du condamné, Jean-Louis Tixier-Vignancour et Denise Macaigne arrivent à la prison de Fresnes en même temps que l'avocat général Gerthoffer qui a requis la peine capitale et l'aumônier de la prison. Avant de quitter sa cellule, il prononce, en guise d'adieu, ses dernières paroles : « Je suis fier de mourir pour tenir le serment qu'a fait tout officier ayant servi en Algérie. Dites aux Algériens que, si je ne suis pas de leur race, n'étant pas né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours. » Se tournant vers le procureur Gerthoffer, il déclare : « Je ne vous garde pas rancune, mais je vous plains. »

           Puis, c’est le départ vers le fort d’Ivry où doit avoir lieu l’exécution. Á 03h45, l’Officier se présente devant les douze soldats du peloton d’exécution, en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il a tout sacrifié et qu’il a choisi comme linceul. Autour de son cou, il a noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y a la photo d’un bébé, son fils qu’il n’a jamais vu. Il a conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé est venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écrie-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refuse qu’on lui bande les yeux et, au poteau crie : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.

           Les trois premiers officiers désignés pour commander le peloton d'exécution ayant refusé d’accomplir cette sinistre besogne, les Capitaines Jean de Balby de Vernon, Michel Cabanes et Michel Martet, du 501ème régiment de cavalerie de Rambouillet, sont sanctionnés, rayés des cadres et mis aux arrêts. Les officiers suivants qui ont refusé l'ordre, ont été également sanctionnés.

           Il est 03h56. Le sous-officier remplaçant, chef de peloton, abaisse le bras. Les soldats qui doivent exécuter le Lieutenant Degueldre, émus par son courage, hésitent à tirer. Douze coups retentissent cependant dans la nuit… mais une seule balle l’atteint : au ventre diront certains.

           L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipite, l’arme à la main, pour accomplir sa « mission » et se rend compte que le condamné est toujours en vie. Sa tâche ne consiste désormais plus à achever un quasi-mort, censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes... Il en a si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission tremble, et que le revolver se décharge dans le vide. Livide, désemparé, l’adjudant tire une deuxième fois et rate encore sa cible.

           Les défenseurs, voyant que Roger Degueldre souffre atrocement, réclament l’intervention d’un médecin. Celui-ci, arrivé sept minutes plus tard, atteste que le supplicié vit toujours. Il faut donc l’achever au plus vite. Et pendant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé continue de gémir…

           L’adjudant, toujours tremblant, pointe une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferme les yeux et appuie sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produit. L’arme s’est enrayée. Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur Gerthoffer ordonne qu’une nouvelle arme soit apportée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possède. Il faut courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre est toujours vivant et son calvaire interminable.

           À partir de ce moment-là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels ; il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les États-Majors, le FLN et l’Élysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

           Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu (peut-être) changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce au condamné… Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée…

           Enfin on remet un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, dans un état second… mais obéissant servilement au commandement de tuer, doit en finir puisque tels sont les ordres. Un nouveau coup de feu claque. Stupeur ! Celui-ci est tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradie le corps du supplicié. Il regarde vers le ciel et ouvre grands ses yeux. Peut-être perçoit-il à cet instant que son calvaire prend fin. Il est tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui semble entendre, là-haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».

Á 04h08, une nouvelle détonation retentit… et c’est la fin. La boucherie a duré 12 minutes… 12 atroces minutes..

           C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Étranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien.

           Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton. Décidément, le crime était profondément enraciné !…

           Le Lieutenant Roger Degueldre aura respecté jusqu’à la fin son serment « la mort plutôt que le déshonneur ! ». Après avoir été enterré au carré des suppliciés dans le cimetière de Thiais, il repose aujourd’hui au cimetière des Gonards, à Versailles.

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano.

           Le Lieutenant Degueldre s’était adressé à ses camarades officiers en ces termes :

« Faites bien attention. Vous affirmez que rien ne vous empêchera de garder l’Algérie à la France. J’ai prêté ce serment avec vous. Mais sachez bien qu’en ce qui me concerne, il sera respecté. J’irai jusqu’au bout ! »

- L’assassinat du Lieutenant Degueldre. Voix de Jean-Pax Meffret 

Ce jour là ... 6 juillet 1962

LD 1 LD 2

« … Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées

Par ses fusils levés à l’épaule des frères,

Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées

Le prix des reniements au plus juste salaire… »

Robert BRASILLACH

-o-o-o-o-o-o-o-

Mon blog cliquer sur : - Mon blog – 

Mes ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

Ma biographie, cliquer sur :- Ma Biographie –

Publicité
Publicité
6 juin 2014

LE SOLEIL COLONIAL - AU ROYAUME DES CAILLOUX

Prix à l'unanimité du jury Terre d'Eghriss / L’autre Rive, de l’association de Thiersville, présidée par Lucien Cano , vice-président Jean-Félix Vallat.

Le soleil colonial

Cette petite saga est une suite indépendante de L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya (2013), où l'auteur a suivi les pérégrinations de Grain de Bled à travers le temps et l’espace de l’Afrique du Nord dans le but de venir s’incarner dans une petite fille, Marie Sahara, dont il est l’âme.

Échappés in extremis à la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran, les derniers membres de la famille, le cœur brisé, doivent quitter définitivement leur patrie algérienne.

Ce livre se veut aussi un hommage à la fraternité qui régnait en Algérie, fait oublié de l’histoire officielle.

Et comment ne pas rapprocher ce "soleil colonial" du livre de Ferhat Abbas : La Nuit coloniale ?

Deux visions d'une même histoire qui n'est jamais ni toute blanche ni toute noire…

"Moi qui suis petite-fille et fille de colons, fière de leur travail, j’ai voulu témoigner de la grandeur de ces femmes et de ces hommes que j’ai vus à la peine pendant toute leur vie pour fertiliser une terre sauvage et hostile.

Ils sont devenus seigneurs – mais d'un royaume de cailloux qu’ils ont passionnément aimé."

Maïa Alonso est l’enfant de la quatrième génération d’une famille espagnole arrivée d’Arboleas pendant l’été 1870, pour s’établir dans le Sud oranais, dans la région de Mascara.

ISBN 978-3-932711-40-4 Collection France–Algérie 40 - Prix : 22 €

 

Commander aux éditions "Atlantis"  

Commander sur  Amazon

Commander sur "La Librairie Pieds-noir"

Consulter le site de Maïa Alonso

Retour NOS LECTURES

4 juin 2014

LES COMMUNISTES FRANÇAIS DURANT LA GUERRE D’INDOCHINE

Par José Castano

« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. » (Journal communiste « L’Humanité » du 6 mars 1952)

Après le bombardement du port de Haiphong, le 23 novembre 1946, par la Marine française, le Viet Minh, dirigé par Hô Chi Minh, président de la République démocratique du Viêt Nam (dont l'indépendance a été proclamée à Hanoi le 2 septembre 1945), décide de lancer, le 19 décembre 1946, une offensive ayant pour but la « libération » de la ville de Hanoï. À 20 heures, une explosion dans la centrale électrique de la ville annonce le début de l'insurrection. De nombreux ressortissants français sont massacrés et des maisons pillées. Hô Chi Minh appelle tout le peuple vietnamien à se soulever contre la présence française : « Que celui qui a un fusil se serve de son fusil, que celui qui a une épée se serve de son épée… Que chacun combatte le colonialisme ! ». C’est le début de la guerre d’Indochine. Elle va durer huit ans.

La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ». Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».

Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ». Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.

La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ». Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…

Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et  limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.

Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! Et cette strophe du poème du capitaine Borelli, officier de Légion, adressé à ses hommes morts au combat, prennent ici, un sens particulier : « Quant à savoir, si tout s’est passé de la sorte, si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas, si vous n’êtes pas morts pour une chose morte, Ô, mes pauvres amis, ne le demandez pas ! »

Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT,  la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations  ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d'une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l'express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés...

Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».

Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (1) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder.

Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français...

            La fin tragique de la bataille de Diên Biên Phu scella la défaite de la France et l'obligea à se retirer de l'Indochine mais le PCF demeura actif et poursuivit son action dévastatrice au sein du contingent et de ses réseaux de « porteurs de valises », durant la guerre d’Algérie. Combien de nos jeunes soldats sont morts sous les balles des communistes français livrées aux tortionnaires du FLN ?...

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

(1)Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine. L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998.

« Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc, officier putschiste du 1er REP)

Soldats français prisonniers du Vietminh

 

7 8 9

Ces hommes mourant sur des civières ne sont pas des déportés à Buchenwald ou Mauthausen et pourtant, avec des milliers d'autres camarades, ils ont rejoint la longue cohorte des ombres et des martyrs de l'Histoire qui appellent à un « devoir de mémoire » éternel et à l'indignation la plus vive, car le crime, ici, est resté impuni.

Rappelons une ultime fois l’ignominie de ces camps de la mort et la véritable nature du Viêt-Minh et de ses collaborateurs. La guerre d’Indochine ne fut pas une guerre comme les autres. Contre des soldats prisonniers -en principe, couverts et protégés par la Convention de Genève- le Viêt-Minh et ses sbires français, tels que des monstres de la trempe de Boudarel ont perpétré un génocide qui n’a d’équivalent au XXème siècle que celui effectué par les nazis.

Dans ces antichambres de la mort, en plus des brimades et des privations communes à tous les centres d’internement, nos soldats furent soumis aux fantaisies machiavéliques d’un professeur de philosophie français qui avait déserté pour devenir « Commissaire Politique » (Can Bô pour les viets) à la solde de l’ennemi.

Cet individu de basse besogne, vil et lâche, profita de l’appui du PCF pour retrouver un poste de leader syndicaliste en Tchécoslovaquie et, à la chute du mur de Berlin, revenir sans la moindre inquiétude en France pour y retrouver, avec l’appui d’intellectuels communistes, une chaire universitaire et usurper une retraite « bien méritée » (dixit le PCF). Protégé par l’intelligentsia de gauche, ce criminel de guerre, finira ses jours tranquillement dans son lit avec la satisfaction du « devoir accompli », notamment au camp 113. Boudarel, de par ses multiples protections, a échappé au châtiment des hommes et ses victimes ne connaîtront jamais la paix.

Les amis français des « Can Bô » siègent toujours au Parlement et leur objectif demeure le même depuis la fin de la première guerre mondiale : La destruction de la Nation française...

Nos soldats ne furent pas les seuls à connaître les sévices du goulag rouge. De nombreux vietnamiens furent également soumis à la torture, au lavage de cerveau et à l’extermination. Le Viêt-Minh de l’oncle «  » traqua aussi les montagnards Moï, Lao, Hmong, Rhadés, Thaï ou Nung dans le but avoué d’éradiquer le pays de leur existence et de les punir (comme, plus tard, le seront les harkis en Algérie), de leur fidélité à la France. Ne les oublions jamais !

-o-o-o-o-o-o-o-

MAJ JUIN 2016

Bien que les guerres « coloniales » n’aient plus cours, à l’appui des grèves qu’elle affectionne, la CGT pratique toujours, de nos jours, le sabotage industriel. Cliquez sur ce lien : CGT qui pratique le sabotage. ou ICI

La CGT complice, comme hier, des sabotages de la société française Par Gérard Brazon. Cliquez sur ce lien : Liberté d’expression

Ce n’est pas la première fois que la CGT sabote l’outil de travail en cas d’impuissance ou sous des prétextes divers. Souvent politique comme cette consigne du Parti communiste lors de la guerre d’Indochine: « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT… ce qui entraîna la mort et la mutilation d’innombrables soldats français.

Le 24 mars 1952, Léon Feix écrivait dans le quotidien communiste  « L’Humanité » : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste ».

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Mon blog cliquer sur : - Mon blog – 

Mes ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

Ma biographie, cliquer sur :- Ma Biographie – 

4 juin 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°93

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Mardi 3 juin 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

On appelle ça des djihadistes français !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Non, nous ne rêvons pas : après l’envahissante immigration maghrébine, après le port du voile intégral qui se prolonge malgré l’interdiction faite par la loi, après certaines mosquées honteusement financées par des structures administratives françaises (municipalités, départements, régions…), après la montée de l’Islam radical en France (et dans le monde), après les drapeaux algériens agités dans les mairies françaises pendant les mariages, après les retraites payées à des centenaires algériens morts depuis longtemps….voici venu le temps des jihadistes français ! Magie du verbe, enfer des mots.

         Dans des registres différents la France a subi des actions terroristes menées par des jihadistes français qui n’ont jamais caché leur parti pris pour la cause musulmane et/ou antisémite, en France et hors de France :

- Khaled KELKAL et sa bande d’algériens inféodés au Groupe Islamiste Armé (GIA), provoquant les attentats de l’été 1995 (8 morts, 148 blessés) en France,

- Abdul Abdallah YAHIA et son groupe d’algériens inféodés au GIA, responsables de la prise d’otages à bord d’un avion d’Air France, à Marseille, entre le 24 et le 26 décembre 1994, qui fit 7 morts (4 terroristes, 3 otages),

- le gang de Roubaix, co-fondé par Lionel DUMONT et d’autres braves  français convertis à l’Islam, dont certains membres, proches d’Al-Qaïda, allèrent combattre en Bosnie contre les Serbes, en 1994-95,

- Youssouf FOFANA, français d’origine ivoirienne, cerveau du diabolique d’une bande  autoproclamée gang des barbares (sic), qui tortura pendant 3 semaines Ilan HALIMI, 24 ans, mort le 13 février 2006 parce qu’il était juif,

- Mohamed MERAH, de sinistre mémoire qui assassine 8 personnes, dont 3 enfants, et fait 6 blessés, avant d’être abattu par le RAID le 22 mars 2012 :

   le 11 mars à Toulouse, il tue à bout portant 1 parachutiste : Imad Ibn ZIATEN,

   le 15 mars à Montauban, près de la caserne Doumerc, il tue 3 parachutistes : Mohamed LEGOUAD, Loïc LIBER et Abel CHENNOUF,

   le 19 mars à Toulouse, devant l’école juive Otzar Hatorah, il tue 4 personnes : Jonathan SANDLER, 31 ans, professeur d’hébreu et père de 2 enfants tués aussi, Arié SANDLER âgé de 2 ans et Gabriel SANDLER âgé de 4 ans,

   puis le tueur entre dans la cour et tue Myriam MONSEGO, 9 ans, fille du directeur de l’école ;

notes sur cette famille maghrébine qui déteste la France :

    - le père du tueur, Mohamed Ben-Allal MERAH, né en 1942 en Algérie, est venu travailler en France, où il fut ouvrier dans une usine, en 2000 il a été condamné à 5 ans de prison pour trafic de cannabis (!), en 2004 il retourna  définitivement en Algérie (sans qu’on lui demande le remboursement de toutes les allocations familiales qu’il avait perçues…),

    - la mère du tueur, Zoulikha AZIRI, née en 1957 en Algérie, osera déclarer « mon fils a mis la France à genoux, je suis fière de ce qu’a fait mon fils »,

    - quant à la sœur du tueur, Souad MERAH, elle a si bien été surveillée par la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI)….qu’elle vient de quitter la France, il y a quelques jours, sans avoir été interpellée (et sans qu’on lui  demande le remboursement de toutes les allocations familiales qu’elle a perçues…). Il est vrai qu’elle était invisible : elle portait un voile intégral ! Bravo à la DGSI.

- Mehdi MENNOUCHE, enfin, français de 29 ans originaire de Roubaix, (pote à Martine ?) qui vient d’assassiner  4 personnes devant lemusée juif de Bruxelles, samedi 24 mai, arrêté par inadvertance (vérification d’un bus par des douaniers) le 30 mai à Marseille. Pour mémoire : il était fiché comme combattant islamiste en Irak et en Syrie. Encore bravo la DGSI.

         Il faut plus que jamais nettoyer les écuries de l’immigration :

- la stopper par tous les moyens, à nos frontières réelles, même si cela déplaît aux arrogants Députés européens vendus aux mondialistes,

- annuler la possible double nationalité, française et étrangère, rapidement,

- retirer leurs droits civiques à tous les délinquants étrangers disposant de la nationalité française,

- reconduire à la frontière tous les délinquants étrangers récidivistes, dans un contexte  d’affaires criminelles graves,

- déchoir de la nationalité française tous les étrangers tueurs de citoyens français, et les terroristes confirmés, avec expulsion définitive de France,

- même traitement pour les jihadistes français qui partent guerroyer au nom de l’Islam, avec retour interdit sur le sol de France et de toute l’Europe,

- retrait de toutes les aides sociales à leur famille, avec menace d’expulsion, si un comportement anti-français est avéré !

VOILA CE QU’IL FAUT FAIRE, PAR LA VOIX LÉGALE, POUR CESSER D’AVOIR DES GRAINES DE MERAH EN FRANCE.

         Je pensais que le peuple français avait atteint le fond du gouffre, en supportant toutes les dysfonctionnements qui le mettent en péril….hélas non, il continue à se vautrer dans les affres de son alarmant déclin, fortement accéléré par une islamisation galopante.

         Oh, estimés grands-parents et parents qui avaient tant fait pour que notre Nation s’élève, vous devez vous retourner dans vos tombes en apprenant que la France d’aujourd’hui aime à se faire crucifier par certains de ces maghrébins qu’elle a accueillis sur son sol et éduqués pour en faire des citoyens modernes.

         Si la France veut survivre il faut stopper l’immigration et inventer un détecteur de barbares(création d’emplois en perspective), rapidement.

FRANCE, REVEILLE-TOI !  MARINE….VITE !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

4 juin 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°92

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 30 mai 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Bal à l’UMP : Jean-François COPE sorti par les videurs !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Après le gâteau fort savoureux des résultats des élections européennes, nous avons eu droit à la cerise sur le gâteau : Jean-François COPEexpulsé par les trois videurs de service, dans un contexte mélodramatique très réussi !

         Après les élections internes truquées des primaires de l’UMP, le 18 novembre 2012 (dans la famille il manque des urnes, je demande), après la tragi-comédie de la bataille des chefs (je t’aime, moi non plus), après le très émouvant Sarkothon (11 millions d’Euros), après les fausses factures (retrouvées par la Police) de Bygmalion (11 millions d’Euros), nous avons assisté à la chute de la statuette mal posée sur son piédestal, qui se donnait des allures de monument !

         Jean-François COPE, qui voulait nous faire croire qu’il avait la carrure d’un chef, a mordu la poussière….alléluia ! Un incompétent en moins.

         Nous nous rappellerons longtemps sa mine triste et ses joues blêmes (une pensée pour Dalida), avouant d’une voix de pauvrine comme on dit à Montpellier : « mais enfin…j’étais occupé par la campagne électorale…je n’étais pas au courant…on ne m’avait rien dit…ce n’était pas mon travail de vérifier…je demande aux Français de me croire… ». Non…ça c’était avant !

         Je lui ai trouvé des accents à la Jérôme CAHUZAC, pas vous ?

         Pour ma part il incarne une droite irresponsable coupable de coups électoraux tordus avec l’affligeant PS, contre le FN, bien sûr, parti qui n’a absolument rien à voir avec l’actuel désastre social, économique et politique.

         D’ailleurs Jean-François-le-sorti n’a jamais admis que les adhérents de son parti en avaient assez des comportements partiaux et prétentieux de la direction de l’UMP. Les fausses factures ont fait le reste. Merci Bygmalion !

         Souhaitons à ce parti qui a réglé son compte à sa fausse idole, de faire un ménage interne efficace, d’accepter l’union des droites, FN compris, sinon qu’il disparaisse et laisse la place à la nouvelle droite patriote et souverainiste qui a des projets pour la sauvegarde de la Nation Française.

         Adieu Jean-François COPE, et ne ressortez-pas de votre trou en 2017 ni en 2022…des ersatz comme vous les Français n’en veulent plus !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

Publicité
Publicité
1 juin 2014

NÎMES ASCENSION 2014

Comme tous les ans pour l’Ascension, le Mas de Mingue est redevenu, jeudi, la capitale des pieds-noirs d’Oran. Ils sont venus 20 000 de toute la France, pour se revoir et s’embrasser à grandes démonstrations de joie, déguster leurs plats nationaux comme la rate farcie et aussi sacrifier à la mona, aux merguez, à la paella et au couscous.

Pour aider aux retrouvailles, la cité s’est enrichie de nouveaux lieux : Cité Petit, Jean-Mermoz, Saint-Lucien, Saint- Cloud, Plateau Saint-Michel, Sidi Bel Abbès, place Hoche...

Il y avait aussi, au forum des associations, plusieurs auteurs qui dédicaçaient leurs ouvrages, le Collectif de sauvegarde des cimetières d’Oranie qui veille toujours au grain, des livres d’histoire et de recettes, des discussions désenchantées avec l’accent qui se perd !!

La procession, de l’église au sanctuaire, a débuté à 14 h 30 précises, une foule récitant le "Notre Père" et le "Je vous salue Marie" se levant et s’inclinant sur le passage de la vierge chérie hissée sur un lit de fleurs.

Santa-Cruz 2014

Vidéo de Gérard Roignant

Article de José Bueno sur "La Provence" du 31/05/2014

Grande ferveur à Notre­ Dame de Santa-Cruz

IMG_5053

IMG_5056

IMG_4895

IMG_4897

IMG_4898

 Retour à tous les pèlerinages de ND de Santa-Cruz.

28 mai 2014

SOIXANTIEME ANNIVERSAIRE DE LA FIN DE LA GUERRE D'INDOCHINE

          Le 14 juin 2014 l'ANAI 31 organise à Toulouse une journée de commémoration du 60ème anniversaire de la fin de la Guerre d'Indochine. Elle recherche notamment des Anciens combattants ayant participé à ce conflit et originaires d'Afrique du Nord.
Merci de bien vouloir diffuser cette information si vous la jugez utile. Programme en pièce jointe.
Comment ne pas voir dans le sort réservé aux Hmongs d'Indochine celui que subiront les Harkis 8 ans plus tard... ? (LVD)


Cette année marque le soixantième anniversaire de la fin de la guerre d'Indochine.

De 1946 à 1954 le Corps Expéditionnaire français comptera 100 800 morts et 37 000 prisonniers ou disparus, dont  seuls 10 700 reviendront.

Mais au-delà de cette guerre, la France était présente  dans ces contrées depuis 1624, date des premiers contacts établis par les missionnaires français.  Ils serviront d'intermédiaires pour les alliances politiques passées avec le  roi de France, et auront également une influence culturelle très forte.

Missionnaires, explorateurs, médecins, enseignants, scientifiques, soldats, magistrats, etc., donneront une extraordinaire variété à l'aventure indochinoise.

Chez les peuples qui composent la mosaïque que la France baptisera "Indochine" (actuellement Vietnam, Laos et Cambodge) des liens très forts seront créés avec la France, notamment chez les minorités ethniques des hauts-plateaux.  Après les défaites de Cao Bang en 1950 et de Dien Bien Phu en 1954, ces peuples abandonnés paieront au prix fort  leur engagement aux côtés de la France.  Les Hmongs en sont un exemple typique.

Pour rendre hommage aux combattants, souvent oubliés ou calomniés, pour dire notre amitié aux descendants de ceux qui se sont battus à nos côtés, l'ANAI 31 organise une journée de mémoire et d'hommage  le 14 juin à Toulouse.

Des anciens combattants nous feront l'honneur de leur présence, ainsi que des représentants des communautés Hmong, cambodgienne et vietnamienne.

Un de nos principaux intervenants sera le Lieutenant-Colonel Michel DAVID, historien réputé et spécialiste de l'Indochine. 

De plus, le 1er RTP,  le 8e RPIMa et le 1er RCP, tiendront des stands pour faire connaître au public quelques objets et documents d'archives de cette époque.

Nous avons le plaisir de vous inviter à cette journée. Nous vous serions reconnaissants de diffuser très largement cette invitation. 

Vous trouverez tous les détails nécessaires dans le programme ci-joint.  Attention, pour  le déjeuner inscriptions par téléphone avant le 7 juin.

En vous remerciant, nous vous donnons rendez-vous le 14 juin à Toulouse.

ANAI 31 Contact : 06 95 160 777


 

ANAI_14_06_14_Page_1

 

ANAI_14_06_14_Page_2

 Retour liste des communiqués

27 mai 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°91

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 26 mai 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Lendemain des élections européennes :

Marine Le PEN réveille l’Europe des nations souveraines !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Enfin un moment de grâce politique : celui de voir les mines déconfites des ténors de l’UMPS, ramassis de magouilleurs-menteurs qui sont déconnectés de la réalité des peuples, où qu’ils opèrent : à l’Assemblée Nationale française, comme à l’Assemblée Européenne.

         Ce vote historique déclenche le réveil d’une conscience souverainiste, en France et en Europe : il faut nous mobiliser sur les deux plans et ne rien à lâcher à ces limasses mondialistes qui nous ont imposé une évolution del’Europe qui met la France en péril, et d’autres pays avec elle !

         Messieurs les ténors de l’UMPS, à force de prendre les électeurs pour des idiots vous récoltez enfin ce que vous avez semé : votre chute politique !

         J’espère que ce chant du cygne n’est que le début de votre disparition politique, car c’est tout ce que vous méritez.

         Vous avez de la chance qu’il n’existe pas de Tribunal révolutionnaire présidé par un FOUQUIER-TINVILLE moderne, moins sanguinaire bien sûr, mais qui aurait l’autorité pour vous destituer de votre fonction de Député, pour reniement des intérêts de la Nation Française, tant à Paris qu’à Bruxelles !

         Pire que ça : votre arrivisme, vos magouilles sur le dos du peuple français, votre lâcheté une fois le pouvoir atteint, font que vous ne méritez pas de représenter la Nation Française, ni à Paris ni à Bruxelles.

         Elus de l’UMPS, en l’état actuel de vos agissements scélérats, vous incarnez la décadence de la 5e République, et Marine n’y est pour rien !

         Oui, le nettoyage des écuries de l’Assemblée européenne a commencé et vous allez être sortis avec des pelles, car vous ressemblez à de la bouse !

         Vous n’avez que le mot démocratie à la bouche pour mieux cocufier le peuple de France et les peuples d’Europe. Ces derniers ont aussi été manipulés et sont tombés dans le piège de vos mirifiques promesses non tenues : un plus grand développement économique, la création d’emplois, la sécurité militaire renforcée, la défense de nos marchés intérieurs et de nos frontières….zoubia !

         C’est tout le contraire qui est arrivé. La France est devenue un pays envahi par des hordes de va-nu-pieds et des produits made in Chine !!! 

VOUS NOUS AVEZ MENTI, IL FAUT VOUS ECARTER DU POUVOIR DEFINITIVEMENT !

         Rappelez-vous le résultat du référendum français, le 29 mai 2005, sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe : NON à 54,68 % !

Après quoi, vous, les marionnettes de l’UMPS, vous avez annulé le vote du peuple, dans les salons feutrés de Versailles. Lâche attitude !

          Le succès du FN, à l’occasion de ces élections européennes, est votre tocsin : pour avoir précipité le déclin de la France, dont vous faites souffrirle peuple, et le déclin de l’Europe aussi, en les livrant aux esclavagistes du mondialisme, en 1789 vous auriez péri sur le billot !

         Ne soyez donc pas étonnés de voir arriver des souverainistes, décidés à faire entendre la voix des peuples de l’U.E., trompés sans vergogne.

HONTE A VOUS POLITICIENS RENEGATS, LES SOUVERAINISTES SE REVEILLENT ET VOUS EMPECHERONT DE BRADER LA FRANCE ET LE CONTINENT EUROPEEN !

         Votre spectacle de cirque ne fait plus recette et les clowns déguisés en responsables politiques que vous êtes ne font plus rire, ils sont même pitoyables :

- au PS :

  . C’est vrai c’est un échec….non c’est une défaite déshonorante,

  . le danger c’est le FN….non le danger c’est votre parti vendu aux étrangers,

  . Notre gouvernement a engagé des réformes….non il a ruiné la France,

  . Il faut donner du temps au Président….non il est trop incompétent,

- à l’UMP :

  . Nous devons faire le bilan….pas la peine il faut le déposer,

  . Nous devons parler des dysfonctionnements….oui surtout des fausses factures,

  . Il faut que soyons plus clairs….vous en êtes incapables,

  . Nous devons nous réunir et nous retrouver….trop tard votre bateau coule,

- les deux camps, la bouche en cul de poule : au PS, la montée du FN est la faute de l’UMP, à l’UMP, la montée du FN est la faute du PS. Très fort.

LA VERITE EST AILLEURS : LE FN PROMET D’ENTENDRE LES DEMANDES DES FRANÇAIS, VOILA LA SEULE EXPLICATION DU VOTE EN FAVEUR DU FN !

         Alors, rappelons les principaux scores réalisés (Le Figaro, hier, minuit) :

FN : 25,41 % (23 à 26 sièges) -  UMP : 20,77 % (18 à 20 sièges) -

PS : 13,97 % (12 à 13 sièges) - Modem-Udi : 9,81 % (7 à 9 sièges).

         Après cette sentence, car cela en est une, je souhaite à l’UMPS une chute politique définitive, afin qu’il ne reste plus trace de vous dans l’histoire de la 5e République. Et s’il en reste une, c’est au Karcher qu’il faudra la nettoyer !

         Nicolas vous pouvez continuer à vendre les CD de votre épouse, on ne veut plus de vous. François, vous pouvez remonter sur votre scooter, votre rôle va se terminer bientôt. A ce sujet, vous pouvez remercier le Ciel qu’il n’y ait pas d’élections présidentielles la semaine prochaine car vous ne seriez même plus à 18 % de popularité….mais tout simplement viré de l’Elysée !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

23 mai 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°90

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 23 mai 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Non à cette Union Européenne, oui à la France souveraine !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         A l’approche des élections européennes, une fois de plus « ils » essaient de protéger leurs places, leur rémunération de privilégiés obtenus le cul sur une chaise, leurs passe-droits excessifs et leurs prérogatives honteuses d’Elus européens qui ne pensent qu’à signer les cahiers de présence pour la prime !

         Les Euro-Députés ne sont pas près de cracher dans cette soupe et ont fini par se déconnecter des terribles réalités que connaissent les peuples européens à cause de directives européennes, outrancièrement irréalistes.

         Certes l’idée de départ qui est de maintenir la paix est un facteur essentiel pour développer une zone protégée, en évitant des guerres terribles qui ont fait tant de mal aux anciennes puissances européennes, dont la France.

         Mais aujourd’hui le coup de la paix est tout simplement has been (dépassé, qui a vécu) car aucune des anciennes et grandes puissances européennes n’est opérationnelle pour déclencher une guerre : fini les notions d’empire et d’hégémonie militaire !

         Cela suffit à comprendre que le monde européen n’est plus ce qu’il était.

         Il est risible d’entendre que ça pourrait se déclencher à nouveau, j’entends  entre grandes nations. Le prix à payer est trop cher et il n’y a plus de conquête géographique à réaliser : tous les anciens belligérants, enfermés dans leurs frontières (si l’on peut employer ce terme has been), sont rentrés dans le rang, et c’est tant mieux. Merci aux précurseurs de cette Europe de la paix, certes.

         Que les petits nouveaux états créés, essentiellement à cause de la chute de l’URSS, se cherchent et guerroient, cela se comprend car ils ont des comptes à régler au sein de leurs propres ethnies. C’est une dure réalité mais c’est ainsi : chacun revendique son nationalisme, à tort ou à raison.

         Ces soubresauts tragiques ne mettront pas la paix de l’Europe en péril.

         Et puis, plus simplement, il ne fallait pas qu’ils intègrent l’Europe !

         Il faut être un socialiste faux-cul (pléonasme) comme M. Laurent FABIUS pour ne parler que de la paix du matin au soir, en ignorant les ravages politiques, économiques, financiers, et donc humains, subis par les peuples européens depuis la mise en place de l’Union européenne telle qu’elle fonctionne aujourd’hui et depuis plusieurs années.

         Ce n’est pas l’Europe qui est rejetée, c’est la façon dont l’Union Européenne fonctionne actuellement ! Ce sont deux choses bien distinctes.

         Hier, avec les six plus grandes nations du concept Europe étaient susceptibles de se renforcer et se protéger. Les gouvernements de ces six nations sont d’ailleurs arrivés à mettre en place ce délicat concept. Bien.

         Mais voilà, c’était sans compter avec le délire des gauchistes professionnels, toujours prêts à vendre leur âme !

         Aujourd’hui, toujours dans un élan pacifiste et humaniste (les deux nouveaux Dieux de notre 21e siècle), avec vingt-huit  pays, dont certains sont des tocards de la dernière espèce sur le plan de la gouvernance nationale, l’Europe ne tient pas le choc et ne peut que s’affaiblir en trichant sur le sens de certains choix effectués (bonjour la Grèce) par l’actuelle assemblée de l’U.E..

         A force de ne pas protéger nos intérêts économiques et sociaux, par un protectionnisme intelligent, la France est gravement dans la m… !

         Et ces dysfonctionnements qui mettent les peuples des grandes nations européennes en grand risque, nous n’en voulons plus !

         Le choix passe par une réaction simple : il faut changer les têtes pensantes et mondialistes, c’est-à-dire les Députés….en votant pour le FN !

         Bien sûr que le système est inquiet car il a mis du temps à s’implanter. Imaginez le temps que prend la mise en place d’un tel réseau mafieux : créer le réseau, les passerelles, les courroies de transmission, les connivences, les accords tordus, sans oublier la soumission probablement payante (ne rêvons pas) à certains lobbies. On comprend pourquoi le système veuille perdurer ainsi.

         Eh bien dans ces circonstances, après le nettoyage engendré en France par les dernières élections municipales, il est temps de nettoyer les écuries de l’Assemblée Européenne et même de…. changer les chevaux !

         Ce que dénoncent les Eurosceptiques, dont je suis, est simple à rappeler : l’absence d’homogénéité du mode de fonctionnement, l’absence de stratégie claire, l’erreur des choix économiques, l’erreur d’une monnaie unique qui, en l’état, pénalise (Euro trop fort qui devrait être dévalué) au lieu d’aider les pays concernés à s’en sortir, bref appelons ça l’absence d’une gouvernance efficace.

         Cela fait beaucoup trop d’erreurs….c’est le moment de sanctionner !

         Et ce n’est pas la chronique de Nicolas SARKOZY, dit Bling-Bling, de retour après la vente des CD de sa guitariste, ou d’Alain JUPPE parlant de la réussite d’Air-Bus (merci, on sait), qui vont me faire changer d’avis.

         Si vous voulez vous abstenir de voter, dimanche prochain, prenez le temps d’ouvrir les 2 liens suivants : j’espère que cela vous réveillera !!!

            http://www.youtube.com/embed/jbLFo02jlH8 

            www.youtube.com/embed/YpyybLSSTCk?feature=player_detailpage

OUI A UNE FRANCE FORTE ET DE NOUVEAU SOUVERAINE,

NON A L’EUROPE CORROMPUE PAR LES MONDIALISTES :

DIMANCHE 25 MAI

IL FAUT SORTIR L’UMPS DE BRUXELLES

JE VOTE FN !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

23 mai 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°89

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 19 mai 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Réponse à une victime de la dialectique socialo-mondialiste !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         A la suite de la diffusion du Phare fouilleur n° 88, relatif à « la journée de la jupe à Nantes », plusieurs lecteurs ont partagé mon analyse de cette ridicule manipulation. Une lectrice fut d’un avis totalement opposé et utilisa des termes qui relèvent d’une dérive de vocabulaire telle qu’il m’amuse de vous la livrer.

         Vous allez pouvoir juger, je pense, que dans le genre vautrons-nous dans la dialectique décadente…on ne fait pas mieux !

         Voici donc le message de cette dame qui se dit Pieds-Noirs et vit sa retraite sur l’île de la Réunion, message reproduit mot pour mot.

 

         « Mon Dieu, cher Monsieur !

Quelle ridicule levée de boucliers pour une histoire de potaches !

Potaches sympathiques au demeurant : ils expriment avec humour leur solidarité avec les filles qui ne peuvent plus porter la jupe, quand elles en ont envie, alors dans ce cas les garçons disent « on est tous des filles » !

Comme J-F.K. avait dit « je suis un berlinois » et « nous sommes tous des Juifs allemands » !

Ou, très récemment, le geste de manger une banane….car on peut tous vouloir se considérer à certains moments comme des footballeurs noirs !

Tous concernés contre les stigmatisations racistes, sexistes, fascistes, qui touchent quelques un(e)s….de la communauté des humains !

Il faut comprendre la symbolique et l’humour….avant de prendre de grands airs, ou, pire, les armes !

Vive les jeunes quand ils font preuve d’ouverture d’esprit, de générosité, d’empathie et d’humour.

F.G., retraitée E.N., La Réunion ».

 

         Ceux et celles qui me connaissent bien comprendront aisément que je ne pouvais laisser écrire un texte pareil, totalement déconnecté de la réalité et trop imprégné par la dialectique socialo-mondialiste qui pourrit tout par les mots, sans répondre.

         Voici donc la réponse que j’ai rédigé pour clarifier le débat, avec un plaisir indicible.

 

         « Bonsoir Madame,

Merci de votre contact. Permettez-moi de vous répondre avec la même franchise que celle avec laquelle vous m’avez écrit.

Sur la ridicule levée de bouclier :

Déjà merci pour ridicule et ensuite c’est une prise de position contre de ma part….et c’est mon droit !

Sur une histoire de potache :

Vous appelez « ça » une histoire de potache….eh bien pas moi !

 Que vous le vouliez ou non, c’est une pitrerie socialiste supplémentaire qui est une ligne de conduite bien organisée pour se foutre de tout et de tout le monde, par des moyens détournés dont ils espèrent qu’ils les feront passer pour des gentils humanistes.

J’ai été potache et je n’ai jamais eu ce genre d’idée stupide et improductive !

Sur la solidarité avec les filles :

Je pense que ces garçons devraient commencer par respecter la différence exquise qu’elles représentent, les traiter avec respect et ne plus les considérer comme des petites dindes bonnes qu’à sacrifier leur virginité le plus tôt possible !

Sur les filles ne peuvent plus porter la jupe lorsqu’elles en ont envie :

Manqueraient-elles à ce point de caractère qu’elles renonceraient à porter une jupe ? Horrrrible ! Les filles auraient dû garder leur jupe et ne pas imiter les garçons !

Sur les garçons qui disent on est tous des filles :

Cela relève de la campagne délirante de la théorie du genre chère à Monsieur Vincent PEILLON, qui s’est juré de briser la famille et la religion chrétienne. Très peu pour moi.

Non les garçons ne sont pas des filles et n’ont pas à essayer de se prendre pour des filles !

Sur J-F.K. :

Là, Madame, vous y allez très fort : faire un parallèle entre la prise de position de J-F.K. à Berlin et ces ados qui se croient originaux....alors là, c'est moi qui trouve votre commentaire ridiculement excessif (match nul) !

Non, Madame : le comportement de ces petits couillons manipulés par le pouvoir socialiste n'a rien à voir avec le discours de J-F.K. à Berlin dans les circonstances dramatiques qui l'y ont conduit. Vous ne me ferez pas avaler ça !

 

Sur on peut tous se considérer comme des footballeurs noirs :

Affirmation gratuite qui ne concerne que vous.

Et tout le monde a le droit de ne pas vouloir se prendre pour un footballeur noir !

C'est mon cas : je suis très bien dans ma peau blanche et j'ai d'excellents copains noirs.

Je pense que les noirs n'essaient pas de se prendre pour des blancs, alors admettez que les blancs n'aient pas tous envie de se prendre pour des noirs !

Sur les racistes, sexistes, fascistes :

Aujourd'hui ces catégories sont représentées par "la gôche" bien-pensante....qui sous des allures humanistes essaie de faire en sorte que le monde soit rouge ou rose. Moi ma couleur c'est Bleu-Blanc-Rouge !

Sur les grands airs et les armes :

Vient un moment où il faut savoir appuyer sur la pédale de frein lorsque tout va trop vite.

Nous y sommes, précisément, par la faute des gauchistes-humanistes-mondialistes qui nous gouvernent avec une incompétence qui n'a jamais été aussi grande depuis la création de la 5e République.

En plus ce sont tous des repris de Justice.

Mes armes ce sont mes mots !            

Sur votre identité de PN :

La façon dont vous écrivez me fait penser que vous devez être une "Pieds-Rouges"...de ceux-là qui pensaient que l'Algérie devait avoir son indépendance, dans un élan humaniste dont on sait où il a mené les Pieds-Noirs et les Harkis !

Je terminerai par ceci : vive les jeunes qui n'ont pas besoin de s'habiller en fille pour montrer ....qu'ils ont de l'humour !

Je vous souhaite une excellente retraite à la Réunion. Avec mes salutations.

Michel SALANON

Note : je n'attends pas de réponse de votre part : vous êtes en email indésirable ». Voilà ma réaction, claire et directe, à l’image de mes convictions. Et tant pis si cette dame ne lis plus mes « Phares fouilleurs » : une de perdue, dix de retrouvées !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

Publicité
Publicité
Publicité