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20 novembre 2012

CONFIDENCES DE RENE CERDAN

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15 novembre 2012

MA REPONSE A …

             Je suis Pieds-Noirs comme mes parents, grands-parents et arrières grands-parents. Née à Oran en 1942, je n'en suis partie qu'en 1972.

            Il me semble qu'avant que nous disparaissions, un important travail est à mener lequel impose à l'Histoire de donner la vraie version de la guerre d'Algérie, de ses origines, causes et conséquences.

            Le cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie a fait l'objet de discours politiques français imbibés de repentance envers le peuple algérien et du plus grand silence sur le drame de notre exil, sur nos disparus, sur morts mais surtout sur la réalité des faits et de leur déroulement.

            Les écrits des historiens dits spécialistes de l'Algérie comme Stora et ses émules sont réducteurs et partisans donc erronés. Les prendre comme références serait inadmissible pour notre mémoire et immorale pour la vérité.

            D'aucuns estiment qu'il est encore trop tôt pour construire la vraie histoire de la guerre d'Algérie tant les passions sont encore vivaces et les plaies non refermées. Je crois au contraire qu'il nous faut à nous qui en ont été les acteurs majeurs, tenter de dépasser nos réactions affectives et nous faire entendre avec objectivité , force et courage avant de disparaître.

            Mais pour nous faire entendre il nous faut éviter bien des pièges. Principalement, il nous faut ignorer que le pouvoir politique est parfois contraint à prendre des décisions sous la pression de puissances étrangères, ce que les gouvernants font primer est ce qu'ils croient bien pour la nation au détriment des attentes de certains groupes sociaux, les français n'avaient de l'Algérie qu'une image négative d'un pays lointain où leurs enfants partaient se battre sans qu'ils en comprennent ni admettent les raisons.

            D'autres pièges et non des moindres nous sont aussi tendus. Notre récupération par certains mouvements politiques qui n'ont pour objet que de renforcer leur propre troupe et de se servir de nous pour faire valoir leurs idées, l'utilisation de notre pluralité d'associations de Pieds-Noirs qui affaiblit l'impact de nos propos, nos difficultés à accepter et à savoir argumenter des débats contradictoires.

            Ce n'est pas en poursuivant entre nous des échanges qui reflètent nos souffrances même si ,elles sont toujours bien présentes dans nos pensées, ou ,en incriminant de façon récurrente l'un ou l'autre de nos hommes politiques passés ou présents, ou, en reprenant certains vieux extraits de discours ou d'articles de presse, que nous travaillerons efficacement pour que  l'histoire de la Guerre d'Algérie soit construite avec nous.

            Pourquoi la parole ne nous est jamais donnée ? Ne sommes-nous pas assez éduqués pour savoir traiter des faits et des enjeux politiques comme des sujets complexes ? Nous connaissons le déroulé des relations entre la France et l'Algérie depuis le début de notre arrivé sur cette terre que nous avons faite nôtre. Nous savons qu'elles ne furent qu'indécisions, ordres et contre-ordres, erreurs stratégiques, ignorance réciproque, confusion, mensonges et déni.

            Nous serons entendus si nous savons reconnaître que nous n'avons pas été suffisamment vigilants dans la gestion de notre pays. Notre erreur a été de laisser agir les gouvernements français sans intervenir quand il était temps.

            On ne dirige pas un pays à distance. On ne dirige pas un pays sans conscience des évolutions dans les mentalités et les attentes. On ne dirige pas un pays sans définir un avenir considéré comme le meilleur par tous ses habitants.

            Gérer l'Algérie comme un département français était un leurre et nous n'avons rien dit. Ignorer qu'un jour ou l'autre le partage des responsabilités et des pouvoirs serait demandé par les arabes lesquels progressivement se formaient dans nos écoles, a été notre erreur. Imaginer que les décisions du gouvernement français étaient franco-françaises alors que les américains imposaient leur loi, a été une grave méconnaissance de la situation.

            Mais avions-nous la possibilité d'intervenir encadrés par des fonctionnaires français de passage qui se contentaient d'exécuter les ordres de Paris sans nous demander notre avis ?

            Si l'indépendance de l'Algérie était écrite dans l'évolution du Temps, elle aurait dû et pu se passer autrement. Nous avons notre part de responsabilités avec certains de nos combats inutiles, certains de nos propos inadaptés, certains de nos comportements provocateurs. Nous avons  été crédules. Nous avons été dupés. Notre faiblesse fut de n'avoir pas eu de leaders Pieds-Noirs qui s'entourent d'une équipe unie de responsables locaux compétents et éclairés.

            Nous n'avons pas su changer notre image auprès des français pour lesquels les Pieds Noirs étaient en majorité des riches colonisateurs oisifs aux capacités intellectuelles étaient peu développées et qui « faisant suer le burnous ».

            Les couplets sur les méfaits de la « colonisation » de l'Algérie tel qu'il est repris dans les sphères politiques françaises actuelles doit être critiqué à la lumière du passé de ce pays tant de fois envahi par diverses civilisations et du travail accompli par nos ancêtres qui ont fait d'une terre pauvre et aride, un pays riche et prospère quand nous l'avons laissé . Il faut être fier de nos colons et faire réhabiliter leur image et leur rôle.

            S'il nous faut laisser des intellectuels français gloser ou certains « faux » Pieds Noirs de gauche battre leur coulpe et faire une repentance idéologique virtuelle, il nous faut trouver les moyens pour que des Pieds Noirs de bonne volonté sans appartenance à un quelconque mouvement politique français  puissent  participer à un travail de vérité historique sur la guerre d'Algérie avant qu'il ne soit trop tard.

            J'appelle donc mes compatriotes Pieds Noirs à une résistance intelligente laquelle dans une démarche objective redonne leurs sens aux faits

            Qui parmi vous souhaitent s'impliquer dans cette tâche ?

 Jacqueline Beaussart-Defaye

Retour "Libres propos citoyens"

11 novembre 2012

BILLET D'HUMEUR N°21

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le vendredi 9 novembre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

19 mars 1962

une loi indigne pour officialiser la capitulation gaulliste !

Cher(e)s ami(e)s,

         On pensait avoir tout constaté de cette gauche française, placée contre toute attente au gouvernement d’une France à la dérive, par une vague anti-sarkozyste et….les voix d’une majorité des musulmans de France devenus les fossoyeurs de la droite dite républicaine !

         Eh bien non, ce n’est pas fini : les GHM (gauchistes-humanistes-mondialistes) continuent à faire parler d’eux…sur les sièges du Sénat français !

         Tous les livres d’histoire mentionnent que le 19 mars 1962 est la date des « accords d’Evian », qui entérinent « le cessez le feu » supposé mettre fin à la guerre d’Algérie qui coûta à la France, environ 30.000 tués et 300.000 blessés.

         Aucun livre d’histoire n’ajoute qu’après cette date funeste les tueurs du FLN s’empressèrent de torturer et massacrer plus de victimes dans les six mois suivants que pendant les huit années du conflit !

         Alors que les militaires français avaient gagné la guerre sur le terrain et que les katibas rebelles se rendaient en masse (voir les journaux de l’époque), Charles-le-Félon capitula et accéléra les négociations avec les rebelles aux mains tâchées du sang français, dont certains furent sortis des prisons françaises (Ahmed BEN BELLAH, entre autres) pour tenir un rôle de pantin au sein du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne).

         C’est ainsi que le 19 mars 1962 devint le jour des prétendus « accords d’Evian », supposés instaurer un soi-disant « cessez-le-feu » qui devait mettre une fin à la guerre d’Algérie, non évidente dans le contexte social désastreux de cette époque tragique.

         Les rebelles algériens, devenus les amis de Charles-le-Félon, comprirent vite que le 19 mars 1962 signa l’autorisation de tuer en toute impunité, les civilseuropéens de toutes confessions, les Harkis et les Moghaznis fidèles à laFrance, et des militaires aussi….tandis que l’armée française, encoreprésente en Algérie, avait reçu l’ordre de ne pas intervenir.

         Les faits nous apprennent qu’il y eût entre 100 et 150.000 Harkis, environ 10.000 Pieds-Noirs, et au moins 700 militaires, sauvagement torturés et assassinés….très loin des bureaux de l’Elysée, pour que les cris des suppliciés atteignent les oreilles d’un Président devenu assassin parprocuration !

         Aucun conflit français n’a provoqué autant de victimes après sa fin, et s’il fallait le répéter il ne s’agit pas de quelques règlements de compte mais d’un véritable génocide autorisé par un Président de la République française.

VOILA POURQUOI LE 19 MARS 1962 NE SERA JAMAIS

CONSIDERE PAR LES PIEDS-NOIRS ET LES HARKIS

COMME LE JOUR DE COMMEMORATION

DE LA FIN DE LA GUERRE D’ALGERIE !

         Il est clair que les Sénateurs « vendus » qui ont permis d’officialiser cette date, par une loi émanant des rangs de la gauche française, loi votée hier au Sénat par 181 voix pour, et 154 voix contre (copier/coller ce lien sur votre navigateur  http://www.senat.fr/scrutin-public/2012/scr2012-20.html ), ont fait que ces martyrs sont, pour ainsi dire, assassinées à nouveau. Honte à eux !

         Par cet agissement lâche, à des fins électoralistes, les Sénateurs scélérats du PS et de l’UMP qui ont osé faciliter l’adoption de cette loi indigne, ont sali un peu plus la mémoire des Harkis, des Pieds-Noirs et des militaires du contingent, assassinés par les tueurs du FLN algérien après le 19 mars 1962.

         Quant à M. Kader ARIF, Ministre délégué des Anciens Combattants, fils de Harki (paraît-il ?), il ferait bien de retourner conduire la voiture de M. Lionel JOSPIN : là est sa vraie place ! 

         Le 7 novembre 2012, à Toulon, nous étions « contre le 19 mars 1962 », copier/coller ce lien sur le navigateur : www.youtube.com/watch?v=658zNNDnubs.

         Je dédie ce bulletin à la mémoire de Guy PUJANTE, récemment décédé, membre de l’OAS d’Oran. Paix à son âme de patriote.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

10 novembre 2012

QUE LA VERITÉ SOIT DITE !

Par José CASTANO

« Penche-toi toujours sur ceux contre lesquels certains rameutent les foules et brandissent les mots d’où déteint l’infamie. Tu peux être assuré que quelque chose dort en eux qu’ils n’osent pas affronter, une vérité dont ils ont peur et qu’ils tentent d’éteindre sous la cagoule des calomnies et des injures » (Jean Brune)

      « La valise ou le cercueil » Face à l’obstination des médias dans leur refus de diffuser cette œuvre cinématographique d’une qualité exceptionnelle, c’est désormais, par ce sous-titre : « Le film qui fait peur aux télévisions » que Charly et Marie CASSAN ont décidé de s’opposer à l’omerta imposée par les chaînes télévisées en reprenant ce cri de Charles Péguy : « Celui qui sait la vérité et qui ne gueule pas la vérité, se fait le complice des escrocs et des faussaires ! »

            Bien que plébiscité par une communauté meurtrie et par l’ensemble des associations patriotiques, projeté à l’Assemblée Nationale, soutenu par de nombreux parlementaires, traduit en trois langues, ce film qui a permis à son réalisateur d’être nominé Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques, relate deux heures durant, dans une charge émotionnelle intense, la véritable histoire des Français d’Algérie. Alors, pourquoi les chaînes télévisées s’obstinent-elles à occulter cette œuvre pédagogique d’une incommensurable portée historique ? La réponse est simple : « Politiquement incorrect ! »

            Pour le commun des médias, ce film ne correspond en rien à l’archétype du « pauvre petit fellagha martyrisé » qu’ils idéalisent depuis un demi-siècle ; il ne met pas en exergue la « souffrance d’un peuple colonisé et opprimé » telle qu’ils le conçoivent et, comble d’inconvenance, il renonce à évoquer toute « repentance ». Voilà un acte criminel qu’il faut réprimer par la loi du silence !... Mais, au fait ; se repentir de quoi ? Quelle faute a bien pu commettre la France en Algérie pour qu’elle ait à se repentir ? A demander pardon ? Et à qui ?  

Or voilà que ce film vient briser tous les tabous, toutes les idées préconçues… Et c’est, précisément, parce qu’il n’entre pas dans cette « logique » du « repentir » -oh, sacrilège !- qu’il s’attire l’unanimité des censeurs.

 

 « La valise ou le cercueil » démontre, documents officiels à l’appui, qu’au départ des Européens en 1962, les terres arables et fertiles ont été gagnées sur le désert et sur les marais au prix de tant de tombes qui jalonnent l’Afrique du Nord que le terme même de « colonisation » est aujourd’hui dépassé. Les images qui défilent dans un silence de cathédrale, rompu seulement par des sanglots mal contenus, dévoilent ces premiers Européens (les pères de ces enfants qui ont été chassés) asséchant les marais, ensemençant les maquis, transformant les douars, les casbahs, les repaires de pirates en paisibles villages, en cités prospères, en ports dignes de ce nom, bâtissant les écoles, les universités et les hôpitaux, traçant les routes et édifiant les ponts, chassant la maladie, la famine, faisant jaillir des pierres la vigne généreuse et les orangers… Comment oublier que c’est la France, et elle seule, qui a fait gicler du sable du désert le pétrole et le gaz ? Et c’est pour toutes ces réalisations qu’il faudrait demander pardon ? A cela, qu’ont opposé les révolutionnaires ?... Les images le démontrent parfaitement : La révolte, le terrorisme, l’abomination et pour finir, la dilapidation de l’héritage « colonial ». A cet effet, il serait bon de rappeler cette déclaration d’Hocine Aït Ahmed, l’ancien leader du FLN, parue en juin 2005 dans la revue « Ensemble » éditée  par l’Association Culturelle d’Education Populaire : « Avec les Pieds-noirs et leur dynamisme, l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine, méditerranéenne ».

  C’est la presse (4ème Pouvoir) qui tient l’opinion et elle sait bien ce qu’il faut dire et ce qu’il vaut mieux réserver ; elle ne désire, en réalité, nullement affronter une vérité dont elle a peur et qu’elle cherche à étouffer sous la cagoule des calomnies et des injures… Et ce film la gêne terriblement car il bat en brèche 50 années d’éhontés mensonges.

Victor Hugo se plaisait à dire qu’ « une calomnie dans les journaux c’est de l’herbe dans un pré. Cela pousse tout seul. Les journaux sont d’un beau vert. »

Au temps de la guerre d’Indochine, le général Giap, chef de l’armée vietminh, disait après des combats perdus face aux soldats français : « Quand j’avais des doutes sur l’issue de nos combats, je lisais la presse parisienne… J’étais rassuré ». Les responsables du FLN, en Algérie, en firent autant et les Musulmans du Bled, rivés à leurs transistors, écoutaient « la voix de Paris » qui leur tenait un langage différent de celui des officiers français…

Ainsi, inexorablement, encouragées par les médias aux ordres, toutes les traditions historiques qui ont fait la grandeur de la France sont en train de se dissoudre dans un pluralisme qui admet tout et comprend tout et qui n’est que trop voisin de la lâcheté pure et simple. Elle agit, cette France-là, comme si elle n’était plus intéressée à maintenir sa position dans le monde. Elle s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste, oubliant toutefois que le passé des autres nations n’est ni plus paisible, ni plus vertueux…

Dénigrer l’histoire de son pays, de son passé, sa grandeur et le sacrifice de ses aînés est un acte criminel. Nous n’avons pas à tronquer notre histoire –celle de l’Algérie française en fait partie- pour faire plaisir à telle minorité, telle association au « cœur sur la main » ou tel parti politique. Que ceux qui s’adonnent à ce type d’autoflagellation jouissive n’oublient pas cette mise en garde de Henri de Montherlant : « Qui a ouvert l’égout périra par l’égout. »

Ce dénigrement perpétuel de la France et de son passé colonial par nos « bien pensants », martyrocrates de profession, faussaires de l’antiracisme, est le pire danger auquel elle est confrontée. Et Malika Sorel, française d’origine algérienne, de prévenir : « Au Maghreb, les gens sont consternés par ce qui se passe en France. Pour eux, la situation est liée à cette « repentance » et la responsabilité en incombe aux adultes français qui passent leur temps à se prosterner et être à genoux…»

Dans le journal « Le Monde » du 21 janvier 1992, Michel Serres suppliait les journalistes : « Si vous pouviez… de temps en temps dire un peu de bien de la France ! » Et en 1947, déjà, Raymond Aron déclarait : « La vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes sauf la faute décisive : La paresse de la pensée ».

Il est certain toutefois que beaucoup de Français, égarés par d’effrontés mensonges, écouteraient la voix de la vérité et du bon sens si on prenait la peine de la leur faire entendre. Mais, concernant l’histoire de l’Algérie française, c’est toujours -dans le monde audiovisuel en tout cas- une entreprise d’obscurantisme et d’abrutissement collectif au profit d’une dégradante tyrannie démagogique : le peuple de France ignore la vérité, n’a pas droit à la vérité et plus qu’un perpétuel outrage à cette vérité, c’est un crime contre la patrie, puisqu’on tue l’âme d’une nation lorsqu’on parvient à faire perdre à ses enfants la conscience de ses traditions fondamentales. « Dites à plusieurs reprises un mensonge et il deviendra une vérité » confiait le ministre de la propagande du IIIe Reich…

Dans les livres d’histoire, écoliers et étudiants retiennent de l’armée française, qu’elle ne s’est strictement et uniquement livrée qu’à des exactions envers la population civile algérienne, tandis que rien n’est dit sur les atrocités commises par le FLN. C’est proprement odieux !... Et c’est encore Hocine Aït Ahmed qui rétablira la vérité en déclarant dans la revue « Ensemble » : « Il y a eu envers les Pieds-noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens. » Ainsi, en comparant le destin des Pieds-noirs et celui des Arméniens, l’ex leader du FLN accuse implicitement le FLN d’avoir commis un génocide à l’encontre de la population européenne d’Algérie ! Par ailleurs, dans ces mêmes livres d’histoire, rien n’apparaît, non plus, sur les bienfaits de la Pacification et sur le bien-être que cette l’armée française a apporté à l’homme du Bled. Sur les réalisations précitées, rien n’est mentionné. L’Histoire de l’Algérie rapportée par les livres est une Histoire tronquée, falsifiée, vide de toute vérité vraie et injurieuse vis-à-vis de ces milliers d’hommes et de femmes, Européens et Musulmans, qui ont œuvré de concert pour sortir ce pays du cadre moyenâgeux qui était le sien en 1830.

 Dès lors, que peuvent bien retenir les jeunes enfants dès leur scolarité ? Une histoire de France et d’Algérie faites d’intolérance, d’inégalités, de compassion excessive, de récriminations et d’accusations qui ne manqueront pas de marquer à jamais leur esprit et d’entacher durablement l’image qu’ils se feront désormais de leur pays. « Vous tenez en vos mains, l’intelligence et l’âme des enfants. Vous êtes responsables de la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés… ils sont Français et ils doivent connaître la France, sa géographie, son histoire : son corps et son âme »,  déclarait Jean Jaurès… ce que dénia Jacques Chirac en interdisant les cérémonies en mémoire de l’Empereur Napoléon Bonaparte au nom du complexe des conquêtes des siècles passés…

C’est dans ce cadre là, que le film « La valise ou le cercueil » aurait tout son rôle pédagogique en comblant par ses images d’archives, ses commentaires et ses témoignages auprès de nos écoliers et étudiants, le vide désespérant qui n’a de cesse de les appauvrir. C’est, par ailleurs, l’histoire d’un peuple, d’une passion pour la vie, une forme de cet insatiable amour d’une vie pleine de merveilles que Charly et Marie CASSAN racontent et ressuscitent à travers les larmes. C’est aussi une histoire faite de mensonges, d’ironies, de farces, de bouffonneries, un amoncellement de massacres et de cris de douleurs, de triomphes inutiles, de victoires perdues, d’espoirs trahis, de reniements et de palinodies, ces efforts vers un avenir qui se dérobe sans fin et qui ne relâche rien de ses exigences sanguinaires, cette roue qui tourne et qui amène le perpétuel recommencement, donne une image de l’homme dont on ne saura jamais si elle exprime sa grandeur ou au contraire sa misère.

 

José CASTANO E-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques » (Jean Jaurès)

Pour revoir: 

Tous les articles : - Mes Articles - 

Ses ouvrages :-Ma Bibliographie – 

Sa biographie :- Ma Biographie – 

Son blog : - Mon Blog - 

10 novembre 2012

COMMUNIQUÉS.

43 ème CONGRÉS NATIONAL DU CERCLE ALGÉRIANISTE

COMMUNIQUÉ DU G.R.F.D.A. / M.A.F.A.

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 31 JANVIER 2022

RÉCEPTION A L’ÉLYSÉE DES ASSOCIATION DE RAPATRIES PAR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

ÉLECTION DE SUZY SIMON-NICAISE A LA PRÉSIDENCE DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL

 COMMUNIQUÉ DU C.A. SUR L'OUVERTURE ANTICIPÉE DES ARCHIVES JUDICIAIRES

19 MARS 2022 RASSEMBLEMENT HARKIS ET DE LEURS AMIS

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE 03/11/2021

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 14/03/2021

REJET DE TOUTE REPENTANCE-60ièm ANNIVERSAIRE DE L'INDÉPENDANCE DE L'ALGÉRIE

TRAHISON - VOLONTAIRES POUR LA FRANCE

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 29/7/2020

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 20/01/2020

COMMUNIQUÉ DU CERCLE NATIONAL DES COMBATANTS OCTOBRE 2019

BUT DU CERCLE DES CITOYENS PATRIOTES "LA CHARTE"

L'OUVERTURE DES ARCHIVES DE LA GUERRE D'ALGÉRIE PAR L'ÉTAT NE PEUT REPOSER SUR UNE VISION HÉMIPLÉGIQUE DE L'HISTOIRE

42ème CONGRÈS NATIONAL DU CERCLE ALGÉRIANISTE

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL - HOMMAGE A HÉLIE DE SAINT MARC

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL Hommage d'Alain Juppé à Frantz Fanon

LETTRE OUVERTE AU P.R. - PACTE DE MARRAKECH SUR LES MIGRATIONS

J.M. WEISSGERBER - LA HAINE ENVERS LES HARKIS

NE MÉNAGEONS PLUS FATIMA BESNACI-LANCOU !

LETTRE OUVERTE A JM. BLANQUER DE JP. GAVINO

COMMUNIQUÉ ANFANOMA - AFFAIRE MAURICE AUDIN

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU CERCLE ALGÉRIANISTE SEPTEMBRE 2018

INTERVENTION DU GENERAL PIQUEMAL DU 21 OCTOBRE 2017

COMMUNIQUE DU CERCLE ALGERIANISTE SEPTEMBRE 2017

JUIN 2017-REPONSE DE JEAN-PIERRE RONDEAU à Mrs François BAROIN et Bernard ACCOYER aux dits Rapatriés

AVRIL 2017-COMMUNIQUÉS DE PRESSE DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL Suite a la Plainte contre Emmanuel MACRON

"LES HARKIS ET LA REPUBLIQUE" COMMUNIQUÉ DE NOUALI NASSER

08/03/2017 COMMUNIQUÉ DU CERCLE DE CITOYENS PATRIOTES

19/02/2017 COMMUNIQUÉ DU CERCLE DE CITOYENS PATRIOTES-LETTRE A E.MACRON

17/02/2017 COMMUNIQUE ANFANOMA-LETTRE OUVERTE A E.MACRON

COMMUNIQUÉS DE PRESSE DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL DU 15, 17, 21 et 28/02/2017 suite au discours d'Emmanuel Macron

COMMUNIQUÉ DÉCEMBRE 2016 DES "COMITÉS JEANNE"

COMMUNIQUE DU CERCLE DE CITOYENS-PATRIOTES NOVEMBRE 2016

APPEL DE ROGER HOLLEINDRE OCTOBRE 2016

Responsabilité de la France dans le drame des Harkis - COMMUNIQUE DE L'A.N.F.A.N.O.M.A.

Responsabilité de la France dans le drame des Harkis - COMMUNIQUE DU CERCLE ALGERIANISTE

HOMMAGE 2016 AU BACHAGA BOUALAM

CALENDRIER 2016 MRAF-ADIMAD

5 JUILLET 2016 COMMUNIQUE MRAF-ADIMAD

8 MARS 2016 COMMUNIQUES DE PRESSE Thierry ROLANDO

COMMUNIQUE DE VERITAS - REPONSE DU TGI DE PARIS

COMMUNIQUE DU CNC DU 8 FEVRIER 2016 SUR L'AFFAIRE DU GENERAL PIQUEMAL

UN ESPOIR POUR LA FRANCE du Général Christian PIQUEMAL

COMMUNIQUE DU CNC DU 08/12/2015.

EDITORIAL ROGER HOLEINDRE « Etre et Durer »- MES AMIS DE LA FRANCE PROFONDE… COMPAGNONS D’ARMES.

COMMUNIQUE VERITAS RUE DU 5 JUILLET 1962 A BEAUCAIRE. 

COMMUNIQUE DU CNC OCTOBRE 2015

CAMPAGNE DES REGIONALES EN LANGUEDOC-ROUSSILLON.

40 èm CONGRES NATIONAL DU CERCLE ALGERIANISTE 2015

CONGRES VERITAS 2015 A BEZIERS

"ANFANOMA" 5 JUILLET 2015 LETTRE OUVERTE AU PAPE FRANCOIS

 5 JUILLET 1962-VERITAS DU 19 JUIN 2015-UN MASSACRE DE CITOYENS FRANÇAIS AU FACIES

VISITE DE M. TODESCHINI SECRETAIRE D’ETAT CHARGE DES ANCIENS COMBATTANTS EN ALGERIE

COMMUNIQUE "ANAI 31" 60 ANS FIN GUERRE D'INDOCHINE (mai 2014).

COMMUNIQUE ANFANOMA (novembre 2013).

LOI DE RECONNAISSANCE DE LA RESPONSABILITÉ DE L'ÉTAT ENVERS LES FRANÇAIS RAPATRIÉS.

COUP BAS POUR L’UNITÉ DU MOUVEMENT HARKI NOVEMBRE 2013 

COMPTE-RENDU DE LA RÉUNION DES ASSOCIATIONS DE RAPATRIES DU 3 JANVIER 2013

ANFANOMA-19 MARS JOURNEE OFFICIELLE DU SOUVENIR RECONNUE

CONTRE "HORS LA LOI" DE BOUCHAREB

COORDINATION NATIONALE DES RAPATRIES REPLIES DE FRANCE.

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10 novembre 2012

BILLET D'HUMEUR N°20

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le jeudi 25 octobre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

19 mars 1962 :

l'examen et le vote du sénat, reportés au 20 novembre !  

Cher(e)s ami(e)s,

Une copine d’Aïn-El-Turk (merci J !) vient de me transférer la nouvelle résumée ci-dessous par une dépêche de l’AFP que je vous fais suivre sans tarder :

 Sénat-France-Algérie-défence

          Il est question d’un « appel à la sagesse » brièvement exprimé par M. Kader ARIF, Ministre délégué aux Anciens Combattants, à l’intention des Sénateurs. Bien lui en a pris….il a dû sentir arriver le coup de sirocco !

Trois constats s’imposent.

         Le premier :

remercier tous les Elu(e)s, Président(e)s d’associations d’Anciens Combattants, de Pieds-Noirs et de Harkis, qui ont initié une démarche de petite, moyenne ou grande envergure, pour tenter de contrer cette mascarade de gauche, partisane et malsaine, provoquée à des fins électoralistes.

         Le deuxième :

Défendre l’honneur des Pieds-Noirs, des Harkis et des militaires tombés pour la France en Algérie, par tous les moyens. Autrement dit…

POUR CE COMBAT, NE BAISSONS JAMAIS LES BRAS !

          Le troisième :

continuer à se battre pour remporter définitivement cette bataille politique, car elle n’est pas encore gagnée ; nous avons jusqu’au 20 novembre 2012, pour déclencher une grande campagne de communication et renforcer nos actions, aux côtés des Président(e)s d’associations et des élu(e)s concerné(e)s. Rapprochez-vous d’eux par tous les moyens !

         Le premier round vient d’être remporté pour non engagement de l’adversaire d’une certaine manière (absence de débat !), mais préparons bien le deuxième round….il sera décisif !

          Mesdames et Messieurs de la gauche française….les Pieds-Noirs et les Harkis qui ont survécu sont toujours là et vous regardent droit dans les yeux, fiers de l’oeuvre française en Algérie.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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10 novembre 2012

BILLET D'HUMEUR N°19

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  le mercredi 24 octobre 2012.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

19 mars 1962

non au vote par le sénat, demain, de la loi officialisant cette date comme étant la fin de la guerre d'Algérie ! 

Cher(e)s ami(e)s,

         Les socialistes sont prêts à tout pour salir la mémoire des Français d’Algérie, des Harkis et des militaires sauvagement massacrés après cette funèbre date du 19 mars 1962, censée marquer la fin de la guerre d’Algérie.

         Les quelques éléments de réflexion ci-après, permettront de mieux comprendre l’outrage insupportable que représente l’examen d’une telle loi.

         Les  « Accords d’Evian » mettant fin à la guerre d’Algérie, ont fixé un « cessez-le-feu » dès le 19 mars 1962, par lequel «…il sera mis fin aux opérations militaires et à la lutte armée sur l’ensemble du territoire algérien ».

         Cette décision prise par Charles-le-Félon et ses sbires déguisés en ministres sans état d’âme, est toujours perçu, 50 ans après, comme une capitulation honteuse qui permit aux égorgeurs du FLN algérien, d’organiser le massacre des populations favorables à la France restées sur place.

         Et le pire se produisit : le « cessez-le-feu » ne fût pas respecté, et le génocide dura plusieurs mois : d’abord les enlèvements des Français, civils (plusieurs milliers) et militaires (plusieurs centaines), mais surtout des Harkis (près de 150.000 ?), tous impitoyablement torturés et assassinés avec une barbarie révoltante.

         Manifestement cette date ne fixa pas « l’arrêt de la guerre d’Algérie », mais autorisa le FLN algérien à tuer….en toute liberté !

         Charles-le-Félon pouvait être satisfait : on tuait à sa place.

         Dans un élan de cynisme mémorable il confia un jour à Alain PEYREFITTE, qui fût plusieurs fois ministre, au sujet des conditions de l’abandon des Pieds-Noirs et des Harkis, le fameux : « …eh bien ils souffriront » !

         Il n’a pas fait que faire souffrir les Pieds-Noirs et les Harkis, il les a mis à mort avec froideur et détermination.

         Deux circonstances particulièrement odieuses ont intensifié la tragédie de cette terrible époque :

  • - le 26 mars 1962, à Alger, le mitraillage d’une foule de civils provoque près de 80 morts et 200 blessés,
  • - le 5 juillet 1962, dans les rues d’Oran, la population algérienne, fanatisée et armée par le FLN, se déchaîne contre les Français et les musulmans favorables à la France, qui sont enlevés en masse, hommes, femmes et enfants de toutes confessions, pour être torturés et assassinés, provoquant la mort d’environ 2000 personnes, probablement plus.

         Voilà pourquoi il est indigne que les Sénateurs actuels acceptent l’examen de cette loi, demain, qui ne peut que diviser les Français si elle est votée. Alors qu’il est urgent de faire régner la paix sociale cette discussion risque de dresser des Français les uns contre les autres. Bravo la gauche !

         Il est bien regrettable que les Sénateurs, réunis demain, ne puissent entendre les hurlements de douleur des êtres qui ont subi le supplice après ce tragique 19 mars 1962.

         Ils furent égorgés comme des animaux, crucifiés sur des portes, émasculés, pendus à des crochets de boucherie, et même plongés dans des marmites d’eau bouillante pour certains. Il n’y eût aucune commission d’enquête…nous n’étions pas en Bosnie !

         Il aurait été tellement plus digne de la part de ce gouvernementcomposé de dhimmis de faire respecter le décret du 26 septembre 2003, qui fixe le 5 décembre comme date de commémoration de la fin de la guerre d’Algérie, et de renoncer ainsi à salir la mémoire des Français d’Algérie, civils et militaires, et celle des valeureux Harkis. Bravo la gauche !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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10 novembre 2012

FALSIFICATION DE L'HISTOIRE

Et une de plus!!

“Un coup de force sur le 19 mars” 19 mars 1962 / 8 novembre 2012.

Sénat : la gauche veut imposer sa proposition de loi contestée, quitte à manipuler le calendrier. Entretien avec Joëlle Garriaud- Maylam, porte-drapeau de l’opposition dans ce combat.

            Sénateur des Français établis hors de France après avoir siégé pendant seize ans au Conseil supérieur des Français de l’étranger, Joëlle Garriaud-Maylam défendait ce 8 novembre une motion d’irrecevabilité sur la proposition de loi présentée par la gauche pour faire du 19 mars 1962 la date de la commémoration officielle de “la fin de la guerre d’Algérie”, au terme d’une manipulation du calendrier : la discussion au Sénat a été subrepticement avancée du 20 au 8 novembre pour neutraliser la mobilisation contre ce texte aux allures d’aberration historique et d’insulte aux 100 000 victimes recensées entre mars 1962 et décembre 1964. « Le groupe UMP saisira le Conseil constitutionnel en cas d’adoption du texte », annonce cette native d’Algérie, très engagée contre les totalitarismes et les falsifications de l’histoire.

            Pourquoi la date d’examen de ce texte a-t-elle été avancée ? C’est le gouvernement qui l’a inscrit sur son propre ordre du jour, sans doute afin de prendre de court les nombreuses associations d’anciens combattants qui préparaient une journée de mobilisation pour le 20 novembre.

Frédéric Pons le jeudi, 08/11/2012 Source

8 NOVEMBRE 2012 : JOUR MAUDIT
 
     Jeudi huit novembre deux mille douze,
     Journée à marquer d'une pierre noire.
     Pourtant, la Vierge de Santa Cruz,
     Ils l'ont suppliée, les pieds-noirs
     Pour que justice leur soit rendue.
     Leur vœu n'est pas exaucé.
     Le verdict tellement attendu
     Vient de tomber, ils sont terrassés.
     Le déshonneur est sorti vainqueur.
     Une fois encore, ils sont trahis.
     Insurmontable est leur rancœur.
     Qu'est donc devenu ce pays
     Où la bassesse se substitue
     A l'honneur et la dignité,
     Où d'infâmes traîtres s'évertuent
     A étouffer la vérité.
     Dix-neuf mars dix-neuf-cent-soixante-deux,
     Date qui marqua le déferlement
     D'un torrent de haine impétueux,
     N'épargnant ni femmes, ni enfants.
     Le comble est que l'armée française
     Reçut l'ordre de non intervention.
     Elle mit son honneur entre parenthèses
     Et ne remplit pas sa mission,
     Laissant les pieds-noirs et harkis
     Aux mains barbares et sanguinaires
     De hordes ivres des pires tueries. 
                          Jean-Paul RUIZ

Qui a voté et quoi :  Scrutin n° 20 - séance du 8 novembre 2012

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9 novembre 2012

CES IMBECILES QUI PRETENDENT NOUS GOUVERNER

De Roger HOLEINDRE Président du Cercle National des Combattants et membre directeur du Comité du Mémorial de l’Honneur français

De Roger Holeindre

Roger Holeindre

Lettre de Roger Holeindre, président du Cercle national des combattants, faisant suite au piteux voyage de François Hollande en Afrique.

Le 3 novembre 2012

C’est vraiment le foutoir ! Le vendredi 12 octobre 2012, M. Le Président de la République française…“Normal 1er” débarque en Afrique, à Dakar, accompagné de sa concubine… ce qui fait très couleur locale… bien qu’ici les maîtresses sont désignées officiellement comme “2e Bureau”.

Sa “compagne” n’étant pas divorcée officiellement, lui-même ne s’étant pas marié avec une autre femme à qui il a fait quatre enfants… pourrait ajouter à ses discours pendant son déplacement que la francophonie, comme il le clame… c’est la liberté dans la démocratie, et aussi dans la polygamie… d’autant plus que dans notre belle France…beaucoup de musulmans non intégrés, de leur propre fait, nous expliquent déjà que… s’ils ont plusieurs femmes, ils ne font que copier ce que fait le Président de la République !

Bien sûr… il en a remis une couche sur la fin de la Françafrique… « (…) Le temps de la Françafrique est révolu. Il y a la France et il y a l’Afrique. Il y a le partenariat avec des relations fondées sur le respect, la clarté et la solidarité (…) Les émissaires, les intermédiaires et les officines trouvent désormais porte close à la présidence de la République française, comme dans les ministères… »

Dans son costume trop grand pour lui… Il oublie tout simplement qu’aucun pays au monde, à part la France, n’a jamais abandonné des marchés en Afrique ou dans le monde, de son plein gré. Aujourd’hui, les Chinois “achètent” l’Afrique.

Personne, parmi nos grands spécialistes écologistes, personne parmi les “kmers verts”, ne s’avise de signaler qu’ils ravagent aussi des pays entiers du fait que leurs coutumes et leur pharmacopée sont délirantes, en ce qui concerne les remèdes ou potions, soi-disant aphrodisiaques, qui vont de l’aileron de requin (dont ils jettent le reste), aux cornes de rhinocéros, en passant par certains fruits de mer.

Les derniers grands trafics de défenses d’éléphants sont aussi de leur fait.

Tous les marchés juteux de la planète s’obtiennent contre de grosses enveloppes, et même nos “alliés” font passer leurs intérêts avant les nôtres… et ils ont raison !

C’est exactement la même chose avec les pays qui composent l’Europe, où chacun protège au mieux ses usines.

Il faut d’ailleurs remarquer que toutes ces déclarations de morale n’ont pas soulevé des clameurs de satisfaction, mais simplement quelques applaudissements polis… surtout de la part de la concubine qui doit quand même servir à quelque chose.

Une fois de plus, ce fut l’octroi de visas pour la France qui domina les discussions en coulisse… et là, “Normal 1er” fut sublime… d’une intelligence politique bien digne de l’énarque qu’il est, il se dépassa… « J’entends mettre fin à ce paradoxe absurde, qui fait que la France dans un passé récent ait trop souvent fermé la porte à ceux qui voulaient y créer des emplois, y développer des échanges ».

Cela va certainement faire plaisir aux centaines de vendeurs clandestins de Tour Eiffel en aluminium, fabriquées en Chine, et à ceux qui vendent des objets en ivoire qui ne sont que des copies en plastique venant, elles aussi, d’Extrême Orient… qui font la chasse aux touristes étrangers dans tous les hauts lieux de Paris.

Puis, ne sachant peut être que faire de symbolique avant de quitter le Sénégal, il fut le premier chef d’Etat français à se rendre sur l’île de Gorée, au large de Dakar… pour pleurer, une fois encore, sur l’esclavage… oubliant que la colonisation française… a fait cesser la traite des noirs partout où elle s’installait… et que c’est en combattant le plus grand organisateur de razzias de bois d’ébène, que le commandant Lamy mourut au combat, à l’endroit où naquit la ville de Fort Lamy, aujourd’hui N’Djamena.

Si M. Hollande n’avait pas fait l’ENA, et si ses conseillers élyséens, bardés de diplômes (obtenus en écrivant l’histoire de France telle qu’elle est enseignée depuis quelques années… c’est-à-dire fausse !), ils auraient tous pris la peine de lire les bons dictionnaires, encore écrits par des non trotskistes, et ils auraient appris dans Le Mourre, par exemple, que ce marchand de nègres s’appelait Rabah

« Rabah (… Koussri, région du lac Tchad, 22.IV.1900). Chef africain. Ancien lieutenant du trafiquant d’esclaves égyptien Zobéïr, il se rendit indépendant en emmenant des troupes et des armes avec lui et entreprit de se tailler un  royaume dans le Soudan central, entre le Nil et le lac Tchad.

Disputant au Ouadaï le trafic des esclaves, il s’empara du Dar Kouti, qu’il confia à Mohammed es-Senoussi, puis ravagea toute la zone comprise entre l’Oubangui et le Tchad, soumit le Baguirmi (1892), puis conquit le Bornou (1893), dont il se proclama émir. Les princes locaux qu’il dépossédait firent alors appel à l’intervention française. Après six ans de guerre, Rabah fut vaincu et tué à la bataille de Koussri. La lutte contre Rabah fut l’origine de la colonisation française au Tchad et en Oubangui-Chari. »

Le plus honteux, c’est qu’une fois de plus, il relança ce combat inutile et néfaste pour la paix sociale en France… surtout avec Mme Taubira au gouvernement, à un poste éminent, celui de la Justice, et les “kmers verts” dans les ministères.

Monsieur le Président… une fois de plus, s’essuya les pieds sur notre pays et écrivit sur le livre d’or… « Au nom du peuple français, je rends hommage à la mémoire des innombrables victimes de l’esclavage. Le rappel de cette tragédie lie à jamais l’Europe, l’Afrique, l’Amérique et les Caraïbes. Il nous oblige à lutter sans relâche contre toutes les formes d’exploitation de l’être humain. »

Le peuple français a bon dos, mais toutes ces pleurnicheries risquent de lui couter cher !

En effet, nous savons aujourd’hui qu’avant le voyage du président en Afrique, le cabinet du Premier ministre avait organisé une réunion avec un collectif d’associations pour qu’il fasse des propositions (sic) sur ce qui peut être fait en termes de réparations !

Derrière tout cela, au point de vue association, on retrouve Louis George Tin, qui n’est autre que le Président du Conseil représentatif des associations noires (le CRAN) qui, ayant eu deux longues réunions avec les représentants du gouvernement, pensait avoir convaincu de la nécessité de “réparations” sonnantes et trébuchantes… et d’accuser “Normal 1er”… « M. Hollande rétropédale le jour même où il se rend à Gorée… C’est honteux ! »

Bien sûr, tous ces braves gens, dont certains appellent les Français d’origine… les sous-chiens… font mine d’ignorer la véritable histoire de l’esclavage.

Ainsi, par une nouvelle entourloupette de la falsification historique, on ressort la loi Taubira qui veut faire payer à la France la traite négrière, dont elle ne commença la pratique qu’à la fin du XVIIe siècle, en occultant l’esclavage arabe et la traite négrière interafricaine qui se sont étalés, eux, plus longuement dans le temps, depuis l’antiquité, et qui furent terribles quant au nombre de morts dans les convois vers la côte pour les ventes, ou vers les pays d’Orient.

Il faut quand même savoir qu’après plusieurs voyages de repentance à Alger, où les représentants des porteurs de valises n’ont cessé de s’excuser et de cracher sur la France… des excités du FLN avancent aujourd’hui… la nécessité pour la France… si elle veut vraiment être pardonnée… le versement d’au moins trois milliards d’euros. Voici peu de temps, une délégation du FLN s’est rendue au Viet Nam pour rencontrer des dirigeants à Hanoi. Cette visite avait pour but de demander aux ex viet minh de se joindre à l’Algérie pour constituer un “front anti français”, une sorte de “tribunal international”, afin d’obtenir des réparations pour l’Algérie et pour le Viet Nam. Hanoi a éconduit avec agacement cette délégation de mendiants.

Mais je pense que ce n’est que partie remise, et que les gens qui soi-disant nous dirigent, sont seulement capables d’une chose… nous faire condamner au nom de la repentance !

Car ces messieurs y vont avec vigueur. Toutes les occasions sont bonnes et nous voilà repartis sur les lamentations.

Devant se rendre à Alger en décembre 2012, “Normal 1er” profite du 51ème anniversaire de la répression anti FLN de Paris, pour, à nouveau, nous rouler dans la fange.

Une fois de plus, comme ses prédécesseurs d’ailleurs, il passe sur les crimes du FLN, en Algérie et en Métropole… pour attaquer la police parisienne et la couvrir d’opprobres, alors qu’elle n’a, en pleine guerre civile, fait que son devoir. Du coup, même les forces du maintien de l’ordre deviennent … « la police de Papon ». C’était tout simplement la police de De Gaulle… tout comme le S.A.C. était la police parallèle du grand homme.

Il est aberrant que ces imbéciles qui se sont emparé du pouvoir grâce à la bêtise d’un nombre incroyable d’ « idiots utiles », et au vote communautaire musulman, continuent à dénigrer et à salir notre pays, alors qu’une grande partie de la population immigrée ne se sent pas française, et prend pour argent comptant toutes les élucubrations politicardes de ces marchands de vent et de haine.

Nous avons fait la “guerre d’Algérie” contre le terrorisme du FLN… qui pendant des années a tué, égorgé, éventré des dizaines de milliers de musulmans qui ne désiraient que rester Français !

Ils ont, par ailleurs, réservé le même sort aux pieds noirs qui avaient bâti ce pays et qui, dans leur grande majorité, étaient des gens humbles, ne possédant que leurs mains et leur volonté de travail… et dont beaucoup votaient communiste.

M. Sarkozy, avant Hollande, avait cru nécessaire de proclamer, voici cinq ans, à Dakar, devant une assemblée africaine…

 « Nous vous avons pillés…

« Nous vous avons volés

« Nous vous avons colonisés… ce qui était une erreur…

« Mais (sic) nous avons construit des ponts… »

Nous avons fait bien d’autres choses !

D’abord en Afrique noire, comme déjà écrit…nous avons stoppé l’esclavage… nous avons amené la paix… fait cesser les éternelles luttes tribales et le cannibalisme.

Nous avons combattu la lèpre, la maladie du sommeil, et des dizaines d’infections purement africaines, grâce à la médecine coloniale, présente partout.

Nous avons traité les populations… toutes… correctement, et elles n’ont jamais connu la famine.

A notre départ, il restait dans les colonies européennes 1 800 000 éléphants. La forêt était quasiment intacte.

Nous n’avons jamais pompé le pétrole… car nous ne l’avions pas découvert… sauf au Sahara français… ce qui nous valu la guerre d’Algérie.

D’ailleurs, si nous avions été des chiens… même des sous-chiens… des tueurs… des esclavagistes… pourquoi tous ces gens voudraient-ils venir chez nous ?

Ils sont presque tous indépendants depuis 50 ou 60 ans… Les problèmes de leurs pays sont aujourd’hui leurs problèmes.

Nous leur avons laissé de jeunes nations en état de marche… certaines même prospères… Aux Algériens, nous avons abandonné le Sahara qui n’a jamais été algérien, notre gaz et notre pétrole, après avoir investi des milliards. S’ils ne s’en sortent pas, ce n’est pas de notre faute… mais la leur !

Deux pays ont été rasés, nitratés… l’Allemagne et le Japon. Ce dernier atomisé.  Ils sont parmi les premières économies du monde.

Alors, assez de jérémiades. Assez de repentance ! Que nos gouvernants cessent de s’occuper d’hier ou d’avant–hier, et ne pensent qu’à demain… en réglant d’abord les problèmes d’aujourd’hui.

Ce n’est pas à eux de décréter si la France est coupable ou non. Pas plus M. Hollande aujourd’hui, que M. Chirac hier ! Laissons les vrais historiens faire leur travail !

Cessons de nous plaindrede gémirde nous lamenter. Redonnons à notre jeunesse le goût de l’effort… des raisons d’être fiers de leur pays, et que ceux qui sont contre tout cela… fassent leur valise, car en France les frontières qui permettent à tout le monde d’entrer… sont encore plus ouvertes pour ceux qui veulent partir !

Ceux qui prétendent que la France est un pays raciste, sont des affabulateurs et des menteurs. Certains penseront peut-être qu’en traitant nos dirigeants d’imbéciles… j’exagère… Non ! Je minimise la chose… le drame. Car en vérité, en prenant constamment parti pour nos adversaires d’hier… ils nous amèneront la guerre civile.

Alors, il vaut mieux que je les traite d’imbéciles que de traitres… ce qu’ils sont en réalité vis-à-vis de notre pays, qui est de moins en moins la France… et de notre peuple, qui se sent de moins en moins chez lui !

Roger HOLEINDRE Président du Cercle National des Combattants et membre directeur du Comité du Mémorial de l’Honneur français

 

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9 novembre 2012

LIBRES PROPOS CITOYENS

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