Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

popodoran

popodoran
Newsletter
24 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°10

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - mercredi 20 juin 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Justice : la peine de mort pour Abdallah BOUMEZAAR !

Cher(e)s ami(e)s,

          Nous avons appris avec effroi, l’exécution de deux femmes gendarmes, dont une mère de deux enfants, dimanche 16 juin, à Collobrières (Var).

          Il s’agit de Mesdames Audrey BERTHAUT, 35 ans, mère de deux enfants, et Alicia CHAMPLON, 29 ans, froidement abattues, loin des sièges feutrés de l’Assemblée Nationale, refuge des abolitionnistes (lire plus bas).

          Car, vous en conviendrez, je pense : il ne s’agit pas de deux meurtres mais de deux exécutions !

          Les faits : âgé de 30 ans, le vaurien précité a déjà passé plusieurs années en prison, pour des peines occasionnées par des affaires de drogue, de vol et de violence gratuite, dont la récente agression de sa mère, qui lui a valu 6 années de prison avec sursis et 3 ans de mise à l’épreuve….nous ne rêvons pas !

          Vous l’avez compris : les Juges ont voulu lui donner une chance de se réinsérer dans la société, qui s’est transformée en….tuerie préméditée ! Après quoi ces Juges-à-la-conscience-tranquille sont rentrés chez eux, pour se restaurer et regarder la télé. Quant aux journalistes, même après l’aveu du meurtrier, ils continuent à l’appeler le meurtrier présumé !

          C’est fou ce que l’on aime présumer dans notre pays.

          Et c’est reparti pour une décision de Justice guidée par le laxisme d’un Tribunal dont les Juges, à n’en pas douter, n’ont jamais eu un membre de leur famille froidement exécuté de la sorte ! Les Juges sont au-dessus de « ça », très loin des mares de sang qui n’éclaboussent jamais leurs robes.

          Et puis il y aura de nouveau des déclarations officielles qui sonnent creux, des fleurs déposées sur le lieu des crimes, un hommage national légitime, l’octroi d’une médaille à titre posthume par le Ministre de l’Intérieur, et, n’en doutons pas, le commentaire d’un psychiatre qui osera déclarer devant une caméra de télévision, la voix grave et le regard absent, que cet assassin n’est pas responsable car il n’était pas conscient de ses actes.

          Vous l’avez compris : ce vaurien a sauté sur l’une des deux femmes gendarmes qu’il a frappé, s’est emparé de son arme, lui a tiré une balle dans la tête à bout portant,  a couru derrière la seconde sur laquelle il a tiré aussi jusqu’à ce qu’il la  tue….et tout ça sans se rendre compte de ce qu’il faisait !

          Après un agissement aussi barbare, l’idée que ce vaurien coule des jours tranquilles, en prison, à nos frais, est simplement intolérable !

          Concernant l’abolition de la peine de mort, entre autres mesures officielles nationales et internationales (énumération non exhaustive), la France a entériné les décisions suivantes :

- en 1981, vote à l’Assemblée Nationale de la Loi d’abolition de la peine de mort en France, présentée par Robert BADINTER, Ministre de la Justice de François MITTERRAND.

- en 2000, ratification du statut de la Cour Pénale Internationale (qui interdit la peine de mort).

- le 19 août 2007, sous la présidence de Nicolas SARKOZY, l’abolition de la peine de mort a été inscrite dans la Constitution française, par le Parlement réuni en congrès à Versailles, par 828 voix contre 26.

- le 18 décembre 2008, vote en faveur de la Résolution des Nations Unies, pour un moratoire mondial sur les exécutions, adopté par 160 Etats, par ailleurs, la France refuse l’extradition des détenus dans des pays où ils risquent une condamnation à mort.

          Deux certitudes : les Etats veulent abolir la peine de mort mais pas les assassins, la France aime ses assassins et veut les garder en vie ! Quitte à bousculer vos convictions : je suis partisan du rétablissement de la peine de mort pour les assassins d’enfants, de personnes âgées, et de militaires dans l’exercice de leur fonction.

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel....de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

Publicité
Publicité
24 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°9

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - Jeudi 7 juin 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Elections législatives : il faut une Assemblée Nationale à droite !

Cher(e)s ami(e)s,

          Permettez-moi de rappeler simplement, sans tambour ni trompette, que j’ai voté pour Nicolas SARKOZY, pensant comme bon nombre d’entre vous, éviter à notre pays d’être gouverné par des socialo-communistes (leurs parents ou eux ont été des « porteurs de valises ») partisans de l’indépendance de l’Algérie, fascinés par l’islamisation de la France et par le mondialisme.

          Plusieurs facteurs prévisibles ont permis cette lamentable alternance :

- les promesses importantes faites en 2007 par le candidat SARKOZY, non tenues cinq années après, constat évident d’un mensonge programmé,

- le zèle manifesté par ce  même personnage dans des attitudes, des actions et des discours reflétant un insupportable arrivisme, bien peu conforme aux habitudes de la société française et donc très mal ressenti, 

- la culture d’un centralisme excessif, visible au quotidien au sein d’un   gouvernement manifestement tenu en laisse ;

- les médias toujours aussi virulents, devenus maîtres en matière d’interprétation de la pensée unique, gauchisante bien sûr.

- les discours lénifiants sur la nécessité de sauver la Grèce à coups de milliards d’Euros, dont on nous a fait croire qu’ils seraient remboursés (c’est fort !),

- l’allusion permanente à un gaullisme social dépassé qui ne flatte que les statuts de l’idole jetée à terre à l’occasion d’un référendum salvateur.

- les fermetures d’usines et les décentralisations opérées par les grandes sociétés françaises, qui mettent leur personnel au chômage et appauvrissent notre pays.

- l’augmentation dramatique de la dette nationale et des dépenses inconsidérées de l’Etat en faillite, suivant l’expression réaliste de François FILLON.

- le mépris caractérisé envers les Français d’Algérie, et les descendants des Harkis massacrés en 1962, sans qu’aucune commission internationale ne se pose de question sur ce génocide caractérisé qui reste une tache indélébile dans l’histoire de France.

- la montée de l’islamisme extrémiste, déviation dangereuse de l’Islam.

- l’incapacité d’unir les droites françaises, alors que le PS s’accorde sans vergogne depuis des années, avec les communistes et les anarchistes.

- la diabolisation du FN, savamment entretenue par les ténors de l’UMP qui ne supportent pas que 6,4 millions d’électeurs leur échappe, et ont trouvé ce seul moyen pour masquer leur échec politique patent, etc.

          Après tout ça on se demande pourquoi Marine LE PEN a réalisé un score proche de 18 % ! Permettez-moi d’écrire : il est grand temps, et j’ajoute pourvu que son combat se renforce afin que ce parti réunisse des patriotes de tous bords et s’installe définitivement dans le paysage politique français.

          Je ne peux m’empêcher de repenser avec colère aux grands esprits qui ont prétendu qu’il ne fallait pas voter pour Nicolas SARKOZY, et à ceux qui se sont découvert un progressisme de dernière minute en votant pour François HOLLANDE, non par conviction mais parce qu’ils détestaient le Président sortant ! Les voilà bien avancés avec des mondialistes utopistes au pouvoir.

          Au lendemain de la récente élection présidentielle, si une vérité a été dite c’est bien par Nicolas SARKOZY : « je porte toute la responsabilité de cette défaite ». Adieu donc, pas au revoir, et disparaissez de la scène politique : notre Nation n’aime pas ceux qui se tirent une balle dans le pied !

          Oui, j’ai mal à ma France car, à l’approche des élections législatives j’entends les thuriféraires de l’UMP soutenir l’idée ringarde qu’il ne faut pas d’alliance politique avec le FN, et qu’en cas de triangulaire il faudra voter pour le PS ! Honte à eux et bravo à ceux comme Roland CHASSAIN, Député UMP des Bouches du Rhône,  décidé à voter pour le FN si son candidat est devant lui.

          La droite gaulliste décadente est bien la plus stupide du monde ! Vive la nouvelle droite, vive Marine LE PEN !  Mobilisons-nous pour que la gauche n’ait pas la majorité à l’Assemblée Nationale. Les Présidents passent….la France reste !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement. Et bon vote !

Michel....de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

Retour le phare fouilleur

21 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°8

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - Samedi 5 mai 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Deuxième tour : contre HOLLANDE, donc…. pour SARKOZY ! 

Cher(e)s ami(e)s,

          Il est facile d’estimer qu’au premier tour d’une élection présidentielle, on vote pour son/sa candidat(e) préféré(e), on peut alors parler de  « vote de cœur ».

          Lorsque celui/celle-ci arrive troisième au premier tour, et n’est plus présent(e) au second tour, il faut bien se résigner à voter pour celui des deux finalistes que l’on estime le moins mauvais, on peut alors parler de « vote de raison ». Ce jour-là, hélas, la raison… n’a pas de cœur !

          Chacun sait que les bulletins dits blancs et/ou nuls ne sont pas comptabilisés, et que l’abstention ne fait parler que les journalistes car les deux candidats finalistes s’en moquent, quoiqu’ils en disent.

          Statistiquement, ce jour-là, s’abstenir et/ou voter blanc ne fait rien avancer et j’ai souvent envie de dire aux personnes qui revendiquent ce choix : vous n’avez rien à dire puisque vous n’avez rien voté !

          A l’approche du deuxième tour des élections présidentielles, demain, nous aurons à choisir non pas un homme mais un programme, et pour tout dire un choix de société. Par choix de société, j’entends une façon de vivre, qui peut influencer notre façon de penser, en France mais aussi dans nos relations avec les pays d’Europe et du monde. Les conséquences du choix d’un homme plutôt qu’un autre impacteront notre quotidien mais aussi l’image de la France.

          En cette période de grandes tensions intérieures et extérieures, de toutes les natures que l’on sait, il n’est pas permis de fragiliser la France, en nommant Président un candidat sans expérience gouvernementale, obsédé par la seule ouverture des vannes d’un progressisme imprégné d’une tendance mondialiste irresponsable.

          Alors, en ce qui me concerne, je ne peux fermer les yeux sur les maux qui minent chaque jour davantage notre société :

- l’existence d’une dette nationale inadmissible,

- la mort programmée de l’industrie française,

- les délocalisations scandaleuses des sociétés françaises qui par ce biais s’enrichissent en payant à moindre coût des employés étrangers alors que les nôtres pointent au Pole-Emploi,

- l’augmentation du nombre des chômeurs,

- la présence sur notre sol de dizaines de milliers de sans-papiers,

- le déséquilibre abyssal de nos régimes sociaux,

- le maintien d’une immigration officielle et/ou clandestine, essentiellement

   maghrébine, qui met en risque notre culture et nos valeurs républicaines,

- le traitement méprisant des Français d’Algérie et des Harkis,

- la tenue en France de colloques favorables au FLN algérien,

- le concept du mariage homosexuel, qui déstabilise un peu plus la famille,

- la dépénalisation du cannabis….et j’en passe !!!

          Voilà ce que je ne souhaite pas en France ! Et ça n’est pas en m’abstenant de voter que je vais aider à y remédier.

          A tort ou à raison : j’envisage de voter contre François HOLLANDE, donc…je voterai pour Nicolas SARKOZY ! Je le ferai dans l’espoir de préserver mon avenir de retraité et l’avenir professionnel de mes enfants.

           Un ami m’en a convaincu par ces quelques mots pleins de réalisme voire de sagesse : « si celui que je considère comme le plus opposé à mes opinions politiques est élu, au moins n’aurais-je rien fait pour qu’il soit élu ».

          Comme c’est vrai ! Merci cher ami.

          Dernière observation : en 2007 on a fait en sorte que Royale reste le nom d’une pizza, en 2012 faisons en sorte que Hollande reste le nom d’un fromage !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement. Et de grâce… mourrons pour des idées, d’accord, mais de mort lente !

Michel....de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck

Retour le phare fouilleur

21 juin 2012

BULLETIN D'HUMEUR N°7

Document transmis par

LE  PHARE  FOUILLEUR  - mardi 24 avril 2012

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Premier tour : pour Marine….sans aucune souffrance !

Cher(e)s ami(e)s,

          Il n’aura pas fallu 48h après le premier tour de l’actuelle élection présidentielle, pour que l’usage d’un vocabulaire décadent fleurisse à nouveau sur les lèvres des professionnels du mensonge et de la désinformation !

          Rendez-vous compte combien le vocabulaire démocratique est développé dans notre beau pays : pour avoir voté avec un plaisir non dissimulé en faveur de Marine LE PEN, me voilà « déçu, égaré, rejeté, bref….en souffrance » !!!

Qui dit mieux ? 

Plusieurs critères ont influencé mon vote :

- sa personnalité hors pair.

- la fibre patriotique qui l’anime continuellement.

- le choix de la plupart des thèmes de son programme qui reflète les véritables préoccupations des Français : chômage, délocalisation, patriotisme économique, immigration, tolérance zéro en matière de sécurité, laïcité, Europe des nations, entre autres.

- la priorité donnée à la réduction de la dette publique par tous les moyens.

- la volonté de restaurer la morale publique et l’autorité à l’école.

          A l’attention de la plupart des responsables politiques et de nombreux journalistes qui affichent une méthode de pensée unique sans vergogne, je confie ceci : j’ai effectué un vote d’adhésion au programme du FN….sans souffrir !

          Rappel des résultats officiels (voir « Le Figaro.fr ») des trois premiers candidats :

- François HOLLANDE 28,63 %,

- Nicolas SARKOZY 27,18 %,

- Marine LE PEN 17,90 % (soit environ 6,4 millions d’électeurs !).                                                                                       

          Oui, comme le dit Gilbert COLLARD, nous assistons à l’émergence d’une « nouvelle droite », porteuse d’espérance pour les Français patriotes et souverainistes.

          Si l’actuel Président de la République souhaite rester au pouvoir et continuer à gouverner la France avec des valeurs de droite, il ne lui reste qu’à faire le nécessaire pour s’allier politiquement avec Marine LE PEN.

          Quelque chose me dit qu’il n’en aura pas l’audace et qu’il sera donc responsable de sa chute politique.

          Si cela se confirme la droite gaulliste restera la plus bête du monde !

          Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salamon de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-El-Turck

Retour le phare fouilleur

21 juin 2012

COMMEMORATION DU CINQUANTENAIRE DE L'EXODE A NÎMES

Samedi 23 JUIN

ESPLANADE – ATRIA 5, Bd de Pragues – 30000 NIMES

9h30

Square du 11 novembre  Accueil des personnalités

10h

Square du 11 novembre Monument aux morts - Cérémonie de commémoration et dépôt de gerbes

10h15

ESPLANADE CHARLES DE GAULLE Moment de convivialité offert sur l’Esplanade

11h

AUDITORIUM DE L’HÔTEL ATRIA - Inauguration de l’Espace Culturel - Dédicaces de livres.

11h30

Inauguration des expositions photos présentées par les associations de rapatriés du Gard et de l’exposition « Les Harkis dans la colonisation et ses suites ».

Salle le Foyer

Superbe exposition de tableaux en 3D réalisées par Francine PARRA, née CASTANO

Espace Sainte Perpétue (patio de l’hôtel Atria)

Inauguration de l’exposition de peintures orientalistes de Josette Spaggia.

Fermeture des expositions à 21 heures

14h

 « L’agonie de l’Algérie ». Conférence de Guy Tudury, écrivain.

15h

« Il y a 50 ans … l’Exode ». Conférence de José Castano, écrivain.

17h

Projection Film « la Valise ou le Cercueil » de Charly Cassan et Marie Havenel suivie d’une discussion avec les réalisateurs.

21h30

JARDINS DE LA FONTAINE

Concert d’Alain Rattier et son big Band qui interprèteront des airs des années 1950 et 1960.

Billetterie : FNAC et points habituels

Dimanche 24 Juin

10h

Cérémonie interreligieuse - Dépôt de gerbes. Sanctuaire de Santa Cruz.

11h30 ESPLANADE CHARLES DE GAULLE

Séance de dédicaces par les écrivains présents. Espace Culturel. Moment de convivialité.

11h30 AUDITORIUM DE L’HÔTEL ATRIA

Expositions Photos

Salle le Foyer, hôtel Atria.

Exposition de peintures orientalistes de Josette Spaggia.

Espace Sainte-Perpétue, patio de l’hôtel.

Superbe exposition de tableaux en 3D réalisées par Francine PARRA, née CASTANO

Fermeture des expositions à 21 heures.

14h30

« Fondements du traumatisme identitaire des rapatriés » - « La construction de la mémoire des pieds-noirs et sa mise en conflit dans l'espace public français ». Conférence de Quentin Lajus, étudiant à l’Institut d'Etudes Politiques de Bordeaux.

15h30

Projection du film « Le Choix de mon Père » de Rabah Zanoun.

17h

« Les Harkis, de la guerre d'Algérie à nos jours » Conférence d’Abderahmen Moumen, Docteur en Histoire.

18h15

Projection du film « Algérie, Histoires à ne pas dire » de Jean-Pierre Lledo.

ESPLANADE CHARLES DE GAULLE

19h45

Clôture du 50e anniversaire

Renseignements : Magalie DAUDET – Tel. 04.66.27.76.80

e-mail : magalie.daudet@ville-nimes.fr

 

Publicité
Publicité
17 juin 2012

CINQUANTE ANS APRES

7 HERISSON étoile
De Juin 1962 à Juin 2012 Les rapatriés d’Algérie et d’ailleurs attendent toujours qu’un gouvernement se penche enfin sur leur cas et………..Rien n’est encore réglé.

        A l’annonce de ces maudits accords d’Evian du 19 Mars 1962, tant honorés par nos gauchards, nos bobos et nos quillards venus soi-disant protéger la France contre les fellaghas et le 5 Juillet de la même année, un pays entier s’est vidé de sa substance économique la plus tangible à une vitesse grand V par le biais de 1.500.000 de ses habitants, de souches et cultures différentes de celle qui en a hérité et qui n’espérait pas un tel cadeau et un tel baissé de sarouel (pantalon gaulliste pour les non-initiés) de cette la France-là.

  Cette substance, poussée au désespoir a réagi au ¼ de tour et en un clin d’œil et un doigt d’honneur à l’adresse de cette France qui les ignorait, cette France inconnue dans la magnifique histoire de notre beau pays, a envahi quais d’embarquement et aéroports à destination de n’importe où pourvu qu’ils partent de cette terre devenue pour beaucoup d’entre eux , leur dernière demeure.

      Ils sont partis  sans un regard derrière eux, sauf pour vérifier qu’ils ne seraient pas poignardés par derrière et ont fui leur terre, leurs cimetières, leurs racines, leurs cultures et tout ce qui était et faisait leur joie de vivre et d’exister.

        Ils sont partis, en pensant naïvement que leur mère-patrie leur ouvrirait les bras pour qu’ils s’y réfugient et se referment sur ses enfants.

        Quelle erreur d’appréciation et quelle horreur en découvrant la dure réalité de ce qui les (nous) attendait dans cette terre de repli qu’ils pensaient être leur havre de grâce.

        La preuve ? Le préambule de cet article veut tout dire et éclaire singulièrement la suite de mes propos.

        Depuis 50 ans nous sommes la proie de prédilection de prédateurs et autres sinistres officines d’huissiers, d’avoués, avocats marrons, qui ont juste à signer un papier pour enlever le peu qui reste à ces gens sans défense.

        Prenons un exemple au hazard: le 11 juin écoulé à 10H00 devait avoir lieu la visite précédant la vente judiciaire de la maison familiale de rapatriés d’Algérie : la famille LEVEZAC de Nimes.

        Cette maison, (nous dit USDIFRA) toit familial d’une famille de onze personnes, dont deux personnes âgées, une personne invalide et sept enfants en bas âge, appartient à une personnalité du monde rapatrié qui se dévoue sans compter depuis de nombreuses années afin d’alléger les souffrances de ses compatriotes d’infortune.

« Nous ne laisserons pas notre compatriote dans la détresse, avait déclaré M. Gabriel MENE, Président de l’USDIFRA et si rien n’est fait, nous avons l’intention de nous opposer par tous moyens à cette visite et à cette vente qui constituerait pour cette famille une seconde spoliation, puisqu’elle en a déjà subie une pour raison d’état du fait de l’abandon par la France des départements et territoires sur lesquels elle exerçait sa souveraineté. Les biens des français situés sur ces territoires ont été spoliés et la Loi de 1961 qui prévoyait leur indemnisation est restée lettre morte.

        Pourtant, ils avaient attiré l’attention des pouvoirs publics sur cette famille qui méritait un minimum d’égards. Le préfet du Gard en avait été même avisé. Mais ce dernier n’avait répondu que par un silence assourdissant de sa part. Même nos nouveaux dirigeants nationaux en avaient été avisés et cela au plus haut niveau.( M. François HOLLANDE nouveau Président de la République, et son Premier Ministre, Jean Marc AYRAULT)

        Il est clair que nous n’ accepterons jamais que les rapatriés soient les continuelles victimes des politiques d’ajustement et nous entendons le montrer à qui de droit s’il le faut…et par tous les moyens que la loi réprouvent mais pas la morale qui , au passage, en prend un sacré coup dans les gencives. »

        La réinstallation des rapatriés a fait l’objet d’un dispositif mis en place en 1998 avec l’article 100 de la loi de finances et complété en 2007 avec le décret 2007-398 concernant la protection du toit familial.

        Ce dispositif a été mis à mal par une décision du Conseil Constitutionnel de janvier 2012 abrogeant l’article 100.

        Le gouvernement de M. François FILLON devait combler le vide juridique ainsi créé avec un nouveau décret que le précédent gouvernement n’a pas eu le temps de publier.

        Ceci laisse les rapatriés réinstallés sous la menace latente de subir une nouvelle spoliation alors que l’indemnisation qui leur est due ne leur a pas encore été payée.

        Seule l’USDIFRA ! Mais, vous direz-vous : qui est l’Usdifra ?

        L’USDIFRA a été créée en  août 1965  quand de nombreux rapatriés d’Algérie ont connu de grosses difficultés morales et matérielles de réinstallation après leur exode forcé. Depuis sa création, elle s’est fixée  pour mission de défendre essentiellement leurs intérêts matériels, ce qui a permis d’atténuer certaines difficultés matérielles et morales de réinstallation qu’ils rencontraient. Cette action concernant la réinstallation est toujours en cours aujourd’hui et plus que jamais d’ailleurs.

        L’USDIFRA a aussi été à l’origine de l’action judiciaire collective et des plaintes internationales déposées devant l’O.N.U et la commission des Droits de l’homme.

Le fait que  je sois Pied-noir, témoin et acteur de l’histoire de l’Algérie Française  avec mon optique nécessairement partisane, n'enlèvera rien à l'intérêt de mon préambule et à celui de ma conclusion.

N'a-t-on pas le droit de présenter notre propre défense, contre les attaques déguisées de nos détracteurs, ne serait-ce que pour faire entendre un son de cloche différent à l’encontre des falsificateurs et autres beni-oui-oui  ou lèche- culs qui n’en écouteraient complaisamment  qu’un seul ?

Vous faites passer ce que vous croyez être la raison d'Etat, en prenant d'autorité et contre toute logique, le pas sur le respect que vous nous devez et sur la raison du cœur.

Depuis cinquante ans nous avons été extirpés de  force de nos départements Français d'Algérie, notre pays natal et pas un replié n'oubliera, de vous opposer le plus grand et ignoble abus de confiance du 20° siècle, imaginé par un cerveau sénile, malade et revanchard, usant de ruse, et de faux engagements.

Mais la force armée, les accords secrets déjà passés avec nos ennemis et l' anti constitutionalité d'un referendum où nous ,Pieds-Noirs principaux intéressés, n’ étions pas conviés car bâillonnés, notre sort était vite scellé et on nous jeta à la mer. Notre amère Patrie reniait ses enfants.

Nous  avons eu droit à quoi? A rien, contrairement à ces étrangers qui arrivent ici en pays conquis et notre pays “La France” pousse l'infamie à l'extrême jusqu’à tolérer ici, chez nous une fédération  FLN.

Le pitoyable en tout cela réside en la présence de nombreuses associations et soi-disant personnalités et amicales du FLN.(La liste est longue et  connue de tous)

Quel manque de psychologie de votre part (depuis la Présidence , en passant par ses ministres et jusqu'au dernier secrétaire d'état) dans laquelle vous osiez revendiquer les suffrages de Français honnis depuis le 19 Mars 1962.

Mais rassurez-vous, les 22 Avril et 6 Mai écoulés, la France profonde vous a répondu et jeté là où vous vous sentez le mieux : sur le sommet d’un tas de fumier de l’oubli et nous sommes nombreux à vous faire une haie de déshonneur pour vous y conduire. Comptez-sur-nous.

Quand on aime la justice, on est toujours un révolté...Albert Camus
 

LE HÉRISSON VOUS SALUE BIEN.  A VOTRE SERVICE.

Leherisson1962@gmx.com 

HERISSON_signature_BLOG

Retour chez le hérisson.

11 juin 2012

REMERCIEMENTS

De José Castano

Chers amis,

            A ceux qui m’ont apporté leur concours, leur soutien, leur sueur et l’appui de leur vote, je leur exprime, ici, mon incommensurable gratitude. Que ceux qui se sont investis pour afficher, tracter et tenir un bureau de vote sachent que je n’oublierai jamais leurs efforts désintéressés. Du plus profond de mon cœur : MERCI !

            Je suis fort déçu par le vote des électeurs de cette 9ème circonscription, en général et des Lunellois en particulier. Ils ont, de façon inconsciente et inconsidérée, plébiscité les seuls candidats issus de partis qui sont à l’origine du déclin de notre pays qui, au fil du temps, va s’aggraver inexorablement…

            En votant pour l’UMPS, les Lunellois (particulièrement) n’ont pas voulu d’une ville française… ils auront, un jour, une localité à dominante musulmane, ce qui est déjà très bien engagée...

            Avec 19,94%, je manque de 400 voix l’accès au second tour et ces voix m’ont été volées par l’un de mes compatriotes, ancien du FN, exclu en 2004 de ce parti qui s’est néanmoins présenté sous une étiquette « apparentée » et qui, en récoltant précisément ce nombre de voix, m’a empêché de me maintenir au second tour. D’autres compatriotes, notamment sur la Grande Motte, on fait fi du combat mémoriel que je mène depuis 30 ans en réservant leur suffrage à un candidat représentant un parti issu du gaullisme… « Un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir » disait Jean-paul II ; je crains que, désormais, notre avenir ne se limite plus qu’au « couscous-merguez »…

         Je mets un terme à la politique ainsi qu’à mon œuvre de mémoire et, partant, à mes écrits. J’aspire désormais à une « retraite » bien méritée et réaliser ce que je n’ai pu ces derniers temps… Je laisse les Lunellois à leur sort et leur souhaite beaucoup de plaisir et de courage : Ils en auront grand besoin… 

Bien amicalement

Joseph CASTANO

mail4

Pour revoir: 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles - 

Ses ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie – 

Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –  

Sa biographie, cliquer sur :- Ma Biographie – 

8 juin 2012

IN MEMORIAM - GEORGES-EMILE PAUL

Je viens d'apprendre la triste nouvelle, avec le Comité VERITAS nous sommes en deuil, notre frère de Combat, Georges Emile PAUL nous a quitté.

LE COMITE VERITAS
ET TOUTE SON EQUIPE

ONT LA DOULEUR DE VOUS FAIRE PART
DU DECES DE LEUR CHRONIQUEUR-REDACTEUR
ET FRERE DE COMBAT
GEORGES-EMILE PAUL
Journaliste

Correspondant de presse en temps de guerre
Carrière militaire dans l’aviation
Toutes les campagnes de la Libération
Attaché de presse à l’Echo d’Oran (Algérie)
Ecrivain auteur de « Hammam Bou Adjar »

SES OBSEQUES AURONT LIEU
LE LUNDI 4 JUIN 2012 A 9 HEURES

EGLISE SAINTE THERESE
42 AVENUE ASSAS
34000 MONTPELLIER
Soyez nombreux à rendre un dernier hommage
A cet homme d’Honneur et de courage.

D'avance merci.

Pour mémoire voici un extrait de La lettre de Véritas d'Avril 2003 N°72

...CAR ORAN, « NOTRE ORAN » RESTE UN SYMBOLE EN TANT QUE PLUS GRANDE VILLE MARTYRE DE L'ALGERIE FRANÇAISE ET QUARANTE ET UNE ANNEES N'ONT RIEN EFFACE DE CE TRAGIQUE POGROM DU 5 JUILLET 1962 !

Oui, on pouvait penser que, là, enfin, où cette terrible chasse à l'Européen devait faire TROIS MILLE VICTIMES en quelques heures, dans cette funeste journée d'une Saint Barthélemy de l'égorgement, de la décapitation et de la barbarie nullement ignorée des deux présidents -il y avait place, et même obligation, à avoir une pensée officielle pour toutes ces innocentes victimes françaises, place à demander pardon de tout ce sang de TROIS MILLE JUSTES qui ont été sacrifiés, martyrs d'une vindicte inique et déloyale qui massacrait pêle-mêle, hommes, femmes, enfants, chrétiens, israélites et musulmans...

Après avoir salué, à Alger, la mémoire des terroristes et des tueurs du F.L.N., il n'en était que plus facile au Président français de se faire conduire sur le lieu d'une sépulture ignoble et collective demeurée à jamais dans la mémoire des Oranais, nos compatriotes, lesquels n'ont pu oublier le massacre gratuit de tant des leurs !

Car il n'est pas un rescapé de cette dramatique journée qui ne se souvienne de ces hommes et ces femmes abattus au hasard des rues, de ces cadavres éparpillés sur les trottoirs, ces centaines d'innocents extraits de chez eux à coups de crosse, abattus devant leurs portes ou chargés comme du bétail dans des camions et conduits, par grappes humaines, vers le stade ou l'abattoir municipal, lieux d'interrogatoires et d'exécution, puis, en finale, au fameux « Petit Lac » où l'on immergeait les corps dans une boue nauséabonde, certains d'entre eux, nous a-t-on certifié, grièvement blessés mais pas encore morts !

On a soigneusement caché ces horreurs à la France et l'on voit bien, autour de nous, que nombre de nos concitoyens les ignorent encore! De Gaulle a exigé d'une presse à sa dévotion que ce pogrom, cette sorte d'Oradour cinq fois plus meurtrier que l'autre, soit ramené à quelques incidents et quelques morts dédiés à la journée de l'indépendance algérienne !

Et les Français de métropole, dociles, gaullistes, pressés de récupérer les soldats engagés là-bas, ont ainsi aidé à TUER DEUX FOIS CES TROIS MILLE INNOCENTS, une première fois par leurs militaires, restés l'arme au pied derrière les grilles de leurs casernes, une deuxième fois en ignorant volontairement cette abomination sur laquelle VERITAS amis en procès le sinistre général Katz -décédé depuis -mais auquel sa participation passive, sur ordre, à cette abominable tuerie valut une étoile supplémentaire, bien sanglante, car De Gaulle a toujours bien récompensé les valets qui le servaient bien.

Telle fut, contée au plus juste, la tragédie d'Oran. A quelque temps de là et par « mesure de salubrité publique » les autorités algériennes ont évacué et curé ce cimetière maudit du « Petit Lac » afin qu'en disparaisse à jamais un magma susceptible de devenir le plus étendu des charniers accusateurs... Pour nous, et pour tant d'autres qui pleurent encore parents et amis disparus en cette journée d'impitoyables représailles envers une France capitularde, il y avait, c'est sûr, dans ce premier voyage officiel d'un Président de la République française à Oran, une sorte d'obligation morale d'aller jeter quelques fleurs sur ce lieu plus sacré encore, par la tragédie qui s'y est perpétrée, que ces cimetières algérois visités ...en touriste !

Et que dire de nos compatriotes qui accompagnèrent Chirac à Oran sans solliciter de sa part le pèlerinage qui s'imposait en ces lieux ? Oui, belle occasion gâchée, perdue, pour ce cortège français, sans doute volontairement oublieux, prématurément, d'un vague et immense cimetière sans tombes qui illustre le mieux le calvaire des Français d'Algérie, innocentes victimes DONT VINGT -CINQ MILLE. EN QUELQUES MOIS. PAYERENT DE LEUR VIE CETTE FAUSSE GRANDEUR GAULLIENNE DONT ON VOlT BIEN EN JACQUES CHIRAC L'HERITIER SANS MEMOIRE !

Au bilan: quelques belles occasions perdues pour un voyage présidentiel qui laisse les Algériens insatisfaits et les Pieds-Noirs déçus, une fois de plus. « Un voyage qui n'a pas répondu à l'attente des Algériens » écrivait, au lendemain de cette visite un journaliste de « L'AUTHENTIQUE ». « LA NOUVELLE REPUBLIQUE » remarquait que: « La confiance n'était nulle part rétablie ». Quant à « EL AHRAR », tribune du F.L.N., il précisait, pour sa part que « Si l'Etat français veut épurer ses comptes, il doit officiellement reconnaître que l'Algérie existait bien avant l'agression militaire sur Alger en 1830. ».

A propos de ce dernier commentaire, on se posera toujours cette question : comment diable Ferhat Abbas, homme politique nationaliste et intelligent, a-t-il pu chercher l' Algérie jusque dans les cimetières sans en trouver nulle part la moindre trace ou la moindre parcelle ?

Georges-Emile Paul

 

Retour "IN MEMORIAM"

 

6 juin 2012

A MES COMPATRIOTES PIEDS-NOIRS

Le choix d’un vote…

 Document transmis par José Castano

« Entre le passé où sont nos souvenirs et l’avenir où sont nos espérances, il y a le présent où sont nos devoirs » (Antoine de Saint Exupery)

 

                 1962… 2012 ! 50 ans !… déjà… et nous en sommes toujours à regarder derrière nous comme si c’était hier… 50 ans de rêves évanouis, d’espérance trompées, de souffrances imméritées et de morts prématurées. Nous ne demandions pas grand-chose pourtant, seulement un peu de justice… et on nous l’a toujours refusée. Pendant 50 ans, nous avons attendu ; pendant 50 ans nous avons vu partir bien des nôtres écœurés de tant de mensonges et de lâcheté, désespérés d’un destin abominable qu’ils ne pouvaient prévoir parce qu’ils ne le méritaient pas. Et le temps passe… et nos rangs s’amenuisent…

                  Bientôt, il ne restera plus personne pour rappeler la honte de la France qui, un jour, laissa massacrer ses enfants pour on ne sait quelle satisfaction d’un mégalomane sanglant gangréné par la rancune. Car il ne suffisait pas de mettre fin à 132 années d’une histoire sublime, unique au monde, dont une France moins corrompue par le mensonge et la lâcheté pouvait tirer quelque fierté ; il ne suffisait pas de replonger un pays dans le chaos et dans la misère une population qui, pendant plus d’un siècle avait partagé nos joies et nos peines, il fallait que ce crime –car c’en était un- fut encore marqué du sang de Français.

            Ah !… Le temps efface le passé avec une telle rigueur que l’on se demande, aujourd’hui encore, si ces crimes horribles, minutieusement préparés, ont bien été commis…

            Notre malheur n’est pas un mythe. Nous ne nous y complaisons pas et durant 50 ans nous n’avons eu de cesse de vouloir nous en sortir ; mais, quel que soit le résultat de nos efforts, nous ne pouvons rien oublier… ni personne. Il est des responsabilités qui demeurent. Plongés dans notre désastre, nous n’avons cessé de nous débattre pendant toutes ces années et, bien souvent, c’est vrai, nous avons tendu nos bras vers de chimériques épaves. Les affamés rêvent toujours de brioches et les naufragés de sol ferme. Mais, de même qu’on pense toujours à ses parents disparus et qu’on parle d’eux très souvent sans, pour autant perdre de vue l’avenir de ses enfants et cesser d’œuvrer pour leur bonheur, de même nous évoquerons –jusqu’à ce que nos yeux ne se ferment- notre infortune et nous dénoncerons sans trêve nos bourreaux sans nous méprendre sur les responsabilités des hommes politiques français au pouvoir en 1962.

            Jaurès s’est écrié un jour : « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi la loi du mensonge triomphant qui passe. » Alors, au nom de ceux qui vivent toujours (pour les familles de disparus) dans le drame et pour d’autres dans la douleur du souvenir, nous nous devons de crier la vérité –principalement aux sourds et aux aveugles- et de nous investir totalement dans ces élections qui se présentent à nous et qui sont la dernière chance de voir aboutir nos revendication.

            Voilà un demi-siècle que sous couvert de l’ignorance, on s’interdit en France d’affronter la réalité des faits. Ainsi, les fausses doctrines et les idées fantaisistes sur tout ce qui concerne la colonisation française en Algérie et la tragédie qui s’en suivit, se sont introduites dans les cœurs et combien nombreux sont, encore aujourd’hui, ceux qui continuent à écarter, l’un après l’autre, tous les principes de la vérité, et finissent par tomber dans l’incrédulité. Et cette vérité bafouée, tronquée, nous la retrouvons, au quotidien, dans cette France malade de la « crise », minée par le chômage, l’insécurité et l’immigration.

            Descartes soutenait que « pour atteindre à la vérité, il fallait une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions que l’on avait reçues et reconstruire de nouveau et dès le fondement, tous les systèmes de ses connaissances » et Georges Bataille a écrit à ce sujet : « La vérité, je crois, n’a qu’un visage : celui d’un démenti violent ».

            On ne peut espérer des Princes qui nous gouvernent depuis 50 ans qu’ils rétablissent la vérité ni qu’ils se fassent les avocats de la colère. Ce serait d’ailleurs inopérant et les promesses électorales non tenues du candidat Sarkozy en 2007 sont là pour nous le rappeler… Ce que nous attendons, ce que nous espérons, c’est la victoire, non seulement de Marine, mais aussi de Louis Aliot, N° 2 du FN dont la maman est native de Bab-el-Oued et de celle de nombreux autres candidats issus de notre communauté, dont votre serviteur.

Alors, mes chers compatriotes, une chance inespérée nous est offerte : A nous de la saisir ! L’épilogue de cette victoire, au-delà de l’impact qu’elle créera dans le concert des médias, sera le procès en révision devant le Haut-Tribunal de l’Avenir que nous engagerons, cela, afin que les Français connaissent « enfin » la vérité, que les victimes en gardent le souvenir vivace, et que les coupables ressentent à tout jamais l’aiguillon du remords.

D’autres vaincus du moment ont, avant nous, gagné leur procès en appel devant l’Histoire : les Chevaliers du Temple –en dépit de leurs excès-, les solitaires de Port-Royal et les émeutiers de 1871. Les tyrans passent, les martyrs succombent, les idées restent ; elles sont semées, elles germent, l’avenir s’enrichit de leurs fruits.

Mes chers compatriotes, les événements ont toujours été le fait d’une minorité agissante. A nous, Pieds-Noirs, qui avons été témoins et victimes en Algérie, qui avons connu les affres du terrorisme, de la guerre civile, l’exode et l’exil, échoit la responsabilité d’être, ou du moins d’étoffer la minorité qui peut et doit empêcher le fatal processus d’aboutir : Celui de l’oubli, de la falsification de notre Histoire et de l’effacement de notre Mémoire. Il y va de notre propre salut. Et à ceux qui doutent de leurs possibilités et de leur force, je leur rappelle tout simplement qu’il eut suffit de dix justes pour que Sodome fût sauvée.

Joseph CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

… Petit fils d’immigrés espagnols ; natif d’Oranie, candidat FN et « Rassemblement Bleu Marine » aux législatives dans la 9ème circonscription de l’Hérault.

Cliquez sur : - Ma Biographie -

-o-o-o-o-o-o-o-

Pour une reconnaissance et pour en finir avec la repentance française à propos de l'Algérie...

     Voilà près de 50 ans que la Droite et la Gauche françaises trimbalent, sans vergogne, les Pieds-noirs et les Harkis!...   

    Dans des discours clinquants et prometteurs, elles nous assurent reconnaître officiellement les crimes qui ont frappé ces communautés de Français d' Algérie, à partir du cessez-le feu du 19 mars 1962.

    Elles nous promettent de rétablir la vérité historique quant à cette œuvre civilisatrice, humaine de la France qui transforma un pays inculte -dénommé la Barbarie en 1830, sous domination turque- en un pays moderne, exportateur, ayant accru sa population indigène, qui passa de 3 millions d'habitants (en 1830) à plus de 9 millions en 1962.
    Marine Le Pen, dans le discours détaillé et argumenté, ci-joint, prononcé, le 27 août dernier, rappelle quelques éléments chiffrés de la participation patriotique des Pieds-noirs et des Harkis, parmi les troupes indigènes et les sacrifices auxquels ils ont été soumis, entre autres, durant les deux Grandes guerres et lors de la période, qui succéda au cessez-le-feu du 19 mars 1962.

    Elle promet de réhabiliter, enfin, l'histoire de la France en Algérie : citant la déclaration d'un des chefs de la rébellion, Hocine Aït Ahmed (entre autres) elle tient à en finir avec cette repentance honteuse, que certains Français, de droite ou de gauche, continuent de manifester pour mieux justifier leurs trahisons durant le conflit algérien : car c'est bien de cela qu' il s'agit pour les gaullistes voulant minimiser les tromperies, les mensonges et l'ignoble abandon, par le général De Gaulle, d'un territoire français et de ses populations à une armée du FLN exsangue et avide de vengeance.
    Quant  aux socialo-communistes, leur repentance, toujours actuelle, n'est que le credo "larmoyant", visant à justifier leurs trahisons envers notre Patrie (celles des ''porteurs de valises'', des désertions, du refus de défendre des départements français)...

    Que devons-nous penser de ces promesses nouvelles de Marine Le Pen, après tant de tromperies de la part de nos différents hommes politiques?... C'est une question, qui nous vient à l'esprit, nous qui n'avons cessé de croire aux beaux discours de nos hommes politiques...

    Pour y répondre, je vous renverrai au texte du fameux "Pari de Pascal" s' adressant aux "incroyants", quant à l' existence ou non de Dieu : en résumé, après avoir pesé le pour et le contre, Pascal conclut que nous sommes « embarqués » pour croire en l'existence de Dieu, dans la logique de ce qu' on peut gagner ou perdre (en n' y croyant pas).

    A ceux qui n'ont pas lu ce texte philosophique, je propose d'appliquer le même cheminement rationnel, à propos des engagements politiques de Marine Le Pen. Nous sommes « embarqués » :

    « Nous n'avons rien à perdre en continuant de croire que la Vérité sur l'Algérie française sera rétablie par cette femme courageuse...  Car après 50 années de tromperies politiques, nous pouvons logiquement déduire, que nous avons sûrement tout à perdre en espérant que les gaullistes et les socialo-communistes repentants reconnaîtront les parjures et trahisons de leur conduite passée...

Professeur Louis ALBERTELLI

-o-o-o-o-o-o-o- 

C’était le 27 août 2011, Marine Le Pen s’adressait, au Barcarès, à la communauté des Français d’Algérie.

- Pour lire le discours intégral, cliquez sur : http://infodiv.canalblog.com/archives/2011/09/18/22074684.html

Retour José Castano

4 juin 2012

5 JUILLET 2012 AU MUR DES DISPARUS DE PERPIGNAN

Oran, 5 juillet 1962 - Perpignan, 5 juillet 2012

La mémoire s’estompe, la graver pour l’Histoire est notre devoir.

1

2

AU MUR DES DISPARUS 3

 

11H30 - HOMMAGE AUX DISPARUS ET VICTIMES CIVILES DE LA GUERRE D’ALGÉRIE par le professeur Jean-François Mattéi. Né en 1941 à Oran Jean-François Mattei est professeur de philosophie grecque et philosophie politique à l’université de Nice Sophia-Antipolis, il est membre de l’Institut universitaire de France.

12H00 - CÉRÉMONIE ŒCUMÉNIQUE, DÉPÔT DE GERBES ET DE FLEURS (disponibles sur place)


AU CENTRE DE DOCUMENTATION DES FRANÇAIS D’ALGÉRIE

(même lieu que le Mur des Disparus - couvent Sainte-Claire -Rue Rempart La Réal (place de l’ancienne prison))

14h30 - TABLE RONDE animée par Daniel Lefeuvre, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de

Paris VIII à Saint-Denis, président de l’association ‘‘Études coloniales’’ avec la participation de :

Guillaume Zeller, auteur de ‘‘Oran 5 juillet 1962, le massacre oublié’’ [Tallandier -mars 2012],

Jean-Pax Mefret, auteur de ‘‘Sur l’autre rive... en 1962’’ [Pygmalion -mai 2012],

Jean-Baptiste Ferracci, auteur de ‘‘L’adieu’’ [Editions de Paris -février 2012],

Roger Vétillard, auteur de : ‘‘20 août 1955 dans le nord-constantinois. Un tournant dans la guerre d’Algérie ?’’ [Riveneuve -avril 2012],

Robert Ménard et Thierry Rolando, auteurs de ‘‘Vive l’Algérie française’’ [Mordicus -juin 2012]

Suzy Simon-Nicaise, Yves Sarthe, Jean-Pierre Brun, Jean Scotto di Vettimo, auteurs de ‘‘Notre histoire d’Algérie’’ [Alliance Editions -février 2012]. 

15h45-17h00 - RENCONTRE AVEC LES AUTEURS, dédicaces.

Renseignements : Cercle algérianiste des P.O, 1 rue général Derroja 66000 Perpignan.

- 04 68 35 51 09 cercle-algerianiste.perpignan@orange.fr

50 ans après le 5 juillet 1962 n’oublions pas Oran

POUR LE JOURNALISTE (comme pour L’HISTORIEN) "Il y a ce qu'il dit et ce qu'il omet de dire" Albert CAMUS

Depuis le 5 juillet 1830 pour le jour de la Prise d’Alger sous la banière royale. 

Clefs d'Alger 1830

Clés de la ville d’Alger 1830

RAPPEL/ Une des origines  de la Prise d’Alger  par la France en 1830.

            En Août 2004 à la lecture d’un article sur l’histoire des USA et relatif à la première expédition qui atteint la Côte Pacifique en 1805 on y lit que le Chef de cette expédition LEWIS  arpenta la cote pour voir s’il n’y avait pas un bateau qui les attendait comme promis par son bienfaiteur le Président JEFFERSON.  Rien! Le gouvernement n’avait pas envoyé de secours. Toute la marine des États-Unis (7 navires à l’époque) était mobilisée en Méditerranée ou elle se battait déjà contre Barbaresque qui prenait des otages sur les bateaux occidentaux. La marine Américaine avait bombardé le port d’Alger, sans oublier les tours de guet encore visibles qui jalonnent toute la cote de la Méditerranée du sud de l’Espagne au bas de l’Italie afin de signaler les incursions terrestres des pillards barbaresques.

Le Débarquement de Sidi Ferruch en Juin 1830  devait mettre définitivement fin à cette situation.

Du 5 juillet 1962 au 5 juillet 2012  date du 50em Anniversaire du Massacre d'Oran notre drapeau Tricolore est toujours en berne.

Cette date du 5 Juillet est bien à nous pour la gloire et pour la peine.

SUR LE PLAN HISTORIQUE :

LA DATE DE L'INDÉPENDANCE DE L’ALGÉRIE EST LE   3  JUILLET  1962.

LA DATE DE LA PRISE  D 'ALGER EST LE 5 JUILLET 1830,

Avec la libération du joug Turc, la fin de la piraterie en Méditerranée et la naissance de l'entité "Algérie".

LA DATE DU SOUVENIR  POUR LES MASSACRES D’ORAN EST LE 5 JUILLET 1962.

Cette année 2012 est l’année du CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE  DE NOTRE EXODE et DE CET ÉPISODE TRAGIQUE de notre Histoire survenu après cette Indépendance, certains  veulent le célébrer après avoir demandé  des excuses "pour le passé colonial de 132 ans en Algérie".

Il nous faut frapper fort ;"célébrer "aussi  et "se recueillir" pour les 2 raisons citées plus haut c'est le  moyen de provoquer les médias  et de ne pas tomber dans "l’oubli"  calculé et complice.

 

Pour mémoire voici un extrait de La lettre de Véritas d'Avril 2003 N°72

 

...CAR ORAN, « NOTRE ORAN » RESTE UN SYMBOLE EN TANT QUE PLUS GRANDE VILLE MARTYRE DE L'ALGERIE FRANÇAISE ET QUARANTE ET UNE ANNEES N'ONT RIEN EFFACE DE CE TRAGIQUE POGROM DU 5 JUILLET 1962 !

Oui, on pouvait penser que, là, enfin, où cette terrible chasse à l'Européen devait faire TROIS MILLE VICTIMES en quelques heures, dans cette funeste journée d'une Saint Barthélemy de l'égorgement, de la décapitation et de la barbarie nullement ignorée des deux présidents -il y avait place, et même obligation, à avoir une pensée officielle pour toutes ces innocentes victimes françaises, place à demander pardon de tout ce sang de TROIS MILLE JUSTES qui ont été sacrifiés, martyrs d'une vindicte inique et déloyale qui massacrait pêle-mêle, hommes, femmes, enfants, chrétiens, israélites et musulmans...

Après avoir salué, à Alger, la mémoire des terroristes et des tueurs du F.L.N., il n'en était que plus facile au Président français de se faire conduire sur le lieu d'une sépulture ignoble et collective demeurée à jamais dans la mémoire des Oranais, nos compatriotes, lesquels n'ont pu oublier le massacre gratuit de tant des leurs !

Car il n'est pas un rescapé de cette dramatique journée qui ne se souvienne de ces hommes et ces femmes abattus au hasard des rues, de ces cadavres éparpillés sur les trottoirs, ces centaines d'innocents extraits de chez eux à coups de crosse, abattus devant leurs portes ou chargés comme du bétail dans des camions et conduits, par grappes humaines, vers le stade ou l'abattoir municipal, lieux d'interrogatoires et d'exécution, puis, en finale, au fameux « Petit Lac » où l'on immergeait les corps dans une boue nauséabonde, certains d'entre eux, nous a-t-on certifié, grièvement blessés mais pas encore morts !

On a soigneusement caché ces horreurs à la France et l'on voit bien, autour de nous, que nombre de nos concitoyens les ignorent encore! De Gaulle a exigé d'une presse à sa dévotion que ce pogrom, cette sorte d'Oradour cinq fois plus meurtrier que l'autre, soit ramené à quelques incidents et quelques morts dédiés à la journée de l'indépendance algérienne !

Et les Français de métropole, dociles, gaullistes, pressés de récupérer les soldats engagés là-bas, ont ainsi aidé à TUER DEUX FOIS CES TROIS MILLE INNOCENTS, une première fois par leurs militaires, restés l'arme au pied derrière les grilles de leurs casernes, une deuxième fois en ignorant volontairement cette abomination sur laquelle VERITAS amis en procès le sinistre général Katz -décédé depuis -mais auquel sa participation passive, sur ordre, à cette abominable tuerie valut une étoile supplémentaire, bien sanglante, car De Gaulle a toujours bien récompensé les valets qui le servaient bien.

Telle fut, contée au plus juste, la tragédie d'Oran. A quelque temps de là et par « mesure de salubrité publique » les autorités algériennes ont évacué et curé ce cimetière maudit du « Petit Lac » afin qu'en disparaisse à jamais un magma susceptible de devenir le plus étendu des charniers accusateurs... Pour nous, et pour tant d'autres qui pleurent encore parents et amis disparus en cette journée d'impitoyables représailles envers une France capitularde, il y avait, c'est sûr, dans ce premier voyage officiel d'un Président de la République française à Oran, une sorte d'obligation morale d'aller jeter quelques fleurs sur ce lieu plus sacré encore, par la tragédie qui s'y est perpétrée, que ces cimetières algérois visités ...en touriste !

Et que dire de nos compatriotes qui accompagnèrent Chirac à Oran sans solliciter de sa part le pèlerinage qui s'imposait en ces lieux ? Oui, belle occasion gâchée, perdue, pour ce cortège français, sans doute volontairement oublieux, prématurément, d'un vague et immense cimetière sans tombes qui illustre le mieux le calvaire des Français d'Algérie, innocentes victimes DONT VINGT -CINQ MILLE. EN QUELQUES MOIS. PAYERENT DE LEUR VIE CETTE FAUSSE GRANDEUR GAULLIENNE DONT ON VOlT BIEN EN JACQUES CHIRAC L'HERITIER SANS MEMOIRE !

Au bilan: quelques belles occasions perdues pour un voyage présidentiel qui laisse les Algériens insatisfaits et les Pieds-Noirs déçus, une fois de plus. « Un voyage qui n'a pas répondu à l'attente des Algériens » écrivait, au lendemain de cette visite un journaliste de « L'AUTHENTIQUE ». « LA NOUVELLE REPUBLIQUE » remarquait que: « La confiance n'était nulle part rétablie ». Quant à « EL AHRAR », tribune du F.L.N., il précisait, pour sa part que « Si l'Etat français veut épurer ses comptes, il doit officiellement reconnaître que l'Algérie existait bien avant l'agression militaire sur Alger en 1830. ».

A propos de ce dernier commentaire, on se posera toujours cette question : comment diable Ferhat Abbas, homme politique nationaliste et intelligent, a-t-il pu chercher l' Algérie jusque dans les cimetières sans en trouver nulle part la moindre trace ou la moindre parcelle ?

 

Georges-Emile Paul Attaché de presse à l’Echo d’Oran (Algérie) Ecrivain auteur de « Hammam Bou Adjar » DCD le 30 mai 2012, à l'âge de 88 ans.

Retour aux commémorations du 5 juillet 1962

Publicité
Publicité
Publicité