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popodoran

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14 mars 2011

LETTRE OUVERTE

HERISSON__toile   Herisson_008

À ceux qui renonceraient SANS SE BATTRE

 

Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme  "Tout individu (...même un petit mammifère)a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

Si un homme te dit qu'il a faim, ne lui donne pas un poisson, apprends-lui pêcher (Confucius)

 

            La pensée ci-dessus de Confucius nous va comme un gant et s'adresse plus que jamais à notre communauté.

 

            En effet, depuis notre repli forcé, (prémédité et voulu pour mauvaise raison d'état  par entende entre vulgaires larrons en foire à Evian un certain 19 Mars 1962),dans ce que l'on pensait être notre pays, nous sommes considérés comme des assistés comme ils disent, pour cause de réception de miettes dites compensatrices, sur nos modestes avoirs spoliés et volés par des escrocs et voyous de grands chemins .

 

            Il est vrai que « nous », nous n'avions pas de LICRA, de MRAP, SOS racisme et autres ONG (Organisations Non Gratuites) affiliées.

 

            Alors quel sens donner à cette pensée Confucéenne ? Et bien, à mon modeste avis, tout simplement que nous avons appris à compter uniquement sur nous-mêmes, à nous battre avec nos moyens propres, avec l'aide de nos dévoués dirigeants d'associations de repliés, avec notre rancune, avec notre ténacité et notre courage hérités de nos grands-parents,  avec nos raisons de réclamer que JUSTICE nous soit enfin rendue, et toutes ces qualités sont celles qui font de vrais et bons Français, sans baguette de pain  sous le bras et sans béret sur la tête, certes, mais avec nos claouis bien en place.

 

             Nous sommes capables d'aller chercher et de prendre ce qui nous appartient en tant que créanciers d'état et nous allons le prouver dés le prochain referendum.

 

            En avril 2007 Nicolas Sarkozy nous avait dit : « C'est plus qu'un engagement, ce sera un honneur de défendre votre cause. »  Et il avait ajouté: « Je veux sortir d’une situation où nous sommes depuis trop longtemps, dans laquellel’État promet constamment de faire un peu plus sans jamais tout à fait faire ce qu’il fautet les Rapatriés espèrent à chaque élection ce qui n’arrive jamais ou qui arrive si tard que les déceptions et les rancœurs s’en trouvent aiguisées. Ensemble nous ferons bouger les choses, je m’y engage » 

 

            Tu parles! Sermon d'ivrogne et de faux-cul, oui !  Nous l'avons eu dans l'os et bien profond. Oui, nous avons tous cru que ces paroles avaient foi de serment. Chez nous, on appelle  cela « du brometche » Tous les amateurs de pèche à la ligne connaissent cette expression. Pour les non initiés, cela signifie : balancer des restes de nourriture ou des bouts de poissons morts dans l'eau pour appâter et faire venir le poisson en l'incitant à mordre à belles dents. Nom de Dieu, mais n'est-ce-pas ce que nous avons fait? On s'est fait blouser d'une façon éhontée, malhonnête  et innommable  par un boni... menteur, pour lequel tout était bon pour arriver à la première marche du podium. Pour moins que cela, on pendait les manipulateurs et les escrocs sur la place publique à l'époque de la conquête de l'Ouest aux U.S.A.

 

            Et surtout ne me sortez pas des arguments du genre « nous sommes trop vieux pour nous battre »

            Seul le linge vieillit. Et même si nous vieillissons, tout le monde est logé à la même enseigne, mais certains de ces vieux avons su garder la fougue qui nous a toujours animé dans tout ce que nous avons entrepris.

 

            En nous résignant, nous ferions le jeu de ces actuelles  figures de proue politico-politiciennes qui sont destinées à devenir des figures de poupe bien plus vite qu’ils ne le croient.

 

             Alors et pour que leurs rires se figent sur leur face compassée de faux jetons,  jouons nous aussi les maquignons et  accordons nos suffrages à ceux qui s’engageront autrement qu’avec des paroles en jurant sur l’honneur, la main sur la Bible et face aux Franco-français à revoir leur copie en matière de respect  des promesses, de façon à ce que ces dernières deviennent enfin une réalité et non plus une utopie.

 

Exigeons des actes notariés de leurs sermons et qu’ils soient  portés à la connaissance  de la nation, des médias et de la France Française, quoi !.

 

            En nous résignant, nous ferions le jeu de nos ennemis  « intimes ». Dites-vous que si nous sommes devenus vieux, nous avons conservé nos réflexes de  castagneurs. Nous l'avons prouvé quand besoin s’est fait sentir et partout où l'empreinte de nos pieds... noirs subsiste encore, même en notre ex-Algérie Française devenus algérienne par la grâce d’accords complices entre mafiosi et  voyous de bas étage.

 

LE HÉRISSON  VOUS SALUE BIEN

TOUJOURS A VOTRE SERVICE

 LE HERISSON

Retour coups de cœur.

 

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11 mars 2011

LE LOBBY PRO-IMMIGRATIONNISTE ET SES CONSEQUENCES

« Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans  un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé »  (Jean Raspail) 

 

                Il ne se passe pas un jour où l’actualité (pourtant assez réservée dans ce domaine) ne dévoile son lot de violence dans les rues, les cités, les écoles, les transports publics, les manifestations syndicales… Force est de constater (les associations « antiracistes » vont s’étrangler) qu’elles ont pour principaux acteurs des « jeunes » issus de l’immigration maghrébo-africaine. Cette violence, cette haine à l’égard de la France, de son hymne, de ses couleurs, s’exprime-t-elle par souci de manifester un ressentiment face à une situation inextricable de rejet ? Bien sûr que non ! Il y a là tous les ingrédients d’un racisme violent anti-français que nos analystes ne savent pas ou ne veulent pas décrypter par incompétence, lâcheté, idiotie ou crainte d’être taxés de démagogues… voire, de racistes.

Depuis plusieurs années déjà, nous subissons les revers d’une immigration sauvage qui est à l’origine de ces troubles et qui deviennent désormais monnaie courante. Durant des années des accusations de racisme ont été portées à tort et à travers contre des hommes qui dénonçaient cette immigration sauvage, génératrice d’incompréhension, de haine, et souvent de violence meurtrière venant, la plupart du temps, d’immigrés inassimilables… qu’un certain Ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Président de la République, avait qualifié de « racaille ». Et ces hommes furent condamnés et jetés en pâture à la vindicte publique parce qu’ils dénonçaient courageusement, sans trêve, ceux qui voulaient de droit une nationalité, la nôtre, qu’ils méprisaient mais qui leur donnait des avantages sociaux et économiques ; ceux qui, rassemblés par SOS Racisme, le MRAP, la LICRA, la Ligue des Droits de l’homme… choisissaient soigneusement les accidents « racistes », ignoraient les attentats dont étaient victimes les citoyens à peau trop pâle et ne retenaient que les « horreurs » qui concernaient les peaux brunes ; ceux qui, ayant une place dans le monde grouillant de la politique, voulaient l’élargir en exploitant un mouvement dont ils n’ignoraient pas les artifices et même en l’accélérant ; ceux qui, bornés par une conception nationale ridiculement étriquée, n’admettaient aucune différence.

Nous avons à être ouverts et tolérants envers les immigrés, mais nous avons le devoir d’exiger la réciprocité. Notre tolérance n’est pas une raison pour que nous soyons de « bonnes poires » et nous sommes en droit d’exiger que cette tolérance soit appliquée aux nôtres ! Du reste, encouragés par le lobby pro-immigrationniste, ces jeunes « désœuvrés » ne cessent de se lamenter et de se plaindre, qualifiant leur violence coutumière « d’actes désespérés » et les justifiant par le rejet et l’exclusion dont ils se disent victimes. Et les raisons d’une telle violence ne manquent pas : Mépris, discrimination à l’embauche, chômage, manque de projet politique à l’égard de ces jeunes délaissés, racisme, xénophobie, échec de l’intégration… en bref, tout ce que nous avons coutume d’entendre depuis des décennies… mais de racisme anti-français on ne parle point!

 Cependant, on constate qu’outre les centaines de milliards d’euros engloutis en pure perte pour détruire des tours, rénover des quartiers et construire des infrastructures permettant le « mieux vivre », les centres culturels islamiques, les mosquées –qui ne cessent de s’implanter- les radios islamiques, les journaux, les revues et même les émissions de télévision qui se multiplient prouvent, à l’évidence, que nous sommes un peuple tolérant. Chaque année, le Fonds d’Aide Social (F.A.S) distribue à près de deux mille associations, censées s’occuper d’immigration, deux cents millions d’euros, prélevés sur les Caisses d’Allocations Familiales. En revanche, la réciproque, présence d’ecclésiastiques, ouverture d’églises ou de synagogues en terre d’Islam est tout à fait impensable vu le fanatisme notoire qui sévit dans les pays musulmans. Y a-t-il là justice ? Et  c’est,  précisément, cet excès de tolérance que nous affichons à l’égard de ces jeunes immigrés ou fils d’immigrés –la plupart possédant la nationalité française- qui les poussent aux pires extrémismes. Pour la petite histoire, souvenons-nous de ce Lies Hebbadj, polygame aux quatre femmes, aux 17 enfants et aux quatre maisons vivant à Rezé (Loire-Atlantique) qui a perçu en trois ans la coquette somme de 175 000 euros de prestations sociales pour « entretenir » sa smala… Il aurait probablement pu jouir encore longtemps de cette manne providentielle si l’une de ses compagnes n’avait eu la fâcheuse idée de refuser d’ôter sa burqa lors d’un contrôle routier. Ah ! « Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’était déjà exclamé en son temps le Duc de Saint-Simon.

            Par conséquent, au nom de la « lutte contre l’exclusion », ces mêmes partisans antiracistes, avec l’appui des plus hautes personnalités de l’Etat, veulent priver les citoyens français de la liberté de préférer. Le parlement n’est plus un lieu où l’on s’efforce de convaincre, mais le terrain où s’affrontent les idéologies, par parlementaires interposés.

Ainsi s’instaure progressivement un climat de violence idéologique de plus en plus éloigné des principes démocratiques de tempérance et d’équilibre, sans parler du respect des opinions d’autrui.

Ce qui m’attriste et m’horripile le plus dans cette situation, c’est qu’il existe une frange de la population, couverte par des lois ineptes et des magistrats bienveillants, qui voudrait nous interdire d’affirmer que notre pays, la France, doit appartenir en priorité aux citoyens français. Pour les représentants de l’anti-France, notre fidélité à cette terre pour laquelle tant de nos pères se sont offerts en sacrifice ne serait dictée que par la haine de l’Autre, de celui qui est différent. Comment faire comprendre que cette accusation est grotesque et nous en avons assez de le répéter à tout propos. Nous reconnaissons à tout être humain le droit le plus absolu d’être fier de sa race, de son drapeau et de lutter pour la grandeur et l’indépendance de sa Patrie. De même nous réclamons le droit pour nous de pouvoir en faire tout autant, sans être soupçonnés aussitôt de fascisme, de racisme, de xénophobie ou de quel désir inavouable de génocide ! « Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (paroles du Christ; saint Jean, 12,25).

            Les politiciens sociaux-démocrates construisent un peuple désincarné dont les jeunes déracinés de SOS Racisme et du MRAP constituent l’avant-garde. Nous, au contraire, nous jugeons plus raisonnable de décider de rester ce que nous sommes plutôt que de devenir ce que nous ne sommes pas et nous mettrons toute notre volonté à défendre notre identité en nous conformant à cette ligne de conduite : Vouloir sauvegarder l’identité de sa patrie et de la civilisation dont elle fut le creuset n’est pas du racisme… « Aimer l’autre implique que l’on reste soi même ! »

            L’engeance la plus exécrable, c’est bien cette intelligentsia « progressiste » -la même qui a servi les tueurs du FLN durant la guerre d’Algérie- constituée par tous ces pseudo-intellectuels qui forment une hiérarchie malfaisante et dominatrice, prétendent monopoliser aujourd’hui la culture et hurlent au racisme quand on évoque un tant soit peu les inconvénients de l’immigration. Pour comprendre ces problèmes de cohabitation, lorsque l’on réside dans des quartiers « sélects », des hôtels de luxe, des palaces, voire des ministères, il faut venir sur les lieux mêmes, en subir toutes les nuisances. Que ces professeurs de morale viennent donc sur place affirmer leur « respect de l’autre » !…

            La France, terre de liberté, est allée sans nul doute beaucoup trop loin dans l’usage de cette liberté, jusqu’au libertinage, à la perte des valeurs morales et familiales, oubliant que les droits sont peu de choses auprès des devoirs et que la liberté de l’autre est au moins aussi sacrée que la sienne propre. Mais il est possible de revenir à ces valeurs, chrétiennes souvent, en tout cas humaines qui ont fait l’unité et la grandeur de la France et son rayonnement dans le monde sans laisser notre pays se travestir en colonie de l’Iran, du Maghreb ou d’un quelconque pays d’Afrique…

            Barrés écrivait : « L’intelligence, quelle petite chose à la surface de nous-mêmes ! »La France, de génération en génération, se reconnaît à travers ces lignées. Elle n’a pas besoin pour exister d’une référence extérieure. Cette existence implique que tout pouvoir politique en charge du peuple, et qui se voudra démocratique, se devra de préserver l’identité française puisqu’elle sera l’une des sources de sa légitimité.

Il y a une loi de la vie des civilisations et elle est immuable : Lorsque les peuples s’abandonnent, ils sont conquis par une force vitale extérieure, celle qui manque à leurs cœurs amollis et à leurs intelligences perverties. La démocratie meurt de la mort des lâches.

José CASTANO

(joseph.castano0508@orange.fr)

Retour JOSEPH CASTANO

 

 

« Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent »(Chateaubriand)

« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire »(Albert Einstein)

 

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En Indochine, nous nous sommes battus à la porte du jardin,

En Algérie, nous nous battions à la porte de la maison,

Et aujourd’hui, c’est à l’intérieur de la maison,

Où s’est introduit l’adversaire, qu’il nous faut mener le combat.

Le danger n’est plus imminent, il est là, présent !

Aussi, loin de nous abandonner à une passivité coupable,

Nous devons constituer le fer de lance de cette nouvelle résistance

Et y  appeler nos compatriotes, car dans ce combat,

Il n’y a pas de neutres et tous les hommes sont concernés.

 

(ASSOCIATION DES COMBATTANTS DE L’UNION FRANÇAISE)

 

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- Marine LE PEN pour une France non islamique : http://www.youtube.com/watch?v=wl2XNg_aywo&feature=related

 

Et  aussi : http://echodupays.kazeo.com/LA-PRESSE-ET-NOUS/MARINE-INTERDITE-SUR-RADIO-J-C-est-la-faute-a-qui,a2168534.html

 

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- LA VAGUE BLEU MARINE – Cliquez sur : Lire la suite

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- Cliquez sur ce lien :PAS TOUS POURRIS… MAIS TOUS DEBILES

 

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¤ Il faut tordre le cou au politiquement correct (cliquez sur ce lien)

 

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- Y-en-a-marre ! : http://echodupays.kazeo.com/COUPS-DE-GUEULE/Y-EN-A-MARRE,a2152169.html

 

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- Monseigneur DI FALCO dénonce la « christianophobie » : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Mr01umWjy5k

 

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- A la pèche aux voix : http://echodupays.kazeo.com/TRIBUNE/SARKOZY-DECOUVRE-LA-FRANCE-CHRETIENNE,a2162602.html

 

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- Islam en France, filmé dans un bus :http://www.youtube.com/watch?v=TthhAmzr1S8&feature=player_embedded

 

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- 19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU… Ou la victoire du FLN– Cliquez sur : Lire la suite

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-Le 11 mars 1963 tombait au Fort d’Ivry le colonel Jean Bastien-Thiry, héros de l’Algérie française, fusillé sur ordre de De Gaulle :

http://qc.novopress.info/4871/le-11-mars-1963-tombait-au-fort-d%E2%80%99ivry-le-colonel-bastien-thiry-heros-de-l%E2%80%99algerie-francaise-fusille-sur-ordre-de-de-gaulle/

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                « L’homme s’habitue à tout, le lâche ! »écrivait Dostoïevski dans son chef d'œuvre de 1866. Et l'accoutumance, en effet, est, pour le meilleur et pour le pire, un trait essentiel de l'esprit humain. Le meilleur en ce qu'il permet de supporter temporairement les pires privations et les pires servitudes. Le pire en ce qu'il permet, également, de se résigner à les accepter. Aujourd'hui, seuls les bien-pensants de gauche (et de droite, il y en a beaucoup...) peuvent se permettre de nier l'étendue de la pénétration islamique en Europe en général, et en France en particulier, pénétration « pacifique » tout à fait inédite dans notre histoire. A cet effet, voici ce que l’on a pu lire dans le journal Washington Times, sous la plume de Paul Belien :

 « … Le vote musulman aura également un impact majeur sur les prochaines élections présidentielles françaises. Plus de 10% de l’électorat français est en effet musulman. Et c’est la part la plus jeune de la population, représentant presque un quart des moins de 20 ans. Leur impact politique ira croissant. Dans certaines villes, la moitié de la population est musulmane et il va devenir impossible pour la droite de gagner ces circonscriptions, à moins que les français de souche votent unanimement à droite. Beaucoup de Français semblent réaliser que ces élections sont l’une des dernières chances pour eux de préserver quelque chose de l’ancienne France. »

 

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- Alors que les médias rappellent quotidiennement l’enlèvement de deux journalistes en Afghanistan et qu’un comité de soutien a été créé pour leur libération, nous rappelons également que depuis le 19 mars 1962, cela fera, au 31 mars 2011, 17908 joursque des milliers de Français d’Algérie ont été enlevés dans la plus grande indifférence sans que les « bonnes consciences » de ce monde n’élèvent la moindre protestation. Ne les oublions pas.

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Pour revoir:

 

Tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles -

 

Ses ouvrages, cliquez sur :-Ma Bibliographie –

 

Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –

 

Sa biographie, cliquer sur :- Ma Biographie -

 

 

En application des articles 27 et 34 de la loi dite "Informatique et libertés" No 78-17 du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit de modification ou de suppression des données qui vous concernent. Vous ne recevrez jamais des courriels commerciaux ou pièces jointes de publicité de notre part.

Vous pouvez vous rayer de cette diffusion à tout moment en faisant:  Tapez « NON » 

 

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Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme :

"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"

 

 

8 mars 2011

CAMERONE 1944 SIDI BEL ABBES - LA LEGION ETRANGERE

8 mars 2011

LA VAGUE BLEU MARINE

L’Association « Mémoire de l’Armée d’Afrique » communique :

 

 

            La campagne électorale des cantonales sur LUNEL semblant se focaliser essentiellement sur les candidats UMP et PS, nous informons les électeurs Lunellois que notre association, en collaboration avec le Cercle National des Combattants, a décidé de soutenir énergiquement et à l’unanimité, Joseph CASTANO, représentant le Front National.

            Notre camarade, n’est pas un inconnu. Natif d’Algérie, écrivain-conférencier, membre de la Société des Gens de Lettres de France et de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, cet ancien athlète de haut niveau, international militaire d’athlétisme, âgé de 64 ans, professeur d’Education Physique, œuvre depuis 1980 au rétablissement de la vérité historique sur la guerre d’Algérie et n’a de cesse de réclamer que justice soit rendue à un peuple trahi et une armée bafouée.

            Proche des préoccupations des Lunellois, il partage leur inquiétude et leur frustration au regard d’une communauté maghrébine qui ne cesse de croître, alimentant chez eux un sentiment de frustration et de pénalisation dans la gamme des prestations attribuées à cette dernière et dans l’attribution des logements sociaux. Dans le département, il s’associe à la crainte des parents face à l’insécurité croissante qui gangrène les établissements scolaires et se prononce pour la cessation des subventions aux associations communautaristes ou politisées. Il dénonce le gaspillage des finances publiques et veut en rétablir la morale. Enfin, il est favorable à la baisse des impôts départementaux, des services publics de proximité et à l’amélioration du réseau routier départemental.

            Porté par la vague bleu marine, Officier dans le cadre de réserve, Joseph CASTANO, se qualifie comme étant le candidat de la résistance à la régression sociale, à celle de l’immigration massive et incontrôlée, à celle des bandes des cités et à la dictature des marchés financiers. Sa suppléante est Reine Dimeglio, résidant à Lunel.

 

            Colonel Christian CIFUENTES, président de l’association « Mémoire de l’Armée d’Afrique » - e-mail : armeeafrique@orange.fr

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4 mars 2011

BOUKANEFIS

 

 

         Le centre de colonisation est créé aux alentours de 1850 d'après l'ouvrage de M. BASTIDE, dans son ouvrage sur Sidi Bel Abbés et son arrondissement. Une smala de spahis y est installée auquel on y adjoint un des premiers pénitenciers indigènes qui ait été créé. Un bureau de Poste y est implanté en 1862

 

         Par Arrêté du 1er Janvier 1873 Boukanéfis et le Bureau de Poste deviennent civils. Dés 1900 un barrage fut construit sur l'oued Mékerra ainsi qu'une centrale électrique alimentant  dans un premier temps la minoterie puis progressivement tout le village. Un nouveau bureau de Poste aménagé dans l'ancienne école est inauguré en 1926. En 1930. La population est inférieure à 2000 habitants elle est de 3226 habitants en 1959.

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 00Situation

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01Boukanefis_Le_moulin

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02boukanefis_monument_aux_morts

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04Boukanefis_usine_electrique

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05Boukanefis

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06Boukan_fis__glise

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07Boukanefis_Grande_Cavalcade

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 Diaporama de photos anciennes du village.

 

 

Retour Villes et Villages d'Oranie.

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3 mars 2011

BOUISSEVILLE

         Hameau côtier de la corniche oranaise, à l' Ouest d'Oran ou était construits de petits cabanons et des villas au bord de magnifiques plages de sable fin desservies par le Tramway des T.O.

         Ce village accueillait aussi des élèves en demi-pension ou en pension au Pensionnat Saint-Augustin.

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 01Situation

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02Bouisseville__Don_Bosco

Pensionnat Saint-Augustin

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03Bousseville_Dortoir_Bosco_Pension_St_Augustin_1930

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04villas_et_cabanons

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05Bousseville_la_plage

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06Bousseville_plage

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Retour Villes et Villages d'Oranie.

26 février 2011

A NOS JEUNES AMIS DE FRANCE

Retour sur l'histoire de France il y a 50 ans

         Jeunes amis de France, vous assistez, aujourd’hui, à des révoltes sanglantes dans le monde arabe. Et vous êtes indignés par les atrocités que ces chefs d’Etat, présidents ou rois, font subir à leurs peuples.

 

         Vous avez raison de vous émouvoir car nous sommes tous très attachés à la Défense des Droits de l’Homme.

 

Nous l’avons été, aussi, en notre temps, lorsque la « révolution algérienne » s’est manifestée par les actes terroristes du FLN. Quatre années de souffrances et de massacres que les gouvernements français de l’époque avaient peine à juguler…

Jusqu’à un certain 13 mai 1958.

 

         Lorsque, sa patience et son civisme, durement mis à l’épreuve depuis des années par la terreur, le peuple Français d’Algérie, musulmans et européens unis, descendit dans la rue pour demander le départ des gouvernants incapables de faire régner la paix dans le pays.

 

         Jusque là, vous en conviendrez, il n’y a aucune différence entre les manifestations de rues des tunisiens, des égyptiens,des algériens, des libyens ou des yéménites, aujourd’hui et les français d’hier, en Algérie française, qui réclamaient le changement dans la politique menée par leur président. Non… ne dites surtout pas : « oui, mais là-bas, c’était différent ».

Le peuple - n’importe quel peuple - ne se révolte que pour de bonnes raisons. Et, dans les pays arabes d’aujourd’hui, c’est la tyrannie, la dictature, dans lesquelles ils sont plongés, qui font descendre les peuples dans la rue. Ce qui  vous choque et vous inquiète, avec raison, c'est la réponse des autorités, par les répressions sanglantes dont ils sont les victimes pour oser se révolter contre « le Pouvoir de leurs chefs d’Etat ».

 

         Aujourd’hui, de tous les gouvernements occidentaux, partent des condamnations envers ces despotes qui osent faire tirer sur les peuples désarmés. Ils ont raison, bien sûr.

Mais, comme vous n’avez jamais vécu en Algérie Française, il nous faut vous expliquer que ces tyrans arabes ne font que reprendre, à la lettre, les mesures répressives employées, en son temps, par « notre » général De Gaulle, président de la République française, lorsqu’il faisait tirer, en 1960 - 1961 - 1962,  sur les civils Français qui manifestaient dans les rues d’Alger ou d’Oran, pareillement à ces populations en colère qui manifestent dans les rues de Tunis, du Caire, de Sanaa, de Manama  ou de Tripoli.

 

         Y aurait-il une différence entre les actes odieux et criminels d’un Kadhafi, d’un Ben Ali, d’un Bouteflika, d’un Moubarak et les actes odieux et criminels de De Gaulle ? Lorsqu’il a fait tirer au canon et par l’aviation, contre les populations de Bâb el Oued, qu’il a sciemment encerclées et affamées parce qu’il pensait que la résistance à sa politique indépendantiste partait de ce quartier d’Alger.

 

         Lorsqu’il a donné l’ordre à l’armée française - NOTRE armée - de tirer dans les rues de France, à Alger, sur des manifestants pacifiques et désarmés, hommes femmes et enfants, qui demandaient que l’Algérie restât à la France.

 

         Lorsque les combats de rues engageaient l’armée française, autorisée à ouvrir des feux nourris d’armes lourdes contre les contestataires de la politique algérienne du gouvernement que nous appelons les « résistants ».

 

         Lorsque les half-track de la gendarmerie française, sillonnaient les rues dans les villes du pays, pointant leurs canons sur les populations sans défense et que les gendarmes français enlevaient les retardataires qui se trouvaient, malheureusement, sur leur passage pour les remettre aux terroristes sanguinaires du Fln.

 

         Lorsque les tortures, aujourd’hui encore décriées par droit de l’hommistes et imputées à l’armée française, ont été pratiquées sur leurs frères français dont le seul crime était de vouloir résister à la politique du chef de l’Etat, De Gaulle.

 

         Et, de loin, l’acte le plus ignoble de ce tyran fou est d’avoir interdit, sous peine de graves sanctions, aux chefs militaires de rapatrier, en France, les Harkis -militaires français- que l’armée avait enrôlés pour combattre les terroristes pendant huit années.

 

         Ces mêmes harkis, qui, grâce à certains officiers supérieurs révoltés par cette mesure et contrevenant aux ordres de De Gaulle, avaient été embarqués dans un bateau vers la métropole, mère patrie, pays des Droits de l’Homme,  bateau qui fut interdit d’accostage dans les ports de France et renvoyé en Algérie où ils se firent tous massacrer, dès leur arrivée, par les indépendantistes assoiffés de vengeance.

 

         La même ignominie se répéta pour les quelque 3000 européens français qui, restés au pays comme le leur conseillait le président De Gaulle, furent massacrés, à Oran, par les algériens, sous les yeux de l’Armée française qui avait reçu l’ordre de l’Etat de ne pas intervenir pour les protéger.

 

         Voyez-vous, dans ces actes terrifiants, l’ombre d’une démocratie ?

 

         A-t-on condamné ce tyran, ce despote, ce fou, pour crimes contre l’humanité ?

 

         A-t-on entendu ces gouvernants US ou Allemands ou Anglais ou d’autres, s’élever contre le despotisme, la tyrannie, les crimes, de ce général-président de la France qui faisait tuer ses propres citoyens français, son peuple au désespoir, parce qu’il osait s’élever contre la décision du Pouvoir, « son » Pouvoir ?

 

         Nous n’avons rien entendu. Pourtant, les faits narrés ci-dessus sont vérifiables dans tous les livres d’historiens écrits par d’honnêtes français, civils et militaires, traitant de cette période de l’Histoire de France, sous la Vème République de De Gaulle.

 

         Jeunes amis de France, si vous aviez vécu sous ce régime, diriez-vous que De Gaulle était un dictateur ? Certainement. Qu’il était à l’image d’un Bouteflika, d’un Kadhafi ou d’un Ben Ali, certainement.

 

         Parce qu’il a usé des mêmes moyens que ceux-là, sans, pourtant, jamais avoir été ni condamné ni même critiqué par l’opinion publique.

Au contraire, la presse qu’il contrôlait, qu’il censurait, la presse du Pouvoir, ne diffusait que les informations (la désinformation) qui allaient dans son sens, confortant sa politique et cachant généreusement les exactions de son président.

 

         Oui, Jeunes amis de France, le général De Gaulle était un dictateur.

 

         Pourrez-vous, maintenant, comprendre les actes de résistances qui se sont manifestés contre les répressions sanglantes dont nous avons été les victimes sous le régime gaulliste ?

 

         Comprendrez-vous que nous demandions, depuis cinquante ans, de l’Etat français, qu’il reconnaisse sa responsabilité dans tous les crimes commis sur la population française, par le président de la France, au nom de la France, de 1958 à 1962 en Algérie ?

 

         Admettrez-vous, qu’aujourd’hui,  nous nous gaussions d'un président de la République française, Nicolas Sarkozy, se réclamant du gaullisme, prêt à envoyer son armée avec celles des américains et des anglais, investir la Libye pour protéger le peuple opprimé par le dictateur Kadhafi ?

 

         Certes, au nom du Droit à la Liberté des peuples à décider d’eux-mêmes, ces populations n’ont pas à subir les crimes dont elles sont les victimes.

 

         Mais, si la France daignait balayer devant sa porte, avant que de se mêler des affaires des pays voisins opprimés, elle gagnerait en crédibilité et certainement à la sérénité et à l'apaisement de tous les Français.

 

Louis Des Issambres

 

25 février 2011

APPEL DU COLLECTIF DES ASSOCIATIONS DE FRANCAIS D'ALGERIE

RASSEMBLEMENT LE 19 MARS 2011 A 11 HEURES

PLACE SAINT-ETIENNE A TOULOUSE (31)

DEVANT LA PREFECTURE

 

         A l'approche de 2012, les annonces concernant l'histoire et le drame des Français d'Algérie ne cessent d'inquiéter, ou d'indigner, nombre d'entre nous.

 

         L'Etat a décidé d'honorer, cette année, Frantz Fanon, soutien actif du FLN dès 1954, celui-là même dont Jean-Paul Sartre préfacera l'ouvrage « Les Damnés de la terre » en ces termes : « En ce premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c'est faire d'une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre. »

 

         Rendre un hommage public à un tel personnage, c'est légitimer officiellement son action au sein du FLN et s'acheminer donc vers la repentance.

Nous ne saurions accepter que notre mémoire soit ainsi bafouée.

 

         Par ailleurs, le site internet du Ministère de la culture vient de mettre en ligne son calendrier des commémorations officielles pour 2012. Dans les dates retenues, nous constatons que la mention « Fin de la Guerre d'Algérie » apparaît accolée au 19 mars 1962.

Nous ne saurions accepter ce premier pas vers l'officialisation d'une date qui, loin de marquer la fin d'un conflit, a au contraire sonné le glas de nos vies en Algérie, au sens figuré mais aussi au sens propre, pour des milliers d'entre nous, des dizaines de milliers de Harkis, des centaines de soldats du contingent.

Nous ne saurions accepter cette chape de plomb supplémentaire sur les tragédies du 26 mars à Alger ou du 5 juillet à Oran, entre autres.

 

         Au vu de ces éléments, les associations de Français d'Algérie ont décidé de se réunir afin d'envisager une riposte.

 

         Jamais en effet ne fut fait un tel affront à notre tragédie, à nos morts.

 

         Nous sommes conscients que certains d'entre vous ont le désir de « tourner la page », surtout 49 ans après. Mais cette page d'Histoire s'écrit actuellement sans nous, sans prendre en considération nos drames. Est-ce cela que nous voulons léguer à nos enfants,  à nos petits-enfants ? Une vision tronquée, partisane et hémiplégique de notre vécu en Algérie ? Une officialisation de la date du 19 mars qui niera à jamais nos victimes, nos disparus ? Une repentance qui légitimera aux yeux de tous nos souffrances, nos blessures ? Nos enfants n'ont-ils donc pas le droit d'être fiers de nous, de nos parents ?

Nous ne saurions accepter de voir ainsi notre dignité traînée une fois de plus dans la boue.

 

         Nous vous appelons donc à nous rejoindre le 19 mars 2011, Place Saint-Etienne à Toulouse, pour un rassemblement devant la préfecture. Il s'agit de montrer par notre mobilisation, qui doit être la plus large possible, que nous n'acceptons pas que notre histoire soit travestie de la sorte. Nous remettrons au préfet un courrier à transmettre au Président de la République. Ce courrier n'aura de poids que si nous sommes très nombreux ce jour-là.

Dans un an il sera trop tard, c'est aujourd'hui que nous devons montrer que nous sommes toujours là et que nous n'entendons pas que l'on cache à nos enfants notre histoire, leur histoire, la vraie, afin qu'ils n'aient pas un jour à avoir honte de leurs parents.

Rejoignez-nous – en famille, avec vos amis, ce serait merveilleux – et arborez en ce jour de deuil un élément noir, brassard, cravate etc.

 

         Nous n'aurons plus beaucoup d'autres occasions de faire entendre notre voix. Nous avons été bâillonnés le 8 avril 1962, en n'étant pas consultés pour le référendum sur les accords d'Evian, il est temps de retrouver la parole, pour nous, pour l'image que nous lèguerons aux nôtres.

 

Amicale des Français d'Outre-Mer (L'Union)  M. Gabriel FUENTES

Amicale des Pieds-Noirs de Quint-Fonsegrives  M. Marcel LIZON

Amicale Nationale des Enfants de l'Algérois  Mme Annie PARENT

Amicale Nationale des Hauts Plateaux de Sétif  M. Nicolas VOGLIMACCI

Amitiés Oraniennes / L'Echo de l'Oranie  Mme Claude-Sandra RAYMOND

ANFANOMA  M. Yves SAINSOT

Association des familles de victimes du 26 mars et leurs Alliés  Mme FERRANDIS-DELVARRE

Cercle Algérianiste National  M. Thierry ROLANDO (avec la participation active du

Cercle Algérianiste de Toulouse - Mme Ghislaine DELMOND)

Collectif des Familles de Disparus (5 juillet Oran)  Mme Viviane EZAGOURI

Collectif NON au 19 mars 1962 PACA  M. Hervé CUESTA

 

Contact : Marcel LIZON  06 79 81 69 12

                Lionel VIVES-DIAZ  05 62 62 18 98

 

Pour les associations désireuses de signer la lettre à la Présidence de la République, envoi sur demande à  pncollectif@laposte.net

 

Merci aux responsables d'associations de bien vouloir diffuser cet appel auprès de leurs adhérents.

 

Retour FAITS DIVERS.

 

23 février 2011

LETTRE OUVERTE DE ANNE CAZAL A PASCAL MATRAJI

La plaque au cimetière du Père Lachaise : "En hommage aux victimes de l’O.A.S" suite:

          La lettre d'Anne Cazal, vice-présidente de VERITAS, est un magnifique et implacable plaidoyer en faveur de la résistance des militaires français fidèles à la parole donnée et aux Français d'Algérie, de toutes confessions, qui se sont opposés à la politique d'abandon de notre ancienne province.

LETTRE OUVERTE RECOMMANDÉE

Fronton, le 18 février 2011

ANNE CAZAL Déléguée générale. A MONSIEUR PASCAL MATRAJI / Chef du Bureau Histoire et Mémoire / Direction des affaires culturelles de Paris 16 rue des Blancs Manteaux 75004 PARIS

Monsieur,
         Vous avez eu, hier, un long entretien téléphonique avec Mme Eliane Sallaberry, chancelière de l’armée française, aujourd’hui en retraite, au sujet de la décision, prise à l’unanimité par le Conseil Municipal de Paris, d’ériger une plaque au cimetière du Père Lachaise : "En hommage aux victimes de l’O.A.S., en Algérie et en France, civils, militaires, magistrats, fonctionnaires, élus, défenseurs des institutions et des valeurs de la République".


         Vous avez demandé à Mme Sallaberry de vous écrire ses motifs de désapprobation devant une telle initiative. Madame Sallaberry est aveugle, elle est donc dans l’impossibilité de le faire, mais elle m’a prié de rédiger, en son nom, ce qu’elle aurait voulu écrire. Mission difficile parce que je suis aussi concernée, en tant qu’acteur et témoin des événements que je vais vous exposer ici, sous la foi du serment, et mon émotion va peut-être transparaître dans la relation que je vais vous en faire. Veuillez m’en excuser.


         Oui, Monsieur, l’O.A.S., dans ses quelques mois d’existence, a manié une arme à double tranchant, frappant avec l’un et se blessant à l’autre… Mais alors, pourquoi un Maréchal de France, des Généraux français parmi les plus prestigieux et les plus décorés, de nombreux compagnons de la Résistance, le chef du premier Conseil de la Résistance, les patriotes les plus ardents se trouvaient-ils à la tête de ce mouvement de résistance française dans cette Algérie composée, alors, de départements français, depuis bien plus longtemps que Nice ou la Savoie ?


         N’était-ce pas, justement parce que les institutions et les valeurs de la République étaient mises à mal par un Chef d’Etat se comportant en dictateur, utilisant contre ses compatriotes des polices parallèles tirées de la pègre, créant des tribunaux d’exception illégaux, agissant hors des lois morales, hors des lois constitutionnelles, et hors des lois humaines ?


         Ainsi, tout un peuple, qui pendant sept années avait connu les affres du terrorisme FLN, aveugle, barbare, sanguinaire, un peuple qui, toutes ethnies confondues, avait été décimé dans les plus abominables des tortures, émasculations, éventrations, énucléations, démembrements, et j’en passe, perpétrés sur des êtres sans défense, dans les campagnes, attentats à l’explosif dans les villes responsables d’innombrables morts, de mutilations à vie, ce peuple là serait moralement condamné à vie pour avoir usé du seul droit qui lui restait, un droit fondamental et inaliénable, celui de la résistance à l’oppression ?…


         Alors, à ses côtés, naquit l’O.A.S, cette résistance du parti de la France en Algérie, mais si des hommes d’honneur ont sacrifié leurs carrières, leurs familles, leur avenir pour en prendre la tête, ils n’étaient pas seuls. Oui, l’O.A.S. était soutenue par la grande majorité des Français d’Algérie de toutes confessions, lesquels se trouvaient en état de légitime défense !

         Ces gens, pour lesquels l’amour de la France, chevillé au corps, était plus fort que tout, des petits travailleurs de Bab-el-Oued qui avaient toujours voté rouge aux hommes de droite, aux royalistes, et même à ces musulmans fiers d’être français qui souhaitaient le demeurer et qui avaient fait face, avec nous, au terrorisme FLN (220.000 supplétifs au moment de l’abandon que la France a désarmés et remis aux mains des égorgeurs), ces gens là ne faisaient pas de politique, mais ils luttaient, acculés au mur, pour leur survie…


         D’ailleurs, Monsieur, je ne serais probablement pas en mesure de vous écrire cette lettre si l’O.A.S. n’avait pas protégé ma vie, comme celles de mes semblables, si, jusqu’au dernier moment, jusqu’à l’embarquement au port d’Alger, les hommes de l’O.A.S. n’avaient veillé, avec une constance et une vigilance au-delà des mots, à la sécurité de ces malheureux Français d’Algérie que l’hôte de l’Elysée avait espéré voir disparaître dans l’immense cataclysme de l’abandon.

         Car, après que les insurgés de l’O.A.S., ces hommes d’honneur, d’abnégation et de courage, aient été totalement décimés par l’alliance des forces françaises au terrorisme FLN, on a vu, alors, des hordes qui, dans les aéroports ou dans les ports, arrachaient à leurs familles, manu militari, des jeunes femmes et des jeunes filles françaises pour les prostituer dans leurs camps… On a vu foisonner les enlèvements, les milliers et les milliers de disparus, on a vu les massacres d’Oran le 5 juillet et les jours suivants qui ont fait, Madame Sallaberry a du vous le dire, elle qui était à cette époque au Bureau des exactions, près de 4.000 morts ou disparus français innocents…


         Alors oui, l’O.A.S. a combattu les valets d’un pouvoir arbitraire, oui, ce combat a causé la mort de laquais inconditionnels et autres thuriféraires d’un pouvoir dictatorial, oui, malheureusement, comme dans tous combats, il y a eu quelques erreurs, oui la petite Delphine Renard a été blessée par quelques éclats de verre à la suite de l’explosion d’un engin devant la porte de Malraux… Savez combien de jeunes enfants, de bébés à la mamelle, ont été cloués vivants sur des portes lors des massacres de familles entières dans le bled algérien ? C’était un usage courant chez les barbares du FLN…

         Mais ces hommes d’honneur qui se sont rebellés par fidélité à une parole, donnée au nom de la France puis trahie, ont payé d’un lourd tribut le devoir sacré qui les a fait agir, celui de protéger des populations victimes d’une politique insensée les mettant en danger de mort. D’une part, nombre d’entre eux ont été pourchassés et tués dans une proportion cinq fois plus élevée que les victimes qu’ils avaient pu faire, quatre d’entre eux ont été condamnés à mort par des tribunaux d’exception, qui devaient, après leurs exécutions, être déclarés illégaux, et, d’autre part, les survivants ont été humiliés, molestés, emprisonnés pendant de longues années…

         Ces hommes ont bénéficié en juin 1968 d’une amnistie générale. Depuis cette date, que dit la loi à leur sujet ? « L’amnistie est l’acte qui stipule que les fautes passées devront être oubliées et qui interdit à quiconque de les évoquer sous peine de sanctions ». De plus, en 1982, un homme de gauche, mais aussi homme qui avait une conscience, fait rare de nos jours, M. François Mitterrand, alors Chef de l’Etat, a fait restituer à tous les combattants de l’Algérie française leurs grades et leurs décorations… Double amnistie, totale réhabilitation…

         Voilà, à peu près, ce que vous aurait écrit Mme Eliane Sallaberry si cela lui avait été possible, nous voulions seulement vous faire observer que ces hommes illustres ont été les seuls à nous défendre alors que nous déplorions des milliers et des milliers de morts et de martyrs. Il est juste qu’aujourd’hui nous portions témoignage de leurs sacrifices et de leur héroïsme, ne serait-ce qu’au nom d’une réconciliation nationale que nous appelons de nos vœux tandis que certains, qui se reconnaîtront, œuvrent sans relâche, au nom d’on ne sait quelle rancœur ou idéologie, en faveur de la haine de l’autre...

         Vouloir ériger des stèles à la mémoire des victimes de l’O.A.S. et, dans le même temps vouloir détruire les stèles à la mémoire de ceux qui sont morts pour que vive l’Algérie française, est une offense à la raison qui prolifère, aujourd’hui, chez certains idéologues et politiciens, comme a proliféré, à la basse époque du Moyen-âge, la chasse aux sorcières…
Espérant avoir été comprises,

Nous vous prions de croire, Monsieur, à l’expression de nos sentiments déférents.

Anne CAZAL / Eliane Sallaberry

Retour FAITS DIVERS. 

Aspects véritables de la rébellion algérienne.

http://mauvaisegraine.rmc.fr/r5779/Terrorisme-FLN/2/

http://www.algerie-francaise.org/documents/plainte3.shtml

http://www.priceminister.com/offer/buy/47806594/Collectif-Aspects-Veritables-De-La-Rebellion-Algerienne-Livre.html

19 février 2011

ESCROQUERIES, ARROGANCE ET SARCASMES

De gardiens de chèvres

HERISSON__toile  3

         On ne peut pas tout savoir, l’important c’est de savoir chercher (d’après Samuel Johnson)

         Savez-vous que nous, Français, donnons plus de 400 euros par  foyer fiscal pour venir en aide à des pays soi-disant  sous-développés ?

         La Banque mondiale  a investi des millions de dollars au Congo, au Nigeria, en Angola, au Cameroun et dans d’autres pays d’Afrique.

         Pourquoi et surtout pour qui ?  Pour la corruption organisée bien sûr ! Pour leurs dirigeants, lesquels viennent se pavaner en limousine de classe, dans les palaces européens pour profiter des bienfaits de la finance mondiale, en fermant les yeux sur le pouvoir d’achat de leurs sujets qui vivent avec moins d’un euro par jour et souffrent de malnutrition.

         Ceux qui hurlent que ces pays sont sous classés, devraient savoir (mais ils le savent bien ces …humanistes) que ces pays-là absorbent la moitié de l’aide accordée par la banque Mondiale aux pays, soi- disant pauvres, mais pas pour les malheureux, mais pour leurs présidents.

         Pendant ce temps, nous Rapatriés de force et Créanciers d’État, malgré les soi-disant accords d’Evian, sous serrons les dents depuis bientôt un demi siecle et avons la sueur au front, à chaque fois que le facteur sonne à notre porte pour nous remettre des « recommandés » provenant d’officines peu « recommandables » nous réclamant des indus, la plupart du temps prescrits ou rachetés à vil prix à nos créanciers

         Etant moi- même victime de harcèlements abusifs, j’ai décidé de faire une petite enquête en  puisant largement dans les informations qui pullulent sur la toile et apprendre à me défendre contre les vilenies dont une majorité d’entre nous sommes victimes journellement et par contre coup, en faire profiter ceux qui hélas, sont dans mon cas.

         Ces organismes de recouvrement y vont au bluff et nous harcèlent téléphoniquement, et cela que nous soyons sur liste rouge ou blanche ou par écrits péremptoires et menaçants.

         Sachez que le recouvrement public, ne se fait qu’en fonction d'une décision  de justice.

        Seul ce cas de figure permet à un huissier  d'engager une exécution forcée.

         Mais nous aussi, avons maintenant la liste rouge de ces escrocs: en voici quelques uns figurant sur Google (Rubrique "escroqueries par organismes de recouvrement douteux"

         Vous serez surpris de retrouver les noms qui circulent, noms parmi les plus notoires. En voici quelques uns dans le désordre figurant sur le who's who: entre autres (Je cite les Hoist, Effico, Soreco, Paypal, CFR, Coriolis, NCO Europe, Credirec, Intrum Justicia ...Etc.

         Comment utilisent-ils leur abus de pouvoir et comment agissent ces  malfaiteurs ?


         Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées, à la demande d'un créancier, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, etc.


         Ce type d'intervention  ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur.


         Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui.

         Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.


         Commencez par vous assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le seul créancier la décision de justice ou un aménagement de remboursement de créance.  Les pratiques de ces officines consistent en harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes. Que faire alors ?  RIEN, seul un juge peut rendre une décision exécutoire.

         A la limite si la somme due  est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à la justice légale, pas à ces voyous.

         Mettez  fin au harcèlement en les menaçant de les mettre en demeure (par courrier avec AR)  créancier  et organe de recouvrement  d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :

                  - Abus de droit : article 1382 du code civil ;
                  - Atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison.

         Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :
                  - l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
                  - la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.

         Les sommes réclamées sont à régler au seul créancier, et pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.


         Depuis plus de trente ans, les huissiers sont sortis de leur mission publique et se sont massivement reconvertis dans la lucrative activité du recouvrement privé, laquelle leur rapporte maintenant plus de la moitié de leurs revenus.


         Cette pratique est sanctionnée par l'article 433-13 du code pénal, qui punit  d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
                  1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
                  2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
Cet article 433-13 du code pénal, permet au consommateur victime de ces moins que rien, de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.

         Si vous êtes harcelés plus d'une fois, essayez d'enregistrer leurs propos, demandez leur de vous écrire en joignant un document juridique émanant d'une juridiction et menacez les de déposer plainte contre eux et vous verrez leurs harcèlements cesser comme par enchantement.

         Abordons un autre sujet qui nous humilie et nous ridiculise à la face de l’Europe par le gardien de chèvres libyen Mouammar Kadhafi,  en visite officielle à Rome (la 4° en moins d’un an), sous le regard attendri et larmoyant de Berlusconi.

         Ne voilà-t-il qu’il se livre sur un ton doctoral et ironique à  un cours d’islam devant une assistance de call-girls recrutées par une agence spécialisée et rémunérées 80 euros +  une copie du coran.

         Il affirme en outre que cette religion devait devenir celle «de toute l'Europe». Trois d’entre ces filles se sont converties à l’islam, lors de cette cérémonie.

         Cette provocation de cette tête de nœud a quand même suscité quelque colère en Italie et « La Stampa » a assuré que les échanges commerciaux entre l’Italie et la Libye ne justifiaient pas des attitudes de clowns de bas étage.

         Berlusconi au cours de cette visite a offert à Kadhafi, le repas de fin de jeûne du ramadan, en présence de 800 invités.

         Pour mettre fin au contentieux colonial ils ont signé un traité qui prévoit notamment des investissements italiens de 5 milliards d'euros en compensation de la dite période dont la construction, pour environ 3 milliards d'euros, d'une autoroute littorale de 1 700 km en Libye.

         Messieurs les Kadhafi et autres leaders intégristes, vous avez du souci à vous faire et en attendant vous pouvez toujours aller téter vos chèvres et tondre vos moutons, avant que l’islam devienne notre religion en Europe ou dans le monde et quelque chose commence à sourdre dans les pays qui vous ont ouvert à tort leurs portes. Ils apprennent à les fermer et à vous renvoyer la racaille qui pourrit notre art de vivre et de penser.

         Nous portons dans notre cœur cinq grands ennemis de la paix : l’avarice, l’ambition, l’envie, la colère et l’orgueil. Si nous pouvions les bannir nous obtiendrions à coup  sur, une paix éternelle. (Pétrarque)

LE HERISSON  vous salue bien.

TOUJOURS A VOTRE SERVICE LE HERISSON

Retour coups de cœur.

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