Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
popodoran
Publicité
popodoran
Newsletter
Catégories principales
Archives
28 février 2009

CHRISTIANE FERROVECCHIO

Picture_34

*

          Native de Djidjelli Institutrice, professeur d'enseignement général de collège et documentaliste Christiane FERROVECCHIO est aussi écrivain. Des souvenirs enfouis qui ressurgissent. Tirée à quatre épingles, maniant le verbe avec facilité et précision, Christiane Ferrovecchio a le regard d'une jeune retraitée épanouie qui analyse la vie quotidienne avec optimisme. Pourtant cette ancienne institutrice d'origine corse, qui s'est installée à Argelès depuis une quinzaine d'années, a dans un coin de sa mémoire de sacrées histoires. D'abord, celle d'une enfance passée en Algérie française puis celle d'une famille qui a évolué dans le Constantinois ; enfin, celle d'une fuite vers le continent en 1962.

        C'est à la suite de l'insistante demande de ses deux fils, Patrick et Eric, qu'elle accepte un jour d'écrire cette épopée. Une sorte de testament spirituel. Restait à briser cette omerta qui régnait sur ce recoin de mémoire bloquant cette période de souvenirs. "Ils ont ressurgi avec violence parfois mais le tiroir était ouvert et ils se sont transcrits sur ses feuilles.

Ses deux ouvrages : Picture_111

"Mnêsis"

Paru aux Editions " Le Manuscrit ".

        Un ouvrage qui conte l'histoire d'une Smala " Pieds-noirs " dans la ville de Djidjelli (aujourd'hui Jijel) ce récit autobiographique est superbement écrit. La narratrice évoque des moments cocasses et tristes à travers des mots empreints de parfums d'épices à l'accent marqué. Issue d'un milieu modeste, l'auteur parcourt son enfance évoquant les Indigènes, les Colons puis les Harkis. Elle confie la bonne éducation reçue chez les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, l'hostilité de  ses Beaux-parents pour son union avec Marcel, un Pied-noir d'une "caste élevée" qui est décédé en 1968 sans avoir pu "récupérer le liège de ses arbres".

        Une femme raconte à ses enfants son enfance qui s'est déroulée à Djidjelli. Elle retrouve l'accent pied-noir pour les faire entrer dans l'ambiance propre aux villes du pourtour méditerranéen. La tchatche, les rodomontades et les injures en pataouet sont à peine assourdies par la musique arabe qui sort des boutiques. Le bric-à-brac du souk : des cuivres et des tissus chamarrés aux couleurs chatoyantes empreints des parfums d'épices et de café torréfié. La brise du soir qui emprunte aux embruns l'iode de la Grande Bleue pour le déposer sur les passants de la Rue de Picardie. Ce doux zéphyr fait oublier aux habitants la chaleur torride de l'après-midi.

Commentaire de Véronique Parayre (L'Indépendant)

Un poème en "slam" 

Et puis, il y a "la tchatche, les rodomontades et les injures en pataouet" qui raisonnent dans les ruelles du quartier (un glossaire est à consulter à la fin du livre pour tous ceux qui ne sont pas parvenus à traduire), il y a aussi ce départ précipité de la famille qui s'est retrouvée dans le centre de la France. A noter également, ce superbe poème écrit en "slam" qui montre que l'histoire d'hier peut-être évoquée aujourd'hui avec l'air du temps.Un ouvrage à dévorer dans lequel beaucoup de Rapatriés vont sans nul doute se retrouver.

COMMANDER "MNESIS"

Et aussi:

" MARA, l'amère"

Adaptable à l'Ecran est un roman dont l'histoire se déroule en Afrique du Nord avec de l'action, du suspense et une merveilleuse histoire d'Amour. 

        Ce jour-là, le "/Bel ami/ "pavoisé du drapeau tricolore, déverse à quai sa bordée de matelots en goguette. A 18h, une tempête tourbillonnante très intense se manifeste par un énorme entonnoir nuageux pour devenir une tornade. Une jeune fille qui sort de son lieu de travail le RAF.T - un bistrot taverne - est victime d'un viol. Une course au trésor organisée par les Scouts et les Ames vaillantes est interrompue par l'accident de Mara secourue par l'intrépide Isco. Au loin, le tocsin annonce un incendie aux Entrepôts Andréoli-Mansour. Avec Mara et Isco, le Docteur Achmal, Mélaine, Johanne, le Capitaine Duchêne et le Révérend Père Joseph vont vous entraîner dans une aventure qui va secouer tous les habitants du petit Port de Debel. 

COMMANDER "MARA L'AMERE"

*

Et aussi

Vente suivie:

* Maison de la Presse 4, Rue du 14 Juillet 66700. ARGELES-sur-Mer
Tél. 04 68 81 08 47

* Carrefour ARGELES SUR MER 04 68 82 64 00

* Centre    Leclerc (Nord  Polygone) de PERPIGNAN :04 68 61 58 66

Ou achat sur : Editions le Manuscrit Service Communication 20, Rue des Petits-Champs 75002. PARIS Tél : 08 90 71 10 18

*

Retour à la bibliographie de Christiane Ferrovecchio.

Publicité
22 février 2009

LE PARADIS DES BEURS

André Dufour nous livre quelques réflexions suite au nouvel intérêt des médias pour les musulmans français expatriés dans des paradis islamiques.

Drapeau_d_Arabie

Drapeau d'Arabie. Image à la Une : l'émir du Qatar

Naguère, les prolétaires de tous les pays avaient tous une même patrie paradisiaque : l’URSS, avec le communisme pour religion d’Etat à vocation universelle. Le prolétariat, ou du moins les nantis et les bobos qui parlent en son nom, sont encore frustrés de ce paradis perdu. Fort heureusement, un paradis chasse l'autre. La semaine écoulée nous aura ainsi gâtés d’un reportage télé d’Envoyé Spécial consacré aux Beurs qui s’expatrient dans les Emirats du Golfe et d’un reportage sur le même thème paru la même semaine, est-ce un hasard ? dans le Figaro du 18 février sous la signature de Georges Malbrunot.

En gros, des jeunes talents français ne trouvant aucun débouché en France, «en raison de leur origine maghrébine», trouvent leur bonheur, un emploi bien rémunéré, la prospérité et parfois la fortune, dans les Emirats. Et de surcroît, ces jeunes Français par le droit du sol, peuvent y retrouver leurs véritables racines, l’Islam, et leur véritable identité, la Oumma. Alors, sur cette terre d’islam, ils peuvent enfin «pratiquer pleinement leur religion sans avoir à se cacher», comme c’était leur cas en France, comme l’affirment certains d’entre eux. On aimerait leur demander combien d’églises, de pagodes ou de temples hindous les autorités locales émiraties subventionnent-elles, comme le font en matière de mosquées, et en toute illégalité, certains maires français en mal d’électeurs musulmans. Et puis quand on voit sur les aires de repos de nos autoroutes ou dans certaines rues de Paris des musulmans se prosterner à l’heure de la prière sans se soucier de la gêne qu’ils provoquent, quand on voit dans nos rues les musulmanes s’afficher dans leur pieux accoutrement conçu par des fabricants de sacs d’emballage, on n’a pas l’impression qu’ils vivent un islam des catacombes, mais passons… ils ont le droit de s’exprimer et même de mentir comme nous avons encore le droit de douter, de critiquer et de contester. Alors profitons en avant que nos autorités, allant au devant des injonctions de l’OCI, nous imposent un bâillon.

Mais revenons à notre sujet : Nos aïeux ont connu l’alliance du sabre et du goupillon, nos Beurs «expatriés» découvrent le charme de «l’alliance de la BMW et du Coran» en feignant d’oublier que derrière le Coran il y a surtout le sabre qui orne le drapeau de leur prophète. Le sabre n’est qu’un symbole mais un symbole exprime mieux la réalité que les discours lénifiants enrobés de vaseline. Et de nous montrer l’image de la réussite en la personne d’un créateur de restaurants, d’un architecte et j’en passe. Caméra braquée sur le luxueux et spacieux logement disproportionné pour un homme astreint à vivre sans sa famille, payé par son employeur, la grosse bagnole et tous les signes extérieurs de la réussite. Le rêve pour des rescapés des cités HLM «ghettos» décidés à se démarquer des leurs copains qui continuent à «tenir les murs», à occuper les halls d’immeubles et à traficoter dans des bizness pas très hallal.

Honte donc aux employeurs «Souchiens» qui obligent tous ces génies incompris à s’expatrier, privant ainsi notre pays de leur créativité, comme ce fut jadis le cas des Huguenots que l’intolérance royale a refoulés en Prusse, aux Pays-Bas et autres pays qui ont largement profité de leur savoir faire. Je me sens, vous vous sentez, nous nous sentons tous coupables. Cela semble du reste l’objectif recherché par ce genre de reportages.

Il ne nous reste plus qu’à savoir quelles discriminations raciales ou religieuses contraignent également tant de nos diplômés «de souche gauloise» catholiques, protestants, juifs ou athées à s’expatrier au Canada, en Australie, aux Etats-Unis ou plus près de nous, dans les pays de l’U.E.

Il est certain que dans des pays nouveaux riches où tout est à faire, à créer, à construire, et où l’argent du pétrole et du gaz coule à flots, et c’est particulièrement le cas des émirats, il y a davantage d’offres d’emploi de haut niveau que dans un vieux pays tel que la France, lestée d’une intrusion migratoire «bas de gamme» quant au niveau de qualification et dont la population rétrograde se montre de surcroît rétive aux charmes et avantages du «multiculturalisme». Allons donc admirer le multiculturalisme en terre d’islam.

Alors je me suis souvenu du loup et du chien de la fable de La Fontaine, le chien, bien nourri, vantant au loup famélique les charmes de la vie auprès des humains. Le loup est sur le point de suivre le chien jusqu’à ce qu’il remarque le collier que celui-ci porte. Et apprend que les maîtres qui prennent si grand soin du chien l’attachent aussi parfois. Le loup n’est alors pas du tout disposé à échanger sa liberté contre une nourriture assurée.

Or ce n’est pas Envoyé Spécial, émission qui passe à une heure de grande écoute et se doit d’écarter tout ce qui pourrait donner une image négative de l’islam, mais le reportage du Figaro, dont le nombre de lecteurs est de loin inférieur à celui des téléspectateurs, qui involontairement peut-être, nous fait découvrir le pot aux roses.

Constatons seulement que ni le reportage télé, ni celui de Malbrunot, ne font état du sort des centaines de milliers de travailleurs étrangers, des soutiers venus des pays très pauvres, qui triment bien plus que nos 35 heures hebdomadaires pour un salaire de misère sur les chantiers sous une température de 40 ou 50°, ni du personnel domestique traité en esclave dont les employeurs «font suer le burnous». Constatons aussi que même pour les mieux rémunérés, il n’est pas question du «droit» au regroupement familial. Ça c’est bon pour coloniser l’Occident, pas en «terre d’islam». Mais Malbrunot, que l’on ne saurait qualifier d’islamophobe, nous confirme qu’à fonction et qualification égales, le salaire de l’étranger est inférieur de 25% à celui de l’Emirati autochtone. Telle est la règle. Et puis il semblerait que les pieux Emiratis appliquent le programme de Jean-Marie le Pen, puisque la préférence nationale, entre autres en matière d’emploi y est imposée. Et ces Beurs qui auraient brûlé des milliers de voitures supplémentaires si la France appliquait la même règle et la même discrimination salariale, trouvent cela normal dans un pays islamique. C’est-y pas beau l’amour ?

Alors lorsque Malbrunot donne la parole et presque le mot de la fin à Khalid, l’un des «expatriés» qui parle de revenir en France «lorsque la France aura appris à vivre avec ses musulmans», on a envie de rétorquer à ce donneur de leçons que nous le reconnaitrons comme Français, comme l’un de nos concitoyens, lorsqu’il aura appris à vivre avec les Français. C’est aux derniers venus qu’il appartient de s’enquérir des règles de vies, de codes, des tabous et du sacré de la population en place et non le contraire. Le contraire, c’est une colonisation, une intrusion.

L’islam n’est respectable qu’en tant que religion parmi d’autre, non au dessus des autres. Est-ce que les bouddhistes, les zoroastriens, les hindouistes, les sikhs, les bahaïs et adeptes d’autres croyances ou convictions, non moins respectables que l’islam, exigent que nous apprenions à vivre avec eux et à nous conformer à leurs croyances ? Permettez-moi de vous donner un exemple personnel : à un moment donné de ma vie, en 1946, j’emménageais pour quelques mois dans une petite ville allemande près de Bonn. Une copine de cette localité m’avait averti qu’un nouveau venu qui s’y installe doit se vêtir en sombre, mettre des gants et faire le tour des maisons du voisinage pour se présenter. C’est ce que je fis : «Guten Tag, permettez moi de me présenter : André Dufour, de Paris, votre nouveau voisin». Invariablement la maitresse et le maître de maison m’invitent à entrer, à prendre une tasse de café et à goûter à la pâtisserie préparée en prévision de ma visite. C’est un rite d’intégration qui implique l’acceptation des us et coutumes du lieu. Est-il besoin de dire qu’après une telle tournée, il faut plusieurs semaines avant de goûter à une pâtisserie ? Ne pas agir ainsi m’aurait fait passer pour un malotru, un intrus. Je n’ai pas demandé aux citoyens de cette ville d’apprendre à vivre avec moi, c’est à moi qu’il appartenait d’apprendre à vivre avec eux. Moyennant quoi, soixante ans après, j’y ai gardé quelques liens d’amitié.

Et si je devais vivre quelque temps en terre d’islam, je me garderais de prendre un repas arrosé de vin à la terrasse d’un restaurant un jour de ramadan. Non seulement par une évidente prudence, mais avant tout par respect pour les us et coutumes du pays. Là je veux bien apprendre à vivre avec les Musulmans. Mais pas chez moi. Chez moi, dans mon pays laïque, je ne connais pas la religion des gens qui m’entourent ou avec lesquels je suis en relation. Je ne connais que des Français, hommes ou femmes, des concitoyens. En France, il est aussi malséant de mettre sa religion en avant que ses goûts et mœurs sexuels. Cela relève de la vie privée, de la vie intime, non du domaine public.

Alors, Monsieur Khalid, je vous aime bien comme concitoyen, le reste me laisse indifférent. Je n’ai donc pas davantage à apprendre à vivre avec les adeptes de tel ou tel guide, führer, gourou, prophète ou messie qu’avec les adeptes de telle ou telle idéologie ou avec les communautés sexuelles «déviantes». Tant qu’ils restent discrets et n’essaient pas de nous imposer leurs lois. Libre à vous de ne pas l’admettre et je respecte votre choix. Mais alors, et sans rancune, je vous souhaite tout le bien possible, santé, bonheur et prospérité au sein d’une famille heureuse et regroupée, en terre d’Islam, où les musulmans apprennent si bien à vivre avec les Chrétiens, les Juifs, les Hindouistes, les Bouddhistes, les Bahaïs, les athées, les "infidèles" et les «renégats».

© André Dufour pour LibertyVox
Voir le texte intégral

7 février 2009

DOCTEUR JEAN CLAUDE PEREZ

7 février 2009

PCR BON DE COMMANDE

Bulletin de commande - exemplaires numérotée

Se battre en Algérie - 1954/1962

Nom : ………………………………………………………………………….

.

Prénom :…………….……..……………………………………………….

.

Adresse :

………………………………………………………………………………………………………………………

…………………………………….

………………………………………………………………………………………………………………............

......................................................

Ville :…………………………………………………………………………………………………...

.

Code postal :………………………..............

Commande ………. Exemplaire(s) numéroté(s) du livre Se battre en Algérie au prix unitaire de

28,00 € + participation aux frais de port et d’emballage (1 exemplaire = 5,74 € - 2 ex. = 7,40 € - 3 à 4 ex. = 10,20 € - à partir de 5 ex. et au-delà : 11,80 €), soit un total de ………….. € à régler à l’ordre de Patrick-Charles RENAUD par chèque bancaire ou postal.

Date : …………………………..

Signature :

.

.

Bulletin à retourner avec votre règlement à :

Patrick-Charles RENAUD – 113, Avenue Foch – 54270 Essey-lès-Nancy 

Retour Patrick-Charles RENAUD

.

Retour nos lectures.

7 février 2009

PATRICK-CHARLES RENAUD

Se_battre_en_Alg_rie_1954_1962

*

SE BATTRE EN ALGERIE 1954 - 1962

Un livre de 456 pages de récits + 32 pages de photos hors texte dont une majorité en couleurs - format 170 X 230

Prix Raymond Poincaré 2003 

                Exemplaires numérotés et dédicacés uniquement disponibles auprès de l’auteur Sale guerre ! Cause injuste! Quels que soient les qualificatifs, des soldats français ont combattu durant plus de sept ans en Algérie, de l’autre côté de la Méditerranée, où le pouvoir politique les avait précipités. Au-delà des idéaux, ils ont dû s’adapter, s’aguerrir et se battre pour survivre avant tout dans un cadre qui leur était totalement étranger. Si la guerre est par définition cruelle, la guérilla l’est tout autant car elle n’obéit à aucune règle conventionnelle.

                « Se battre en Algérie » démontre que cette guerre ne se résumait pas à des opérations de ratissage ou de contrôles dans le bled, ni même à de rares scènes de torture et d’exécutions sommaires. Elle ne fut pas non plus une guerre où tous les Appelés désoeuvrés dans un poste perdu dans le djebel, se livraient à des actes répréhensibles sur les populations civiles. Réduire la Guerre d’Algérie à ces clichés est intellectuellement malhonnête.

                Elle fut émaillée de combats, parfois farouches, livrés par des combattants français et algériens courageux, dans des paysages apocalyptiques, dans le froid, la pluie, la neige et le vent, ou sous une chaleur excessive. Elle fut aussi et surtout faite par de jeunes français respectueux de l’adversaire, dont l’immense majorité ne s’est pas livrée aux actes barbares dont font état certains.

                De 1954 à 1962, l’élite de l’Armée Française s’est battue en Algérie, en première ligne : légionnaires, parachutistes, commandos, équipages ’hélicoptères, pilotes de chasse et d’observation, marins, tirailleurs, sahariens, etc. A travers des récits poignants et véridiques, ce livre vous fait revivre des combats âpres dans lesquels ces hommes ont été engagés. Il vous emmène dans les djebels arides et déchiquetés, dans les sables et oasis du Sahara, dans les forêts tapissées de ronces ou de chênes-lièges, dans les airs à bord d’avions de chasse et d’hélicoptères qui survolaient des paysages magnifiques que la furie guerrière pouvait rapidement métamorphoser en enfer. Au fil des pages, vous côtoyez aussi ces rudes moudjahidin, parfois vétérans des Campagnes d’Italie et d’Indochine, qui se battaient pour leur indépendance avec détermination.

                Les grands épisodes de la Guerre d’Algérie sont relatés : les opérations de Timimoun, la bataille de Souk Ahras, les combats livrés dans l’Atlas Saharien, dans les Aurès et à proximité des frontières tunisiennes et marocaines, la traque et la fin de « moudjahidin » éminents comme les colonels Amirouche, Si Ahmed, Lofti, tous les trois chefs de Wilaya, jusqu’à la Bataille de Bizerte en Tunisie au cours de laquelle les parachutistes, venus d’Algérie, ont dégagé la base et la ville menacées.

Prix : 28,00 € (+ frais de port et d’emballage) - Patrick-Charles RENAUD – 113, Avenue Foch – 54270 Essey-lès-Nancy - e-mail : patrick-charles.renaud@orange.fr – Tél. : 03.83.20.13.38 Cet ouvrage est publié par les Editions Grancher (Paris).

                A mes fidèles lecteurs et aux passionnés, je propose des exemplaires numérotés et dédicacés. Si vous êtes intéressés, veuillez me retourner le bulletin ci-dessous dûment complété et accompagné de votre règlement. Pour les dédicaces, n’oubliez pas de me communiquer le texte souhaité. A noter qu’il est souvent question du 14ème R.C.P. avec des récits « revus » et complétés avec d’autres témoignages.

*

.BON DE COMMANDE.

*

        Les livres seront expédiés par la Poste au début du mois d’avril 2008 (envoi sécurisé et rapide en Poste-Livre ou Colissimo)

Me tenant à votre disposition pour répondre à d'éventuelles questions,

Cordialement,

Patrick-Charles RENAUD

Cet ouvrage  est le fruit de plus de vingt années de recherches au cours desquelles de nombreux témoignages ont été recueillis. il livre les clichés d'une " guerre impopulaire " à laquelle a participé toute une génération.

Ce qu'en pensent les lecteurs : 

- lettre d'un Ancien Appelé (classe 59 2 B), ex brigadier au 4ème R.C.C. sur la frontière tunisienne de mai 1960 à janvier 1962 : ... J'ai pris connaissance de votre livre " Se battre en Algérie " et dès l'avant-propos vous avez fait battre mon coeur en me replongeant plus de 40 années en arrière. Vous redonnez aux anciens d'Algérie leur honneur bien souvent bafoué et leur fierté d'avoir servi un pays, un drapeau. Comme vous le dites si bien nous n'étions pas des barbares et nous avions un sens profond de nos responsabilités... Vos récits ressemblent aux rêves qu'il m'arrive encore de faire, c'est à dire retrouver le soleil brûlant, le vent de sable, la maigre végétation, jusqu'à cette peur insidieuses qui se glissait parfois en nous par les nuits trop noires, sans compter des mines qui explosent encore dans ma tête... Je tiens à vous témoigner mes remerciements pour ce livre qui réhabilite nos soldats et nos armes.

- lettre du général D., officier parachutiste durant la Guerre d'Algérie : ... La lecture de votre ouvrage " Se battre en Algérie - 54 - 62 " m'a beaucoup plu au travers d'un style direct et sans états d'âme. Pour une fois et sans doute la première, voilà un livre sur le sujet exempt de toute connotation de culpabilisation, de repentances et autres fantasmagories de diabolisation de l'Occident, de la France et de son armée... Cette lecture m'a aussi passablement ému en ravivant dans ma mémoire des épisodes particulièrement intenses, parfois glorieux, parfois douloureux, et le plus souvent très durs... .Au moment où notre armée connait de nouvelles restrictions et malaises psychologiques, cela fait un bien énorme, à titre rétrospectif bien sûr, de lire votre bouquin. Je voudrais espérer qu'il y en ait d'autres du même bois vert... 

- lettre du Président d'une association d'Anciens Militaires : ... Le hasard veut que je termine juste la lecture d'un livre passionnant, très bien écrit, pas du tout polémique. Il a une véritable valeur historique et intéressera les anciens d'Algérie, mais aussi leurs enfants et tous ceux que la question algérienne "interpelle" ! On y décrit nombre de faits d'armes, mais aussi d'embuscades où déjà nos parachutistes faisaient montre de leur valeur et de leur abnégation. Cela permet d'imaginer le piège dans lequel sont tombés nos soldats et ce qu'ils ont pu subir en Afghanistan. 

Retour nos lectures.

Publicité