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5 novembre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 121

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Lundi 3 novembre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

L’affaire Maxence BUTTEY : une offensive de l’Islam au sein du FN !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Il arrive qu’un risque ne soit pas bon à prendre, surtout au sein d’un parti ambitieux qui vise la première place sur l’échiquier politique français : celui de renoncer à ses principes fondamentaux est le pire des risques, d’autant qu’il survient, le plus souvent, « de l’intérieur » ! Vous allez comprendre.

          Le dernier risque grave pris par l’actuel état-major du FN s’appelle : Maxence BUTTEY, 22 ans, élu Conseiller Municipal FN de Noisy-le-Grand (93), en mars 2014 et….converti à l’Islam en juillet !

         Situation aggravante : il a envoyé à une dizaine de cadres du FN 93 une cassette ventant l’Islam, sous prétexte de leur expliquer sa conversion. C’est du prosélytisme avéré au sein du FN !

         Alors dans un élan très louable, Jordan BARDELLA, Secrétaire Général du FN en Seine-Saint-Denis, l’a suspendu de ses fonctions voilà peu. A peine quelques jours plus tard, tout récemment, la « commission des conflits » du FN vient de confirmer Maxence BUTTEY dans ses fonctions et ne l’a pas exclu du parti.

         Il vaut mieux garder un couillon que de n’avoir personne !     

         Oui, chers ami(e)s, vous avez bien lu cette brève présentation d’une situation qui doit faire bondir certains anciens du FN.

         Nous étions nombreux à penser que le FN ne franchirait pas une certaine ligne, erreur : après les homos bien habillés et les gaullistes en mal de reconversion, voici….les convertis à l’Islam !!!

         Je vous l’avoue, cette lamentable affaire me met en colère car je pensais, comme des milliers d’autres patriotes, que le FN ne se ferait jamais complice, sous une forme ou sous une autre, de la « religion des égorgeurs d’Allah ».

         Erreur. J’ai simplement oublié que les bulletins de vote n’ont pas d’odeur. Mais que l’état-major du FN sache que nous sommes très nombreux à garder….le nez sensible !

         Tout le monde connaît, je pense, l’excessive et dangereuse concentration des musulmans en voie de radicalisation dans le 93 (pour les non-initiés, on dit « neuf trois »), à un point tel que les Français de souche ont fui ce département, devenu une zone de non-droit, d’où partent les racailles en bandes organisées qui écument les trains de la banlieue parisienne et les couloirs du métro parisien pour agresser les personnes seules, jeunes filles de préférence.

         Il fallait prendre la couleur locale….Maxence BITTEY l’a prise rapidement mais en oubliant la barbe salafiste !

         Son initiative est soutenue activement, entre autres, par deux musulmans médiatisés :

- Enis CHABCHOUB, Imam de Noisy-le-Grand (rencontré par Maxence voilà plusieurs mois), et,

- Yazine ZERKOUN, Secrétaire Général du Collectif Marianne (association étudiante proche du FN).

         Ces deux personnages ont venté le sérieux et la maturité d’esprit du désormais « Conseiller Municipal FN converti à l’Islam », désormais représentant d’une pseudo religion qui n’est rien d’autre qu’un dogme totalitaire qui prescrit la haine des autres et l’anéantissement de leurs civilisations, en commençant par les Juifs et les Chrétiens (on peut le constater tous les jours à la télévision). Oui : l’Islam a enfanté le jihad, que ça plaise ou non.

         Si vous en doutez c’est très simple : lisez donc le Coran !

         Pour une tentative d’infiltration du camp des patriotes c’est une réussite. Merci à Maxence et à la commission précitée.

         Comme l’écrit René MARCHAND, sur le site de Riposte Laïque : «  L'honneur, et tout autant l’efficacité exigent d’un parti qui se propose de restaurer la France dans sa dignité et sa puissance, qu’il définisse une politique claire à l’égard de l’Islam ».

         Le FN ne peut prétendre lutter contre l’islamisation de la France, et avoir des élus convertis à l’Islam ! La tentation pro-Islam de certains dirigeants du FN doit s’arrêter au plus vite avant de provoquer la colère des adhérents et l’éloignement des sympathisants qui vivent très mal cette affaire.

         Et pendant que l’un se soumettait à l’Islam, l’autre, leSergent-chef Thomas DUPUY des forces spéciales de l’armée française, 32 ans, perdait la vie en affrontant les fous d’Allah, au nord du Mali (massif Tigharghar) dans la nuit du 28 octobre. Hommage et respect.

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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5 novembre 2014

BULLETIN D'HUMEUR N° 120

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Samedi 1 novembre 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

1er novembre 1954 : début du jihad algérien contre la France !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Dans l’histoire de l’œuvre civilisatrice de la France en Algérie (n’oublions pas qu’avant 1830 l’Algérie n’existait pas, ni en tantque pays et encore moins en terme de peuple), il est une date inoubliable qui a marqué le début des « évènements d’Algérie » (bien avant que soit utilisé l’appellation « guerre d’Algérie ») : le 1er novembre 1954, journée dramatique qualifiée de « Toussaint rouge » à cause des premiers morts civils assassinés par les djihadistes algériens (à l’époque ondisait terroristes ou rebelles)….au nom de l’Islam !

         Le drame se déroula en plein cœur du massif des Aurès, sur la RN 31 qui relie les villes de Biskra et Arris, dans les gorges sauvages de Tighanimine, vers 7h00 du matin.

         Un groupe de terroristes armés se réclamant de l’ALN (Armée de Libération Nationale) arrête un vieux bus qui roule à petite vitesse et transporte essentiellement des paysans. Les rebelles en font descendre trois voyageurs qui se distinguent des autres :

- Hadj SADOK, un musulman en tenue saillante, caïd du douar M’chounèche, ancien capitaine de l’armée française,

- Guy et Jeannine MONNEROT, deux européens de 23 et 21 ans, jeunes mariés et instituteurs installés depuis moins d’un mois à la mechta de Tifelfel (desservie par la RN 31) où leurs idées libérales les avaient fait aller pour « rendre service en instruisant les populations locales ».

         Le chef des rebelles aurait demandé à Hadj HADOK sur un ton menaçant : « de quel côté es-tu ? ». Il aurait répondu : « je ne discute pas avec des bandits (…), vous n’avez pas honte (…) ce sont des instituteurs français qui viennent pour nous aider ».

         C’est alors qu’une rafale d’arme automatique est tirée en direction des trois otages qui s’écroulent : Hadj HADOK est touché au ventre, Guy MONNEROT est atteint à la poitrine, Jeannine MONNEROT est blessée à la hanche, elle survivra.

Le cadavre de Hadj HADOK est déposé dans le bus, tandis que les corps des deux français sont laissés au bord de la route. Le 1er novembre 1954 fut le signal d’une vague d’attentats qui provoqua la mort de dix personnes, dont les deux précitées.

         Ces crimes ont bel et bien été commis au nom de l’Islam !

         Le 7 novembre 1954, en première page de l’Echo d’Alger, on peut lire la déclaration de François MITERRAND, alors Ministre de l’Intérieur de la IVe République : « L’Algérie c’est la France et la France ne reconnaîtra pas chez elle d’autre autorité que la sienne ».

         Dans la famille des menteurs professionnels, je demande FM… !

         Cette « Toussaint rouge » fut le début d’un drame terrible accentué par la lâcheté du traître de Colombey, responsable de l’abandon de l’Algérie (alors que l’armée française tenait bien le pays et que les rebelles commençaient à se rendre), l’exode inhumain des Pieds-Noirs (devenus des parias après avoir été les dignes soldats de l’armée d’Afrique avec leurs frères d’armes musulmans), et le terrible génocide de 100.000 (150.000 ?) Harkis massacrés avec une barbarie difficilement imaginable.

         L’indépendance de l’Algérie, votée après un référendum-plébiscite organisé par Charles-le-félon, fut effective le 5 juillet 1962.

         Les massacres ne s’arrêtèrent pas pour autant : le génocide des Harkis dura plusieurs mois après cette date, dans l’indifférence générale des autorités françaises et des nations….dites civilisées.

         Autant de taches ensanglantées qui laissent des traces indélébiles sur les mains de la France, que les décideurs de l’Education Nationale ont fait disparaître des livres d’histoire.

Pour ce sang répandu, honte à tous les gaullistes de la terre, d’hier et d’aujourd’hui, copains-coquins avec le FLN algérien !

         Certes les Pieds-Noirs, les militaires et les Harkis qui ont survécu à ces tueries se souviennent avec gravité de ces années de terreur.

         Et pourtant certains ont toujours autant de m…. dans les yeux et les oreilles : la municipalité socialiste de Bagnolet avec le soutien d’une grande partie de la « gauche unie » (Verts, Radicaux de gauche, parti de gauche, PC, entre autres), a organisé une fête (!) en ce soixantième anniversaire de la Toussaint rouge, avec une exposition intitulée (lisez attentivement) : Algérie, un peuple, ses résistants !

         Non, nous ne rêvons pas.

         Qu’en pense Maxence BUTTEY, jeune Conseiller Municipal FN de Noisy-le-Grand (93), récemment converti à l’Islam ?

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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4 novembre 2014

LA CHARIA - OU L'ESCLAVAGE DES TEMPS MODERNES

Article transmis par Joseph Castano

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville)

Dans nos sociétés occidentales, le citoyen lambda a du mal à comprendre l’interprétation de la parole de Dieu qui est donnée par l’Islam... Tout n’est que contradiction dans ses propos religieux. Ainsi, bien que Dieu soit loué en permanence –même quand il s’agit d’égorger aux cris d’« Allah Akbar ! »-, on ne peut être que choqué par les tolérances du Coran sur certains points et par son paradis voluptueux…

La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point ! » Or, il n’est pas bien loin le temps où, un père furieux et honteux de la naissance chez lui d’une fille, l’enterrait vivante ou qu’un mari tenait à l’attache un troupeau d’esclaves dont il usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale…

Par conséquent, rien ne révolte plus que cet état dépendant que l’Islam impose, notamment, à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées, ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race.

L’un des problèmes sur lequel la Tradition musulmane se heurte de plus en plus aux impératifs et aux valeurs du monde moderne est celui, précisément, de la condition de la femme, soumise à trois lois : la polygamie, le droit du jebr (mariage des mineurs sans les consulter) et la répudiation unilatérale.

Pour exemple, le Prophète Mahomet a épousé une petite fille âgée de six ans et le mariage a été consommé quand elle a eu neuf ans…

Sur la vie familiale –cellule de base de nos sociétés occidentales- les conceptions de l’Islam sont totalement étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Il y a quelques années de cela, à la suite des contestations qui avaient opposé, en France, des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leur enfant (c’est encore le cas aujourd’hui) –illustrant bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes- le cheikh Abbas Ben Cheikh El Hocine, à l’époque, recteur de la Mosquée de Paris, s’était permis de mettre en garde les femmes françaises qui épouseraient des Maghrébins. Il avait déclaré : « la future mère qui épouse un musulman doit savoir que les enfants issus de cette union seront musulmans. L’enfant est appelé à perpétuer le nom et l’identité religieuse de son père ».

Cette attitude s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. Dans le monde musulman, il n'y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia (loi islamique) est axée strictement sur la punition des femmes.

Alors que dans les sociétés occidentales la femme est considérée comme étant l’égale de l’homme, le Coran (4,34) affirme que « les hommes ont autorité sur les femmes », que les « femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et que « si les hommes craignent la désobéissance de leur(s) femme(s) ils peuvent les exhorter et même les frapper ».

Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C'est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, récemment, une jeune femme violée a écopé d’un an de prison ferme et cent coups de fouet pour « adultère »… tandis que ses cinq agresseurs n'ont pas été inquiétés le moins du monde…

Au Koweit, on vous dira que « acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l'adultère ». Mais cela est valable aussi au Qatar et dans toute la péninsule arabique. La femme n'étant qu'un objet, l'adultère n'y a pas le même sens qu’en Occident. Violer une femme, c’est également voler l'homme qui en est propriétaire. Dès lors, la femme devient adultère et doit être lapidée puisque par définition, c'est de sa faute. C’est l’Islam !...

C’est, pour les hommes, l'approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C'est la liberté d'abuser d’elles et de les utiliser comme il leur plaît, sans limites. Par ailleurs, l’excision fait toujours partie des traditions, perpétuée de génération en génération afin que le plaisir amoureux que pourrait prendre la femme à la relation sexuelle reste toujours inférieur à celui de l’homme…

En Algérie, selon le quotidien « El Chourouk », 4000 femmes sont répudiées chaque année par leurs maris parce qu’elles ont un cancer du sein. Selon Hamida Kateb, présidente de l’association d’aide aux personnes atteintes de cancer, les hommes qui choisissent d’abandonner leurs épouses dans ce contexte « refusent d’accepter les changements physiques qui surviennent chez leurs femmes. Ils considèrent que ces femmes ne sont plus en mesure d’accomplir le devoir conjugal ». En plus de la terrible détresse psychologique et de l’isolement qui en résulte, les femmes répudiées du jour eu lendemain se retrouvent, pour la plupart, sans couverture sociale après le divorce et sans soins, car trop onéreux.

Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Haram (qui signifie « l’éducation à l’occidentale est impure »)ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : Assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages et de jeunes femmes destinées à des « mariages-esclaves » ou à l’entretien des harems.

Cette secte djihadiste capture femmes, jeunes filles, enfants pour les donner en esclaves sexuelles à ses soldats, les plus belles étant vendues à de riches africains ou arabes. L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Haram relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, inhumainement traitée comme du bétail.

Un rapport de Human Rights Watch datant de fin 2013 fait notamment état d'enlèvements et de viols de femmes et de jeunes filles par le groupe islamiste et d'enrôlement de force de jeunes enfants.

On se souvient avec effroi de l’enlèvement de ces 276 jeunes filles, élèves d’un lycée de la ville de Chibok (Nigéria), enlevées le 14 avril 2014 dans leur établissement par des hommes armés et menaçants. Le chef de Boko Haram, le tristement célèbre, Abubaker Shekau, a aussitôt revendiqué les enlèvements, déclarant avoir enlevé les lycéennes parce que « l’éducation occidentale doit cesser » et que les filles « doivent quitter l’école et être mariées », menaçant, par ailleurs de vendre les jeunes filles sur le marché, « au nom d’Allah ».

Selon la Maison Blanche, « beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins », a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf, tandis que des informations circulaient sur le possible transfert des adolescentes au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.

L’enseignement étant désormais devenu impie, le 17 septembre 2014, deux djihadistes avec armes automatiques, grenades et ceintures d’explosifs ont pénétré à l’intérieur du « Federal College of Education » (Centre de formation des professeurs) de Kano et se sont livrés à un massacre, tuant 15 étudiants et en blessant une trentaine d’autres. Durant le seul mois de juillet, cinq attaques similaires, imputables à Boko Haram, ont eu lieu à Kano.

Confortée par l’incompétence et la veulerie de gouvernants corrompus, la démission et la déliquescence d’une armée nullement entretenue et non payée, cette secte s’enhardit à chacune de ses attaques, faisant régner sa loi et sa terreur en toute impunité. C’est ainsi que le 25 octobre 2014, 60 autres femmes et jeunes filles furent enlevées à Wagga et, le lendemain, une trentaine d’adolescents (garçons et filles) connurent le même sort dans un village de l’Etat de Borno, au nord-est du Nigéria… sans la moindre réaction des autorités.

…Et le calife autoproclamé, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’Etat Islamique (EI), en fait autant en Irak et en Syrie. Ce sont des arabes chrétiennes, mais aussi yazidis et des musulmanes chiites qui sont présentées dans des cages, comme des animaux et serviront d'esclaves sexuelles autant que domestiques. Mise à prix une centaine de dollars « pièce » !...

« La liste des crimes atroces commis par l'État Islamique à l'encontre des Yézidis en Irak ne cesse de s'allonger », a déclaréFred Abrahams,conseiller spécial à Human Rights Watch. « Nous avons recueilli des témoignages au sujet de conversions religieuses forcées et de mariages forcés, ainsi que d’agressions sexuelles et d’esclavagisme… et certaines victimes ne sont que des enfants. »

En août, les Nations unies ont notamment estimé que l’organisation terroriste avait réduit en esclavage sexuel environ 1 500 femmes et adolescentes dans le Nord de l’Irak et Amnesty International en a fait de même. On est bien loin –dans les faits- de l’illusion entretenue en Occident d’une religion musulmane « de paix et d’amour » tolérante envers les autres religions…

            Et ce qui nous révolte, nous, Français, c’est que face à ces abominations on n’entend nullement se dresser ni Caroline Fourest, ni Najat Belkacem, ni les Femen, ni Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller, Said Bouamama, de « Nique la France » qui n’ont de cesse de dénoncer « l’esclavagisme blanc » de jadis en occultant négligemment l’esclavagisme musulman. Il est vrai qu’en la matière, ils peuvent compter sur l’appui inconditionnel de Christiane Taubira, notre inénarrable ministre de « l’injustice », la passionaria indépendantiste guyanaise qui, dans L’Express du 4 Mai 2006 déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! »… en contradiction flagrante avec l’anthropologue Malek Chebel qui écrit à ce sujet : « Parce que je suis un intellectuel musulman, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »

José CASTANO Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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Vidéo à visionner impérativement - Cliquez sur : Le témoignage poignant d’une femme en terre d’islam ...

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L’Islam, religion de « paix et d’amour »… et la condition féminine

De jeunes filles musulmanes (encore enfants) enchaînées pour être livrées à leurs prédateurs sexuels

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014

Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM

Parking sur les quais

Cliquez : http://popodoran.canalblog.com/archives/2014/10/06/30720500.html

Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Courriel : belmonte-georges@wanadoo.fr

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERS, le 27 novembre à 16 heures.

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2 novembre 2014

CHANZY

            Dans le département d’Oran, le village est installé à 679 m d'altitude sur les ruines thermales d'un ancien camp romain. Chanzy dépend du canton de Boukanéfis et du chef-lieu d'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. En 1851, l'autorité militaire attribua des lots de fermes à quelques familles françaises, mais ce n'est qu'en 1854 que la création du centre de Sidi Ali Ben Youb fut définitivement décidée par l'attribution de 24 lots de culture de 25 ha environ, y compris les lots urbains et de jardin, plus 6 lots, qui furent réservés pour des besoins communaux. Le centre prend le nom de Chanzy en 1883.

            Située sur les bords de l'oued Mekerra, à la jonction des routes de Bossuet et de Bedeau. Dans ses quartiers aux rues parallèles, plantées d'arbres de diverses essences, on y respire la fraîcheur, grâce à de nombreux canaux. Au dire de certains géologues, l'emplacement actuel de Chanzy aurait été, aux temps préhistoriques, un vaste lac alimenté par les eaux de la rivière et de deux importantes sources artésiennes.

Situation Chanzy

chanzy 1

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Retour villes et villages d'Oranie.

1 novembre 2014

Poème de Gérard

(né à Vitry-sur-Seine) à son frère aîné, Michel Delenclos (né à Paris 13ème) alors incarcéré à Fresnes et, aux jeunes Oranais détenus comme lui ou qui ont laissé leur vie, aux quatre coins de leur terre natale. (01 novembre 1962)

Oran vue generale depuis santa-cruz 1962 tagOran 1962

DEMAIN

Ô temps, que tu es puissant

Tu vis, tu passes,

Me laisse rien et tout efface

Feu, fer et sang.

 

Ô temps, n'oubliez jamais

Que nous vivons par toi

Que nous devons nous aimer

Aux noms des frères sur la croix.

 

Que celui qui souffre derrière les barreaux

Laisse passer le temps et tomber l'eau

Car l'espérance n'est pas morte

Et viendra un jour à ta porte.

 

Ô enfant, séparé de ta mère

Ô frère, loin de tes frères

Ô vous, mes copains

Je voudrai partager mon pain.

 

Comme le juste, au rang des assassins

Comme le soleil qui fait crever les raisins

Comme le vent souffle dans la rue

Nous partons, comme nous sommes venus.

 

Crois, car ton Dieu est amour,

Crois en ce qui est immortel

Le temps nous est court

Mais la vie est si belle.

 

Et toi frère

Devant ton sort

Tu es plus fort

Par ta seule prière

Car tu es un Homme.

Retour DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.

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