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26 décembre 2008

DES HUEES DE LA MARSEILLAISE AU SACRIFICE DES PORTE-DRAPEAUX DE MOSTAGANEM

Docteur Jean-Claude PEREZ Auteur du Livre « Attaques et contre-Attaques » Publié à DUALPHA EDITIONS

BP 58-77522 COLOMMIERS CEDEX

Nous communique le message suivant :

DES HUEES ET DES SIFFLETS DE LA MARSEILLAISE AU STADE DE FRANCE

            Lors d’un match de football récent opposant, au Stade de France, l’équipe nationale de Tunisie à l’équipe nationale de France, nous ne fûmes pas surpris par les huées et les sifflets qui ont couvert l’hymne national français, la Marseillaise.

           « Marseillaise » remarquablement et courageusement interprétée par la chanteuse LA’AM, française d’origine tunisienne. Nous n’avons pas été surpris, parce qu’en réalité, tout le monde s’y attendait. Tout le monde s’y attendait, oui, y compris les organisateurs de cette rencontre amicale. Cette prévision fut à l’origine d’une initiative empreinte d’une pusillanimité évidente.

            Une décision prise par ces mêmes organisateurs lorsqu’ils ont cru « politique » de présenter les effectifs des deux équipes en les intégrant les uns aux autres. C’est-à-dire en les faisant défiler et pénétrer sur le terrain, l’un derrière l’autre, en alternant les nationalités. Un Français derrière un Tunisien ou vice et versa, et ainsi de suite… Cette présentation des équipes nationales était, certes, louable dans ses intentions.

Elle était louable… oui, mais pourquoi ?

            Parce qu’elle était nourrie avant tout d’un souci de prévention. Elle prétendait en effet, tuer dans l’œuf, par un geste qui se prétendait cordial et noble avant tout, toute manifestation à l’encontre des symboles traditionnels de la France. C’était un mauvais calcul. C’était aussi présomptueux. C’était exhiber un manque de psychologie. C’était la traduction évidente d’une peur et surtout, d’une incompréhension totale à l’égard de l’hostilité qui ne demandait qu’à s’exprimer, au sein d’une foule psychologiquement « uniformisée », « une foule militante ». Une foule arborant des drapeaux nationaux… en réalité de véritables emblèmes religieux.

            L’initiative des organisateurs de mélanger les équipiers tunisiens et français, soulignons le, une fois de plus, fut inspirée par la peur et c’est comme telle qu’elle fût ressentie par les provocateurs. L’hostilité était latente… momentanément contenue… mais déjà perceptible, presque palpable, au sein de cette foule qui était présente, avant tout, pour insulter publiquement la France. Une foule dont on ne doit surtout pas dire qu’elle était tunisienne. Elle était multinationale et en même temps mono-confessionnale. Elle était inspirée et animée dans son comportement, par des chefs d’orchestre maghrébins, arabo-islamistes, promoteurs occultes mais toujours actifs de l’actuelle Révolution Mondiale.

            Une foule qui n’hésita pas à manifester son « anti-France » avec autorité, avec agressivité, avec constance et avec une discipline militante, alors que la Communauté qu’elle représente, est ENCORE très largement minoritaire en France. Une foule qui a pris soin de nous avertir, par son mépris et par ses huées, de ce que serait notre STATUT si un jour, par le jeu d’une émigration mal contrôlée, d’une natalité sélectivement intensifiée, par le jeu de conversions quotidiennes démagogiquement encouragées, cette collectivité devenait numériquement dominante en France. Dans cette perspective, dans cette redoutable évolution de la société française, on enseignerait dans nos écoles, aux Français du futur, que la France fut militairement vaincue, conquise et secondairement occupée par la glorieuse Armée de Libération Nationale Algérienne.

            Victoire acquise par celle-ci grâce à la volonté du Général de Gaulle, le 19 mars 1962 à Evian. Voilà la leçon qu’il nous faut tirer de cet événement du Stade de France. Il n’est pas nécessaire de « mélanger » des équipes lors d’une confrontation sportive. Les équipes entrent sur un terrain pour disputer un match de football et non pour se combattre. Nous reconnaissons aux footballeurs tunisiens, leurs qualités sportives ainsi que leur habituelle correction sur le terrain. L’estime, l’amitié, la camaraderie du sport ne doivent pas être altérées et finalement gangrenées par le comportement d’une foule qui ne laisse pas passer, en ces circonstances, l’occasion d’insulter la France « urbi et orbi », en toute impunité.

            Cette attaque de nos symboles c’est à la République Française de la combattre et surtout, de la VAINCRE.

            C’est le devoir de notre Gouvernement. Lorsque j’ai écouté, avec un profond respect, la Marseillaise chantée par Mademoiselle LA’AM, qui ne s’est pas laissée décontenancer par les sifflets de haine d’une foule hostile, j’ai admiré avant tout le courage de cette interprète. Par la suite j’ai été flatté, pour mon pays, par ses commentaires évoquant le passé d’ancien combattant français de son grand-père. A mon niveau, et en toute humilité, je lui dis : « Merci pour la France ».

            Mais ma mémoire est toujours à rebonds. Cette vilénie du Stade de France a réveillé chez moi un autre souvenir…, déjà lointain. C’est celui du drame, du sacrifice, des Porte-drapeaux de Mostaganem, que je tiens à vous rappeler comme je l’avais fait en 1993 dans mon premier livre « LE SANG D’ALGERIE ».Je m’appuyais sur un document signé du Général VANUXEM, et je demandai alors, à mes lecteurs, qu’il ne tombât jamais dans l’oubli.

Voici ce texte.

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