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4 janvier 2011

PHOTOS ORAN JUILLET 1962

                   Photos originales de Daniel C.  appelé du contingent durant sa période à Oran pendant les patrouilles dans les quartier européens  jusqu'au 4 et 5 juillet 1962. Ces patrouilles servaient surtout à ce que les arabes ne traversent jamais le boulevard, et à ce que les européens ne risquent que les investigations des sbires à Katz.

                   Incorporé le jour de ses 20 ans en janvier 1961 et libéré fin Décembre 1962. De cette période il en garde de très bons souvenirs et d'autres par contre "atroces". Les dates ancrées dans sa mémoire sont "le 19 Mars 1962, et le 5 Juillet 1962".

Photos du 4 et 5 juillet 1962

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Santa-Cruz juillet 1962

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Oran la synagogue - juillet 1962 -

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Oran - Monte-Cristo le port Mers El Kébir - juillet 1962

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Oran le port - Santa-Cruz - juillet 1962

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Santa-Cruz depuis la terrasse du musée Demaeght - juillet 1962

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Santa-Cruz depuis la terrasse du musée Demaeght - juillet 1962

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Oran le port juillet 1962 - l'exode

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Oran le port juillet 1962 - l'exode

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Oran le port juillet 1962 - l'exode - les autos abandonnées

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Oran le port juillet 1962 - l'exode - les autos abandonnées

          A partir d'Avril, ma compagnie a investi Ardaillon, démoli par les plasticages, et nous faisions des patrouilles par sections, à des heures aléatoires, dans les quartiers européens. Bien sûr, les PN étaient agréables avec nous, et probablement à 90% OAS.

          Les abords des bars étaient à franchir rapidement parce que les invitations étaient difficiles à décliner.

          Parfois, de nuit, on se prenait les pieds dans un homme abattu, c'était parait il des barbouzes qui avaient été démasquées

 

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La rue devant le lycée "Ardaillon"5 juillet 1962 avant les évènements.

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La rue devant le lycée "Ardaillon"5 juillet 1962 avant les évènements.

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Vue depuis la terrasse du lycée "Ardaillon"le 5 juillet 1962

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Vue depuis la terrasse du lycée "Ardaillon"le 5 juillet 1962

                  Lors de mon retour en France, j'étais “intoxiqué” par les évènements vécus, j'ai lu Yves Courrière (historien) et Jean Lartéguy (romancier proche du réel). J'ai tout recoupé, j'ai une idée de l'ensemble de cette période que j'ai retrouvée antérieurement grâce aux récits trouvés chez Yves Courrière. Jean Lartéguy journaliste en Indochine parlait du “mal Jaune”, j'étais marqué par le “mal brun”.

                  J'en ai souffert plusieurs années et maintenant encore, mes souvenirs sont très vifs, celui le plus douloureux, c'est le 5 Juillet 1962, sur la terrasse du Lycée Ardaillon. Les équipes de l'ALN qui ont investi le quartier européen, éliminant tout ce qui n'était pas musulman, avec une très grande sauvagerie. Nos officiers et sous officiers ont eu bien du mal à nous contenir, et aucun nous a dit qu'il exécutait les ordres de bon coeur.

Daniel 29800

Retour photos A.F.N. 

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Commentaires
H
En 62 les assassinats furent nombreux chez les autochtones. Bcp de debiteurs tuerent ou essayerent de tuer leur epicier ,boucher ou simplement leur creancier.le mot clé etait de dire qu'untel etait harki et la légitimité etait la pour assassiner.apres juillet il y'eut des meurtres pour s'accaparer les biens vacants du plateau et de la ville .<br /> <br /> Bref c'etait plutôt une mise a sac qu'autre chose. <br /> <br /> Je me souviens d'un imam qui avait douze enfants et qui habitait un deux pieces au village negre qui investit un hotel particulier de 10 chambres au bd sebastopol et qui me demanda de donner des cours de francais à ses enfants "pour que apres le bac ils puissent faire leur avenir en france.."...déjà personne ne croyait en ce futur pays....et puis vint ben bella ,chassé par boumedienne ,et les autres et le GIA ....ce pays ne connaitra la paix que quand il etablira une vraie identité sereine.
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K
Slt, jecherche tjrs la signification du mot DALICO..qu'on chantait cette période de 1902-66..J'avais entre 6 ou 7 ans..J'habitait la cité CLOP, tout prés des Castors-ORAN....Dalico, dalico, oh oh ooohoo.
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B
Q..merci.ue signifie le mot dalico..je chantais ce refrain dans les années 1960-68..j'étais gamin ...dalico dalico
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P
Je recherche une photo de la rue d enfer rocheveaux mes parents sont décédé j aimerais revoir l endroit ou nous habitons. Plus de souvenir merci
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A
Bonjour,<br /> <br /> <br /> <br /> Oranie mars 1962<br /> <br /> Voici une histoire qui se passe pendant de retour des Français d’Algérie en mars 1962.<br /> <br /> <br /> <br /> Jean-Michel Le Chanjour est un militaire du Groupe de bombardement GB2/91 Guyenne sur la base aérienne de la SENIA depuis octobre 1961. Il est affecté à la maintenance des avions sur la base maritime de Mers el-Kebir, à une encablure du port d’Oran.<br /> <br /> <br /> <br /> Début de l’exode en mars 1962.<br /> <br /> La plupart des gens partaient en bateau depuis le port d’Oran, seul un petit contingent prenait l’avion. Il y avait des milliers de civils en attente et il n’y avait que 2 vols par jour (une Caravelle et un Boeing 707). L’attente pour partir était de quelques jours à une semaine maximum, Jean-Michel a pour mission de faire le tri des urgences.<br /> <br /> <br /> <br /> Une famille de 4 enfants (une fille de 15 ans et 3 garçons) habite à proximité de la base.<br /> <br /> Cette famille est un couple de fonctionnaires garde-barrière pour les transports qui traversaient la base. Ils ne peuvent quitter leurs fonctions et leur fille a reçu des menaces.<br /> <br /> Fin mars 1962 en soirée, Jean-Michel, revenant d’une partie de foot, est interpellé par les parents de cette jeune fille :<br /> <br /> « S’il vous plait, mettez notre fille dans un avion !<br /> <br /> - Dites-moi quand ?<br /> <br /> - Demain à la même heure<br /> <br /> - Ok »<br /> <br /> <br /> <br /> Le lendemain soir, la fille est là !<br /> <br /> Jean-Michel la conduit dans le hangar d’embarquement d’où elle partira rapidement grâce à lui. Jean-Michel continue sa mission d’assistance aux réfugiés jusqu’en juillet 1962. Il ne reverra jamais cette fille et n’aura jamais de nouvelles de la famille.<br /> <br /> <br /> <br /> L’objectif insensé de Jean-Michel aujourd’hui est de retrouver cette fille qu’il n’a connu que quelques heures en mars 1962 sur la base de Mers el-Kebir.<br /> <br /> Il ne connait ni son nom, ni son prénom et pourtant elle a toujours hanté sa mémoire depuis.<br /> <br /> <br /> <br /> Si cette histoire vous fait penser à une personne vous racontant son retour d’Oranie dans ces circonstances, merci de me contacter pour en parler.<br /> <br /> Je vous mettrai en contact avec Jean-Michel, qui est un cousin.<br /> <br /> Merci de diffuser ce message autour de vous.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée<br /> <br /> Cordialement
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M
Il n'y a pas que les PN et les harkis qui "ONT FUI" en étant très mal accueillis le plus souvent . Il ne faut pas oublier que dès la fin de la guerre très nombreux sont les FELLS qui ont a leur tour fui l'Algérie pour rejoindre la France colonialiste (bien accueillis) et ceux qui étaient en France n'ont pas été assez idiots pour rejoindre l'Algérie indépendante .Je l'ai quitté en 1967 .
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M
Moi j ai quitte l'algerie en juillet 62 comme bon nombre d'entre nous avec mon frere cadet et mes parents. Je n'ai aucuns souvenirs de cette periode etant trop jeune a cette epoque. Neanmoins j'ai ete eleve dans cette culture pn que m'ont trasmise mes parents et j'en suis fier. Mon papa nous a quitte en fevrier 2013, il n'a jamais oublie Oran il est parti avec ses souvenirs a jamais. Il. avait rebati une nouvelle vie ici pres Perpignan et lorsque nous passions la journee au cap beart ca lui rappellait la fortiche oranaise. Aujourd'hui il n'est plus la le champion de sidi baghti s' en est alle.<br /> <br /> <br /> <br /> Ph.Munoz (CABESTANY. 66. Pyr.orientales)
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D
Bonjour,<br /> <br /> j'ai lu votre message, le seul commentaire que je ferais,<br /> <br /> c'est que je me suis limité à exprimer ce que j'ai réellement vu,<br /> <br /> je sais qu'il y a des musulmans qui ont fait des sauvetages in extremis,<br /> <br /> les gendarmes et les militaires en ont fait aussi.<br /> <br /> Vous êtes, malgré votre jeune âge, mieux informé que moi.<br /> <br /> Je ne ferai pas partie de "la France d'élite" qui demandera pardon,<br /> <br /> L'histoire de l'Algérie est trop complexe pour prolonger la polémique,<br /> <br /> <br /> <br /> http://oran3644.unblog.fr/a-propos/#comment-76<br /> <br /> <br /> <br /> faites un copier-coller de ce lien, et cliquez sur la borne "Aïn-Tédèles"<br /> <br /> vous y trouverez la totalité de mes photos dont certaines font voir<br /> <br /> la misère vestimentaire et alimentaire des autochtnones en 1962.<br /> <br /> Cordialement
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O
Bien le bonjour.Je découvre l'internet,j'ai un niveau appréciable en langue Française qui n'est pas à l'honneur de l'occupation ( il n'y pas de mauvais élèves;mais il y a de mauvais maitres )bref..avançons!!! Le 5 juillet 1962 me tient à cœur comme vous si ce n'est plus.Je ne veux pas commencer par la FIN en vous disant qu'es ce que vous êtes venus foutre chez nous...Non;Maintenant que la hache de guerre a été enterré cela fait 50 ans et devant l’exagération sur les massacres d'Oran de part les ex.occupants; je me réserve le privilège de raconter ce que j'ai vécu et appris sur ces fameux massacres;surtout que les gouvernants,responsables ou autres acteurs de notre noble et légitime révolution non rien dit sur ce qui s'est passé réellement .Ces derniers attendent que la France demande pardon!!!! Pour ce faire;j'avais presque 10ans,c’était les prémices du cessez le feu.Mon père le lieutenant de l'ALN " Si Mohamed Rachid" a débarqué à Oran secrètement ,afin d'unir les fractions du FLN .chose faite,un seul est sortie des rangs c'était ATTOU (que vous dite sanguinaire)et qui fut arrêter par mon père par la suite (et par l'occasion je défie tout historien de me dire comment s'est faite son arrestation).Il y a eu des massacres et des dépassements de part et d'autre .Ce que je sais, c'est que des millers de Français ont eu la vie sauve grâce au vraie responsable de la zone autonome d'Oran "Si Mohamed Rachid" et qui est mon défunt père,et ce pour citer que la famille juifs Benichou qui possédait une usine de conserve à Oran d'une mort certaine,une autre famille Pierre Asnar qui reconnaissent avoir été sauvé du FLN par un Lieutenant de l'ALN ( seul lieutenant à l’époque à Oran) escorté des Castors Familiaux au port d'Oran.etc etc etc...Encore une fois n’exagérons rien ,la faute incombe à nos dirigeants qui ne veut pas reconnaitre les hauts faits de ses vraies combattants ,le jour ou ça se feras la France d'elle même diras pardon.Tous Français qui n'a pas fait couler de sang Algériens et que l’Algérie lui reste à cœur est le bien venu chez le fils d'un vraie MOUDJAHID.
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D
Bonjour.<br /> <br /> Mon expérience est assez pauvre, compte tenu que nous étions cloîtrés par sections dans les salles de classes du Lycée Ardaillon, limitrophe au Musée Demaeght, un peu en retrait du boulevard.<br /> <br /> Nous sortions pour faire des patrouilles dans le quartier européen, ils étaient encore nombreux avant le 4 ou 5 Juillet 1962. Vous avez sans doute récupéré mes photos fournies à Popodoran, il m'a récemment prévenu qu'elles allaient "voyager"...il a eu la correction de m'en informer.<br /> <br /> Je suis à votre disposition dans la mesure où je vais pouvoir répondre, le seul point positif, c'est d'avoir été le "spectateur" involontaire de la tuerie que les équipes du bled on réalisées, en descendant sur le boulevard, ceci du haut de la terrasse du Lycée.<br /> <br /> Cordialement
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H
Bonjour,<br /> <br /> Je souhaiterais entrer en contact avec vous pour vous interviewer sur votre expérience de la fin de la guerre d'Algérie à Oran. Je recherche en effet un appelé témoin de cette période pour un reportage.<br /> <br /> Bien à vous,<br /> <br /> Hélène S.
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D
Je voudrais répondre cordialement à Sergoudarzew qui semblait soulagé, quelques messages plus haut, qu'un jeune du contingent ait pris conscience du drame qu'ont vécu les européens en Algérie. Je ne pense pas être exceptionnel, ni avoir essayé de leurrer, ou attendrir des opinions bien établies.<br /> <br /> Il y a eu des milliers de soldats du contingent, ceux qui se foutaient des PN comme de leur première cigarette et les autres qui n'ont jamais parlé. J'ai eu des copains qui étaient dans le même état que moi. Si j'ai fait surface 45 ans après, c'est un signe de mémoire évident, et aussi l'envie de donner aux PN mes souvenirs et photos qui semblaient plus récentes que toutes celles que j'ai vues. J'ai réussi puisque j'ai retrouvé la trace d'un Tédèlessien encore vivant, qui m'a confirmé que toutes mes connaissances locales étaient sauves et repliées dans le Tarn. Je voudrais dire aussi, qu'à 21 ans on est un "jeune con", influençable et malléable, je ne pense pas que je serai contredit sur ce point. La maturité arrive quelques années plus tard. D'autre part, nous vivions en circuit bouclé, aucune information nous était fournie. J'ai tout recoupé de retour à la vie civile après 1962.<br /> <br /> Je crois que Sergoudarzew devrait borner son jugement autour des militaires qui ont commandé ce laxisme dans cette période inommable, inutile de donner les noms, ils étaient nombreux, sans oublier le "générallissime" responsable de tout cela.<br /> <br /> Je ne souhaite pas froisser quelqu'un, mais simplement que les "torchons et les serviettes" ne soient pas mélangées.<br /> <br /> Cordialement et, en toute diplomatie, à toi si tu me lis.
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S
Bonjour,<br /> <br /> <br /> <br /> j'avais alors 26 ans, marié et père d'une petite fille de 3 ans.<br /> <br /> L'horreur de cette journée, vous la décrivez très bien, il faut cependant ajouter que les forces de l'ordre Françaises sur place ont observé cette tuerie sans jamais intervenir...Je me pose, encore aujourd'hui, cette question: Comment ont-ils pu continuer à vivre, comment ont-ils pu se regarder dans un miroir, avoir femme et enfants...<br /> <br /> Je n'arrive pas à imaginer un être humain à cette image.
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F
Journée de flammes de feu et de sang.<br /> <br /> J'avais alors 19 ans, les évènements de ce jour là sont hélas toujours présents à ma mémoire pour en avoir fait les frais. <br /> <br /> La pire des journées vécue..Poursuivie par les arabes acharnés et brandissant armes blanches et armes à feu et détruisant tout ce qui était "blancs", sur leur passage.<br /> <br /> Nous leur avons échappé de justesse en nous réfugiant dans l'immeuble où nous venions d'aménager. Plusieurs de mes camarades de quartier ont été tués et leurs corps ont été retrouvés mutilés accrochés à des crochets de bouchers dans un des abattoirs de la ville. D'autres corps n'ont jamais été retrouvés!!!!<br /> <br /> Ces visions d'horreur sont toujours présentes à ma mémoire. <br /> <br /> Le lendemain, les rues étaient couvertes du sang de nos martyrs dont les corps exposés au soleil n'avaient même pas été ramassés....<br /> <br /> Voilà le souvenir de ce que nous avons vécu ce jour là, les jours qui ont suivi nous ont encouragé à faire notre valise plutôt que d’être tués comme beaucoup.
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A
COUCOU ROGER ; J 'ai répondu aussitôt à votre message , je pense que vous ne l avez pas reçu par le biais d' un email. J'aimerai mettre sur mon mur de fb une photo des autos abandonnées si c 'est possible . Je vous remercie pour votre message si sympathique et de l 'attention que vous lui avez donné. BIEN AMICALEMENT . Une PN .
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A
comment mettre une photo du diaporama d 'ORAN sur facebook . EST-CE POSSIBLE ? MERCI DE ME REPONDRE .
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A
UN GRAND MERCI POUR TOUTES CES BELLES PHOTOS ET VOS COMMENTAIRES . BIEN AMICALEMENT .
Répondre
A
UN PEU DE NOSTALGIE .
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D
j'ai changé de pseudo, je suis harcelé par les spams.<br /> En ce Noël 2011, je suis toujours poursuivi par mes souvenirs visuels de cette date, j'en souffre toujours et pourtant aucun des miens n'a été perdu dans ce massacre. J'aurai pu rendre mes "galons" de caporal, mais c'est mon chef de section, que j'estimais, qui en aurait subi les conséquences. Il y a quelque temps, Mr François Hollande a été jeter des roses dans la Seine, pour commémorer les quelques arabes immergés par la Police excitée par les gens du FLN infiltrés. Aujourd'hui, ce sont les Arméniens qui sont à la une, avec un Président qui s'en sert pour booster sa campagne. Mais Bon Dieu, et les Pieds-Noirs, que fait-on pour eux, c'est Français, même si certains ont repris leur nationalité d'origine par dégoût de leur abandon. Et mes ami(e)s d'Aïn-Tedeles, sont-ils morts, massacrés et déchiquetés comme les autres ??????? Vous aurez compris qu'en Juillet 1962 j'étais un appelé du contingent, impuissant, nos chefs étant eux-mêmes incapables de réactions.<br /> Très sincères amitiés à la Grande Famille des PN et à leur descendance. <br /> J'ai toujours négligé de remercier le Webmaster d'avoir publié mes photos, je lui adresse tardivement tous mes remerciements.<br /> Cordialement à lui.
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S
Enfin, un jeune du contingent témoigne et même si<br /> un demi siècle a passé, la vérité fait toujours plaisirs.<br /> Je suis Pieds noir, parents et Granrds Parents nés<br /> en Algérie (Oran) mon service militaire (26 mois) <br /> c'est déroulé dans les Aures Némenches (sud <br /> Constatinois) démobilisé en Aout 1958, la SNCFA <br /> m'a réintégré à Constantine. J'en suis reparti le <br /> 7 juillet 1962 pour rejoindre ma famille à Oran<br /> et ce que j'ai découvert en sortant de la Gare <br /> m'a profondemment marqué et lorsque vous parler <br /> de l"ALN qui tirait sur tout ce qui n'était pas musulman, il me semble que cette triste réalité ne s'éstompera jamais de ma mémoire.<br /> Merci pour votre franchise.<br /> Sergoudarzew
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N
Merci qu'un jeune du contingent est eu le temps d'apprécier les FRANCAIS d'ALGERIE et notre désarroi .<br /> 49 ans aprés nous avons en mémoire le 4 juillet 62<br /> j'avais 20 ans comment oublier mes amis morts pour qui pour quoi ?
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