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15 février 2017

COMMUNIQUÉS DE PRESSE DU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL DU 15, 17, 21 et 28/02/2017 suite au discours d'Emmanuel Macron

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DEPOT DE PLAINTE CONTRE EMMANUEL MACRON DU 21 /02 / 2017

DEPOT EFFECTIF DU CERCLE CONTRE EMMANUEL DU 28 / 02 / 2017

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Cercle algérianiste national

Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire

des Français d'Algérie.

Communiqué de presse du 15 et du 17 février 2017

A Alger, Emmanuel MACRON insulte la mémoire des Français d'Algérie et s'enfonce dans la repentance.

            Emmanuel MACRON voulait innover en politique, avoir une approche nouvelle et parler vrai. Son voyage à Alger n’aura été qu’une resucée de ce qu’ont fait à peu près tous ses prédécesseurs, venus chercher l’adoubement électoral du président BOUTEFLIKA, en déclarant que la colonisation est un acte de barbarie et un crime contre l’Humanité.

            En affirmant qu’en Algérie, la France avait commis des crimes terribles, de la torture et de la barbarie, Emmanuel MACRON est tombé dans le travers habituel de la repentance à sens unique, qui condamne sans appel l’œuvre des Français d’Algérie, profondément attachés à leur terre natale.

            L’histoire ne s’écrit pas en noir et blanc, telle que la pensée unique à laquelle semble se rallier Emmanuel MACRON, voudrait nous le faire croire. Les Français d’Algérie n’ont pas à rougir de ce qu’ils ont été.

            Ils n’ont pas à s’excuser des souffrances qu’ils ont endurées, des drames qu’ils ont connus et des milliers d’assassinats qu’ils ont subis.

En fait de langage de vérité, Emmanuel MACRON n’a développé qu’une pensée dogmatique sans originalité et qui ne vise, sans aucun esprit critique, qu’à la reconnaissance d’une seule catégorie de victimes, d’une seule vision de l’Histoire.

En cela, rien ne distingue Emmanuel MACRON de François HOLLANDE, qui déclarait lui aussi à Alger, que toutes les vérités devaient être dites, en occultant comme vient de le faire Emmanuel MACRON, le drame des Harkis et celui des Pieds-Noirs.

Thierry ROLANDO Président national du Cercle algérianiste

Télécharger le communiqué au format PDF

Télécharger l'APPEL à la MOBILISATION contre les provocations d’Emmanuel MACRON à Alger

 

Association culturelle des Français d'Afrique du Nord

1 rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél. 04 68 53 94 23

Courriel : secretariat@cerclealgerianiste.fr

Site du cercle :  www.cerclealgerianiste.fr

Retour à tous les communiqués

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14 février 2017

SYNTHESE DU MASSACRE D'ORAN DU 5 JUILLET 1962

Avec la contribution de Jean-François PAYA

(RESPONSABLE du Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962.)

SEUL NARATEUR, ACTEUR ET TEMOIN PRESENT SUR LE TERRAIN A ORAN ET RESTANT SUR LA BASE DE MERS-EL-KEBIR ET POURSUIVANT L'ENQUETE JUSQU'A FIN 1964...

CLIQUER SUR L'IMAGE POUR TELECHARGER LE DOCUMENT COMPLET

00 Synthèse du massacre d'Oran du 5 juillet 1962-J-F Paya

 

Retour listes de tous les dossiers 5 juillet 1962 

14 février 2017

CHRISTIAN PIQUEMAL

QUI EST LE GENERAL ?

 Piquemal b GPiquemal1

Né le 17 décembre 1940 à Huos (Haute-Garonne).

Formation et diplômes

- Prémilitaire para en 1958-1959 à Versailles.

- Saint-Cyrien promotion "Vercors" 1960-1962.

- Breveté para en 1961 (Brevet no 183 303) et moniteur para en 1967 : 830 sauts au total.

- Ingénieur SUPELEC en 1972.

- Ingénieur en génie Atomique en 1973.

- Breveté de l'Enseignement Militaire Supérieur 1974 (École de guerre).

- Breveté du Centre des Hautes Études Militaires (CHEM) et auditeur à l'Institut des Hautes Études de la Défense nationale (IHEDN) 1988-1989.

 

Parcours militaire 1960 à 1999

- Fantassin métropolitain : 15 ans de Légion et 8 ans de troupes aéroportées, ayant servi au 2e REP de 1963 à 1969 en Algérie (Bou Sfer) et Calvi et au 9e RCP à Toulouse et Nouvelle-Calédonie.

- Chef de section et officier adjoint au 2e REP 1963-1969. Il fut aussi entraineur et compétiteur de l'équipe de pentathlon niveau national et international.

- Commandant de la 3e compagnie du 9e RCP Toulouse de 1974 à 1976.

- Chef du bureau des prévisions radiologiques à Mururoa et Villacoublay, à la Direction des Centres d'Expérimentations Nucléaires, 1976-1980.

- Commandant en second du 4e Régiment Étranger, 1980-1982, à Castelnaudary.

- Officier traitant à l'Inspection de l'Infanterie, 1982-1985.

- Chef de corps du 3e Régiment Étranger d'Infanterie à Kourou en Guyane, 1985-1987.

- Professeur à l'École de guerre, 1987-1988.

- Stagiaire au Centre des Hautes Études Militaires (CHEM) en 1988-1989.

- Membre du Cabinet du Premier ministre de 1989 à 1992.

- Général adjoint des opérations à la région militaire de Marseille de 1992 à 1994.

- Général Commandant de la Légion étrangère de 1994 à fin 1999.

- Missions en Bosnie (Sarajevo), Arabie Saoudite et Tchad.

- Officier de la Légion d'Honneur.

- Commandeur de l'ONM.

- Médaille d'or de la Jeunesse et des Sports.

- Commandeur de l'Ordre de Malte.

- Commandeur de l'ordre des Comores.

- Légionnaire d'Honneur de la Légion espagnole.

- Général de corps d'armée (2e section).

 

Parcours civil 2000 à 2014

Outre sa présidence de l'U.N.P pendant dix ans (2004-2014), trois activités majeures ont occupé ou occupent son temps :

1) De 2001 à 2008 : Conseiller municipal à Aubagne et conseiller communautaire à la communauté d'agglomération du pays d'Aubagne (13 communes), chargé des finances et de la commission d'appels d'offre.

2) De 2002 à 2007 : Président d'un groupe de réflexion et d'études sur le pays d'Aubagne, sorte de "Think tank» de 150 membres, chargé de réfléchir et traite des problèmes et questions de société et de proposer des solutions concrètes sur le territoire de 12 communes autour d'Aubagne.

3) Depuis  octobre 2011 : Membre du comité exécutif de la Fondation Général Bigeard (12 administrateurs) sous l'égide de la Fondation de France.

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9 février 2017

CLAUDE GUISS

Maire de Zéralda qui vécut les revers d’une trahison.

Par Michel DELENCLOS chercheur en histoire – Biographe

            GUISS Claude  (02.10.1923 - 05.2016) né à Zéralda, près d’Alger (Algérie française) – Sa famille débarque à Alger, dès janvier 1832. Bachelier, il entend poursuivre ses études et ambitionne une carrière universitaire. En décembre 1942, la France l’appelle. Inscrit comme tous les jeunes d’Afrique du Nord aux Chantiers de Jeunesse qui remplaçaient à l’époque la conscription.

            Il rejoint le Corps expéditionnaire français d’Italie «CEFI» et son régiment de blindés : le 7ème régiment de chasseurs d’Afrique. Il embarquera à Mers-el-Kébir sur un bateau grec réquisitionné, le «Neos hallas», qui jettera l’ancre en Italie. Il débarque au pied du Vésuve. Le but évident est la libération de la France. Campagne d’Italie en 1943. Les Allemands chassés d’Italie, Claude rembarque à Naples pour le sud de la France : Toulon, Marseille, la Provence, la vallée du Rhône, les Vosges, les Ardennes, l’Alsace seront libérés par ces hommes venus d’Afrique, descendants des premiers colons de 1830 ! ».. (Parcours cité par José Yvars.). Agriculteur. Maire de Zéralda de 1958 à mai 1961. Epouse Arlette née à Alger, institutrice.

GuissClaude

Le 06.06.1958 : lors de la cérémonie en l’honneur du lieutenant-colonel Jeanpierre, tué par l’ALN, le 29.05.1958. A gauche, le général Jacques Massu, au centre, le maire Claude Guiss.

JeanpierreLieutenantColonel

Le lieutenant-colonel Pierre Jeanpierre peu avant sa mort. (14.03.1912-29.05.1958). Au cimetière d’El-Halia à Alger, lors de l’inhumation de P. Jeanpierre, le général Jacques Massu jure : «…Mon colonel, nous vous le jurons, nous mourrons plutôt que d’abandonner l’Algérie française. Nous saurons conserver le souvenir de votre exemple. ».

PlaceJeanpierre

A Zéralda : inauguration de la « Place Lieutenant-colonel Jeanpierre», en présence du maire, Claude Guiss.

            «Pendant les pires années de la guerre d’Algérie, C. Guiss écrira des pages d’histoire aux côtés des colonels Brothier, Dufour, Jeanpierre, le commandant Denoix de Saint-Marc, commandants du 1er REP basé à Zéralda. Après la révolte militaire ratée du 22.04.1961, il extraira les généraux Salan et Jouhaud du camp de Zéralda puis, il les cachera, au péril de sa vie et de sa liberté à des militants du «MP 13», en les, accompagnant personnellement jusque dans la plaine de la Mitidja. (1)

            Les routes étaient alors surveillées et prêtes à être bloquées par toutes les forces gouvernementales du secteur. Sa vitesse de décision couplée à son patriotisme inné et inébranlable sauvera les généraux d’une arrestation certaine. Huit jours plus tard, Claude Guiss est arrêté, jeté en prison à Blida, avec des dizaines de fellaghas. Après de longues semaines, il est transféré à la prison de la Santé. Là, avec d’autres partisans de l’Algérie française, il continuera la lutte, en participant notamment, à la révolte dans les prisons. (2) Claude Guiss sera blessé par une grenade à base d’ypérite, gaz mortel utilisé par les Allemands en 1917 et, interdits d’utilisation en milieu fermé.

            Claude Guiss perdra un œil et subira alors de terribles souffrances durant de longues semaines avant qu’on l’autorise à consulter un spécialiste. Claude sera finalement libéré et obtiendra un non lieu. Mais, il sera interdit de séjour en Algérie…». (Cité par José Yvars dans «Le cœur et la mémoire»).

            Perd un œil lors de la révolte des détenus face aux gardes-mobiles à la Santé, le 30.11.1961, à la suite du refus d'accorder la liberté provisoire au commissaire Jean Dides. Libéré de prison et, après des mois de désespérance à cause de son handicap, il finira par obtenir un poste de directeur commercial dans un grand domaine agricole, à Pont Saint-Esprit (Gard). Membre actif de l'ADIMAD-Sud, à partir du 20.07.2002. Le 05.06.2005, avec la veuve du colonel Jeanpierre, Claude Guiss préside à Sanary-sur-Mer, une conférence sur la Légion et le 1er REP.

Guiss05

Le 05.05.2007 : réunion du bureau : au centre, assis et portant lunettes, Claude Guiss.

Guis06

Le 06.06.2008 : inauguration, à Calvi (Corse) de la plaque Lieutenant-colonel Jeanpierre.

Il s’agit-là de la même plaque –récupérée- qui avait été apposée à Zéralda. Claude Guiss pose à cette occasion.

            Le 24.06.2012, à l’occasion de la réunion annuelle de l’Amicale de Zéralda, 59 ans après l’exode, Claude Guiss prononce ce discours : «Nous avons décidé en cette année 2012 de donner à notre réunion un tour particulier puisqu’elle coïncide avec la date du 50ème anniversaire de notre départ d’Algérie. Si nous sommes heureux, les uns les autres, de nous retrouver entre amis Zéraldéens, les tristes souvenirs de la période tragique de l’exode ne s’en imposent pas moins à nos mémoires. Trahis et abandonnés par un pouvoir omnipotent, livrés sans protection au couteau des égorgeurs, nous avons dû abandonner notre terre natale, nos maisons, nos biens et, tout ce qui faisait notre vie «là-bas». Et, nous sommes passés «d’une rive à l’autre».

            Nous nous sommes réfugiés en France. La France ! Notre mère patrie, ingrate et oublieuse, indifférente à notre sort et en grande partie hostile, conditionnée qu’elle était à notre égard par une télévision d’Etat. Mais nous étions solidaires, courageux, travailleurs et volontaires et nous avons fait fa ce à l’adversité. Aujourd’hui, nous pouvons être fiers d’avoir surmonter les mille et une épreuves qui furent le lot commun de tout rapatrié.

            De nombreux auteurs ont narré dans leurs ouvrages les péripéties de l’exode et de la survie. Comment ne pas remercier entre autres nos deux compatriotes, Monseigneur Jean-Yves Molinas et M. Louis Yvars, d’avoir si bien exposé dans leurs écrits respectifs l’histoire de leur famille, histoire semblable à celle de toutes nos familles. Ils font honneur à Zéralda. Je vous engage à faire lire leurs livres à vos enfants et petits enfants pour ancrer en eux le souvenir d’une Algérie française authentique. Aujourd’hui, 50 ans se sont écoulés.

            Beaucoup des nôtres ont disparu, emportant avec eux l’amertume des injustices subies par notre communauté. Beaucoup de problèmes qui se posaient à nous ont trouvé leur solution. Il en subsiste encore dont s’occupent avec opiniâtreté nos associations nationales, que nous soutenons évidemment. Il est deux points sur lesquels nous devons rester vigilants et fermes. D’une part en nous opposant au rétablissement de la date du 19 mars 1962 comme date de fin des combats en Algérie et, d’autre part en luttant contre toute velléité de repentance vis-à-vis de l’Algérie indépendante de la part d’un gouvernement français quel qu’il soit…Nous nous retrouverons en 2013 et les années suivantes…mais jusqu’à quand ? ».

Guiss02

Le 02.10.2013 : la grande famille Guiss, lors de l’anniversaire des 90 ans de Claude Guiss : au centre, chemise bleue, Claude Guiss, et son épouse, à côté, chemisier bleu.

Deux citations à l’ordre de la division Croix de guerre avec étoile d’argent.

(1) C’est alors Robert Martel (05.03.1921-21.12.1997) qui prendra en charge Edmond Jouhaud et Raoul Salan, les généraux qui avaient rejoint le camp de Zéralda, fief du 1er REP., le 25.04.1961  R. Martell héberge aussi Mme. Salan –née Lucienne Andrée Germaine Bourguin- et la capitaine Noëlle Luchetti, dans une ferme de Birtouta. Le 28.05.1961, depuis leur cache, les deux généraux adressent au colonel Antoine Argoud, qui n’a pas pu encore les rencontrer, ce message : «Certes, notre situation est dure, mais le seul fait que nous sommes debout va nous permettre de nous battre à nouveau. Ce sera la s bataille cachée, mais des gens solides nous sachant ici se regroupent autour de nous. Gardez confiance avec nous, nous vous tiendront au courant. Amitiés de nous deux. ».  Ces «Gens solides» sont alors notamment, le lieutenant Roger DEGUELDRE, le colonel Yves Godard, le général Paul Gardy, le capitaine Jean Ferrandi.

(2) Les conditions carcérales, à cette époque, étaient nettement différentes selon que les prisonniers étaient étiquetés «FLN» ou «OAS». Et cela même, y compris pour les détenus mineurs. Voici un des témoignages, émanant d’un gardien de prison publié dans le quotidien «Sud-Ouest» du 14.06.2013, sous le titre : «Henri Debeaulieu a surveillé Ben Bella.».

BenBellaDebeaulieu

Henri Debeaulieu né le 07.06.1913 face au photographe.

Lui-même ancien prisonnier en 1949, H. Debeaulieu intégrera la pénitentiaire dès sa libération. Il sera détaché au fort Liédot avec pour rôle, ainsi que cinq autres surveillants en provenance de prisons différentes, de «surveiller» Ben Bella avec interdiction formelle de communiquer avec lui. H. Debeaulieu se rappelle : «Il était, je dirais, bien plus en résidence surveillée qu’en prison. Preuve en est qu’il ne vivait non pas en cellule mais dans une chambre où il pouvait recevoir de nombreuses visites et plus particulièrement celle d’une infirmière, toujours la même. Que voulez-vous, les murs ont des oreilles ! De plus, au service de Ben Bella et de ses 4 autres compagnons d’infortunes parmi lesquels figurait un autre héros de la révolution algérienne, Aït Ahmed, l’administration avait fait venir 5 détenus de la prison de la Santé, dont un cuisinier choisi par Ben Bella lui-même. Rien d’étonnant si, au menu, était inscrit couscous au moins une foi par semaine. ».

SOURCES :

De Fabrice Laroche (pseudo d’Alain de Benoist) avec François d’Orcival "Le courage est leur patrie", Ed. St. Just, 01.01.1965-

De Benoît Haberbusch "Gendarmerie en Algérie, 1939-1945", Ed. Shgn, 01.06.2004-

De Mgr Jean-Yves Molinas «D’une rive à l’autre» autobiographie, Ed. Société des écrivains, 04.03.2011.  De José Yvars «Le cœur et la mémoire», «7 écrit éditions», 22.10.2012.

1

Retour DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.Auteur de «19 mars 1962 ? Waterloo ! » - Prix d’Histoire..

 

 

 

4 février 2017

LES SPARTIATES D'ORAN

Par Tonny Billotta

HANDBALL

 

Tonny Billotat


Championnat d'Algérie 2-3avril 1960

 

 


            Photo (collection particulière) des Spartiates d'Oran qui avaient battu Aïn-Taya sur le score de 17 à 16 au stade Leclerc en demi-finale des championnats d'Algérie le 2 avril 1960 avant d'enlever, le lendemain, le titre face au FC Blida, sévèrement battus 24 à 10.
Le 24 avril, cette magnifique et talentueuse équipe enlevait le titre de champion de France Honneur face au CO Billancourt et remportait également la coupe latine.

Spartiates d'Oran Champions d'Algérie & de France en Hand

On reconnaît l'International Goupy (2è en haut, à gauche) et le capitaine au plateau Ibanez. Merci de compléter si possible.

 


Hand-Ball : Championnat d'Algérie au stade Leclerc.
Cérémonie d'ouverture le 2 avril 1960 et présentation des équipes
Hand Club d'Aïn -Taya à gauche
Spartiates d'Oran à droite
(photo collection particulière)

HC Aïn-Taya Spartiates Oran hand 2 -04 -60


Le HCAT (Handball Club Aîn-Taya) champion d'Alger 1960
Debout : Heulz, Benoist, Hervé,Fédélich 1, Tur,
Accroupis : Wolf, Lemaire, Grofils, Bellina, Fédélich 2
C'est cette équipe qui s'inclinera de justesse (16 à 17) en finale des championnats d'Algérie devant les futurs champions de France et de la Coupe latine : les Spartiates d'Oran.
Cette photo (collection particulière) a été prise avant la rencontre du 2 avril 1960.au stade LeclercHCAïn-Taya Champion d'Alger 1960

Résultats des années 1954 à 1959

1954 : Oran bat Alger 30 à 20 - 1956 : Oran bat Alger 21 à 20 - 1957 : Alger bat Oran 13 à 12 - 1958 : Oran bat Alger 27 à 18

1959 : Oran bat Alger 14 à 12

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3 février 2017

L'ORGANISATION ARMEE SECRETE

Par José Castano

OAS Aux armes citoyens Article dédié à mon ami Jeannot  SANCHEZ, membre des Commandos « Collines » de l’OAS, qui a mis sa peau au bout de ses idées. Adhérent à l’Amicale des Oraniens des Bouches du Rhône

Le sursaut d’un peuple qui ne voulait pas mourir ».

« L’OAS a été écrasée par une répression telle qu’aucun état civilisé n’en avait jamais déclenché une semblable contre ses propres nationaux »  (Jacques Soustelle)

            Depuis plusieurs mois l’Europe subit une vague migratoire sans précédent, en passe de déstabiliser ses institutions. De pauvres hères accostent par milliers nos rivages dans l’espoir d’y trouver le paradis et bientôt ils seront des millions… C’est « Le Camp des Saints », roman d’anticipation écrit en 1973 par Jean Raspail qui se réalise sous nos yeux...

            Cependant dans cet imbroglio où la misère côtoie l’intérêt et l’intrigue, il est une catégorie de migrants envers laquelle j’éprouve une aversion particulière : Les lâches et les poltrons.

            En effet, alors qu’en Afghanistan des soldats occidentaux continuent de mourir, que les pertes françaises se sont élevées à 89 tués et qu’au Mali 11 de nos garçons sont déjà tombés pour défendre la liberté de ces nationaux, je n’accepte pas de voir ces derniers, dans la force de l’âge, déserter leur pays. « Ils fuient la guerre », clament-ils à l’envi relayés en cela par la bien-pensance française... Mais un pays, ça se défend ! On ne fuit pas quand le danger sévit sinon cela s’appelle désertion… démission… lâchetétraîtrise

            Si ces jeunes gens dans la force de l’âge refusent de se battre, qui va le faire à leur place ? Cent de nos meilleurs soldats sont déjà tombés dans ces régions étrangères et hostiles pour un rêve de liberté qu’ils voulaient offrir à d’autres. N’est-ce-pas suffisant ?

            Si ces hommes ont tourné le dos à leur pays, c’est qu’ils ne l’aiment pas. Comment dans ce cas pourraient-ils aimer la France ? Parallèle saisissant et contrastant entre ces derniers refusant le combat et cherchant leur salut dans la fuite et ces « soldats perdus » de l’Algérie française excluant toute idée de capitulation, de démission et d’abandon.

Contrairement aux migrants, face à l’adversité, ces Français d’Algérie surent redresser la tête, s’unir et se défendre dans un combat inégal, cruel, inexorable, d’autant plus cruel et inexorable que chacun savait qu’il s’agissait du dernier… du combat du désespoir. Alors, un sigle… trois lettres allaient leur ramener l’espoir :

Organisation Armée Secrète.

Ce sigle représentait un idéal de combat contre le déracinement et contre la honte. Il n’avait aucun caractère politique, puisque spécifiquement affectif.

C’est après l’effondrement du putsch, d’avril 1961, que l’OAS devait atteindre la notoriété en Algérie et elle ne devint vraiment active qu’au lendemain de cette initiative élyséenne qui ne fut qu’une vaste fumisterie : la trêve « unilatérale »… ce qui permit aux rescapés de l’Armée de Libération Nationale (A.L.N) de reprendre la population en main aussi bien dans les campagnes que dans les centres urbains. Attentats, égorgements, mutilations se multipliaient. Devant les cadavres des égorgés et les visages grimaçants des mutilés, toute velléité de résistance s’effondrait. Le ressort se brisait. Les Musulmans fidèles à la France étaient les premières victimes ; la peur, peu à peu, les menait dans les rangs du FLN.

« De Gaulle veut notre mort ! » Ce fut le cri de guerre et de désespoir d’un million d’Européens qui, las d’apprendre le massacre de familles françaises, s’organisèrent en commandos. Les magasins arabes flambèrent à leur tour, le plastic détruisit des bains maures. Les affrontements, les combats de rues se multiplièrent sans que les forces de l’ordre n’arrivent à juguler cette flambée de violence. L’Algérie entière était déchaînée. Les « stroungas » explosaient partout et aux grenades lancées dans les tramways et les autobus par le FLN, répondaient les mitraillages des cafés maures. Partout du sang, des morts qu’on enjambait dans les rues. La folie s’était emparée de ce pays autrefois si paisible et si heureux.

De  nouveau la presse se déchaîna qualifiant de « monstrueux » les attentats commis contre les Musulmans. Elle baptisa du nom de « ratonnades » ces actions désespérées et affirma sans vergogne que « les tueurs nazis de l’OAS se livraient au racket et au massacre sur les Musulmans et les « patriotes » gaullistes ! »

Faute de protection de l’armée ou de la police, la population européenne se faisait justice elle-même appliquant la loi du talion, condamnable par son aveuglement, mais explicable par les souffrances endurées depuis sept années.

On oubliait la terreur qui avait régné depuis si longtemps, on ne se souvenait plus des charniers de Mélouza et d’El-Halia, des bombes du stade d’El-Biar et du casino de la Corniche, on ne prêtait aucune attention aux grenades du FLN qui explosaient chaque jour dans les quartiers européens, les cafés, les écoles, aux arrêts d’autobus. On feignait d’ignorer les enlèvements qui se multipliaient dans tous les coins du territoire, les égorgements et les viols. Seuls importaient les « ratonnades » que le journaliste, Yves Lavoquer, comparait aux « pogroms de la Russie tsariste et aux massacres nazis » !…

L’OAS était une révolte : révolte des habitants de toute une province qui se sentaient abandonnés par la mère Patrie et qui se voyaient placés dans l’alternative suivante : quitter leur sol natal et devenir des déracinés ou rester sur place pour subir les spoliations et les vengeances, le couteau, la balle et la hache. Et qui formait ses rangs, sinon des hommes courageux, le plus souvent des humbles qui n’avaient ni privilèges à défendre, ni fortune à sauver ?

L’OAS, c’était à la fois, le combattant de l’ombre, l’enfant qui collait une affiche et mourait le pinceau à la main, le vieillard qui guettait et sifflait à l’entrée d’un quartier pour avertir de l’arrivée des « forces de l’ordre », la ménagère qui transportait des tracts dans son panier en allant au marché et ces familles qui hébergeaient les légionnaires du 1er REP après la dissolution de cette prestigieuse unité. Elle était une armée d’ombres, l’armée miraculeuse de l’amour et du malheur. Elle représentait, pour la population d’Algérie, le dernier espoir et l’ultime recours contre un désespoir passionnel. C’était la bouée de sauvetage à laquelle le naufragé tente de s’accrocher.

Ses éléments se battaient non par ambition, non par intérêt, mais parce qu’un sentiment sur lequel aucun raisonnement n’avait de prise -l’attachement profond à la terre natale- les avait conduits à la révolte. L’OAS c’était, comme l’a écrit Alain Peyrefitte, « le sursaut d’un peuple qui ne veut pas mourir » (1).

Une évidence s’imposait cependant : S’il n’y avait pas eu le FLN, il n’y aurait pas eu d’OAS. Si de Gaulle avait laissé l’armée abattre le FLN –comme elle aurait pu le faire- il n’y aurait pas eu non plus d’OAS… c’est une vérité première.

Durant un an elle fit la guerre, comme le FLN la fit durant sept ans et, pour son malheur, les Français de Métropole ne retinrent d’elle que ses aspects les plus noirs. Ils ignoraient –ou feignaient d’ignorer- les exactions du FLN, des barbouzes et des gendarmes mobiles. Ils ne considéraient déjà plus l’Algérie comme un département français… et ils s’en fichaient. Ils souhaitaient se débarrasser au plus vite du « boulet algérien » -terme propre au général président- Les communistes jubilaient et poursuivaient leur propagande de destruction basée sur la sempiternelle rengaine : « Les pauvres Musulmans exploités par les salauds de colons », terme englobant tous les Européens d’Algérie, qu’ils fussent employés, ouvriers, commerçants ou fonctionnaires,  tous issus d’une immigration désirée… quand elle ne fut pas imposée par la Métropole avec les déportations de 1848 et 1870.

Pour autant, l’OAS ne désarmait pas. Dans certains points du bled dont l’armée se retirait progressivement depuis l’été 1961, elle avait tenté l’implantation de maquis pour lutter directement contre l’ALN sans populations interposées et dans le secret espoir de dégager une portion de territoire où son autorité serait reconnue. Guelma, Bouira, Tipasa, Coléa… autant de vains essais. Les commandos furent encerclés par l’armée et, incapables de tirer sur des soldats français, se rendirent. L’ultime et spectaculaire tentative eut lieu dans l’Ouarsenis, le 29 mars 1962 et se solda par un sanglant échec et la mort de l’un de ses chefs, le commandant Bazin. Trahie, l’OAS, au lieu des alliés qu’elle attendait (les harkis du Bachaga Boualam et deux unités régulières de l’armée) tomba sur des concentrations de forces FLN dix fois supérieures en nombre dont il a été affirmé –et jamais démenti- qu’elles avaient été amenées à pied d’œuvre par les véhicules des gendarmes mobiles français. Un combat désespéré qui alla jusqu’au corps à corps s’engagea. Les hommes de l’OAS qui échappèrent à la tuerie furent pourchassés et quand ils furent rejoints, sauvagement abattus. Ce fut là la dernière bataille de l’OAS… son Camerone !

José CASTANO Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

(1) Dans son livre « C’était De Gaulle », Alain Peyrefitte rapporte ce propos de l’homme de Colombey : « Les gens de l’OAS me haïssent parce qu’ils sont aveuglés par leur amour de la France. Mais si ceux qui soutiennent le FLN me haïssent tout autant, c’est parce qu’ils sont aveuglés par leur haine de la France ».

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«  TERREUR ISLAMISTE »

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ISLAM… RELIGION CONQUÉRANTE

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25 janvier 2017

ENTRE PASSÉ ET PRÉSENT…

Par José Castano

jmlple10mai2009 A-Frejus-Marine-Le-Pen-se-pose-en-candidate-du-peuple

 

« Un jour, tout sera bien, voilà notre espérance. Tout est bien aujourd’hui, voilà l’illusion » (Voltaire - poème sur « Le désastre de Lisbonne »)

De l’avis des médias (ce qui est rare), le banquet patriotique du 21 janvier à Palavas Les Flots (34) animé par Jean-Marie Le Pen fut une réussite puisque 600 personnes, au moins, participèrent à cette manifestation.

L’enseignement à tirer de cette réunion est de deux ordres :

-       Les pressions exercées par la hiérarchie nationale et locale sur les adhérents (appel au boycott et menaces de sanctions) ont permis de découvrir le nouveau visage d’un FN aux antipodes de celui bâti par JMLP… En effet, depuis l’avènement de Marine à la présidence du Mouvement, une nouvelle génération d’adhérents a pris son essor : « transfuges », « jeunes loups » ambitieux et carriéristes, sans talent, dénués de toute personnalité, effigies monotones et sans relief de la servilité ponctuelle et disciplinée… 

-       Les conséquences de ce nouveau « parricide » et ces trahisons à répétition à l’égard de JMLP fomentées par certaines « sirènes » qui composent la « garde rapprochée » de Marine Le Pen ne paraissent guère la meilleure des stratégies pour vaincre en 2017……

Dans « l’Odyssée », Homère avait attribué à ces sirènes la particularité de chanter d'une voix très attirante et irrésistible, amenant les marins qui les entendaient à une mort certaine, une fois leur bateau fracassé sur les récifs. Le navire FN est-il voué à une pareille fin ?... Seuls, les anciens « grognards » pourraient lui éviter semblable tragédie… mais ils ont été remisés dans les poubelles de l’ingratitude et du mépris.

Avant les élections régionales de 2016, Marine avait appelé les politiques de tous bords à s’agréger à elle. Elle leur avait offert des places qui revenaient de droit aux « anciens », pensant ainsi obtenir des voix supplémentaires. Cuisante désillusion !... S’il y eut quelques apports, combien, à l’inverse, y eut-il de « défections »?... Suffisamment en tout cas pour la priver de victoire ! Le problème, dans ce genre de tractation, est que quand on fait de ses anciens ennemis des amis, on risque de voir ses amis devenir des ennemis…

Avant d’inviter ses adversaires d’hier à la rejoindre, n’aurait-il pas été plus convenant et salutaire de prêcher la réconciliation patriotique et nationale ?... Ayant ordonné ou couvert la « mise au placard » des anciens grognards de JMLP, il lui appartenait d’accomplir le premier pas sur le chemin de cette réconciliation… juste à faire le premier pas. Sur ce point, la parabole du fils prodigue (Evangile selon Saint-Luc, 15) sonne comme un message de consolation et une invitation à trouver ou à retrouver la voie de l’espérance, celle là même qu’elle illustre si bien dans ses « Carnets d’espérances ».

« Entre le passé où sont nos souvenirs et l’avenir où sont nos espérances, il y a le présent où sont nos devoirs ».

Que la présidente du Front National « new look » fasse sienne cette morale de Henri Lacordaire et redonne des couleurs à l’espérance de nombreux Français ; c’est là que se situe son devoir.

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

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Cliquer sur : Palavas : Jean-Marie Le Pen veut encore tenir la barre

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17 janvier 2017

LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE MINISTRE EMMANUEL MACRON

Monsieur,

Voici ma réflexion suite à vos propos tenus en Algérie.

Je vous l'accorde vous avez fait preuve d'un grand courage, en Algérie, en disant que la colonisation de ce pays avait été un crime contre l'humanité.

Personne ne nie que cette conquête a généré son lots de crimes, d'exactions, sachant que les valeurs de l'époque ne correspondent en rien à celles en vigueur de nos jours.

Tout comme votre prédécesseur, avant d'être élu, vous avez voulu vous attirer les grâces de certains électeurs!

En effet, monsieur Hollande s'était rendu sur les lieux où le 17 octobre 1961, ont été tués, par la police Française, des centaines de Musulmans. En fait, des enquêtes sérieuses ont abouti à dire qu'il n'y avait pas eu plus de 10 morts dont certains étaient des européens, et que cette manifestation était interdite car en temps de guerre.

Libre au futur (probable) président, tout comme vous, de se rendre où il veut.

Mais pourquoi ne pas avoir honoré les 47 morts (19 égorgés) de la Force de Police Auxiliaire Harkis de Paris, ainsi que les 219 Européens tués dont 16 militaires et 53 policiers...?

Et encore sur notre sol, vous auriez pu parler des 4000 Musulmans qui ont été assassinés et souvent mutilés par le FLN France, que le double a été blessé toujours selon des méthodes atroces.

Le courage aidant, vous auriez pu, sur votre lancée, évoquer les 150.000 Harkis et sympathisants morts après le cessez le feu du 19 mars 1962, respecté uniquement par l'état Français.

Des 8 à 12000 d'entre eux qui ont été envoyés déminer, souvent à mains nues, sur les frontières.

Vous auriez pu parler également du massacre de plus de 6000 Pieds-Noirs, après cette date. En sachant que, ce chiffre rapporté à celui des habitants Français, serait de 300.000 morts. Soit plus que de civils tués en France pendant le 2ème conflit mondial.

Quel pays pourrait accepter cela?  La France, bien sûr! Mais CHUT!! En France, « ON », les politiques, préfèrent parler des morts d'en face!

Ce sont leurs choix. C'est votre choix! Pas le mien. Je ne suis pas un homme politique. Je suis un simple citoyen!

Et pourquoi ne pas parler du massacre de Melouza en 1957 où 374 Musulmans ont été massacrés par le FLN, qui a voulu, entre autre, attribuer celui-ci à l'armée Française?

Et encore, cet autre, atroce, d'El Halia en 1955 où ce sont principalement des femmes et des enfants au nombre de 140 qui ont été impitoyablement abattus! Ou alors, des MILLE CINQ CENTS morts en UN JOUR le 5 juillet 1962 à Oran, 2 fois plus qu’à Oradour sur Glane, 642 personnes tuées par les hommes de la Panzer division Das Reich en 1944. Ce, dans des conditions affreuses, comme dans ce village martyr Français.

Un centre de la mémoire y a été édifié en 1999. Y a-t-il en France un mémorial, une plaque, une commémoration nationale pour « NOUS », rien, serions nous les pestiférés de l’histoire…

D’un côté, et à juste titre, notre pays honore ses victimes et de l’autre les ignore totalement. Est-ce digne de la France, qui proclame à tout va, être le pays des droits de l’homme et du citoyen.

Puisque vous aviez décidé d'évoquer le passé, pourquoi n'avez-vous pas parlé des pirates barbaresques du Maghreb qui ont écumé nos côtes pendant plusieurs siècles sous l'emprise des Turcs, réduisant ainsi en esclavage plus d'UN MILLION d'Européens.

Alger, à elle seule, se répartissant plus du tiers des esclaves!

Vous n'êtes pas sans ignorer que c'est pour ce motif que, ce qui sera appelé l'ALGÉRIE, a été envahie!

Vous défendez les valeurs universelles de la gauche et prétendez détenir la vérité, voulant imposer celles-ci, soit, mais vous le reprochez à nos ancêtres, qui ont appliqué ce même principe en Algérie.

A tort ou à raison, dans les deux cas, l'histoire jugera!

Vous savez sans doute aussi, que dès le début de la conquête, de nombreuses tribus se sont rangées à nos côtés, telles les Zouaouas, qui ont donné le nom aux futurs Zouaves, ou les Douaïrs et les Smélahs dont le chef, le général Mustapha Ben-Ismaïl, a été tué au combat en 1843...

A vouloir étaler l'histoire, il faut aller jusqu'au bout et ne pas s'en tenir à quelques bribes! Vous faîtes preuve d'un tel acharnement à vous en prendre à VOS ancêtres, parce-que ce sont MES ancêtres, mais aussi les VÔTRES!

Les premiers arrivants sur cette terre ont été des soldats commandés par le gouvernement Français de l'époque.

Comment considérez-vous les premiers colons qui ont suivi, sont-ils des assassins, ou sont-ils des militaires?

Vous savez très bien que les règles de l'époque n'étaient pas les mêmes en matière guerrière. Les conventions de Genève n'existaient pas et les troupes au combat se payaient sur le terrain.

Ne faîtes-vous pas preuve d'hémiplégie comme vous le faites remarquer à certains de vos interlocuteurs?

A la même époque, en France, la troupe dispersait des manifestants en tirant « dans le tas », des enfants de 7 ans travaillaient dans les mines et les femmes ont dû attendre 1945 pour avoir le droit de vote.

En 1830, devant des grévistes et des émeutiers, l'armée alignait 20.000 hommes et 150 canons!

En 1848, on relève 4000 morts parmi les insurgés et 1600 parmi les forces de l'ordre.

Le gouvernement républicain arrête 25.000 personnes, lourdement condamnées (15.000 déportées et emprisonnées sans jugement). Certains de ces déportés, dits les « Communards », seront de futurs Pieds-Noirs.

Il n'est pas possible qu'un futur (probable) président de la République Française, jette l'opprobre sur les siens ainsi!

Pourquoi, monsieur Macron, pourquoi?

Il n'est pas possible, ni même pensable que votre attitude ne soit pas dictée par un calcul électoraliste!

En effet, la communauté d'origine Algérienne, vivant en France, est très importante et pèse sur le vote, sachant qu'aux dernières élections, celle-ci a voté massivement à gauche.

Vous saviez pertinemment en tant qu'homme avisé et bien conseillé, quelles répercutions auraient vos propos tenus dans un pays dont les dirigeants nous méprisent profondément et où son histoire est falsifiée depuis 55 ans maintenant!

Savez-vous que l'hymne algérien est le seul au monde à citer, en termes peu élogieux, un pays étranger? Bien sûr, ce pays c'est la France!

Vous saviez que les Pieds-Noirs et les Harkis seraient vent debout suite à vos déclarations mais vous n'en aviez que cure!

Vous saviez que notre communauté, les anciens, était composée de personnes encore écorchées-vives, 55 ans après notre exode!

Vous saviez que vos propos provoqueraient des réactions dures, emportées, voire violentes! Cela, pour soit disant, rétablir une vérité, alors que, comme je l'ai dit, lorsqu'on veut agir ainsi, il faut aller jusqu'au bout et ne pas se contenter de dénoncer une partie de l'histoire et de plus dans un pays étranger!

Ce pays, l'Algérie, ne vous a pas attendu, monsieur Macron, pour traîner la France dans la fange.

Il forge l'histoire à sa guise, modifiant honteusement les chiffres comme pour les émeutes de Sétif, où sont annoncés 45.000 morts lors de la répression, alors que la réalité dénombre entre 1500 et 3000 victimes.

L’Algérie, avec à sa tête, les mêmes depuis 55 ans, trouve pratique de rejeter sur l'ancien colonisateur les maux du présent, comme pour s'exonérer de la gestion calamiteuse de ses dirigeants.

Ensuite, bravo! Vous vous êtes excusé et avez même regretté d'avoir blessé notre communauté!

En fait, je pense que tout cela était mûri et que c'est en conscience que vous avez tenu ces propos!

En tant que futur (probable) chef de l'état, si vos regrets sont sincères, c'est tout à votre honneur, mais il ne fallait, tout simplement, pas (nous) blesser pour formuler ensuite des excuses!

C'est trop facile après cela de venir discuter avec des Pieds-Noirs ou Harkis et de maintenir vos dires! Vous saviez parfaitement que ce serait insuffisant.

En rajoutant à Toulon « je vous ai compris » vous avez été loin, beaucoup trop loin...en réveillant la traîtrise du chef de l'état d'alors, Charles De Gaulle.

Il est sûr que le vote de notre communauté, Harkis compris, n'est pas homogène et en conséquence ne pèse pas assez ou moins que celui des Français d'origine Maghrébine. Nous en sommes conscients.

Je ne suis pas un stratège en matière politique, et loin de là, mais cette analyse n'est peut-être pas loin de la vérité que sais-je?

Vous avez fait, à mon avis, un grand faux pas.

Certains Pieds-Noirs ou Harkis, étaient prêts à voter pour vous car vous représentiez pour eux, la jeunesse et une nouvelle génération d'hommes politiques affranchis de certains archaïsmes.

Pour terminer, il semble que vous voulez, comme notre Président, réconcilier les mémoires. Mais vous le savez bien, l'Algérie ne le veut pas et en joue depuis 55 ans maintenant!

Ses demandes sont à sens unique. Ce pays ne veut que, et toujours plus, de visas pour ses ressortissants.

La réciprocité ne sera jamais appliquée par l'état algérien.

Cela a commencé dès le 19 mars 1962, jour où le non-respect des « Accords d' Évian » a débuté!

La réciprocité, mais quelle réciprocité, quand vous voyez que dans notre pays, une place porte le nom « Nadia Gendouze », infirmière, poétesse du FLN alors que cette personne était poseuse de bombes. C'est sa bombe qui, au Milk-bar à Alger, en 1956, a fait 3 morts et 50 blessés dont 12 amputés!

Alors, à quand en Algérie une place ou rue Marcel Bigeard ou général Massu? Cela indique que nous sommes uniquement dans la repentance!

De même, lorsque notre Président officialise la date du 19 mars 1962, alors que nous savons très bien, qu'il y a eu plus de morts après le cessez-le-feu qu'au cours de toute la guerre d'Algérie.

Je tenais à vous signifier que vos propos m'ont profondément choqué ainsi qu'un grand nombre de Pieds-Noirs et Harkis.

Monsieur Macron, sachez que les Français d’Algérie, Pieds Noirs et Harkis confondus ne sont pas que des Français de « papier ». Ils ont la France dans leurs cœurs et dans leurs tripes.

Regardez leurs manifestations, y avez-vous vu des drapeaux étrangers, que voyez-vous, les 3 couleurs de notre Patrie, le bleu, le blanc et le rouge.

« Soyez-en paix avec votre conscience »! Je vous le souhaite.

Un simple citoyen Français, Pieds-Noirs et fier de ses ancêtres, des Corses et des Alsaciens, vous savez, ceux qui ont libéré le pays en 1945 et qui étaient de toutes les guerres Françaises depuis 1830 avec nos frères Musulmans.

Bien à vous.

Guy du pays des Chaouias


 

Mon père était agriculteur à côté du village de Lutaud (7 km) qui se situait lui-même à 30 km de Batna. Notre ferme a été détruite au début de la fin.

Il a essayé de rester au village et d'aller travailler la journée mais, cela devenait de plus en plus risqué. Il est rentré dans les UT et lorsqu’elles ont été dissoutes en 59, il est rentré travailler à la S.A.S de Batna jusqu'à la fin. J'ai donc vécu le désarmement et ensuite l'abandon des Moghaznis dont la plupart ont été tués ainsi que leurs familles. Seules 3 ont réussi à regagner la France en passant par le Maroc. Je les ai retrouvées en 2005 à Rouen.

En rentrant, nous avons atterris par hasard à Corbeil Essonne car un oncle avait été muté au commissariat de cette ville. 18 dans 2 pièces cuisine en hiver, nous pouvions nous passer de chauffage. Puis nous avons acheté une ferme à côté de Bergerac vendues au prix fort, c'était par compassion pour ceux qui étaient venus libérer la France en 14/ 18 et en 39/ 45... 

De façon très brève, voilà une parcelle de vie d'un petit Pieds Noirs qui est fier de ses racines ainsi que de ses ancêtres Corses/ Grecs du côté de mon père et Corso/ Alsaciens du côté de ma mère.

Guy

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12 janvier 2017

ISLAM… RELIGION CONQUÉRANTE

Par José Castano

« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman  (...) je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès » (Alexis de Tocqueville).

            Ce qui caractérise le plus la religion islamique, c’est qu’elle considère avec la plus grande assurance qu’elle est la « Révélation » ultime, que sa « législation » est la meilleure à laquelle le monde est invité à se soumettre et toutes les occasions sont bonnes pour rappeler ces principes immuables…

            Or, depuis la fin de la guerre d’Algérie, dans la plus totale négligence –voire, indifférence-, nous sommes passés, subrepticement, d’une religion, l’islam, à un système totalitaire, l’islamisme. Et aujourd’hui, sous nos yeux ébahis, nous constatons avec effroi combien la haine de l’Occident (qui ne cesse de croître) ramène les arabes vers l’Islam, un Islam farouche, fanatique comme aux premiers âges…

            En 1968, Abdallah Ghochach, juge suprême du Royaume hachémite de Jordanie s’exprimait en ces termes : « Le Djihad a été légiféré afin de devenir un moyen de propagation de l’Islam. En conséquence, les non-musulmans doivent venir à l’Islam soit de leur plein gré, soit de force par la lutte et le Djihad… La guerre est la base des relations entre les musulmans et leurs adversaires. »

            Aujourd’hui, la haine de l’Occident ramène les arabes vers l’islam, un islam farouche, fanatique, comme aux premiers âges…

            Tous les pays arabo/africains « colonisés » ont lancé en leur temps la guerre au nom de la « démocratie », de la « liberté » et de « l’indépendance »…  Nous avons connu cela en Algérie… Les islamistes la prolongent dans cette croisade qui s’appelle le « djihad », que l’Occident aveuglé par l’obstination chrétienne, la conscience humaine et la morale éprouve encore quelque peine à percevoir. Mais on ne la livre plus au nom des Evangiles ou des Philosophies, on se bat pour de chimériques recettes de bonheur, des fictions dangereuses, des illusions puériles… quand ce n’est pas pour tirer profit du commerce de la drogue, de la contrebande, des pillages et des prises d’otages ou, encore, donner libre cours en toute impunité, à de vils pulsions barbares.

            Car la raison de tant de violence est bien là ! Sous couvert de « guerre sainte », c’est de banditisme qu’il s’agit en réalité ! On rackette, on pille, on enlève, on viole, on martyrise et on tue par plaisir, par sadisme, par intérêt, par profit, par ambition... Et cette bestialité n’a qu’un but : assouvir ses bas instincts et alimenter le trésor de guerre du crime organisé au nom de Dieu.

            Qu’ils s’identifient Talibans, Al-Qaïda, Aqmi, Shebab, Boko Haram, Hamas, Hezbollah, Etat islamique, on bourre leurs cartouchières de munitions, mais on leur donne aussi une musette gonflée de mensonges qui entretiennent leur colère. On incite les peuples à la haine en indiquant fallacieusement aux uns qu’ils se battent toujours pour les « mêmes misères » et aux autres que les temps sont venus de recommencer l’épopée. Et du Gange à l’Atlantique, l’Islam renoue des forces irrésistibles… Il faut préparer la grande fête de la guerre pour chasser les infidèles et, fusil au poing et bombes dans les valises (quand ce n’est pas sur eux), bâtir de nouveaux empires plus étonnants encore que ceux de la légende. Reviennent ainsi les terribles conditions humaines préconisées par la charia –la loi islamique-celles que nous avons déjà connues en Algérie : les hommes égorgés, décapités, émasculés, crucifiés, brûlés vifs ; les femmes violées, lapidées et vitriolées.

            Aujourd’hui, l’Islam est enfermé dans une étrange contradiction. Il est entré en guerre au nom d’on ne sait quelle soif de bonheur contre la seule partie du monde qui peut lui en offrir au moins un reflet : l’Occident. D’ailleurs, il ne trompe personne… C’est un faux prétexte ! Ce n’est pas de cela qu’il a soif… C’est de pouvoir !... C’est de puissance !... C’est de revanche !... Il garde à l’Occident une inépuisable rancune de l’avoir aidé à combler un retard dans lequel il s’est assoupi à un  moment capital de l’évolution de l’humanité. Et aveuglé par ce ressentiment, il ne voit pas qu’il ne peut attendre que de lui l’initiation qui lui permettra de refaire totalement ce retard, c’est-à-dire aidera les théologiens et les penseurs à rendre au message divin son véritable sens et sa véritable destination. Et cette rancune alimentée par les déclarations des chefs terroristes de tous bords qui appellent à la lutte armée, au djihad, les théories des révolutionnaires, les vaticinations mystiques des religieux –cette rancune là- se transforme en une haine monstrueuse et effrayante qui pousse jusqu’à une frénésie maladive les confuses nostalgies qui paralysent les peuples et les consument déjà. Ainsi, obsédés par la chimérique poursuite d’un rêve, ces peuples perdent jusqu’au sens de la liberté puisque l’anarchie qu’engendre leur intransigeance les met à la merci des « fous de Dieu ».

            Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici –comme hier, en Algérie- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Ce n’est pas de guerre –au sens conventionnel du terme qu’il s’agit- mais d’extermination ! De massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents. Les images qui représentent ces égorgements, ces décapitations, ces visages mutilés au couteau, ces corps déchiquetés, ces femmes vitriolées, lapidées après avoir été violées, reculent les limites assignées à l’horreur. Ni l’amour, ni les bienfaits ne suffiraient à vaincre ce fléau, car ces trésors prodigués pendant des mois, des années, seraient –comme hier, en Algérie- ramenés au néant par un seul cadavre abandonné la gorge ouverte au travers d’une piste ou pendu à l’entrée d’un village.

            Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ».

Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît généralement qu’à celui qui le craint.

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Les religions chrétiennes furent sanglantes et meurtrières en s’éloignant de leurs textes tandis que l’Islam le fut en se rapprochant des siens » (Eric Conan)

Cet article est extrait du livre : Terreur Islamiste » (214 pages)

Terreur islamique -José Castano

 

Que l’on peut se procurer auprès des Publications José CASTANO

BP 67 - 34250 PALAVAS LES FLOTS

Prix : 19 euros franco de port.

Règlement à la commande.

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Conférence sur « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par la Fédération Nationale des Rapatriés de GRENOBLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Dimanche 19 Mars 2017, à 11hprécise à l'Hôtel EUROPOLE, 29, rue Pierre Semard – 38000 GRENOBLE

- Entrée gratuite –

Un repas (sur place)-facultatif- suivra la conférence

Renseignement et inscription : FNR, Chez M. J.M. CANIE – 110, Cours Berriat - 38000 GRENOBLE - Tél: 06 80 58 43 50  ou  04 76 54 15 34

Pour la bonne organisation merci de répondre avant le 10 mars 2017

Prix du repas : 25 euros, tout compris

Menu

Apéritif : KIR et Feuilletés

Salade de saumon et crevettes

Quasi de veau sauce morilles

Gratin dauphinois légumes

Fromage blanc

Omelette norvégienne

Vin et café compris

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12 janvier 2017

ROGER HOLEINDRE - LA RECONCILIATION NATIONALE

LETTRE OUVERTE AUX FRANCAIS MUSULMANS

PDG LIVRE ROGER HOLEINDRE 

23,00€ - 376 pages

            Il y a péril en la demeure. Alors que des gosses nés chez nous, élevés chez nous, crachent aujourd’hui sur la France, l’auteur tend une main amicale à ses compatriotes musulmans en leur redisant que l’appartenance à la nation française n’est pas le communautarisme qui, à terme, conduit inévitablement à la guerre civile.

            C’est toute la raison de ce livre, d’empêcher qu’elle éclate. Écrit  avec  des  mots  qui  sonnent  comme  sonne  le tocsin quand l’ennemi est aux portes, ce livre de résistance et de reconquête est un avertissement à ceux qui savent lire : Français-musulmans, patriotes, toutes celles et ceux enfin, qui, dans une société qui avance sans carte ni boussole, pourraient recouvrer le Nord. La Réconciliation nationale, c’est le pari à relever que lance à la tête de notre pays malade, l’auteur de ce livre détonnant qui ne peut qu’emporter une vive adhésion des lecteurs. Roger  Holeindre

Roger Holleindre géant de la littérature patriotique, écrivain à la plume alerte et féconde, ancien grand reporter, ancien combattant de toutes les dernières guerres (Libération, Indochine, Algérie), Roger Holeindre dénonce avec vigueur une fois de plus tous les maux dont souffre la France.

           Homme de conviction, synonyme de courage, d’abnégation et de sacrifice devant les censeurs du politiquement correct hostiles à une France française, il égrène les vérités sans langue de bois. Roger Holeindre a été en 1944, l’un des plus jeunes Résistants de France. Parti en Indochine à 17 ans, il servit à la 1ère Division Navale d’Assaut, puis en 2ème séjour, au 5ème Bataillon de Commandos Parachutistes Coloniaux, puis en 3ème séjour, volontaire pour Diên-Bien-Phu au 7ème Bataillon de paras coloniaux...

           Volontaire pour l’Algérie, il servit au commando du 8ème Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine. Il est titulaire de la Médaille Militaire, de la Croix de Guerre TOE avec trois citations, de la Croix de la Valeur Militaire avec deux citations, d’une citation  exceptionnelle pour son action envers la jeunesse musulmane. Il a été blessé deux fois au combat.

À propos des Éditions APOPSIX

Les  Éditions APOPSIX ont pour vocation d'éditer des auteurs et publier des œuvres qui permettent de mieux comprendre notre Temps et d'imaginer ce que sera le monde demain.

BON DE COMMANDE 

Je  commande……exemplaire(s) numéroté du livre «La réconciliation nationale» de Roger Holeindre et le recevrai à l’adresse indiquée ci-dessous :

Nom……………………………………………………….… Prénom…………..……………………………………….…. Adresse d’expédition………………………..………………

……………………………………………………………… Code Postal……………..… Ville……….………………… Pays……………..…..…………………………………...… Tél…………………………Email……………….…………

Je règle par chèque ou mandat la somme de 26,50

(frais de port inclus) à l’ordre de : APOPSIX

APOPSIX édition 1, rue Lepilleur

93120 La Courneuve (France) editions@apopsix.fr -  www.apopsix.fr Siren / 817 655 236 00013 – APE / 5811Z

Entretien avec Roger Holeindre, ancien vice-président du FN publié le 11 avril 2017 par Daoud Boughezala rédacteur en chef de Causeur.

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