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9 janvier 2017

ALLEZ-VOUS VOUS TAIRE, ENFANTS DE POMME DE TERRE

UN ETE A LA CAMPAGNE

couverture 2

Nouveau roman témoignage de Geneviève HUGUES

Allez-vous vous taire, enfants de pomme de terre, un été à la campagne

Thème : Témoignage - Format : Roman (134x204) - 94 pages - Date de publication : 1 juin 2016

Format papier - ISBN : 9782334127677

Format PDF - ISNN : 9782334127684

Résumé

            1956. « Nous, les enfants », nous découvrions la campagne française verdoyante, encore imprégnée de ses coutumes ancestrales. S'agissait-il de simples vacances à « La Marjolaine », la villa enchanteresse, récemment acquise par nos grands-parents, face à la chaîne des Pyrénées ?
            Tout en essayant de respecter les leçons de bonne conduite transmises par « les parents » nous multiplions les espiègleries de nos âges entre moutons, vaches et grenouilles, tandis qu'un monstre derrière nous avançait progressivement, rongeant tout ce qui pouvait l'être. À travers le silence des « parents », nous ressentions l'angoisse indescriptible que cet animal diffusait en eux. Face à ce tabou si pesant… nommé à la légère « les événements d'Algérie », nous étions trop petits pour comprendre la souffrance des adultes…
Geneviève HUGUES est née en Algérie française en 1948. Elle a étudié au lycée d'Argelès-Gazost (Hautes-Pyrénées) puis aux Beaux-Arts d'Angoulême et de Paris. Elle est artiste-peintre, créatrice, poète et écrivain.

Vous pouvez vous procurer le nouveau livre de Geneviève HUGUES

Chez notre libraire préféré  /  Chez l'éditeur  /  Sur Amazon

Pour contacter l'auteur : genevievehugues48@orange.fr

Retour NOS LECTURES

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6 janvier 2017

MICHEL DEON

Par Michel DELENCLOS chercheur en histoire – Biographe

Un académicien «éclairé» sur la guerre d’Algérie.

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DEON Michel né le 04/08/1919 à Paris et décédé le 28/12/2016 à Galway (Irlande) d’une embolie pulmonaire.

Le 08.06.1978 : Michel Déon est élu à l’Académie française.

            Fils de Paul Déon, fonctionnaire, et de Alice de Fossey. Marié le 15.03.1963 à Chantal Renaudeau d’Arc. 2 enfants : Alice et Alexandre. Etudes au lycée J. de Sailly. De 1942 à 1956, il est journaliste à l’Action Française et, à «Marie-Claire. Secrétaire de rédaction de "l'Action française".

Le 22.06.2016

            Après avoir été récompensé du prix Clara Lanzi, décerné par «Le Secours de France, M. Déon rappelle ceci : «Au lendemain de la guerre de 40, comme je travaillais pour une agence de presse, en France, en Suisse et, aussi en Grande-Bretagne, je me suis intéressé à l’Algérie pour diverses raisons, mais aussi parce qu’elle me rappelait des souvenirs d’enfance. A cette époque, mon père possédait un très joli yacht et il m’emmenait souvent en Méditerranée. C’est ainsi que j’ai connu Alger et se sont tissés les premiers liens entre nous…Et quand, après la guerre, j’ai eu l’occasion d’y retourner, j’ai été totalement ébloui. Je savais que ce pays venait de souffrir terriblement de ce monstrueux conflit mais que ses habitants avaient gardé une grande fidélité à la France, qu’ils l’avaient, durant toute cette période, fidèlement servie, comme très peu ailleurs l’avaient servi, et qu’ils méritaient, à tout jamais, notre reconnaissance…». Romancier. Effectue en 1946, 1957 et 1958, des séjours en Algérie. Se recueille sur la dépouille de C. Maurras, décédé le 16.11.1952.

Le 22.07.1958 

            Le directeur littéraire de la Librairie Plon, Charles Orengo, adresse une lettre au général Raoul Salan l’invitant à accueillir M. Déon, «journaliste expérimenté, avec les qualités d’observation et d’analyse. ». Favorable à l'OAS.

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En mai 1959 : publication aux Ed. Plon de ce livre de M. Déon.

            M. Déon est allé partout en Algérie, il a voulu voir et comprendre. Il a découvert le vrai visage de cette guerre sourde. Il en a démonté attentivement tous les mécanismes. Ce livre qu’il a rapporté de ce voyage est une analyse magistrale de la lutte menée par le «FLN» et de la riposte qu’a inventée l’armée française, sortie métamorphosée de cette guerre. La «pacification», c’est un mot qui a fait sourire beaucoup de pacifistes justement, et pourtant ce mot a un contenu révolutionnaire et, il traduit une véritable reconquête de l’Algérie «par le cœur». Cela, M. Déon nous le montre en nous restituant une Algérie et non imaginaire où notre armée a découvert une doctrine et une intelligence nouvelles. Sans doute, l’action qui nous est exposée ici n’est pas menée par des hommes parfaits : qui songerait à le croire ? Mais la pacification aussi fragile soit-elle et même chargée d’électricité, peut permettre à la France de renverser l’inquiétant «sens de l’histoire» et, ce faisant, délivrer le monde libre du terrible complexe qui pèse sur son destin.

            Signataire du "MIF200" (°) le 07.10.1960. En 1961, collabore à la "Table ronde". Témoin en faveur J. Perret à son procès. Réclame la grâce du colonel Jean Bastien-Thiry et, au lendemain de sa mort écrit: "Il n'avait qu'à moins parler» a dit le colonel-juge Reboul. Le colonel-juge a obtenu satisfaction: l'accusé Bastien-Thiry ne parlera plus du tout. Sa voix s'est tue à jamais. Il nous a laissé son testament, une déclaration longue et précise comme la démonstration d'un théorème. Ces pages ont gardé un accent rauque. La mort les place très haut au-dessus de ce que nous avions cru, même dans notre foi naïve.  Un seul homme s'est levé pour tous. Pour tous, il a payé. Nous n'avons plus que des devoirs à l'égard de sa mémoire. Après l'oraison nécessaire, le chemin semble plus droit, plus juste et l'espérance plus enracinée que jamais.".  Membre du Comité C. Maurras, créé à Paris à l'occasion du centenaire de la naissance de l'écrivain. En 1970, M. Déon obtient le prix interallié.

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Le 07.04.1972 Publication de son livre «Les poneys sauvages», aux Ed. Gallimard.

Dans ce livre, M. Déon traite notamment de la rencontre, à l’Elysée, de De Gaulle et de Si Salah responsable de l’ALN.

Cet ouvrage obtient le Prix Interallié.

En 1973, il obtient le Grand prix de l'académie française. Le 06.06.1978, est élu à l'Académie française au siège de Jean Rostand. Est membre du Comité de patronage de l'association des amis d'H. Béraud. En 1993, il est membre associé de l’Académie des sciences du Portugal, section lettres. Le 27.09.1997, en sa présence notamment, a lieu la remise des clés de la maison de C. Maurras à la ville de Martigues, lors d'une cérémonie officielle. Signataire de l'Appel "Justice pour les harkis", le 23.12.1997.

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Le 30.09.2009 Publication aux Ed. ECPAD A. Michel de «La guerre d’Algérie.» signé de Patrick Buisson

et préfacé par M. Déon. Ouvrage riche en documents. Cependant, entre les préjugés de tous bords

et les passions encore actives, la confrontation est encore active, face à l’Histoire.

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Le 22.06.2016 A gauche, le président du «Secours de France», Jean-Marie Schmitz,

à l’occasion de la remise du Prix Clara Lanzi, à Michel Déon. (Phot : B. Coll)

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Le 22.06.2016 Lors de la remise de ce Prix Clara Lanzi, Bernard Zeller évoque la lettre adressée le 22.07.1958

par l’éditeur de chez Plon, au général Raoul Salan.

De gauche à droite : J-M. Schmitz, Bernard Zeller, Chantal et Michel Déon. (Photo : B. Coll).

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lettre du 22.07.1958, signée de Charles Orengo, directeur littéraire chez Plon, remise à Michel Déon,

à l’attention du général Raoul Salan.

            Le 22.06.2016, il est honoré du Prix Clara Lanzi décerné par le Secours de France. Son président, Jean-Marie Schmitz, accueille M. Déon : «C’est un honneur et une joie personnelle de vous remettre ce soir le prix Clara Lanzi du Secours de France, du nom de celle qui l’a créé le 15.08.1961, il y a près de 55 ans, pour venir en aide aux familles de «soldats perdus», emprisonnés ou en fuite…

            Sur la parole solennelle du chef de l’Etat –«La France considère qu’il n’y a en Algérie qu’une seule catégorie d’habitants, des Français à part entière »- ces militaires s’étaient engagés pour gagner le cœur de la population algérienne et lui avaient fait le serment de ne jamais l’abandonner au «FLN». Constatant que la politique menée conduisait à cet abandon, ils s’étaient rebellés et ils avaient perdu. L’exode tragique qui marqua la fin de l’Algérie française conduisit le Secours de France à porter ensuite massivement assistance à ceux qui arrivaient en métropole dans un dénuement aussi grand que leur chagrin, et tout particulièrement à nos frères d’armes Harkis, qui n’y disposaient pas de réseaux familiaux ou amicaux pour les accueillir… ».

            Le 02.07.2016, M. Déon adresse un mot au président du «Secours de France», Jean-Marie Schmitz : «Chers amis, J’ai bien honte de vous dire, si tardivement, à la fois mon émotion et mes remerciements pour votre généreux et superbe accueil à Paris, mais ma santé m’a trahi après cette belle fête si émouvante. Je ne vous dirai jamais assez ma gratitude. Depuis cette belle soirée repassent dans ma vieille tête les souvenirs que nous avons évoqués, les grandes tristesses de l’abandon forcé de nos espoirs, mais quel bonheur aussi de découvrir qu’une flamme brûle toujours et sera sauvée pour nos descendants grâce à une poignée d’irréductibles. L’Histoire de notre cher pays est emée de ces désastres et de ces remontées au grand jour que j’espère encore. Merci encore de cet accueil que je noublierai pas dans le court espace de temps qui me reste encore à parcourir. Vôtre. Michel Déon. ».

            Le 01.12.2001, M. Déon témoigne dans "Le livre blanc collectif de l'armée française en Algérie". Dans ce livre, 521 officiers généraux ayant servi en Algérie témoignent.

            Le 24.06.2016, il est lauréat du Prix Clara Lanzi, décerné par l’association «Secours de France».

* Commandeur de la Légion d’honneur Officier des Arts et des Lettres. Grand prix Jean Giono pour l’ensemble de son œuvre.

Michel Déon revient, pour TV Libertés, sur les grands moments de sa vie. Il nous livre également ses impressions sur la littérature contemporaine et son opinion sur la démocratie, la république et les droits de l’Homme

(°)  Manifeste des Intellectuels Français pour la résistance à l’abandon: est publié le 07.10.1960 dans «Le Figaro» et dans «Le Monde» puis le 12.10.1960 dans l’hebdomadaire «Carrefour». En marge du «Manifeste des 121» publié le 06.09.1960, plus de 300 signataires en définitive condamnent les apologistes de l’insoumission et de la désertion. En effet, le «Manifeste des 121» titre : «Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie. ». Parmi les signataires : Simone de Beauvoir, Marguerite Duras, André Mandouze, François Maspero, Marcel Péju, Françoise Sagan, Jean-Paul Sartre, etc. Nombreux sont ceux qui, dans cette liste, ont soutenu les terroristes du «FLN» en France (hébergement, transport, porteurs de valises et d’armes) puis, répondront aux invitations des dictateurs russes, castristes, chinois, etc, tous frais payés. 

.Auteur de "La carotte et le bâton", Ed. Plon, 1960. De A. de Benoist «Bibliographie», 2004. «Valeurs actuelles» n° 3804 du 28.10.2009-

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DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.Auteur de «19 mars 1962 ? Waterloo ! » - Prix d’Histoire..préfacé par l’historien Maurice Faivre.

Retour "IN MEMORIAM"

2 janvier 2017

L’ALGÉRIE UNE BOMBE A RETARDEMENT

Inquiétant et étonnant communiqué de presse du "The Spectator (journal Anglais)!

            « L’Occident… ne peut que subir. S’il y a une explosion de l’Algérie, le Maroc et la Tunisie seront déstabilisés. L’Europe sera confrontée à un mouvement de masse qu’elle ne pourra maîtriser. Le problème de Calais paraîtra bien minuscule en comparaison »

L’Algérie, une bombe à retardement pour la France et l’Europe. Comment l’Algérie pourrait détruire l’Europe, titre “The Spectator”.

            Si les prédictions de ce journal britannique se révèlent exactes, l’invasion migratoire que les Allemands ont connue en 2015, en accueillant 1 million de réfugiés, sera une broutille à côté du gigantesque tsunami que la France pourrait subir dès 2017.

            En effet, ce magazine, persuadé que la disparition de Bouteflika, 79 ans et gravement malade, entraînera un chaos généralisé dans tout le pays, envisage que les islamistes tenteront de prendre une nouvelle fois le pouvoir, après la sanglante guerre civile des années 1990 qui fit 150 000 morts.

            Il faut savoir que pour des raisons de la plus haute importance  le Président Algérien se fait soigner et suivre régulièrement en FRANCE  à  GRENOBLE à la Clinique Mutualiste par d'éminents professeurs reconnus dans toute l'Europe car celui-ci craint pour sa vie   en particulier par des groupes Islamistes en cas d'hospitalisation dans son propre Pays.

            L’Algérie est au bord de l’implosion. Incapable d’assumer son indépendance depuis 1962, elle a dilapidé l’héritage colonial, alors que son agriculture, ses infrastructures, son pétrole et son gaz, légués par la France, en faisaient le pays le plus moderne et le plus riche du continent africain avec l’Afrique du Sud.

            Hélas, divisions, rivalités claniques, corruption et incompétence, ont ruiné le pays. Le chômage des jeunes dépasse les 30% et le niveau de vie baisse régulièrement avec une population qui a quintuplé depuis l’indépendance.

            Tel est le bilan des prédateurs du FLN, aux commandes depuis plus d’un demi-siècle ! L’Algérie ne survit que par la rente pétrolière, qui représente 98% des exportations, 30% de son PIB et 60% des recettes budgétaires. Avec l’effondrement des cours du brut, le gouvernement puise dans ses réserves financières qui fondent comme neige au soleil.

            Une nouvelle explosion sociale comme dans les années 1980 est probable en 2017. Toutes les mises en garde du FMI, qui réclame des réformes structurelles, sont restées lettre morte. Le régime continue de se reposer sur la seule rente pétrolière.

            Les islamistes attendent leur heure. Avec le chaos libyen, ce sont d’énormes quantités d’armes et de munitions en provenance du pays voisin, qui circulent dans la clandestinité.

            De leur côté, les généraux guettent la fin de Bouteflika. Un coup d’État militaire est inévitable, selon le renseignement extérieur israélien. Ce coup de force mettrait tout le monde d’accord, tant les prétendants et les rivalités sont nombreux. Mais il n’empêcherait pas une seconde guerre civile contre les islamistes.

« The Spectator » écrit :

            "Une guerre civile algérienne créerait un grand nombre de réfugiés. Un analyste a dit attendre 10 à 15 millions de réfugiés à partir de l’Algérie. Compte tenu de l’histoire de ce pays, ils s’attendraient à être sauvés par une nation : la France…”

“Français, vous n’avez encore rien vu,  le pire viendra  bientôt !

Source "THE SPECTATOR" de décembre 2016

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Voir aussi RL

Retour libres propos citoyens

22 décembre 2016

COMMUNIQUÉ DES "COMITÉS JEANNE"

Sachant que le meeting du 21 janvier sera occulté par nos médias il faut savoir que les « Comités Jeanne » proposent

Un banquet patriotique

Salle des Expositions (Salle Bleue) - Rue De L'abbé Brocardi – 34250 PALAVAS LES FLOTS

(Face aux arènes – parkings)

Jeanne 2017

 De nombreuses personnalités sont annoncées…

            Adresser réservation et règlement à : Comité Jeanne – Stephane GOEPFERT – 42, rue de la Méditerranée - 34070 MONTPELLIER –

Tel. 06.74.88.96.10 ou 06.81.80.21.01 - Courriel : comitejeanne34@gmail

            Réservation et règlement peuvent également s’effectuer en cliquant dans la fenêtre « RESERVER » de ce lien : http://jeanneausecours.com/reservations.html (Règlement par Paypal). La réservation se fera automatiquement.

1)    Concernant les personnes résidant dans les départements 06 – 83 – 13, des cars seront affrétés. Prendre contact avec Didier MONIN, tel. 06.82.57.49.50 - Email : topsecretariat@bbox.fr

2)    Cliquez sur : Voir tous les hôtels de Palavas-les-Flots 

A Revoir : LE "DÉTAIL", LA TOURMENTE ET LA DISGRÂCE

 Retour "Tous les Communiqués"

18 décembre 2016

LES TÉMOINS DE L’HONNEUR

Par José Castano

« La France n’est plus que silence. Elle est perdue quelque part dans la nuit, tous feux éteints, comme un navire. Sa conscience et sa vie spirituelle se sont ramassées dans son  épaisseur » (Antoine de Saint-Exupéry)

            Suite à un article rédigé en 2010 sur les massacres du 5 juillet 1962 survenus à ORAN, j’ai reçu récemment le témoignage d’un algérien (âgé de 9 ans à cette époque) qui éprouvait le besoin -54 ans après cette tragédie- de l’évoquer afin de l’exorciser. Ce témoignage a entraîné aussitôt celui d’un militaire du contingent qui, en 1964 (2 ans après la fin de la guerre) a été confronté –au contact de deux jeunes femmes européennes- au douloureux problème des « disparus » de 1962.

            Et quand on pense que bon nombre de nos concitoyens nous ont traités de « menteurs » quand nous tentions d’en parler !... Quelle tristesse !... et quelle honte pour ces « moralistes  à la conscience pure ! »

            Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ».

           Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est  parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît généralement qu’à celui qui le craint.

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr


De : Akmar Z [mailto:akmarz@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 15 décembre 2016 23:22
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : Bonsoir

Monsieur Joseph, votre présentation des faits dramatiques de cette journée est terrible..Oui je devais avoir 9 ans (je suis né en 1953)  Assis sur le trottoir, j'ai vu défiler des voitures à vive allure avec des européens qui hurlaient dedans..je comprenais qu'on les emmenait vers le petit lac pour les égorger..Mais l'image qui est gravée en moi et restera gravée jusqu'à la fin de mes jours est l'image de la peugeot 403 qui s'est arrêtée devant l'épicerie de M;Romboni..3 hommes en sont sortis et se sont engouffrés dans cette épicerie.....ils ont traîné M.Romboni dehors ...l'un des 3 hommes brandissait une oreille sanglante ;;;il venait de l'arracher  avec une lame. sous les you you des femmes

Je ne pourrai JAMAIS oublié cette scène et chaque fois que j'y pense je ne peux retenir mes larmes Pourtant je n'avais que 9 ans,;j en ai 63 aujourd'hui. Je n'ai pas assisté aux événements que vous relatez mais je les imagine

Cordialement


 

De : Akmar Z [mailto:akmarz@yahoo.fr]
Envoyé : jeudi 15 décembre 2016 23:26
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : re

J'ai oublié de vous dire que je ne suis pas pied-noir ..je suis marocain natif d'oran quartier Victor Hugo. Nous sommes rentrés au maroc directement après l'indépendance (1963) pour habiter Oujda


 

De : Jacques AYGALENQ [mailto:egalun@orange.fr]
Envoyé : dimanche 18 décembre 2016 13:25
À : joseph.castano0508@orange.fr
Objet : re

            En 1964 j'ai passé plus de 3 mois embarqué sur un patrouilleur côtier à Mers el Kébir, base navale d'Oran. Dans un esprit de réconciliation on nous proposait sous forme de volontariat des petits voyages « découvertes » dans l'intérieur des terres. C'est ainsi que j'ai connu par exemple le merveilleux site de Tipasa cher á Albert Camus... Or un jour, lors d'un dernier arrêt dans un élevage d'huîtres sur la côte, lors du commentaire du conférencier, 2 femmes jeunes européennes, ont discrètement demandé à un marin du groupe si on pouvait les embarquer avec nous. Elles étaient accompagnées d'un groupe de 3 ou 4 hommes algériens qui,  nous l'avons espéré n'ont pas remarqué leur manège.

Le lieutenant nous accompagnant nous a vite fait remonter dans le car, les engagés de longue date qui faisaient partie de notre groupe commençant á s'agiter… 

Nous étions encore à une heure de route de la base, en tenue de sortie, sans armes, nous ne pouvions rien faire, rien !

Je reverrai toujours le regard de l'une d'elles qui nous suivait des yeux alors que nous repartions avec nos beaux uniformes BBR…

Cette histoire que j'écris, je ne peux la dire sans m'arrêter dans un sanglot !

Jacques Aygalenq matelot 05638322


Et pour ceux qui auraient quelques problèmes de mémoire concernant la tragédie des disparus d'Algérie, je leur conseille vivement de relire l'article rédigé le 14 janvier 2009 - LES DISPARUS D'ALGERIE –

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«  TERREUR ISLAMISTE »

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Conférence sur « L’ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par l’Association Culturelle des Français d’Algérie de MARSEILLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Vendredi 27Janvier 2017, à 11h,  au  Yachting Club de la Pointe Rouge - Port de la Pointe Rouge – 13000 MARSEILLE - Entrée gratuite – Parking -

Un repas (sur place) suivra la conférence

Renseignement et inscription : Andre MOLINES – Tel. 06 22 73 04 05 - 04 86 77 35 14

Courriel : daniellemolines@laposte.net

(Inscription repas, impérativement 3 jours avant)

Venir au YCPR : En métro / bus :

Prendre la ligne 2 du métro jusqu'à la station « Métro rond point du Prado »

Puis prendre le bus N°19 jusqu'à l'arrêt « Pointe Rouge »

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9 décembre 2016

ÉCOLE CATHOLIQUE ROYALE MILITAIRE DE SORÈZE

ET L’ALGÉRIE FRANÇAISE. (Part 1)

DE L’ALGÉRIE FRANÇAISE A L’ÉCOLE CATHOLIQUE ROYALE ET MILITAIRE DE SORÈZE JUSQU’AU MÉMORIAL DE ND D’AFRIQUE DE THÉOULE/MER

Cour des Rouge de l’Abbaye-école de Sorèze érigée au pied de la Montagne Noire près de la rivière du Sor © Donatien Rousseau

Cour des Rouge de l’Abbaye-école de Sorèze -Montagne Noire près de la rivière du Sor (© Donatien Rousseau)

 

            L'École de Sorèze fut l'École de Louis Auguste Victor de Ghaisne de Bourmont de 1787 à 1790. Nommé par le Roi de France, général en chef du corps expéditionnaire contre la régence d'Alger et dont il avait conçu et préparé le projet, il débarque sur le sol algérien le 14 juin 1830, accompagné de ses quatre fils. L'armée aborde à Sidi-Ferruch, livre les 19 et 24 juin les deux batailles de Staoueli, et fait capituler Alger le 5 juillet. Il doit à ces évènements de n'être pas impliqué dans le procès des ministres après la Révolution de Juillet. Pour ce fait d'armes, Charles X envoie à Bourmont le bâton de maréchal de France, mais cette distinction ne le console pas de la perte de son deuxième fils, Amédée, lors de la 2e bataille près de Sidi Khalef.

            Avant que l'avenir de la Régence ne soit fixé, Bourmont va de l'avant, pousse jusqu'à Blida, fait occuper Bône et Oran dans la première quinzaine d'août. Le 11 août, le nouveau ministre de la guerre, le général Gérard lui communique officiellement la nouvelle de la Révolution de juillet.

            Le maréchal de Bourmont, ayant refusé de le reconnaître et de prêter serment au nouveau roi Louis-Philippe, fut considéré comme démissionnaire et remplacé le 3 septembre, par le général Clauzel. Là aussi, sa fidélité à Charles X et aux « Bourbons » l'oblige à l'exil. Il montre toujours, à bientôt 60 ans, son attachement à une cause qu'il croit juste.

            Le 3 septembre, le commandant Duperré lui ayant refusé un bâtiment français, Bourmont affrète à ses frais le brick autrichien l’Amatissimo et s'y embarque avec ses fils et « son seul trésor » : le cœur d'Amédée, mort au champ d'honneur. Puis, il fait voile en direction de l'Angleterre, afin de se joindre à l'exil de Charles X, qui l'accueil avec effusion.

            En 1832, il se retire en Italie et conspire avec la duchesse de Berry, belle-fille de l'ancien roi, en tentant de ranimer la guerre de Vendée afin d'établir sur le trône de France Henri V, duc de Bordeaux, fils de cette dernière.

            En 1985, alors que j'étais le secrétaire général de la Fédération pour l'Unité des Réfugiés et des Rapatriés (F.U.R.R.), association nationale fondée par Jo Ortiz, le Prince Alphonse II, Jo Ortiz et Alexandre de Marenches me demandèrent d'accepter cette charge d'Intendant Général.

            Curieusement, Jo et le Comte de Marenches, ancien patron du S.D.E.C.E. et conseiller de Saddam Hussein, sont morts la même année en 1995. Le Prince Alphonse II et André Charles Blanc sont décédés dans des circonstances mystérieuses qu'il conviendrait d'éclaircir s'il existe, un jour, une volonté politique pour ce faire.

            L'École de Sorèze était jumelée au 8ème RPIMA de Castres et au 4ème Étranger de Castelnaudary. Je fus le Président du Cercle Alphonse II créé à Sorèze, 13 Rue du Maquis dans une maison qui était une ancienne boulangerie appartenant à la famille Teste. Des souvenirs capétiens abrités dans une boulangerie, ce n'était pas commun surtout en mémoire du boulanger, de la boulangère et du petit mitron.

            Nous avons lutté contre la fermeture de l'École, de cette École qui appartenait au patrimoine national, fondée par la volonté de Pépin le Bref et construite par les moines bénédictins de l'Abbaye de Saint Maur à partir de l'An 800.

            J'avais cofondé en 1973, avec Maurice Calmein et quelques autres camarades, le Cercle Algérianiste. Un Cercle Algérianiste local fut fondé à Sorèze dont Jo Ortiz et Charles André Blanc furent membres d'honneur. L'École étant le ferment la Guerre de Vendée et l'une des places fortes de la Résistance à l'abandon de l'Algérie, nous avions pensé ériger, là, un  monument à la gloire de Notre Dame d'Afrique. Bon nombre d'officiers du Maréchal de Bourmont étaient sortis des rangs de cette École pour prendre, plus tard, des responsabilités au titre de la conquête de l'Algérie.

            Mais bien des sous-officiers et officiers, qui furent les acteurs de la révolte militaire de 1961 à 1962, avaient fréquenté Sorèze d'une manière ou d'une autre. Si je fus l'Intendant Général de l'École, au même moment fut nommé, comme aumônier de l'École, l'Abbé Denis Le Pivain, sur l'intervention du directeur pédagogique de l'époque, mon ami Jacques Fabre de Massaguel, fervent partisan de l'Algérie française, ancien combattant d'Algérie.

            Les noms des capitaines Le Pivain et Villard, tous deux assassinés en Algérie, dans les conditions que vous connaissez, devenaient un symbole supplémentaire. Mais la fermeture de l'École qui s'annonçait, sonna le glas de cette initiative.

            Nous avons résisté jusqu'au bout. Les élèves de l'École qui étaient en uniformes et en armes provoquèrent même un putsch à l'intérieur de l'École en 1992, rejoignant leurs ainés dans une dernière manifestation de courage patriotique.

            Si nous devons garder en mémoire les noms de Jo et de Charles André, nous devons y associer ceux du Prince Alphonse II et d'Alexandre de Marenches (Porthos) qui nous aidèrent, à l'époque, à porter le projet mais il y en eu d'autres.

            La famille du Prince Alphonse II honorait l'École chaque année, car chaque année, depuis Louis XVI, un membre de cette famille au moins était élève de l'École. En 1987, dans le cadre des manifestations en faveur du Millénaire Capétien, le Prince vint à Sorèze. Il accepta que sa garde d'honneur fût composée uniquement par des anciens commandos de l'Air qui avaient effectué leur temps militaire en Algérie. Ils étaient commandés par le Lieutenant Delhomme. Lorsque le Prince sortit de l'Église, nous étions quatre à l'entourer en uniforme : le lieutenant Delhomme, le porte-drapeau de l'association, Vincent Baillaud et moi-même.

            Le Comte Alexandre de Marenches, ancien patron du S.D.E.C.E. visitait l'École depuis 1966, date à laquelle son fils secret, Henri Anselme, fut accepté comme élève, jusqu'en 1969. L'Association des Anciens Membres des Services Secrets de la Défense Nationale à laquelle j'appartiens continua à visiter l'École jusqu'à sa fermeture. André Charles Blanc avait confié son fils, Emmanuel, à l'École.

            Nous avons essayé de sauver ce qui pouvait l'être, luttant contre la volonté destructrice de l'État à l'époque et de certains administrateurs qui désiraient réaliser une excellente opération financière en transformant la vieille maison de tradition en un complexe moderne d'hostellerie et de restauration.

            De 1985 à 1993 aux côtés d’André Charles Blanc (qui fut administrateur de cette École) et en tant que dernier Intendant Général de L'École Catholique Royale et Militaire de Sorèze (12 siècles d'existence), je fus aux côtés de Jo Ortiz (en tant que Secrétaire National de la F.U.R.R.).

            Les plans du mémorial étaient prêts, les travaux commencèrent à Théoule... Charles André Blanc et moi, nous faisions des aller et retour sur Paris et sur Toulon pour secouer les initiatives nationales. Sorèze ferma lorsque les travaux commencèrent à Théoule.

            Une page se tournait, une autre s'ouvrait. L'histoire secrète de cette stèle reste à écrire. Ce secret et cette détermination sont de la volonté exclusive de Jo Orthiz.

Ce combat nous a usés, Charles André Blanc aujourd’hui disparu qui fut l’un des derniers membres du Conseil d’ Administration de ce vénérable établissement et moi-même.

            L'Histoire est plus compliquée qu'elle ne paraît.

            Les raccourcis sont tellement plus faciles...     (A suivre)

Jacques Villard. (Dernier Intendant Général de l'École Catholique Royale et Militaire de Sorèze)

 

Les grandes dates de l'Abbaye et de l'Ecole

 

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7 décembre 2016

LES TROIS ASSOCIATIONS PATRIOTIQUES

présidées par des soldats de grande valeur

REJOIGNEZ-LES !

1

« La puissance militaire remporte des victoires ; la force morale remporte les guerres » (Général US Georges MARSHALL)

 


1) Volontaires Pour la France

2

Président : Général Antoine MARTINEZ

Les Volontaires Pour la France ne sont pas des professionnels mais des françaises et des français conscients des dangers qui menacent notre pays.

La lettre des Volontaires


2) Cercle de Citoyens-Patriotes

Président : Général Christian PIQUEMAL

« Nous sommes ce que vous fûtes, nous serons ce que vous êtes »

AGO 2016 LES VIDEOS

Contacts


3) Cercle national des Combattants

Président : Roger HOLEINDRE

« Fiers, aujourd’hui, de servir encore une fois la France »

38, rue des Entrepreneurs – 75015 PARIS – Tel : 01.40.59.07.66

cerclenationalcombattants@orange.fr


Conférence sur « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

            Organisée par l’Association Culturelle des Français d’Algérie de MARSEILLE, cette conférence sera donnée par José CASTANO, Vendredi 27 Janvier 2017, à 11h,  au  Yachting Club de la Pointe Rouge - Port de la Pointe Rouge – 13000 MARSEILLE - Entrée gratuite – Parking -

Un repas (sur place) suivra la conférence

Renseignement et inscription : Andre MOLINES – Tel. 06 22 73 04 05 - 04 86 77 35 14

Courriel : daniellemolines@laposte.net

(Inscription repas, impérativement 3 jours avant)

Venir au YCPR : En métro / bus : Prendre la ligne 2 du métro jusqu'à la station « Métro rond point du Prado » Puis prendre le bus N°19 jusqu'à l'arrêt « Pointe Rouge »


voir «  TERREUR ISLAMISTE »

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6 décembre 2016

5 DECEMBRE 2016

 

Défilé des 1000 drapeaux à Paris pour les 100.000 morts en AFN.

Voir le blog

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Par Georges Viéville

MARSEILLE

Monument aux morts d’Orient – Corniche Kennedy- 5 décembre 2016. Hommage National aux Morts pour la France en A.F.N.

Quelques photos de nos amis de :

Maison des Rapatriés - Association des Oraniens des B.d.R. – Association des Algérois de Provence – Cercle Algérianiste de Marseille - ANFANOMA.

En présence des Autorités civiles avec Guy Tessier, Valérie Boyer et représentante du Préfet et divers.

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Retour commémorations

 

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18 novembre 2016

LE CAMP DE SAINT MAURICE L'ARDOISE

Rassemblement Harkis au camp de Saint Maurice l'ardoise le 18 03 2017

Par Mr Hocine Louanchi, coordinateur du rassemblement militant de la cause harki depuis 1975

CAMP DE HARKIS DE LASCOURS LAUDUN 30

CAMP DE HARKIS DE LASCOURS LAUDUN 30 - 1962 1970
plusieurs  logements par bâtiment moins 35 mètres carrés par famille PHOTO Rachid Kherroubi

Hocine Louanchi porte-parole du Collectif National Harkis

Retour "Harkis"

17 novembre 2016

RÉPONDEZ, MONSIEUR DUPONT !

Par José Castano

« La tolérance est la vertu du faible » (Marquis de Sade).

            Lors de la commémoration nationale qui eut lieu le 13 novembre 2016 devant les divers sites où les barbares islamistes ont frappé, la bêtise humaine s’est exprimée ce jour-là en la personne de Michael Dias, fils du Portugais Manuel Dias, tué devant le Stade de France un an auparavant.

            Dans le seul discours prononcé durant tout l’hommage –ce qui laisse supposer qu’il avait soigneusement été sélectionné- ce « fils humaniste » choisit de faire l’apologie de la tolérance et de l’intégration en déclarant : « Nous devons nous efforcer de combattre la stigmatisation et la division ; l’intégration est la solution » avant de conclurepar un vibrant : « Vive la tolérance ! »… négligeant ainsi cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante ».

            Au moment où sur tout le territoire national les cœurs battaient à l’unisson en mémoire des 130 morts et des 400 blessés de cette tragédie, cet hymne à la tolérance est apparu quelque peu déplacé… voire, outrancier.

            Jean Rostand disait « qu’il est dans la tolérance un degré qui confine à l’injure ». Ce 13 novembre 2016, Michael Dias, par excès de zèle ou par souci de s’attirer les bonnes grâces du « politiquement correct », a injurié sans le moindre état d’âme des centaines de familles recluses dans leur douleur et leur souvenir.

            …Depuis la guerre d’Indochine, les drapeaux français n’ont eu de cesse de s’incliner devant ceux de l’ennemi. D’abandon en abandon, de largesse en munificence, de discours en référendums, la France est arrivée, aujourd’hui, aux concessions suprêmes : à l’abdication de sa volonté, de son prestige, de sa force, de sa dignité… à la fin !

            Voir une police qui se fait régulièrement « karchériser » par une racaille plutôt sympathique dès lors que le Ministre de l’Intérieur la qualifie de « sauvageonne »… Voir une unité prestigieuse de Légion étrangère privée de défiler un 11 Novembre sous la menace de… 13 activistes gauchistes et rebrousser chemin sur ordre de chefs indignes et de pleutres représentants de l’État

(Le 11 novembre 2016 la 13e demi brigade de la légion étrangère privée de défilé à cause de 13 activistes),un constat, dès lors, s’impose : la France a perdu la notion même de l’honneur !

            Revivre les instants tragiques du 13 novembre 2015 et du 14 juillet 2016, cela est bouleversant, cela est atroce… Faire en de pareilles circonstances l’apologie de la tolérance et du vivre ensemble, cela est scandaleux, cela est insupportable…  Voir des policiers s’enflammer dans leur véhicule, cela est ignoble, cela est révoltant… Assister au spectacle d’une armée en déroute face à une bande de malfrats, cela est humiliant, cela est désespérant. Et pourtant, cela n’est peut-être pas le pire. Il y a l’âme française qui « en a pris un coup »… Il y a la conscience française qui gémit et se révolte… Car tout cela, depuis un demi-siècle, nous l’avons voulu, nous l’avons accepté ou nous l’avons toléré.

            Par infantilisme politique, par perversion de l’esprit, par démission du cœur, par indifférence ou par égoïsme, par aveuglément ou par lâcheté, par esprit grégaire ou par goût du confort, nous sommes tous, Français, peu ou prou, responsables de ces crimes, de ces méfaits, de cette situation : la mise à mort de la France. On a livré à la racaille et aux hordes barbares ce territoire, et nous n’avons rien dit. On a assassiné ces pauvres gens, et nous n’avons rien fait. On assiste à la destruction de nos forces armées et de police, et nous observons, impassibles. Et notre âme en est déchirée. Toute la France est-elle en état de haute trahison ? Toute la France est-elle coupable de non-assistance à ses concitoyens en danger de mort ? À vous de répondre, Monsieur Dupont !

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

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