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17 mars 2022

19 MARS. LA COMMÉMORATION DE LA HONTE

« La mémoire n'est pas seulement un devoir, c'est aussi une quête » (Commandant Hélie de Saint-Marc - " Les champs de braises ")

Par José Castano

          Dans quelques jours, les ennemis de la France commémoreront dans la honte et le déshonneur, les « accords d’Évian » du 19 mars 1962. Pour eux, cette date funeste représente la « victoire » du FLN -leur allié d’alors- sur « l’odieux colonialiste » … sans la moindre pensée pour ces milliers de jeunes soldats, d’Européens et de Musulmans assassinés tout au long de ces huit années de guerre.

 « Je consens que mon frère est mort ; c’est la loi commune. Ce qui me révolte, c’est l’arrogance de ses assassins » écrivait Christopher Marlowe, dans « Edouard II ». Ce qui me révolte, c’est cette arrogance despotique qu’affiche depuis 60 ans ce milieu gauchisant représentant l’anti-France, pour qui la colonisation française ne fut qu’« agression » et « souffrance » envers les « pauvres Musulmans marchant à coups de trique » (sic). C’est proprement odieux !

          Alors que les meilleurs soldats que la France n’ait jamais eus tombaient chaque jour dans cette sordide guerre et au moment même où leur sacrifice lui permettait de relever la tête et d’émerger d’une longue série de défaites, cette intelligentsia gauchiste -qui de tout temps a pris le parti de l’étranger- n’eut de cesse de soutenir la cause des écorcheurs du FLN. Ce sont ces mêmes souteneurs que l’on retrouve aujourd’hui sous La bannière NPA, PC, Verts, CGT, FNACA… flanqués de leurs satellites « humanistes » champions des « droits de l’homme ».

          Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau, les enfants déchiquetées par les bombes, les femmes violées puis éventrées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises déjà en Indochine, ne révoltent pas les consciences contre les criminels mais contre les victimes.

          Ces milliers d’innocents versés dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré » ... Et si les survivants excédés ou terrorisés prennent les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulèvent contre eux l’unanimité des censeurs.

La honte ne se raconte pas : elle s’encaisse !


José CASTANO

19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU… Ou la victoire du FLN

Et sur : "19 MARS 1962...LE CESSEZ LE FEU".

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Revoir Mon blog    /   Mes ouvrages    /   Ma biographie

 

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6 mars 2022

A Mr LE DIRECTEUR DE LA PUBLICATION DE RIVAROL

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Colmar, mars 2022

À Monsieur Jérôme BOURBON Directeur de la publication et de la rédaction de RIVAROL Hebdomadaire sis 19, Avenue d’Italie 75013 PARIS

Monsieur le Directeur,

            Permettez-moi tout d’abord de vous adresser mes remerciements les plus vifs pour l’excellent hommage que vous avez rendu avec toute votre équipe, de façon ô combien justifiée, à mon cher et très grand ami Jean-Paul ANGELELLI, homme chaleureux et généreux (j’en sais quelque chose !) qui fut mon correspondant fidèle et attentionné et qui relaya dans RIVAROL mes préoccupations de toutes sortes (harkis, anjouanais et jusqu’à ma première épouse aujourd’hui disparue, d’origine camerounaise, victime en 1990 d’une grave iniquité de la part d’un directeur d’hôpital et d’un psychiatre d’origine polonaise) et de surcroît d’une fidélité exemplaire (comme je m’en targue de l’être) envers la noble cause de notre très chère Algérie française.

           Je me propose d’ailleurs de prolonger mon hommage envers J.P.A. par une contribution dans Ecrits de Paris qui a publié ma prose il y a un quart de siècle, et cela à deux reprises.

           Quel dommage que ma réaction soit quelque peu ternie par des observations nettement plus sévères, relativement à un article paru page 13 du même numéro sur la binationalité et ses conséquences, signé par un certain Franck PEYROT. Soyons quand même juste, tout n’est pas à rejeter dans la démonstration à laquelle j’adhère d’autant plus volontiers que j’avais moi-même dénoncé il y a un quart de siècle dans Ecrits de Paris, les ambiguïtés, pour ne pas dire les dangers, de la double nationalité que Marine LE PEN songerait, semble-t-il, maintenant à préserver de façon tout-à-fait scandaleuse (à confirmer toutefois !).

           J’en suis maintenant, hélas, à me scandaliser concernant l’établissement de la liste des « 17 députés musulmans binationaux à l’Assemblée nationale » telle que prétend l’établir le dénommé Franck PEYROT.

Premier point : peut-être pas le plus important :

           Il est fait état de Saïd AHAMADA, député de la 7e circonscription des Bouches-du-Rhône. Est-il vraiment musulman ? Ce n’est pas sûr car je crois savoir qu’il possède autant des origines réunionnaises que Grand ’Comoriennes.
Je suis encore moins sûr qu’il se considère comme à la fois français et grand ’comorien et a fortiori qu’il acceptera l’étiquette de « binational ».

           La question vaut de lui être posée et je vais bien sûr m’enquérir auprès de lui de ce point.

           Deuxièmement et c’est grave, et même très grave, M. PEYROT cite en tant que députés de Mayotte : 1ère circonscription : Elad CHAKRINA, 2e circonscription : Mansour KAMARDINE. Profonde erreur ! Est députée de la 1ère circonscription Mme Ramlati ALI et ce depuis 2017 !

           S’agit-il seulement d’une bien coupable négligence ou pire encore d’une tentative de désinformation ? A M. PEYROT de répondre !

           Maintenant venons-en à ce qui apparaît comme gravissime et même totalement impardonnable.

Mme Ramlati ALI et M. Mansour KAMARDINE qui défendent les intérêts et les aspirations des Mahorais (Devise : Ra Hachiri) ne sauraient d’aucune façon être considérés comme des binationaux, c’est-à-dire si l’on suit la logique Peyrotique, comme à la fois Français et Comoriens !

           Les Mahorais se sont battus bec et ongles pour se démarquer totalement des Comoriens et ont obtenu de haute lutte par la départementalisation le droit de se proclamer comme Français et seulement Français.

           Comment oser les offenser comme l’avait déjà fait la défunte Noëlle SACLET dans des billets quelque peu venimeux, en leur déniant le droit le plus sacré.

           A l’époque, aussi bien le regretté Pierre PUJO que moi-même, avions répliqué comme il convenait. RIVAROL s’en faisant l’écho !

           Je vous saurais bien gré de faire état publiquement de mon profond déplaisir à l’encontre de Franck PEYROT en ne désespérant pas que vous saurez vous distancier, ne serait-ce qu’un tant soit peu, de sa honteuse façon de considérer l’unité nationale.

Très respectueusement,

Jean-Michel WEISSGERBER Patriote intégral Fidèle lecteur de RIVAROL depuis plus d’un demi-siècle à qui je suis très reconnaissant d’avoir été l’un des rares organes de presse à dénoncer le massacre des harkis.

Copie à M. KAMARDINE, Mme ALI et à M. CHENU, député porte-parole de Mme LE PEN.

Jean-Michel WEISSGERBER

Transmis par Maurice Calmein

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5 mars 2022

« JMW » BINATIONALITÉ FRANCO-ALGÉRIENNE

Binationalité franco-algérienne

Marine veut nous rassurer : Tebboune ne saurait être Poutine !

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Colmar, le 5 mars 2022

           Le 1er mars 2022, tard dans la soirée, j’ai suivi sur BFM TV un entretien de la candidate à la présidentielle Marine LE PEN avec plusieurs journalistes. La conversation porta entre autres, sur la question de la double nationalité.

           Là, ô surprise, le point de vue de Marine LE PEN a plus qu’évolué ! En fait, il a radicalement changé : il y a une dizaine d’années, elle était très contre, aujourd’hui, elle ne trouve rien à redire au phénomène qu’impacte essentiellement les dits Franco-Algériens (qui, voyez-vous, constituent un électorat très important !).

           Révolution copernicienne donc ? Non ! Notre chère Marine (dixit sa démonstration) s’est laissée envahir par un fort sentiment … « d’humanité ». Pas d’humilité, d’humanité vous dis-je !

           D’abord très en colère (la colère est, on le sait, mauvaise conseillère), j’ai ensuite essayé de comprendre comment donc, à plus de cinquante ans, notre personnage peut-il ainsi abandonner l’un des fondamentaux du mouvement national et patriotique de notre fier souverainisme ?

           J’en viens à un maître-mot qui ne doit jamais, jamais, nous quitter : VIGILANCE !

           Ensuite, il me paraîtra nécessaire d’approfondir le phénomène de la double-nationalité.
Mais que nous suggère MLP pour en revenir à cette « personnalité » ?

           En fait, elle ne dit rien d’autre, sinon que le président algérien (aujourd’hui TEBBOUNE) ne saurait être assimilé à un monstre comme POUTINE. L’Algérie pour Marine ne peut constituer un danger dans le futur. Quelle illusion ! Quelle douce illusion ! Comment ne pas craindre une submersion démographique non seulement par l’Algérie, mais aussi par tout le Maghreb !

           Le danger apparaît à terme bien pire que la domination russe dont on perçoit plus que jamais les méfaits avec l’Ukraine martyre !

           Entre l’Algérie et la France, on peut très bien concevoir une masse intermédiaire constituée par tous ceux qui aspirent réellement et véritablement à rejoindre la patrie bleu-blanc-rouge. Encore convient-il de favoriser l’émergence de ce corps, ce qui paraît loin d’être le cas, comme l’on peine à permettre à l’Ukraine de s’affirmer !

           Après la capitulation d’Evian (Marine et le RN sont très étrangement discrets pour l’instant sur l’anniversaire de cette infamie absolue), rien n’a été entrepris, bien au contraire pour le massacre des harkis, pour que les Français d’origine algérienne rejoignent une France démocratique, laïque et de l’égalité hommes-femmes.

           On le voit bien par le culte de la repentance, par l’organisation prétendue d’un Islam français, par la fascination pour les hideuses-jabeuses et autres absurdités dont l’avènement annonce une catastrophe sans précédent. Alors la première des actions sera d’en revenir à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et son article libérateur N°15 qui permet à tout homme et à toute femme d’avoir une nationalité, de pouvoir en changer si nécessaire. Et s’il le faut, nous devrons nous fâcher avec l’Algérie et le Maroc qui imposent à leurs « citoyens » une allégeance perpétuelle à leurs Etats, l’impossibilité d’être autre chose que leurs sujets, ce qui dénote de leur part, une mentalité archaïque et une conception arriérée des rapports humains !

           Le 2 mai 2010, en particulier, j’ai longuement plaidé auprès de Maître Mokrane AIT LARBI la cause des adolescents du lycée OKBA à Bab-El-Oued qui, près d’un demi-siècle après l’indépendance de l’Algérie, ont arboré notre drapeau bleu-blanc-rouge, avec les conséquences que l’on imagine !

           Combien de fois ai-je dû protester lorsque les brontosaures du nationalisme algérien, leurs idiots utiles et les islamo-gauchistes assimilent les filles et fils de harkis à des immigrés proclamés avant tout algériens !

           Au fait, Marine, oubliez-vous que votre père a très courageusement soutenu un député Algérie française prénommé Ahmed, victime d’un ignoble attentat fellagha ?

           Qu’attend d’ailleurs le Rassemblement National infoutu de consacrer à sa mémoire le nom d’une place ou d’une rue et d’imiter ainsi ma démarche initiée il y a une bonne demi-douzaine d’années à Colmar, en l’honneur de Kouider GUERROUDJ, mort pour la France en 1962 ?

Jean-Michel WEISSGERBER

Transmis par Maurice Calmein

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5 mars 2022

GRAND REMPLACEMENT EN NOUVELLE-CALÉDONIE, A COLMAR ET A MAYOTTE

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Colmar, le 26 février 2022

            Grand remplacement, l’expression court partout. Les uns nient obstinément l’existence même du phénomène, d’autres prônent le débat, les plus lucides qualifiés de radicaux par les bien-pensants, alertent sur la nécessité de le combattre au plus vite.
Mais comment se fait-il que personne ne se livre au constat qui suit : la lutte contre le grand remplacement est déjà en place sur une partie de notre territoire national de la République censée être une et indivisible : la Nouvelle Calédonie et ce depuis près de quatre décennies.

           La lutte contre le « Grand Remplacement » en Nouvelle-Calédonie

           Depuis le début des années 1970, le mouvement indépendantiste kanak s’efforce d’imposer sa vérité qui est celle d’un projet visant à le « minimiser » et l’éliminer à terme.

           Le colonisateur français en important des populations extérieures au caillou et en particulier des « Blancs » éviterait l’accès du territoire à l’indépendance[1].

           La thèse des indépendantistes les plus extrémistes se voit consacrée de manière éclatante par le gouvernement Mauroy par la déclaration de Nainville-les-Roches du 12 juillet 1983 par laquelle « le peuple kanak, premier occupant du territoire, se voit reconnaître en tant que tel un droit inné et actif à l’indépendance ». Il résulte de ces prémisses que l’envahissement de la Nouvelle-Calédonie par des populations extérieures ne peut être que néfaste à ce projet cardinal d’indépendance. Cardinal, que dis-je, sacré !

           Bienvenue aux « Noirs » (et à bien d’autres !) en Europe, mais pas aux « Blancs » (et quelques autres) en Kanaky ! Et au besoin « Chasser les Blancs » selon l’aveu d’un compatriote kanak de l’Ile-aux-Pins, rencontré assez récemment à Colmar.

           Comment ne pas ajouter à cela que depuis des décennies et cela en toute inconstitutionnalité (même décrétée transitoire), des restrictions ont été imposées tout autant en ce qui concerne l’étendue du corps électoral que quant à l’accès en matière d’emploi ou d’exercice d’une activité professionnelle.

           Bernard ANTONY dans le numéro de juin-juillet 2021 de RECONQUETE[2] note que 35950 électeurs (17 %) pourtant inscrits sur la liste électorale générale, ont été exclus de « la liste pour la consultation sur l’accession de la Nouvelle-Calédonie à la pleine souveraineté ».

           Nous suivrons donc avec une particulière attention la suite réservée à cette affaire de « grand remplacement » ou non, aux antipodes tout en n’excluant pas la possibilité d’y intervenir en tant que partie prenante habilitée à ester devant le Conseil d’Etat et la Cour Européenne des Droits de l’Homme[3].

Le « Grand Remplacement » à Colmar

           Le jour où j’ai acquis au kiosque à journaux de la gare de Colmar la revue CAUSEUR (numéro 93 de septembre 2021) consacrée essentiellement au sujet incriminé, j’ai par la même occasion consulté l’édition des Dernières Nouvelles d’Alsace du 24 septembre 2021 et visionné l’état-civil des naissances du 17 au 21 septembre 2021 à Colmar.

           A l’heure où j’ai écrit ces lignes, il m’a semblé intéressant de faire le compte des naissances enregistrées à Colmar du 11 au 17 février 2022.

           Qu’on m’entende bien : de mes observations, je ne prétends nullement tirer des conclusions définitives, tout juste quelques indications premières, néanmoins quelque peu instructives !

 

  1. du 17 au 21 septembre 2021 : 23 naissances. Parmi elles, au moins 10 que je pourrais qualifier comme manifestement d’origine non-autochtone. Deux patronymes d’origine asiatique, un d’origine camerounaise (que je connais bien car c’est celui d’une famille voisine du village de ma première épouse, popularisé par un ancien vainqueur du tournoi de Roland Garros), sept patronymes que je tiens sans crainte de trop me tromper, d’origines maghrébines et turque.

 

  1. du 11 au 17 février 2022

           Sur les quinze nouvelles naissances, au moins cinq relèvent de patronymes non-autochtones. Pour être complet, je crois devoir ajouter au tableau peut-être un sixième du beau prénom Emilio, ce qui semble indiquer que ses parents sont davantage préoccupés par les attaches transalpines de ce charmant poupon que par ses nouvelles racines disons… alsaciennes.

           Parmi les cinq naissances ci-dessus signalées, je constate qu’il semble y avoir un métis (doubles patronymes, l’un d’origine nordique et l’autre d’origine maghrébine), je relève également un patronyme qui paraît indiquer que les parents sont polynésiens.

           Empiriquement, je conclus au moins provisoirement qu’entre un tiers et la moitié des naissances à Colmar, patrie de Bartholdi et Rapp, voire du dessinateur chauvin Hansi[4] sont constitués par des bébés n’étant pas de vieille souche alsacienne. Eux et leurs parents me paraissent constituer une proportion de plus en plus notable de l’ensemble de la population alsacienne.

           Dans les années cinquante, du temps de ma prime enfance, les Colmariens s’offusquaient[5] alors quelque peu de l’arrivée considérée comme massive de quelque mille malheureux « macaroni » suspectés de vouloir submerger cinquante mille Colmariens faisant partie soit de la BSP (bonne société protestante), soit des cathos alors passablement traditionnalistes, soit de la communauté juive (pas vraiment discriminée mais néanmoins jalousée comme tenant les rênes du commerce par exemple), soit du prolétariat de l’époque nettement plus imposant alors (depuis, bon nombre d’usines ont fermé).

Le « grand Remplacement » à Colmar : fantasme ?

           Je n’en suis pas sûr, et dirai plutôt « affaire à suivre ».

Le « Grand Remplacement » à Mayotte

           Je me suis rendu à deux reprises à Mayotte et à Anjouan en 1998 et en 2000 dans l’objectif bien avoué de permettre aux Anjouanais de se rapprocher de leur patrie de cœur (la France) voire d’y être rattachés. J’étais alors « pisté » de façon on ne plus voyante, par le chef des Renseignements généraux de Mayotte, un certain François REAL, natif d’Oran, aujourd’hui décédé[6], et suivi de manière plus secrète par le contre-espionnage français[7].

           Soyons clairs, à l’époque, j’ai bien pu observer qu’une bonne partie de la population anjouanaise résidait et travaillait de façon illégale, le plus souvent à Mayotte. L’hôtel où j’ai transité temporairement à Mamoudzou[8] appartenait à la famille du sénateur Marcel HENRY. la serveuse du restaurant de l’hôtel était anjouanaise, la femme de chambre également. Lors de mon deuxième voyage, j’ai pu m’entretenir très longuement avec Kalathoumi, Mohélienne de naissance, Anjouanaise de par sa famille (de Missiri), évidemment en situation irrégulière[9].

           Aujourd’hui, le département de Mayotte est non seulement submergé par les « Comoriens » ou désignés comme tels[10], mais par des Malgaches, des Africains[11], voire des populations venues d’ailleurs. Tout cela entrave, est-il nécessaire de le souligner, un développement harmonieux de l’île, sans compter que cela génère de graves conflits susceptibles de dégénérer à tout moment.

           Quoi qu’il en soit, le destin de Mayotte est français ! Mayotte est définitivement arrimée à la république française, les Mahorais(ses) se sont farouchement battu(e)s pour cela.

           Nonobstant les gesticulations et les criailleries de certains parlementaires communistes prétendûment français, en fait des apprentis traîtres, cela ne souffre aucun doute !

           De surcroît, le fait que bien des Mahorais possèdent des attaches familiales à Anjouan, voire à la Grande Comore, ne change rien à l’affaire.

Concluons : la situation à Mayotte est grave.

           Il importe d’intensifier d’urgence dans notre 101e département français, la lutte contre le Grand Remplacement (une candidate aux Présidentielles qui s’y est rendue à trois reprises semble bien consciente de cela.

           Mais la situation n’est pas loin d’apparaître similaire dans maints endroits de notre « Douce France ». Songeons à Marseille, Dunkerque, Roubaix, Nice, La Courneuve où résident soit dit en passant des paquets de Grands Comoriens, pardon, de « doubles nationaux franco-comoriens !

[1] Reconnaissons que telle était l’intention bien déclarée du sinistre Pierre MESSMER, ancien Premier ministre dans les années 1970, par ailleurs d’un parfait cynisme envers les populations du Cameroun et de nos malheureux compatriotes harkis qu’il contribua à livrer aux sanguinaires fellaghas.

Toutefois si l’on opère la comparaison de l’action de la France, si coloniale qu’elle fut, au début de sa souveraineté sur le Caillou envers les Mélanésiens, avec celle des Australiens envers les Aborigènes, il n’y a pas photo !

[2] Je ne saurais trop recommander la lecture de RECONQUETE et de la lettre de l’AGRIF de notre ami Bernard ANTONY, toujours vaillant, pertinent et même virulent, si nécessaire. Adresse : 70, Boulevard Saint-Germain 75005 PARIS

[3] J’ai déjà une affaire à porter devant la CEDH qui sera amenée à apprécier la désinvolture avec laquelle la plus haute instance judiciaire administrative a traité mon dossier à l’encontre de l’Etat français.

[4] Personnalité pittoresque du Landernau « anti-boche » qui est célébré dans un musée à son nom à quelques pas de mon domicile.

[5] On n’évoquait guère à l’époque un « grand remplacement » mais la crainte d’une « subversion migratoire » imprégnait déjà les esprits. Décidément, cela ne date pas d’hier à la différence près qu’on ne peut exclure par comparaison, disons, une différence « civilisationnelle » pour faire court.

[6] Ce personnage ouvertement anti-musulman devant votre serviteur qui lui a exprimé sa vive réprobation, a consacré la fin de sa vie à une Anjouanaise noire et musulmane avec laquelle il aurait eu une fille selon plusieurs sources concordantes à vérifier éventuellement ;

[7] Un ami m’a avoué plusieurs années par la suite avoir éprouvé quelques craintes à mon sujet.

[8] A Mamoudzou, sous réserves, car je cite cela de mémoire.

[9] Comme bien des Anjouanaises et des Anjouanais, elle est aujourd’hui installée en France métropolitaine ; je remercie encore mes ami(e)s du Cercle Algérianiste pour l’aide qu’ils lui ont apportée lorsque KALA se trouvait dans une profonde détresse.

[10] En fait, il y a bien des différences entre les Mahorais et les Anjouanais et encore davantage entre d’une part les Mahorais et les Anjouanais, pris dans une certaine globalité dont on peut bien sûr discuter, et d’autre part les Grands Comoriens, du point de vue linguistique notamment et de la place de la femme.

[11] Y compris originaires du Congo et du Rwanda.

Jean-Michel WEISSGERBER

Transmis par Maurice Calmein

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13 février 2022

L’ALGÉRIE ET DE GAULLE

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Colmar, le 13 février 2022

Excellentissime FOG mais Catherine Nay deviendrait-elle Nayfaste ?

            L’hebdomadaire Valeurs actuelles serait-il plus miséricordieux envers les vaincus de l’histoire que sont les patriotes français de toutes confessions de l’Algérie française (1) que Le point, d’obédience –pour faire court- plus centriste que son concurrent ? A lire les éditoriaux respectifs parus le 3 février 2022 dans les deux magazines cela ne semble pas vraiment évident.

           Commençons par le judicieux Frantz-Olivier Giesbert avec son édito intitulé « La France a toujours mal à l’Algérie ». L’ami Frantz tape dans le mille : il n’y a rien à redire à sa prose qui au surplus balaie quasi-exhaustivement le sujet.

           Il y a un problème, écrit-il, la guerre d’Algérie n’est pas terminée soixante ans après les Accords d’Evian (2) qui devaient y mettre fin. Fort pertinemment, FOG relève qu’après « L’Algérie c’est la France », l’inverse est en train de devenir réalité.

           La France se retrouve continuellement en position d’accusée et la cible privilégiée ce sont évidemment les colonisateurs, prédateurs par excellence de la nation colonisée. Frantz-Olivier Giesbert porte le fer là où ça fait mal, avec des termes on ne peut plus appropriés. Les coupables sont les prévaricateurs du FLN qui depuis 1962, au nom de l’islamo-marxisme, ont mis dans leurs poches l’argent du pétrole et du gaz. Et il ajoute très pertinemment que la « mafia du FLN et sa descendance, propriétaire de nombreux biens immobiliers à Paris (n’est pas) inquiétée par la procédure des biens mal acquis.

           Giesbert nomme les coupables et dit les choses : « Les historiens qui ne tartinent que sur les tortures abjectes des militaires français », ceux qui ne voient des coupables que d’un côté. « N’est-il pas temps de rétablir les vérités que tant de cerveaux hémiplégiques ne peuvent pas concevoir ? ».     

           Il ne faut surtout pas déboulonner le Guide de sa statue car cela remettrait en cause tant de lâchetés et contribuerait à remettre en cause les rentiers et prédateurs de la Vème république du nom. FOG nous oblige à réfléchir et surtout à faire en sorte qu’après être sortis du manichéisme qui prévaut encore et toujours, nous soyons en mesure d’avancer.

           Une de ses phrases en dit beaucoup et parait particulièrement utile pour s’en sortir autrement qu’en se rabibochant avec le pouvoir algérien : « Pressé de réaliser l’indépendance, De Gaulle a bâclé la paix en laissant l’Algérie aux véreux du FLN ».

           Venons-en maintenant au Droit de regard de la peu froufroutante Catherine, qui en réalité pour ce qui concerne une quelconque vision ne nous invite nullement à scruter les problèmes.

           Le titre de son éditorial dit tout : « Macron s’adresse aux pieds-noirs d’Algérie ». Autrement dit, la question est circonscrite à une population bien déterminée, les « partisans de l’OAS ». Elle ose écrire que les victimes de la rue d’Isly du 26 mars 1962 c’étaient 70 Français (quand même !) partisans de l’OAS. Ben voyons ! Circulez, il n’y a rien à voir ! Et surtout, elle ne désigne pas l’acteur principal de la tragédie, vaguement suggéré par un anodin « pouvoir gaulliste ». Dame ! Madame Nay, dans le civil Madame Albin Chalandon, n’a pas vraiment intérêt à soulever le couvercle d’une casserole susceptible de laisser échapper des odeurs nauséabondes (3)

           Plutôt que de remettre en cause une certaine perception de l’histoire qui édulcore totalement le rôle néfaste du Grand Charles, la peu dérangeante Catherine s’ingénie à noyer le poisson : Oran le 5 juillet 1962 ? « L’Algérie était indépendante. L’armée française ne pouvait pas riposter (4). C’eût été relancer la guerre. Sale période ».

           Ne comptez surtout pas sur Mme Chalendon pour poser sur la table les problèmes en suspens qui en réalité ne font qu’empirer.

           En fait, Catherine Nay révèle son impuissance à accomplir un vrai devoir d’analyse. Elle constate in fine « la répression », l’inexistence d’un Etat de droit et la corruption du pouvoir, d’où l’impatience d’une foule de dizaines de milliers de jeunes qui ont défilé pacifiquement pendant deux ans.

           Au fait, Catherine, les manifestants du 26 mars 1962 étaient-ils moins « pacifiques » ?

           En fin de compte, cet éditorial de Valeurs actuelles du 2 février apparait insignifiant et inutile. Espérons donc que Valeurs actuelles aura à cœur de rectifier prochainement le tir…

(1)   Le vainqueur Qui-vous-savez, les vaincus Soustelle et Bidault. Voir entre autres ma contribution à Riposte laïque Giesbert et Valeurs actuelles posent les bonnes questions.

(2)   Accords d’Evian –ou déviants ?- que l’on s’apprête à commémorer avec une grande dignité, toute honte bue !

(3)   Qui ne semblent pas être l’apanage de la seule extrême droite.

(4)   L’armée française pourrait intervenir allègrement par la suite dans toute l’Afrique mais surtout pas en Algérie FLN !

Jean-Michel WEISSGERBER

Transmis par Maurice Calmein

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12 février 2022

COMMUNIQUÉ DU G.R.F.D.A. / M.A.F.A.

10 février 2022

APRÈS LA RECONNAISSANCE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

DÉDIÉ AUX VICTIMES DU 5 JUILLET 1962 à ORAN           

OUVRAGES SIGNALES  SUR LE MASSACRE DU 5 JUILLET 1962 A ORAN PAR LIBRAIRIE Pied-Noir

https://www.librairie-pied-noir.com/content/25-massacre-oran-5-juillet-1962

            En cette année 2022 du 60em Anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie où toute une littérature opportuniste où pas va éclore vu un premier livre "Algérie 1962 : une histoire populaire " de Malika Rahal Chargée de recherches au CNRS cet ouvrage traitant du passage à l'indépendance de l'Algérie en 1962 nous ne pouvons pas ne pas nous exprimer sur la présentation partisane qu'en fait cette écrivaine TOUJOURS PAR OMISSION des autres travaux ouvrages et recherches effectués DEPUIS BIENTÔT 60 ANS !(comme l'a si bien indiqué son ex professeur l'historien Guy Pervillé) surtout lorsqu'elle dit à propos du drame du 5 Juillet 62 "Si l’on se fie au décompte (isolé!) de Fouad Soufi,(archiviste Algérien )« le plus solide que nous ayons ; "l’explosion de violence vengeresse aurait fait plus de victimes “musulmanes” que de victimes “européennes” écrit sans sourciller Malika Rahal en éludant tous les travaux et enquêtes précédents.

           Les massacres du 5 juillet n'étaient pas inéluctables sans une certaine provocation préméditée et la paralysie connue de l'armée française et une fausse "neutralité" qui en réalité favorisait un camp le plus militairement fort et, celui qui ne devait pas être au pouvoir l 'ALN D’Oujda c'est le résultat de notre enquête de terrain, mais l'écrivaine n'a cure des recherches antérieures (non seulement la nôtre bien sûr) précédent son irruption dans ce dossier 60 ans après mais c’est son droit!

           D'autant plus que F Soufi fonctionnaire Compatriote Oranais que nous connaissons bien venu plusieurs fois en conférence à Paris si il a minoré le nombre des victimes n'a jamais prétendu cela tout,en ayant eu le mérite de reconnaitre le drame alors que toujours nié officiellement en Algérie !

           Emmanuel Macron qui a quelques sources vient également d'exhorter à reconnaître et « regarder en face » le massacre du 5 juillet 1962 » à Oran, qui toucha « des centaines d’Européens, essentiellement des Français ». Dont Acte sur la bonne voie.

           Mais je dois préciser aussi  il n'est pas juste de dire comme l'écrit G Pervillé que "Jean-François PAYA (qui était sur le terrain en activité à Oran en 1962,) ne reconnaît aucune importance à la violence qui s’était développée entre les quartiers européens et musulmans d’Oran durant les cinq mois précédents" au contraire j'ai toujours dit que cette violence réciproque et notamment des perdants sur les gagnants déterminait une situation explosive  à Oran connue de nos supérieurs paralysés par les ordres et les responsables FLN des 2 factions rivales facilement utilisée par l'une pour provoquer une "explosion de violence vengeresse" comme le dit l'auteure Malika Rahal qui absurdement n'envisage qu'une majorité de victimes musulmanes !


« Livres de la librairie PN sur le Massacre du 5 juillet à Oran :

"Oran 1961-1962, journal d'un prêtre en Algérie" du Père Michel de Laparre de Saint Sernin

"Oran, 5 juillet 1962. Leçon d'histoire sur un massacre" de Guy Pervillé

"Oran, 5 juillet 1962. Un massacre oublié" de Guillaume Zeller

"La tragédie dissimulée. Oran, le 5 juillet 1962" de Jean Monneret

"Le MOI du Général" de Jean-Pierre Brun

"Lettre à un père disparu" de Maurice Calmein »

http://popodoran.canalblog.com/archives/2011/08/10/11250833.html 

"Le Serment de l'Orane" pièce de théâtre de Claude NAL (2012) dont le second acte présente cette terrible journée du 5 juillet 1962 à Oran, vécue par des étudiants de l'oubliée université d'Oran


https://histoirecoloniale.net/le-5-juillet-1962-a-Oran-par-Jean.html  Seul article (de 1998 ) sur ce site en "caution démocratique"(et encore épinglé) parmi une vingtaine écrits après 2002 favorables au FLN sur le méme sujet *

 Calaméo – Dictionnaire biographique des Français d'AFN de René Mayer.Préface P 161 

 http://p.calameoassets.com/090820151910-01ca29cc78b0482f461c213c8e27f7aa/p161.jpg

Groupe d'Études Historiques3 JF PAYA AC/Algérie classe 54/2 membre du cercle Algérianiste du Poitou

Calaméo – Dictionnaire biographique des Français d'A.F.N de René Mayer. Préface P 161

JEAN FRANCOIS PAYA  AC/Algérie classe 1954/2 (SR Marine Nationale) Témoin ;Acteur et Auteur (juqsu’à la fin 64 Service Marine Nationale Base de Mers-el-Kébir)

ÉTUDES COLONIALES

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3 février 2022

BINATIONALITÉ

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Avec le « En même temps » la problématique de la double nationalité reviendra en force

Colmar, le 1 février 2022

            On se souvient du rassemblement à Marseille il y a cinq ans d’une foule bigarrée et composite destinée à soutenir un certain candidat à la présidence pour le quinquennat 2017-2022… Le discours bisounours d’alors pourrait-il être repris « Arméniens, Italiens, Comoriens, Sénégalais, Algériens, Marocains …tous Français ! »

           Le mot d’ordre « En même temps » par excellence de notre président jupitérien n’apparaît plus de mise et la dure réalité du délitement de la société française s’impose de plus en plus !

           En jeu, l’unité nationale, voire l’existence même de la Nation française.

           Incontestablement celui qui a le mieux soulevé l’acuité de la situation est, à ce jour, un certain Z. et désormais, on ne pourra plus éluder la question de la double nationalité.

           Rappelons qu’en mai 2011, Marine le Pen se déclarait en faveur de la suppression de la binationalité. Cris d’horreur et d’effroi quasi-unanimes, à commencer par ceux de la majorité bismuthienne (Paul BISMUTH), pardon sarkozyste de l’époque. D’Eric BESSON à Jeannette BOUGRAB (ce qui pour une fille de harki apparaît une aberration), ce ne fut qu’un hurlement : surtout n’abordons pas la question !

           Pour ce qui est de la gauche et de l’extrême-gauche, c’était agiter un chiffon rouge !

           Rendez-vous compte : ajouter un malaise supplémentaire et pénaliser encore davantage ces charmants bambins en quête d’identité ! Il est grand temps d’ouvrir les yeux !!!

Il y a en Afrique même :

           A. Pour l’Afrique subsaharienne au bas mot trois millions d’individus titulaires de la nationalité française. Impactés tout particulièrement les classes dirigeantes, les chefs d’Etat, les ministres et les hauts fonctionnaires. Or les temps sont très incertains et l’islamisme, que dis-je, le djihadisme, gagne du terrain partout (au Mali, au Burkina Faso, et ailleurs le sentiment anti-français monte).

           C’est à juste titre que bien des internautes se sont émus de constater qu’un aimable chanteur d’origine congolaise, Maître GIMS, adulé par la candidate Valérie PECRESSE, affiche désormais ses penchants pour le salafisme. Cela dénote, hélas ! une influence toxique qui déborde partout !

           B. Pour l’Algérie et le Maroc

a. En Algérie même, résident au minimum trois millions de Français (probablement le double !). Il y a d’abord les descendants des couples mixtes (on serait étonné en particulier d’apprendre le nombre d’Alsaciennes qui ont convolé dans les années 1970 à 80 avec des « indigènes »).

b. Ensuite les Français nés en France métropolitaine après le 1er janvier 1963 et bénéficiant du droit dit du double sol, et qui d’une façon ou d’une autre, sont retournés en Algérie, mais qui sont susceptibles de revenir en France en cas d’effondrement du régime algérien.

c. Enfin, les descendants d’Algériens français dits de droit commun qui ont gardé la nationalité française au moment de l’indépendance de l’Algérie.

           De nombreux articles de presse ont révélé l’ampleur du problème comme L’Express du 5 septembre 2001 sous la plume de Besna LAHOURI (1). Sont concernés à l’époque cent cinquante mille personnes. Trois générations après, il n’est pas exagéré de penser que plus d’un million et demi de personnes sont concernées. En France, il faut compter quatre millions de Franco-Algériens (dont les plus en vue : Camélia JORDANA qui affiche sa proximité tant avec CASTANER qu’avec Aïssa TRAORE, Samia GHALI, sénatrice au parcours étatique, le multi-séducteur Arnaud MONTEBOURG issu de la famille de notables des OUD CADI, piliers de la colonisation française) se gargarisant d’être les petits-enfants des terroristes des réseaux du FLN.

           Alors il est plus que temps de réagir, non seulement pour la présidentielle, mais pour les élections qui vont suivre.

Planchons au plus vite et au mieux sur le sujet !

           A. Une commission d’enquête doit statuer très rapidement en tenant compte d’une vérité incontournable (voir ma lettre ouverte à Patrick WEIL dans une édition du périodique Action française en 2011) : « les binationaux des années 2000 et 2010 dans leur majorité sont bien différents de ceux des années trente du siècle précédent, de par leurs origines et de par leur soubassement idéologique et culturel ».

           B. Un Algérien ou un Marocain candidat à la nationalité française ne doit pas bénéficier d’un traitement privilégié par rapport à un Français candidat à l’attribution de la nationalité algérienne ou marocaine.

           C. Autrement dit, appliquons strictement le principe de la réciprocité.

Pour ce qui est du regroupement familial, il devra concerner uniquement les Français titulaires de la seule nationalité française. Il conviendra donc impérativement pour tous ceux qui souhaitent en bénéficier, d’obtenir la libération des liens d’allégeance envers le pays d’origine. Ceci nonobstant la position éventuellement ultra-rigide du pays d’origine en particulier le Maroc qui impose l’allégeance perpétuelle à ce pays à tous ses ressortissants.

Jean-Michel WEISSGERBER

Renvoi :

(1)              Certains articles évoquent jusqu’à 15 (quinze !) millions d’Algériens possédant la nationalité française en Algérie, la fourchette serait ainsi de 1,5 à 15 millions !

Post-scriptum :

           Une mention particulière doit être faite au sujet des hauts-fonctionnaires algériens binationaux. Un certain Naoufel BRAHIMI EL MILI (un binational lui-même ?) fait savoir page 402 de son ouvrage France-Algérie 50 ans d’histoires secrètes, tome 1, que « plus de 5000 (cinq mille) responsables algériens nommés à des postes sensibles par décrets publiés dans le J.O. de la République algérienne démocratique et populaire, détiennent aussi la nationalité française, mais en cachette ».

Sans commentaire, pour l’instant !

Jean-Michel WEISSGERBER

Transmis par Maurice Calmein

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31 janvier 2022

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 31-01-2022

 

Logo Cercle Algérianiste National

CERCLE ALGERIANISTE NATIONAL.

Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire des Français d'Algérie

Communique-22-01-31

Suzy SIMON-NICAISE Présidente nationale du Cercle algérianiste

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ADHÉREZ AU CERCLE ALGÉRIANISTE NATIONAL

1, rue général Derroja - 66000 PERPIGNAN Tél. 04 68 53 94 23
Courriel :
secretariat@cerclealgerianiste.fr

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30 janvier 2022

LE PRÉSIDENT MACRON NE SE DÉNIE PAS

APRÈS UN DISCOURS FADE DU PRÉSIDENT MACRON QUI NE DÉNIE PAS SES DÉCLARATIONS SUR “LES CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ” en Algérie Française

            Chers Amis / Bonjour *Ci joint/Info sortie d'un premier livre militant de l'année 62/ 60em anniversaire de notre exode avec nos premières observations ;avec d'autres à suivre!

VIGILANCE   1962 / 2022

            Algérie 1962 : une histoire populaire Malika Rahal Éditeur : La Découverte Date de parution : 06/01/2022 PRÉSENTATION DU LIVRE SUR LE SITE PARTISAN DE LA LDH QUI AVEC LE JOURNAL“ EL WATAN ” glorifie ce livre qui ouvre le Cycle 1962 / 2022 ***

            En premier controverse avec le professeur Pervillé Dans son livre, Malika RAHAL traite en moins d’une page (p 32) la question fondamentale de la réalité ou non des prises de sang forcées. Elle dit dans une préface navrante, l’historien Guy PERVILLE renverse d’ailleurs la charge de la preuve, reprochant aux historiens qui écartent ces rumeurs de ne pas prouver que le crime n’a pas eu lieu.

NOTRE RÉPONSE

VIGILANCE 1962 / 2022

            Nos félicitations à l'Historien Guy Pervillé pour son exposé ci joint en réponse au livre à notre gout assez militant (surtout par omissions) de son ancienne étudiante Malika RAHAL Chargée de recherches au CNRS cet ouvrage traitant du passage à l'indépendance de l'Algérie en 1962.et d'un chapitre SUR LES PRISES DE SANG FORCÉES sur des prisonniers Européens qui sont évoquées dans certains rapports et compte rendus des Forces Françaises! sans nous substituer à l'Historien nous ne saurions mieux que lui présenter son point de vue fortement étayé! permettant d'éviter une désinformation certaine   *(technique de l'omission)

http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=485 TEXTE INTÉGRAL

            QUANT A NOUS seul "écrivant" témoin et acteur présent sur le dossier des Massacres du 5 Juillet 62 à Oran nous ne pouvons pas ne pas nous exprimer sur la présentation partisane qu'en fait cette écrivaine toujours par omission des autres travaux ouvrages et recherches effectués depuis bientôt 60 ans ! surtout lorsqu'elle dit "Si l’on se fie au décompte (isolé) de Fouad Soufi,(archiviste Algérien )« le plus solide que nous ayons ; "l’explosion de violence vengeresse aurait fait plus de victimes “musulmanes” que de victimes “européennes” »donc écrit sans sourciller Malika Rahal sans essayer d'étudier l'événement par ce qui s’est passé avant (combats de l’OAS mais aussi du FLN et de l'armée Française !) et c’est toujours ainsi en Histoire, et après il y a la volonté des hommes d'utiliser les circonstances et de les manipuler et les massacres du 5 juillet n'étaient pas inéluctables sans une certaine provocation préméditée et la paralysie connue de l'armée française et une fausse "neutralité" qui en réalité favorisait un camp le plus militairement fort et, celui qui ne devait pas être au pouvoir l 'ALN D’Oujda c'est le résultat de notre enquéte de terrain; mais l'écrivaine n'a cure des recherches (non seulement la notre bien sur) précédent son irruption dans ce dossier 60 ans après !

http://popodoran.canalblog.com/archives/2009/03/07/12860520.html LES CAUSES SELON NOUS DU MASSACRE

JEAN FRANÇOIS PAYA AC/Algérie classe 54/2

 INFO ALERTE VEILLE SUITE ***Livre Algérie 1962 : Question et réponse de l'auteure Malika Rahal

            Doit-on considérer l’ouverture anticipée des archives judiciaires relatives à la période de la guerre de libération nationale, dont le décret d’application a été publié récemment, comme une avancée dans la connaissance des crimes et exactions commis à l’encontre des Algériens par la police et l’armée, comme les disparitions forcées en Algérie évoquées précédemment ou les assassinats de manifestants à Paris par la police en octobre 1961 ?

R

            Toute ouverture d’archives peut permettre des avancées, notamment dans les cas, assez rares, où des crimes et exactions donnaient lieu une procédure judiciaire. Toutefois, dans la majorité des cas, les violences ne donnaient pas lieu à de telles procédures. C’est le cas de la majorité des disparitions forcées sur lesquelles nous travaillons, ou pour la plupart des morts du 17 octobre 1961. Sur ces deux question, l’ouverture de telles archives.

NB

            Toujours "stratégie de l'omission" on envisage cette ouverture d'archives judiciaires que comme révélation de crimes et exactions des FAF Françaises AVEC UN DOUTE mais pas d'exactions FLN/ALN !

QUI POURRAIT CONDUIRE A DES LISTES LÉGITIMES DE VICTIMES PAR DES HISTORIENS VIGILANTS

http://popodoran.canalblog.com/archives/2022/01/14/39304765.html    

            Historienne, "spécialiste de l’histoire contemporaine" de l’Algérie, Malika Rahal dirige l’Institut d’histoire du temps présent (IHTP). Elle est l’autrice de plusieurs ouvrages, notamment d’une biographie d’Ali Boumendjel (Belles Lettres, 2011 ; réédition poche : La Découverte, 2022).

Groupe d'Études Historiques3 JF PAYA AC/Algérie classe 54/2

Calaméo – Dictionnaire biographique des Français d'A.F.N de René Mayer. Préface P 161

PAR JEAN FRANÇOIS PAYA AC / Algérie classe 54/2 membre du cercle Algérianiste du Poitou

JF PAYA AC /Algérie Classe 54/2 jusqu’à la fin 64 Service Marine Nationale Base de Mers-el-Kébir.

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