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15 janvier 2018

LA MORT… AU NOM DE DIEU

Par José Castano 

Face au Terrorisme Islamiste :

« Quoi qu’il en soit, l’homme de la tolérance sera assassiné au nom du fanatisme par des gens qui continuent de regretter l’absence d’un unanimisme religieux » (Max Gallo)

            Depuis que les groupes armés de l’Etat Islamique ont été mis à mal en Irak et en Syrie, il est régulièrement question du retour des ressortissants « français » internés dans ces pays. Cependant, un critère essentiel semble ne pas retenir l’attention de nos médias : l’extrême sauvagerie de leurs méfaits.

           Profondément apatrides, ils n’ont eu de cesse de s’enorgueillir en diffusant dans une orgie de clips d’égorgements, décapitations et mutilations multiples, leurs mœurs barbares. Sur ce point, la chaîne d’information BFMTV nous avait livré un aperçu de leur bestialité en diffusant les images de ces « jeunes Français désœuvrés » traînant derrière un pick-up aux cris d’« Allah Akbar ! » des cadavres de soldats de l’armée régulière syrienne. Images glaçantes et terrifiantes.

           Il y a aussi les femmes françaises converties à l’islam, parties se faire sauter –non à l’explosif !- mais par une multitude de djihadistes (il fallait bien les divertir et leur permettre de se reproduire…) Du fruit de « leurs passions », des enfants sont nés… la plupart de pères différents. Alors, dans un épanchement de tendresse infinie, les voici suppliantes, pour que l’on rapatrie au plus vite ces enfants en France. « C’est dur de les voir souffrir ! » s’exclame, l’une d’elles, à Franceinfo en novembre 2017.

Aujourd’hui, sachant ce qu’ils encourent s’ils étaient jugés sur les lieux de leurs forfaits, tous se souviennent subitement d’« être français » et comptant sur la mansuétude de nos juges, réclament d’être traduits devant une juridiction française.

           Et puis, il y a les autres… tous les autres ! Les islamistes radicaux qui, basés dans notre pays, attendent de fondre sur leurs proies avec, au bout du voyage la mort qu’ils recherchent car il est écrit que « quiconque meurt au cours du djihad entrera au Paradis et deviendra un martyr » et que « les délices du Paradis consistent principalement dans les voluptés sensuelles »… Paradis où « 70 vierges attendent chaque martyr »….

           Pas étonnant que bon nombre de Musulmans veuillent mourir en « martyr » !... Seulement, comme disait Chateaubriand, « on n’apprend pas à mourir en tuant les autres ».

            Alors, que faire ?... Quelles sanctions infliger à ces irréductibles, ennemis de tout humanisme ?... De toute civilisation ?...

            A la lumière des actions criminelles qui ont terrorisé les principales villes  européennes, faute de solution appropriée, on est désormais en droit de se poser la question du rétablissement de la peine de mort.

           Que faire face à tant de cruauté… de barbarie… d’inhumanité ?... Et les  partisans de la peine capitale, de se faire plus pressants après chaque attentat : « Il faut terroriser les criminels ! Il faut qu’ils sachent qu’en tuant, ils seront tués. C’est la seule solution ! »

           Lors d'une interview, il fut demandé au Général Schwartzkopf, commandant en chef  de la coalition de l'opération « Desert Storm » (Tempête du désert) en Irak : « Le pardon est-il envisageable pour ceux qui ont aidé les terroristes ayant perpétré l'attaque contre les États-Unis le 11 septembre 2001 ? »

 Sa réponse :

 « Je crois que c'est le rôle de Dieu de leur pardonner… Notre boulot, c'est d'organiser la rencontre ! ». On ne peut être plus clair !...

           Oui, mais voilà !... En France, c’est le genre de déclaration que refuseraient la  « bien-pensance »,  le « politiquement correct », les « moralistes à la conscience pure », les « humanistes », qui, choqués par cette « inhumanité » que représente la peine de mort, s’élèveraient avec force contre l’organisation d’une telle « rencontre »…

           Et pourtant, Saint Thomas d’Aquin légitimait, sous certaines conditions, le tyrannicide (action de tuer un tyran) en ces termes : « Nul n’a la droit d’ôter la vie à quiconque sauf au tyran ! ». Il considérait la sédition (terrorisme/guerre civile) comme péché contre les effets de la charité (c’est-à-dire la paix) et justifiait que tuer un tyran n'était pas séditieux, que cette action pouvait être donc un acte de charité envers la multitude. Et de se conformer au texte biblique : « Celui qui frappe un homme à mort sera lui-même puni de mort » (exode 21 : 12-14).

           Et Napoléon Bonaparte de justifier également ce tyrannicide en ces termes : « Celui qui lutte pour la survie de sa nation ne transgresse aucun droit ».

           Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à s’interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.

           Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des « égarés » ou des « déséquilibrés ». Or, on ne combat pas des terroristes avec de tels jugements… On doit adopter une riposte appropriée afin de les stopper dans leur  folie meurtrière ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ».

           Dès lors, la France -confrontée à l’un des plus graves périls de son histoire- ne doit pas s’embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d’assurer sa propre survie. « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.

           Mais, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà notre civilisation chrétienne paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent qu’elle ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares, forts de cette assurance (en tuant, ils savent qu’ils ne seront pas tués !) qui frappent dans nos villes… les peuples loups qui grondent aux frontières. Pressés de courir à leur tour la grande aventure de la civilisation et exaltés par la présomptueuse conviction qu’ils détiennent des recettes miraculeuses, ils négligent les trésors de l’héritage… Ils veulent tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voici qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues…

           Et voici que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent brutalement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées et la haine n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».

José CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

Cliquer sur ce lien : Le retour d'Émilie König, djihadiste « française » – par Eugénie S.

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Conférence « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

Organisée par le Cercle Algérianiste de MONTPELLIER, cette conférence sera donnée par José CASTANO, LUNDI 19 MARS 2018, à 15H, MAISON DES RAPATRIES, 31 rue Émile Chartier (Mas Drevon) - 34070 MONTPELLIER

Renseignements au : 06 81 95 00 89 - Courriel : gruvira@numericable.fr

Pour la bonne organisation, il serait souhaitable de s’inscrire. - Entrée gratuite

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Blog de l’abbé Guy PAGES, véritable soldat de la Foi !

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contact@islam-et-verite.com 

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31 décembre 2017

BIENVENUS DANS LE JARDIN DE MICHEL

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Michel, j'espère que quelqu'un continuera ton oeuvre - R.I.P.

Les ambassadeurs de France-son épouse et Michel DELENCLOS

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RETOUR MICHEL DELENCLOS

17 décembre 2017

CE QUE L'ON OUBLIE SOUVENT SUR L'ORIGINE DE LA COLONISATION DE L'ALGÉRIE

            Article soumis à nos amis pour voir ce que qu’ils en pensent. Toutes les sources sont citées, l'idée principale et originale est que par rapport à toutes les autres entreprises coloniales celle de l'Algérie par la France fut à l'origine défensive contre plus de 3 siècles d'agressions Barbaresques continues (sous couverture Ottomane) en Méditerranée (de la fin de la Reconquista en 1492 jusqu’en 1830) de plus en réponse au livre de P. Péan qui avance que c'était pour piller le trésor de la casbah pillé lui-même aux chrétiens.

JF PAYA

           En marge de la visite du président Macron à Alger, dans l'historique de la saga colonialiste mondiale passée par rapport à la majorité sinon l'exclusivité des incursions et occupations étrangères (y compris Arabes) la colonisation de ce Maghreb central qui sera plus tard l'Algérie sera  spécifiquement provoquée par les antécédents d'agressions continues contre des éléments du futur occupant en particulier pour la circulation maritime des navires des nations et pas seulement Européennes.

           Voir l'intervention de la marine de guerre US et le bombardement d'Alger en 1816 par la marine Américaine loin de ses frontières.

           Il faut remarquer que le seul autochtone compromis dans cette piraterie fut le rais Hamidou tué en 1815 par justement un boulet tiré d'une frégate Américaine US.

Site de M'dame

Prise d'Alger

           L'agressivité de la régence d'Alger la conduit dans une guerre ouverte avec toutes les nations, notamment les nations européennes, celles-ci qui avaient connu un développement économique et avaient acquis un degré technique élevé pour leur marine, regardèrent Alger comme un refuge de corsaires et de brigands avec lesquels il fallait en finir par tous les moyens.

           (Sources  réf/ Documents Turcs inédits sur le bombardement d'Alger en 1816)

           En 1815, le congrès de Vienne avait déclaré qu'il serait mis un terme à l'esclavage des chrétiens enlevés par les corsaires d'Alger de Tunis et de Tripoli. Leur nombre s'élèvent à plus d'un million, Napoléon 1er avait envisagé la prise d'Alger et avait fermement décidé d'en finir une fois pour toutes avec les  barbaresques avec l'annexion de l'Afrique du Nord, le tout formant le sujet d'un article du traité secret qui avait été signé avec la Russie. En août 1814, Sir W. Sidney Smith Amiral Britannique fait appel à l'Europe pour organiser un blocus visant à mettre fin à la piraterie des États barbaresques. En définitive c'est la France qui accomplira ce mandat dans le cadre d'un intérêt de politique intérieure avec un prétexte fallacieux mais sans réprobation sérieuse de la communauté internationale de l'époque (sources citées).

           L'idée principale et originale est que par rapport à toutes les autres entreprises coloniales celle d'Algérie par la France fut à l'origine défensive contre plus de 3 siècles d'agressions barbaresques continues (sous couverture Ottomanes) en Méditerranée (de la fin de la Reconquista en 1492 jusqu’à 1830). En réponse au livre de P. Péan qui avance que c'était pour piller le trésor de la casbah pillé lui-même aux nations chrétiennes.

           Dans l'Historique des colonisations nous suggérons que celle de l'Algérie fut une des rares à être provoquée à l'origine par une position défensive en l'occurrence contre des agressions continues de la piraterie Ottomane sur la navigation en Méditerranée pour preuve avec certains précédents de tentatives de neutralisation depuis le début du XVI ème siècle Espagnoles en 1516-1518, Charles Quint en 1541 ; Philippe III (zones de gardes Espagnoles comme Ceuta et Melilla et aussi Oran depuis 1505 avant le séisme jusqu'en 1790) en 1601 puis en 1775, 1783 et 1784 par les Américains en 1815 et les Anglais avec 1816 bombardements de représailles maritimes (tout ceci est consigné dans les archives Turques de la Présidence du Conseil à Istanbul sources liens cités plus haut) avec des commentaires qui montrent bien que la régence d'Alger n'était pas autonome et donnent des éclaircissements sur l'administration turque exclusive du pays (sans autochtones).

           A origine cette occupation Française fut spécifique et non pas une vocation coloniale comme  ailleurs dans le monde! Cela tient plus du concours de circonstances que du projet pleinement mûri et planifié, le statut auquel sont soumises les populations autochtones du pays est resté longtemps incertain.

           Voir la source remarquable "Douloureux passé de la Méditerranée" (de Chantal Grand)

           Le 5 juillet 1830, Hussein Dey régent Ottoman d'Alger signe l'acte de capitulation. Par ce même traité, le général De Bourmont (voir sa déclaration) prend l'engagement au nom de la France de ne pas porter atteinte à la liberté des habitants de toutes classes ni à leur religion. La France garantit par cet acte aux populations algériennes le respect de leur culte et de leurs traditions religieuses. Population qui doit être ainsi préservés avec les statuts des autochtones découlant selon les cas des droits religieux juif ou musulman. Les musulmans continuent de relever du droit musulman et les Juifs du droit mosaïque en tout état de cause, les populations conquises restent toujours juridiquement liées à leur statut d'origine ce qui servit de justification où de prétexte (au choix) à l'existence de deux collèges en Algérie et au reniement de l'un pour passer dans l'autre dans certaines conditions et du Non au vote des femmes dans le collège musulman par ses élus.

           On ne peut nier non plus la récupération des trésors issus des pillages de la course maritime, des rançons et de la traite répartis de manière arbitraire (l'essentiel étant en couverture de l'expédition***) mais est la conséquence et non la cause de la prised'Alger comme l'on prétendu certains! (voir livre racoleur de Péan) et en tout cas aucune spoliation du futur peuple Algérien soumis à la "sublime porte".

           ***Depuis toujours une occupation militaire se traduit par certaines récupérations de biens vacants. Même à nos époques (Les alliés en 1945) mais dans le cas d'Alger prises à un autre occupant spoliateur avec opération "blanche" pour couvrir les frais de l'expédition.

Notre point de vue sur la création de l'Algérie par la France est largement exposé ci-après en activant ce lien chacun son créneau où vous pouvez faire des remarques.

JF PAYA

16 décembre 2017

LA PRISE DE LA SMALA d’Abd-el-Kader

Par José Castano

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait »(Mark Twain)

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Prise de la smalah d'Abd-El-Kader à Taguin le 16 mai 1843 par Horace Vernet.

            Après la prise d’Alger par les troupes françaises du général de Bourmont, le 5 juillet 1830, une longue et pénible campagne de pacification fut entreprise, marquée, entre autres anecdotes guerrières, par la fameuse bataille de la Smala d’Abd-el-Kader.

           On entend par smala, une réunion de tentes abritant un peuplement sous l’autorité exclusive d’un « chef de clan arabe ». Plus qu'un campement, la smala est une véritable capitale itinérante de quelque 30 000 personnes, composée d’hommes de toutes conditions, de femmes, d’enfants et de cinq mille combattants armés, fantassins et cavaliers.

           La smala avait passé la fin de l’hiver 1843 à deux journées de marche au sud de Takdempt. Instruite qu’on était à sa poursuite, elle erra pendant quelque temps et se trouva le 16 mai à la source de Taguin. Nommé gouverneur général de l’Algérie en décembre 1840, le général Bugeaud menait une politique de conquête totale et de colonisation de l’Algérie en n’ayant de cesse de poursuivre Abd-el-Kader, qui avait proclamé la « guerre  sainte » contre « l’occupant français ».

           Bugeaud avait été informé de la présence de la smala aux environs de Boghar. Il donna ordre au général Lamoricière ainsi qu’au général de brigade, Henri d’Orléans, prince d’Orléans, duc d’Aumale, de se mettre à sa poursuite.

           Ce quatrième fils du roi Louis-Philippe, né à Paris le 16 janvier 1822 était âgé de vingt et un ans. Il avait fait ses premières armes en 1840 comme chef de bataillon au 4e régiment d’infanterie légère, puis comme lieutenant-colonel au 24e de ligne. Quand il avait été mis sous les ordres du général Bugeaud pour la première fois, le duc d’Aumale lui avait écrit le 25 juin 1841 : « Je vous prierai, mon général, de ne m’épargner ni fatigue ni quoi que ce soit. Je suis jeune et robuste et, en vrai cadet de Gascogne, il faut que je gagne mes éperons. Je ne vous demande qu’une chose, c’est de ne pas oublier le régiment du duc d’Aumale quand il y aura des coups à recevoir ou à donner ».

           A cela Bugeaud avait répondu non sans grandeur : « Vous ne voulez pas être ménagé, mon prince, je n’en eus jamais la pensée. Je vous ferai votre juste part de fatigues et de dangers, vous saurez faire vous-même votre part de gloire ».

           Le 13 mai 1843, le duc d’Aumale qui désirait se rendre digne de son frère aîné (décédé peu de temps avant) et des commandements que sa naissance lui avait fait donner, partit de Boghar avec 1 300 fantassins et 600 cavaliers commandés par les deux plus beaux sabreurs de l’armée, le lieutenant-colonel Morris et le lieutenant-colonel Yousouf (nommé à ce grade par le roi aux Spahis d’Oran), devenu chef des spahis indigènes.

           Trois jours après, il apprit que la smala se trouvait à 80 kilomètres au sud de Goudjila. Pour l’atteindre, il fallait franchir vingt lieues d’une traite sans une goutte d’eau. Alors que les soldats étaient à la recherche de la source de Taguin pour se désaltérer, le prince fut informé de la présence inattendue de la smala à cette même source et décida de s’y rendre avec sa seule cavalerie.

           Abd-el-Kader était absent, ainsi que ses principaux lieutenants, mais leurs familles étaient là. Le 16 mai, les cavaliers français se présentèrent en vue de l’imposant campement. Qu’allait devoir faire le jeune duc ? Attendre l’arrivée des fantassins ou se risquer à engager, à six cents, le combat contre un ennemi redoutable et dix fois supérieur en nombre ? La tentation était cependant trop forte… Confiant en la qualité guerrière de ses hommes, il ne tergiversa point et s’écria : « En avant ! ». Et, le sabre au poing, il mit sa monture au galop, imité en cela par ses hommes.

           Toute la cavalerie s’élança alors, répartie en trois groupes : L’un à gauche, commandé par le lieutenant Delage, le second au centre, ayant pour chef le lieutenant-colonel Morris, le troisième à droite, sous les ordres du capitaine d’Epinay, le lieutenant-colonel Yousouf demeurant aux côtés du duc. Aussitôt le combat s’engagea avec les fantassins arabes. La cavalerie des Ilachems, tous parents de l’émir, se jeta à son tour dans cette mêlée confuse et meurtrière où l’on ne faisait pas de quartier. Enfin, le combat cessa dans une panique indescriptible et une fuite générale de la populace… Les arabes perdirent trois cents des leurs dans cette bataille épique et on dénombra neuf tués et douze blessés du côté français.

           La smala d’Abd el-Kader, capitale mobile de l’empire nomade de l’émir venait d’être conquise. Outre le dépôt militaire, cela représentait une agglomération considérable vivant sous la tente et gardée par cinq mille soldats réguliers. Il y avait là toutes les richesses de l’émir, sa famille, son harem, ses archives, son trésor de guerre, ses ateliers de tous corps de métiers, ses provisions, ses armes, ses troupeaux, des otages de tous ordres et un nombre considérable d’esclaves pour servir et faire vivre un aussi gigantesque campement. Le peintre Horace Vernet, qui représenta la scène dans l’immense tableau du musée de Versailles, fit figurer Yousouf en bonne place.

Un des innombrables prisonniers dira à l’issue de la bataille : «  Quand nous pûmes reconnaître la faiblesse numérique du vainqueur, le rouge de la honte couvrit nos visages car si chaque homme de la smala avait voulu combattre ne fût-ce qu’avec un bâton, les vainqueurs eussent été les vaincus mais les décrets de Dieu ont dû s’accomplir ».

           Un des bons soldats d’Afrique, Charras, écrira à propos de ce hardi coup de main : « Pour entrer avec 600 hommes au milieu d’une pareille population, il fallait avoir vingt et un ans, ne pas savoir ce que c’est que le danger ou bien avoir le diable au ventre. Les femmes n’avaient qu’à tendre les cordes des tentes sur le chemin des chevaux pour les faire culbuter et qu’à jeter leurs pantoufles à la tête des soldats pour les exterminer tous depuis le premier jusqu’au dernier ».

           Cette fois, la guerre semblait finie. Le 31 juillet 1843, Louis-Philippe éleva Bugeaud à la dignité de Maréchal de France et nomma le duc d’Aumale gouverneur de la province de Constantine… avant qu’il ne succédât à Bugeaud comme gouverneur de l’Algérie.

           La prise de la smala eut une influence considérable sur la suite des opérations militaires contre l’émir. Elle condamna celui-ci à l’errance perpétuelle sur les confins algéro-marocains pour tenter d’échapper aux colonnes françaises… jusqu’au 23 décembre 1847, date à laquelle l’émir se décida à revenir en Algérie où il demanda l’aman (faire sa soumission) au colonel de Montauban représentant le général Lamoricière, à Sidi-Brahim, là, précisément, où il avait remporté une de ses plus grandes et plus cruelles victoires. Il fut exilé, à la demande de Louis-Philippe, à Pau puis au château d’Amboise avant d’être libéré et de partir pour l’exil.

 José CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

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           Mon précédent article intitulé : « La bataille de Sidi-Brahim » relatait l’épopée héroïque du 8ème bataillon de Chasseurs d’Orléans. Reconstitué sous l’appellation de 8e bataillon de chasseurs, il fut à son tour victime de la « purge militaro-administrative » et dissous le 7 mai 1999. Une amicale perpétue son souvenir :

Amicale des Anciens du 8° Bataillon de Chasseurs à Pied

Musée des Chasseurs - Château de Vincennes - Avenue de Paris –

94306 VINCENNES Cedex

Courriel : samc@bleujonquille.fr

Cliquez : https://www.amicaledesanciensdu8emebataillondechasseursapied.fr/

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           Cet épisode sur LA PRISE DE LA SMALA d’Abd-el-Kader et bien d’autres encore –obscurs témoins de la conquête de l’Algérie- ont été relatés dans un ouvrage intitulé« Et l’Algérie devint française… »

Pour en savoir plus, cliquez sur: « ET L’ALGERIE DEVINT FRANÇAISE… »

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10 décembre 2017

MENSONGES ET TRAHISONS

Par Jacques Villard chef du gouvernement Pied-Noir

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Paris, le 13 novembre 2017

L'amitié est la plus sévère école de la vérité, elle n'admet ni le mensonge ni la trahison.

C’est en ces termes que s’exprimait Félicité de Genlis, exceptionnelle femme de lettres française, décédée en 1830, année de la conquête de l’Algérie.

Secrétaire National du Front National des Jeunes Rapatriés, Secrétaire National de la Fédération pour l’Unité des Rapatriés et des Réfugiés, Co-fondateur du Cercle Algérianiste, Président Fondateur de Patria Nostra et de tant d’autres associations en faveur de mon Peuple les Pieds Noirs, fils d’un père assassiné, enfant de Bab-el-Oued, quartier martyr d’Alger, je n’oublie pas et n’oublierai jamais mes parents et mes amis tombés sous les balles de la France, de l’ALN et, bien souvent aussi, sous les balles de leurs propres frères de combat. Ce fut le temps des trahisons.

De Vive l’Algérie Française à Je vous ai compris, je n’oublie pas, non plus, le temps des mensonges.

Des prisons à la torture, des enlèvements aux cercueils, des serments aux valises, des pleurs au sang, j’ai vu massacrer les miens.

Je les ai vus jetés sur Terre, sur Mer et dans les Airs. Je les ai vus prendre la fuite en laissant tous leurs biens. Je les ai vus subir des années de souffrances et de labeurs, de tendresses et de joies. Je les ai vus mourir de froid lors de ce terrible hiver 62-63 qui gela la France jusqu’aux os et jusqu’au cœur. Je les ai vus se suicider. Je les ai vus périr en mer. Je les ai vus tomber, les pieds en sang, d’avoir trop marché pour trouver un logement ou un travail. Je les ai vus affronter leurs cancers. Je les ai vus insultés et lapidés.

Mais j’ai entendu aussi les clameurs haineuses, les mises à mort. J’ai entendu les gémissements de corps martyrisés, de femmes et d’enfants battus, violés, brûlés, de vieillards pleurant sous les crachats. J’ai entendu la désespérance qui accompagnait le spectacle de leurs cadres, pleins de toute leur vie, trempés dans l’eau ou plongés dans la Loire.

Enfin, j’ai entendu les silences de toute la classe politique française et algérienne.

Ce fut la terreur, un carnage, un génocide puis l’exode, l’exil à travers le monde.

Cependant, nous sommes restés debout, dignes et silencieux. Nous avons étudié. Nous avons travaillé durement. Nous avons observé plus d’un demi-siècle de recueillement. Nous avons surmonté plus de passages d’obstacles que nul autre peuple contemporain. Nous avons fait face aux promesses non tenues et au mépris de la parole donnée.

C’est la main tendue, que nous avons, en vain, attendu la justice alors que des hordes entraient chez nous pour voler nos meubles et nos souvenirs.

Les gouvernants de ces deux rives n’ont rien construit de durable en 50 ans, d’un côté comme de l’autre de la Méditerranée.

Tout s’est envolé, les milliards du pétrole et ceux des trente glorieuses.

La France et l’Algérie sont à genoux.

Le Peuple français est confronté à la paupérisation et au chômage et le Peuple algérien à la misère et à l’exode pour survivre.

Tant de sueur, de larmes et de sang pour rien : Heureux sont les martyrs qui n’ont rien vu !

Et, nous ?

Avons-nous pris les armes ? Avons-nous monté des milices pour nous défendre ? Avons-nous commis des massacres ? Avons-nous réclamé les terres perdues ? Avons-nous retraversé la mer pour obtenir justice et vengeance ?

Non, jamais !

La Guerre, qui a duré 8 ans, a opposé la France à l’ALN. L’OAS n’a pas été une affaire de Pieds-Noirs. Deux civils Pieds-Noirs seulement sont apparus dans l’ensemble de l’État-major de l’OAS qui était une organisation militaire française de révolte à la politique d’abandon !

Combien de criminels de guerre d’un côté comme de l’autre ont été amnistiés, à deux reprises, par la puissance publique française en dehors de toutes les lois internationales ?

Nous sommes des femmes et des hommes pacifiques, misant sur le développement de la Paix et sur le développement durable de la Méditerranée. Nous voulons faire refleurir l’amitié et la solidarité qui unissaient jadis tous les peuples de la Méditerranée.

L’avenir de nos enfants et petits-enfants des Deux Rives de la Méditerranée doit être bâti comme celui des Deux Rives du Rhin en oubliant les tourments du passé.

Li fet met ! Le passé est mort ! Laissons les morts enterrer les morts !

Nous venons de créer un Etat pour entrer en Paix au sein du concert des Nations.

Notre Peuple Pied-Noir, notre Nation Pied-Noir ne peuvent mourir.

Nous allons acheter notre territoire. Nous ne sommes pas des voleurs. Nous allons payer nos terres pour la deuxième fois.

Nous allons faire vivre nos enfants chez nous et enterrer nos morts chez nous.

Oui, nous supportons une nouvelle fois des mensonges et des trahisons y compris à l’intérieur même de nos structures, mais nous voyons aussi arriver à nos côtés des européens de toutes les Nations qui ne supportent plus le sort qui leur est infligé au nom du châtiment de Dieu.

Dieu, quel qu’il soit, est clément et miséricordieux. Il ne demande pas que coule le sang.

Si la France veut s’endormir à l’ombre des minarets, pendant que l’on brade ses Eglises, que l’on vend ses Temples, qu’on martyrise ses Synagogues et qu’on crache sur ses Tombes, c’est son droit et nous le respectons.

Nous partons, comme nous l’a conseillé un représentant de la République française nous disant « Allez vous faire voir ailleurs ».

Mais, fidèles au « Chant des Africains », nous reviendrons lorsque le sol de la Patrie sera en danger comme l’ont fait nos grands-pères en 14/18 et nos pères en 39/45.

Le Courage et l’Espérance sont notre Patrie.

Les français libres ne sont-ils pas partis en Angleterre pour revenir combattre et gagner la guerre ?

Nous partons pour ne pas subir, mais nous reviendrons comme La Fayette.

Jacques Villard, Chef du Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil,

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6 décembre 2017

LA SAINTE PATRONNE DES ORANAIS AU SACRÉ-CŒUR DE MARSEILLE

ND de Santa-Cruz2

ND Santa Cruz

            C’est par quelques lignes qui nous parlent du miracle de la pluie de 1849 que la presse locale  invite ce vendredi 8 décembre 2017, les oranais de la région à la procession qui précèdera la messe célébrée par Mgr Ellul en ce jour de l'Immaculée Conception.

           Après l'exode des rapatriés en 1962… En 1964  la Vierge a été reçue à Nîmes.

           C'est là dans un nouveau sanctuaire et pour maintenir la tradition  que se déroulent depuis toutes les grandes rencontres.

           La Vierge de Santa-Cruz grâce à la présence des sections locales des Amis de Santa Cruz  comme ici à Marseille par exemple entretiennent la tradition du partage par des déplacements dans les régions où vivent les rapatriés d'Oranie et ils sont nombreux en Provence.

           Pour la rencontre de ce vendredi nous souhaiterions une présence nombreuse, venez  retrouver tous nos chants d'autrefois, certains que les paroles sont encore incrustées au fin fond de votre mémoire. pour les prières, promis/juré vous aurez même droit à la nouvelle version du Notre Père dont la presse et les radios nous en tant parlé !

           La musique de la Légion sera également présente. Il y aura des frissons dans l'air.

           Nous vous en avons parlé… La procession prévue en extérieur a été interdite par les autorités, tout se déroulera donc à l'intérieur de la Basilique donnant à cet évènement une autre dimension.

           Un chez nous, sans limite, des voutes qui ne cesseront de résonner lorsque nous chanterons à pleins poumons : chez nous soyez reine (vous connaissez !!!)

A vendredi  les amis.

Guy Montaner AOBR

Quelques images de l'évènement:

Santa-Cruz 001

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VIDEO DE LA MANIFESTATION SUR YOUTUBE

NOTRE DAME DE SANTA CRUZ à MARSEILLE LE 8/12/2017 DE ANTOINE ORSERO (A noter a 7"25 du début "l'Avé Maria" interprétée par Géraldine Bueno)

On ne verra plus ND de Santa-Cruz à Marseille... 

Et oui, c'est un beau cadeau qu'elle nous a fait, veille de Noêl !!!

Je remercie ceux qui ont partagé ce moment avec nous , qui nous ont permis de nous sentir présent avec eux et avec ND de Santa-Cruz.

J'ai comme vous tous sans doute apprécié la merveilleuse voix de Géraldine, je pense que c'est aussi un beau cadeau qu'elle a fait à notre Communauté PN, sans doute aussi pour faire plaisir à son "papa"

Merci à elle et à vous TOUS qui avaient partagé.

José Bueno.

Retour à tous les pèlerinages.

 

6 décembre 2017

FRENDA

Frenda n’a pas été conquise puisqu’en 1841 l’Agha Ali Ould Kadi qui régnait sur ce territoire a accueilli volontairement les français. Aidé de sa famille, il aida les troupe françaises dans leur œuvre de colonisation et accueilli chaleureusement les familles européennes qui venaient s’installer à Frenda

Commune mixte créée en 1880, elle était composée de nombreux Douars : Ghronadis, Haouaret, Medrousssa.

Documentation complète sur encyclopedie-afn.org

Carte_Michelin_Frenda

Frenda 603

Frenda 12- Vieux Frenda

Frenda 15

Frenda 17

Frenda 605

Frenda 06

Frenda 07- Bd Foch

Frenda 10- Commune mixte

Frenda 601

Frenda 08

Frenda 02- Place Médecin Colonel Paul Lebon

 

Frenda 04

Frenda 05

Frenda 03- Sous-prefecture

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Frenda 13- La poste

Frenda 18

Frenda 22

Frenda 600

 

Frenda, fraicheur, charme et verdure.

Sur PN d'aujourd'hui.

Retour villes et villages d'Oranie.

3 décembre 2017

FLEURUS

Les premiers colons sont arrivés à Fleurus le 16 novembre 1848 ( sixième convoi)

Carte_Michelin_Fleurus

Fleurus 602

Fleurus 601

Fleurus 03

Fleurus 04

Fleurus 05

Fleurus 02

Fleurus 01

Amicale des anciens, historique de Fleurus en Oranie

fleurus-en-oranie-1848-1962 sur Librairie PN

            Voici l'histoire d'un village de colonisation, créée en Algérie par la IIème République, depuis ses débuts jusqu'à la finbde la guerre d'indépendance. Fleurus, devenue depuis Hassiane Ettoual, à quinze kilomètres d'Oran, retrouve ici ses couleurs d'autrefois.

            L'auteur s'appuie sur des sources très diverses, parfois inusitées: archives officielles et familiales, presse et annuaires d'époque, mémoire orale, ses propres souvenirs et un manuscrit inédit d'un des premiers colons. Il analyse la structure changeante de la population, l'évolution de la vie familiale et civique, de la propriété, de l'agriculture, des petites industries, des divertissements, des religions et  du bâti. Il souligne les origines diverses du peuplement, français, espagnol, allemand et arabo-berbère et les parlers des différentes époques: quatre chapitres sur vingt sont des conversations-scénarios basées sur des faits documentés.

            Cette micro-histoire détaille un visage local de la colonisation et de la décolonisation, sans parti pris politique. Elle s'enrichit de plus de cents cartes, photos et tableaux, et de neuf annexes accessibles en ligne.

12 Pieds Noirs de Fleurus.

Retour villes et villages d'Oranie.

3 décembre 2017

« QUAND L’AMOUR RENAÎTRA »

Par José Castano

quand-l-amour-renaitra

            Deux destins parallèles constituent la trame de ce roman, véritable message d’espoir envers ceux qui ont connu le malheur et ne croient plus en l’avenir.

           Elle, jeune, jolie, cultivée, douce, romantique, passionnée…

           Lui, beau, intelligent, fourbe, calculateur, opportuniste, aventurier…

           Rien ne dispose ces deux êtres aussi différents à s’aimer. Pourtant, au fil des jours, ils vont, secrètement, développer un amour que les liens familiaux et la morale réprouvent. Ils vont s’aimer sans pouvoir se l’avouer jusqu’au jour où le drame éclate.

           De cette tragédie naîtront de cruels souvenirs propres à mener vers le naufrage… Seule la force de la vie permettra un retour vers le rivage car l’espoir est toujours vainqueur. Ce sera le miracle de l’amour.

           C’est comme il en a coutume dans un décor féerique agrémenté de descriptions somptueuses servant d’écrin à cette belle et tragique histoire d’amour, que l’auteur, avec la passion qu’on lui connaît, exprime cet hymne à la vie comme un défi perpétuel aux souffrances du monde..

Commande auprès des Publications José CASTANO

37, Boulevard Sarrail

34250 PALAVAS LES FLOTS

Prix : 15€, franco de port.

Règlement à la commande.

3 décembre 2017

5 DECEMBRE 2017

L'une des manières les plus efficaces de nous opposer aux commémorations du 19 mars est de nous rendre en masse aux cérémonies du 5 décembre dans tout l'hexagone. LVD

5 décembre 2017

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A 16h00 dépôt de gerbe de l'AFRAN au Parc Général Brosset à Rillieux la Pape.

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