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29 juin 2014

COMMEMORATIONS DU 5 JUILLET 1962 - 2014

PARIS

1

10 H. Église Sainte Odile messe du Souvenir - AAALGERIANIE / ANFANOMA / ARMR / GRFDA / MAFA perpétuons cet hommage et vous prions de venir nombreux. (2 avenue Stéphane MALLARMÉ 75017 PARIS célébrée par le Père ARGOUARC’H)  METRO : Ligne 2 - BUS : PC1 / PC3 / 92 / 93 / 84 Station PORTE DE CHAMPERRET

NB : A l’issue de la cérémonie religieuse, possibilité d’un déjeuner en commun à 12 heures au restaurant « Le Clos de Courcelles » 214 rue de Courcelles, 75017 / PARIS. 28 € par personne, contacter Monique CHAVRONDIER pour inscription avant le 1er juillet. MAFA / 95 rue d’Amsterdam / 75008 / PARIS Téléphone fixe : 01 45 26 29 33 Fax : 01 40 16 91 91 Courriel : mafa.pn@orange.fr

15 HEURES Mémorial du Quai Branly Recueillement et dépôt de gerbes.

2

ARC DE TRIOMPHE

 3

17h45 rdv en haut des Champs Élysées

18h30 La Fédération Comité de Liaison des Associations Nationales de Rapatriés (CLAN-R) Membre du Comité de la Flamme ravivera la Flamme sous l’Arc de Triomphe.

Des gerbes seront déposées par le CLAN-R- A.N.R.O Membre du Clan - A.L.L.O Les Anciens du Lycée Lamoricière membre du Comité de La Flamme.

COMMEMORATIONS CONNUES EN PROVINCE

 AOBR

LYON le 4 Juillet messe en l’Église Saint Pothin à Lyon 6ème.

Le 5 Juillet à 17 H cérémonie devant le Monument aux Morts d'Oran, Place du Bachaga Boualem à Lyon 9ème, par la Ville de Lyon, sous la présidence du Sénateur Maire de Lyon.

 

BAYONNE 18h30 Stèle des morts de l’Algérie Française- Cimetière municipal.

 

CHAMIERS 11h. Stèle des Français d’Algérie -Cimetière St Auguste.

 

HYÈRES 9h. Stèle des Martyrs- Cimetière- Chemin de la Ritorte.

 

LA GARDE 18h15 Église de la Nativité (A.R.A.N.O.M.) Amicale des Rapatriés d’ Afrique du Nord et d’Outre-Mer Nous associons dans nos prières nos amis Harkis sous la protection de notre Dame d’Afrique, la messe sera animée par la chorale de Don Bosco en présence des Drapeaux des Anciens Combattants, Gérard PASTOR.

MARSEILLE

10h15 au monument de l’hélice, corniche Kennedy ; Organisé par l’ANRO.

18h30 Sur le bateau LE ZÉNITH les 500 croisiéristes commémoreront le 5 juillet en lançant une gerbe à la mer.

19h. Une messe sera célébrée en la Basilique du Sacré Cœur. 9 Avenue du Prado.

 

NANCY 11h15. Messe en la chapelle Marie Immaculée. 33, Av. Général Leclerc.

 

PÉROLS Cimetière St Sixte- Entrée A.

 

PERPIGNAN 18h hommage et dépôt de gerbe. Mémorial des Français Disparus et Victimes Civiles de la Guerre d’Algérie. Couvent Ste Claire de la Passion.

4

SAUSSET LES PINS 11H Monument aux Morts.

 

TOULON 18h. Messe en la cathédrale. 55, place de la Cathédrale.

 

SIX-FOURS-LES-PLAGES 10h. Messe à Sainte Anne présidée par Mgr Jean-Yves MOLINAS, vicaire général du diocèse.

 

SAINT RAPHAEL  St-Raphaël 18h30 Messe en la Basilique Notre-Dame de la Victoire (centre ville)

 

AUTERIVE (Haute Garonne) messe 18 h à l'Église Saint Paul. Contact Paule Perez (épouse Famery) 06 71 86 06 42

 

NICE à 10h30 : dépôt de gerbe à la Stèle des Rapatriés, square Alsace-Lorraine et à 11h00 : Messe en l’église St-Pierre d’Arène

CALENDRIER DES MANIFESTATIONS ORGANISÉES, SOUTENUES OU ENCOURAGÉES PAR L'ADIMAD

Retour aux commémorations du 5 JUILLET 1962.

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27 juin 2014

Lieutenant Roger DEGUELDRE, martyr de l’Algérie française

Par José Castano

« Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » (Roger Degueldre)

            Né le 19 mai 1925 à Louvroil, dans le Nord, Roger Degueldre, dissimulant son jeune âge derrière un physique impressionnant, entre en Résistance dans le maquis FTP de Roger Pannequin, surnommé « Commandant Marc ». Avide de combattre au plus près l’envahisseur allemand, il s’engage dans la 10ème Division d’Infanterie Motorisée qui participe à la réduction de la poche de Colmar, en janvier 1945.

           La guerre terminée, c’est à titre étranger qu’il s’engage dans la Légion Étrangère. Il servira, en Indochine, au 1er Régiment Étranger de Cavalerie et fera très vite parler de lui… Le 21 janvier 1950, à Tra-Vinh, dans le delta du Mékong, au péril de sa vie, il sauve d’une mort certaine sous le feu ennemi, le Capitaine de Blignières… plus tard, colonel, commandant le 1er REC. Cette action héroïque lui vaut d’obtenir la Médaille Militaire.

           La guerre d’Indochine se terminant, déçu, frustré et amer par l’issue des combats, l’adjudant Degueldre -Croix de Guerre des Théâtres d'Opérations Extérieures avec sept citations, (une Palme, deux Étoiles de Vermeil, deux Étoiles d'Argent et deux Étoiles de Bronze)- volontaire pour les parachutistes, rejoint le 1er Bataillon Étranger de Parachutistes qui prendra l’appellation de 1er Régiment Étranger de Parachutistes, dès 1955, durant la guerre d’Algérie.

           Il participe avec son régiment, en 1956, à l’opération de Suez puis, dès son retour, à la Bataille d’Alger dans le but d’éradiquer les bandes terroristes qui sèment la mort et la désolation dans la ville.

           En janvier 1958, il gagne ses galons d’officier, au feu, à Guelma, et participe à la bataille des frontières dans l’Est-Constantinois. Son ardeur au combat, son exemplarité et le dynamisme qu’il insuffle à ses hommes lui valent d’être décoré de la Croix de la Valeur Militaire avec Palme. Le 26 septembre, il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.

           Le temps passant, les atermoiements, les palinodies, les revirements et les reniements de De Gaulle sur le maintien de l’Algérie française sèment le doute puis la colère et l’amertume auprès de bon nombre d’officiers… Degueldre en fait partie. Il assiste, impuissant et rageur à la destruction d’une armée victorieuse et à la livraison de l’Algérie au FLN, rendant vains les sacrifices consentis.

           Après la révolte des officiers du 1er REP, le 8 janvier 1961, il est muté disciplinairement au 4ème Régiment Étranger d’Infanterie mais il refuse de rejoindre son nouveau corps. Le 25 janvier 1961, il entre dans la clandestinité et effectue des missions secrètes pour le compte des services spéciaux commandés par le Colonel Jacquin.

           Le 21 avril 1961, il réintègre son unité lors du putsch des généraux. La révolte avortée, il retrouve la clandestinité et rejoint les rangs de l’Organisation Armée Secrète (OAS) où il est nommé par le Colonel Godard, chef du Bureau d’Action Opérationnel (BAO).

           Fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur ! », il retrouve, dans la résistance à l’abandon, une raison de poursuivre le combat et une justification au serment qu’il a prêté sur le cercueil de son chef, le Colonel Jeanpierre : « Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »

           Au sein de l’Organisation, il s’emploie à forger une arme redoutable et redoutée de tous, tant de l’Élysée, des barbouzes, que du FLN : Les Commandos Delta qui, ayant pour slogan : « L’OAS frappe où elle veut, quand elle veut ! », mènent un combat de tous les instants, rude, chaotique, désespéré, mortel, mais si efficace qu’il sème l’angoisse et la crainte dans les plus hautes sphères… et que la fatalité des circonstances précipitera vers un dénouement tragique.

           Le 7 avril 1962, Degueldre est arrêté à l’issue d’une réunion réunissant plusieurs responsables de l’Organisation. Reconnu, il est aussitôt transféré en métropole et écroué à la prison de la Santé.

           Le 28 juin s’ouvre son procès qui n’est autre qu’une parodie. A cet effet, une juridiction d’exception, la Cour Militaire de Justice, est créée afin qu’il ne puisse, contrairement au général Salan, obtenir les « circonstances atténuantes » et sauver sa tête. Le général Larminat doit la présider. Ancien de l'armée coloniale, il refuse de juger le condamné et déclare : « Je ne serai pas le Fouquier-Tinville de la Ve République. Je me tuerai ce soir » Dans la soirée, il met fin à ses jours. Qu'importe ! Il est remplacé par le général Gardet. La justice expéditive gaulliste ne va pas s'arrêter sur un cas de conscience… En un minimum de temps, après une absence d’instruction et de témoins à décharge, l’officier parachutiste est condamné à la peine de mort.

           Refusant dédaigneusement le recours en grâce présenté par la défense, c’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 d’Oran qui fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, (lequel aurait dû pourtant l’inciter à la clémence), que De Gaulle prend la décision de faire fusiller le Lieutenant Roger Degueldre.

           Le 6 juillet 1962, à 02h30, les deux défenseurs du condamné, Jean-Louis Tixier-Vignancour et Denise Macaigne arrivent à la prison de Fresnes en même temps que l'avocat général Gerthoffer qui a requis la peine capitale et l'aumônier de la prison. Avant de quitter sa cellule, il prononce, en guise d'adieu, ses dernières paroles : « Je suis fier de mourir pour tenir le serment qu'a fait tout officier ayant servi en Algérie. Dites aux Algériens que, si je ne suis pas de leur race, n'étant pas né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours. » Se tournant vers le procureur Gerthoffer, il déclare : « Je ne vous garde pas rancune, mais je vous plains. »

           Puis, c’est le départ vers le fort d’Ivry où doit avoir lieu l’exécution. Á 03h45, l’Officier se présente devant les douze soldats du peloton d’exécution, en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il a tout sacrifié et qu’il a choisi comme linceul. Autour de son cou, il a noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y a la photo d’un bébé, son fils qu’il n’a jamais vu. Il a conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé est venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écrie-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refuse qu’on lui bande les yeux et, au poteau crie : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.

           Les trois premiers officiers désignés pour commander le peloton d'exécution ayant refusé d’accomplir cette sinistre besogne, les Capitaines Jean de Balby de Vernon, Michel Cabanes et Michel Martet, du 501ème régiment de cavalerie de Rambouillet, sont sanctionnés, rayés des cadres et mis aux arrêts. Les officiers suivants qui ont refusé l'ordre, ont été également sanctionnés.

           Il est 03h56. Le sous-officier remplaçant, chef de peloton, abaisse le bras. Les soldats qui doivent exécuter le Lieutenant Degueldre, émus par son courage, hésitent à tirer. Douze coups retentissent cependant dans la nuit… mais une seule balle l’atteint : au ventre diront certains.

           L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipite, l’arme à la main, pour accomplir sa « mission » et se rend compte que le condamné est toujours en vie. Sa tâche ne consiste désormais plus à achever un quasi-mort, censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes... Il en a si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission tremble, et que le revolver se décharge dans le vide. Livide, désemparé, l’adjudant tire une deuxième fois et rate encore sa cible.

           Les défenseurs, voyant que Roger Degueldre souffre atrocement, réclament l’intervention d’un médecin. Celui-ci, arrivé sept minutes plus tard, atteste que le supplicié vit toujours. Il faut donc l’achever au plus vite. Et pendant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé continue de gémir…

           L’adjudant, toujours tremblant, pointe une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferme les yeux et appuie sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produit. L’arme s’est enrayée. Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur Gerthoffer ordonne qu’une nouvelle arme soit apportée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possède. Il faut courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre est toujours vivant et son calvaire interminable.

           À partir de ce moment-là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels ; il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les États-Majors, le FLN et l’Élysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

           Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu (peut-être) changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce au condamné… Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée…

           Enfin on remet un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, dans un état second… mais obéissant servilement au commandement de tuer, doit en finir puisque tels sont les ordres. Un nouveau coup de feu claque. Stupeur ! Celui-ci est tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradie le corps du supplicié. Il regarde vers le ciel et ouvre grands ses yeux. Peut-être perçoit-il à cet instant que son calvaire prend fin. Il est tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui semble entendre, là-haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».

Á 04h08, une nouvelle détonation retentit… et c’est la fin. La boucherie a duré 12 minutes… 12 atroces minutes..

           C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Étranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien.

           Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton. Décidément, le crime était profondément enraciné !…

           Le Lieutenant Roger Degueldre aura respecté jusqu’à la fin son serment « la mort plutôt que le déshonneur ! ». Après avoir été enterré au carré des suppliciés dans le cimetière de Thiais, il repose aujourd’hui au cimetière des Gonards, à Versailles.

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

Retour Joseph Castano.

           Le Lieutenant Degueldre s’était adressé à ses camarades officiers en ces termes :

« Faites bien attention. Vous affirmez que rien ne vous empêchera de garder l’Algérie à la France. J’ai prêté ce serment avec vous. Mais sachez bien qu’en ce qui me concerne, il sera respecté. J’irai jusqu’au bout ! »

- L’assassinat du Lieutenant Degueldre. Voix de Jean-Pax Meffret 

Ce jour là ... 6 juillet 1962

LD 1 LD 2

« … Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées

Par ses fusils levés à l’épaule des frères,

Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées

Le prix des reniements au plus juste salaire… »

Robert BRASILLACH

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6 juin 2014

LE SOLEIL COLONIAL - AU ROYAUME DES CAILLOUX

Prix à l'unanimité du jury Terre d'Eghriss / L’autre Rive, de l’association de Thiersville, présidée par Lucien Cano , vice-président Jean-Félix Vallat.

Le soleil colonial

Cette petite saga est une suite indépendante de L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya (2013), où l'auteur a suivi les pérégrinations de Grain de Bled à travers le temps et l’espace de l’Afrique du Nord dans le but de venir s’incarner dans une petite fille, Marie Sahara, dont il est l’âme.

Échappés in extremis à la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran, les derniers membres de la famille, le cœur brisé, doivent quitter définitivement leur patrie algérienne.

Ce livre se veut aussi un hommage à la fraternité qui régnait en Algérie, fait oublié de l’histoire officielle.

Et comment ne pas rapprocher ce "soleil colonial" du livre de Ferhat Abbas : La Nuit coloniale ?

Deux visions d'une même histoire qui n'est jamais ni toute blanche ni toute noire…

"Moi qui suis petite-fille et fille de colons, fière de leur travail, j’ai voulu témoigner de la grandeur de ces femmes et de ces hommes que j’ai vus à la peine pendant toute leur vie pour fertiliser une terre sauvage et hostile.

Ils sont devenus seigneurs – mais d'un royaume de cailloux qu’ils ont passionnément aimé."

Maïa Alonso est l’enfant de la quatrième génération d’une famille espagnole arrivée d’Arboleas pendant l’été 1870, pour s’établir dans le Sud oranais, dans la région de Mascara.

ISBN 978-3-932711-40-4 Collection France–Algérie 40 - Prix : 22 €

 

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Retour NOS LECTURES

4 juin 2014

LES COMMUNISTES FRANÇAIS DURANT LA GUERRE D’INDOCHINE

Par José Castano

« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. » (Journal communiste « L’Humanité » du 6 mars 1952)

Après le bombardement du port de Haiphong, le 23 novembre 1946, par la Marine française, le Viet Minh, dirigé par Hô Chi Minh, président de la République démocratique du Viêt Nam (dont l'indépendance a été proclamée à Hanoi le 2 septembre 1945), décide de lancer, le 19 décembre 1946, une offensive ayant pour but la « libération » de la ville de Hanoï. À 20 heures, une explosion dans la centrale électrique de la ville annonce le début de l'insurrection. De nombreux ressortissants français sont massacrés et des maisons pillées. Hô Chi Minh appelle tout le peuple vietnamien à se soulever contre la présence française : « Que celui qui a un fusil se serve de son fusil, que celui qui a une épée se serve de son épée… Que chacun combatte le colonialisme ! ». C’est le début de la guerre d’Indochine. Elle va durer huit ans.

La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ». Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».

Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ». Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.

La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ». Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…

Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et  limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.

Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! Et cette strophe du poème du capitaine Borelli, officier de Légion, adressé à ses hommes morts au combat, prennent ici, un sens particulier : « Quant à savoir, si tout s’est passé de la sorte, si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas, si vous n’êtes pas morts pour une chose morte, Ô, mes pauvres amis, ne le demandez pas ! »

Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT,  la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations  ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d'une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l'express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés...

Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».

Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (1) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder.

Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français...

            La fin tragique de la bataille de Diên Biên Phu scella la défaite de la France et l'obligea à se retirer de l'Indochine mais le PCF demeura actif et poursuivit son action dévastatrice au sein du contingent et de ses réseaux de « porteurs de valises », durant la guerre d’Algérie. Combien de nos jeunes soldats sont morts sous les balles des communistes français livrées aux tortionnaires du FLN ?...

José CASTANO

E-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

(1)Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine. L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998.

« Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc, officier putschiste du 1er REP)

Soldats français prisonniers du Vietminh

 

7 8 9

Ces hommes mourant sur des civières ne sont pas des déportés à Buchenwald ou Mauthausen et pourtant, avec des milliers d'autres camarades, ils ont rejoint la longue cohorte des ombres et des martyrs de l'Histoire qui appellent à un « devoir de mémoire » éternel et à l'indignation la plus vive, car le crime, ici, est resté impuni.

Rappelons une ultime fois l’ignominie de ces camps de la mort et la véritable nature du Viêt-Minh et de ses collaborateurs. La guerre d’Indochine ne fut pas une guerre comme les autres. Contre des soldats prisonniers -en principe, couverts et protégés par la Convention de Genève- le Viêt-Minh et ses sbires français, tels que des monstres de la trempe de Boudarel ont perpétré un génocide qui n’a d’équivalent au XXème siècle que celui effectué par les nazis.

Dans ces antichambres de la mort, en plus des brimades et des privations communes à tous les centres d’internement, nos soldats furent soumis aux fantaisies machiavéliques d’un professeur de philosophie français qui avait déserté pour devenir « Commissaire Politique » (Can Bô pour les viets) à la solde de l’ennemi.

Cet individu de basse besogne, vil et lâche, profita de l’appui du PCF pour retrouver un poste de leader syndicaliste en Tchécoslovaquie et, à la chute du mur de Berlin, revenir sans la moindre inquiétude en France pour y retrouver, avec l’appui d’intellectuels communistes, une chaire universitaire et usurper une retraite « bien méritée » (dixit le PCF). Protégé par l’intelligentsia de gauche, ce criminel de guerre, finira ses jours tranquillement dans son lit avec la satisfaction du « devoir accompli », notamment au camp 113. Boudarel, de par ses multiples protections, a échappé au châtiment des hommes et ses victimes ne connaîtront jamais la paix.

Les amis français des « Can Bô » siègent toujours au Parlement et leur objectif demeure le même depuis la fin de la première guerre mondiale : La destruction de la Nation française...

Nos soldats ne furent pas les seuls à connaître les sévices du goulag rouge. De nombreux vietnamiens furent également soumis à la torture, au lavage de cerveau et à l’extermination. Le Viêt-Minh de l’oncle «  » traqua aussi les montagnards Moï, Lao, Hmong, Rhadés, Thaï ou Nung dans le but avoué d’éradiquer le pays de leur existence et de les punir (comme, plus tard, le seront les harkis en Algérie), de leur fidélité à la France. Ne les oublions jamais !

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MAJ JUIN 2016

Bien que les guerres « coloniales » n’aient plus cours, à l’appui des grèves qu’elle affectionne, la CGT pratique toujours, de nos jours, le sabotage industriel. Cliquez sur ce lien : CGT qui pratique le sabotage. ou ICI

La CGT complice, comme hier, des sabotages de la société française Par Gérard Brazon. Cliquez sur ce lien : Liberté d’expression

Ce n’est pas la première fois que la CGT sabote l’outil de travail en cas d’impuissance ou sous des prétextes divers. Souvent politique comme cette consigne du Parti communiste lors de la guerre d’Indochine: « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT… ce qui entraîna la mort et la mutilation d’innombrables soldats français.

Le 24 mars 1952, Léon Feix écrivait dans le quotidien communiste  « L’Humanité » : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste ».

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4 juin 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°93

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Mardi 3 juin 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

On appelle ça des djihadistes français !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Non, nous ne rêvons pas : après l’envahissante immigration maghrébine, après le port du voile intégral qui se prolonge malgré l’interdiction faite par la loi, après certaines mosquées honteusement financées par des structures administratives françaises (municipalités, départements, régions…), après la montée de l’Islam radical en France (et dans le monde), après les drapeaux algériens agités dans les mairies françaises pendant les mariages, après les retraites payées à des centenaires algériens morts depuis longtemps….voici venu le temps des jihadistes français ! Magie du verbe, enfer des mots.

         Dans des registres différents la France a subi des actions terroristes menées par des jihadistes français qui n’ont jamais caché leur parti pris pour la cause musulmane et/ou antisémite, en France et hors de France :

- Khaled KELKAL et sa bande d’algériens inféodés au Groupe Islamiste Armé (GIA), provoquant les attentats de l’été 1995 (8 morts, 148 blessés) en France,

- Abdul Abdallah YAHIA et son groupe d’algériens inféodés au GIA, responsables de la prise d’otages à bord d’un avion d’Air France, à Marseille, entre le 24 et le 26 décembre 1994, qui fit 7 morts (4 terroristes, 3 otages),

- le gang de Roubaix, co-fondé par Lionel DUMONT et d’autres braves  français convertis à l’Islam, dont certains membres, proches d’Al-Qaïda, allèrent combattre en Bosnie contre les Serbes, en 1994-95,

- Youssouf FOFANA, français d’origine ivoirienne, cerveau du diabolique d’une bande  autoproclamée gang des barbares (sic), qui tortura pendant 3 semaines Ilan HALIMI, 24 ans, mort le 13 février 2006 parce qu’il était juif,

- Mohamed MERAH, de sinistre mémoire qui assassine 8 personnes, dont 3 enfants, et fait 6 blessés, avant d’être abattu par le RAID le 22 mars 2012 :

   le 11 mars à Toulouse, il tue à bout portant 1 parachutiste : Imad Ibn ZIATEN,

   le 15 mars à Montauban, près de la caserne Doumerc, il tue 3 parachutistes : Mohamed LEGOUAD, Loïc LIBER et Abel CHENNOUF,

   le 19 mars à Toulouse, devant l’école juive Otzar Hatorah, il tue 4 personnes : Jonathan SANDLER, 31 ans, professeur d’hébreu et père de 2 enfants tués aussi, Arié SANDLER âgé de 2 ans et Gabriel SANDLER âgé de 4 ans,

   puis le tueur entre dans la cour et tue Myriam MONSEGO, 9 ans, fille du directeur de l’école ;

notes sur cette famille maghrébine qui déteste la France :

    - le père du tueur, Mohamed Ben-Allal MERAH, né en 1942 en Algérie, est venu travailler en France, où il fut ouvrier dans une usine, en 2000 il a été condamné à 5 ans de prison pour trafic de cannabis (!), en 2004 il retourna  définitivement en Algérie (sans qu’on lui demande le remboursement de toutes les allocations familiales qu’il avait perçues…),

    - la mère du tueur, Zoulikha AZIRI, née en 1957 en Algérie, osera déclarer « mon fils a mis la France à genoux, je suis fière de ce qu’a fait mon fils »,

    - quant à la sœur du tueur, Souad MERAH, elle a si bien été surveillée par la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI)….qu’elle vient de quitter la France, il y a quelques jours, sans avoir été interpellée (et sans qu’on lui  demande le remboursement de toutes les allocations familiales qu’elle a perçues…). Il est vrai qu’elle était invisible : elle portait un voile intégral ! Bravo à la DGSI.

- Mehdi MENNOUCHE, enfin, français de 29 ans originaire de Roubaix, (pote à Martine ?) qui vient d’assassiner  4 personnes devant lemusée juif de Bruxelles, samedi 24 mai, arrêté par inadvertance (vérification d’un bus par des douaniers) le 30 mai à Marseille. Pour mémoire : il était fiché comme combattant islamiste en Irak et en Syrie. Encore bravo la DGSI.

         Il faut plus que jamais nettoyer les écuries de l’immigration :

- la stopper par tous les moyens, à nos frontières réelles, même si cela déplaît aux arrogants Députés européens vendus aux mondialistes,

- annuler la possible double nationalité, française et étrangère, rapidement,

- retirer leurs droits civiques à tous les délinquants étrangers disposant de la nationalité française,

- reconduire à la frontière tous les délinquants étrangers récidivistes, dans un contexte  d’affaires criminelles graves,

- déchoir de la nationalité française tous les étrangers tueurs de citoyens français, et les terroristes confirmés, avec expulsion définitive de France,

- même traitement pour les jihadistes français qui partent guerroyer au nom de l’Islam, avec retour interdit sur le sol de France et de toute l’Europe,

- retrait de toutes les aides sociales à leur famille, avec menace d’expulsion, si un comportement anti-français est avéré !

VOILA CE QU’IL FAUT FAIRE, PAR LA VOIX LÉGALE, POUR CESSER D’AVOIR DES GRAINES DE MERAH EN FRANCE.

         Je pensais que le peuple français avait atteint le fond du gouffre, en supportant toutes les dysfonctionnements qui le mettent en péril….hélas non, il continue à se vautrer dans les affres de son alarmant déclin, fortement accéléré par une islamisation galopante.

         Oh, estimés grands-parents et parents qui avaient tant fait pour que notre Nation s’élève, vous devez vous retourner dans vos tombes en apprenant que la France d’aujourd’hui aime à se faire crucifier par certains de ces maghrébins qu’elle a accueillis sur son sol et éduqués pour en faire des citoyens modernes.

         Si la France veut survivre il faut stopper l’immigration et inventer un détecteur de barbares(création d’emplois en perspective), rapidement.

FRANCE, REVEILLE-TOI !  MARINE….VITE !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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4 juin 2014

BULLETIN D'HUMEUR N°92

Libre propos citoyen

Document transmis par

LE PHAREFOUILLEUR  le Vendredi 30 mai 2014.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen - Article XI - 1789

Bal à l’UMP : Jean-François COPE sorti par les videurs !

Madame, Monsieur, cher(e)s ami(e)s et compatriotes,

         Après le gâteau fort savoureux des résultats des élections européennes, nous avons eu droit à la cerise sur le gâteau : Jean-François COPEexpulsé par les trois videurs de service, dans un contexte mélodramatique très réussi !

         Après les élections internes truquées des primaires de l’UMP, le 18 novembre 2012 (dans la famille il manque des urnes, je demande), après la tragi-comédie de la bataille des chefs (je t’aime, moi non plus), après le très émouvant Sarkothon (11 millions d’Euros), après les fausses factures (retrouvées par la Police) de Bygmalion (11 millions d’Euros), nous avons assisté à la chute de la statuette mal posée sur son piédestal, qui se donnait des allures de monument !

         Jean-François COPE, qui voulait nous faire croire qu’il avait la carrure d’un chef, a mordu la poussière….alléluia ! Un incompétent en moins.

         Nous nous rappellerons longtemps sa mine triste et ses joues blêmes (une pensée pour Dalida), avouant d’une voix de pauvrine comme on dit à Montpellier : « mais enfin…j’étais occupé par la campagne électorale…je n’étais pas au courant…on ne m’avait rien dit…ce n’était pas mon travail de vérifier…je demande aux Français de me croire… ». Non…ça c’était avant !

         Je lui ai trouvé des accents à la Jérôme CAHUZAC, pas vous ?

         Pour ma part il incarne une droite irresponsable coupable de coups électoraux tordus avec l’affligeant PS, contre le FN, bien sûr, parti qui n’a absolument rien à voir avec l’actuel désastre social, économique et politique.

         D’ailleurs Jean-François-le-sorti n’a jamais admis que les adhérents de son parti en avaient assez des comportements partiaux et prétentieux de la direction de l’UMP. Les fausses factures ont fait le reste. Merci Bygmalion !

         Souhaitons à ce parti qui a réglé son compte à sa fausse idole, de faire un ménage interne efficace, d’accepter l’union des droites, FN compris, sinon qu’il disparaisse et laisse la place à la nouvelle droite patriote et souverainiste qui a des projets pour la sauvegarde de la Nation Française.

         Adieu Jean-François COPE, et ne ressortez-pas de votre trou en 2017 ni en 2022…des ersatz comme vous les Français n’en veulent plus !

Merci de votre aimable considération. Bien cordialement.

Michel Salanon...de l'Hôtel Saint Maurice d'Aïn-el-Turck 

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1 juin 2014

NÎMES ASCENSION 2014

Comme tous les ans pour l’Ascension, le Mas de Mingue est redevenu, jeudi, la capitale des pieds-noirs d’Oran. Ils sont venus 20 000 de toute la France, pour se revoir et s’embrasser à grandes démonstrations de joie, déguster leurs plats nationaux comme la rate farcie et aussi sacrifier à la mona, aux merguez, à la paella et au couscous.

Pour aider aux retrouvailles, la cité s’est enrichie de nouveaux lieux : Cité Petit, Jean-Mermoz, Saint-Lucien, Saint- Cloud, Plateau Saint-Michel, Sidi Bel Abbès, place Hoche...

Il y avait aussi, au forum des associations, plusieurs auteurs qui dédicaçaient leurs ouvrages, le Collectif de sauvegarde des cimetières d’Oranie qui veille toujours au grain, des livres d’histoire et de recettes, des discussions désenchantées avec l’accent qui se perd !!

La procession, de l’église au sanctuaire, a débuté à 14 h 30 précises, une foule récitant le "Notre Père" et le "Je vous salue Marie" se levant et s’inclinant sur le passage de la vierge chérie hissée sur un lit de fleurs.

Santa-Cruz 2014

Vidéo de Gérard Roignant

Article de José Bueno sur "La Provence" du 31/05/2014

Grande ferveur à Notre­ Dame de Santa-Cruz

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 Retour à tous les pèlerinages de ND de Santa-Cruz.

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