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29 juin 2016

LE "DÉTAIL", LA TOURMENTE ET LA DISGRÂCE

Par José Castano

Je dédie cet article à Jean-Marie LE PEN pour ses 88 printemps…

« La véritable grandeur d’un homme ne se mesure pas à des moments où il est à son aise, mais lorsqu’il traverse une période de controverses et de défis » (Martin Luther King)

            De son vivant, Jean-Marie Le Pen aura été l’homme politique qui aura le plus suscité de controverses. Que n’a-t-on dit et écrit durant ces 60 années sur ce personnage charismatique hors du commun ? Patriote pour les uns, raciste et antisémite pour les autres, JMLP aura connu autant d’honneurs que de déboires, d’admiration que de rejets…

            Né le 20 juin 1928, il est âgé de 11 ans, en 1939, quand la guerre éclate. En novembre 1944, à 16 ans, il demande au colonel Henri de La Vaissière (alias Valin) à s’engager dans les Forces françaises de l’intérieur (FFI), mais celui-ci refuse en ces termes : « Désormais, ordre est donné de s'assurer que nos volontaires ont bien 18 ans révolus. Tu es pupille de la nation : songe à ta mère ! ».

            En 1954 il s’engage pour l’Indochine au sein d’une prestigieuse unité de légion : Le 1er Bataillon Étranger de Parachutistes où il sert comme sous-lieutenant.

            Le 2 janvier 1956 il est élu, à l’âge de 27 ans, député dans la 1ère circonscription de la Seine.

            En septembre 1956, fidèle à ses convictions « Algérie française », il rejoint ce pays et son ancienne unité –reconstituée sous l’appellation de 1er Régiment Étranger de Parachutistes- fleuron de l’armée française où il évoluera comme officier de renseignements avec le grade de lieutenant. Il sera décoré par le général Massu de la Croix de la valeur militaire.

            Profondément marqué par ces conflits, il épousera la cause israélienne alors que de Gaulle, son adversaire politique, se lancera, lui, dans une politique pro arabe (ses déclarations de 1967 sur le « peuple sûr de lui et dominateur » le rappellent).

            De cet engagement, JMLP gardera toujours des amitiés juives et éditera (bien avant la création du FN) un disque de propagande sioniste dont Golda Meir dira qu’il avait contribué à « resserrer les liens entre la France et Israël ».

            Parmi ses plus proches collaborateurs figuraient un ami d’Ariel Sharon et un ancien membre de l’Irgoun.

            En 1986, alors que les médias français et la « bienpensance » entreprenaient  leur œuvre de « diabolisation » à son endroit, l’hebdomadaire Tribune juive lui décernait un certificat de non-antisémitisme. En 1987, il fut reçu à New York par les représentants des organisations sionistes américaines qui se levèrent pour l’applaudir, y compris Netanyahou. A cette époque, il préparait une rencontre en Israël avec Ariel Sharon.

            Et pendant que JMLP marquait sa solidarité avec le peuple juif, les mauvais génies s’activaient dans l’ombre en n’ayant de cesse -à coups de sentences démagogiques et d’accusations fallacieuses d'antisémitisme- d’annihiler son action.

            Pour s’en dédouaner, JMLP –désormais président du Front National- créa le 1er octobre 1986 un Comité National des Français Juifs (CNFJ), association regroupant médecins, intellectuels et personnalités diverses, dirigée par un océanographe retraité habitant Monaco, Jean-Charles Bloch, avec l'aide du docteur Wolf et de Robert Hemmerdinger. Ce dernier, ancien résistant puis affecté à la recherche des criminels de guerre nazis, participera également à la guerre d’Indochine puis d’Algérie et combattra dans les rangs de l’OAS pour la sauvegarde de l’Algérie française.

            Français juif et patriote, ayant perdu en déportation plusieurs membres de sa famille, JC Bloch déclarera :

«C’est une imposture de vouloir confondre toute personne concernée par le problème de l’immigration maghrébine avec un raciste, donc un antisémite. Je n’arrive pas à établir une relation entre le massacre délibéré et systématique par les nazis des populations juives de l’Europe occupée, et le refus de JM Le Pen de voir s’installer aujourd’hui en France une marée maghrébine prolifique et difficilement assimilable, qui va à court terme bouleverser tous les équilibres de la nation». Et M. Block de remercier Jean Marie Le Pen d’être «le seul chef de parti politique français à demander la fermeture du bureau de l’OLP ».

            C’était l’opposé même des «censeurs de gauche» en totale contradiction avec eux-mêmes, quand ils dénonçaient d’un côté le moindre soupçon d’antisémitisme et cédaient de l’autre sans complexe à «leur goût immodéré et sans cesse affirmé pour la cause palestinienne». Trente ans après, rien n’a changé sur ce point et cette déclaration de JC Bloch demeure toujours d’actualité...

            Puis vint le 13 septembre 1987 et le coup de tonnerre… Le tsunami politique de JMLP !

            Au « Grand Jury RTL-Le Monde », il déclara à brûle-pourpoint à propos des chambres à gaz utilisées par les nazis : «Je n'ai pas étudié spécialement la question, mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la deuxième Guerre mondiale». A cet instant, les «censeurs» tapis dans l’ombre qui appelaient de leurs vœux la «phrase ou le mot assassin» laissèrent exploser leur joie. La bombe venait d’exploser sous les pieds de JMLP !

            Lorrain de Saint-Affrique, conseiller en communication de JMLP dira que celui-ci regrettera ses propos en privé immédiatement après l’entretien. Seulement le mal était fait et entraînera sur le champ, dans une violence inouïe, la réprobation de la quasi-totalité de la classe politico-médiatique, rendant actuelle cette célèbre saillie de Fouquier-Tinville : «Donnez-moi une phrase de n’importe qui, et je me charge de le faire pendre !».

            C’est à partir de ce jour funeste et de ce mot honni que JMLP sera médiatiquement lynché et isolé à perpétuité dans le «couloir de la mort» du «politiquement correct» que Beaumarchais stigmatisait en ces termes : «Les réputations sont faites par des gredins et exploitées par des sots».

            Près de vingt ans plus tard, à l'occasion du cinquantième anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, JMLP exprimera ses regrets pour avoir blessé le peuple juif lors de sa précédente déclaration, puis, le 31 janvier 1995, il fit un instant de silence à la mémoire des victimes juives de ce camp…

            Abasourdi dans un premier temps par l’ampleur des cris d’orfraie qui inondaient ondes et quotidiens, le «Menhir» décida de répliquer et engagea dès lors un combat sans merci, âpre, farouche, sans la moindre concession contre «l’establishment». Puisqu’on lui déclare la guerre, il relèvera le gant ! Fini les bonnes intentions ! Il deviendra, pour la circonstance, «sauvagepolémisteprovocateur » contre ceux qui cherchent à le trucider et contre ces mêmes associations juives qui l’ont trop hâtivement condamné, lui, qui se réclamait de leurs amis...

            Se taire, se terrer, faire amende honorable ? Jamais ! Tendre l’autre joue en signe de contrition ? Pour toute autre personne que lui, cela aurait été possible : Pas pour JMLP ! Son orgueil aidant, il ne supporte pas d'être bafoué, humilié, méprisé, blessé. Accepter l'offense sans se défendre au nom d'un amour passé, cela dépasse ce dont il est capable. Le Breton est pugnace, coriace, bagarreur… teigneux qu’on on l’accule dans ses derniers retranchements. C’est un ancien légionnaire parachutiste, guerrier dans l’âme ; alors, il rendra coup pour coup !

            C’est ainsi que, pour le plus grand bonheur du journaliste Jean-Jacques Bourdin, bavant et piaffant d’impatience dans l’attente de la petite phrase scandaleuse bien juteuse qui le propulserait aux nues de la gloire médiatique («Le pauvre homme!», comme disait Orgon dans Tartuffe), JMLP réitéra, le 2 avril 2015, son mot assassin qui provoqua une nouvelle levée de boucliers et une citation par le parquet à comparaître…

             «L’ânerie humaine» professait Montaigne « est la source des pires catastrophes… mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter ».

            On s’est toujours posé la question de savoir si cette phrase prononcée «trop facilement» exprimait une véritable hostilité, ou si elle était dite surtout pour attirer l’attention. La réponse se trouve probablement dans cette confidence de JMLP au journaliste juif, Serge Moati : «Un Front national gentil n’intéresserait personne»…

            Et pourtant, comme précédemment, il reconnaîtra la réalité du génocide des juifs et des horreurs des camps d’extermination, mais dans toute cette abomination, parmi toutes celles qui ont ébranlé la planète lors du dernier conflit, la question de l’emploi de chambres à gaz, pour atroces qu’elles soient, demeure à ses yeux un détail de la seconde guerre mondiale… Mais c’est justement dans les détails que le diable se cache et ce jour-là, comme 28 ans auparavant, c’est Lucifer en personne qui se plu à jeter sa note démoniaque dans les évènements…

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« Ce discours que vous venez d'entendre est mon testament de mort. Je l'ai vu aujourd'hui, la ligue des méchants est tellement forte, que je ne puis espérer de lui échapper. Je succombe sans regret ; je vous laisse ma mémoire, elle vous sera chère et vous la défendrez » (Maximilien Robespierre)

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Voir aussi : L’IRRÉDUCTIBLE MENHIR.

"Déclaration de Jean-Marie le Pen du 18 septembre 1987 retranscrite dans le quotidien de Paris".

 « Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu'on a tenté d'effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. La France a le même amour pour tous ses fils, quelles que soient leur race ou leurs religions ».

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25 juin 2016

COMMUNIQUE VERITAS JUIN 2016 / MRAF-ADIMAD

COMMUNIQUE MRAF-ADIMAD 

LOGO VERITAS

LE MENSONGE DU 18 JUIN 1940

Le 18 Juin 2016 a été célébré le 76ème anniversaire du  prétendu et devenu célèbre appel de Londres de Charles De gaulle. Or la version officielle, qui est lue, chaque année, à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 « Philippiques contre les Mémoires gaulliens » dont nous vous recommandons la lecture.

Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »

Or, historiquement, Charles De gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes :
1° A cette date du 18 juin 1940, ces « gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie.  Par ailleurs on ne peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du  « boulet algérien », nous le constatons encore aujourd’hui, avec la réponse sur les « biens vacants »

En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé.

2° Devant l’échec total de cet « appel du 18 Juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle.

En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors De gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :
« Londres le 20 Juin 1940 : Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant... » MEMOIRES DE GUERRE Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269)

Depuis 1958, cette lettre est supprimée des livres scolaires, car incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui.

La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France.

La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si De Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste.

En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ».

C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel ! QUAND LA VERITE SERA-T-ELLE ENFIN DELIVREE DU MENSONGE GAULLISTE ? ??

Jean-Marie AVELIN  Geneviève de TERNANT  Alain ALGUDO  Anne CAZAL   Alain AVELIN  
Président   -  Vice-présidents  -  Directrice de Publication  -  Délégué Général

Et l'équipe de VERITAS

Pour rappel de José Castano

Juin 2010  « L’APPEL DU 18 JUIN » ou LA MECONNAISSANCE DE L’HISTOIRE

Juin 2013  « L’APPEL DU 18 JUIN » : « Une vaste fumisterie »

LOGO VERITAS

            Par ailleurs, je vous invite également à souscrire en nombre à la « Lettre de VERITAS », véritable organe de combat contre la falsification historique de notre Mémoire.

Bien amicalement

José CASTANO


Chers compatriotes,

            Le mois de Juin est arrivé sans que nous ayons le plaisir de vous voir nous rejoindre, ni d’enregistrer votre Adhésion pour l’année 2016, dont le minimal est fixé à 40 euros.
            Depuis toutes ces années, notre seul combat demeure la sauvegarde de notre mémoire et le rétablissement de la vérité historique sur notre Algérie Française. C’est la raison pour laquelle nous avons tant besoin de votre soutien.

            Les frais inhérent aux divers procès que nous engageons demeurent à notre charge et nous imposent une rigueur budgétaire sans faille. Nous n’avons jamais accepté de percevoir la moindre subvention, ni de l’État, ni d’aucun autre organisme. Nous ne combattons que grâce à vos cotisations et aux sacrifices que s’impose notre équipe.

            En compagnie des Associations ADIMAD-MRAF, ADEP et le CDFA qui vient de nous rejoindre, nous avons déposé  plainte auprès du T.G.I de Paris pour le crime d’État suivi de crime de guerre et de crime contre l’Humanité commis en Algérie à l’encontre de Français de toutes ethnies et religions, civils et militaires, à partir du  19 mars 1962 et dans les années qui suivirent.

            Sans vous, sans votre aide, comment pourrions-nous mener de front ces multiples actions, indispensables à la lutte pour le rétablissement de la vérité historique ?

            Rejoignez-nous sans tarder car c’est ensemble que nous pourrons défendre et faire triompher notre cause. Le prix de l’adhésion comprend l’abonnement à la revue bimestrielle, « La Lettre de VERITAS ».

Avec nos remerciements, nous vous prions d’agréer, chers compatriotes, l’expression de nos sentiments fraternels et dévoués.

Toute l’équipe du Comité VERITAS

BULLETIN D’ADHESION

Simple adhérent (Minimum) : 40€ - Soutien : 50€ - Bienfaiteur : 70€ et plus

NOM : ………………..                             Prénom : …………..

Adresse complète :

 

Téléphone :                                            Mail :

Règlement par chèque à l’ordre de VERITAS – BP21 – 31620 FRONTON


 

 

19 juin 2016

CÉRÉMONIES DU 5 JUILLET 2016

Portfolio de quelques commémorations.

ALICANTE - ESPAGNE

SIX FOURS LES PLAGES

AOBR AIX EN PROVENCE

AOBR MARSEILLE

AGDE

SAINT EXUPERY LES ROCHES

SAINT LAURENT DU VAR

ORAN 5 JUILLET 1962 - LA BLESSURE

CAGNES SUR MER CIMETIERE DE LA BUFFE


A PARIS

A LA MÉMOIRE DES VICTIMES ORANAISES DU 5 JUILLET 1962, DE TOUS LES CIVILS, MILITAIRES ET HARKIS TOMBÉS EN ALGÉRIE OU PORTÉS DISPARUS SOUVENONS NOUS DE NOS MORTS RESTÉS SUR NOTRE TERRE D’ALGÉRIE.

MAFA / GRFDA / ANFANOMA / AAALGERIANIE

Comme chaque année, nous perpétuons cet hommage et vous prions de venir nombreux.

11 HEURES : Messe du Souvenir en l’Église Sainte Odile (2 avenue Stéphane MALLARMÉ / 75017 / PARIS) célébrée par le M. l’abbé Guillaume de Tanoüarn MÉTRO : Ligne 2 BUS : PC1 / PC3 / 92 / 93 / 84 Station PORTE DE CHAMPERRET

15 HEURES : Recueillement et dépôt de gerbes devant les colonnes du Quai Branly .RER ligne C (station Champs de mars - Tour Eiffel). Metro ligne 6 (station BIR-HAKEIM )

Quai Branly

18H30 : Cérémonie à l’Arc de Triomphe organisée par le C.L.A.N-R, Les participants sont priés de se rassembler en haut des Champs Elysées à partir de 17h45

A l’issue de la cérémonie religieuse, possibilité d’un déjeuner en commun à 12 heures.estaurant L’ETOILE DE TAROUDANT / 15 rue d’Héliopolis / 75017 / PARIS

Contacter Monique CHAVRONDIER pour inscription avant le 1er juillet par courriel outéléphone.

MAFA / 95 rue d’Amsterdam / 75008 / PARIS

Téléphone fixe : 01 45 26 29 33

Courriel : mafa.pn@orange.fr


Hommage à Pérols le 5 juillet 2016

COMMUNIQUE MRAF-ADIMAD


 

Complément d'informations

Rappel :  5 JUILLET 1962 LE GENOCIDE

Double hommage aux victimes du 5 juillet 1962 à Oran

Chers Amis,

            Vous connaissez mon attachement à notre communauté. Vous savez combien je souhaite que nous soyons solidaires. Et vous savez que mon crédo "Ne pas oublier - Défendre la vérité - Transmettre" est à la base de toutes mes entreprises.

            Aussi, je suis particulièrement heureux de vous faire savoir que deux maires des Bouches du Rhône ont bien voulu suivre les propositions des associations AOBR et ANRO pour honorer ceux des nôtres qui ont subi, en cette effroyable journée du 5 juillet 1962 à Oran, les pires atrocités. Le bilan est inutile à rappeler. Les morts, blessés et disparus sont innombrables.

            Je me permets donc de servir de relai à ces mairies et associations pour vous informer, et vous inviter à participer à ces deux réunions commémoratives pleines de respect et de compassion pour notre communauté.

            Monsieur Eric Le Dissès, Maire de Marignane, avec l'Amicale des Oraniens des Bouches du Rhône, présidée par Madame Jocelyne Quessada, concrétisera son soutien par l'inauguration d'une plaque commémorative au rond-point situé à l'intersection des rues de Figueras, Georges Carpentier et Georges Carnus, le vendredi 1er juillet 2016 à 18h30.

            Monsieur Eric Diard, Maire de Sausset les Pins, avec l'Association Nationale des Rapatriés d'Oranie, présidée par Monsieur Roland Soler, inaugurera une stèle le 5 Juillet 2016 à 11 h au monument aux morts (Près de la Mairie).

            Par notre présence à ces deux rassemblements, nous manifesterons notre gratitude à ces maires courageux et nous rendrons hommage à ceux qui ont particulièrement souffert de la barbarie en cette triste journée du 5 juillet il y a 54 ans.

Merci de transférer ce message autant que vous le pourrez.

Bien fraternellement.

Claude Nal 04 91 82 01 37 www.jh-dhonneur.fr  Bande annonce sur YouTube "Le Serment de l'Orane"


Marignane 1er juillet et céremonies du 5 juillet

Pour mémoire aussi à Saussset les pins à 11 heures, inauguration de la stèle du 5 Juillet - Salle des Arts

Invitation Marignane

Nous avons voulu mettre en avant un évènement exceptionnel qui se déroulera ce 1er Juillet 2016 à 18h30 à Marignane  en présence du Maire, des élus et de tous nos amis. 

Pour la première fois un rond-point de la ville portera un nom qui devrait exister dans toutes les communes de France : 5 Juillet 1962 - Oran.

L' Amicale des Oraniens - AOBR - compte sur la participation et le présence  de tous ses amis et sympathisants. Ce témoignage,nous l'attendions depuis si longtemps.

Afin de faciliter la présence de tous ceux ne disposant pas d'un moyen de transport, tous ceux qui ne peuvent conduire pour moult raisons, l'AOBR mettra à la disposition de tous nos amis de la région de Marseille un transport gratuit sur Marignane.

Passage   16h30 Dromel  - 16h45- Vallier -  17h15 - Aix en Provence

Contacts : Jocelyne Quessada 04.91.68.34.26 / Nicole Steibel -    04.91.44.22.90

Pour le Bureau Guy Montaner


INAUGURATION DE LA PLAQUE COMMEMORATIVE DE MARIGNANE (2 Photos)

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MARIGNANE INAUGURATION D UN ROND POINT 5 juillet

Voir les témoignages du 5 juillet 1962 avec le souvenir par les rubans noirs et aussi NOTRE DAME DE SANTA-CRUZ EN VISITE le 25 et le 26 juin.

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16 juin 2016

LA CONVERGENCE VERS LA TERREUR

Par José Castano

Majorité pacifique… Minorité agissante : 

« Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » (Albert Einstein)

            De tout temps, les minorités agissantes -encouragées par la bien-pensance (elle-même enfantée par la dictature du « politiquement-correct »)- ont toujours supplanté les majorités pacifiques et silencieuses, notamment dans les domaines politico-ethnico-religieux.

            S’agissant de ce mal allant en s'aggravant qui ronge aujourd’hui notre société -à savoir le fondamentalisme islamique- d’aucuns, inconséquemment (ou idiotement), prétendent que ses adeptes ne sauraient être dangereux pour la paix du monde car « minoritaires ». Et quand on pointe du doigt tel ou tel acte barbare perpétré par ces mêmes fanatiques, la réponse fuse tel un leitmotiv : « Pas d’amalgame ! »… « Ils ne sont pas tous pareils ! ». Certes ! Mais que fait alors cette majorité dite pacifique pour empêcher que se perpètrent et se perpétuent tant de crimes atroces ? « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » soutenait Platon...

            Il ne se passe un jour sans que l’actualité nous rapporte les exactions des « fous d’Allah » diffusant à travers le monde leur religion de « paix et d’amour » basée sur des supplices, égorgements, assassinats, rapts, lapidations, mutilations, viols, ce que préconise la charia… sans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse.

            Pour ne citer que la France, de plus en plus de zones urbaines sont la proie des délinquants en tout genre, djihadistes, voyous et terroristes en herbe qui, assurés de leur impunité, sèment la terreur, multipliant sous n’importe quel prétexte les affrontements avec les forces de l’ordre, exprimant à cette occasion une haine et un racisme violents anti-français, anti-chrétien et anti-juif… sans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse.

            Il ne se passe un jour sans que les médias -pourtant d’ordinaire discrets et frileux- ne parlent d’insécurité, de violences, de délinquance… Aujourd’hui, les bandes font la loi dans les cités qui sont devenues de véritables zones de non-droit. Les « jeunes », issus principalement de l’immigration arabo-africaine, se livrent à des batailles rangées dignes des plus violents polars. Les actes de guerre, les règlements de compte, les émeutes, les voitures qui flambent, les dégradations d’équipements collectifs, celles des immeubles, des transports en commun, le vandalisme, les incivilités, le bruit, les cambriolages, le racket, le trafic d’armes et de stupéfiants, la multiplication des femmes voilées portant le niqab (plus par signe de provocation que par ferveur religieuse) etd’hommes porteurs de djellabas, l’intégrisme religieux en progression constante, sont monnaie courante et renforcent le sentiment d’insécurité des habitants de ces quartiers… sans que la majorité pacifique des Musulmans ne réagisse… rendant actuels ces vers de Théophile de Viau dans son « Elégie » : « Dans ce climat barbare où le destin me range, me rendant mon pays comme un pays étrange… »

            Et pendant ce temps, la contagion du fanatisme s’amplifie et se répand à travers tout le pays… « Vous êtes dans la fabrique à terroristes, ici, sachez-le. Dans les caves des HLM de Clichy, on vend des armes comme je vous vends des aspirines » relatait dans une désespérance extrême un pharmacien de Montfermeil au lendemain des attentats de « Charlie Hebdo »… Depuis lors, aucune leçon n’a été tirée…

            Certes, il est facile d’arguer que « les Musulmans ne sont pas tous pareils »… « ne sont pas tous mauvais » ; je le concède volontiers… Seulement quand Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris, déclare : « Je suis extrêmement inquiet de voir la rancœur contre l’islam […] alors que ce sont les musulmans radicaux qui sont en cause », je veux bien admettre qu’il existe un islam « modéré », « laïc », mais, dans les faits,  la réalité,  hélas, est imparable.

            Depuis les attaques du 11 septembre 2001 sur les tours jumelles du World Trade Center, en 15 ans, près de 29 000 attentats terroristes mortels ont été perpétrés par des musulmans de par le monde. L’islamisme ne se cache plus et affiche clairement ses ambitions hégémoniques sur le monde occidental qu’il entend soumettre. « Il n’y a pas un islam modéré et un islam violent ; l’islam, c’est l’islam ! », avait déclaré le président turc, Recep Tayyip Erdogan, en 2007.

            Alors que, le 18 novembre 2015, cinq jours après les 130 morts et 352 blessés de Paris, le président de l’Assemblée Nationale, Claude Bartolone, pérore sans complexe : « Il ne faut pas qu’on établisse de lien entre les classes populaires, les banlieues populaires et ces terroristes qui n’ont rien à voir avec ces populations qui n’aspirent qu’à vivre normalement », la corrélation entre les zones de non-droit et la barbarie islamiste s’avère évidente…

            « Pas d’amalgame ! » répètent-ils à l’envi… La volonté de dissocier à tout prix ces actes barbares, monstrueux ou simplement ignominieux de la « religion de paix et d’amour » finit par être une insulte à notre réflexion personnelle car si tous les musulmans ne sont pas terroristes, jusqu'à preuve du contraire, tous les terroristes sont musulmans… et tous ont crié « Allah Akbar » avant de perpétrer leurs crimes ! Et pourtant, ils disent que Daech n’est pas l’islam ! Qu’attendent-ils alors de le prouver sur le terrain et nous épargner leurs jacasseries infâmes ?

            Quand on a une once d’humanité en soi et de raison, on ne se fait jamais l’avocat de l’islam et ces mots du grand voyageur que fut Marco Polo, prononcés en janvier 1300, le confirment et nous ramènent à la triste réalité : « Le musulman militant est celui qui coupe les têtes pendant que le musulman modéré tient les pieds de la victime ». Edifiant constat !...

            Il est clair cependant que la majorité musulmane ne se reconnaît pas dans l’image de frayeur et de terreur que véhiculent tant les « fous d’Allah » que les voyous et les truands de nos cités, mais que signifie le silence de cette majorité pacifique, cette passivité, cette inconséquence (voire, cette tolérance) vis-à-vis de la minorité radicalisée ou adepte de la voyoucratie et du banditisme ? Elle ne se considère en aucun cas concernée et se contente simplement de regarder et de laisser faire… « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante » clamait Aristote…

            Ainsi, jamais les voix de cet Islam « modéré » ne s’élèvent pour dénoncer tant de barbarie, jamais la moindre pétition pour crier : « Pas en notre nom ! Pas au nom de l’Islam ! »… « NON à la haine ! » Mais quelle est donc cette incapacité arabe à porter un regard critique sur tant de misère humaine ?... Que signifie ce silence affiché par la communauté islamique à l’égard de la racaille radicalisée qui sévit en toute impunité dans les cités ? Les « bonnes âmes », les « humanistes à la conscience pure », prétendent que cette omerta est la conséquence de la peur et de la crainte des représailles que ressentent les habitants de ces quartiers. Si cela est vrai pour certains, pour d’autres, c’est la solidarité qui s’exprime et rien d’autre. Cependant, si les « terrorisés » persistent dans leur silence en s’abstenant publiquement de se désolidariser de la racaille et des terroristes qu’elle engendre, ils leur rendent également hommage en leur montrant leur soumission (1).

            Et c’est ainsi que la communauté musulmane, dans sa résignation millénaire, continue -encouragée en cela par la « bien-pensance », le « politiquement correct » et les « moralistes »- d’observer, indolemment, la minorité agissante et ultra-violente (fer de lance de la 5ème colonne) s’érigeant en toute impunité -au nom de Dieu !- en « seigneurs des banlieues ». Et bientôt, à l’instar de Diderot, nous pourrons nous écrier : « Il n’y a plus de patrie ; je ne vois d’un pôle à l’autre que des tyrans et des esclaves ».

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José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

 

(1) Recteur de la grande mosquée de Paris depuis 1992 et ancien président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Dalil Boubakeur « a brillé par son absence dans les rassemblements organisés devant le Bataclan ou à la République », révèle le Canard enchaîné. La Grande Mosquée a attendu jusqu'à mardi 17 pour réagir et appeler les citoyens de confession musulmane à se rassembler contre le terrorisme. Mais nouveau coup de théâtre : 48 heures plus tard, Dalil Boubakeur annule tout, affirme le journal satirique. « En réalité, il n’a jamais voulu de ce rassemblement et il a tout fait pour qu’il n’ait pas lieu », a souligné un de ses proches, interrogé par la rédaction.

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Après avoir commis son double assassinat terroriste contre le capitaine de police Jean-Baptiste Salvaing et sa femme, Larossi Abdallah a publié une vidéo sur Facebook qui a été immédiatement supprimée.  VOIR Dreuz.info

Cliquez sur ce lien : La vidéo que le terroriste Larossi Abdallah a tourné dans l’appartement de ses victimes

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11 juin 2016

POINT D'HISTOIRE SUR LE SCRUTIN FATIDIQUE DU 8 JANVIER 1961

Référendum du 8 janvier 1961.

            A notre avis il consacra la possibilité séparatiste et auquel seulement 56% de la population d'Algérie a participé on peut se demander qu'elle avait été le rôle de l'Armée pour faire voter OUI aux musulmans dans les campagnes ***(contre l'avis majoritaire des PN ) pour ce référendum qui adoptait le principe de "l'autodétermination" et donc de la sécession qui était beaucoup plus "mortel"

            Comme dit le docteur JC Perez pour le vote du 1er Juillet 62 « Le FLN pour l'abstention et le Parti Communiste et le PSU en France pour le « NON » pour raisons différentes le Front Algérie Française NON » si seulement CERTAINS NE  S’ÉTAIENT PAS LAISSE ENFUME EN ALGÉRIE LE RÉSULTAT AURAIT ÉTÉ DIFFÈRENT et MINORITAIRE et aurait compliqué le jeu de De Gaulle malgré ses 75 % de OUI en métropole ! Ce problème est rarement évoqué ! Certains rares cadres pour l'indépendance mais d'autres (dans quelles proportions ?) pour la "Francisation" croyant naïvement pouvoir infléchir ce vote futur comme pour le OUI en cours !

            Qu'en pense l'armée? Elle a reçu l'ordre de faire voter OUI  Directives de Michel Debré "les cadres militaires doivent être pénétré de cette nécessité" (P Le Goyet) Ordres nets et catégoriques du général Crépin "faites voter OUI" (P Montagnon) nos témoignages personnels. (AC Algérie). Une position audacieuse eut été une "non-participation" à ce scrutin ambigu et contestable. (Comme admettre le principe de sécession pour des Départements Français) en dépit de la position du FLN.

            Ainsi par la suite, sous couvert de " l’organisation des pouvoirs publics en Algérie " De Gaulle fera ratifier par ce référendum du 8 janvier 1961 sa politique Algérienne et promulguera une loi référendaire qui changera le statut de l’Algérie (devenue séparée de la métropole) avec l’adoption du principe de l’auto détermination.

La question posée aux Français était :

            « Approuvez-vous le projet de loi soumis au peuple français par le président de la République et concernant l'autodétermination des populations algériennes et l'organisation des pouvoirs publics en Algérie avant l'autodétermination?» c’est-à-dire changement du statut de l'Algérie qui devient "collectivité territoriale nouvelle créée par la loi". selon l'article 72 de la Constitution.

Le Conseil constitutionnel proclama le résultat définitif le 14 janvier 1961.

            Le taux de participation est de 76 % en métropole et de 59 % en Algérie. 75 % des votants votent « oui » en Métropole et 69 % votent « oui » en Algérie, (correspondant à 39 % des inscrits) et 31 % votent « non » (soit 17 % des inscrits)

Référendum sur l'autodétermination en Algérie.

Les grandes villes Alger/ Oran  votent non.

            Dans le volume qui collationne les archives du groupe de travail préparatoire au texte constitutionnel (consultable 30 ans après) il est dit à propos de l’article 72 qui n’existait pas dans le texte de 1946 (constitution précédente) " la différence importante a trait à l’adjonction de la formule : toute autre collectivité est créé par la loi ".

            On passe ainsi d’une énumération " fermée " des collectivités territoriales (dont faisait partie l’Algérie) à une énumération " ouverte ", le législateur se voyant ainsi doté de la possibilité de créer d’autres types de collectivités territoriales que les communes, départements et territoires d’outre-mer et donc éventuellement de rassembler autour d’une collectivité territoriale d’un type nouveau les départements Algériens déjà dotés d’un statut particulier.

            Les "Accords d'Évian " découleraient du changement de Statut de  l'Algérie rendu possible selon certains (et donc l'autodétermination d'ex-départements Français) par le référendum du 8 Janvier 61 (accord pour Autodétermination) Impensable en 1958 lors du vote de la Constitution.

            En tout cas on peut toujours avancer la base d'une "supercherie " dans l'élaboration de la Constitution présentée aux suffrages du Peuple Français en 1958  NB / Signaler des faits pour l’historien ne signifie pas les approuver.

J'ai toujours trouvé étonnant qu'à l'époque on n'ait pas eu connaissance de ce qui se passait dans cette commission ?

JF Paya.

De Gaulle et l'Algérie "Article paru dans la revue "guerre d'Algérie" a suivre de la constitution :

            L’ARTICLE 72 DE LA CONSTITUTION AVAIT ÉTÉ PRÉVU DANS LES DÉBATS INTERNES DE LA COMMISSION POUR POUVOIR MODIFIER LE STATUT DE L’ALGÉRIE comme cité ci-dessus et utilisé effectivement dans la loi référendaire du 14 Janvier 1961 après le référendum du 8 Janvier 61 qui valide "l'Autodétermination" à postériori ce qui toujours facile à dire.

Complément au référendum du 1er Juillet 62.

            Au sujet de la constitution de 58 dont certains doutent encore qu'elle fut le point de départ du processus de largage prémédité de l’Algérie il ressort de nos commentaires exprimés sur les liens ci-dessous (archives ouvertes à 30 ans)à partir des archives de la préparation du texte constitutionnel de 1958 qu'à plusieurs reprises en "groupe préparatoire" au "comité constitutionnel" à la "commission du conseil d'État" il ait été question explicitement de l'adjonction du fameux article 72 pour pouvoir modifier le statut de l'Algérie (qui sera effectivement utilisé pour) à l'époque 2 députés inquiétés par cet article posèrent une question écrite (voir René Vinciguerra député d'Alger et Jean-Marie Le Pen Paris) au gouvernement et M Debré répondit par la négative la plus formelle à toute possibilité de modification. (Nous avons cette réponse édifiante)

            D'où toujours notre  étonnement sur une certaine "cécité" à l'époque de certains responsables civils et militaires attachés à "l’Algérie française" dont J Soustelle Chantre de "l'intégration". Tout le débat sur la Légitimité des "accords d’Évian " et des différents référendums découle à notre avis de cette procédure.

Évian dossier Pervillé / Monneret

les "accords d'Évian" (19 mars 1962) - DOSSIER   

Commentaire sur la constitution et les Accords d'Evian. Colloque Invalidé mars 1962 par le Général Maurice Faivre.

De Gaulle et l'Algérie 1943-1969 sur Etude coloniale.

            Il apparaît donc clairement dans le dernier commentaire que dès cette période on ait introduit dans la future constitution des éléments nouveaux en vue d’amorcer la séparation de l’Algérie et de la France.

LES IMPOSTURES

            Le 27 août 1958, devant le Conseil d’État, Michel Debré «La France d’outre-mer comprend d’abord les départements qui font partie de la République et ne peuvent ni ne doivent la quitter. Qu’il s’agisse à notre porte des départements d’Algérie, il n’est rien changé. Il ne peut être rien changé quant au principe».

            Le 9 février 1959, Michel Debré au général Challe et aux principaux responsables militaires «Le gouvernement ne veut pas céder en Algérie et même s’il le voulait ne le pourrait pas, nous avons maintenant le dos au mur, car toute solution d’abandon avec recasement (sic) des Français d’Algérie en métropole entraînerait immédiatement la communisation totale de la France»

            Le 31 juillet 1959, Michel Debré, en réponse à une question écrite de M. Vinciguerra, député d’Alger «Les départements d’Algérie et du Sahara font partie de la République au même titre que les départements métropolitains». Alors que tout est prévu pour changer leur statut! C’est inqualifiable.

Par le Groupe de recherches sur le 5 Juillet 62 à Oran sous la direction de JF PAYA

VOIR AUSSI LES SUJETS DU "GROUPE DE RECHERCHE"

 

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10 juin 2016

ORANIE A LOURDES 2016 SERA NOTRE DERNIER PELERINAGE

Cette photo était parmi les dernières du Pèlerinage de l’Oranie en 2015.

Oranie 2015-1

            2016 sera la dernière année au cours de laquelle vous verrez encore notre bannière « ORANIE » se faufiler partout sous les caméras et les projecteurs.

            Cette année nous voilà aux 90 ans de présence de l'Oranie à Lourdes. Imaginez au début du siècle dernier avec l'expédition de dizaines de Pèlerins quittant Oran parmi lesquels nos parents pour Lourdes via Port-Vendres .

Oran- SDV- 4941- Lourdes 17 août 1933- Quessada Jocelyne

Transmise par Henri Lafite photo de 1961 d’Albert Espinosa.

Oranie 2015-2

Sur une photo de 1964 devant la Basilique, nous étions plus de 600! En 2015 nous nous retrouvions 60.

            Pour les autorités ecclésiastiques nous ne sommes plus représentatifs pour composer un groupe et bénéficier des avantages acquis par nos anciens au cours des ans... Salle de réunion, conférences, église privée, messes particulières. Défiler sous la bannière de notre département « ORANIE » est depuis quelques années sous la responsabilité de Henri Mongrenier et Manuel Florentino, démarrer en tête des processions, une lutte de tous les instants.

            Grace à la complicité de nos amis Alsaciens, les premiers nous l'étions souvent. FINI c'est bien FINI.

            Cette année 2016 sera notre dernière, nous tirerons le rideau mais nous rejoindrons le Pèlerinage National, les grandes croix rouges que vous connaissez, sous l'égide de Marseille.

            Alors Amis s'il vous plait, encore une fois pour la quatre-vingt dixième année retrouvons nous à Lourdes, le 15 Août pour la grande messe et notre photo finale sur le parvis de la Basilique qui devra et devrait rester inoubliable.

            Pour des soucis de réservations nous nous devons de vous passer cette info. A cette période de l'Assomption, elles deviennent difficiles, le monde entier débarque. Rapprochez-vous des Amicales et Associations habituelles, parmi lesquelles l'AOBR, la JUDB Don Bosco les Amis de notre Dame de Santa-Cruz.

            Jocelyne Quessada, Henri Mongrenier, Manuel Florentino, Antoine Sanchez restent des correspondants attitrés auprès desquels vous pourrez obtenir tous les renseignements utiles.

            Faites connaître notre dernière rencontre.

            Dernière rencontre ne veut pas dire que nous n'irons plus à Lourdes, c'est tout simplement notre province "Oranie" qui disparaitra et que nous n'entendrons plus les pèlerins présents tout au long des cortèges ou des cérémonies nous demander : "mais l'Oranie" C'est où ? Vous venez de quel pays ? Vous parlez français? Et peu de négatif du style, «  A c’est vous les exploiteurs!!"

Communiqué de Guy Montaner (AOBR)

20/08/2016 AOBR DU 8 AU 16 AOUT 2016 - 90 EME PELERINAGE DES ORANAIS A LOURDES AOBR ET JUDB PAR GUY MONTANER

Retour à tous les pèlerinages.

 

5 juin 2016

LA CHUTE DE DIEN BIEN PHU

LE 7 Mai 1954

 

Ὠ ξεῖν', ἀγγέλλειν Λακεδαιμονίοις ὅτι τῇδε κείμεθα, τοῖς κείνων ῥήμασι πειθόμενοι « Passant, va dire à Sparte que nous gisons ici pour avoir obéi à leurs lois » (Epitaphe célèbre de Simonide de Céos (-556 -467) célébrant la vaillance et le sacrifice des 300 Spartiates aux Thermopiles pendant la 2ème guerre médique en -480)

Diên Biên Phu, le « grand chef lieu d’administration frontalière » est habité par les Meos, rudes montagnards qui cultivent le pavot et font commerce de l’opium et par les Thaïs qui travaillent les rizières de la vallée et font du petit élevage. Cette localité, à la frontière du Laos, est reliée au reste du pays par la route provinciale 41 qui va jusqu’à Hanoï située à 250 kms et vers la Chine. C’est une cuvette de 16kms sur 9 entourée de collines de 400 à 550 mètres de hauteur et traversée par la rivière Nam Youm.

Au début de l’été 1953, l’Indochine entre dans sa 8ème année de guerre. Le Vietminh, très mobile, se meut avec facilité sur un terrain qu’il connaît parfaitement. Son corps de bataille est de surcroît numériquement très supérieur à celui du corps expéditionnaire français et bénéficie, en outre, de l’aide sans réserve de la Chine libérée de son action en Corée depuis la signature de l’armistice, le 27 juillet 1953. C’est dans ce contexte, que le 7 mai 1953, le Général Navarre se voit confier le commandement en chef en Indochine en remplacement du Général Salan. Navarre avait un grand principe : « On ne peut vaincre qu’en attaquant » et il décidera de créer à Diên Biên Phu une base aéroterrestre pour couper au vietminh la route du Laos et protéger ainsi ce pays devenu indépendant.

            Quand les responsables français décident d’investir, la cuvette de Diên Biên Phu, ils savent pourtant que des forces régulières vietminh importantes de la division 316 du régiment 148 et du bataillon 910 occupent solidement la région depuis octobre 1952. Qu’à cela ne tienne ! L’endroit paraît idéal au commandant en chef ! Il est un point de passage obligé pour le vietminh qui ne pourra que très difficilement le contourner… De plus, il bénéficie d’un aérodrome aménagé durant la deuxième guerre mondiale par les Japonais tandis que le fond de la cuvette est une véritable plaine de plus de 100km² qui permettra l’emploi des blindés. Par ailleurs, le commandement français considérait en cet automne 1953 que le vietminh, vu l’éloignement de ses bases, à 500 kms de Diên Biên Phu, ne pourrait entretenir dans le secteur que deux divisions maximum… Il en conclut donc qu’il ne pourrait mener que de brefs combats en ne disposant, en outre, que d’une artillerie limitée qu’il sera aisé de détruire par les canons du colonel Piroth, qui s’était porté garant.

            L’occupation de la cuvette fut fixée le 20 novembre 1953. Elle fut baptisée « opération Castor ». Ce sera le plus important largage de parachutistes de toute l’histoire de la guerre d’Indochine. Vers 11 h du matin, les deux premiers bataillons sont largués : Le 6ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux du Commandant Bigeard et le 2ème Bataillon du 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes du Commandant Brechignac. Puis arriveront : le 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux, deux batteries de 75 sans recul du 35ème RALP, une compagnie de mortiers de 120 et une antenne chirurgicale. Le lendemain, les légionnaires du 1er Bataillon Etranger de Parachutistes sauteront ainsi que le 8ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux, des éléments du génie et le PC de l’opération (général Gilles, lieutenant-colonel Langlais avec 25 hommes). Le 22 novembre, le 5ème Bataillon de Parachutistes Vietnamiens est largué à son tour. Au soir du 22 novembre 1953, il y aura 4195 hommes dans la célèbre cuvette.

            Durant près de quatre mois, les soldats français vont aménager la cuvette en camp retranché. Les petites collines entourant le camp prennent le nom de Gabrielle, Béatrice, Dominique, Eliane, Anne-Marie, Huguette, Claudine, Françoise, Eliane, Junon, Epervier et enfin Isabelle.

            L’offensive vietminh débute dans la soirée du 13 mars 1954 par une intense préparation d’artillerie (près de 9000 coups) visant particulièrement Béatrice et Gabrielle. Le combat du tigre contre l’éléphant commençait : Le tigre tapi dans la jungle allait harceler l’éléphant figé qui, peu à peu, se videra de son sang et mourra d’épuisement.

            Le point d'appui Béatrice est écrasé par les obus de canons et de mortiers lourds. Pendant plusieurs heures il reçoit des milliers d'obus. Les abris, n'étant pas conçus pour résister à des projectiles de gros calibre, furent pulvérisés. La surprise est totale dans le camp français. Malgré un combat acharné et sanglant, au prix de lourdes pertes de part et d’autre, Béatrice, tenu par la 3/13ème Demi-Brigade de la Légion Etrangère, commandée par le Commandant Pégot, fut enlevée par les Viets en quelques heures. Un malheureux concours de circonstance favorisa cette rapide victoire vietminh : les quatre officiers dont le lieutenant-colonel Gaucher, responsables de la défense de Béatrice furent tués dès la première heure par deux obus qui explosèrent dans leur abri. En une nuit, c'est une unité d'élite de la Légion qui est supprimée. Nul n'a imaginé un tel déluge d'artillerie. La contre batterie française se révèle inefficace. Le Viêt-Minh utilisant une énorme capacité en bras, a pu creuser des tunnels en travers des collines, hisser ses obusiers et s’offrir plusieurs emplacements de tir sur la garnison sans être vu. Des terrasses furent aménagées et dès que les canons avaient fini de tirer, ils regagnaient leur abri. De ce fait jamais l'artillerie française ne fut en mesure de faire taire les canons Viêt-Minh, pas plus que les chasseurs-bombardier de l'aéronavale.

            Dans la soirée du 14 mars, Gabrielle, défendue par le 5/7 Régiment de Tirailleurs Algériens, subit un intense et meurtrier pilonnage d’artillerie. A 5h, le 15 mars, le vietminh submerge la position, dont les défenseurs ont été tués ou blessés. L’artillerie ennemie –que l’on disait inefficace- fait des ravages parmi les défenseurs sans que l’on puisse espérer la réduire au silence. Conscient de cet échec et de sa responsabilité, le Colonel Piroth, responsable de l’artillerie française se suicidera dans la nuit du 15 au 16 mars en dégoupillant une grenade.

            Cependant, la piste d’aviation, bien que pilonnée quotidiennement -mais aussitôt remise en état- permettait l’arrivée régulière des renforts. Ce pilonnage s’intensifiant, les atterrissages de jour devinrent impossibles et les appareils durent se poser de nuit dans les pires conditions. Bientôt il fallut renoncer complètement et les assiégés se retrouvèrent, dès lors, isolés du reste du monde. A noter que le 28 mars, l’avion devant évacuer les blessés de la cuvette, endommagé au sol, ne put décoller. L’infirmière convoyeuse de l’équipage, Geneviève de Galard, était à bord. Elle restera jusqu’à la fin parmi les combattants.

            Le général vietminh Giap, afin de s’infiltrer plus facilement dans les défenses françaises, fit alors intervenir des milliers de coolies dans le creusement d’un réseau de tranchées, véritable fromage de gruyère, menant aux divers points d’appui. Le 30 mars, après une préparation d’artillerie très intense et l’infiltration des viets par ces tranchées, Dominique 2 et Eliane1 furent prises. Cependant, les parachutages français continuaient encore dans la plus grande confusion. La superficie de la base aéroterrestre ayant été réduite et les liaisons avec les points d’appui encore tenus par les soldats français devenant impossibles, ces « volontaires du ciel » exposés aux feux directs de l’ennemi, connaissaient des fortunes diverses. Certains atterrissaient directement chez l’ennemi, d’autres étaient morts en touchant le sol, d’autres étaient perdus… tandis que le ravitaillement parachuté faisait la joie du vietminh en améliorant son quotidien.

            Du 9 au 11 avril, une nouvelle unité de légion, le 2ème Bataillon Etranger de Parachutistes, est largué dans des conditions déplorables et engage aussitôt une contre-attaque sur la face est. Il est en partie décimé. Les rescapés fusionnent alors avec les restes du 1er BEP reformant une unité sous les ordres du Commandant Guiraud. Le 4 mai, ont lieu les derniers parachutages d’hommes provenant du 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux tandis que les Viets intensifient encore leurs bombardements faisant intervenir les fameuses orgues de Staline, aux impacts meurtrier en rafales, provoquant d’énormes dégâts dans les abris minés par les pluies quotidiennes d’Avril. La cuvette disparaît dans des nuages de boue soulevée par les obus.

            Dans la soirée du 6 mai, c’est le déchaînement de l’artillerie viet et de toutes les armes dont elle dispose. Dans le camp agonisant, c’est l’apocalypse. Tout ce qui est inflammable prend feu ; les abris s’effondrent, les tranchées s’écroulent, la terre se soulève. La mort frappe sans interruption. A 23h, les taupes vietminh, après avoir creusé un tunnel de 47 mètres de long, déposent sous Eliane2 une charge d’une tonne de TNT puis se ruent à l’assaut. La résistance des défenseurs est héroïque ; ils refusent de se rendre et luttent jusqu’à la mort. Une poignée de survivants arriveront à se replier sur Eliane4 afin de poursuivre le combat. A l’aube du 7 mai, Dominique et Eliane sont tombées. Les tranchées sont jonchées de cadavres et de blessés des deux camps. Alors que le Colonel de Castries vient d’être promu général, à 10h du matin, les viets finissent d’investir les Eliane. Du côté Français, il n’y a plus ni munitions, ni réserve d’hommes mais les sacrifices continuent…

            Le Général Cogny adresse un dernier message au Général De Castries, souhaitant qu’il n’y ait ni drapeau blanc, ni capitulation. « Il faut laisser le feu mourir de lui-même pour ne pas abîmer ce qui a été fait » précise-t-il. L’ordre de cessez-le-feu tombe à 17h. Après destruction de tout le matériel et de tout le ravitaillement, le PC de Diên Biên Phu adresse son ultime message à Hanoi à 17h50 : « On fait tout sauter. Adieu ! » Quelques minutes plus tard, la division 308 du général Vuong Thua Vu fait irruption dans le PC du général De Castries. Un drapeau rouge à étoile d’or est planté sur le PC français. Diên Biên Phu est tombé mais n’a pas capitulé.

Cette bataille fut la plus longue, la plus furieuse, la plus meurtrière de l'après Seconde Guerre mondiale durant laquelle le corps expéditionnaire Français compta près de 3 000 tués et un nombre très important de blessés. 11 721 soldats de l’Union Française furent faits prisonniers mais les effroyables conditions de détention des camps Vietminh furent telles que seulement 3 290 d’entre eux reviendront de captivité dans un état sanitaire catastrophique, squelettiques, exténués. Le destin exact des 3 013 prisonniers d’origine indochinoise ayant combattu sous le drapeau tricolore reste toujours inconnu. Il est probable qu'ils aient été exécutés systématiquement comme traîtres.

            Tous les prisonniers durent marcher à travers jungles et montagnes sur 700 km, pour rejoindre les camps, situés aux confins de la frontière chinoise. Ceux qui étaient trop faibles mouraient ou étaient achevés. Sur les 11 721 soldats, valides ou blessés, capturés par le Vietminh, plus de 70 % décédèrent pendant leur marche vers les camps ou une fois en captivité, de sous-alimentation, mauvais traitements, absence de soins, dans des régions propices à toutes sortes de maladies, ou furent exécutés sommairement. Le 21 juillet 1954, les accords de Genève mettront fin à cette guerre, instaurant une partition du pays de part et d’autre du 17e parallèle Nord.

José CASTANO e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

Le Commandant Hélie Denoix de Saint Marc se souvient, alors que la France va quitter l’Indochine : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! »

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