Document transmis par José Castano Candidat FN aux législatives dans la 9ème circonscription de l’Hérault

« On ne saurait accepter l’idée que le cours meurtrier de l’Histoire est irrémédiable, et que l’esprit confiant en lui-même ne peut influer sur la force la plus puissante du monde ! »
« L’expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de toute l’humanité. » (Alexandre Soljenitsyne)
Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit. Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.
Notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendées », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d’un terrorisme par « vases communiquant » ou par osmose.
A la guerre révolutionnaire –qui est la seule à sévir actuellement de par le monde- nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste (d’où qu’elle vienne), il faut faire le choix majeur qui s’impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ».
Pour cette raison, toute riposte nationale doit être à la mesure des attaques portées par les terroristes et pouvoir porter la lutte sur tous les plans. Les nationaux devront donc s’organiser, sachant que dans une guerre révolutionnaire, il est illusoire d’attendre la victoire de l’intervention des forces de l’ordre, car l’offensive contre-révolutionnaire ne peut relever d’une simple opération de police, mais du souci de mener une guerre totale à l’image de celle que nous imposent les terroristes. L’horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s’imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. La loi, en général, est la raison humaine –disait Montesquieu- en tant qu’elle gouverne tous les peuples de la terre…
Le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires.
Il est probable que nous n’arriverons jamais à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter leur nombre par le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort envers les terroristes reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes. Dans la conjoncture actuelle, à quoi sert l’internement de ces assassins alors que l’on sait qu’ils seront libérés tôt ou tard après que d’autres terroristes, mettant en péril la vie de centaines d’otages innocents, réclameront à coup d’exécutions sommaires la libération de ces détenus ? « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.
Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice, ne ferait que révolter les consciences non contre les criminels… mais contre les victimes. Ces innocents que le terrorisme aveugle et fanatique verse chaque jour dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré ».
Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel. Elles ont inventé un arsenal de répression humain, conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des égarés et, jugés dignes de cette indulgence, parce qu’ils sont réputés garder –au-delà de la folle parenthèse du crime- le même respect de l’homme qui définit la communauté à laquelle ils appartiennent. Mais voilà la civilisation paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent qu’elle ne peut plus transgresser sans se renier. Et voilà les barbares qui frappent aux frontières… les peuples loups qui grondent aux lisières des bois. Pressés de courir à leur tour la grande aventure de la civilisation et exaltés par la présomptueuse conviction qu’ils détiennent des recettes miraculeuses, ils négligent les trésors de l’héritage. Ils veulent tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voilà qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues… Et voilà que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde. Et nous, pauvres occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler… au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.
Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas, nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »
Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.
PEUPLE DE FRANCE… REVEILLE-TOI !
José CASTANO… Candidat FN aux législatives dans la 9ème circonscription de l’Hérault
E-mail : joseph.castano0508@orange.fr
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"Ce n'est pas parce que nous avons peur que nous n'osons pas ; c'est parce que nous n'osons pas que nous avons peur"... "... Le péril s'évanouit quand on ose le regarder." (Chateaubriand)
« Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d'un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu'il apprend à l'école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu'à ses pensées les plus intimes. L'Islam cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » ( Mustapha Kemal, dit Atatürk, Président de la République Turque en 1923, fondateur de la Turquie moderne)
- En 1999, Nicolas Sarkozy s'adressait à Philippe de Villiers en ces termes : « Tu as de la chance, Philippe, toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid ! »
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En Indochine, nous nous sommes battus à la porte du jardin,
En Algérie, nous nous battions à la porte de la maison,
Et aujourd’hui, c’est à l’intérieur de la maison,
Où s’est introduit l’adversaire, qu’il nous faut mener le combat.
Le danger n’est plus imminent, il est là, présent !
Aussi, loin de nous abandonner à une passivité coupable,
Nous devons constituer le fer de lance de cette nouvelle résistance
Et y appeler nos compatriotes, car dans ce combat,
Il n’y a pas de neutres et tous les hommes sont concernés.
(ASSOCIATION DES COMBATTANTS DE L’UNION FRANÇAISE)
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- L’ISLAM… D’HIER A AUJOURD’HUI : http://www.legaulois.info/2012/02/lislam-dhier-aujourdhui-par-jose.html
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- Samedi 14 avril 2012 : Harkis, Pieds-Noirs et Front National manifestent à Perpignan contre la venue de Nicolas SARKOZY venu annoncer "La reconnaissance du drame des harkis" : http://youtu.be/Z53eoE4G178
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La République des copains et des coquins !
Deux prétendants à la magistrature suprême : Sarkozy dans les bras de Bouteflika ; Hollande dans ceux de Ben Bella… Ces deux anciens terroristes du FLN sont responsables du massacre de 150 000 harkis et de plus de 3000 civils européens, le 5 juillet 1962, à ORAN. France, où est ton honneur ?

Ben Bella est mort ; c’est Hollande qui est bien triste !... Dans un communiqué, le candidat socialiste a « salué la mémoire de M. Ahmed Ben Bella qui fut en 1962 le premier président de la République algérienne et dont nous venons d'apprendre la disparition… Il restera, pour les Français et pour les Algériens, l'un des symboles d'une étape historique décisive de nos deux pays »
Le 31 mars 2007, lors d’une réunion des représentants de harkis au siège de campagne de l’UMP, Nicolas Sarkozy avait pris un engagement solennel envers ces derniers : "Si je suis élu, je veux reconnaître officiellement la responsabilité de la France dans l'abandon et le massacre des Harkis et d'autres milliers de "musulmans français" qui lui avaient fait confiance, afin que l'oubli ne les assassine pas une nouvelle fois". Durant son quinquennat, cet engagement n’a jamais été tenu… puis, à une semaine des présidentielles, le 14 avril 2012, il reconnaissait « enfin », à Rivesaltes (66), la "responsabilité historique" de la France dans "l'abandon" des harkis à la fin de la guerre d'Algérie en 1962.
Les membres de la communauté eux-mêmes ont accueilli avec prudence le geste de Sarkozy. « Il avait cinq ans pour le faire et il vient à une semaine des élections », a grogné, amer, Mohammed Bounoua, « c'est notre bulletin de vote qui l'intéresse, pas nous ». Cependant, pour être réellement effective, cette reconnaissance doit être officiellement reconnue par la Nation par le vote d'une loi au Parlement. De plus, seul un engagement écrit du candidat président (dont la réélection est fortement compromise) permettra de croire en sa sincérité. Marine LE PEN s’est engagée par écrit à reconnaître officiellement par une loi la responsabilité de l'Etat français dans l’abandon et le massacre des Harkis après le 19 mars 1962… pas lui.
Concernant François Hollande ; que dit-il ? « La colonisation appelle la plus juste condamnation. » (2006) et, le 05/03/2012, 15h, à EVRY, sous les acclamations délirantes d'un public arabo-français de 6000 personnes, il s'exprime de la sorte :
« Ici, c'est la nouvelle France, celle qui émerge, celle qui s'engage, celle du futur (...) Vous les habitants islamiques ou pas, des cités, vous êtes l’avenir de la France, vous êtes la génération montante, celle qui sauvera ce pays de la ruine, vous affrontez durement la réalité, je n’ignore rien de la difficulté d’accéder au logement , au travail (…) Je sais aussi que l’insécurité n'est pas ce que dit l'opposition… Je veux m’appuyer sur ses quartiers populaires ».
Par ailleurs, il a jugé « inadmissible que des jeunes citoyens comme vous ne puissent pas accéder à l’emploi à cause de leur lieu d’habitation ou de leur couleur de peau » et a demandé : « Est-il normal que ce soient toujours les mêmes jeunes qui se fassent interpeller, suspecter ? Est-il normal que des milliers de personnes attendent des jours dans la nuit, dans le froid, pour attendre tout simplement des papiers français ? Et bien moi, je dis non ! Je vais vous donner des papiers, et vous serez aussi Français que les Français de souche de ce pays... »
- À Paris, le Maire socialiste, Bertrand Delanoë, a inauguré une plaque commémorative à la gloire de la manifestation FLN de la capitale le 17 Octobre 1961 et parraine des films pro-FLN !
- Samedi 14 avril 2012, à Marseille, sous les applaudissements et les youyous, Jean-Luc Mélenchon glorifiait l’immigration et le métissage en ces termes : « Marseille nous dit que notre chance, c'est le métissage. Et depuis 2 600 ans, nous sommes du parti de ceux qui se disent contents d'être mélangés, fiers d'être le peuple qui compte le plus grand nombre de mariages mixtes de toute l’Europe ! »… « Il n’y a pas d’avenir pour la France sans les Arabes et les Berbères du Maghreb ! », a-t-il poursuivi dans cette ville qui a voté à plus 22 % pour Jean-Marie Le Pen aux régionales de 2010.
Et c’est sur ces gens là qu’il faudra compter pour vaincre le terrorisme ?...
A l’opposé… des combattants… des guerriers, à l’instar du Lieutenant JM Le Pen décoré par le général MASSU lors de la « bataille d’Alger ». Á sa ceinture, le couteau des parachutistes que certains esprits « malades » et pervers ont confondu avec un « poignard nazi ».

« Les paras libèrent Alger du terrorisme »… C’était en 1957. Devront-ils intervenir encore une fois ?... Mais en Métropole cette fois !...
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Marine Le Pen est en train d'écrire l'Histoire.
Et nous, Peuple de France, nous l'écrivons avec Elle
http://www.youtube.com/watch?v=KAflwkVP0wA
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