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31 octobre 2017

A la mémoire de nos morts restés en Algérie - 1 novembre 2017

CAEN : le 1er novembre 2017 ,l’ANFANOMA et le Souvenir Français déposeront une gerbe à la stèle de l’ANFANOMA  située au cimetière St Gabriel Rendez vous à 9h15 à l’entrée du cimetière

GRASSE 1er novembre : Cérémonie organisée par l’anfanoma  RV à 10H30 cimetière Ste Brigitte devant la stèle 

MONTELIMAR : 1er novembre:   cérémonie organisée par l’anfanoma  :  RV  à 11 heures  cimetière trappistines, devant la stèle 

ANGERS : 1er novembre : Cérémonie organisée par l’anfanoma à 10H45 cimetière de l’est  rv devant la stèle  à 10H30

BOURGES : 1er novembre 10 heures  cérémonie organisée par l’anfanoma rdv devant la stèle cimetière st Lazare

BRIVE LA GAILLARDE : 1er novembre, cérémonie organisée par l’anfanoma cimetière ESTAVEL devant la stèle

TARBES : 1er novembre : Cérémonie à 11 heures, stèle située au  cimetière de la Sède

PIERRELATTE : 1er novembre : 11 heures  cérémonie stèle de l’anfanoma cimetière (nouveau)

PAU   1er novembre : 10 heures cérémonie à la stèle des rapatriés

SAINT AUGUTRE DE CHAMIERS : 1er novembre à 11 h 00, l'amicale des Pieds Noirs de la Dordogne organise une cérémonie au cimetière , au pied de la stèle des rapatriés.

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30 octobre 2017

ULPAT MARCEL

Une des 700 victimes des massacres d'Oran.

Par Michel Delenclos

            ULPAT Marcel  Victor Louis Claude (06.09.1941-05.07.1962) tué et massacré à Oran –Frère de Lucienne et de Raoul Ulpat. Son père travaillait à la Grande poste d'Oran; il décédera quelques mois après son arrivée en France, de la douleur d'avoir perdu son fils massacré par le «FLN». Marcel habitait à la cité Maraval à Oran durant toute sa jeunesse.  Études au collège Ardaillon puis à Wannebrouk. Il était, par la suite, instituteur à Vialar près de Mostaganem.

UlpatArdaillon

1954 : Collège Ardaillon. A l’avant-dernier rang, le 2ème, à partir de la droite N° 40.

            Il sera assassiné par le «FLN», en même temps que Raymond Pardo et Marcel Garcia. Son décès est reconnu par le T.G.I de la Seine du 21.01.1966 – Acte-Jug. 054/1966. 

RECIT DE LA DISPARITION DE M. ULPAT, le 05.07.1962, par son ami d’enfance, André Ausina:

            «Libéré depuis peu de semaines du Service aux Armées, A. Ausina bavardait en fin de matinée d’enfance M. Ulpat, instituteur, et un autre enseignant, collègue de ce dernier. Ils se trouvaient tous les trois rue d’Arzew, près du cinéma Colisée, à l’endroit où cette rue est bordée d’arcades sur un seul côté. Vers 11 heures et demie, la foule en liesse des musulmans devient plus agitée. Les femmes, très excitées, poussent leurs youyous et tournoient  sur elles-mêmes en soulevant leurs jupes de couleurs. Les enfants sont moins nombreux tout d’un coup. Des jeunes gens arabes, silencieux et l’air déterminé traversent les groupes bruyants. Leur veste déboutonnée, car il fait déjà très chaud, laisse voir à leur ceinture couteau ou crosse d’arme à feu. Tous descendent vers le cœur de la ville. Les trois amis sont inquiets : ce n’est plus la foule animée qui fêtait ce matin la première journée de l’indépendance. Ils sentent que quelque chose se prépare. Ulpat propose qu’ils rejoignent la Grande Poste où travaille son père : «Il nous ramènera à midi avec sa voiture» ; mais Ausina préfère remonter seul vers le quartier Saint-Michel par les petites rues presque vides : les Arabes sont groupés en centre ville où ont lieu les réjouissances, et les Européens qui ne sont pas encore partis restent cloîtrés dans leur maison. Ausina arrive chez lui sans être inquiété. Le père d’Ulpat raconte ensuite que, parti à midi juste de la Poste Centrale avec son fils Marcel et l’autre instituteur, ils ne tardent pas à être arrêtés vers la place d’Armes par un barrage de l’ALN (en tenue kaki). Les deux jeunes gens doivent descendre de l’auto : «Il s’agit juste d’un contrôle d’identité. Votre fils ne sera pas retenu plus d’une heure ou deux» dit l’officier lequel conduit les deux instituteurs vers un bar où sont rassemblés déjà une cinquantaine de jeunes européens qui attendent, mais sans paraître apeurés, sous la surveillance de soldats de l’ALN, mitraillettes pointées sur eux. On n’a jamais revu tous ces jeunes retenus par l’ALN, ni vivants, ni morts ».

            Ausina retourna plusieurs fois voir le père de son ami Ulpat. Cet homme, en pleine force de l’âge pleurait en le voyant : «Quand je te vois, je vois mon fils.». Il mourut très vite de ce chagrin insurmontable, quelques mois après son arrivée en France où il ne comprenait la hargne des métropolitains contre les Pieds-Noirs. Rentré chez ces parents, Ausina barricada la porte d’entrée et les volets du rez-de-chaussée, aidé par un commandant de l’armée de l’Air à la retraite. Dans l’immeuble de 10 appartements, il ne restait plus que 4 locataires. Des civils arabes essayèrent, dès 13h30 d’enfoncer la porte, sans y parvenir. Des pillards réussirent à forcer d’autres entrées tuant et tailladant les occupants, les tirant dehors pour les achever sur le trottoir. Le sang, dans certaines rues, coulait en ruisseaux dans les caniveaux. De son appartement, Ausina voyait la rue Lescure en enfilade. Des militaires de l’ALN, en jeep avec mitrailleuse légère, circulaient tranquillement au milieu des assassinats, mais sans intervenir : ils ne tuaient pas eux-mêmes, mais ne portaient pas aide aux Européens. Par contre Ausina devait faire attention en regardant dehors car si une tête apparaissait à une fenêtre, celle-ci recevait une giclée de balles. Sur les trottoirs de petits groupes de jeunes musulmans étaient pilotés par de jeunes arabes en civil vers certains immeubles comme vers une cible repérée ? Le tir sur les volets et les façades et les enlèvements où les massacres continuèrent jusqu’à 17h00 sans qu’intervienne l’armée française ni les Gardes Rouges, consignés dans leurs cantonnements. Après 17h00 seulement les troupes françaises se manifestèrent enfin. Des half-tracks sortirent des casernes et sillonnèrent la ville appelant au calme avec des hauts parleurs… ».

           Par ailleurs, une femme qui entrera plus tard, dans la sphère gouvernementale algérienne, échappe à cette barbarie épidermique :

Bendjedid

             Halima Bourokba, épouse par la suite du président algérien, Chadli Bendjedid (01.07.1929-06.10.2012).  Issue d’une famille bourgeoise algérienne de Mostaganem. Alors jeune, elle était surveillante d’un lycée d’Oran. Le 05.07.1962, habillée en robe elle sera prise pour une européenne, dans le centre-ville d’Oran. Elle devra son salut qu’en criant qu’elle était musulmane. Puis, elle sera sommée de réciter le coran et d’écraser une victime européenne. En mai 2015, elle sera hospitalisée gratuitement à Paris dans le XVIème, sous la régence de François Hollande.  (Témoignage de Jean-Pierre Lledo, scénariste documentariste). D’autres n’auront pas cette chance :

Oran05 

 

            Le 05.07.1962 : à Oran, des européens sont éjectés de l’église du Saint-Esprit, située place de la Bastille, sous les yeux du prêtre impuissant. Puis, ils sont dirigés vers un poste de police dirigé par le « FLN-ALN » .

Le bilan de ces massacres à Oran est de 700 morts, chiffre qui fait consensus.

RENCONTRE Ahmed BEN BELLA et Joseph KATZ :

Plus tard, après ces massacres dans Oran, le12.07.1962, quittant Tlemcen, Ahmed Ben Bella arrive à Oran à 15h10, avec Mohamed Khider, Ahmed Boumendjel, Ahmed Francis. Il y sera notamment accueilli par le colonel de l’ALN de la Wilaya 5, Si Othmane.

 BenBellaKatz

Ce 12.07.1962 : le  Général Joseph Katz à Oran, dialoguera avec A. Ben Bella. Le «Journal de Neuchâtel (Suisse) du 13.07.1962 titre : «Alors que son différend avec le «GPRA» n’est toujours pas réglé, Ben Bella reçoit un accueil triomphal à Oran.».  (http://doc.rero.ch/record/62373/files/1962-07-13.pdf ).  

(*) A propos de cette rencontre, Katz-Ben Bella, le député André Marie posera une question au ministre des Armées, Pierre Messmer…

            Dans les salons des appartements privés du préfet, à Oran, Lahouari Saouyah, se trouvent rassemblés, entre autres personnalités, le consul général de France, Jean Herly, un représentant de l’amiral commandant la base de Mers-el-Kébir, le commandant Gabriel Gauthier chef d’état-major du général Arthuys commandant la gendarmerie, Hadj Bennalah membre du «CRNA», et le colonel Si Othmane commandant la «Wilaya 5». Est également présent Hervé Bourges. Après une courte allocution du préfet, A. Ben Bella –alors en quête du pouvoir- prend la parole en français : «Mon frère Khider et moi-même, avons tenu à venir ici, d’abord pour rendre visite à cette population musulmane, mais aussi pour nous adresser tout particulièrement à la population européenne et israélite pour leur affirmer que nous sommes décidés à créer les conditions pour une vie normale, pour une cohabitation franche Je sais que cette ville a été secouée tout dernièrement par les soubresauts de certains nerveux qui, dans leur folie criminelle, ont voulu rayer toute chance de cohabitation. Je le dis, certains éléments d’origine algérienne ont créé une situation que nous déplorons tous. Nous sommes déterminés à réprimer cela dans les plus brefs délais et nous emploierons, pour y parvenir, tous les moyens qu’il faudra, je le dis pour ceux qui ont réagi d’une façon contraire aux mœurs de ce pays…Je vois que de nombreux journalistes sont ici. Je leur demande de faciliter notre tâche en faveur de la cohabitation et pour l’avenir de ce pays…».  Le journal «La Liberté», dans un article appuyé de photos, note : «A la préfecture (d’Oran), il (Ben Bella) s’entretient, très détendu avec le général Katz…Il (Ben Bella) a bavardé avec le chef des forces militaires françaises Katz qui, tout d’abord annonce qu’il avait à transmettre les amitiés d’Edmond Michelet, puis a demandé à serrer la main du commandant de la wilaya 5, le colonel Si Othmane. Main dans la main, les deux chefs militaires, hier encore ennemis dans les djebels d’Oranie, ont bu l’orangeade de la réconciliation, sous le regard visiblement satisfait de Ben Bella…».

SOUVENIRS SCOLAIRES PARTAGES :

            En fin d’année scolaire, tous les élèves échangeaient leurs souvenirs scolaires, leur amitié, leur adresse dans le but de ne pas se perdre. Pour ce qui le concerne, l’auteur était alors maître d’internat. Pour exemple, ce Cahier d’école intitulé «Souvenirs 1959-1960» : Y figure notamment la signature de Marcel ULPAT : «Mon cher Michel. Toi, copain depuis si longtemps, l’inoubliable camarade qui n’a jamais essayé de fuir cette sympathie si profonde. Puis ta position de pion ne t’a pas rendu pour autant fier et fanfaron mais au contraire toujours à la tête du grand «foyon». J’espère que toute cette classe de 1ère se rappellera de toi car vraiment Michel tu es un chic type, c’est moi qui te le conjure. Un copain qui t’adresse ses plus profondes sympathies.».  Parmi les élèves : Ramirez Dominique, Agullo Claude, Winkelköter Hugues, Madonado Denis, Boudong Jean, Kacem Mohamed, Terrones Jean-Marcel, Toumi Abdelkader, Noumène Bachir, Esteve Roland, Hafner Jean-Claude, Mortet Khettab, etc. La diversité des nationalités et des religions de ces élèves n’a jamais entamé leur cohésion, leur entente, leur camaraderie.

            Cahier de Souvenirs 1959-1960 : Ceux de Abdelkader TOUMI : «…Tu t’es montré très brave avec nous tous puisque tu n’as pas encore collé un seul type. Et puis, tu as aplani la différence entre «pions» et «élèves» en nous comprenant, en partageant nos jeux et, surtout, en nous permettant d’oublier que nous étions dans un internat. Je quitte Wannebroucq cette année, mais je ne t’oublierai pas, je garderai toujours le souvenir d’un brave type qui sait se faire aimer de tout le monde, Français catholiques ou Français musulmans. Ton Ami. ». (Demeurant à Lapasset, près de Mostaganem.).

MACRON et les CRIMES contre l’HUMANITÉ à sens unique.

            Le 14.02.2017, lors d’un entretien sur la chaîne privée algérienne «Echorouk News», le candidat à l’élection présidentielle d’En Marche, Emmanuel Macron, déclare : «La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers qui nous avons commis ces gestes. ». Ces paroles prononcées à Alger font que Macron passe du registre du droit à celui du marketing  politique. C’est le rôle des historiens de dire la vérité et, dans d’autres lieux que l’Algérie actuellement au bord de l’explosion.  Pourtant, dans l’ouvrage du philosophe, Paul Ricœur, intitulé «La mémoire, l’histoire, l’oubli» publié le 08.09.2000, Ed. Du Seuil, Macron est cité dans la préface où Ricœur le remercie pour «sa critique permanente de l’écriture et la mise en forme de l’appareil critique.». Cette collaboration qui, selon Macron, l’a transformé en lui apprenant à penser l’Histoire et le cours du monde «dans un va et vient entre la théorie et le réel. ». Pourtant, l’oubli, aussi bien que la mémoire, fait partie de la condition historique

            Le 29.06.2017 sur le site de l’Élysée, le tout nouveau président de la République, Emmanuel Macron rend hommage à Roland Rappaport décédé le 26.06.2017 : «Le président de la République a appris avec une grande tristesse la mort de R. Rappaport, ancien président du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié des peuples de 1988 à 1989. Il salue la mémoire de cet avocat engagé, qui a consacré sa vie à la lutte contre l’injustice et les discriminations. Il a combattu sans relâche le racisme, la torture en Algérie ou encore l’antisémitisme, en se faisant le défenseur des enfants juifs d’Izieu lors du procès de Klaus Barbie. Ses combats resteront les nôtres et son exemple fait désormais partie de notre histoire nationale. ».  De 1949 à 1979, ce président du «MRAP» soutiendra Staline et le blocus de Berlin, la répression sanglante de l’insurrection hongroise puis du «printemps de Prague. Avocat dès 1956, il prendra fait et cause pour les terroristes du «FLN» et le parti communiste algérien. Rappaport participe à l’écriture du livre d’Henri Alleg, «La question», publié le 12.02.1958 et que Ferhat Abbas qualifiait «d’authentique marxiste». Le 22.06.2012, aux côtés de Benjamin Stora et Mohamed Harbi, il participe au colloque sur l’ «Affaire Audin»  puis, le 19.06.2017, il adresse une lettre à Emmanuel Macron à propos d’Audin.  M. Macron, en la circonstance vous êtes  partisan et provocateur. Apprenez et retenez que l’objectivité de l’Histoire ne peut être établie qu’une fois la parole est donnée à ceux qui n’ont pas pu la prendre jusqu’à présent, à ceux qui ont été contraints au silence par l’histoire, par sa brutalité, par tous les systèmes de violence et d’exploitation…à ceux que vous avez insultés.

            (*) Le 04.08.1962, à l’Assemblée nationale, le député André Marie pose cette question (N° 16693) au ministre des Armées, P. Messmer : «Concernant un général (Katz), ex-chef des forces militaires françaises, à Oran, dont on connaît le rôle éminent qu’il a joué dans la «liquidation de l’affaire algérienne» et dont la presse annonce le prochain retour en métropole, il demande notamment, au vu des photographies publiées :

1/ Si c’est de sa propre initiative, ou sur les instructions du Gouvernement que ce général a accueilli Ben Bella à son quartier général.

2/ Si c’est à la victoire de la politique algérienne française ou à celle des armes «FLN» qu’il a levé son verre au cours de sa réception.

3/ S’il est exact qu’il a profité de cette singulière rencontre pour transmettre à Ben Bella l’amical souvenir d’un ancien Garde des Sceaux, en exercice lors détention de Ben Bella en métropole.

4/ Si, dans l’affirmative, il a encore agi de sa propre initiative ou sur la demande expresse de cet ancien ministre qui d’ailleurs a nié avoir chargé ledit général d’une telle mission. ».

1

DELENCLOS Michel. Chercheur en histoire. Biographe.Auteur de «19 mars 1962 ? Waterloo ! » - Prix d’Histoire le 14-04-2013 ..préfacé par l’historien Maurice Faivre.

BIBLIOGRAPHIE :

- Jean Monneret «La tragédie dissimulée Oran, 5 juillet 1962 », Ed. Michalon, 01.02.2006, mis à jour et réédité le 14.04.2012.

- Daniel Lefeuvre «Pour en finir avec la repentance coloniale.», Ed. Flammarion, 05.10.2006.

- Lugan Bernard «Pour en finir avec la colonisation», Ed. Le Rocher, 16.11.2006.

- Jordi Jean-Jacques «Un silence d’Etat. Les disparus civils européens de la guerre d’Algérie », Ed. Soteca, 28.10.2011.

- Zeller Guillaume «Oran 5 juillet 1962. Un massacre oublié », Ed. Tallandier, 14.03.2012.

- Pervillé Guy «Oran, 5 juillet 1962. Leçon d’histoire sur un massacre. », Ed. Vendémiaire, 06.05.2014.

 

 

 

 

 

 

30 octobre 2017

INTERVENTION DU GENERAL PIQUEMAL

le 21 octobre 2017

les dirigeants qui détruisent la France n'ont aucune légitimité (Général PIQUEMAL)

Intervention du Général Christian PIQUEMAL,  dans l'Ardèche à l'occasion des un an de "Sauvons notre pays"

Dans la carégorie actualités et politique - Licence YouTube standard

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30 octobre 2017

MESSAGE D'UN GROUPE ALGÉRIANISTE DE RECHERCHES HISTORIQUES

Si une commission d'enquête sur "les événements d'ORAN 62 du 5 Juillet 62 avait existée elle aurait pu statuer sur les éléments suivants.

A VOUS DE JUGER NOUS VOUS LIVRONS LA RECHERCHE

1

NB /  Conclusion / Ordre du Jour No 18 du Général Katz du 3 Juillet 1962

            "Les troupes du secteur Autonome restent à Oran et sont les garantes des accords d'Évian, elles sont là pour protéger lespersonnes et les biens Français, elles donneront l'exemple de la nécessaire réconciliation franco-algérienne. Leur attitude montrera que l'Armée Française fidèle à sa tradition demeure le symbole de la Liberté et de la Fraternité

Signé "Le général de Division Katz "/ Commandant le groupement Autonome d'Oran l'avant-veille du 5 Juillet !  Tirez en les conclusions.

            Mais certains d'entre nous pensent (à débattre) que Katz (Bouc émissaire consentant était relativement sincère et n'avait pas alors reçu d'ordre contraire (L'ordre de consigner les troupes arrive la veille alors que Katz avait prévu dans la directive No 99 Saor/** du 20 Juin pour les Chefs de Corps l'intervention possible des troupes "en cas de légitime défense de nos ressortissants" après l'indépendance (document cité)  ** En référence à note 2.140/csfa/EMI/SOPE du 13 Juin 1962 (donc EM/Alger)  Note 99 destinée aux Forces françaises en présence à Oran le 5 juillet 1962.

             Rappel / en fonction des Archives militaires et des destinataires des circulaires du Commandement du " Secteur Autonome d'Oran " nous  indiquant  la liste des unités et des effectifs (18 000 hommes) Liste des unités présentes à Oran, et à proximité, le 5 juillet 1962 destinataires de la note de Katz; indiquées en marge de la note. 

            Le général KATZ a déclaré "qu’il ne pouvait faire intervenir l’armée sans une demande du préfet Algérien."
Mais nous avons déclaré : cafouillage le 5 Juillet à la préfecture d'Oran le préfet Français est encore formellement en place, mais se voit signifier (illégitimement) son remplacement par Souhïa par le chef de la Willaya V en date du 5 juillet !normalement il aurait dû attendre selon les accords d’Évian une directive de l'Exécutif provisoire d'Alger, c'est bien pour cela que ce dernier ne le nommera avec effet rétroactif qu'à la date du 6 le 11 Septembre  (archivé) après l'entrée de Ben-Bella et Boumédiène à Alger!" seul habilité à nommer les préfets et non obtempérer à une directive émanent d'un membre soumis à l'autorité de Boumédiène et de Ben Bella.

CONSÉQUENCES LOURDES

            le Préfet Français en place encore représentant selon les accords d'Évian "l'Exécutif Provisoire " seule autorité légale en Algérie aurait dû devant la carence de "la force locale" et l'urgence demander l'intervention de l'Armée Française en légitime défense comme prévu pour nos ressortissants (Non pour régler un problème entre  Algériens)
Ni le préfet Français ;ni le général Katz n'ayant suivi cette procédure on peut légitimement douter qu'ils l'aient fait sans l'ordre au moins verbal de l'autorité supérieure ! Ce qui tendrait de démontrer les connivences et la Non neutralité présumée de cette autorité! (État-Major Français d’Alger exclus, voir ci-dessous, il reste Paris).

2

            Suivant les archives officiellement le conseil des Affaires Algériennes qui se tient le 5 juillet n'est pas informé à 15 h de la situation réelle à Oran est donc en Algérie le jour crucial de la célébration de l'indépendance, grave lacune avec problème historique, mais entre 11 h début des incidents à Oran et 15 h, que s'est-il passé ? A notre avis on ne peut rien exclure avant, pendant et même" après la réunion "où il y avait des dispositions à prendre au moins pour retrouver des présumés disparus dont le problème fut laissé à la charge d'un simple sous-lieutenant sans expérience et sans moyens. JP Chevènement).

Pour notre collectif avec nos cordiales salutations.

JF PAYA (qui avait fait quelques recherches de disparus à cette époque dès le 8 juillet 62).

Enquête 5 juillet 62

            J’ai toujours signalé qu'il n'y avait eu aucune enquête du 2em Bureau Français sur le moment ni après sur les causes et les raisons (même interdite) de ces massacres et de ses émeutes provoquées, la mienne maritime officieuse, privée et non transmise ! Le seul rapport admis fut celui du général Katz du 12 Juillet 62 intitulé (Au sujet des événements du 5 Juillet 62 ayant entrainé des morts et des blessés dans la population européenne et musulmane et l'arrestation de nombreux européens).

            Il admet une centaine de disparus dont certains embarqués clandestinement par avion ou par bateau ! Allégations sans preuves ni témoignages. D'autres réfugiés dans le périmètre de la base de Mers-el-Kébir" d'autres sont rentrés à leur domicile en omettant de le signaler (idem sans preuves ni témoignages!) Incidents dus comme mentionnés dans le rapport à des tirs d'Européens sur les manifestants et les policiers Algériens.

(Nous avons démontré la fausseté de telles allégations aussi et même le contraire jf Paya).

htpp://p1.storage.canalblog.com/19/88/399668/114690293.pdf

            Le seul document classifié du 2em Bureau d'Oran qui me fut remis par le Commandant adjoint du 2em Bureau est celui, ci-dessous  récupéré comme écrit le 22 juillet avec le communiqué du 5 juillet de l'EMG /ALN d' Oujda à ses cadres. La veille de rentrer en Algérie diffusé par erreur le 22 Juillet (et non prévu pour ça) par un chef local pour explication politique à la population sur les sites indiqués prés d'Oran  (doc/État-Major 2em B Réf/ No 1266/GAOR/S avec Texte ALN 3 pages) daté du 23 Juillet (SP 86 652/A). Sites Bousfer, Ain-el-Turks, Mers El Kébir pour le document capital du 5 Juillet plus de nouveaux témoignages que je signale dans "L'Agonie d'Oran" avec notre enquête est le seul ouvrage sur ce dossier et où cet ordre du jour est cité.  (il semblerait que Bouteflika secrétaire particulier de Boumédiène à cette époque en soit à l’origine)

Cordialement Jean François Paya

oran1962-104b6

Éléments prouvant que Paris était informé mais qui a bien disparu des Archives !
Témoignage de monsieur Étienne ESTÈVE-CASTILLA Radio Télégraphiste PTT Oran (donnés dans le livre "Agonie d Oran") Il était déjà 12 heures 45quand le navire français Colomb-Béchar me contacta. Son Commandant se mit à ma disposition ou je lui dictais un message de secours immédiat adressé au Ministre des P.T.T. et au Ministre de l'Intérieur à Paris. Le message reçu par le navire fut transmis au ministère par la station de Marseille Radio
Plus tard, ayant rejoint le Bureau Central Radio de Paris, j'ai pu voir la copie du message reçu par la "Gare Centrale Radio" à 13 h 05 et retransmis aux Ministères.

JF PAYA

 Retour ENQUÊTES DE JEAN-FRANCOIS PAYA

 

12 octobre 2017

ORAN 5 JUILLET 1962 - DERNIER TEMOIGNAGE

Par Jean François PAYA

           Selon le témoignages récents d'un ex secrétaires de Katibas l'état-major ALN du Maroc obnubilé par les enclaves Espagnoles de Ceuta et Melilla pu s'assurer que les Forces Françaises (FAF) n'interviendraient pas en cas de désordres à Oran (prémonitoires)où il était facile de créer des incidents avec prétextes "Tirs sur le défilé petits scouts musulmans" et " résidus OAS ! (pas de noms ensuite de ces "chouadas" (ni une plaque sur les murs d'Oran) voir nos enquêtes sur le site suivant Oran, juillet 1962

            Pour l'OAS d'Oran signaler que le départ de certains de ses "Commandos" fut négocié "en rapports de Force" Incendie du port par tirs au bazooka (Témoignages reçus) par la base maritime d'Arzew avec le commandement des FAF Français et Maritimes sous conditions d'aucune représailles et défense de la population civile Française (les FAF en accord avec autorités FLN trop contentes de voir partir ces perturbateurs. Parjure de tous ces interlocuteurs maudits.
Le vendredi 20 SEPT 2017 - JF PAYA à la base de Mers-El-Kébir fin 1964.

            L’ordre du jour du 5 Juillet 62 de L’ALN d’Oujda prévoyant de manière prémonitoire sa vocation de maintenir l’ordre et sa condamnation du GPRA (texte intégral volume 3 Agonie d Oran) comme le signale JF Paya le départ des éléments OAS organisés fut négocié avant l'appel du colonel Dufour pour l'arrêt des combats avec décision de ne pas se livrer à un "baroud d'honneur" pour justement éviter des représailles sur la population.

            Condition de l'autorité militaire Française qui avançait la directive 99 du 20 juin 62 du Général Katz à ces unités qui prévoyait l’intervention en cas d’agressions de nos ressortissants après l’indépendance dans la période de transition vers un pouvoir Algérien élu prévu par les accords d’Évian, document reproduit dans le livre de J Katz « l’honneur d’un général » puis document du groupe FLN de l’exécutif provisoire en date du 27 juin 62 qui indique que faute de directives « le protocole de maintien de l’ordre » ne fut pas signé, d'où risques d’interventions de l’Armée française après le 2 Juillet en cas de débordements (archives du FLN de M Harbi).

            Rétrospectivement il semble que le GPRA ne souhaitait pas livrer ce maintien de l'ordre à l’ALN surtout extérieure dont il venait de limoger l'État-major.

            On sait comment ces directives furent bafouées avec les engagements de défendre nos ressortissants par des directives supérieures la veille du 5 juillet 62 (Paris n’est pas au courant) ce qui reste à démontrer mais a notre avis un individu comme Katz n’aurait pas sollicité des directives (surprenant) et sans celles-ci justement avait un prétexte en or pour prendre des initiatives courageuses mais il ne le put car visiblement il avait des directives du plus haut niveau même selon nous pour accepter de servir de bouc émissaire et ça à réussit.

            LE PROBLÈME EST QUE SI LE MASSACRE D'ORAN NE FUT QU'UNE RÉACTION SPONTANÉE NON PRÉMÉDITÉ D'UNE FOULE (COMME L'AVANCE CERTAINS AUTEURS CE NE FUT NI UN CRIME DE GUERRE ET ENCORE MOINS UN CRIME CONTRE L'HUMANITÉ SANS RESPONSABILITÉ) VOIR LE DÉMENTI DE CETTE ÉNORMITÉ CI-DESSOUS.

Par le Groupe de recherches Oran 5 Juillet 1962 direction JF PAYA /AC Algérie classe 54/2 en archives au CDHA (centre documentation historique sur l'Algérie).

            « L’armée restera pour vous protéger » les semaines précédentes. Le pouvoir central Français est directement impliqué, Katz ne faisant que se parjurer en exécutant des "directives supérieures de non intervention" en contradiction avec celles sur la légitime défense du commandant FAF d'Alger (cité par le général Faivre) qui cependant ne le blâma pas! pour il est vrai des "incidents" très minimisés (rapport officiel de Katz)tandis que le GPRA subjugué dans un communiqué du 6 stigmatise des prétendus résidus de l'OAS (dénié par le FLN/ALN à Oran le 6 juillet).
            Mais à postériori il est plus facile d'écrire l'histoire sur le moment dans la confusion car personne ne savait ce qui pouvait se passer. Pour De Gaulle en priorité la conservation des bases d’essais du sud et de Mers El Kébir devait être assurée. En même temps cette dernière ne devait pas générer une zone de replis ni une enclave Française donc la nécessité de faire partir un maximum d'habitants Européens de la région (pour l’ALN) sans pour autant provoquer l'intervention de l'Armée Française (donc assurance de son gel) remplacée par celle de l’ALN du Maroc après en avoir créé les conditions comme la carence de la Force Locale et l’utilisation et l’exacerbation des sentiments de vengeance pour créer l'émeute RENDUE SURTOUT POSSIBLE PAR LA PARALYSIE VOULUE DES 18000 hommes de L 'ARMÉE FRANÇAISE J'AI ÉCRIT CECI IL Y A 20 ANS avec la confusion de juillet 1962.

            Ce n’est pas gagné pour Ben BELLA / BOUMÉDIÈNE. L'ALN d'Oujda est prête a tout pour jouer les "pompiers pyromanes" comme à Oran en provoquant le désordre pour prouver l'incapacité du GPRA à diriger le pays !

Jean François PAYA

Retour ORAN… 5 JUILLET 1962 - LE GÉNOCIDE
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12 octobre 2017

UN CŒUR POUR PHILIPPE !

Par José Castano

Souvenez-vous !... C’était, il y a 55 ans…

C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 d’Oran qui fit plusieurs milliers de victimes parmi la population civile européenne, que De Gaulle prit la décision de faire fusiller le Lieutenant Roger Degueldre, officier du prestigieux 1er Régiment Etranger de Parachutistes et chef des Commandos OAS Delta d’Alger.

Le 6 juillet 1962, à l’aube, au Fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul. Autour de son cou, il avait noué un foulard de la Légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.

degueldre-jeune

En quittant sa cellule, il s’écria à l’adresse de son défenseur : « Dites que je suis mort pour la France ! » puis, en guise d'adieu, il lança son Credo : « Je suis fier de mourir pour tenir le serment qu'a fait tout officier ayant servi en Algérie. Dites aux Algériens que, si je ne suis pas de leur race, n'étant pas né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours. »

Au poteau, il refusa qu’on lui bande les yeux et cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.

12 minutes… 12 atroces minutes de souffrance plus tard, son calvaire prit fin…

Ce bébé que Roger n’avait jamais vu et qu’il conservait précieusement contre son cœur, allait connaître une vie des plus mouvementées…

Né le 16 juin 1962 –moins d’un mois avant l’assassinat de son père- il fut aussitôt confié à un couple admirable : Durand-Ruel.

Philippe Durand-Ruel, était capitaine au 1er REP et ami de Roger Degueldre. Son épouse, Denyse, s’occupa de ce bébé et le chérit comme s’il s’agissait de son propre enfant.

  La mère du bébé, Nicole Besineau-Gardy, épouse du capitaine du 1er REP, Michel Besineau et fille du général Paul Gardy, ancien inspecteur de la Légion étrangère et l’un des chefs de l’OAS, séjourna dans la clandestinité à Paris d’où elle tenta d’organiser l’évasion de Roger Degueldre. Celle-ci ayant avorté, elle demeura à Paris jusqu’au jour fatal dans le but d’apporter par l’entremise de son avocat, Maitre Macaigne un réconfort moral à Roger…

Ivre de chagrin, Nicole gagna alors Madrid où elle récupéra avec l’aide d’un légionnaire son fils, puis destination l’Argentine, où elle rejoignit son époux, son père et ses trois sœurs.

… 55 ans après ces évènements, j’eus la surprise de recevoir, émanant d’Argentine où il vit, un appel téléphonique d’un certain Philippe Besineau qui disait être le fils de Roger Degueldre.

Perplexe, dubitatif, indiscret, voire, inquisiteur, je m’enquis de toutes les garanties inhérentes à sa filiation. Philippe me fit parvenir une série de photos de famille, puis évoqua sa condition familiale, sa recherche d’identité, l'existence très difficile depuis 1962 de lui-même et des siens, exilés… et ses problèmes de santé.

Atteint d’une très sévère cardiomyopathie qui a déjà nécessité la pose d’un défibrillateur, son pronostic vital est compromis à court terme et ses chances de survie ne reposent plus que sur une transplantation cardiaque, possible en France seulement.

Philippe BESINEAU-DEGUELDRE est français, bénéficie d'une couverture par la Sécurité Sociale française mais sa situation matérielle très difficile lui interdit d'envisager une venue en France. 

Avec l’aide de Georges Belmonte, vice-président du Cercle algérianiste du Gers, nous avons décidé de venir en aide à Philipe pour lui permettre de se faire soigner en France.

Nous avons aussitôt obtenu un renfort inestimable du Secours de France qui a pris l’heureuse initiative de piloter cette opération « Un cœur pour Philippe ». Informé de cette démarche, le Docteur Alain Bourdon, cardiologue, s’entretint immédiatement  avec Philippe Besineau et obtint communication de son dossier médical.

Après analyse, le Docteur Bourdon transmit ce dossier au Professeur Gilbert Habib, responsable du service de Cardiologie à l’hôpital La Timone de Marseille, où se pratiquent des transplantations. Celui-ci accepta de recevoir le patient pour bilan afin de l'inscrire sur la liste d'attente dans le but de pratiquer cette transplantation cardiaque dès qu’un greffon compatible serait disponible…

Désormais, il ne reste plus qu'à organiser matériellement et financièrement la venue de Philippe Besineau.

Bien que Secours de France soit prêt à s’investir financièrement, il faudra beaucoup d’argent pour mener à bien cette opération de la dernière chance… d’où cet appel que nous lançons à toutes les bonnes volontés pour nous aider dans cette quête du salut de Philippe… et à travers lui, en mémoire de son père qui immortalisa sa légende par ces mots : « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM ».

C’est sous des balles françaises que le Lieutenant Roger Degueldre, Chevalier de la Légion d’Honneur, est tombé le 6 juillet 1962 à 04h08, après un calvaire de 12 minutes.

José CASTANO  e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

Cliquez sur ce lien :Lieutenant Roger DEGUELDRE, martyr de l’Algérie française

SECOURS DE FRANCE-Un couer pour Philippe

Secours de France - Vérité, charité, justice.

Courriels : contact@secoursdefrance.com ; secoursdefrance@cegetel.net

Important :

Rédigez votre chèque à l’ordre de : SECOURS DE FRANCE

Au dos, portez la mention « Un cœur pour Philippe » et adressez le à : Georges BELMONTE 

10, av Montesquieu – 33240 ST ANDRE DE CUBZAC – Tel. 06.84.51.39.42

Courriel : belmonte-georges@wanadoo.fr

-  Vous recevrez un reçu fiscal permettant une réduction d’impôts de 66% des sommes versées.

-  Veuillez mentionner lors de votre envoi, votre n° de téléphone et votre adresse internet.

Nous remercions chaleureusement le Comité VERITAS qui, lors de son congrès du 23 septembre à Béziers, nous a permis de récolter les premiers dons. Courriel : comiteveritas@free.fr

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Conférence : « ISLAM… D’hier à aujourd’hui »

Cette conférence, organisée par le Cercle algérianiste de TOULOUSE, sera donnée par José CASTANO, Samedi 21 Octobre 2017, à 15h30, au CEFANOM, 1, rue des Pénitents blancs – 31000 TOULOUSE - Entrée gratuite –

Un repas (facultatif) est prévu à 12h au restaurant La Gourmandine, 17, Place Victor Hugo – Toulouse (inscription obligatoire).

Pour tout renseignement : Hervé CORTES Tel. 05.61.15.45.98 ou 06.40.38.69.06 - Courriel : cortes.famille@wanadoo.fr

«TERREUR ISLAMISTE» 

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Autre conférence :: « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat

- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil et dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »

… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « leurs » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence, organisée par la « Délégation Vauclusienne de l’Association de Soutien à l’Armée Française », sera donnée par José CASTANO, Samedi 4 Novembre 2017, à 15h, salle Bouscarle, 95, Avenue Charles Vidau, 84300 CAVAILLON- Entrée gratuite –

Pour tout renseignement : Gilles ROUSSSET - Tel. 06 75 54 12 91

Courriel : gilles.rousset@dartybox.com

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