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12 septembre 2020

CAMOMILLE JORDANA ET FATIMA SISSANI

devront pour le moins faire l’objet d’un rappel à la loi

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Connaissez-vous les dispositions de l’article 23-7 du Code civil ? Mais si ! Cet article édicte que « le Français qui se comporte en fait comme le national d’un pays étranger peut, s’il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d’Etat, avoir perdu la qualité de Français ». Et savez-vous ce qu’est un rappel à la loi ? C’est une mesure, en droit français, qui permet de « procéder au rappel auprès de l’auteur (d’une infraction) des faits et des obligations résultant de la loi » (article 41-1 du Code de procédure pénale).

Voyons à présent les agissements de deux pimprenelles franco-algériennes : la demoiselle Camomille Jordana, artiste (chanteuse et stripteaseuse) et la dénommée Fatima Sissani, cinéaste. La première s’est distinguée en prétendant d’abord que les immigrés allant au travail risquaient de se faire « massacrer » par les policiers. Egérie du fameux comité Assa Traoré, elle admoneste sévèrement l’ensemble des Français en déclarant au micro de BFM TV, le lundi 31 août 2020, que la France devait faire, je cite, « un énorme travail de décolonisation ». Pas un petit, pas un grand mais un « hénaurme » travail de « décolonisation !

Pour couronner le tout, elle se vante d’être la petite-fille de deux grands-pères arrêtés pour cause de militantisme FLN. Elle n’hésite pas, malgré cela, à s’affirmer féministe, ce qui paraît osé lorsque l’on constate la place octroyée en Algérie à la femme, mineure à vie, précisément du fait de ce maudit FLN.

Que fabrique donc en France ce personnage ? Ne serait-elle pas plus inspirée de retourner définitivement dans le bled de ses ancêtres ?

Venons-en maintenant à l’autre franco-algérienne posant problème, une certaine Fatima Sissani (ou Zizanie ?) qui a commis un film intitulé « Résistantes » faisant l’apologie des moudjahidates (1), à savoir des femmes terroristes et de leurs complices semant la mort et la désolation en 1957 à Alger, dans les bars, restaurants et arrêts de bus. En accusation, évidemment, la France, en des termes plus qu’outranciers d’où suinte une haine inexpugnable !

Le journal Sud-Ouest en date du 6 décembre 2019 lui a cédé la parole. Plus imbue d’elle-même que la Fatima, tu meurs ! Son film, affirme-t-elle, est « une ode à la résistance à l’oppression ». Elle fustige les extrémistes, « la horde des ignares qui n’a même pas vu le film ». Quel scandale, donc, dans la France de ce vingt-et-unième siècle où « il demeure toujours impossible pour certains d’entendre que la colonisation française en Algérie constitue un génocide doublé d’un  sociocide »… Les nazis etle docteur Mengele se voient ainsi ravalés au rang d’enfants de chœur.

(1)    A peine plus de 10 000, ce qui, rapporté à la population féminine algérienne, apparaît dérisoire

 

Il est grand temps de ramener ces deux harpies à davantage de mesure et de leur mettre sous le nez justement les dispositions précitées de l‘article 23-7 du Code civil. Il importe d’extrême urgence de les ramener à des sentiments plus amènes envers un pays qui leur a tout de même permis de percer dans le domaine des « arts et lettres » et d’atteindre une certaine notoriété, ce qui ne serait pas forcément acquis si leurs parents et elles étaient restés en Algérie, patrie dont elles ne cessent de se gargariser.

A défaut de pouvoir les ramener à des sentiments de meilleur aloi, il conviendra de déclencher la procédure de déchéance de nationalité. Sans trop tarder et sans état d’âme !

PS : Nos véritables amis d’outre-Méditerranée ne seraient certainement pas enchantés de ce « retour » en Algérie de telles viragos, arguant à juste titre qu’outre-Méditerranée une telle hargne et une telle haine anti-française ne s’exprime guère que dans les cercles du pouvoir. Cela dit, il n’est pas exclu que l’air vivifiant des montagnes kabyles ait un effet bénéfique sur les ci-devant Camomille et Zizanie !

Jean-Michel WEISSGERBER Colmar, le 11 septembre 2020

Article transmis par Maurice Calmein

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10 août 2020

BENJAMIN STORA

10 août 2020

BENJAMIN STORA VISION PARTIELLE DONC PARTIALE DE LA GUERRE D'ALGÉRIE

Par JEAN SÉVILLA - 28/07/2020

FIGAROVOX/ENTRETIEN- Emmanuel Macron a confié à l'historien Benjamin Stora une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie>>. Mais pour Jean Sévillia, l'approche de Benjamin Stora est trop complaisante à l'égard de la lecture indépendantiste des événements, propagée par le pouvoir algérien.

Par Paul Sugy

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Stèle en mémoire des soldats disparus des Abdellys pendant la guerre d'Algérie au Père Lachaise. Pierre-Yves Beaudouin

Jean Sévillia est également chroniqueur au Figaro Magazine et membre du comité scientifique du Figaro Histoire. Il est aussi l'auteur de nombreux essais historiques, dont notamment Les Vérités cachées de la guerre d'Algérie (Fayard,2018).

FIGAROVOX. - L'historien Benjamin Stora s'est vu confier par Emmanuel Macron une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », ce choix vous semble-t-il judicieux ?

Jean SÉVILLIA. - Ce n'est pas, me semble-t-il, le meilleur choix, même s'il n'est pas surprenant si l'on se souvient des différentes prises de position du chef de l'État à ce sujet : Emmanuel Macron avait en effet qualifié la colonisation de <<crime contre l’humanité » lorsqu'il était candidat ; puis, comme président, il a ouvert la voie à une démarche pratiquement expiatoire. Il partage donc la même vision que Benjamin Stora de la présence française en Algérie : cet historien est en effet une figure officielle dans les cercles bien-pensants.

Cette mission qui lui a été confiée correspond du reste à ses vœux et à l'ambition qu'il a poursuivie à travers l'ensemble de son œuvre. Je ne m'attarderai pas, pour ma part, sur le fait qu'il ait pu être trotskiste dans sa jeunesse, car Benjamin Stora a désormais plus de soixante-dix ans et il a évolué intellectuellement depuis. Mais sur l'Algérie, il est l'homme d'une thèse, et ce choix n'est évidemment pas neutre.

Ses travaux ont épousés la relecture de la présence française en Algérie par les mouvements indépendantistes, qui la considèrent comme injuste du début à la fin. Malheureusement, Benjamin Stora n'a travaillé pour l'essentiel que sur la mémoire algérienne, avec laquelle il est en sympathie, et ne connaît pas avec une grande précision la dimension militaire de la mémoire française de la guerre d'Algérie, par exemple, puisqu'il n'a pas travaillé sur les archives de l'armée française. Ce qui fait de lui un historien, non pas des mémoires, mais de la mémoire algérienne de la guerre d'Algérie ; et non un historien impartial ayant une égale connaissance des deux camps ou même des querelles internes à ces deux camps. C'est en cela que Benjamin Stora ne me paraît pas l'homme idoine car son approche est trop ignorante de la mémoire européenne, de celle des Harkis...  Il n'a pas suffisamment une vision d’ensemble : sa vision est partielle, donc partiale.

Au point d'adopter une vision biaisée des événements de la guerre d'Algérie, et de la colonisation française ?

Inévitablement oui, puisque Benjamin Stora s'intéresse aux mémoires et même aux « mémoires blessées » davantage qu'aux faits historiques eux-mêmes. Ce n'est pas inintéressant, mais l'on aboutit vite avec cette approche à rendre subjectives les vérités historiques, or nous aurions besoin d'en savoir plus sur les faits. Concrètement, il apparaît par exemple étrangement compréhensif à l’égard du FLN, justifiant le choix de la « lutte armée » (que je qualifierais pour ma part de « terroriste »). Ce faisant, illégitime des faits dont l'on connaît pourtant la gravité : le FLN a posé des bombes au milieu des civils à Alger, commis des meurtres, des attentats et des enlèvements... Benjamin Stora est très silencieux sur tous ces agissements.

La question des disparus n'est pratiquement pas évoquée dans son œuvre : il y en a malheureusement eu beaucoup, et c'est aussi une réalité que l'on ne peut pas escamoter. Entre mars et l'été 1962, le FLN a enlevé de nombreux Européens afin de semer la terreur et les faire fuit, là encore, comme sur le massacre des Harkis, Benjamin Stora est d'une grande discrétion.

Il y a eu des exactions commises dans les deux camps, mais l'on ne peut pas se contenter d'une lecture hémiplégique de cette histoire. D'autant qu'implicitement, la mission confiée à Benjamin Stora paraît laisser entendre que la France est de toute façon coupable, et qu'il y aurait aujourd'hui encore des tabous : les actes de torture commis par certains soldats français sont aujourd'hui assez bien connus, mais les vrais tabous ne sont pas forcément là où l'on croit.

Ces tensions mémorielles ont été ravivées par les récentes déclarations du président algérien...

L'État algérien s'est auto-légitimé à partir d’un discours historique très largement mythologique (il parle par exemple d'un million et demi d'Algériens tués pendant la guerre : le chiffre est en réalité de 250 000 dans l’ensemble des deux camps, ce qui est déjà énorme). Son discours anticolonialiste est entièrement à charge contre la France et passe sous silence toute l’œuvre médicale et matérielle accomplie au cours de la présence française. Par exemple, les principaux monuments historiques de la ville d'Alger ont été construits par les Européens. Cette occultation n'est pas neutre.

Je crois que l'Algérie française a fini par échouer et qu'elle était condamnée à terme ; cependant, si·-l'on ne fait ressortir que ses défauts et non ses réussites, on ne porte pas un regard juste sur cette période historique.

Télécharger le document en pdf

Retour B. Stora

7 août 2020

COMMÉMORATION 2020 DU 26 MARS 1962 A PARIS

COMMÉMORATION 2020 DU 26 MARS 1962 A PARIS prévue avant la vague épidémique

Puis le 5 juillet 2020

Il était 17 h 20 lorsqu’enfin nous nous retrouvions Place de l'Etoile au pied de l 'Arc de Triomphe.

Le fleuriste était là, disponible et il s'est mis gentiment à notre disposition. Peu nombreux, il a fallu composer avec les Commissaires de la Flamme, qui bien que très accueillants sont toujours tenus de faire respecter le protocole du fonctionnement de la cérémonie et de veiller aux mesures anti coronavirus.

Près de La Flamme, deux militaires de la Garde Républicaine, un Clairon et un Tambour ont assuré les sonneries et le service d'honneur. 

L'Historique de l'origine du Soldat Inconnu et de la Flamme sous l'Arc de Triomphe a été rappelé par la responsable de l'association de la Flamme

Elle a cité l'ordre des dépôts de gerbes et leurs significations.

Le porte-drapeau de la flamme sous l'Arc de Triomphe étant l'un des membres de l'association de La Flamme sous l'Arc de Triomphe, le Colonel LARMANDE a une fois de plus accepté de porter le drapeau du Souvenir du 26 Mars 1962. Le drapeau du Mémorial de Notre Dame d'Afrique était porté par Monsieur Jean-Marie WERY

Deux autres drapeaux étaient présents à nos côtés.

L'attribution des gerbes, pour notre association a été organisée par Madame Céline RIOUX, nouvelle trésorier de l'association.

La Gerbe de ALLO, l'Association Lycée Lamoricière Oran : par l'un de ses membres.

Le porteur de la Gerbe Bleue : pour les Cimetières et les Disparus d’Algérie : Monsieur BUSSON, fidèle adhérent,

Le Porteur de la Gerbe Blanche ; pour les Harkis et les Français musulmans : Monsieur ANDRÉ, fleuriste et sympathisant.

Les porteurs de la Gerbe Rouge : Pour les victimes de la fusillade de la Rue d'Isly à Alger le 26 mars 1962 : Madame Nicole FERRANDIS et Monsieur Roland ALBERT.

Le Porteur de la Gerbe Bleu-Blanc-Rouge : Pour les enfants victimes de la guerre d’Algérie : un sympathisant, membre de ALLO.

La Gerbe de nos amis du Clan-R :  était portée Monsieur LEVY et Monsieur VALLAT.

Après la sonnerie aux Morts, la minute de silence, nous avons chanté l'Hymne National. L'Hymne du Soldat Inconnu a été interprété par les Militaires de la Garde Républicaine.

Nous avons été invités à participer au ravivage de la Flamme qui a été assuré par Monsieur LEVY, doyen de notre assemblée.

Nous avons également été invités à signer le Livre d'Or de La Flamme sous l'Arc de Triomphe, sans désemparer notre ami Pierre BUSSON a entonné, à son habitude à pleine voix, Le Chant des Africains dans son intégralité, alors que nous saluions les porte-drapeaux et les valeureux participants qui ont bravé les difficultés du mauvais vent de l'Histoire.

Nous tenons à remercier le Général DARY Président de La Flamme sous l'Arc de Triomphe, son Secrétariat Général, ainsi que tous les Commissaires qui nous accueillent depuis tant d'années.

Un grand merci à nos amis Oranais qui ont partagé cette cérémonie d'Hommage à nos Martyrs de la guerre d'Algérie.

Nous remercions vivement Monsieur ANDRÉ, Fleuriste de son état (avec sa Maman) pour l'aide et l'amitié qu'il nous témoigne depuis de très longues années.

Mais nous remercions chaleureusement notre amie Nicole FERRANDIS qui nous a reçu au sortir de la Gare de Lyon et qui nous a accompagné tout au long de la journée, ce qui nous a grandement facilité nos déplacements Quai Branly et Place de l'Etoile.

Lucienne et Roland ALBERT

Photos: Lucienne ALBERT

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association des familles des victimes du 26 mars 1962

isly26mars@wanadoo.fr

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5 août 2020

EMMANUEL MACRON EN MARCHE VERS LA REPENTANCE

COMMUNIQUÉ DU CERCLE ALGÉRIANISTE DU 29/07/2020

     

Cercle algérianiste national
Sauvegarder, défendre, transmettre l'histoire et la mémoire
des Français d'Algérie

Association culturelle des Français d'Afrique du Nord
1, rue Général Derroja 66000 PERPIGNAN - Tél. 04 68 53 94 23
Courriel : contact@cerclealgerianiste.fr

www.cerclealgerianiste.fr

Le chef de l’État, Emmanuel Macron a confirmé son grand dessein : réconcilier les mémoires françaises et algériennes. 

Deux historiens ont été, dans cette perspective, désignés par la France et l’Algérie pour bâtir ce socle mémoriel ; pour l’Algérie, Abdelmadjid Chikki, ancien combattant du FLN aux propos toujours revanchards ; pour la France, Benjamin Stora, historien idéologue militant, dont la proximité avec le pouvoir algérien a été constante. Cet entre-soi mémoriel en dit long sur la conception d’Emmanuel Macron en matière de pluralité des mémoires et des souffrances.

Le chemin semble donc tracé, c’est celui peu courageux de la repentance, qu’a choisi le chef de l’État, lui qui avait tenu, à Alger, avant son élection, des propos indignes assimilant la présence française en Algérie à un « crime contre l’humanité ».

À l’heure même où les mouvements extrémistes racialistes déversent leur haine de la France et de son histoire, Emmanuel Macron a choisi de poursuivre la voie mortifère de la repentance qui ne connaît jamais de limites.

Le Cercle algérianiste rappelle que le chemin de la paix entre la France et l’Algérie exige l’équité des mémoires et que chacun reconnaisse sa part d’ombre.

Comment accepter une nouvelle auto-flagellation de notre pays alors même que l’Algérie n’entend ni reconnaître les pratiques esclavagistes de ceux qui occupaient le pouvoir à Alger avant la France, ni les crimes commis par le FLN contre des dizaines de milliers de Pieds-Noirs et de Harkis, drame politiquement incorrect sur lequel Emmanuel Macron préfère jeter un voile d’ombre ?

Le Cercle algérianiste, principale association de Français d’Algérie, condamne avec vigueur la voie choisie par Emmanuel Macron et s’opposera à toute vision hémiplégique de l’histoire car la guerre d’Algérie, comme la présence française en Algérie, ne peuvent s’écrire en noir et blanc.

Thierry ROLANDO Président national du Cercle algérianiste

Télécharger le communique du 30 07 2020 en PDF

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23 juillet 2020

DOUBLE NATIONALITÉ : DARMANIN ET DJEBBARI NE PEUVENT RESTER MINISTRES !

France-Algérie : l’exigence absolue d’une très stricte réciprocité

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Sur plusieurs sites algériens ou assimilés, dont OBSERVALGERIE du 27 juin 2020, est indiqué le choix opéré par un certain Samir CHAABNA en faveur de la nationalité française au détriment de fonctions ministérielles algériennes.
Récapitulons brièvement : À l’occasion du remaniement ministériel en Algérie du 23 juin 2020, le député à l’Assemblée populaire nationale, monsieur Samir CHAABNA, a été nommé ministre délégué, chargé de la communauté nationale à l’étranger. Par la suite, monsieur CHAABNA, détenteur également de la nationalité française, ce qui n’avait initialement pas été pris en compte, a été sommé de renoncer à notre nationalité, pour conserver ce portefeuille ministériel algérien.
Devant son refus de renoncer à la nationalité française, le Président algérien TEBBOUNE a judicieusement annulé la nomination du sieur CHAABNA en tant ministre délégué.
Côté médias français, à ma connaissance, seule la courageuse responsable de Résistance Républicaine, Christine TASIN, a salué la pertinente décision du Pr. TEBBOUNE, le 26 juin 2020 : « pas de ministres avec la double nationalité en Algérie ! Macron prends-en de la graine ! ».
Voyons aujourd’hui la situation, côté France !

Il est patent que depuis d’assez nombreuses années ont été nommés, de façon passablement laxiste -c’est un euphémisme – plusieurs ministres ou ministresses possédant la double nationalité (voire la triple nationalité). Dans l’ordre (liste non exhaustive) : mesdames Rachida DATI, Nadjat BELKACEM, Myriam EL KOMRI. Ces (pour le moins) fâcheux précédents ne devraient en aucun cas faire jurisprudence et encore moins valoir justification pour une amplification d’un très dangereux abandon de la souveraineté française dans des domaines où celle-ci devrait s’exercer avec la plus nécessaire vigilance.
Il est incontestable que cohabitent dans le dernier gouvernement de Jean CASTEX, deux ministres de nationalité algérienne ; l’un a un poste relativement mineur, l’autre à un rang de ministre d’État : Jean-Baptiste DJEBBARI et Gérald, Moussa DARMANIN.
DJEBBARI et DARMANIN, descendants d’individus (1) originaires d’Outre-Méditerranée (nonobstant leur comportement glorieux) sont du point de vue du droit algérien uniquement algériens ! Ils le sont d’autant plus qu’à ma connaissance, les ascendants, grands-parents et parents, n’ont pas renoncé à la nationalité algérienne, par décret publié au JO algérien.
Laissons de côté pour aujourd’hui le sieur DJEBBARI, nommé à un poste de moindre importance et attaquons-nous à un « seigneur » nettement plus imposant, Gérald, Moussa DARMANIN qui est citoyen algérien, aux termes de la loi algérienne et qui a été nommé récemment ministre de l’Intérieur et des Cultes ! C’est un poste « régalien » – qualificatif très prisé actuellement – car il gère l’entrée et le séjour des étrangers ; le ministre de l’Intérieur ayant, par ailleurs, un rôle prééminent quant à l’accès éventuel (largement utilisé) tous les ans à la nationalité française de très nombreux étrangers dont une proportion déterminante d’origine algérienne !
Ministre de l’Intérieur et… des Cultes : c’est-à-dire de surcroît qu’il a la main quant à la place de l’islam dans la société française.
Donc, nous avons au gouvernement français un ministre de tout premier rang, qui jusqu’à preuve du contraire se trouve être de nationalité algérienne, et cela quand bien même il est allégué que le grand-père du sémillant Gérald, l’adjudant-chef Moussa OUAKID, du treizième régiment des tirailleurs algériens, a eu un comportement héroïque en défendant notre pays.
En considération du droit algérien, Moussa OUAKID et tous ses descendants sont des citoyens algériens ! Je peux d’autant mieux en témoigner qu’il m’a été donnée la possibilité de réfléchir à la question « harkis et nationalité » lors du très long entretien que j’ai pu avoir avec un spécialiste algérien du droit algérien, un ténor du barreau d’Alger, maître Mokrane AIT LARBI, à Paris, le 02 mai 2010, au Grand Hôtel français. Ce dernier m’a asséné avec une totale assurance que « les fils de harkis sont algériens » !
J’avais alors plaidé la cause des jeunes lycéens algériens ayant hissé le drapeau français au lycée OKBA de BAB-EL-OUED ; en vain, notre éminent homme de loi s’étant dérobé, après m’avoir écouté et avoir beaucoup insisté sur la nationalité algérienne des fils de harkis.
Il est fait état de mon entrevue avec maître AIT LARBI à d’assez nombreuses reprises sur les sites RIPOSTE LAÏQUE, POPODORAN, ALGÉRIE PATRIOTIQUE, voire GABON INFOS PLUS. Peu de médias français, hormis le quotidien PRÉSENT, de personnalités françaises politiques ou non (mes anciens professeurs, messieurs NANCY et STRAUSS, l’avocate député PAU-LANGEVIN) ont daigné prêter attention à mes très vives préoccupations.
Pas de réaction non plus du côté des Républicains (DARMANIN compris).
Je ne puis alors qu’exprimer quelque circonspection quant à la sincérité de certaines envolées patriotiques et lyriques d’une certaine Droite, LR ou non.
I. En février 2017, en pleine campagne présidentielle, Gérald DARMANIN avait violemment attaqué (2) Emmanuel MACRON, suite à sa déclaration à la presse algérienne : « la colonisation est un crime contre l’humanité ».
Sur les réseaux sociaux, celui qui est alors maire de Tourcoing écrit : « Honte à Emmanuel Macron qui insulte la France à l’étranger ».
Mieux encore, il dénonce: « des crachats inacceptables d’Emmanuel Macron sur la tombe des Français tirailleurs, supplétifs, harkis morts pour une France qu’ils aimaient ».
Par la suite, DARMANIN supprimera ces deux messages en se rapprochant de MACRON.
II. Toujours selon Ahmed OUL, OBSERVALGÉRIE du 11 juillet 2020, en 2016 DARMANIN avait consigné son projet sur le culte musulman en France, dans un document intitulé : « Plaidoyer pour l’islam français. Contribution pour la laïcité ».
Il avait dédié 65 pages à son grand-père : « l’adjudant-chef Moussa OUAKID, treizième régiment des tirailleurs algériens, héros français ».
OBSERVALGÉRIE mais aussi VALEURS ACTUELLES, soulignent que Gérald, Moussa DARMANIN fait l’objet de vives attaques, à titre de petit-fils de « traître ». Les harkis, est-il spécifié, « sont des supplétifs algériens embrigadés par des Français pour tuer des Algériens épris de liberté ». Les agresseurs seraient notamment des Français d’origine algérienne.
Par rapport à ces attaques, la position de Gérald, Moussa n’apparaît pas des plus claires (comme elle ne l’est pas du tout vis-à-vis de l’accusation faite à la France d’avoir commis en Algérie un crime contre l’Humanité).
Français ou Algérien ?
Petit-fils d’immigré ou petit-fils de tirailleur harki ?
Pour s’en sortir, il revient à DARMANIN :
De renoncer à sa nationalité algérienne avec mention au JO algérien de sa renonciation ;
De faire condamner sévèrement ceux qui insultent son grand-père et tous les harkis en entretenant la haine de notre pays et même en l’attisant.
(1) Je dis cela sans connotation péjorative bien sûr !
(2) Ai-je besoin de souligner qu’il avait alors mon entière approbation !

Colmar, le 21 juillet 2020
Jean-Michel WEISSGERBER, défenseur historique de la communauté harkis depuis un demi-siècle. Initiateur de l’existence à Colmar de la place du Sergent-chef KOUIDER GUERROUDJ et de tous les harkis.

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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18 juillet 2020

TRAVAIL MÉMORIEL DE VÉRITÉ

            J'apprends que B. STORA est le représentant français désigné par notre Président de la République pour mener conjointement avec l'Algérie un travail mémoriel de vérité. Il a été immédiatement adoubé par le Président Algérien avant que celui-ci ne désigne son représentant. Curieux non ?

            Ce mot vérité ne lui semble pas adapté eu égard à ses attitudes pro-algériennes notoirement connues, sans parler de son cursus idéologique qui n'a jamais eu, à ma connaissance, la moindre attention affective à l'égard de ses compatriotes aux mémoires meurtries.

            Par ailleurs, le 5 juillet 2020, le nouveau président Algérien TEBBOUNE '' invite,'' une fois de plus,  la France à s'excuser pour la colonisation. Nous connaissons la rengaine algérienne et l'instrumentalisation qui en découle afin de camoufler leurs échecs depuis 1962.

            Malgré cela force est de constater l'évidence : le choix du Président MACRON semble logique eu égard à ses prises de positions antérieures sur l'Algérie qui n'ont jamais été à notre avantage.. Pourtant il a prétendu nous ''avoir compris'' !

            Que devons nous faire face à cette nouvelle épreuve ?

            Pouvons nous être UNIS afin d'avoir,enfin, une attitude commune et surtout éviter de tomber dans un piège où notre seule responsabilité sera mise en cause si cette conférence mémorielle échouait.

            B. STORA fait l'unanimité, dans nos rangs, contre lui et nous en sommes conscients.

            Pouvons nous obtenir un autre choix?. Dans la négative que faire ?

            Nous avons malheureusement perdu la bataille  mémorielle mais pouvons nous accepter cette nouvelle humiliation surtout quant-on songe à nos disparus.

            Depuis plus de 15 ans je me suis attelé à ce devoir de mémoire : la recherche des familles de nos malheureux compatriotes disparus afin de constituer des dossiers prouvant leurs disparitions et aussi démontrer l'horreur subie

            Aujourd'hui nous en recensons : Civils disparus : 1587  + Militaires disparus : 425 = Total = 2012

            Nous avons été depuis 1962 les victimes d'un déni de l'HISTOIRE, voire même les coupables. Jamais le pogrom d'Oran du 5 juillet 1962 n'a eu la moindre reconnaissance officielle de notre pays. Oui c'est injuste et révoltant. Mais pouvons nous encore attendre ?

Très cordialement à tous  

Jean-Claude ROSSO

Algérie d'antan

Petit tour de l'Algérie en 1946 avec présentation de ses infrastructures modernes, ses industries et sa production agricole florissante.

Retour B. Stora

19 juin 2020

DE GAULLE ET LE PROBLÈME ALGÉRIEN

Article dans le Quotidien d'Oran (Algérie) - (Le  Quotidien d’Oran du 18 juin 2020)

Préambule : Dans les archives de la réunion du comité des affaires Algériennes où De Gaulle siège à Paris justement le 5 juillet 62 il est dit en effet “La France ne doit pas prendre parti dans les querelles qui divisent les factions politiques locales ” Ce qui se traduira par des directives strictes de non intervention des troupes françaises; EN TOUT CAS CES DIRECTIVES SAUF CONNIVENCE CACHÉE ne sont pas publiées le jour même (au moins 5 jours après!) Dans La conclusion de point de vue sur le film de G Benhamou sur les massacres du 5 juillet 1962 à Oran  /  l'Historien G Pervillé dit "On peut donc accuser le président de la République et son gouvernement d’une imprévoyance et d’une inconscience coupables, mais pas d’une complicité délibérée avec les massacreurs des Français d’Oran"", (qui n'est pas exprimée ainsi par ces derniers ) C'est bien cet impression  qui ressort du film mais la consignation de nos troupes alors que le gros de l'ALN n'était pas encore arrivé et la provocation à "l'émeute" réalisée pour justifier son intervention non prévue par les accords d’Évian peuvent exprimer "cette inconscience coupable" issu de ce que nous avions qualifié de “deal ”fatal pour faire valoir cette ALN des frontières qui brigue le pouvoir en Algérie .

En tout cas dans l'Histoire si les causes sont toujours discutées ce sont bien les effets et les conséquences qui en définitive comptent !

Mais nous insistons si seulement une faible partie des 18.000 Hommes des FAF d'Oran avaient fait acte de présence dans les rues aucun massacre n'aurait eu lieu et elles auraient pu céder la place aux 1500 hommes de l'ALN du Maroc non prévus par Évian arrivés après coup (le temps de terroriser les européens) Mais on ne peut refaire l'Histoire !
LA NEUTRALITÉ demandée selon l'Historien G Pervillé par le pouvoir Gaulliste aux forces Françaises argument  qui sert pour décrier la thèse à notre avis  justifiée de la préméditation  c'est finalement la neutralité du LOUP DANS LA BERGERIE ! qui avantage les gros bataillons de l ALN extérieure et la prise de pouvoir par Ben Bella alors que nous avions négocié avec les représentants déclarés du GPRA qui amènera nos forces armées vers une réserve criminelle à Oran le 5 juillet 1962.

De Gaulle et le problème Algérien dans le journal Algérien (Le  Quotidien d’Oran du 18 juin 2020) : http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5246797

Article critiquable sur plusieurs points mais à notre avis juste sur la position précoce du général pour larguer l'Algérie et donc sur toutes les supercheries utilisées pour y parvenir bien antérieures au 13 Mai 58 !

Mais remarquer aussi au sujet de la thèse de la position Gaulliste que par le passé souvent les nationalistes Algériens la niaient préférant avancer que la lutte de l'ALN/FLN lui avait" forcé la main" c'était aussi l'avis de leurs amis en France

L'ouverture des archives soviétiques,(selon plusieurs auteurs et celui exprimé dans cet article du quotidien d'Oran ) et un article du“ Figaro Histoire” précédent; précisions données par le journaliste HC Giraud sur le fait que « les Archives Soviétiques apportent une confirmation décisive de la précocité du choix Gaulliste en faveur de l’indépendance de l’Algérie » après la chute l'Union soviétique, révèlera bien que le 10 octobre 1956, soit près de deux ans avant son retour au pouvoir.

De Gaulle aurait dépêché Gaston Palewski13, l'un de ses proches collaborateurs, auprès de l'ambassadeur soviétique à Paris, Serge Vinogradov un entremetteur habituel avec Moscou (dès 1944) pour l'informer que dès l'arrivée du Général de Gaulle au pouvoir, ce dernier « sera prêt à entamer des négociations avec les représentants des Algériens »? Cela veut dire que dès 1956 si De Gaulle qui n'est pas encore au pouvoir fait savoir au FLN indirectement par l'intermédiaire de leurs amis Soviétiques qu'il serait prêt à négocier s'il revenait aux affaires de la France ? On peut supputer l'atout formidable qui serait fatalement transmis à la rébellion qui l'encouragerait à ne pas transiger pour une paix juste alors que notre armée se bat sur le terrain mandatée par le pouvoir légal Républicain.

GROUPE DE RECHERCHES SUR ORAN 5 JUILLET 1962 avec JF PAYA  (Sur GOOGLE)

"LA FRANCE A UN VASTE EMPIRE DERRIÈRE ELLE POUR CONTINUER LE COMBAT" (Appel du 18 JUIN 1940 Charles de Gaulle)

Retour listes de tous les dossiers 5 juillet 1962

4 juin 2020

LETTRE DE J.M. WEISSGERBER A Mme Virginie JORON

22 RUE DES BOULANGERS 68000 Colmar

Par Jean-Michel WEISSGERBER

 

A Madame Virginie JORON Député français au Parlement Européen

Groupe Identité et Démocratie Présidente du Groupe RN

Au Conseil Régional du Grand-Est Parlement Européen

Bâtiment Salvador de Madariaga G07047

1 Avenue du Président Robert Schuman

F-67070 Strasbourg Cedex

 

Chère camarade Virginie JORON,

Récemment, lors d'une réunion préélectorale, j'ai évoqué avec vous les très sérieuses réserves que j'émets relativement à un hommage (trop) appuyé annoncé par la présidence de la République à la mémoire du premier Président de la Cinquième République, un certain Charles DE GAULLE. Il m'a bien semblé que vous partagiez alors mon ardente préoccupation.

Depuis lors, dans une contribution très lue et passablement commentée, parue le 29 février dans RIPOSTE LAÏQUE (et reprise par plusieurs sites harkis et pieds-noirs dans le Midi de la France), j'ai fait savoir les soubassements de mon point de vue, notamment le refus du personnage susnommé de garantir en 1962-63, la très nécessaire protection des enfants de la France (harkis et pieds-noirs notamment à Oran le 5 juillet 1962).

Certes, ce côté obscur de Qui-Vous-Savez, ne lui est pas propre, si j'ose ainsi m'exprimer !

Il est largement partagé par les défenseurs impénitents du régime de Vichy, qui oublient les défaillances qui incontestablement incombent à ceux qui précédemment auraient dû assurer la défense et la protection des juifs de France.

La mémoire de nombre de responsables politiques de la Quatrième République - parmi lesquels il serait inéquitable de ne pas mentionner un certain Pierre MENDÈS FRANCE (au demeurant initialement promoteur de l'Algérie française) est également entachée pour le refus de s'engager dans la protection d'innombrables Indochinois qui combattirent les futurs bourreaux du Vietnam, du Cambodge et du Laos, les communistes implacables à la sauce polpotiste.

Je relève d'ailleurs que parmi les militaires qui dénoncèrent et combattirent le Grand Charles Que-Vous-Savez, plusieurs avaient unis leurs destinés avec de ravissantes Indochinoises - à commencer par Raoul SALAN, époux d'une princesse laotienne - le colonel VAUDREY, mort en exil, l'officier DELHOMME,...

Je n'épiloguerai pas plus avant, et vous pose la question : le Rassemblement National va-t-il se couler dans l'élan de veulerie des socialo-communistes, des islamo-gauchistes, des affairistes (tels Hervé GAYMARD, actuel président de la fondation du Gaullisme, des truands et sinistres farceurs, parfois issus du Service d'Action Civique (n'est-ce pas M. Jacques GODFRAIN ?) en vue d'infantiliser les Français et de leur inculquer ad aeternam le culte du "Père" de la Nation, PAPA NGOL - au demeurant un grand raciste - Faut-il rappeler ses propos : « Il y a des nègres à l'Élysée tous les jours… Je suis entouré de nègres, ici… Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d'ici deux mois, vous entendez ? Ce n’est pas seulement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l’Elysée. ».

En vérité, l'actuel Président de la République se fiche totalement de la mémoire du plus grand imposteur de l'Histoire de France et ce qui l'intéresse c'est bien un calcul politicien…

Je pense que si l'on rentre dans son jeu, nous pourrons dire adieu à un second tour en 2022.

J'espère fort que notre parti émettra pour le moins quelques réserves au culte Degaullatre qui risque fort de s'exprimer, avec une totale indécence, lors de l'hommage projeté le 18 juin et plus tard en décembre…

Toute autre attitude consisterait à insulter la mémoire de bien des braves tombés pour notre cher drapeau tricolore.

Je ne saurais oublier au surplus que le 25 septembre 2016, le président de la République française d'alors a solennellement reconnu en présence de l'ancien président SARKOZY et de notre présidente Marine LE PEN "l'abandon et le massacre des harkis" et la responsabilité du gouvernement français de l’époque dirigé par Charles DE GAULLE !

Je compte fermement sur une réponse de votre part.

Dans cette attente, recevez très chère Virginie JORON, mes très respectueuses salutations.

Jean-Michel WEISSGERBER

A l'initiative de la place du sergent-chef KOUIDER GUERROUDJ et de tous les harkis.

Article transmis par Maurice Calmein

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24 mai 2020

SOS OUTRE-MER DEVIENT SOS ENFANTS DU LIBAN

SOS ENFANTS DU LIBAN

L’association Sos outre-mer, qui apporte depuis 1991 une aide à l’orphelinat « Maison Notre Dame des dons », à Zahlé (Bekaa) change de nom pour s’appeler désormais « Sos enfants du Liban ».

Il ne s’agit pas d’un simple changement de nom mais surtout d’un recentrage sur l’activité centrale de l’association. En effet, depuis près de 30 ans, Sos outre-mer menait d’autres actions en direction de diverses communautés de pays marqués par l’empreinte culturelle de la France et restés fidèles à ses valeurs. Si l’association ne s’interdit pas, très occasionnellement, d’apporter un soutien ponctuel à d’autres causes méritantes, elle concentrera maintenant ses efforts sur les enfants orphelins ou abandonnés au Liban.

L’action de Sos enfants du Liban consiste à recueillir des fonds pour financer des projets de l’orphelinat (travaux, achats importants, frais de scolarité, soins médicaux, etc.), mais aussi à rechercher des familles de parrainage pour les enfants. Enfin des bénévoles portent chaque année à Zahlé des colis de médicaments, livres, jouets, fournitures scolaires et apportent une aide sur place (soutien scolaire ou accompagnement de sorties, par exemple). De même, des jeunes sont accueillis en France pour des études ou des vacances.

Sos enfants du Liban est une association entièrement indépendante et bénévole qui consacre directement plus de 90 % de ses recettes aux personnes qu’elle aide.

Aujourd’hui la crise économique, politique, sociale et sanitaire que connaît le Liban nécessite plus que jamais le soutien matériel et moral de ceux qui, en France, considèrent toujours le Liban comme un pays ami et les chrétiens d’Orient comme leurs frères.

Pour tout renseignement ou pour faire un don :

SOS ENFANTS DU LIBAN, 13 Faubourg Sébastopol, 31290 VILLEFRANCHE DE LAURAGAIS

CCP 9570 85 R PARIS - Tel : 05 61 81 01 18 -   Courriel :  sosenfantsduliban@orange.fr

Site Internet : http://sosenfantsliban.com/

Article transmis par Maurice Calmein

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23 mai 2020

PÈLERINAGE ND DE SANTA-CRUZ NÎMES 2020

Le Pèlerinage est annulé

Michel Perez, président de l’association « les Amis de ND de Santa Cruz « indique : eu égard , à la situation grave actuelle , que traverse notre pays,en raison des mesures associées à la lutte contre l'épidémie du coronavirus,   nous avons décidé d'annuler le pèlerinage de ND de Santa Cruz de la fête de   l'Ascension du 21 mai.  Il poursuit " ce pèlerinage nécessite une   grande organisation, préparée deux mois auparavant . En revanche, nous   espérons bien organiser celui de l’Assomption le 15 août, au sanctuaire Nîmois.

J.B

P élerinage Ascension 2020 annulé !!

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27 avril 2020

LUTTE OUVRIERE N'EST PAS EXEMPTE D'UN CERTAIN SECTARISME

Colmar, le 27 avril 2020

Par Jean-Michel WEISSGERBER

(questions harkis, Mayotte entre autres)

Les militants trotskystes de Lutte Ouvrière, se présentent comme des communistes socialistes, révolutionnaires et internationalistes.

En dehors de toute considération idéologique, ce qui me les rend sympathiques, c'est que manifestement l'opportunisme n'apparaît pas être leur fort et que le militantisme singulièrement pour défendre les humbles et les travailleurs, c'est réconfortant.

Un plus par rapport à leurs concurrents du NPA, le courant L.O. jusqu'alors semble imperméable à la propagande pro-voile de bien trop d'islamo-gauchistes.

Fort bien !

Un premier problème néanmoins : ils ne disent pas grand-chose devant une réalité incontournable : là où les communistes ont pris le pouvoir cela n'a pas marché, mais de surcroît cela s'est terminé par des hécatombes de dizaines de millions de morts (Goulag, Longaï de la Chine maoïste, exterminations polpotistes).

Deuxième problème qui me touche de plus près en tant que défenseur patenté des Français d'Outre-Mer : ceux qui ont été "colonisés" par la France n'ont guère le choix, ils peuvent se revendiquer comme des citoyens Français mais doivent obligatoirement se considérer comme des Algériens d'une part, comme des Comoriens de l'autre…

Certes, Arlette LAGUILLER et Nathalie ARTHAUD s'avèrent un peu plus subtiles que le lourdingue député du parti communiste Français LECOQ qui vaticine sur l'île "comorienne" de Mayotte.

De surcroît, Lutte Ouvrière m'a ouvert ses colonnes à plusieurs reprises quand j'ai plaidé la cause de ma vie, mais en fin de compte pour elle, il n'y a pas de débat possible, il ne saurait y avoir de débat !

Les harkis (en réponse à des interrogations que j'ai exprimées de concert avec mes vieux camarades, aujourd'hui disparus, Driss AISSANI et Ahmed KABERSELI) "avaient choisi le camp de l'impérialisme français et ne pouvaient que s'être trompés et s'être rangés du côté de leurs pires oppresseurs (1) (Lutte Ouvrière dans le courant de l'été 1977, en réponse à un texte de l'Association Islamique des Rapatriés d'Algérie de Mulhouse).

Les Mahorais -souvent rejoints par les rattachistes de l'île d'Anjouan- ne sauraient voir leurs revendications liées à la qualité de Français, l'emporter, car en fin de compte, le statut de département de l'Ile de Mayotte reste entaché de suspicion lié qu'il est (je cite) "par une de ces situations inextricables créées suite à une histoire marquée par la conquête coloniale, par des années de dépendance suivie d'une indépendance octroyée (lettre du 3 mars 2000 d'Arlette LAGUILLER au dit citoyen Jean-Michel WEISSGERBER qui lui a écrit à de nombreuses reprises dont le 16 février 2000).

La camarade Arlette finasse et veut faire croire dans son argumentation (contre toute évidence) qu'une partie (sic !) de la population mahoraise préfère se retrouver dans le cadre de l'attachement (admirons la manipulation ourdie dans le choix des termes du vocabulaire) plutôt que de se retrouver dans le cadre de l'État comorien (2), "Une partie », tu parles Charles, alors qu'il s'agit en réalité de l'immense majorité…

Franchement Arlette, tu n'es pas sérieuse car tu oublies, en sus, que plus des deux tiers des originaires de l'archipel des Comores ont aujourd'hui la nationalité française (3) ! Qu'est-ce donc que cette sinistre comédie où les Grands Comoriens de Marseille sont deux fois plus nombreux (voire davantage que ceux de la prétendue "capitale comorienne'' à savoir Moroni.

Mais en relisant la missive que m'a adressée, il y a plus de vingt ans, la camarade Arlette, je suis sidéré par sa naïveté ou peut-être encore plus par son cynisme !

Voici ce qu'elle a osé m'écrire "Mais vous savez aussi que si l'appartenance (4) à la France assure quelques avantages (5) en matière de salaire ou de protection sociale, les Mahorais -en tous les cas ceux des classes populaires- seront considérés en France comme des citoyens de seconde zone, en butte de surcroît au racisme et à la xénophobie". En espérant malgré tout me convaincre, la bouillante Arlette a ajouté, cerise sur le gâteau : "En tant que défenseur des harkis, vous devez en savoir quelque chose".

Tout est bon pour dénier à nos compatriotes d'Outre-Mer, leur qualité de Français. La benoîte Arlette ne s'est même pas rendu compte qu'elle prend les Mahorais, les harkis, voire les Antillais pour de grands enfants incapables de faire valoir leurs droits de citoyens français !

In fine, mieux vaut pour elle la fatalité du "racisme" et celle de la "xénophobie" pourvu que le dogme de l'anti-impérialisme soit préservé !

Alors Arlette et Nathalie à quand un vrai débat, sur cette question comme d'ailleurs sur bien d'autres ?

 

(1)Les pires oppresseurs ces salauds de Français, pas leurs prédécesseurs les Turcs !

(2) Là aussi soyons sérieux, "l'État comorien" n'a jamais existé !

(3) Moins, en 2000, c'est vrai, mais très certainement alors près de la moitié !

(4) Appartenance : le chien appartient à son maître chère Arlette ; les humains sont-ils libres ou non ?

(5) L'assurance de bénéficier d'une instruction, un simple avantage ?

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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11 avril 2020

FARIDA MEGDOUD ET LA PITOYABLE POSITION DE LUTTE OUVRIÈRE SUR LES HARKIS

Colmar, le 8 avril 2020

Par Jean-Michel WEISSGERBER

Lettre ouverte à ma compatriote Farida MEGDOUD de Lutte ouvrière fille d’un soldat français et petite-fille d’un élu français

En ces temps de confinement (et ô horreur ! de « repli ») je suis tombé sur deux documents te concernant :

-          Un article de La République du Centre daté du 22 février 2010 où il est précisé que tu te retrouves tête de liste pour les élections régionales

-          La liste des candidats aux élections européennes de Lutte ouvrière de 2019. Là tu te retrouves en neuvième position, toujours sur la liste Lutte ouvrière.

Tu es née à Palestro (puisque tu es passé par la fac d’histoire d’Orléans : il s’y est passé des événements tragiques là-bas, non ?)

Pour l’article de La République du Centre, on relèvera le nom du journaliste Christian BIDAULT ! Comme le monde est petit, BIDAULT, le patronyme-même du prénommé Georges, à savoir le prestigieux président du Conseil national de la Résistance (C.N.R) !

Georges BIDAULT a été ostracisé, tout comme une autre pointure de la Résistance, Jacques SOUSTELLE, car il a dénoncé, haut et fort, le massacre des harkis, consécutif il faut bien le dire, à la politique calamiteuse des Michel DEBRE, Louis JOXE, Pierre MESSMER et autre Jacques FOCCART !

Dans l’article de Christian (je dis bien Christian), il est fait état des « harkis » justement et pour être précis de ta famille (un grand-père élu dans un des départements français d’outre- Méditerranée, un père gendarme muté après le « rapatriement » de 1962 dans diverses régions de métropole).

Christian BIDAULT évoque la façon honteuse dont la France a traité les harkis, ces gens-là (sic !).

Es-tu vraiment au courant de toute l’ignominie qui recouvre cette période ?

Sais-tu que bien des épisodes ont été occultés ?

As-tu entendu parler des maquis en Kabylie, postérieurement à l’indépendance de l’Algérie, de l’accord OAS-FLN SERGENT-KHIDDER à Bruxelles en 1964 ?

Crois-tu que la réponse de la rédaction de Lutte ouvrière à mon plaidoyer pour les harkis de septembre 1976 « La politique (du FLN) a au contraire repoussé un certain nombre d’Algériens (à commencer par les nationalistes rivaux du MNA) dans les bras de l’impérialisme français » soit pleinement acceptable ?

Sans détour, j’en viens au fait. Depuis bientôt un demi-siècle, non seulement je ne saurais me satisfaire de la position de Lutte ouvrière concernant les harkis, mais je reste vent debout contre les accusations de valets de l’impérialisme qui touchent cette communauté ostracisée !

Et je regrette profondément que mes compagnons de lutte Driss ALSSANI et Ahmed KABERSELI aient aujourd’hui disparu car ils m’épauleraient sans doute pour dénoncer une certaine suffisance (voire veulerie) de trotskystes sectaires ! D’autres leur ont succédé, l’on s’en apercevra rapidement.

Lutte ouvrière après les pitoyables considérations de 1976 s’est encore davantage embourbée, si besoin était, l’année suivante : à un texte de l’association islamique des rapatriés d’Algérie de Mulhouse, la direction du parti n’a pas craint de produire ces propos on ne peut plus affligeants : « Ceux qui avaient choisi le camp de l’impérialisme français au moment de la guerre d’Algérie, quelles que soient les raisons, ne pouvaient que s’être trompés et s’être rangés du côté des pires oppresseurs ».

A présent, très chère Farida, le prénom de ma meilleure amie côté communauté harkie, loin de vouloir ironiser, ce ne serait pas du meilleur goût, permets-moi de te tendre une perche et de te faire savoir que l’éclaircie s’annonce de l’autre côté de la Méditerranée, vois-tu !

Du côté du HIRAK-HIRAK étant l’anagramme et le quasi-synonyme de HARKI !

OBS Algérie du 24 janvier 2020 par Koucella REK, Histoire Vérité : « Il est de notoriété publique, peut-être de plus en plus que la livraison de ce département inégalitaire, ex-joug ottoman, ex rien du tout, fut un échec pour la population. Tout était prévisible et ce, dès 1955, quand la bande armée, l’ALN s’est acharnée sur sa propre population pour qu’elle suive, sous la contrainte, par la corde et le couteau… Tout était prévisible, mes messalistes, les Harkis ensuite, les seuls à les combattre eux et leurs diktats sanguinaires, furent d’une clairvoyance infaillible ».

Le temps a fini par rendre justice aux Harkis, incompris et injustement accusés et persécutés…

Ironie de l’histoire depuis l’indépendance, ce sont près de quatre à cinq millions d’Algériens qui les ont rejoints en France, devenant Français comme eux.

Et ce n’est pas fini !

Oui, Farida, ce n’est pas fini ! A tous points de vue.


Post-scriptum

Que cela se sache ! Je défends l’honneur d’une communauté et non tous les harkis pris individuellement, aujourd’hui filles et fils de harkis, voire petits-enfants…

Las ! Comme pour d’autres Français de multiples extractions, il y a parmi eux, une proportion non négligeable de « brebis galeuses » ! ! Faisant abstraction des Alice, Dalida et Fatima qui taquinèrent la plume prétentieusement et en fin de compte vainement, il existe un certain nombre de filles de harkis qui par cupidité pactisent avec les assassins de leurs pères : n’est-ce pas Aouada C. qui pour l’octroi d’une villa outre-Méditerranée se livre à la sinistre comédie d’un mariage « blanc » permettant de surcroît la complicité de la fausse « divorcée » de faire venir toute la smala de là-bas (drapeau FLN garanti d’avance au salon !). On imagine aisément à terme tous les dégâts de cette gymnastique déshonorante (des Mohamed MERAH, des frères KOUACHI à pleines brassées). La seule façon de prévenir de nouveaux massacres est bien de limiter la double nationalité et d’opérer du ménage le plus vite possible !

Jean-Michel WEISSGERBER

Additif à mon article concernant ma compatriote Farida MEGDOUD

Les harkis n’ont pas fait le choix de la France, ils étaient français

Défenseur depuis un demi-siècle de la communauté harkie, ayant pris connaissance très récemment du parcours familial et politique de Farida MEGDOUD, il m’apparaissait bien naturel de lui consacrer un texte que j’ai adressé à des sites amis. Aujourd’hui, il m’importe de préciser.

1. Il n’y a pas de discussion possible relative à un choix « exécrable » prétendument opéré par les familles de harkis. Les harkis n’ont pas fait le « choix » de la France. Ils étaient, sont et seront toujours français comme le sont bien d’autres composantes de notre grande communauté nationale, entre autres les Alsaciens et les Mahorais.

Raisonner autrement, c’est faire montre d’a priori idéologique stupide. Le débat est donc clos, camarades de LO, du PC dit F, ou de tout ce qu’on voudra.

2. L’on n’insistera jamais assez sur le fait que Djamila, Farida (mon amie Farida de Mulhouse) ou Taous, sont des rescapés d’un grand massacre ô combien occulté. Doivent et devront répondre devant l’histoire, nombre de barons du gaullisme et du « droits de l’hommisme », pervers et veules (qui ont fait montre de trop de compassion envers des assassins islamistes et de promoteurs de la pédophilie, suivez mon regard !). Je ne cesserai avec plusieurs de mes camarades de dénoncer les responsables d’une tragédie dont on n’a pas encore pris la mesure des conséquences funestes.

Aujourd’hui, je renvoie à ma contribution entre bien d’autres, à la revue Le Clin d’œil n° 119 de décembre 1998. Je m’en prenais au répugnant Pierre MESSMER, exécuteur des basses œuvres du gaullisme finissant en Algérie et aussi au Cameroun. Pierre MESSMER a menti à plusieurs reprises :

- en prétendant qu’aucune sanction n’a été prise à l’encontre des officiers ayant installé des Français musulmans en métropole

- en affirmant qu’aucun supplétif débarqué de ce côté de la Méditerranée n’a été renvoyé en Algérie.

Je citerais en particulier Les Dossiers noirs du racisme, Seuil, 1976, p. 162, d’où il ressort qu’un article du 13 mai 1962 du Figaro fait état du fait suivant : « Hier, cinquante harkis et leurs familles de la région de Palestro ont été également refoulés ». Palestro, cela vous dit quelque chose Farida MEGDOUD ?

La guerre d’Algérie de Pierre MONTAGNON aux éditions Pygmalion, 1984, p. 392, établit que, sur ordre du général DUCOURNAU, les quarante hommes qui composaient la S.A.S des Béni-Béchir ont été débarqués sur la place Marquet et exécutés par les sbires de l’A.L.N.

De tout cela, Lutte Ouvrière à ce jour, avec l’aide ou non de Farida MEGDOUD, n’en parle guère, comme elle n’évoque pas le comportement plus glorieux des militaires français qui recueillirent et sauvèrent bien des familles harkis de l’époque.

Colmar, le 1er mai 2020

Jean-Michel WEISSGERBER

Article transmis par Maurice Calmein

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26 mars 2020

COMMÉMORATION 2020 DU 26 MARS 1962 A PARIS

58ème anniversaire du massacre de la rue d’Isly

Information Importante de l'association des victimes du 26 mars 1962 rue d'Isly à Alger

Veuillez noter que la succession des évènements actuels nous amènent à annuler la messe ainsi que la cérémonie du 26 mars à Paris

Cela fera 58 ans que l’assassinat collectif commis  le 26 mars 1962 à Alger, envers des hommes, femmes sans défense a été accompli, crime pour lequel jamais aucun de nos dirigeants n’a émis le moindre mot de regret. Sans doute que de brandir le drapeau français demeure à leurs yeux une faute impardonnable.

Cette vidéo  n’est pas destinée à nous souvenir car nous n’avons rien oublié, mais puisse-t-elle  interroger ceux qui ne veulent pas savoir.

COMMÉMORATION 2020 DU 26 MARS 1962 A PARIS EN DATE DU 5 JUILLET 2020

En mémoire des victimes

 de ce crime impuni,

l’association des familles des victimes

 vous invite à vous recueillir et

observer une minute de silence chez vous,

jeudi 26 mars à 14h50,

heure précise du début du massacre

En toute fidélité,

Nicole Ferrandis

association des familles des victimes du 26 mars 1962

isly26mars@wanadoo.fr

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22 mars 2020

MERCI ET AU-REVOIR

J-Castano

Chers correspondants et amis, bonjour !

        Voilà 40 ans que j’arpente inlassablement le terrain dans le but d’honorer une promesse faite, en 1962, à l’âge de 15 ans, en souvenir d’un ami « disparu » le 5 juillet 1962 à ORAN. Durant toutes ces années, je n’ai ménagé ni ma peine, ni mes efforts dans l’accomplissement de cette œuvre de mémoire…

        Aujourd’hui, à 73 ans, la lassitude s’intensifiant, l’heure est venue de « rentrer dans le rang »… au grand plaisir de ceux qui, à défaut d’en avoir fait autant, n’ont eu de cesse de me dénigrer et d’user à mon endroit d’arguments démagogiques les plus ignobles…

        J’ai donc pris la décision de cesser tout rédactionnel et ne plus vous saturer de mes envois… hormis (éventuellement) les communiqués transmis par les associations amies. Mon ordinateur étant désormais très peu visité, je vous serais obligé de bien vouloir, également, cesser tout transfert d’articles que je reçois généralement à la puissance 10…

        Ce fut un immense plaisir d’avoir échangé avec vous durant tant d’années et, en vous souhaitant une bonne santé, je vous adresse un amical salut.

                Que Dieu vous garde.

        José CASTANO

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